CONCOURS D'ECRITURE : " L'amour dans le monde animal "

Spoiler:

La première fois que mon regard s'est posé sur elle fut durant une après midi d'Enkilil. Une douce journée que je n'oublierais jamais tout comme son odeur des plus exquis. Cette effluve avait délicatement chatouillé ma truffe alors qu'un zéphyr était venu jouer avec mon pelage. Voilà longtemps que je n'avais plus été en contact avec un membre de ma Race, hormis mon aîné Zodiark, encore moins avec une femelle. Je fus donc bien surpris de reconnaître une de mes semblable dans ce parfum qui occupa toutes mes pensées. Durant un moment, j'ai hésité de traquer son odeur et de voir de mes propres yeux cette louve solitaire qui rôdait dans les parages. Mais ma solitude et mon exil eurent raison de moi ; puis-je vraiment m'en vouloir ? Je suis un mâle avant tout, mais un mâle en manque d'amour depuis que ma meute m'a chassé. Douloureux souvenirs qui agitent mes nuits...

Mon ami aérien fut clément en ce jour ; il me conduisit jusqu'à la rivière Oxia, une source d'eau délicieuse et parfait pour jouer avec mes petits Bublus... Et c'est là, que je la vis... Une louve noire, de toute beauté... elle dormait paisiblement au bord du rivage, emportée par les mélodieuses voix des Berbis en quête d'amour. Sans doute avait-elle sentit ma présence pour que son sommeil se trouble et que ses paupières dévoilent au reste du monde ses yeux d'un bleu aussi pure que cette pierre qui est incrusté dans mon front. Son regard sévère se posa alors sur moi et je sentis mon souffle me manquer. Elle m'hypnotisait, m’envoûtait, me rabaissait à un simple louveteau gêneur qui ferait mieux de déguerpir si il ne voulait pas goûter à ses crocs. J'en fus figé sur place ; voilà la première fois qu'une femelle me repoussait avec une telle ardeur. Pourtant, j'ai cru un instant, avant qu'elle se remette en boule et qu'elle puisse cacher sa tête derrière sa queue duveteuse, apercevoir une lueur de malice dans ses yeux perçants. Qu'est-ce que cela pouvait-il bien dire ? Prudent, je me rapprochais d'elle, humant son parfum exquis, et chercha à l'extraire de sa torpeur. Mais j'atteins une limite, ma douce me le rappelle ; sans même prendre la peine d'émettre le moindre mouvement, ses poils s'hérissèrent tandis qu'un grognement sourd faisait vibrer sa gorge. Je vois... ainsi ne se laisserait-elle pas faire aussi facilement... mais qui me dit qu'elle voulait vraiment que je me démêle pour ses beaux yeux ? Cette lueur malicieuse ? Mhmm... Je me suis battu contre de nombreuses créatures, mais jamais contre une louve, et ce n'est pas demain que je vais me laisser abattre par la gente féminine !

Ainsi, je tourna les talons pour mettre mon plan à exécution... et je sentis comme un regard perçant sur ma nuque. Elle me regardait, j'en suis sûr ! Et sans que je m'en rende compte, mon torse se bomba et ma démarche se fit plus solennelle et soigné... Par le grand Fen, mais je suis fou ? J'entendis un grognement saccadé dans mon dos ; elle s'amusait à me voir faire le beau devant elle et mes oreilles se plaquèrent inexorablement contre mon crâne. Quel crétin je fais... Pourtant, je ne perdis pas patience et je ne me suis pas éloigné de mon idée fixe. Ainsi, je revins à la rivière d'Oxa après un long moment d'absence, un lièvre mort pendant à ma gueule. Mon coeur se gonfla d'exaltation quand je vis qu'elle était toujours au même endroit ; elle s'abreuvait avec une grâce que je ne connaissais pas. Ses oreilles se dressèrent sur sa tête, elle tourna sa tête dans ma direction et aussitôt elle se laissa tomber au sol et se remit en boule, le visage toujours caché derrière sa queue... Je ne savais si je devais en être exaspéré ou m'en amuser... Elle pouvait faire mime de dormir, mais nous savons tout les deux qu'elle était debout sur ses pattes à mon arrivé...

Je tardais sûrement à venir vers ma compagne, car celle-ci releva furtivement sa queue afin de s'assurer que j'étais toujours là et reprit son rôle là où elle l'avait laissé avant mon départ. C'est à ce moment là que je compris... c'était un jeu. Elle me testait pour voir jusqu'où je pouvais aller pour ses beaux yeux. Si je ne l'attirait pas un temps soit peu, elle ne m'aurait pas attendu depuis tout ce temps. Cette simple idée me fit gonfler le torse et mon coeur s’accéléra d’allégresse. Oh ! Alors jouons, ma douce... Je m'approchais donc doucement de la louve capricieuse et sans attendre je déposais à ses pattes le trophée que je lui ramène. Elle daigna de relever sa queue, renifla un moment le lapin... et se remit en boule en lâchant un grognement sourd. Ah... Madame était de fines babines... A moins que cela était encore un autre test de sa part... Oui, pour elle, je lui ramènerais un bien plus beau gibier. Je la désirais ardemment, je la voulais pour moi tout seul... J'étais déterminé au point d'être parti durant des heures durant. Je devais lui ramener quelque chose égale de sa beauté. Ce n'est donc qu'à la tombée de la nuit que je revins, épuisé par ma traque et par cette envie irrésistible de la voir le plus vite possible. Durant cette longue chasse éprouvante, la crainte m'avait rongé l'estomac ; et si elle était partie ? Qu'elle s'était lassée de moi ? Mon coeur ne le supporterait pas... Cette pensée effroyable me fit avancer plus vite et je tirais de toutes mes forces le gibier que je traînais depuis un moment interminable. Le coeur battant, je me dépêchais de rejoindre la rivière d'Oxa comme si ma vie en dépendais.

Les esprits furent bien clément avec moi... elle était là, tournant et virant au bord de l'eau. Quand la louve sentit ma présence elle déposa précipitamment ses yeux bleus sur ma silhouette... jamais n'avais-je vu une telle crainte dans son regard, un tel soulagement... Elle couina et me rejoignis à une vitesse folle. Je n'eus pas le temps d'anticiper le moindre geste que sa langue se déposa sur mon museau. Elle couinait fort, me léchant d'une manière bien tremblante et hésitante, ne savant plus si elle devait frotter sa tête contre la mienne ou me couvrir de ses baisers...

Pardon. Je suis désolé. Ne pleures pas, tu vois bien que je vais bien. J'essayais tant bien que mal de la rassurer, couvrant son visages de baisers amoureux tandis qu'elle se collait à moi sans pouvoir arrêter ses couinements. Pardonnes-moi, je n'aurais jamais du partir aussi longtemps. Tu as dut bien t’inquiéter, imaginant mon cadavre dévoré par d'autres carnassiers à cause de ton caprice. Mais tu voies bien que je suis là. Je ne suis certes plus aussi beau qu'avant, ainsi couvert de boue et de sang de ma victime, mais je suis fort et déterminé... Regardes ce que je t'ai apporté ; le plus beau cerf qui ait croisé ma route. Je me hâta de l'éventrer sous tes yeux perçant et les boyaux furent expulsés de sa carcasse. Le sang se déversait dans une odeur qui excita tout mes sens. Sans attendre et combattant mon envie irrésistible de le dévorer, je rentra la tête dans son cadavre, cherchant un trésors digne de ta beauté.

Il ma fallut un petit moment pour l'extraire et je ressortis finalement de ses entrailles avec un air victorieux. Ma tête était couverte de sang, mais je tenais dans la gueule le cadeau parfait pour ma louve. Pris entre mes dents, j'exposais fièrement le coeur de l'animal encore juteux de son fluide vitale. Je frissonnais de tout mon être quand son regard d'un bleu envoûtant croisa le miens et quand je sentis sa langue se déposait sur mes babines avec une tendresse que je ne connaissais pas.

Que les deux lunes soient témoins de cette scène, de notre passion, et de notre union entre nos deux corps. Mais ça, c'est une tout autre histoire... Huhuhu !

Gros craquage avec réminiscences d'étude de la reproduction des poulpes et des champignons !
Amis du jour... Bonne nuit ! XD

Le goût du sang. C’était la seule chose qui éveillait mes sens. J’étais encore jeune. Une créature encore immature qui vagabondait sur son territoire en quête de nourriture… Le territoire ! Ça aussi ça m’importait beaucoup.
Et je m’étais taillé un petit bout de forêt à ma convenance, chassant sans hésitation ce qui y pénétrait, les dévorant si tel était possible.

Je connaissais chaque relief de mon domaine. Je savais où m’arrêter pour ne pas rencontrer mes paires. J’entretenais d’ailleurs une relation très froide avec eux. Ils ne semblaient pas m’aimer et je ne les appréciais pas non plus. Nos échanges se limitaient à de simples palpations lors d’une rencontre en frontière de nos terrains de chasse respectif. Le rapport de force aurait été trop désaventageux pour eux comme pour moi.

Mais revenons à ce sang. Celui de cet ours en l’occurrence. J’avais entendu cette bestiole hurler de satisfaction en égorgeant un daim. Désormais, c’était moi qui broyais ses os dans un grondement plaisant.
Le cycle de la vie.
Enfin… J’étais un super-prédateur. Et de ce fait, j’avais le droit à quelques raccourcis. Je mangerais la proie et le prédateur. Je n’allais pas laisser perdre un cervidé. Telle une caille, je couvais et écrasais le corps de l’herbivore alors que mes mâchoires broyaient le plantigrade.

Soudain, j’entendis un craquement qui ne venait pas de ma gueule. Quelque chose au loin. Quelque chose d’énorme. On avait pénétré sur mon aire, j’avais de la concurrence !
Mes tentacules sortirent ma seconde prise pour l’enfouir dans le trou béant de mon gosier avec les restes de la première. Mes sucs gastriques feraient le reste. Pour l’instant, l’heure était au combat.
Je ne me laisserais pas envahir sans réagir !

Mon corps glissait sur la couche de feuillage mort, mes racines griffaient le sol tellement elles voulaient faire avancer mon énorme carcasse sur l’humus. À chaque choc avec un arbre, je sentais la masse duveteuse sur mon crâne s’agiter et les spores fouettaient mon visage lorsque je reprenais la vitesse perdue et ce avec une facilité déconcertante. La joie de pouvoir à nouveau montrer toute ma puissance m’emballait. Les bruits de craquements étaient toujours plus distincts à chaque seconde s’écoulant.
Je sentais le sol vibrer sous ma course et m’aider à localiser ma cible.

Soudain, je sautai un talus et retombait en piquet sur la créature. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque mes tentacules s’enroulèrent autour des membres et de la tête de ce que je devinais comme étant un Gréor. Mais ma surprise ne fut pas plus longue que la sienne et ma mâchoire se referma sur le haut de son corps pour le broyer et l’arracher de la partie basse.

Je sentis les vibrations d’autres d’entre eux tout près et je me mis à battre l’air à l’aide de la moitié de corps toujours enserrée dans mes tentacules.
Ma gorge toute encombrée quelle fut hurla ma rage et je sentis des morceaux de chair et d’os s’échapper.
Il y eut un choc au bout de mes membres et je compris que j’en avais couché un d’un large revers. Mon corps le recouvrit rapidement à peine avait-il heurté le sol et sous mon poids et la traction de mes membres, je le sentis se désarticuler tandis que le troisième abattit ses deux grands bras sur mon crâne.

Toute la clairière devait être envahit de mes spores dans la cohue.
Finalement, j’avais vaincu. Mes crocs rongeaient, écrasaient, déchiquetaient et ma gorge grognait de satisfaction. J’étais repue pour plusieurs jours à venir. Pourtant, je n’étais pas tout à fait tranquille.

Qu’est-ce que cette famille de Gréor faisait sur mes terres ?

La réponse ne se fit pas attendre. J’entendis un léger fourmillement et je compris que quelque chose bougeait à côté de moi. J’avais du mal à ressentir ses pas : Nul doute que c’était un de mes congénères. Il s’était aventuré sur le nid de ces créatures mollasses aux bras pendant et avait dû écraser leurs œufs. Dans sa fuite, il aura atteint cet endroit et se sera fait rattrapé et j’étais arrivé au bon moment pour lui éviter de mourir sous leurs coups.

Soudain, je sentis quelque chose d’étrange en moi. J’entendais le maladroit remuer ses sacs à spores au-dessus de lui et s’approcher doucement de moi.
Idiots de mâles. Ils étaient pourtant si petits par rapport à nous, les femelles. Je n’avais qu’une envie, lui sauter dessus et lui faire comprendre qu’il était temps qu’il quitte mon territoire.
Mais nos spores se mélangeaient dans les airs et retombaient sur nous. Je sentais leur évolution sur ma cime, leur mycélium me recouvrit et pénétra en moi. J’étais plongée dans une torpeur stupéfiante. Il s’approcha toujours aussi doucement et mes grognements intrigués n’y changeaient rien. J’étais arrivée à l’âge de procréer et il l’avait senti alors que je lui montrait que j’étais une digne représentante de notre espèce.

Je sentis un de ses tentacules à la forme spéciale se glisser entre les miens et pénétrer mon intimité. Mon corps se contracta et son membre céda avant qu’il ne s’éloigne doucement. Je ne devais plus le revoir mais bientôt notre propre progéniture germera au fin fond de mon territoire, dans une terre riche du sang de mes proies que je chasserai encore longtemps avant que l’un d’eux ne prenne ma place et ne dévore ou ne chasse ses frères et sœurs.

Le cycle de la vie et nos raccourcis…

Parce que faut bien marquer le coup, donc j'offre une maigre participation... et je ferais très court et neuneu! loool

" Le Marais Brumeux. Il n'y a pas plus bel endroit dans notre forêt, c'est parfait pour y fonder une famille : c'est humide, sombre, chaud, boueux, cela regorge d'insectes en tout genre et autant dire que l'on peut aisément se faire plaisir sans se fatiguer à courir après un moustique dans ce coin là. On ne mourra jamais de faim dans le marais brumeux. Il y a aussi toujours un creux dans les racines des arbres pour se mettre à l'abri. C'est parfait pour se cacher des agaçantes créatures qui rêvent de nous croquer, et c'est parfait pour une belle compagne et des futurs petits têtards. Seulement, c'est un endroit tellement parfait qu'il y a plein de Bublu comme moi, et ça, ça veut dire aussi beaucoup de concurrence. Cette année va être particulièrement difficile parce que j'ai vu beaucoup de mâle et peu de jolies bublus femelles. J'espère vraiment réussir et ne pas rester tout seul.

M'enfin, il faut dire que je me suis entrainé!!! Je sais que je ne suis pas le plus beau bublu. Mon coassement n'est pas très grave, il sonne même un peu faux parfois. Je ne suis pas très large et ma peau ne luit pas autant que certains mâles. Pourtant, moi, je suis bon chasseur, je connais les bons coins!!! Mais surtout j'ai un bon souffle! On ne le dirait pas mais je suis capable de me gonfler longtemps et de léviter pendant dix minutes entières!!!! Savez-vous que la plupart des autres bublus ne tiennent que cinq minutes! Moi, je suis un athlète, même si cela ne se voit pas. Une fois, j'ai même été bousculé par un géant à deux pattes - ils sont vilains d'apparence ces créatures là - et j'ai tenu bon, sans lâcher prise. Il faut dire que pendant que je chassais, parfois après avoir gobé plus d'une mouche, je m'entrainais. Je tiens aujourd'hui la distance et je suis certains de pouvoir trouver une jolie femelle.

J'en ai d'ailleurs repéré une, mais je ne suis pas le seul bublu du marais à vouloir la séduire. Oh! Attention messieurs!!! Vous êtes tous peut-être de gros bublu luisant mais moi, je suis le plus léger et le plus endurant! Autour de la jolie femelle, nous étions trois bublus. Nous nous sommes tous les trois regardés et nous nous sommes gonflés tous les trois en même temps. Le plus gros ne lévitait pas très haut, le second me dépassait de quelques millimètres. Mais ce n'est pas la hauteur qui est importante, c'est la tenue!!! Le plus gros a d'ailleurs lâché rapidement prise et je crois qu'il est partie séduire une autre femelle rapidement.

Ce qui est agaçant quand on se gonfle, c'est qu'on ne voit pas la femelle en contrebas. Nos joues sont tellement pleines que l'on ne peut rien voir si ce n'est ce qui se tient devant nous. Mais à un moment donné, après cinq minutes de lévitation, mon rival a tenté de me bousculer avec son gros ventre pour me déstabiliser. Il a raté! J'ai déjà subi un entrainement moi! Lui, il s'est dégonflé parce qu'il a pas supporté le choc! Quel nul! Moi, je suis resté et j'ai tenu.... dix minutes. Mais je me sentais un peu seul en lévitation et j'avais peur que la femelle soit partie. Je ne la voyais pas en bas et je ne l'entendais pas non plus. Est-ce que je faisais tout ça pour rien? Mais brusquement, j'ai senti quelque chose me bousculer derrière moi et je me suis retourné. C'est là que je l'ai vu, la jolie bublu. Elle a décidé de me rejoindre. Nous sommes restés quelques secondes en lévitation et on s'est amusé à se bousculer jusqu'à ce que nous n'ayons plus de souffle. Je crois que je lui ai fait une bonne impression. Je suis vraiment un tombeur.

En attendant, une fois que j'ai retrouvé le sol de mon marais brumeux, ma jolie bublu m'a coassé dessus pour m'inviter dans son coin de racines. C'était sa maison. Elle était vraiment jolie ma bublu, même de dos, même son cri, même sa peau visqueuse. Je l'ai bien choisi. Je crois que nous ferons de formidables têtards et je pourrais apprendre à mes petits l'art gonflé du bublu. Mais avant ça, je dois me mettre au travail! C'est dur la vie d'un mari bublu. "

Woa ! Bah ça été dur mais mon vote est allé au spectre rejeté.
Je suis un inconditionnel de loup mais c'est ainsi.^^ Mais j'adore le tiens aussi Aliénor.

Mention spéciale pour Calixte ! Pourquoi à chaque fois qu'une fille qualifie parle de cucul, je ne lis que du cul ?

Citation :

c'est parfait pour y fonder une famille : c'est humide, sombre, chaud, boueux, cela regorge d'insectes en tout genre et autant dire que l'on peut aisément se faire plaisir sans se fatiguer à courir [...] ma jolie bublu m'a coassé dessus pour m'inviter dans son coin de racines [...] je dois me mettre au travail! C'est dur la vie d'un mari bublu.

Et remarquons cette formule revisitée :

Citation :

Mais ce n'est pas la hauteur qui est importante, c'est la tenue

Bravo à toi !

Mais mon préféré reste Jonas.. Cette action, ce courage, cette scène de... Woa ! Pourquoi n'ai-je pas voté pour lui déjà... ?

N.B. C'est moi ou nous nous sommes tous travestis pour ce concours ?

Veto, t'es crade x)

A voté

Veto => Tu as un esprit tordu!! Je ne me serais jamais permise de faire des allusions aussi douteuses!!!

Oh mon Dieu Veto ! Tu m'as tué ! Je ne verrais plus le texte de Calixte comme avant ! xD
Alors les participations étaient tous d'allusions perverses attrayantes et ça était un plaisirs de vous lire tous o/

Ça était difficile de choisir entre Jonas et son délire (Voui ! Il la fait ! Il nous a fait la reproduction d'un Carnéa xD !) le texte cute de Calixte (J'ai vraiment pris un plaisirs à lire ce texte ^w^) et l'originalité de Kalysta (Franchement, je m'attendais pas à cette fin ! xD)

J'ai fait cependant mon choix et j'ai choisis Kalysta, par l'originalité du bestiaire et de cette fin qui m'a agréablement surprise ^w^
En tout cas, ça était un chouette concours !

Vrai que c'était difficile de faire un choix !
Ils étaient tous très bien avec des styles bien différents ^^

Bravo à tous !!!!!!

Bravo tout le monde !
(Même Calixte aura droit à une petite récompense : Poutou Powa !)
Je veux savoir ce que Jonas choisira comme photo/dédicace !

Calixte prend généreusement tous les bisous qu'on lui offre!!! loool

Je voudrais la photo dédicacée de Kalysta ! J'ai de grands projets pour cette petite !

Et tu la veux comment Kalysta?
Je peux te faire un forfait rouquine sculpturale ^^

Je la voudrais plutôt telle qu'elle se serait présentée aux Nérozias. C'est pour un RP que je ne tarderai pas à te proposer avec Jonas puisque, si j'ai bien compris, tu fais partie de son département.

*Signe la photo*

Tiens ^^

Je te contacte par MP pour le reste (grand canaillou )

Veto prend la photo et s'incline respectueusement.
"merci. Je lui transmets."

Jonas prend la photo brutalement, la regarde à peine et la jette sur son bureau sur une pile de rapports avant de se tourner vers la fenêtre pour reprendre ses réflexions.

l'auteur remercie avec un sourire ! ^-^"