Alix Cym'riad, celle qui ne peut mentir...

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 Alix Cym'riad, celle qui ne peut mentir...

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Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Alix Cym'riad, celle qui ne peut mentir...   Alix Cym'riad, celle qui ne peut mentir... Icon_minitimeSam 7 Jan - 14:12


PRESENTATION
Alix Cym'riad



NOM: Cym'riad
PRÉNOM: Alix
Les morts m'appellent "Celle qui ne peut mentir" car ils sont les seuls à savoir...

SEXE: Féminin.
AGE: Une vingtaine d'années en apparence, trente en réalité.
PEUPLE: Gorgoroth.

CASTE: L'Ordre d'Oris.
MÉTIER: Conteuse.

ARME PRINCIPALE:

Alix Cym'riad, celle qui ne peut mentir... Bloodwingsaberbymrjack

Vei'l n'est pas n'importe quelle épée.
Je suis devenue une Gorgoroth avec, mais aussi à cause d'elle. Sa lame fine et recourbée m'a transpercée de part en part avant de devenir ma plus fidèle alliée. Je la hais tout autant que je lui voue un respect sans faille. Elle et moi avons désormais parcouru trop de chemin ensemble pour que je songe un jour à la rendre à qui de droit.

DON: Résistance physique développée.

POUVOIRS:
Mes pouvoirs bien que distincts sont tous trois fortement liés les uns aux autres. De part leur aspect psychologique, ils sont une part de moi, et construisent à leur façon ma personnalité.
Le premier est une sorte d'Hypnose. En réalité, le décrire comme un partage d'émotions serait plus juste. Avant que je ne meurs, celui-ci aurait pu me permettre de faire comprendre à un être cher combien je tenais à lui, ou bien à un ennemi combien mon aversion était grande. Depuis, étrangement, le pouvoir a "muté". Je ne peux plus partager qu'une seule et unique impression; celle du vide qui m'a emplit lorsque Vei'l perça ma chair. Non pas la douleur, mais la lente et irrémédiable attraction de tout mon corps et de toute mon âme vers un lieu de non-retour, un vide sans fond. C'est comme si tout sentiment avait été occulté au profit d'un seul, celui de mourir. Même lorsque j'éprouve de la joie, la partager m'est impossible. Pire, non seulement celui avec qui je veux la partager aura la sensation de mourir, mais moi aussi. Malgré le vide et le froid qui se sont emparés de mon être, je perçois encore certaines émotions, et gâcher ce plaisir m'est insupportable. La mort n'est pas ce qu'il y a de plus agréable.
Le second est davantage une malédiction qu'un réel pouvoir. Je considère souvent qu'il m'a été infligé comme une punition. Car, lorsque je mens, mon interlocuteur voit son sang refroidir. Au sens propre du terme. Contrairement au précédent pouvoir, il ne s'agit pas simplement d'une sensation, mais d'une réalité. Et plus je mens, plus la température de son corps refroidit. Je ne peux donc dire autre chose que la vérité, ne serait ce qu'à un enfant pour le rassurer lorsque sa mère se meurt, sous peine de voir celui-ci bleuir à vue d'oeil. Il n'est d'ailleurs pas le seul à subir les conséquences de mes mensonges, Ran'käa aussi. Et je ne me l'explique pas. Pourquoi cette panthère, et pas moi, tout simplement? Peut-être parce que les Dieux savent que pour tuer un ennemi, je n'aurais pas hésiter à me tuer aussi... Mais Ran'käa je ne puis m'y résoudre. Alors pour éviter ce fléau, je me contente de la vérité.
Le dernier, enfin, est des plus étranges, et totalement hors de mon contrôle. Je "vois" la vérité comme si tout mon être n'était que vérité. Les légendes m'apparaissent au fur et à mesure que je les raconte. Je n'en connais pas la fin avant de les avoir commencer, mais celle-ci finit par arriver à point nommer, et en mon âme et conscience je sais qu'elle puise leur véracité dans une source de connaissance que moi-même j'ignorais posséder. C'est pour le moment le seul aspect de ce pouvoir que j'ai pu expérimenté, je ne sais donc pas s'il pourrait également me servir à discerner le vrai du faux dans les paroles d'un étranger. Mais si oui, quelle nouvelle malédiction se cacherait derrière tout ça?

SPÉCIALITÉS:
Les spécialités que l'Ordre d'Oris permet d'acquérir sont nombreuses, mais celles que je maîtrise réellement, sans doute aussi du fait du peuple auquel j'appartiens, sont la Force Mentale et la Résistance de Fer.

PHYSIQUE:
Nez fin et droit, lèvres pulpeuses, sourcils bien dessinés, yeux d'un bleu gris semblable à celui des lacs de montagne à l'approche de l'orage, j'ai en prime hérité de la peau fanée des Gorgoroths. Mon visage, joli quoique légèrement enfantin est encadré par de longs cheveux bruns presque noirs dégringolant en cascades bouclées dans mon dos. Je suis une voyageuse, et ni ma carrure, ni ma taille (presque un mètre quatre-vingt) ne pourront dire le contraire. J'ai les épaules carrées, les hanches marquées; les mains longues et les doigts fins, mais les bras musclés et les jambes solides d'une guerrière. Masqués par la cape longue et grise que je porte sur des vêtements simples mais féminins, je porte encore les séquelles de ma vie antérieure. Une cicatrice orne ma poitrine à hauteur de mon coeur, et sa jumelle dans mon dos témoignent de mon passage par l'au-delà. D'autres cicatrices plus ou moins marquées témoignent des souvenirs de cette "vie" ou, de ceux, plus lointains, de la précédente. L'une d'entre elles, notamment, longue estafilade boursouflée barre ma hanche gauche avec une discrétion toute relative. Heureusement, mon statut de femme solitaire m'autorise à garder pour moi les explications que je devrais à ceux qui apercevraient ces sévices.

PERSONNALITÉ:

Mon statut de conteuse et le peuple auquel j'appartiens ont fait de moi une femme solitaire, peu encline aux bavardages futiles et aux attaches inutiles. Pour autant, je n'en apprécie que davantage les nouvelles rencontres et les soirées passées avec des inconnus à raconter ce qui pour eux ne sont que des légendes. Mes voyages m'ont permis d'acquérir un réseau de connaissances sur lesquels je peux compter, ainsi qu'une certaine notoriété auprès du bas peuple. On m'écoute, on me respecte, et même si certaines affaires ne me concernent pas, il n'est pas rare qu'on me prenne à partie pour obtenir mon avis.
Les enfants m'adorent et je le leur rends bien. Souvent, je rêve de retrouver leur naïveté, leur simplicité, leur justesse et leur franchise. Mais cela m'est impossible, la mort m'a emplit d'un vide et d'une froideur que j'ai gardés même après ma "résurrection" et qui me permettent souvent de juger d'une situation avec une partialité et un discernement que j'aurais préféré laisser à d'autres. Mon passage de l'autre côté m'a en quelque sorte offert la sagesse que je n'avais pas auparavant. Et comme je ne peux mentir, mes paroles comme mon visage trahissent souvent une vérité que j'aurais préféré taire.

HISTOIRE:
Je suis née d'un viol, fille d'un Cavalier de Sharna, abandonnée à la naissance par une mère qui ne voulait pas de ce fruit maudit. A Mavro Limani, qui n'est pas prédateur, devient rapidement proie. Et une proie ne reste pas longtemps en vie.
Alors j'appris à mentir. Partout, tout le temps, pour tout et n'importe quoi. Le mensonge était la chose la plus instinctive pour moi. Et l'éveil de mes pouvoirs n'a fait que m'y encourager. L'empathie était certainement des trois, mon pouvoir le plus utile, et celui dont je compris le plus vite l'existence ainsi que l'utilité. Il était tellement plus facile de mentir aux gens en sachant déjà ce qu'il voulait entendre. Jusqu'à ce que j'en vienne à penser que mes mensonges constituaient à eux seuls un autre de mes pouvoirs. Plus je m'éloignais de la vérité, et plus l'on buvait mes paroles comme paroles d'évangile...

A treize ans, avec les prémices de la puberté, vinrent d'autres préoccupations. L'adolescence et ses questions me tourmentèrent. Toutes tournaient autour du même problème centrale: la filiation. Ma mère n'était certes qu'une femme comme les autres, mais depuis peu je vouais un culte nouveau à l'homme qu'était mon père. Je ne le connaissais pas certes, mais je me mis rapidement à vénérer les Cavaliers de Sharna comme des demi-dieux. Bientôt, je n'eus plus qu'une seule idée en tête... Intégrer leur rang et faire la fierté de mon paternel.
Lorsqu'on a treize ans, qu'on est une gamine de la rue, pour se faire remarquer, il n'existe qu'une seule façon. Devenir le prédateur. Mes belles paroles aidant,je devins bientôt une ombre parmi les ombres, un fléau au milieu des siens, mais un fléau d'à peine quatorze ans et déterminé avec ça!
A quinze ans, une poussée de croissance presque exagérée m'aida à asseoir le peu de crédibilité qui me manquait. Le sang coula, et avec lui les mots faciles, les mots mensonges. Mais toujours rien. Pas de signes d'un quelconque père, ni non plus des Cavaliers de Sharna. Je compris que j'étais ma seule allié, et que pour parvenir à mes fins se contenter d'égorger la fange du port le plus dépravé d'Istheria n'était pas suffisant.

A seize ans, j'appris à manier l'épée. Bien certes, mais pas parfaitement. Mes bottes étaient trop rustres, mes postures trop mécaniques et mes parades trop prévisibles. Néanmoins je savais me battre et tel était l'objectif. Car frapper aux portes des Cavaliers de Sharna sans connaître les rudiments du combat, c'était se livrer à une mort certaine. Lorsqu'à la veille de mon dix-septième anniversaire je volais un cheval et intégrait l'ordre tant admiré, la partie me semblait pliée. Mais de père, pas une trace à l'horizon. Malgré les langues qui se déliaient si facilement sur mon passage, je n'obtins aucune réponse. Tout le monde violait tout le monde dans ce monde de brutes.
Je passai deux ans à servir les miens avec assiduité et dévouement, espérant sans cesse qu'il sorte un jour du rang et me reconnaisse comme sa fille. Pendant deux ans j’attendis, mais rien...

Puis vint la mort. Aussi absurde soit-elle, je ne la vis pas venir. Trop occupée que j'étais à être sa messagère, je ne me rendis pas compte qu'elle rodait elle aussi autour de moi. Elle me prit à l'angle d'une ruelle plus sombre que les autres. Elle avait l'apparence d'un homme sans âge dont je n'aperçus le visage qu'une fois que son épée eut traverser mon corps de part en part. Le bretteur était bon, il avait visé exactement à l'endroit approprié entre les deux omoplates pour que la lame, Vei'l, pénètre ma cage thoracique comme un couteau dans du beurre mou. Le fer croisa le coeur, et celui-ci cessa de battre dans l'instant. Mes iris ternirent, juste assez pour que je vois ceux de mon assassin. Je n'oublierais jamais le visage, encore moins les mots qui sortirent de la bouche paternel...
"Je te rends ce service ma fille. T'ôter la vie ne réparera certainement pas l'ignominie de ta naissance. Mais cela apaisera les Dieux, et peut-être seront ils plus cléments avec toi... Comme ils le furent avec moi..."

Je ne sais si les Dieux l'entendirent, mais jamais je ne parvins à traverser la frontière. Le corps mort, l'esprit supporta la terrible impression d'absence, de vide. Comme le contenu privé de son contenant, l'amant de sa maîtresse. Le désert était pire que tous les tourments. Le néant, plus vertigineux que n'importe quel abîme. Tout était blanc, aveuglant.
A moins que ce ne soit la neige qui m'entourait lorsque la mort m'abandonna à mon sort. Ou le pelage de la bête à mes côtés. Un pelage soyeux taché de noir. Chaud comme la vie. Je m'y agrippais pour aussitôt lâcher prise, mourir avait absorbé toute mon énergie. Mon esprit lui-même n'en trouvait pas assez pour se poser les bonnes questions: que faisais-je là, pourquoi, comment y étais-je arrivé, qu'étais-je. L'once tourna son oeil bleu orage vers le mien. Juste assez pour que j'aperçoive le second, barré d'une cicatrice profonde mais récente, comme celle que j'arborai sur ma poitrine à hauteur du coeur. Ran'käa passa sa langue râpeuse sur ma joue, je refermai les yeux et mes doigts se refermèrent sur la lame à mes côtés, Vei'l.

Comment je quittai cet enfer? Mes souvenirs sont vagues. Peu glorieusement c'était certain. Traînée dans la neige par un animal dont l'instinct de survie surpassait, et de loin, le mien. Quoiqu'il en soit, il n'était même plus question de survie pour moi, j'étais une Gorgoroth et pour en avoir croiser quelques uns dans mon ancienne vie, je connaissais la plupart de leurs caractéristiques...
Le visage de mon père et ses mots tournoyaient sans cesse dans mon esprit. Je ne comprenais qu'en partie ce qu'il avait voulu dire, ou je le croyais. L'ignominie de ma naissance m'apparaissait désormais comme une évidence même si je persistais dans l'incompréhension du geste paternel. Mes idées, mes envies, ma soif de sang et de reconnaissance avaient muté en une léthargie nouvelle et une droiture qui m'aurait révulsée en des temps pas si lointains.

Sans même l'avoir vérifié, je connaissais déjà la disparition de mes pouvoirs et je ne les regrettais pas même s'ils auraient pu m'être d'un grand secours pour subvenir à mes besoins. L'once, dont le nom s'était imposé dans mon esprit, Ran'käa, tuait pour deux, et je n'avais qu'à cueillir les fruits dans les arbres et boire l'eau des ruisseaux. J'appris plus tard, à mes dépends, quels étaient mes nouveaux "pouvoirs" ainsi que leur revers, lorsque tentant de mentir à un forgeron pour qu'il aiguise Vei'l, je m'effondrais, plier en deux par une douleur inattendue. Ma compagne avait lacéré ma hanche gauche d'un coup de griffes, et elle aussi se roulait par terre, poussant des feulements de douleur comme je n'avais entendu jusqu'à présent. Ma blessure n'était pas profonde, mais le sang en coulait sans ménagement.
La promiscuité et l'étrange lien qui nous unissait, le fauve et moi, m'aida à comprendre plus tard que verser mon sang avait été sa manière à elle de se venger du mal que je lui infligeais. Ce fut la seule et unique fois qu'elle se servit de ses griffes contre moi.

Aussi étrange que cela puisse paraître, je devins conteuse, poussée par un instinct nouveau, presque animal. Mon auditoire ne connaissait rien de mes aptitudes, ni de mes malédictions, aussi les légendes que je racontais restait pour lui des légendes. Mais je savais, moi, que si elles n'étaient que ça, sans fondement aucun, Ran'käa serait morte depuis bien longtemps. Je puisais dans des recoins inexplorés de mon esprit des vérités que je savais absentes jusqu'alors. Qui les avait placé là? Qui avait pu pénétré ma mémoire pour l'emplir d'histoires de Dieux et de Déesses que je savais véridiques malgré leur invraisemblance? Je ne pourrais encore le dire aujourd'hui...

Küu't nous rejoignit lorsque je pris la décision de rejoindre l'Ordre d'Oris. De décision, je ne sais pas s'il y en eut réellement, tant mes faits et gestes semblaient désormais m'être dictés par quelques entités supérieures. Aussi mon esprit se demanda-t-il si ce nouveau compagnon n'était pas lui aussi l'oeuvre de ces dernières. Toujours est-il qu'Istheria toute entière devint bientôt mon refuge à ciel ouvert. Là où autre fois j'aurais semé la mort et la désolation, je contais mes légendes, jouais avec les enfants, étais invitée aux tables d'un petit peuple que j'aurais méprisé avant.
Mais toujours rôdaient dans mon esprit, et les mots et le visage de celui qui m'avait tué...



COMPAGNON
Ran'käa



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PRÉNOM: Ran'käa

SEXE: Femelle.

POUVOIR: Aucun.
Ran'käa est comme mon ombre. Qu'importe où je suis, elle s'y trouve aussi. Nous partageons nos repas, nos journées, nos voyages et sa chaleur naturelle est bien souvent un refuge lorsque, sur la route, nous dormons à la belle étoile. Malgré sa taille imposante, elle possède un calme et une douceur qui lui valent souvent les caresses et l'affection des villageois que nous rencontrons. Son ronronnement a d'ailleurs déjà assagit plus d'un garnement.





MONTURE
Küu't



Alix Cym'riad, celle qui ne peut mentir... Polarthunderbynavyblues

PRÉNOM: Küu't

SEXE: Mâle.

DESCRIPTION:
Küu't nous a rejoint Ran'käa et moi il y a bientôt deux ans. Nous avons appris à nous connaître et je l'ai dressé avec toute la patience nécessaire pour apprivoiser un étalon fougueux et sauvage. Il demeure cependant libre d'aller et de venir, et contrairement à mon autre compagne, il ne s'en prive; il n'est pas rare qu'au petit matin, le farceur ait disparu et que je doive faire la route seule au côté de Ran'käa. Ces deux-là s'entendent et se complètent à merveille, l'impassibilité de la première fond comme neige au soleil lorsque le second tente de lui mordre les oreilles ou s'amuse à reproduire son faciès asymétrique.


Dernière édition par Alix Cym'riad le Dim 8 Jan - 10:12, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Alix Cym'riad, celle qui ne peut mentir...   Alix Cym'riad, celle qui ne peut mentir... Icon_minitimeSam 7 Jan - 14:52

Bonjour et bienvenue sur Istheria


Si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas à demander.
Bonne continuation pour ta fiche.
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Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Re: Alix Cym'riad, celle qui ne peut mentir...   Alix Cym'riad, celle qui ne peut mentir... Icon_minitimeDim 8 Jan - 2:10

Merci, merci.

Je crois bien avoir fini...
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MessageSujet: Re: Alix Cym'riad, celle qui ne peut mentir...   Alix Cym'riad, celle qui ne peut mentir... Icon_minitimeDim 8 Jan - 14:48

Nous revoilà!

Tout me semble correcte! Rien à redire et l'histoire est très bien ficelée.

fiche validée


Bienvenue parmi nous.^^
Tu vas pouvoir ouvrir ton compte en banque, ta boîte aux lettres, et ton journal.
Il te faudra aussi faire une demande de rang personnalisé dans la zone évènementielle.


Bonne route sur Istheria!!
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MessageSujet: Re: Alix Cym'riad, celle qui ne peut mentir...   Alix Cym'riad, celle qui ne peut mentir... Icon_minitime

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