le labyrinthe maudit [pv Duscisio Balibe]

Il avait des jours qu'elle n'était pas sortie. Une étrange mélancolie l'envahissait. La pluie battant sans discontinuer sur les vitres n'aidait pas. Sa vie ne lui semblait plus trépidante, elle n'avait plus l'attrait des premières quêtes dans lesquelles elle s'était lancée. Anitra en pâtissait elle aussi. Mangeant peu, dormant beaucoup. Fenitra, elle, ne dormait plus, ne chantait plus, elle subissait cette morosité

Elle s'était réfugiée dans une masure inhabitée. Celle-ci se trouvait dans un champs non loin de la cité de Canopée. La nature lui avait tout d'abord un bon endroit pour se ressourcer, mais il n'en fut rien. Pour chasser ses idées noires, elle se décida à consulter un apothicaire, afin d'avoir un remède, afin de ne plus ressentir cette morte mélancolie. Elle se rendit à Canopée. La plupart des habitants étaient des sindarins, ils regardaient d'un œil méfiant cette silhouette noire au regard taciturne. Elle avait enlevé son capuchon et marchait tête nue, ses cheveux noirs battant au vent.

Elle se dirigea vers une échoppe discrète, aux allures de maison abandonnée. Elle entra et entendit le tintement d'une clochette. L'intérieur de la boutique était semblable à son extérieur. Un amas d'objets et de fioles en tout genre. Certaines piles étaient si poussiéreuses qu'elles semblaient ne pas avoir été déplacées depuis des lustres. Fenitra faisait le tour des lieux et observait. Elle essayait de déchiffrer l'écriture microscopique sur les étiquettes lorsqu'un vieil homme arriva de l'arrière boutique.

Que puis-je pour vous mademoiselle ?

Bonjour, répondit Fenitra, Je cherche un remède assez fort pour chasser une morosité.

J'ai ce qu'il vous faut, répondit l'homme. Il avait une lueur amusée dans les yeux. Voici une préparation assez puissante qui fouettera votre humeur et chassera toutes mauvaise pensée.

Je n'ai pas dit que c'était pour moi.Fit-elle remarquer

Point besoin de le dire, cela se voit, peau blanche, cernes marquées, traits tirées. Vous êtes bien jeune pour souffrir d'une telle mélancolie.

J'ai l'air seulement. Je souhaite acquérir ce remède. Combien coûte-t'il ?

Pour vous, 50 pièces.
Très bien. Cela témoignait de son extrême lassitude, d'ordinaire, elle aurait négocié à n'en pas douter.

Elle suivit le vieil homme jusqu'au comptoir où une annonce attira son attention.


Plus bas était inscrit en gros.

Une forte récompense aux vainqueurs. Un danger de mort pour les perdants.
Vous qui n'avez plus rien à perdre, vous y risquerez vous ?

C'est une drôle d'annonce que vous avez là.

En effet quelqu'un est venu la poser sans que je m'en rende compte.

Fenitra prit une gorgée de la potion et senti son esprit fonctionner à toute vitesse. Elle aurait pu s'envoler, écrire un opéra et écrire ses mémoires. Tout cela à la fois tant le breuvage était efficace.
Elle regarda l'homme, celui-ci vit le changement dans son regard.

je vous avais dit que cette potion était efficace, mais attention à ne pas en abuser, sous peine de ne plus pouvoir s'en passer.

J'en prend bonne note. Donnez-m'en un deuxième flacon. Je vous le l'achète 30 pièces.

Soit, fit le marchant en lui donnant une seconde fiole.

Fenitra se félicitait, tout en payant, de son acquisition. Son esprit était plus vif et plus clair qu'il ne l'avait jamais été. La pleine lune était demain, pourquoi ne pas aller voir ce labyrinthe.

Elle s'attardait dans la boutique cherchant un quelconque trésor lorsque la clochette de la porte tinta à nouveau.

Quelqu'un entra.

Que se soit le vent, le soleil ou la tempête rien ne semble faire trembler un voyageur. Surtout celui la. La ville forestière est un lieu estimé que par le bien par ce voyageur, sagesse malgré le refus de se partager ne les empêche pas de soumettre une gros hospitalité. Elfe et aristocrate semble approuver l'endroit pour son paysage général ainsi que la tranquillité qui pesse ici comparer au autres cités. Notre voyageur originaire d'Herperia ne semble guère perdu, bien qu'il ne vient ici que rarement c'est une occasion pour lui d'avoir trouver du temps libre dans son propre travail pour une nouvelle rechercher, importante pour lui. En plus des plantes il s'agit de trouver un objet particulier dont le remplacement ne pourrait qu'apporter un bien fait à notre voyageur. Qui est t'il d'ailleurs ?

Alors que la masse humaine couvert d'une cape verte sombre uni marche dans la ville presque dans un hasard total, il y a des détails qui ne manque pas. Cette cape forme une bosse pointu en arrière qui ne peut sembler qu'une épée dont le manque dépasse devant lui, l'ouverture de cette cape laisse voir un type de vêtement particulier, il semble habiller chaudement alors qu'une cotte de maille semble passer en dessous de la ceinture qui tient le fourreau de l'épée. Bien qu'une simple cote ne semble guère protéger quoi que se soit celle ci semblait plutôt légère pour la taille qu'elle faisait. L'ouverture de la cape n'est du qu'au bras tendu vers se qui semble un bâton de marche très bien sculpté au dessus du niveau de la poitrine alors que le bas reste totalement brute mais tout aussi plaisant, l'extrémité au sol semble user par le temps et les multiple voyages tendit que l'extrémité haute était habiller d'un serti de bois pour une pierre de sphène de taille rare, une pierre de magie de la taille d'un poing adulte humain n'est pas quelques choses que l'on voit souvent, celle ci ne semble pourtant briller, l'utilisation de magie du propriétaire est donc nul. L'entrée en ville lui soutient une certaine sérénité qui pousse à croire qu'il est bon de l'attaquer pour lui voler ses richesses. Quel richesse ? Autre le fait qui semble bien équiper la seule richesse qu'il possède serait peut-être dans ce sac de voyage semblant peu remplit, la contenance n'étant rien d'autres que de bien légers sans grande valeur.

Canopée est calme aujourd'hui, cela doit être dût à la météo maussade de la pluie interminable. Sa marche le conduisit rapidement chez un commerçant de remède, restant momentanément devant la porte pour lever la tête et regarder l'enseigne qui n'avait pas changer avec le temps. Il connaissait déjà le lieu et donc le commerçant qui s'en occupe. Il poussa la porte de l'échoppe alors qu'un tintement aiguë annonçait son entrée. Le commerçant n'était pas seul. Une demoiselle – son animal sur l'épaule - étant près du comptoir avec une fiole dans la main avait attirer son regard sans y prêter intérêt premier abord. Le commerçant, même reconnaissant cette allure faisait une mine gêner, presque effrayer. La main droite cacher par la cape se leva alors pour l'écarté sur son dos et également retirer la capuche tremper pour découvrir sa tête ainsi que son visage qui marquait de plus en plus la certitude du commerçant qui essayait de rester le plus calme possible.

Les affaires semble marcher malgré l'état des lieux cher ami...

Son pas lent en était stressant, son visage marquait la particularité, une peau pale marquait le regard et son regard rougeoyant dont la pupille était aussi ronde qu'un astre lunaire. Il allait vers le commerçant qu'il semblait particulièrement bien connaitre mais le commerçant n'était pas bien content de le voir au vu de l'état de son regard et de son visage crisper, la peur de perdre quelques choses dès son arrivée semblait lui faire peur.
L'albinos regarda à nouveau la jeune femme présente sur les lieux tout en remarquant une annonce derrière elle. Il s'approcha, en premier lieu on pourrait croire que l'affiche l'intéressait alors il voulait la lire de plus prêt malgré les caractères bien grossier à la vu de toute le monde. Il pointa du doigt la fiole que la jeune femme tenait, avec un regard expérimenté des potions fabriquer en ses lieux.

Vous feriez mieux d'arrêter d'en prendre, mademoiselle... C'est une drogue tout en étant une remède peu efficace.

Il baissa son doigt pour se diriger vers le commerçant peiné de sa présence, cette révélation le rendait encore plus nerveux et l'albinos tapa sur le comptoir faisant sur-sauté celui ci.

Que... Que désirez vous, cher monsieur ?

Je ne veux pas couler ton commerce l'ami mais tu ferait mieux d'arrêter de vendre ce genre de connerie. La seule demande ici est que je voudrais savoir dans quel direction se trouve la foret de sphène. Les larmes d'Aguirki rend la visibilité peu agréable à mon orientation.

Le commerçant exprimait tout autant une surprise à l'expression utiliser pour dénoncer à pluie qu'à sa question aussi simple qu'il n'y parait pour trouver le lieu en question. Pourtant il ne répondait point, concentrer sur la réaction de la jeune femme à se que venait de lui dire l'albinos sur la potion...

Ce qu'avait dit le nouveau venu semblait vrai. D’ailleurs, l'apothicaire l'avait mis en garde et au vu du nombre quasi inexistant de potion dont Fenitra avait fait l'usage dans sa vie. L'effet de celle-ci était déjà amplement suffisant. De plus qui sait, cela pourrait lui être utile une autre fois.

Elle se tourna vers l'inconnu.
n'ayant pas le privilège de vous connaître, je vais conserver ces fioles, je m'en suis portée acquéreuse et n'ai pas envie de me désister.
De plus, ce commerçant m'a averti des effets pervers d'une prise régulière. Je serais modérée.

Néanmoins elle conserverait une sacrée réserve sur son utilisation. Seulement en cas de force majeure.
Difficile de dire grand chose au sujet de l'homme qui était entré. Il portait une cape ainsi qu'un capuchon qui masquait son visage. Ce qu'on distinguait de sa peau était d'une extrême blancheur. On devinait une grande épée dans son dos. '' ce n'est sûrement pas un voyageur ordinaire '' '' et pourquoi vient-il questionner un apothicaire au sujet d'un itinéraire. Il aurait pu demander à n'importe quel passant dans la cité.

De plus, vu la mine effrayée du commerçant à l'entrée du nouvel arrivant, celui-ci devait être connu, voire redouté. Ceci n'étonnait pas Fenitra, elle avait un don pour mettre sur son chemin les rencontres les plus inopportunes et les plus dangereuse souvent. Mais là sous l'effet d'une impulsion, due à la potion sans doute. Elle prit le parti de se dire que ces rencontres finalement n'étaient pas dues au hasard, car elles s'avéraient bien souvent fort utiles.
''Il cherche la forêt de Sphène et je viens de décider de m'y rendre'' Si ce n'était pas là un signe du destin...
Le commerçant se tourna vers l'homme.

la forêt de Sphène est à 7 heures de marche en direction du sud.


Fenitra leva un sourcil '' pourquoi l'envoyait-il sur une mauvaise direction?''. La Forêt de Sphène n'était qu'à 3 heures de marche, en marchant rapidement certes, mais jamais 7 heures. Elle décida de sortir prestement de la boutique afin d'attendre l'inconnu dehors. De plus le commerçant devenait de plus en plus inquiet. Il semblait que l'homme se rendait compte de son mensonge.

Au revoir messieurs.

Tous deux répondirent poliment et elle sorti de la boutique. Attendant quelques mètres plus bas. Elle entendit un fracas effroyable et vit l'homme sortir tranquillement de la boutique.
Quand il passa à sa hauteur elle l'interpella.

En prenant par l'est la forêt d Sphène n'est qu'à trois heures de marche. Je me rend au Labyrinthe décrit sur l'annonce de l'apothicaire. Je ne sais pas ce que tu compte quérir dans cette forêt mais nous pourrions nous y rendre ensemble ?

Malgré le conseil donner la jeune femme allait garder le remède déjà consciente des précautions à prendre. Il n'en fit pas part, se tournant directement vers le commerçant pour poser sa question tout banal qu'il aurait pu demander à n'importe qui. Mais par ce temps de pluie autant faire une pierre deux coups en allant chez un marchand de remède pour une bien bonne raison. Il demandait donc le chemin vers la forêt de sphène, question banale me direz vous mais pour quelqu'un que l'on voit peu ici c'est bien étrange, surtout à la manière dont il est équipé. Une cape, un bâton de marche sertir d'une grosse pierre de sphène, une épée bâtarde de couleur noire à sa ceinture et un sac de voyage. Il avait tout d'un aventurier peu scrupuleux. C'est mal le connaître que de constater son apparence peu commun dans tout les termes à cause de cette peau extrêmement pale. Alors qu'il avait eu la réponse des plus étrange par la direction qu'il devait prendre, il sentait un regard sur lui, sans pour autant y prêter attention il savait pertinemment qu'il attirait le regard de tout le monde.

Il passa son bâton de la main gauche à la main droite pour y prendre une bourse dans son sac tout en demandant son stock d'une plante de la région qu'il ne trouvera pas avec ce temps désagréable. Il y gagne, de ses plantes il en fera des potions qu'il revendra un peu plus cher. Il prit un stock de plante pour cent dias qu'il sortit avec aisance de sa bourse de cuir marron.
Le temps était venu de partir pour cette forêt dans les plus bref délai. Laissant pour compte que le commerçant avait dit la vérité sur le trajet, il se retourna tout en rangeant sa bourse pour reprendre son bâton dans la main gauche. Il sortit en toute hâte pour y laisser un fracas non intentionnel. Ajustant sa capuche il disait tout haut se qu'il devait dire tout bas.

Toujours aussi aimable...

Alors que la jeune femme venait de sortir à son dernier mot prononcé. Son regard se portait à nouveau sur lui mais cette fois ci elle avait autre chose d'intéressant à dire mais également à confirmer. La forêt de sphène se trouve à 3 heures de marche à l'est. Sans répondre tout en écoutant le reste de ses dires, il leva les yeux au ciel alors que la pluie battante heurtait son visage avec froideur, cherchant un rayon des trois soleils présente pour éclairer cette terre. Puis il regardait un arbre au vu qu'aucun soleil ne voulait se montrer, cache par le voile sombre des nuages de pluie. Voulant aller dans le labyrinthe de l'annonce il sortit un minuscule livre de son sac de voyage, posa son bâton sur l'épaule et ouvrit le livre sous sa cape à l'abri de l'eau tombante. Il le referma dès qu'il avait trouver se qu'il cherchait, se remémorant l'annonce qu'il avait lu rapidement pour finir par comprendre.

La prochaine pleine lune de l'un des trois astres de nuit ne se déroule que demain à la nuit tomber. Au vu se qu'il y avait écrit sur l'annonce, vous vous demandez si un compagnon de route ne serait pas de trop et je vous comprend parfaitement.

Il n'avait toujours pas répondu à la question, mais pourtant la réponse semblait évidente sur le fait qu'il avait la même destination. Le labyrinthe de la forêt de Sphène. Cela n'avançait rien de très joyeux au vu de la citation de la fin de l'annonce de l'apothicaire, c'était même inquiétant. Il prit le temps de réfléchir à deux fois. Savoir se qu'il allait pouvoir faire le temps que la météo se calme. Trois heures de route correspond à la nuit qui tombera bientôt. Son air pensif disparu soudainement et il finit par regarder la jeune demoiselle sans la moindre expression.

Bien. J'accepte. Cela semble dangereux donc inutile de vous dire que je n'ai envie que quelqu'un risque quoi que se soit sans y faire quelques choses. De plus, j'ai certaine chose à faire.

Il reprit son bâton dans sa main gauche, attendant l'éventuel réponse autant qu'un début de marche afin de la suivre et savoir se qu'elle voulait faire avant toutes choses.

ils se mirent tous deux en route. Fenitra marchait rapidement, l'effet du breuvage sans doute encore actif, ils ne parlaient pas, pour la simple et bonne raison qu'elle marchait plusieurs pas devant lui et lui de son côté ne semblait pas pressé de la rattraper. Marchant en silence, au milieu des champs bordés d'arbres. La pluie cessait de tomber peu à peu, bientôt seules les gouttes qui perlaient des feuilles des arbres tombaient encore à terre.

La nuit tombait, les bois étaient en vue et ils arrivèrent à l'orée de la forêt de sphène. La marche n'avait pas été difficile, cette voie paraissait utilisée fréquemment. Le chemin s'amorçait en une fourche, Deux chemins, séparées par un saule pleureur gigantesque. menant au cœur des bois. Fenitra s’apprêtait à parler lorsque se tournant de nouveau vers le saule, elle remarqua deux pancartes, qu'elle n'avait pas vu deux secondes avant. Cela semblait singulier. Elle s'avança vers elles. Ancrées à la terre à l'aide de vulgaires piquets de bois, elles semblaient là depuis toujours. Le bois dont elles étaient faîtes était piqué de vers, couvert de mousse. L'une des pancartes indiquait le chemin de gauche.

Le labyrinthe est de ce côté, un danger terrible vous guette de l'autre.

L'autre écriteau indiquait le chemin de droite.

Le labyrinthe est d'un côté, la mort de l'autre.

''C'est à n'y rien comprendre'' pensa Fenitra tout haut. Portant toujours sa capuche. L'homme s'était approché également du saule. Il s'avança tout près du tronc de celui-ci, et pointa d'un doigt pâle. Une inscription. Des écrits gravés très petits dans l'écorce.

L'un dit vrai, l'autre ment.

Elle se demanda comment il avait pu si bien voir dans la pénombre.

Merci, grâce à cela nous savons où aller, dit-elle en désignant le chemin de droite.

Ils empruntèrent le chemin de droite. Au bout de quelques mêtres, Fenitra se retourna et s'immobilisa aussitôt.

Hey, les panneaux ont disparus.

En effet, au pied du saule n'était plus rien désormais que des touffes d'herbes et de mousse.

Fenitra sorti une lampe à huile de son sac, l'alluma et la pointa vers le visage de son compagnon de route.

Ces bois semblent facétieux. Et ce labyrinthe encore plus. Peut-être devrions-nous trouver un abri pour la nuit. Mais tu ne sembles pas affecté par la nuit. Quel est ton avis ?

Et si l'écriteau mentait volontairement ? comment en être sûr ? Fenitra sentait le vent s'enrouler autour d'eux. Les branches craquaient et le temps s'alourdi brusquement. Une fine pluie commença bientôt à tomber et se transforma bientôt en abondantes et grosses gouttes. Elle courru se refugier dans un énorme tronc creux. La lampe le révéla inhabité, heureusement ! '' Quelle expression avait-il utilisé pour la pluie déjà, ah oui, les larmes de..., de quoi déjà.., ah oui, d'Aguirki, quelle curieuse expression.''

il s'approcha du tronc, la pluie n'avait pas l'air de le déranger outre mesure.

Ainsi le trajet allait être long qu'aucune demande ne fut imposer, la route fut alors directement prise. En premier lieu, Duscisio suivait au mieux le pas accélérer de la jeune femme dût à la potion qui avait un effet énergisant sur son corps. Comme il ne savait se qui allait se passer ce soir ni cette nuit il prit l'initiative de prendre une plante dans son sac de voyage, une petite feuille de couleur rouge sombre dont les nervures lâchait une substance ressemblant à un sirop dès que ses dents les tranchait. Évidemment le gouts n'est pas terrible se qui l'obligea à sortir sa gourde en peau de cuir pour en boire quelques goutes afin d'effacer une grand partit du goût amer de la feuille. L'effet n'était immédiat, dont il va lui falloir attendre un peu mais les effets de la feuille sur le peu qu'il en est prit n'allait durer que quelques heures tout au plus. Il ne faut pas s'attendre non plus à des plantes miracles dans la nature...
Au bout d'un moment, l'intérêt de suivre son pas n'était plus d'actualité donc il ralenti de lui-même et progressivement afin de ne pas s'épuiser inutilement; L'effet de la feuille avait fait effet quelques minutes après et durer plus de la moitié du trajet. Le premier chemin fut aisé à prendre. Les quelques heures à marcher ne semblait passer longuement et le temps de choisir son chemin était au rendez-vous.

Deux pancartes indiquant plus ou moins la même chose pour les deux directions qui s'offrait à eux. Il s'approcha lentement tout en regardant le saule pleureur en leva la tête d'un air intrigué. Autre le fait que la jeune femme pouvait remarquer de différent à présent était le bâton qu'il tenait s'allumer de plus en plus qu'il approchait de la séparation du chemin. Il le remarqua à son tour en regardant tout d'abord son bâton de magie. Nullement impressionner la conclusion qu'il pouvait en tirer était simple mais il n'en parla pas à la jeune femme. Cela avait vraiment une importance après tout ? Quelque chose cloche et Duscisio semble le seul à l'avoir remarquer jusqu'à présent. Son air soucieux le prouvait bien qu'il essayais de prouver le contraire en changeant de regard. Avec les panneaux qui était présent alors qu'elle pensait à haute voix sur se qu'il y était écrit ne fit ni chaud ni froid à l'albinos qui essayait de sentir quoi que se soit autour de lui dans un rayon de cinquante mètre. La détection terrestre. Il n'avait pas d'autre choix pour cacher se qu'il avait remarquer, son flux magique se faisait présent tout en étant perturber.

Elle choisit d'elle même la direction, sans que lui ne fasse une contradiction avec son choix. Alors qu'ils avait parcouru quelques mètres les panneaux qui leur indiquait les chemins avait disparu, Duscisio lui était bien trop concentrer à maintenir un flux magique constant alors que l'on voyait son bâton s'illuminer plus fortement durant quelques secondes, les secondes où ses fameux panneaux avaient disparu ne laissant que des touffes d'herbes et de mousses. Le temps venant pour eux de trouver un abri pour la nuit était proposé. La jeune femme eu vent de la pluie qui tombait et alla directement dans le tronc creux d'un arbre. La pluie se faisait plus persistante en commençant par le grossissement des gouttes. Il leva la main droite pour la tendre à plat de manière à accueillir l'une d'elle qui vint s'écraser sur sa paume blanchâtre alors qu'il la regardait d'un air de plus en plus étrange.

Ce ne sont pas des larmes... Ce sont des sanglots...

Propos étrange de sa part alors que d'un coup la lumière se faisait de plus en plus présente dans le ciel noir. La pluie avait cesser mais quand Duscisio leva la tête pour regarde le toit sombre il eu un moment de panique avant de se calmer soudainement, regardant autour de lui pour chercher un endroit ou avoir une meilleur vue. Il courra quelques mètres en continuant le chemin avant de voir la forêt éclaircir un peu. Il regarda le ciel à nouveau en s'arrêtant brusquement, ses yeux affichait une pupilles fendue

Mi Ksada !... Ignias* !
Mon dieu !... Ignias !

Il ne regardait pas le ciel mais la lune. L'étonnement s'imprégna avec la frayeur et son flux magique fut de plus en plus perturber. Son bâton faisait une sorte de clignotement par une lumière qui se tamisait rapidement. Sa main en tremblait également. La chose qui clochait s'affichait peu à peu sans que la jeune femme n'allait comprendre mais pour que quelque chose de tel s'affiche sur le visage de Duscisio cela ne devait être banal. La question était de savoir quoi.

<sup>* Rappel : Ignias est l'une des lunes d'Isthéria, celle avec un halo rouge et de taille moyenne

[HRP] Sujet abandonné pour manque de présence.
Si celle ci se représente active, elle est prié d'envoyer un MP pour le signaler afin de continuer le sujet</sup>