[-18] Dans le sang d’un pacte

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 [-18] Dans le sang d’un pacte

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Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: [-18] Dans le sang d’un pacte   [-18] Dans le sang d’un pacte Icon_minitimeDim 24 Jan - 16:33


Ceci n'est pas un conteste de coté malsain,
C'est juste une façon plus Franche de voir le Duc de Seh,
Les post qui suivront seront donc d'un sanité incertaine, merci d'en prendre compte.



-------------------------------------------------




Introduction du nouveau ancien pouvoir du Duc,
Et de ses hommes de main,
MangeCoeur.



Dans le sang d’un pacte, le souvenir est là. Dans le rêve d’un instant le souvenir est las. Mais n’est las ce qui est et ne peux être que ce qui, là, reste, alors tergiversé n’est qu’un comte incertain digne d’Oniros. Alors à quoi bon si ce n’est qu’il dort, qu’il dort et qu’il rêve doucement, avec une violence doucereuse.

Il dors et ce souvient de son passé incertain, perdu dans les âges oublié il entend un voix si délicieuse qu’elle râpe avec rages sur les parois de la grotte, du palais féérique où elle règne, quelque part dans ces montagnes, quelque part dans un temps bien avant la guerre, dans un temps où les hommes étaient encore faible et l’on pouvais sortir entier tant que l’on ne rencontrait pas les immortels ou leur suppos.
Elle parle, elle susurre et marmonne dans les échos d’un temps, un murmure guttural des échos dans le temps déformé par la mémoire imparfaite d’un homme qui a souffert dans les geôles indigne d’un homme de son rang, pour ses yeux et leurs pouvoirs. Mais pour une fois la rage n’arrive à faire barrage, pour un instant le flux de cette rivière folle que son les souvenir remontent en masse et comme il se doit, le noie, le noie sans considération dans ces chuchotements indues d’où sortent des phrases qui s’assembles en un bancale poème, poème qui marche sur ces pieds et tombe puis roule de vers en verset et de verset en rêve … Il roule et s’explose dans l’esprit endormit, s’explose et s’inscrit dans un pentacle incertain qui ne devient certain que lorsque l'on le lit.

Dans la sueur d’un réveil, le corps nue couvert d’un drap humide, son esprit percute les mots comme un tambour fou espérant le réveil :


“Dans un temps même donné il n’y a qu’un seul Seh,
Car le Seh est un Duc qui veille sur son domaine,
Et fait de ses brebis, ou au moins de certaines,
Des loups,
Qui veille sur ses pensées.”

“Mon maitre ? … Maitre vous …”

“Mange maintenant, mange mon fils, repaît toi,
C’est dans la chair de l’autre qu’on trouve sa force,
C’est dans la vie de l’autre que l’on façonne l’écorce,
C’est par les vies des autres que l’on forge la foi.”

“Mai … Au …”

“Apprend aux loups à vivre et à suivre tes dires,
Apprends leur qu’a jamais tu guideras leur désire,
Fait de tiens leur amours, leur foi, leurs espérances,
Et dirige leurs Ires car bien plus qu’un Duc, tu seras leur présence,
Dieu …

Dévore moi, mange et repaît toi car tu es fils …
Dieu …”

Mais sa bouche est bloquer, son sourire ne peux s’étendre, quelque chose, quelque chose le gène. Alors lentement il reprend ses sens, il respire doucement et sens ses croc allonger, agrandit par la présence de son véritable être perdu quelque part dans la douceur, l’odeur de son poison est là et dans ses sens l’extase d’un autre comme un doux parfum de fleur en été, comme ce miel que l’ont viens courir sur votre repas rissolant dans un feu de être, comme les merveilles de la première étoile dans le ciel du soir. L’extase, pure, plénière, follement entière que l’ont ne ressent que dans les bras d’un être aimer où en prise avec un doux venin, mais n’est-ce pas la même chose ?

Puis le reste de ses sans reviennent, sur sa langue le fer doucereux, presque acre qui ressemble âcre tabac rêveur qu’on ne peut faire sortir que d’une pipe longue à la fumé refondit par l’hiver et la neige qui vous entour. Sur sa langue ce rêve qui se retourne, comme un caractère connu et doux lorsqu’il entre en lui, coulant dans sa bouche assoiffée, et éperdu.

Si il avait eut des yeux il s’extasierait sur les arabesques artistiques du rouge carmin, ce dessin incertain et tout en rondeur qui ne peux être dessiné que par ces instant de lutte entre l’artiste et sa toile, une toile de drap blanc satin et de parquet de bois qui boit comme tous boivent le dessin parfait de cette danse.
Arabesque tournoyant comme la danse d’un sabre qui dessine à dessin sur les seins ou le signe les marques du sang chaud, refroidit par le venin carmin d’un démon assouvi.
Tout n’est qu’ombre, sang sur la neige.

Elle est là, lasse, la bouche entrouverte ne retenant plus ses fluides, les yeux légèrement révulsé comme une catin perdu dans l’étreinte, comme un déchet humain juste bon à … Juste bon… Alors la bouche du Duc se referme enfin sur un bruit sinistre d’os qui se broie et de cœur qui lâche dans la douleur plutôt que dans le poison. Puis entre un homme, son odeur est la même depuis des années, ce n’est pas un homme mais c’est son Œil, son œil et son ami. Quelque par dans l’embrasure de la parte il laisse entré son effluve, il est de sel et de bois, de chasse et d’éternité, il est Pha et ne dira que quelque mots :


-“Les MangeCoeur sont revenu, ils se rassemblent Monsieur, je vais envoyer quelqu’un nettoyer le drap, je laisse déjeuné en paix mais voici votre thé …”

Car il les sens, les anciens répondent à l’appelle, quelque chose raisonne en eux, les nouveaux vont pouvoir se joindre à eux, car ils sont revenu, redevenu MangeCoeur et envoyé d’un Duc fils de Fen et d’un démon.
Ils sont et seront toujours MangeCoeur, mais aujourd’hui leur Duc se réveille des acres doucereux du poison des hommes, il a enfin vaincu, maintenant, il n’est plus question que pour eux, que pour ces loups, que pour ses démons à lui de vaincre.
Car à jamais MangeCoeur.
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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: [-18] Dans le sang d’un pacte   [-18] Dans le sang d’un pacte Icon_minitimeMer 27 Jan - 12:49

Le gout de sel de la peau d’une femme qui à vécu l’extase avec vous, doux, rêveur, léger, et pourtant prenant, ce gout qui reste sur le bout de votre langue coincer par le sourire imbécile qui se dessine sur vos lèvres rougit de plaisir, ce gout, cette flagrance, est remplacer par un soupçon de musc de sucre, alors que les dents sont libérés, et qu’il peux enfin regarder devant lui laissant sa main sur la peau douce et gracile du sein à moitié dilacéré.
Un ins temps de tristesse, pas même une caudalie, pas même le temps de souffle, quelque par posé entre deux battement de cœur, quelques part dans un suc, alors qu’il percute les narines sensibles du maitre des lieux, une odeur de thé grillé qu’elle avait encore sur les doigts, elle faisait bien le thé …
Mais rapidement un autre souvenir vient le percuté de plein fouet effaçant la tristesse pour la remplacer par un instant de dégout, car il l’avait senti, cette nuit, alors qu’il travaillait, elle s’était lever de son torse et avait versé de l’eau dans son verre de vin avant de le boire comme si de rien n’était …

Un Château des cotes de Paramis, il avait huit ans, il l’imaginait d’une vermeille parfaite sur la jambe, les anthocianes bien réveiller par le soleil matinal de cette merveilleuse année, le plus marquant était son élégance presque canaille, pour un vin de huit ans c’était un exploit, mais il n’en était pas moins franc, noble et racé, le corps charnu et étoffé n’était ni acerbe, ni austère. Il ne méritait pas ce traitement …

Il tend le bras, et doucement porte la tasse de thé à ses lèvres, les feuilles ont été mise alors que l’eau étaient encore un peut trop chaude mais seul un palais comme le sien pourrait révéler ce genre détailles, pour le reste, il est presque parfait … Il allait falloir qu’il passe à nouveau du temps à gouter le thé des esclaves éduqué pour en trouver une aussi parfaite, une tare quand son temps est aussi cher. Mais une tare contre quoi ? Il se souvenait, il se souviendra… Un barrière de son esprit à été brisé en éclats, une barrière bien trop puissante qu’il avait érigé lui-même pour empêcher ses rats infâmes de toucher à ses secret, malgré ses yeux, malgré sa torture, il avait lui-même emprisonné cette parcelle de son âme, là, perdu, si loin et pourtant si près. Il savait que d’autres avait subit le même sort, Brom et Pha, mais bien d‘autres encore de ses hommes le savaient, il redevenait lui-même.


……………………….


Au centre du palais la grande pièce avait été ouverte, adossé à la roche d’où coulais une petite source chaude et soufré qui remplissait un grand bassin, sur le sol une mosaïque immense d’or et de smaragdin représentait la vue que l’on avait du château et des montagnes environnantes depuis la ville alors que le bassin représentait le ciel. Enfin dans la roche, au dessus était gravé le nom de tout les anciens MangeCoeur qu’Arghanat avait connu, quelle que fut sa location. Le nom de Brom était l’un d’eux, Pha aussi était présent, mais depuis des années plus aucun n’était marquer sur ces roches, car on n’était MangeCoeur que de titre, mais les choses redevenait normal, le Duc redevenait fils de Fen et d’une démone.

Au milieu de la pièce, debout face aux noms, il semblait regarder ces choses qui pour lui n’était que le noir d’une ombre commune au monde, grand et fin dans son armure reforger par Brom lui-même, il laissait ses cheveux flavescent cascader le long de son dos pour atteindre ses haches par-dessus ce long manteau où s’entrelaçait des fines pièces de métal souvent de titane couvertes à la feuille d’or sur un tissu émeraude. Dans son dos, légèrement derrière lui, l’un sous l’autre, ses deux eternels shamshir dont il ne se servait plus et pouvait être enlevé, mais au dessus trônais une place pour sa canne Tlaloc.

Doucement la pièce s’était emplit, sans un mot il étaient entré et avait fait ce qu’ils devaient, ils s’étaient placer en arc de cercle à coté de Brom de et Pha, certain chevauchaient depuis plusieurs jours, comme l’avait fait Brom, d’autre avaient simplement attendu que ceux qu’ont avait cru mort reviennent de la Plume et des contré éloigné où ils siégeait. Ils étaient là, tout les premiers MangeCoeur encore vivant, huit, les huit qui avaient survécu à la guerre et au temps. Ils étaient là pour l’intronisation des autres, et ce serait en premier lieu le tour de celle que tous appelait PetiteLune mais dont le nom était l’un de ceux de ces ancêtre, l’un de ceux écrit sur la pierre…

Dans une absence de bruit la lourde porte fut pousser et la demoiselle entra, comme son ancêtre elle était digne, Coyolxauhqui, un écho, un esprit de Lune, une de ces femmes que l’ont trouve parfois en Arghanat, la peau bien plus blanche que ne l’avait eut son ancêtre, resplendissante dans son armure d’or et d’émeraude, elle marcha jusqu’au maitre.

Elle n’était pas la première et ne serait pas la dernière de cette longue journée de rituel, mais c’est d’elle que nous retiendrons la marque.

Son pas s’arrête, le temps retient son souffle, et le Duc, sans se retourner, ouvre ses lèvres.

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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: [-18] Dans le sang d’un pacte   [-18] Dans le sang d’un pacte Icon_minitimeLun 8 Fév - 14:10


“Nous sommes un pour le désir du vent,
Nous sommes un par la voix de nos sang,
Marchons mes frères, les champs abreuvons de sèves.
Marchons mes frères, Pour que jamais le jour ne se lève,

Marchons, ouvrons le cœur qui nous maudit,
Marchons encore, du même pas, sur les corps ennemis,
Et toujours l’homme et le champ s’abreuve du même sang,
Car leur cœurs, leurs vicaires sont l’encre de nos chants.”

Doucement tous reprennent l’antienne, les hommes et les femmes assis là, les huit restants, mais aussi dans leur cœur tout ceux qui, quelques pièces plus loin sont allongés et essayent vainement de comprendre ce qu’ils sentent en eux, quelque part et partout, cette liaison avec le duc, cette sensation sous la langue qui n’est que suave rêve à la fois acre et sucré susurrant des murmures de douceur contre que le gout du fer … Mais malgré la puissance des volutes exquis qui les emplissent encore parfois quelques jours après, ce n’es sur eux que s’épanche autant le Duc que les événement de l’instant.

Car loin de toute afféterie indue ou inique, le Duc s’est penché vers sa petite Lune, et avec la délicatesse d’un amant, mais avec la même fièvre, à planté ses crocs de vouivres dans la peau perlé de la lune, juste à la jonction du cou.
Elle la tête en arrière s’approche de l’épectase, laisse la poison noir remonter le long de son coup décrivant des arabesques nébuleuses sur la peau qui palpitent sur la pâleur ouaté de sa peau parfaite. Les yeux mis clos elle goute l’extase de l’embrassé de son maitre aimé, collé contre lui dans une étreinte sans fin alors que son sang coule dans le siens, elle le sens palpitant comme cet égrégore qu’elle connait si bien et parcourrait déjà la première phalange bien avant de le voir.
Les mains réunit dans son dos elle sent les muscles qui roulent doucement, sous les plumes qui frémissent au rythme de ses respirations à elles, elle qui le croyait valétudinaire sent enfin toute la puissance qui gronde en lui alors que son corps pourtant si bien sculpté ne fait que la murmuré.
Quelque par elle sent cet être qui est bien plus un démon qu’un homme, mais un incube tout puissant qui l’a conquis il y a bien trop longtemps pour qu’elle renonce à cette douceur turpide dont elle flairait une panégyrie sans l’essence, sans les hyperboles ni ces choses sans sens, car elles ne sont véritable que lorsqu’on ne les croit pas. Alors le doux venin qui glisse jusqu’à son cerveau fixe ces idée dans le sacre et l’extase de la béatitude d’un instant damné.

Puis ses dents s’écartent emportant un bout de chaire ankylosé qu’il avale avec une noblesse étonnante alors que sur le bord de sa joue coule encore le sang de la demoiselle mêlé au sien.
Elle s’effondre retenu par ses bras qui la dépose sur un lit de coussin posé à quelques pas de là dans ce seul but, là son corps traitera le venin pendant quelques jours, puis, même si sa sensibilité sera exalté et ses mouvements encore lents, elle pourra retourner à l’entrainement. Alors à la fin de cette longue semaine, elle aura le plaisir de partager avec les autres une explication donnée par ceux qui sont déjà là, déjà ses Frères, suivit par un banquet illustre …

Il ferme les yeux, il est épuisé, il sait que jamais l’un d’eux ne suivra le chemin de l’Apostasie, mais il sait aussi que tous mourrons un jour ou l’autre et que ce jour là sera aussi dure que ceux qu’ils passent en ce moment pour son corps, alors il se remet à genoux devant la sculpture et laissant à ces hommes le plaisir d’amener la demoiselle dans une autre pièce il prie pendant quelques instants avant qu’un autre être ne vienne et que tout ne reprenne, ou qu’il doive retourné à des affaires bien plus pressentes …
Doucement il murmure à son père.
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