Les Non-classés :: 7/8 ::

Zoaniel est un sylphide d'une belle allure, comme on peut s'y attendre de la part d'un être de son peuple. Son enveloppe charnelle est celui d'un homme d'une bonne taille, virile d'après les caractères terrans mais dont le visage possède des traits fins et élégants. Il arborerait une chevelure noire, un teint pâle et des apparats nobles. Il est tout simplement ce que l'on pourrait appeler un bel homme.

Néanmoins, au niveau de son caractère, il se trouve être plus difficile à cerner. Bien qu'il soit un bon professeur, capable d'être compréhensif et patient, il est aussi capable d'être un homme froid. Plutôt pudique sur ce qui pourrait s'approcher le plus des émotions sylphides, il n'en était pas moins capable d'éprouver de la compassion, de l'affection mais aussi une forme de jalousie et de haine. Rares sont les sourires qu'il accorde mais tendre son ces derniers. Essayant néanmoins d'être le plus objectif possible, il fait partie de ses sylphides qui pensent que leur race prédomine sur les autres, mais n'en est pas pour autant un extrémiste.



Zoaniel est un sylphide de la haute société et un érudit comme beaucoup parmi les siens. Parmi les plus anciens, il est aussi un des professeurs sylphides qui enseignent les usages et les coutumes d'Istheria au nouveau sylphide arrivant dans le monde.

On ne sait que très peu de chose de sa vie personnelle, si ce n'est sa relation avec Calixte Telenna, sylphide qui a choisi la vie des Terrans plutôt que les siens. Il fut toujours étonnée par la force de caractère de la jeune femme qui n'eut jamais véritablement suivi le conformisme sylphide et dont la soif d'apprendre eut toujours été présente. Avec le temps, les deux jeunes gens devinrent proches, au delà des rapports simples de professeurs à élèves - puisqu'ils continuèrent à se fréquenter après que Calixte eut fini son apprentissage à ses côtés - bien que l'on ne put jamais définir la réalité de leur relation, bien qu'il y eut une affection évidente entre eux sans jamais en découvrir les limites.

Il était le tuteur de Calixte Telenna, pour en pas dire son professeur lorsqu'elle est "venue au monde". Il est le premier vers qui s'est tourné la jeune femme lorsqu'elle ressentit ses premières visions du terrible chaos que représentait la chute de Taulmaril mais il est aussi celui qui l'a empêché de divulguer sa vision de la destruction de la cité et l'aurait enfermé pour son "bien" d'après ses propres mots. Il aurait ainsi donc tenue "prisonnière" pendant une longue période pour l'empêcher de quitter la cité, tout en sachant qu'elle lui tiendrait rigueur de son geste, considérant son acte comme une trahison envers elle. Mais Zoaniel, dominé sans doute par son affection pour la sylphide mais aussi une certaine forme de haine envers les autres peuples moins évolués que leur espèce (parce que Calixte est fascinée par eux et qu'il estime qu'ils la vouent à sa perte) à préférer prendre cette dure décision et sacrifier ses rapports avec Calixte, plutôt que de la laisser partir de la cité pour aller guerroyer pour des êtres insignifiants. Mais il n'est pas impossible que dernière son choix, il eut aussi une intervention plus politique, mais on n'en connait pas l'étendu.

Lorsque la vision de la jeune femme se réalisa et qu'elle quitta la cité. Zoaniel n'eut plus jamais de nouvelles de cette dernière qui refusait de le voir, ou même de lui parler (il avait tenté pendant les premières années de reprendre contact en vain), même lorsqu'elle revenait de temps à autre à la cité de Cimmerium, puisque sa colère à son encontre ne l'avait pas quitté. En attendant, il continua à offrir son enseignement à tous les nouveaux sylphides mais avec beaucoup moins de passion qu'autrefois.

Personne ne connait réellement son identité si ce n'est les Herses de l'armée Hesperianne et le Roi lui-même. Elle porte en permanence un heaume orné de quelques plumes qui masque tout son visage. On sait que c'est le champion de l'armée et qu'il vaut mieux rester loin de lui. Le vainqueur du tournoi des tourelles est une figure parfois plus crainte que respecter en Eridania.



On ne la connait pas, si ce n'est les Herses et le Roi. La personne cachée derrière ce heaume pourrait avoir toujours été militaire ou avoir rejoint l'armée d'Eridania l'année passée. Sa nomination date de la réunification de l'armée l'année dernière. (Ce personnage est superposable à un autre personnage prédéfini pour peu qu'aucune définition ne soit contradictoire.

Alarik est un homme droit et juste. Il est d'une grande loyauté et est d'autant plus un guerrier aguerri. Il se montre très compatissant envers autrui, et un très bon instructeur. D'une patience rare, il est également un bon diplomate. Intelligent, il est capable de calmer les conflits avec finesse, se montrant très objectif. Mais sur un plan plus personnel, il est en réalité très timide et plus torturé. Il est notamment très injuste envers lui-même, ne se pardonnant guère l'échec. Beaucoup plus sentimental que les apparences et le sérieux qu'il se donne, il souhaite rester quelqu'un de bien et fort. Toutefois, il est des plus efficace quand il s'agit de prendre des décisions au nom de l'Ordre, et fait toujours passer le bien d'autrui avant le sien. Mais maintenant que la caste n'est plus, il a décidé de rejoindre l'armée d'Hesperia. Un soldat demeure un soldat.



L'unique chose que l'on sait de lui est qu'il avait un frère, à présent mort. Il se sent particulièrement coupable de sa disparition. C'est sans nul doute pour cette raison qu'il se montre particulièrement protecteur envers tous les innocents mais aussi ses propres camarades. Il se montre d'ailleurs particulièrement sévère quand ces derniers semblent prendre des risques inconsidérés, se moquant de leur propre sécurité.

Baltor est un homme très calme, maniant l'ironie avec une certaine forme de mépris. Il peut paraître bien dédaigneux au premier abord, et possède une grande confiance en lui-même, et bien peu envers les autres. Il est difficile de se lier d'amitié avec ce dernier qui se méfie beaucoup de ceux qui l'entourent, sa confiance est difficile à gagner. Toutefois, il demeure loyal et n'hésite pas à secourir son prochain, même si cela s’accompagnera toujours de remarques désobligeantes sur leur faiblesse. Aider les autres ne semble point le gêner, mais il a plus de mal quand il s'agit de lui venir en aide à lui. Même si son comportement aura l'air ingrat, il saura néanmoins s'en rappeler, et fera tout pour ne pas avoir de dette., et faire amande honorable.



Son histoire est totalement inconnue. On ne sait ni comment, ni pourquoi il a voulut entrer dans l'Ordre d'Oris. On ne connaît guère plus son passé mais il n'en demeure pas moins posséder des ambitions obscures.... Certains pensent qu'il agit comme un espion de Cimmerium... Et maintenant que l'ordre est dissout, de nombreuses portes s'ouvrent devant lui.

Une femme à l'apparence lumineuse mais qui est dramatiquement sérieuse. Elle ne semble guère capable de s'amuser, et n’adhère littéralement à aucun humour. Son air de joli cœur lui reste toutefois particulièrement utile car elle lui donne des airs délicats et ouvertes. Mais son attitude reste assez frigide. Elle déteste notamment tout contact avec des hommes sans sa permission. Mettez lui simplement une main sur l'épaule, et il y a de forte chance pour qu'elle vous envoie valser dans l'air, qui que vous soyez. Ceux qui trouvent grâce dirons-nous à ses yeux, sont les enfants et les femmes. Elle est assez froide mais dit toujours clairement ce qu'elle pense, sans véritablement chercher à mettre des pincettes.



Il semblerait que cette jeune femme eut appartenu autrefois à la caste des Eryllis, mais elle eut bien du mal à accepter le manque de position que prenait les amazones, coupées du monde. Avide de se rendre utile à son prochain, elle préféra donc quitter ses consœurs, subissant alors l'effacement sélectif de sa mémoire par Sighild, déjà chef de ses dernières. Ce fut après quelques années en tant que mercenaire qu'elle entendit parler de l'Ordre d'Oris. Séduite par l'altruisme de ces derniers, elle décida de rentrer dans l'ordre, y faisant ses preuves. C'est notamment grâce à sa dextérité et sa sagesse qu'elle finit même au rang de conseillère parmi eux. Mais voilà, l'ère obscure arrivant, la caste finit par se dissoudre pour de nombreuses raisons. La jeune femme en fut particulièrement déçue. Néanmoins, elle demeure
assez tenace pour ne pas se laisser abattre pour si peu.

Uriel est un jeune homme qui s'avère d'apparence assez taciturne. Il ne sourit que peu, mais il n'est pas un timide pour autant. Il est calme (du moins, il en donne l'impression), consciencieux et plutôt sérieux. Il est aussi loyal et fidèle, et sans nul doute entêté. Il n'apprécie pas faire les choses à moitié. Et sous ses allures serviles, il est capable de se montrer jaloux, et même un peu possessif.
Quant à son apparence, depuis qu'il travaille pour Deirdre, il est toujours impeccable et soigné. Cette dernière n'hésite pas à lui offrir d'ailleurs des vêtements de choix. (Ce dernier l'accompagne dans son travail, en conséquence, il doit être "parfait"). Bien qu'il soit jeune, ses cheveux sont particulièrement clair, quasiment blanc et un regard perçant. Il est difficile de savoir ce qu'il pense.



En ce qui concerne les raisons qui l'ont amener à vivre dans les rues de Tyrhénium, on peut tout imaginer.

Pour le reste, il n'avait pas plus de seize ans quand sa curiosité le mena sous la fenêtre de Deirdre. (voir Fiche Deirdre Luberym). Depuis ce jour, il est au service de la jeune femme qui subvient à tous ces besoins et vice versa. Elle lui a offert de nombreux enseignements pour en faire un homme accompli capable de côtoyer la bonne société.

Une belle femme, au port altier, la chevelure détaché couleur châtain. Un visage finement ciselé ainsi qu’un corps svelte avec des formes tout à fait séduisantes qu’elle sait mettre en valeur à son avantage. Habillée dans des habits luxueux. Des yeux bleus pâles. Une taille plus élevée que la moyenne des femmes terrans mais qui renforce son allure aristocratique et hautaine.
Arrogante, rusée, intelligente, belle, sûre d'elle, méprisante avec ceux qu’elle considère comme inférieur. Elle ne se laisse pas faire et remet souvent à leur place ses interlocuteurs subtilement. Malgré sa situation, elle ne semble pas changer de comportement. Parfaitement éduquée à l’histoire et à la politique, au protocole et à la gestion de son domaine, elle dispose d’une formation aux armes basique et s’est pris de passion pour la chimie et la confection de substances pour guérir ou tuer.



Héritière de la famille des Dragušin de par la mort de son frère ainé d’une chute de cheval lors d’une chasse à courre, celle de son autre frère d’une maladie foudroyante et de celle de ses oncles à la guerre dans l’ordre des Cavaliers de Sharna. Son père est vieillissant. Les alliés et soutiens de sa famille prennent peu à peu leur distance car il voit dans le fait que la future tête de la famille Dragušin soit une femme une vulnérabilité qui pourrait les desservir. La violence de Phelgra place Viktoria face à biens des menaces : enlèvement, mariage forcé, assassinats, invasion et saisie de ses biens et domaines.
Elle cherche à assurer sa position et ses intérêts particuliers par tous les moyens possibles et sans hésiter à écraser ses opposants. Elle n’est pas particulièrement intéressé par la politique nationale de Phelgra ou celle plus locale de Ridolbar tant que ça ne la touche pas personnellement.

Héritière de sa famille, ses oncles ayant péri en servant les Cavaliers de Sharna, son frère ainé ayant trouvé la mort lors d'une chute de cheval dans une crevasse lors d'une chasse à courre et son petit frère ayant succombé à une terrible fièvre. Le père se faisant vieux.







Personnage créé par Conrad Ravensberg

 


C'est un terran. Parfois. Au côté de Manat la danseuse, il est Hajr, le dompteur et cracheur de flammes. C'est en tout cas sa place dans la joyeuse troupe de saltimbanques qui touchée par une terrible fièvre a disparue pendant quelques jours.. avant de revenir sur les routes, plus en forme que jamais. Il parcours donc tout Istheria, en compagnie de ses talentueux camarades.

Spoiler:

Évidemment, Érèbe peut être qui il veut, quand il veut. Homme ou femme. Terran, Sindarin, Yorka, Zélos... Autant d'identités dont il peut se saisir selon les circonstances.

C'est un redoutable combattant et il ne renoncera devant rien pour accomplir la destinée tracée pour les siens. Il est loyal envers ses frères et soeurs. Eux. Sont tout. Sa famille, son monde, son but, son repère. Les enfants du Chaos, comme ils se sont appelés, forment une entité unique, des liens profonds se sont tissés entre eux pendant des siècles entiers de confinement forcé. Érèbe n'oublie pas d'où il vient ni qui est à ses côtés.


 


Il a été enfermé dans une jarre. Lui, ainsi que plus de cent autres âmes éthérées. Sans avoir commis aucun crime, il a été condamné a voir les siens massacrés, pour ceux qui étaient mortels, et enfermé avec ceux qui ne pouvaient mourir. Condamné, pour l'éternité, à l'oubli et à l'abandon.

Dans cette jarre, il aurait pu devenir fou, perdre l'esprit et la raison puis se laisser aller à une totale apathie, vide de vie mais incapable de mourir. Pourtant, grâce à l'ingéniosité et à la créativité des siens enfermés avec lui, il réussit à garder l'esprit clair. Mieux encore, il devint plus érudit, s'abreuvant du savoir de ses pairs, plus empathique, conversant avec ses frères, plus aimant. Une meilleure version de lui-même, qu'il dédia toute entière à l'avènement de leur but commun : le jugement et la vie. [Voir la fiche de Nyx]

Le jugement pour leurs bourreaux et tout ceux qui avaient fermés les yeux. La vie pour leur peuple, celle qu'il méritait, celle qu'on avait essayé en vain de leur voler.

Dans la jarre, il devint en quelque sorte le lieutenant de Nyx, le lien qui se tissa entre les deux âmes était singulier. Ils se sont séparés à la sortie de la jarre, comme tous les autres, mais se sont pourtant rapidement retrouvés ensuite. Depuis, ils parcours Istheria ensemble, sous des formes diverses.

 



 

  Personnage créé par Nyx Ananké

Mesurant entre 1m70 et 1m85, il est très lié à son essence animale, gardant ainsi fourrure, face et tout ceux qui fait de lui un renard, sous sa forme humanoïde. Très gentil de nature, assez altruiste avec les gens, il n’en n’est pas moins extrêmement intelligent, préférant utiliser la ruse plutôt que la force. N’hésitant pas à donner son avis sur tout et n’importe quoi, il est aussi extrêmement têtu et il respecte énormément la nature.

Néanmoins, il cache aussi une face de lui, plus sombre, ayant tué son père, il n’en a jamais parler, gardant ça pour lui. Partant très souvent en voyage quand une permission lui est accordé, il cherche sa demi sœur, persuadé qu’elle est en vie, quelques part. A la limite de la folie, il se demande parfois si ce n’est pas juste son imagination, si tout cela n’est pas vain.






Venant d’une famille noble en déclin vivant à Cimmeria, il a quitté sa famille très tôt, ne pouvant supporter son père qui frappait assez souvent sa mère et cette dernière qui pourtant, continuais à sourire. Il était très peu souvent a la maison pour cette raison, préférant même parfois dormir dehors alors que son paternelle disait sans cesse que ce n’était pas digne d’un noble. Il aidait les gens au village d’à côté déjà alors qu’il était très jeune, il aimait voir leurs sourire en retour.

En 1291 néanmoins, alors qu’il avait 10 ans, il assista à la naissance de sa jeune sœur, une louve bien que l’essence animal ne fût pas aussi visible sur elle que sur lui. Mais malgré tout, son père étant toujours aussi violent, il avait peur pour elle et sa mère, il voulait devenir plus fort. Ainsi, malgré son jeune âge, il rentra dans l’armé de Cimmeria, d’abord simple assistant. Il a toujours mis un point d’honneur de vouloir connaitre le plus de chose possible, utilisant son intelligence et sa détermination pour s’améliorer. Il était très populaire au sein de ses camarades de par son altruisme qui le poussais sans cesse à les aider, ces derniers l’aidait en retour.

Lors de sa première année, il ne revint pas du tout chez lui et il le regretta car à son retour, ce fut dans une maison dans un état lamentable, avec un père passant son temps à boire, sans sa mère qui était à présent dans un cercueil et sans trace de sa jeune sœur. La conversation fut assez violente avec son père, ce dernier avouant sans l’ombre d’un remord avoir abandonné l’enfant en forêt pour qu’il soit dévoré par les loups. Tout ça pour quoi ? Pour la simple et, de son point de vue, légitime raison que l’enfant n’était pas de lui, qu’il voulait punir sa femme de l’avoir tromper avec un autre, qu’il avait déjà tué l’amant de sa femme pour lui éviter de recommencer. Ce jour-là, le jeune renard, malgré son jeune âge, savait qu’il n’avait pas affaire à un père mais a un monstre. Son père ne s’attendais pas a de la violence envers un enfant qui avait toujours été si doux, alors c’est surpris qu’il mourût égorgé. Le jeune renard fut obligé de dissimuler le corps ou il pouvait, faisant de son crime un secret, disant simplement que son père avait disparu… Il découvrit par la suite que les propres crimes de son père n’avaient jamais été découvert et aussi que sa mère s’était suicidée. Vainement, il chercha sa demi-sœur dans la soi-disant forêt mais il n’en trouva pas de trace, ni d’ossement, ni rien, se persuadant alors qu’elle était encore en vie, quelque part.

Ainsi, revenant dans l’armée, essayant de dissimuler ceux qui l’avais un peu changé, assombri, il continua à faire ses armes, devenant un archer avant tout. Profitant de voyager quand l’occasion se présentait, espérant retrouver sa demi-sœur un jour.












Personnage créé par Loup