Douceur à la strychnine [PV: Tekum Seh]

Il est temps, le temps où les pas sombre résonne dans la nuit, où la folie laisse place à la science sous les étoiles de miel, il est temps pour Cepheus de se posé doucement sur l’épaule de son maitre, la montre –La perruche ! Je n’ai aucune peur-, le frêle oiseau tourmenté par le grand manoir qui se présentait devant lui, - l’antre du dragon, la gueule du loup, les gorges de l’enfer ! Un peu d’emphase sinon on va me prendre un pleutre ! Mon irrationnel frère se dirige tout de même vers un mort plus que probable là !- blotti contre le coup d’un fou qui marchait tranquillement il ne pouvait empêcher son petit cœur d’oiseau de battre un rythme de fugue alors que tous ses instincts lui disait qu’accepté l’invitation d’un Dragon n’était que folie pure … La voix d’un frère raisonnait donc dans l’esprit glacer du fou qui avait fait son choix depuis longtemps, l’enfer avant du bon et la mort n’avait-elle toujours été l’amante des incompris.

C’est donc tout à fait calme et en accord que la petite troupe entra dans les buissons et pris le tunnel qu’il connaissait si bien, cette gorge qui mène plus prêt du feu, plus loin de la vrai lumière et plus prêt de celle de l’homme qui n’as pas besoin d’elle, à côté de celui qu’on nomme l’aveugle, Duc D’Arghanat, Voix de Fen … Tant de titre qui attendrons, lui venais pour voir le maitre de la Plume du Serpent.

Toujours dans se boyau –dont les murs sentait le sang et la charogne et donc l’âme même n’était que putréfaction et perfidie … Un peu d’emphase j’ai dit !- où même l’ombre semblait prête à déchiqueter l’esprit et le cœur des visiteurs incongrue l’homme s’arrête puis sans faire un pas il se retrouve assis les bottes qui ont soulevé la boue des terres posé sur le bureau et les mains sur la poitrine il laisse son séant dans un fauteuil de velours sombre qui semblait fait pour lui alors que l’autre côté du bureau et de la seul bougie le maitre des lieux laissait son sourire dessiné son visage fin et admirable … Tout était là les choses allaient pouvoir commencer et c’est l’invité qui brise d’un cou la politesse pour imposer ses règles et commencer ces négociation qui promettent d’être vital pour l’avenir du clan et de Jonas …

-“Nous somme Némésis maitre de la Plume, un nom que tu as connu avant que nous parlions entre nous, aujourd’hui encore j’ai fait un pas et je suis venu chez toi, dans ton manoir là où personne ne peux sainement t’atteindre, maintenant c’est à toi de marcher en ma faveur, à toi de montré ta bonne fois dans ces négociations … Nous avons tous les deux trop à y perdre pour manger l’âme de l’autre…”

Le talon ferré de sa botte tape trois fois sur la table, doucement comme pour faire tomber au milieu des papiers du duc le peu de boue que le marcheur éthéré avait réussi à prendre avec lui. Ouvrant ainsi une nouvelle fois la grande pièce du monde il sourit au Duc :

“Je vous propose un jeu difficile mon ami : Parlons peu mais parlons bien … Que voulez-vous ? Quoi que vous disiez considérez que c’est impossible mais que je ferais un effort pour vous …”

Il était devant lui avec son agressivité habituel superposé à un calme irrationnel du fou qui ne vie autre chose que la déchirure de son âme par son être propre. Enfin il y avait cette autre pensé effrayer, fier et consciente du danger qui était là sur lui, venant d’un autre être qu’il avait bien connu, un noble des temps ancien, celui qui n’est autre que son frère …

Un chasseur collé à son rôle, conscient de sa nature, un de ses êtres qui n’est autre que sa propre bête dirigeant son monde. Il était tellement plaisant de parler avec des êtres de sa nature et non de ces co-quilles vides d’humain qui ne sont bon qu’à nourrir les dieux de leurs sacrifices. Ou des sindarins pré-tentieux qui se prétendent beau après avoir oublié ce qu’était un dieu, nourrissant aussi la haine et les démons de leurs chaires tendre et merveilleuse avec une noix de beurre et quelques épices … Lui était d’un autre fumet, d’une nature plus vrai, mais aussi plus désagréable, il est tellement plus simple de contrôlé un humain que de parlementé avec un être de la puissance et de la stature des Némésis, pourtant chaque sommet n’as d’autre but que d’être gravis, chaque lieu se doit d’être vu… Et même si le futur s’écrit avec le temps il ne peut être autrement que décidé par les puissant ou réécrit.

Sous la chape d’ombre qu’impose la seule bougie son visage s’éclaire d’un sourire mortel, une création digne du plus fou des artistes mais aussi des plus talentueux, le fils de Fen à l’image de son père rayonnait dans l’ombre des dieux. Il lève alors la main et les gardes de la pièce se retire en allumant les bougie qui permettent aux yeux bien trop réel d’Aliore de voir et de détaillé la pièce sombre creusé dans la roche, les objets précieux et les armoires empilent de papiers contenant des informations bien plus précieuse que l’or, tout est là même les six lourdent et massives porte de chêne qui semblent me-ner vers les différents cercles des enfer ou du paradis et brise les sons … Pourtant derrière chaque porte on devine des gardes …

Dans ce sourire, enfin seul, le Duc laisse sa voix prendre la place qui lui est dût et emplir la pièce de paroles douces et puissantes :

-“Je te connais bien assez Aliore et nous n’avons pas à nous étendre en de stupides rajouts de civilités ici, tu le sais aussi bien que moi chasseur, les choses comptes et les choses vivent … Le reste meurt. Et même si le respect reste aussi vital que les promesses j’accepte ton jeux et j’ai fait mon pas, personne ici ne pourra troubler notre entretient …”

L’aveugle marque une pause et fixe de ses yeux de pierre l’homme avec lequel il à négocier de nom-breuses fois, les deux plus puissant réseaux d’information, l’un libre, l’autre asservie à ce que l’on ap-pelle la rose. Les choses promettent d’être intéressantes, la pièce, la danse, la vie, tout commence par une valse à deux…

“Ce que je souhaite n’est quatre que la tranquillité pour moi et mon réseaux, pour mes actions et mon futur, rien ni personne, aucun des vôtres ne pourra interférer, si ce n’est en bien et contre payement, autrement dit sur une demande de ma personne, dans mes affaires, celle de la Plume, celle du Duc ou même celle de Fen ! Il vous est interdit de chasser mon réseaux, d’ouvrir mes hommes, de touché à leurs bien ou même, et je parle pour toi, de chasser du savoir sur nous … Si par inadvertance tu tombe sur un ce dernier je veux que tu m’en informe et si la piste est intéressante je te retournerais la paye habituelle … Je demande aussi un contre payement pour le massacre crée par Jonas et la perte de 100 000 Dias qu’il m’a imposé.”

Il sourit à nouveau alors que la montre se clame surement mis en confiance par l’aura du Duc ou peux être déjà sous les effet de l’alcool qu’il n’as pas but, cet alcool qu’est la vue du Duc calmant toute chose, puis un hurlement dans son esprit, comme un cri d’agonie qui l’oblige à se réveiller –on dit merci à son frère …- à prendre les choses à bras le corps, il secoue la tête et quelques de ses cheveux passent devant ses yeux, son sourire toujours sur les lèvres il rouvre les yeux après un instant de réflexion :

-“Comme je te l’est dis, considère que tout ce que tu vas me demander est impossible mais que je fe-rais un effort, je ne vais donc pas te le dire par quatre chemins, c’est impossible, tu nous as causé au-tant de tort que nous avons pu, par l’opération de la hache de Bor, faire dans tes rang. Tu t’es attaqué à une jeune, une sourire pour jouer certes mais une jeunette qui ne peux que colporter les ragots … est sous Notre protection, et si tu ne joues pas avec tes hommes, si tu y tiens, tu sais que j’ai un autre sens que le tiens de mes hommes … Si ce n’était pas toi je t’aurais mis à mort, simplement. ”

Un instant, un moment inscrit dans les flots du temps, le regard d’Aliore percute l’aveugle, et même si ce dernier ne voix il peut ressentir la puissance du regard du temps, ce regard d’ordre et de magie –Ha l’intimidation, voilà ce qui me manquait en mon temps …

“Maintenant le passé est le passé et je ne regrette en aucun cas cette décision, tu es un adversaire loyal et que j’apprécie hautement, mais je ne peux continuer une discussion sans la vérité, tu es aussi coupable que nous et c’est pour cela que je suis venu parlementer et non m’excuser ! Pour en revenir à nos moutons ce que je peux te proposer est plus fin …

J’accepte de venir te parler de tout ce que j’entends sur toi ou tout ce qui me reviens, j’accepte aussi de ne pas faire de recherche mais je suis obligé de faire une surveillance de routine, tu es bien trop puissant pour que je ne garde pas un œil sur un noble comme toi, tu m’en vois attristé mais ce point est non négociable, prend ça comme un compliment. En contre parti je refuse que tu fasses des re-cherche sur nous, tu as ma promesse que si quelque chose qui pourrais te toucher se trame chez nous tu en seras prévenu mais pour le reste seul mes paroles peuvent venir t’informé des choses de la rose. Tu n’es plus en droit de toucher à l’un des notre et si Jonas payera sa dette avec ses compétence sache que cela ne pourra en aucun cas nuire à la rose, ce n’est pas un pion mais un mercenaire, il n’est pas dans ton jeux mais dans le nôtre …
Tu auras donc un équivalent en meurtre et quelques informations que tu ne peux avoir à cause du re-nom de ton réseau sur les autres marchants d’esclave, tu devrais ainsi tranquillement rembourser notre dette en deux petits mois si tu sais encore utilisé les compétences d’un assassin tel que notre Jonas.
Enfin pour ce qui est de nos accord de non-agression de marché je ne peux t’accorder une chose aussi vaste, je parle au maitre de la plume du serpent, Fen n’as rien à voir dans cette histoire. Pour ce qui est du marchandage d’esclave je peux te l’accepté à condition que tu ne touches pas à nos commerces, quel qu’ils soient, de la drogue au meurtre, que tu ne vole pas nos client et que tu ne cherches pas sur des bandes qui sont notre …
Enfin, et ce point est le plus important, quel que soit l’être, la chose, le dieu, qui s’en prendra à la rose il ne sera que tas de cendre et je m’occuperais personnellement de clouer son cercueil …”

Ses yeux de pierre fixés par les yeux du temps, des yeux tellement rayonnant d’essence divine que même un aveugle peux les voir, les sentir, quelques instant, seconde trop fine pour être remarquer par quelqu’un qui n’est pas le Temps son sourire s’efface, il sait qu’il n’est pas vraiment en sureté ici, mal-gré tous ses gardes, il sait que l’homme en face de lui n’as pas besoin d’arme pour tuer et disparait trop rapidement, il sait que c’est un des êtres les plus dangereux de la rose … Un guerrier et un assas-sin avant d’être un informateur, un de ces êtres qu’on aime à avoir dans ses amis.

Très vite pourtant il reprend sa sureté, il est son domaine, son terrain, il est là pour parler et il ne peut se permettre de le tuer, il en sait trop sur la rose et trouver qui est le disjoncteur serais impossible même pour le temps, il n’as donc d’autre choix que de discuté et de négocier son futur, leurs futurs …

-“Aliore, aliore, ailore, mon amis, tu sais bien que ce que tu demandes n’est que pure folie, comment pourrons nous cohabité tant de temps ensemble ? Nous finirons forcement par nous manger, je sais que cette idée est mienne mais que tu la suives me blesse. Cependant je peux te proposer ce marché pour un an, renouvelable, à la condition que les attaque entre les nôtres, si elles ont lieux, ce qui n’as que peu de chance car moi je tiens mes hommes, soit l’objet d’un procès commun ! Je n’en demande pas plus sur ce domaine, je vous laisse vos plat de bande, vous ne touchez pas aux mienne. Pour ta surveillance, tu sais que je vais faire de même donc je te l’accord, je ferais cependant une surveillance très lâche donc j’accepte ta proposition … Tache de faire de même avec la mienne car elle pourra être le motif de la rupture violente de notre contrat et je sais que ne souhaite pas une rupture violente d’un tel contrat …”

C’est au Duc de sourire, de posé son regard froid de pierre sur le Temps et de le laissé imaginer l’instant où un tel contrat, qui prend le pas sur les autres, serais rompu, la guerre, la guerre avec trop de savoir, l’alliance des cavalier avec la ville et les informations pour écrasé la Rose dans une bataille sanglante qu’il ne gagnerait jamais. Trop d’ennemi, trop peux d’avantage, pas assez d’alliance, pas as-sez de savoir …

Alors qu’avec Tekum à leur coté la donne était différente, en un an d’alliance les seuls réseaux d’information survivant serais ceux des états, gangréné par les alliés ils n’auraient de vrai utilité qu’à faire des appâts au Barium, des mouvements, savoir dans l’autre sens en prenant garde de laissé filtré des informations importante de temps à autre, mais des informations contrôlé, ainsi faisant croire leurs toute puissance aux autres il pourraient jouer dans le jardin des dieux dans que personne ne puisse les en empêcher …

“Pour ce qui est de Jonas je m’excuse mais je me doit d’exiger en plus dix milles Dias de votre part pour les compensations. J’ai bien dis en plus … Prépare le, il vas devoir partir à la chasse prochaine-ment … Enfin, pour le sauvetage de tes hommes, je prendrais les informations qu’il me manque sur la rose, tu les sais aussi bien que moi … Kolom, la vie, vos hommes, Le Cheval, des noms et des vies … J’en connais parmi elles, le reste, je vais l’apprendre.”

Il prend un couteau et s’entaille la main puis la tend à Aliore alors que le sang coule doucement de sa plaie ouverte …

Seule sa main s’est entaillée, mouvement trop rapide ou magie pure ? Qu’importe le contenant, pourvut qu’il y ait l’ivresse, il est conscient de la nécessité, un de seul parmi les siens –un bande de fou qui ne te mérite pas- à être conscient des nécessitées réel pour pouvoir vivre dans ce monde. Mais avant que sa main ne serre celle de son futur grand allié il sourit de plus belle :

-“Si l’on omet ta dernière plaisanterie Tekum je suis en tout point d’accord, tu as besoin de nous, nous avons besoin de toi … Un ans, peux être cent avant le début des hostilités mais cents ans où nous ne nous craindrons pas, Jamais un immortel ne trahis, jamais le sang ne trompe, nous somme frère par Shanra, la famille vivra …”

Sa main prend celle du Duc et la serre avec force se préparant à récité la litanie des leurs … -Je savais depuis le début que ce serais facile, vous avez besoin l’un de l’autre …

-“Par la vie de la rose,”
-“Par la fierté des nobles,”
-“Par les feux de la forge,”
-“Par les chants du monde,”
-“Par le marteau de Bor qui forge cette alliance dans le sang et le fer,”
-“Par la voix de mon père qui marque cet accord dans l’Histoire même du monde,”
-“Par les Dieux, par leurs fils, et sur notre peuple”
-“Par les Dieux, par leurs fils, et sur notre peuple ”
“Nous jurons sur notre sang la promesse et le pacte, jamais nous ne trahissons les nôtres, jamais les chasseurs n’ouvre celui qui fut leur frère, jamais le sang ne coule sans cause, toujours caché sous les hommes pour un jour voir l’heure venir …”
-“Notre puissance.”
-“Le monde tel qu’il doit être …”

Leurs phrases se sont chevauchés, leurs esprits un instant assemblé dans la promesse des puissants, répétant en cœur le rituel d’autre fois différent par les dieux et buts, identique par le cœur les deux démons se sourient calmement et dans un silence bienveillant l’un d’eux disparait en laissant sur la table un papier remplie de donné sur le marché de l’esclavage … Toute rencontre avec un des maitres se prépare …

Marchant à l’extérieur du manoir vers les frondaisons des forêts Aliore écrit rapidement un message pour Jonas, du travail l’attend, et il vas devoir verser une petit somme au Duc. Les fonds de la ligue sont aussi là pour cela …