Yargaïl Valrok

Sujet: Yargaïl Valrok Jeu 4 Juin - 21:25

QUELLE PERSONNE ES-TU ?
Toi qui voyage sur ces terres oubliées

Yargaïl Valrok
" Des problèmes? Je suis la pour ça..."

S Eclipse , Je cache pas mal de lumière...
A 34
S Masculin

P Terran
C L'ordre d'Oris
M Bucheron/Forestier

• • • • • • • • • • • •

A
Une hache qui sert surtout d'outil

D
Agilité développée / Grande adaptabilité
P
-Force sur-développée : Yargaïl possède à la base une force physique bien conséquente pour un terran. Son métier et surtout sa corpulence naturelle l’ont beaucoup aidé. Cependant, lorsque l’adrénaline est au rendez-vous ainsi que la volonté. Yargaïl peut accomplir des prouesses hors-normes.

Endurance Sur-développée : Son père lui à toujours appris à ne jamais baisser les bras, à toujours se relever et à aller toujours plus loin et plus fort. Ces conseils ont fini par offrir à Yargaïl la possibilité de s’épuiser moins vite et de mieux endurer les maux.

Corps d’acier : Yargaïl peut contracter son corps et ses muscles jusqu’à devenir aussi solide que l’acier devenant également plus lourd. Il lui a fallu beaucoup de temps à comprendre cette capacité qu’il jugeait totalement normal.

S

-Combattant d’exception : Yargaïl se battait souvent. Non pas dans les rixes des tavernes ou autre lieu propice à ce genre d’attitude. Mais plutôt à protéger ses biens contre des pillards ou des saboteurs lorsqu’il exerçait son métier.

-Maître d'arme : Yargaïl a passé sa vie avec avec une hache dans les mains au point qu’il ne la quitte pas. Avec son père il connu les bases du combat et dans ses moments de solitude il ne s'épargna pas de les développer sur les armes qu'il avait à sa porté

• • • • • • • • • • • •

Décris-moi comment je te vois...

Yargaïl est un colosse de 218cm pour 152kg. Son corps est dessiné par des muscles conséquents, mais qui lui va bien. Non seulement il est reconnaissable par sa corpulence, mais également avec son accoutrement. Passant ses jours hors des villes, il est souvent vêtu d’une simple cape en laine sur ses épaules tenu par deux épaulières croisant son torse nu par des lanières de cuir. Les mêmes matières recouvrent le reste de son corps, lui laissant une sensation aisé de ses mouvements. Son visage est reconnaissable par des cheveux en nuque longue, coiffé en arrière et une petite barbe venant cadrer sa tête. Appart lorsqu’il travaille, il reste propre sur lui. Pour le moment, il n’a rien d’un homme d’Oris, n’ayant pas officiellement intégrer la caste, il se disait simplement qu’il n’avait pas besoin d’une jolie armure pour rendre justice.-

Décris-moi comment tu penses...

Il n’a peut-être pas l’air d’un justicier pourtant toutes les vertus sont là. Très attaché à ses parents, il reflet son éducation à la perfection. Il est très humain, la rigolade fait partie de son caractère. Autour d’un bon feu de camp, dans une taverne chaleureuse et entouré de gens tout aussi intéressant. Il est bon, il chaleureux, il est droit, juste, consciencieux et déterminé. Il aime les gens et la vie et tout le monde a le droit de vivre et d’avoir la chance d’avancer. Mais malgré tout cela, il est quelqu’un de meurtri, suite à la trahison de son groupe et à la disparition de ses parents. Lorsque la solitude le guette, il rouvre son cœur pour y pleurer ses souvenirs et ses secrets qui deviennent trop lourd à porter. Il aimerait refaire partir d’un groupe mais le craint également.

Raconte-moi ce qu'a été ta vie...

« Tu peux les sauver Yargaïl…tu peux tous les sauver… »

Cette phrase fit frissonner le bucheron alors qu’il avait les yeux fermés quelques secondes. Il roula ses épaules comme pour laisser partir une sensation désagréable avant de reprendre le travail. Mais rien ne pouvais empêcher les penser d’Yargaïl de revenir au galop à chaque fois qu’il fendit sa hache sur les buches. Ce jour-là, il était seul au camp, une zone près de Dolma ou le terran avait prévu de supprimer les arbres dangereux pour les promeneurs et de replanter de nouvelles pousses. Dans le bois silencieux serpenté par le fameux chemin, on pouvait entendre le fer claquer contre le bois. De temps à autre, le rythme s’accéléra ponctué par un cri roque et fort suivi d’un grand silence avant que le cycle reprenne. La solitude était un privilège pour Yargaïl, ça lui permettait de se laisser aller, d’accepter que lui aussi pouvait avec des moments dur. Et depuis cinq arbres, il ne songeait qu’à ses parents. Oui, il s’en rappelait d’eux dans les moindres détails.

« Maman…Papa… »

Lors de la fin d’un des cycles, il s’observa dans la lame de sa hache et vit les traits de ses parents. Ses cheveux, ses yeux. Sa mère les lui avait offerts. Elle était quelqu’un de droit et paraissait réfléchit même si dans son regard on pouvait voir toute la douceur du monde. Ses conseils, ses astuces lui avaient était transmis. Lorsqu’il inclina sa hache pour voir d’autres traits, il ne put s’empêcher de sourire. Le bien émanait de son père, la joie de vivre, tout ça qui lui tenait en héritage. Il lui disait toujours de se tenir droit et solide. Par Bor ! Ils leur devaient tant ! Et surtout la vie ! Miranda et Edalion formait un couple parfait. Ils étaient les meilleurs amis du monde, des amoureux de premiers instant et le tout uni par une alliance qui les avaient unis pour l’éternité. Dans cette atmosphère, naquit le grand Yargaïl. Grand car dès sa naissance il paraissait robuste et grand. Les premiers pas lui donnèrent le plaisir de suivre son père dans les champs sur la trace d’un fermier. Il se souvenait qu’il tachait d’aider un maximum son père afin que celui-ci ai plus de temps à lui consacrait. Ils passaient beaucoup de temps ensemble, mais le meilleur lien furent quand ils partagèrent une tâche. Lorsque le muret de pierre s’écroulait derrière la maison, on voyait Edalion passer avec une brouette de pierre suivi de son fils qui lui n’avait qu’une seul pierre dans la main, jamais il n’avait failli à la moindre tâche, jamais il abandonna son père. Au point que c’était Miranda qui venait prendre son trésor dans ses bras alors que celui-ci s’était endormi derrière la brouette ou dans l’herbe en dessous du grand chêne. A cette pensée, il ne put s’empêcher d’avoir un regard doux et attendrit. Sa maman compléter son être. Elle avait toujours les mots qui fallait, elle était toujours là à temps pour prendre soin de ses aimés, grâce à elle Yargaïl avait appris à s’évader à se concentrer uniquement sur ce qu’il voulait vraiment et ce que le petit voulait par-dessus tout, c’était protéger cette dame qui lui avait donné la vie.

« La ligne… »

Rangeant les stères dans la charrette, Yargaïl observa un instant son camp. Tout était rangé, propre, organisé. Il n’y avait que lui qui transpirait et était sale, il n’avait même pas remarqué qu’un petit éclat de bois s’était logé sur le tranchant de sa main gauche. Une goutte de sang coula et ce rouge le plongé dans un autre souvenir. Cette fois, il était un peu plus âgé, il devait atteindre ses 16 ans, les 86 kg et les 175 cm qui allaient avec. Edalion lui avait parlé de ce qu’un fils représenter pour un parent. Que normalement les enfants pouvaient devenir meilleurs que les ainés en observant leur erreur, leur objectif et leur ambitions. Depuis cette conversation, Yargaïl voulu être bucheron et forestier tout simplement pour imiter son père qui cultiver les petits légumes et que lui aurait à faire à de grands arbres majestueux. Cette image lui faisait sourire une fois la goutte de sang effacé dans la bouche. Miranda avait eu la connaissance d’un forestier qui accepta volontiers de montrer la voie au petit. Le bois qui bordait Dolma était pas loin de la ferme ainsi il n’était pas dépaysé. Le plus fou dans cette histoire est que l’apprenti bucheron revenait du travail pour continuer à cultiver la terre avec son père. Par culpabilité de l’avoir laissé tout seul à la tâche ? Pour pouvoir conserver ce lien qui les unissait ? Mais la fierté d’Edalion pour son fils ne faisait aucun doute. Il savait qu’Yargaïl allait devenir un sacré bonhomme ! Alors que le bucheron s’essuya les mains sur un vieux chiffon encore plus sale que lui, il remarqua sa hache encore planté dans le billot, en s’approchant d’elle, il se rappela du jour où il comprit que les outils n’étaient pas tous destiné à construire, mais aussi à détruire. Un soir ou Doroma commençait à s’ensommeillé, Yargaïl rentra de son travail, quelques semaines après qu’il ait commencé son nouveau travail. Au loin, il vit Edalion et Miranda repousser des maraudeurs venu en quête de quelques noirceurs à accomplir. Effrayait mais impressionné par ses parents, il courut vers eux une fois le danger écarté, au loin il vit les trouble-fêtes s’enfuir, aucun n’avait était tué, tout juste blessé. La mère avait commencé à expliquer ce qu’il venait de faire. Ils protégèrent la maison et les biens. Faire à comprendre à leur fils ce qu’était la différence entre le bien et le mal ainsi que la valeur des choses fut aisé. Cependant Edalion craignait que son fils veuille lui aussi apprendre à se battre ainsi il lui parla de cette fameuse ligne. Qu’il fallait jauger en fonction de la situation. Tuer quelques voleurs ne servait à rien, surtout que la milice travaillait déjà à les arrêter. Et petit à petit, Yargaïl reçu de ses parents une connaissance martial de base. Le fils fut surpris que son père connaisse autant de technique, à croire qu’il fut chevalier dans une autre vie. Même lors de son passage dans la milice de sa jeunesse, jamais son fils n’aurait imaginé ça.

« Pourquoi … ? »

Yargaïl leva sa hache et la posa un instant sur son épaule le temps de saluer un groupe de promeneur qui passait par là. Ils étaient de simple connaissance de Dolma. Le bucheron les suivit du regard avec un sourire au coin jusqu’à ne put les voir. Bien qu’il aimait la solitude, il n’était pas seul tout le temps, il fut même à une époque ou il faisait partit d’un groupe de copain. Cette pensée le poussa à poser sa hache en équilibre sur son front droit à la verticale se replongeant à ses 24 ans. Dans un groupe, on retrouvait souvent le même type de personne. Le petit, le génie, le grincheux, le costaud etc… . Avec ses 214 cm et les 145 kg, Yargaïl fut évidement le type costaud de la bande. Les copains étaient issus de la forêt également. A force de voyager dans les environs de Dalma et de la grande cité de Tyrhénium, il s’était créé un cercle d’amis. Un Zélos, Mork, une Yorkas ,Jade et deux terrans, Jax et Ralf. Avec eux, il aimait bien s’afficher, faire des petites boutades sans jamais aggraver la situation. Ils leurs arrivaient même d’accompagner des voyageurs peu rassuré par la route sans jamais demander quelques chose en retour. Ils étaient jeunes et croquaient la vie à pleine dent. Alors que la hache retombait volontairement dans la main du bucheron, celui-ci serra la poigne très forte et contracta son corps sous une petite colère étouffée. Si aujourd’hui il était seul c’était bien à cause de Hulif qui a déboulé dans sa vie. Un soir au campement, lorsque la bande était réunie, un homme apparut derrière un arbre ombragé. Il avait l’air frêle mais son regarde rougeâtre annonçait rien de bon, méfiant, mais généreux, Yargaïl l’autorisa à s’approcher du feu, cet homme passa tout son temps à parler des erreurs de justice, de ceux qui profite des lois pour s’enrichir et corrompre, jusque-là tout allait bien, mais au moment ou il disait avec besoin de jeune gens comme cette bande, Yargaïl commençait à arquer un sourcil. Hulif avait des projets qui ne plaisaient pas au bucheron, agir contre les lois n’était pas dans sa nature et ce fut à ce moment-là qu’Hulif prononça le mot Nérozia. Il vit à ce moment-là une étrange lueur dans les yeux de ses amis, ils refusèrent l’offre également mais on aurait dit à contre cœur lorsqu’il vit Yargaïl bondir pour chasser ce vil du campement. Hulif disparut après avoir proférer des menaces. Une dispute s’attisa parmi le groupe. Jade argumentait sur ses origines pauvres à cause de gens qui ont de l’influence et qui ferme les yeux sauf sur leur propre fortune. Mork évoqua toutes les fois où son apparence l’avait empêcher de recevoir les même services qu’un homme moins agressif visiblement. Les deux Terrans critiquèrent des méthodes employé par Tyrhénium pour s’occuper de la société. Le colosse les écouta tous, mais conclu vite que ce n’était pas en agressant ou en tuant qu’ils arriveraient à changer les choses. La conversation se tut lorsque Yargaïl se retrouva seul devant le feu de camp. Pourtant il leur avait expliqué ce qu’était les Nérozias.

Au fur et à mesure ses amis semblaient étranges comme tenter par cette offre malgré les mise en garde du bucheron. En avait ils assez de s’occuper de la forêt ? De manger tous les jours la même chose ? De n’avoir qu’une petite bourse ? Yargaïl ne leur avait pas montré ce qu’est d’être heureux ? Il ne serait le dire et tout ça le minait petit à petit. Par la suite Mork failli tuer un client mécontent, sans l’intervention d’Yargaïl, il serait mort étranglé. Mork était connu pour son tempérament fougueux, mais jamais à ce point-là. Et puis jade, elle qui n’était que panthère tout aussi belle et tendre, elle se laissé aller à quelques petits larcins. Encore une fois, Yargaïl remettait le matériel volé à leur place sans créer d’avantage de problème. Jade spécifiée qu’elle en avait terriblement besoin, mais quand des objets tels que des bourses et des pierres précieuses arrivaient dans ses mains, Yargaïl ne fut pas plus convaincu. Quant à Jax et Ralf, ceux-là éviter tout simplement la compagnie du colosse. Eux qui ne pouvaient pas rester une seul journée sans le suivre pour profiter d’un moment de rigolade. Un soir alors qu’il finissait la livraison de légume pour son père à Tyrhénium. Il aperçut ses camardes dans une impasse avec Hulif. Que faisaient-ils-la ? Yargaïl s’approcha d’eux et interrompu leur conversation en s’imposant devant eux. Yargaïl énuméra leur mauvais comportement, comment ont-ils pu se laisser manipuler ainsi ? Et un Nième désaccord explosa.

« Hulif à raison ! Nous devons agir contre cette société qui nous vois comme des fourmis ! Tu es le seul à ne pas le comprendre ! C’est à cause de tes parents ! Ils t’ont montré cette moral stupide qui te fait croire que tout est beau et enviable ! Mais sache que tes parents contribuent à ce que nous combattons ! Ils sont tout aussi pou… »

Ce fut le mot de trop de Ralf qui se prit un revers de main assez fort pour l’envoyer s’écraser sur le côté. Ce geste, aussi émotif, fut-il, annonça la définitive rupture entre Yargaïl et son groupe. Dans l’instant qui suivi, il se retrouva tout seul. Mork avait cueille Ralf et tous quitta la scène sous les indication d’un Hulif fier et malicieux, marmonnant que ce n’était pas encore le moment. Le forestier abattus pas tant d’évènements déambula dans les rues de Tyrhénium, il finit par dormir à l’Auberge Pourpre.

« L’ordre d’Oris ! »

Yargaïl relâcha sa hache et la laissa tomber lourdement sur le sol avant de s’approcher du feu qui s’était rallumé timidement, son regard se perdit dans les petites flammes avant de les écraser sous sa botte et comme percutait par une pensée, il observa sa main droite et l’allongea sur son cœur. Au matin, Yargaïl discuta à une table avec un de ses clients habituels. Sans évoquer l’incident de la veille, il posa des questions sur les Nérozias, leurs derniers incidents. La discussion vint s’interrompre lorsqu’une villageoise cria au feu dans la rue. Curieux, mais surtout prêt à prêter main forte, Yargaïl s’élancer vers le feu qui semblait envahir un dépôt. Rapidement une chaine transportant de l’eau se mobilisa et étouffa rapidement une grande partie des flammes. Une voix masculine cria depuis l’intérieur. Etant le plus prêt, Yargaïl se renversa plusieurs seau d’eau sur la tête avant de s’enfoncer à travers le bâtiment prêt à s’effondrer. Le colosse se trouva face à un homme à l’armure éblouissante et au symbole d’oris. Epée dégainé, il protéger deux enfants qui étaient venu jouer dans le foin. L’homme était griffé à plusieurs endroits, et semblait ne pas pouvoir bouger entre le danger des flammes pour lui et les enfants et contre cette panthère qui leur faisait face. Jade tenta de s’enfuir lorsqu’elle reconnut le colosse, mais celui-ci bondit sur le félin l’écrasant de son poids, touché à la patte, l’adrénaline de jade griffa Yargaïl et finit par s’enfuir. Voyant que le chevalier semblait à nouveau maître de la défense des petits et qu’ils pouvaient les faire sortir, mais alors qu’il allait suivre la Yorkas, un mur craqua sous le restant de flammes et pencha sur le sauveur. Yargaïl prit l’initiative de lever les bras et de retenir le mur criant aux autres de sortir. Une fois seul, le colosse sous l’effet de l’intensité de la situation bouilla, il lui en voulait. Il devait la rattraper ! Le mur devint trop lourd et c’est tout le dépôt qui s’effondra sur le forestier. Inquiet, les habitants s’empressèrent de retrouver le corps, le chevalier en tête. Mais Yargaïl sortit de lui-même en projetant des débris autour de lui. Il avait des petites brulures et beaucoup d’éraflure sur la peau, mais il semblait ne pas s’en soucier. Ni une ni deux, il se mit à courir afin de rattraper Jade, elle ne devait pas être loin, son pied blessé l’entravait. La confrontation se fit lorsque Yargaïl sortit des murs de la ville et que son « amie » lui sauta par derrière tentant de l’étrangler. D’une simple poigne féroce, il la ramena devant lui.

« Tu es conscient qu’il y avait des enfants la dedans ? »

« C’était le chevalier qu’on m’a dit de viser…les gosses…dommage collatéraux… .Vas-y ! Grand Yargaïl fait ta justice. Si tu veux m’arrêter il va falloir me tuer ! Traite le mal par le mal ! »

« Je n’agis pas comme vous ! »

Valrok l’assomma et la ligota jusqu’à l’arrivé du chevalier de tout à l’heure. Ainsi Yargaïl fut repérer par l’ordre Oris. Pour son courage, sa bravoure et surtout à son altruisme il fut pris d’éloge par le chevalier d’Oris auprès du Conseil. Lorsque la question fut poser, si Yargaïl voulait intégrer L’ordre d’Oris, celui-ci repensa à ses anciens amis en se disant que s’ils avaient choisi les Nérozias, lui se retrouverait face à eux parmi les chevaliers d’Oris.

Yargaïl se mit en tête de course pour guider les buffles pour commencer la livraison du bois. Ce bois, c’était pour ses parents, qu’il avait soigneusement mis à l’abri à l’intérieur des remparts de Tyrhénium. Ses parents furent attristés par le sort de leur fils, mais plus particulièrement fier de sa présence dans un ordre aussi prestigieux. Il devait maintenant faire ses preuves et montrer à tous, qu’il était un vaillant défenseur au service de la vertu. Il était là pour prouver qu’on peut faire bouger les choses sans utiliser le Mal. Il était là pour apporter l’espoir !

Sujet: Re: Yargaïl Valrok Ven 5 Juin - 10:33

Bonjour et bienvenue sur Istheria!!!

Que je suis heureuse de voir un chevalier de l'Ordre d'Oris!
Si tu as des questions, n'hésite pas à les poser ici-même ou directement à un membre du staff!

Bonne continuation pour ta fiche!

~ Sighild's Theme ~
See what I´ve become

† Image - Inconnu & Image - hgjart †

Sujet: Re: Yargaïl Valrok Dim 7 Juin - 16:14

Je penses que tout est ok, appart si vous voyez quelques chose, n'hésitez pas à me le dire.

Sujet: Re: Yargaïl Valrok Lun 8 Juin - 11:19

Bonjour Yargaïl, et bienvenue sur Isthéria ;)
Une jolie fiche, avec un personnage prometteur, j'espère que tu te plairas ici ! Quelques remarques avant la validation =P

Il faudrait d'abord que tu réorthographies "Dalma" (et non "Dolma") et "Tyrhénium" (et non "Thyrmenium").

Ensuite, à moins que tu fasses un rp solo après validation, il ne va pas être possible d'intégrer les chevaliers après ta fiche. On a bien Hécate qui fait partie de l'ordre mais elle n'est pas encore validée, donc tu n'auras pas de maître joué =)
Je te conseille d'insérer ton intégration chez les chevaliers dans ta fiche, ce sera plus pratique et on pourra vraiment te compter parmi eux, parce que là, officiellement, tu es un civil.

Après, la fin de ton histoire pose un peu problème (du moins à partir de l'arrivée du méchant), dans le sens où tu as mis en place ton affaire avec pas mal de manichéisme. D'un côté y a le méchant qui pervertit les amis de Yargaïl qui deviennent des vils bandits qui n'aiment pas les lois, et de l'autre les honnêtes parents de ton héros, et ton héros qui tente de réparer toutes les injustices de ses amis façon bonne poire parce que c'est un être dit "moral" x) Alors je comprends bien que pour intégrer l'ordre d'Oris, il faut avoir des principes et un code d'honneur, mais Isthéria n'est pas faite de gens parfaitement bons et de gens parfaitement mauvais xD
A mon avis, il serait bon de nuancer ton intrigue d'une manière ou d'une autre. Par exemple, ton méchant pourrait être un Nérozia qui a des ambitions révolutionnaires comme ses congénères et qui veut renverser le comte du coin, parce que les gens souffrent de taxes lourdes du fait d'une mauvaise année de récoltes, par exemple, je ne sais pas - et ça justifierait que Jade, par exemple, en vienne à commettre des larcins pour subsister. Les amis de Yargaïl ne peuvent pas changer radicalement de route comme ça, juste parce qu'ils croisent un type qui leur dit "voler c'est bien, ça met du beurre dans les épinards, et tuer, hé ben, ça te met un p'tit coup de fouet d'temps en temps!"
Ca va, tu me suis ? x) Si t'as des questions, n'hésite pas!

Enfin, une fiche plus lisible et réservée aux chevaliers est mise à ta disposition (le code est facile à remplir). Tu peux garder celle ci si tu préfères, à ta guise, mais c'est histoire que tu le saches ! ;)

Bien, c'est tout ce que j'ai à dire, il me semble, hm.
Bon courage pour les reprises, et sollicite-nous si tu as besoin d'aide !

Sujet: Re: Yargaïl Valrok Sam 13 Juin - 10:48

Bonjour!!!!

Il semblerait que les modifications demandaient par mon collègue ont été faites et c'est donc avec plaisir que nous te validons!!

Fiche validée

Tu vas pouvoir faire une demande de rang personnalisé dans la zone évènementielle et te recenser.

Tu pourras aussi ouvrir ton compte en banque, ton journal, ta boîte aux lettres ainsi que ton inventaire!

Bienvenue parmi nous!

~ Sighild's Theme ~
See what I´ve become

† Image - Inconnu & Image - hgjart †