Meurtre en série à Hellas [Veto vs Yëodor]

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• Nérozias: 6
• Gélovigiens: 3
• Ascans: 0
• Marins de N.: 4
• Civils: 15

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- Walter cherche de Preux chevaliers.
_ Raël veut des clients.
_ Deirdre a besoin d'employé!

Les Rumeurs

_ Il parait que des personnes hauts-placées seraient gravement malades.
_ Il parait que ça se bécotte "au bal de la Rose".
_ Il parait que des créanciers en sont après un des conseillers de Ridolbar.

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 Meurtre en série à Hellas [Veto vs Yëodor]

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MessageSujet: Meurtre en série à Hellas [Veto vs Yëodor]   Meurtre en série à Hellas [Veto vs Yëodor] Icon_minitimeSam 19 Mai - 8:58

Il neigeait à petit flocon dans les steppes glacées de Cimmeria. L’atmosphère était poétique, joyeuse. Les deux astres annonciateur du matin perçaient à peine l’horizon et diffusaient une lumière paisible dans la vallée blanche. Tout était pur, sauvage et irréelle. Même le sang légèrement absorbé par la neige qui étaler la tache sur une belle surface semblait complètement en harmonie avec la tranquillité des lieux. La journée estivale qui s’annonce allait être belle pour Isthéria, mais pas forcément pour tous ses habitants…. Dans l’ombre d’un monticule de neige qui cache sans doute un rocher, le lynx au regard fendu d’une pupille féline, regarder le groupe de trois voyageurs qui entraient d’un long trajet, dans la ville d’Hellas. Les babines en sang des reste de sont festin matinale, le chat sauvage a l’intelligence néfaste, avait repéré ses prochaines proies. Que la chasse commence…


…Les deux hommes essoufflés, courraient les yeux alerte et apeuré, dans les ruelles d’Hellas, la ville de glace. A part quelques commerçant matinale qui préparés leurs échoppes, les maisons étaient encore endormi. Les rues étaient désertes et calme, seule éco inhabituel était les pas de course des deux hommes traqués.


- Hedge ! Hed…ge ! Attend…. Je crois que c’est bon.

Les deux hommes haletant freinèrent le pas et s’arrêtèrent dans une allé sombre, en appui sur leurs genoux ou contre le mur ils reprenaient leur souffle.

- Qu’elle bête énorme ! On la perdu dans les ruelles je crois. Ouf….

- J’espère Trêssel, parce que je ne veux pas finir comme Zaly… il là…Il déglutit. Tu as vus comme il lui a tranché la gorge….

« Krak… Krak….Krak… »

Des petits bruits de craquement de neige se firent entendre et les deux hommes se turent. Le regard effrayé ils se regardaient l’un l’autre, retenant leurs souffles, espérant, ne pas attirait le prédateur. Les secondes parurent des minutes et les minutes des heures. Mais le bruit disparut et un léger sourire apparue sur le visage du blondinet, le dénommé Trêssel.


- Semé je t’ai dit. Chuchota-t-il. Seme…. Hugh !

Crocs et griffes lui lacèrent de manière chirurgicale la gorge et la carotide aspergeant le mur et son compagnon d’un filet de sang abondant. Il tomba net, la main en réflexe porté sur le trou béant dans sa gorge. Les yeux livides regardant son ami, il était mort.
Hedge qui avait les jambes flageolante, se pissa dessus a la vue de la créature féline, plus grosse qu’un chat mais plus petite qu’une panthère, lacérait la gorge de Trêssel. La créature partie aussitôt hors de vue de Hedge qui la chercha apeuré du regard dans tous les sens.


- KKKKkrrrrriiiiiisssshhhhhh ! Le son venait surement de l’animal, mais Hedge ne voulut pas s’en assurer. L’effet amplificateur de l’étroitesse de la ruelle avait fait son travail et le cri du lynx se transformer aux oreilles d’un homme apeuré, en un cri surnaturel.

Hedge prit ses jambes à son coup, laissant son urine sur place. Il longea le mur à toute vitesse et prit a droite a la fin de la ruelle, jetant un regard derrière lui.


- Outch !

- AAAHHHHH !

Il trébucha sur un homme qui l’effraya comme une pucelle. Tout tremblant il se remit debout.

- Oh ! Mo... Mo… Monsieur ! Il y a UN… Un…. Monst…

- Calmez vous, je suis docteur, laissez moi vous aider. L’homme avait dans sa main gauche un flacon qu’il renversa part deux reprises sur un torchon.

- Euh ! Mer.. Merci… Hedge se calma doucement, contant de ne plus être seule dans ses ruelles. Mais il hoqueta de stupeur lorsqu’il regarda attentivement l’homme qui se disait médecin et prêt à lui venir en aide.

- Mais que faite vous tout nue ? Et, et ses yeux ?...

Le médecin lui sourie et d’un geste vif porta le chiffon au nez de Hedge qui avait perdu trop de force dans la course poursuite pour se défendre convenablement. Il s’agita tout de même essayant de se libérer de l’étreinte du médecin nue, mais très vite ses mouvements mollir et devinrent des spasmes et enfin plus rien.

La journée paisible tant promise, pouvait enfin commencer pour les habitants de Hellas. Les crimes qui s’ajouté au cinq précédent depuis six mois, allaient surement animer les discutions au marché ou dans les tavernes. Mais les morts n’était pas des habitants de Hellas, ses voyageurs n’étaient même pas des Cimmerien. Ils feront l’objet de ragot comme le vagabond du mois dernier mort, retrouvait la peau arracher de manièrent horrible. Il y avait aussi se vieux bonhomme retrouver les trippes a l’air et une expression de souffrance sur le visage. Sans compter les autres morts dans les rues, tué tout simplement, peut-être l’œuvre d’un autre tueur, peut-être avait-il moins t’importance ou étaient-il juste des éléments gênant ? A priori un seul point commun, ils n’étaient pas d’ici. Car pourquoi se soucier d’homme dont on ne connaissait même pas l’existence avant ce matin…
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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: Meurtre en série à Hellas [Veto vs Yëodor]   Meurtre en série à Hellas [Veto vs Yëodor] Icon_minitimeMar 22 Mai - 16:36

-Alors ? Ça fait quoi de passer de trouffion à caporal-chef en si peu de temps ?
-Pas grand-chose, seconde classe, si ce n’est que maintenant je ne devrais pas être sensé supporter de telles familiarités de la part d’un… Trouffion.

Cette échange à voix basse se termina sur cette réplique trop cinglante au goût du soldat qui prit un air vexé et échangea un regard avec son voisin qui souriait derrière Veto. Le jeune Havelle n’avait pas pour habitude de se montrer si froid mais leur Major entrait pour leur expliquer leur présence ici et ce nouveau se montrer un peu trop entreprenant depuis qu’on l’avait affecté dans son équipe. Il était là pour remplacer un des hommes, blessé lors d’une mission de routine la veille.

Leur supérieur leur expliqua la situation et leur appris que des meurtres survenait trop fréquemment ces derniers temps et de manière trop suspects au goût de certaines personnes. En effet, les étrangers étaient peu fréquents en Cimméria. Le climat rebutait plus d’un voyageur et la rumeur signalant les meurtres de nouveaux visages risquait de pénaliser d’avantage l’économie fragile du pays.
Durant ce briefing, Veto sentit de l’agitation derrière lui. Ce ne fut que dehors que toujours le même garde se lâcha enfin.


-Nan mais sans déconner. On va s’inquiéter de la mort de quelques pauvres vagabonds qui viennent pulluler dans notre ville ? En plus, tout le monde sait que c’est des repris de justice qui viennent profiter de nos prêtresses laxistes !
-Moro. Je gage qu’au moins trois membres de cette équipe viennent de l’étranger et qu’ils ne sont pas tous des repris de justice. Pas vrai, caporal-chef ?

Veto ne répondit pas mais l’autre comprit qu’il s’était attaqué au mauvais sujet. Décidément, il commençait très mal.

Il y avait eu plusieurs meurtres d’étrangers depuis que les premiers avaient attirés l’attention et que Veto et son équipe avaient été chargés d’enquêter. Ils avaient fait l’impasse sur des crimes passionnels ou des règlements de comptes discrets concernant les citoyens de la cité. Cette ville n’était pas la plus sûre de tout Isthéria, cependant, au regard du ratio, les meurtres qui les intéressaient s’avéraient plus fréquents et plus étranges que ceux commis d’ordinaire dans l’enceinte des grands murs de la cité.


-C’est vraiment un barbare…

Veto se demanda un instant pourquoi il n’avait pas jugé bon d’envoyer ce caqueteur avec les autres chercher des témoins… Et puis il se dit qu’il avait certainement deviné qu’il n’aurait pas assez de finesse pour en convaincre un seul de venir témoigner devant son caporal-chef.
Il supporta donc les commentaires insipides et superflus du soldat alors qu’il examinait le corps à ses pieds. Accroupi sur ses bottes, il empêchait sa cape de toucher le sol enneigé.
Cette neige, d’ordinaire si blanche, si pure,… Depuis combien de temps l’accueillait-elle ? Six ans désormais. Elle était devenue sa patrie, sa terre d’adoption. Une terre gelée où rien ne poussait si ce n’est les montagnes aux frontières et les mystères ici.


-On dirait qu’il s’est fait attaquer par un animal !
-C’est exactement ça.
-Comment ça ?
-Cette blessure est typiquement celle d’une morsure et sous son col, on voit des marques de griffes…
-Mais les gardes n’auraient pas laissé des loups entrer dans la ville sans prévenir !
-Une meute de loup tue pour se nourrir. Ici, c’est un animal seul. Et la forme de la mâchoire me semble trop fine et trop courte pour être celle d’un loup…
-Ha ! Parce que vous en avez déjà vu beaucoup des morsures de loup ?
-Oui.


Encore une fois il venait de lui rabattre le caquet froidement. Les griffures étaient trop profondes et effilées. Ça devait être un félin. De plus, la scène avait été pas mal piétiné et la neige retourné, mais il lui avait bien semblé reconnaître une patte de chat énorme.

-Mais… Heu…
-Une chose est sûre, un animal de cette taille ne pourrait pas passer inaperçu en ville.
-Donc il est reparti ?
-Ou c’est un Yorka. Je trouve étrange qu’il passe les portes de la ville si facilement.


Il ne fallait pas être Éclari pour deviner cela, simplement être au fait de ce qui se faisait dans ce monde plein de magie. C’était l’explication la plus probable pour que la même bête sévisse plusieurs fois en plusieurs mois sans jamais être inquiétée par la garde. Oui, Veto en était sûr, les autres victimes retrouvées égorgées avaient succombé sous les mêmes crocs d’après ce qu’il avait pu voir des autres corps.

-Caporal-chef ! Ce boulanger a vu quelque chose.
-Bonjour, monsieur.
-Salut mon gars. T’es bien jeune pour un caporal-chef !

Veto ne réagit pas alors que derrière lui, les deux soldats s’agitaient à nouveau.

-Vous avez déjà vu cet homme ?
-Hou ! Il est dans un sale état. Je sais pas si c’est celui-là que j’ai vu mais j’ouvrais mes volets ce matin et j’ai vu deux types habillés comme lui courir comme des dératés dans la rue. J’ai pas compris ce qu’il se passait, d’autant plus qu’il y avait rien à leurs trousses. J’en ai conclus que c’était encore des originaux et je me suis remis à mon boulot, parce que, pour le coup, j’avais du pain sur la planche moi. Haha !
-Très bien. Merci pour ces informations.
-Heu… Il avait parlé d’une piécette le jeunot.

Veto se retourna l’air surpris et son soldat eut un air gêné. Cet homme semblait bien avare de mot. Mais qui pouvait lui en vouloir. La vie était dur pour les gens du peuple à Hellas. Les quelques riches était très riches et les autres vivotaient comme ils le pouvaient à leurs pieds. Pas étonnant que le sort de quelques étrangers en attristait peu dans cette ville où le malheur de chacun était déjà bien assez lourd à porter comme ça.

Veto se délesta de quelques pièces et interrogea les deux soldats sur la découverte d’un autre corps.
Il y avait celui non loin de l’entrée de la ville mais il n’était pas habillé comme celui-ci. Ce boulanger devait donc parler du corps retrouvé quelques rues plus loin tué d’une tout autre façon. Nulle trace d’agression d’une bête sauvage.
Veto s’accroupit au-dessus du corps encore une fois, gardant sa cape loin des effluves et de la neige entachée de ce crime. Cette fois, il ressemblait d’avantage aux deux autres « œuvre d’art » qui avait choqué le cimmérien.
Durant son enfance passée à Cimmérium, il avait eu accès à des livres Sylphides très détaillés et magnifiquement illustrés. Les cadavres retrouvait avaient des similitudes frappante avec certains livres d’anatomie qu’il avait feuilleté. Les chaires mis à nu, dépecée proprement et méticuleusement l’avait déjà quelque peu troublé au fond de son âme d’enfant plusieurs années auparavant. Mais après le corps de muscles révélé, le système digestif extrait avec une précaution sans faille et sans la moindre lésion l’avait conforté dans son hypothèse. La main d’un homme à la curiosité morbide était passée par-là malgré le rendu bestial et barbare.
Ici aussi, on pouvait se demander si ce cadavre pouvait être relié aux autres victimes de la « bête ».

Au milieu des badauds à moitié intéressés tenu à distance par les gardes, Veto réfléchissait à tout cela, continuant d’examiner l’œuvre de ce tueur qui l’intriguait de plus en plus.


Dernière édition par Veto Havelle le Mer 25 Juil - 8:49, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Meurtre en série à Hellas [Veto vs Yëodor]   Meurtre en série à Hellas [Veto vs Yëodor] Icon_minitimeMar 5 Juin - 20:24

La cave est exigüe, son entrée vient directement de dehors donnant dans une ruelle bourgeoise d’Hellas, derrière les deux battants en bois lourd qui le dissimule, légèrement en colimaçon, l’escalier très sombre froid, en pierre nous entraine dans l’antre du docteur.
Une fois descendu, on arrive dans une première pièce au plafond bas obligea les plus grand de ce monde en taille de ce courber. Elle est meublée d’une commode, d’un lit dans le fond de la pièce a gauche et d’une petite table avec deux chaises en bois a l’opposé. A côté de la table un nécessaire de cuisine et de la vaisselle en vrac.
Une entrée en arc de cercle qui qui efflore le plafond de ces courbes imparfaite, marque le passage de la deuxième pièce. Il faut monter cette fois une dizaine de marche pour atteindre un pallié légèrement plus grand que la première pièce. Une petite fenêtre très haute est masquée par un voile noir laissant la pièce éclairé que par une douzaine de bougie éparpiller de manière méthodique presque paranoïaque dans la pièce. Seule meuble une grande table en bois sur laquelle une plaque de métal recouvre le dessus comme une nappe solide. Et une autre plus petite sur laquelle des instruments médicale et chirurgicale son posé sur un torchant blanc de manière très soigné. Les outils brillant aux lueurs des flammes qui entourent la grande table d’opération sur laquelle un homme git nue les bras et les pieds attacher par une solide corde qui le retient prisonnier a même le sol par d’énorme boucle de métal.
Les respirations de l’homme son rapide et bruyante, son regards est fuyant, perdu, encore sonner par la drogue qui circule dans son sang. Il se réveille doucement, reprend ses force et comprend très vite qu’il est capturé. Il crie mais un bâillon vient se coller entre ses lèvre et étouffe le bruit.


- Chut ! Ne va pas réveiller la vieille Fréla la pauvre dame du dessus a perdu son amant il y a peu…. Aaaah ! Pauvre dame….

Yëodor tourna autour de sa victime le regard au plafond comme si il pouvait voir la vieille dame qui lui louer cette cave, dans son salon assis sur un vieux divan une tasse de thé a la menthe. En même temps il mettant ses gants très fins en boyaux. L’homme nue était maintenant affoler il essayer de suivre les mouvements du docteur qui tourner autour de lui. Il tira sur ses liens mais s’était sans espoir. Il essayer de crier, de parler mais les seule sons qui sortirent de sa bouche était étouffer par le linge dans sa bouche. Il transpirer de peur. Puis Yëodor s’arrêta au niveau de sa tête, attrapa deux morceau de métal en ‘V’ qui fixa au deux coins de l’œil gauche de l’homme afin que ce dernier ne puisse plus cligner des yeux, allongea le bras pour attraper un pique d’une dizaine de centimètre à la pointe très fine qu’il plaça a quelque centimètre de la pupille de l’homme livide qui regarder la pointe avec stupeur.

- Restez tranquille, la science vous remerciera de votre sacrifice.

Il abaissa sa main, l’homme se convulsa, cria, mais personne l’entendit. Et le docteur continua son travail morbide mais utile pour la science comme il le concevait…


* * *


- Monsieur ?.... Monsieur ?.... Hé ! Oh !... Faut payer !...

- Hum ! (le Yorka se secoua la tête, pour ce sortir de ses pensée)… Oh ! Oui…. (Il fouilla dans sa bourse) Tenez ! Et mettant moi une autre tavernier !

Il s’avait qu’il laisser des traces derrière lui. Ses meurtres rapide dans les ruelles, et les autres, ceux qui de ses recherches, qu’il avait abandonné dans ses laboratoire de fortune, faute de trouver un endroit a lui. Mais maintenant il avait la cave de Madame Fréla, un endroit sûr, parfait pour ses recherches. Mais entendre de la bouche d’un ivrogne de cette taverne ou il avait pris l’habitude de descendre après une journée de travail se détendre, lui fit froid dans le dos. Il fallait en savoir plus. Y avait-il une enquête ? Les gardes étaient-ils sur une piste ?...

- Voilà ta deuxième tournée l’ami.

Zaloss, le tavernier de la ‘Roue d’or’, nom qui lui venait de cette grosse roue rappelant celle d’un moulin à eau couleur ivoire qui trôner à l’entrée bien en évidence des passant, venait de lui apporter sa chope. Yëodor finit d’une grosse gorger sa première bière et paya la deuxième remerciant le bourru tavernier d’un signe de tête avant de se lever du comptoir pour aller se joindre au trois hommes déjà bien ivre, qui parlait de ‘son travail’.
En se rapprochant de la table il put voir que les trois hommes jouaient à un jeu de cartes.


- Messieurs je crois savoir que ce jeu de cartes est beaucoup plus attrayant à quatre !

L’homme qui lui tourner le dos se retourna et le dévisagea de haut en bas, mais son visage eut beaucoup de mal a garder son sérieux le liquide alcooliser avait déjà fait son travail sur son humeur et un sourire se débrida sur son visage.

- Avec plaisir l’ami, prenais une chaise et venait perdre votre argent !

Les deux autres se mire a rire et a contre argumenter sur le faite que leur compagnon avait quant à lui déjà perdu les dernière partie.

Le Yorka prit une chaise et affichant un sourire de bonne humeur qui feintait l’amabilité il prit place à la table.
Yëodor connaissait le jeu, il en était pas un grand amateur mais il connaissait les règles et de toute manière il n’était pas pour gagner. Le plus grand des trois, celui qui l’avait invité à se joindre a eu distribua sept carte a chacun du baquet qui en contenait 60. Le but était de faire la meilleure suite et de miser pour faire monter les enchères. A chaque tour il était possible d’échanger des cartes soit entre joueur soit dans la pioche.
Yëodor regarda sa main. Il s’étonna de voir les faces sur les cartes des représentants de la société de Cimmeria pas trop connus pour lui. Il avait joué dans sa région avec des visages de sa contré. Il avait une mauvaise main de départ : Un valet, un cavalier, un chasseur, un forgeron, un citoyen,… Que des petites cartes et aucune carte de tête pour démarrer sa suite.


- 2 Dias de départ !

Yëodor regarda les trois ivrogne et enchérie, enlevant de de ces carte face caché et réclamant deux nouvelles cartes.

- Je suis ! Mettez moi s'en deux, la pucelle et sa mère ne vont pas ensemble ! Sa phrase fit éclater de rire les trois autres hommes. En effet ses deux cartes que Yëodor avait cités, était une combinaison bien connue des joueurs de ce jeux de cartes comme une ouverture de fillette.

Après quelque partie dont une gagner par le docteur et quelque bière, Yëodor lança le sujet. Il apprit qu’une milice avait était mis sur l’affaire des derniers meurtres qui avait touché la ville. Un des hommes cita le nom d’un Caporal-Chef : Vavelle, ou Gavelle ? Il ne remettait plus son nom exactement. Mais Yëodor se détendit rien de bien sérieux, mais tout de même il était recherché maintenant. Les mots de créature, bête, boucher avait été dit, même le mot de Yorka qui les fit taire tous les trois après avoir vue la queue et les yeux de Yëodor. Leur visage devint tout pâle, mais le docteur insultant ce meurtrier de salir sa race et paya une tourner à ses trois compagnon de jeux qui continuèrent dans la bonne humeur.
En fin de soirée le Yorka salua la tablé et promis une revanche pleine de bière et de dias a ses compagnons avant de quitter la taverne...


…Dehors un vent froid soufflé dans les ruelles endormi d’Hellas. Trois hommes chantonnaient titubant entre les murs de la cité des glaces. Ivre et insouciant les jeunes hommes refaisaient le monde. Ils ne virent et ne purent rien faire contre le carreau d’arbalète qui les tua net d’un coup précis a la gorge, évitant d’éventuel cris.
Le médecin resta dans le froid de la ruelle assombrit par la nuit bien avancé devant les trois corps. Il se baissa pour s’efforcer de faire disparaitre toute trace de sa venue. Pour la première fois il n’avait pas tué en étant un lynx, mais avec son arbalète, le récit des trois hommes l’avait tout de même mit en garde et il changer son mode de tuer espérant contrer l’enquête. Il regarda autour de lui. Personne. Il avait tué les témoins de sa discutions sur l’enquête il ferait plus attention dorénavant, peut-être même quitter la ville. Il y songer. Il regarda au loin et ‘Pouf !’ d’un une petite fumé noir il disparue téléporter loin de crime, loin des soucis de cette soirée et tourner vers ses recherches…

… Il attendu cinq jour avant de se remettre au travail. Il l’avait repérer cette petite fille 12, 13 ans tout au plus qui développer un don pour la guérison puissant et précoce. Yëodor décela en elle tout de suite le potentielle de cette gamine pour ses recherches sur l’immortalité. Il la kidnappa. Pour la seconde fois après les trois hommes mort dans la ruelle il s’attaquer a des habitant de Hellas.
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MessageSujet: Re: Meurtre en série à Hellas [Veto vs Yëodor]   Meurtre en série à Hellas [Veto vs Yëodor] Icon_minitimeMer 25 Juil - 11:29

[/!\ Alerte ! Pavé ! /!\]


« Encore trois morts…
-Oui… Mais ce n’est pas une bête cette fois.
-Rien à voir avec notre affaire ? »

Veto ne répondit pas à la question de son subalterne. Il n’en savait rien.

« Par contre, celui-ci, c’était un garde. Je le connaissais.
-Oui. Et ces deux là travaillaient avec la caserne.
-Nous n’avons pas le temps pour une autre enquête. Je dois en référer au Major. Occupez-vous des corps.
-Il serait temps, en effet. Encore un jour de plus et, même par ce froid, on les aurait senti depuis les portes de la ville. »

À moitié recouvert de neige, les cadavres empestaient la putréfaction et présentaient des traces de morsures de vermine. Lorsque les rats s’attaquent à un corps, ici, c’est que la glace a laissait place à la nécrose.

Veto s’éloigna avec la tête pleine de réflexion. Il ne démordait pas de sa théorie : ce devait être un Yorka. Un Lhurgoyf n’était pas improbable, mais les empreintes de patte qu’il avait trouvées la dernière fois n’avaient rien de monstrueuse. Il avait connaissance de gros félin sans pour autant que ceux-ci ne soient des créatures mythiques.
Ne serait-ce pas possible que ce Yorka soit un arbalétrier expert ? Ces traits avaient disparus mais les trous de chaires cadavériques étaient d’une précision remarquable. Ces trois nouveaux morts étaient-ils en lien avec leur affaire ?

Derrière lui, ses hommes s’afférèrent à prévenir les fossoyeurs et à dégager les corps, les conversations suivant leur cours.


« Mais pourquoi on s’occupe de cette affaire au faite ? Si j’ai bien compris le dernier memo, d’après la réforme, on n’a plus rien à faire en ville, puisque nous sommes du corps territorial…
-Nous sommes en pleine réforme. Il faut le temps que ça se mette en place. Je trouve Havelle bien soucieux.
-Je suppose qu’il se dit qu’on va nous retirer l’affaire, justement à cause de cette histoire de réforme.
-Moi je pense qu’il n’aime pas trop cette histoire.
-Moi je le trouve aimable comme une porte du labyrinthe de Zaléra ! Qu’est-ce qu’il a contre moi ?
-Il est toujours captivé par son travail. Tu n’arrêtes pas de nous distraire. Nous, ça ne nous gêne pas, c’est simplement que lui, il ne sait pas s’amuser et travailler en même temps.
-Il y a ça, et il y a aussi eu Conan…
-Oui, c’est vrai…
-C’est qui ça ?
-Conan Kaïrn, un première classe de notre équipe, promu caporal et muté dans une autre maintenant. Il y a eu des problèmes avec Havelle.
-Ha… Et en parlant de caporal, il est où le notre ?
-Agavonov s’est blessé la semaine dernière. Tu les remplaces tous les deux plus ou moins en fait,…
-On va nous en assigner un nouveau. Agavonov se fait vieux.
-Oui… La boulette de la semaine dernière est un signe, moi je dis ! Je pense qu’il va prendre sa retraite.
-Dites… Ça vous dérangerez pas trop de me filer un coup de main plutôt que de discuter comme de vieilles commères en train de boire le thé ?
-Ha ! Mais les bouge pas comme ça ! Ils chlinguent !
- Bah, vas-y-toi ! Montre-moi ! »

*

« Havelle. Vous tombez bien.
-Major.
-Je viens de recevoir une missive des prêtresses. Une de leurs jeunes prodiges a disparu.
-Prodige ?
-Les prêtresses recrutent comme nous. Et une jeune fille aux dons en magie de réparatrice, ça ne les laisse pas indifférent. En particulier lorsque celle-ci est, je cite : « la meilleure guérisseuse que nous n’ayons jamais vu pour son jeune âge. » Il faut que vous la retrouviez.
-Je suis déjà sur une affaire, Major. Et je crains qu’il y en ait une autre qui…
-Elle a disparu depuis hier. Les prêtresses pensent qu’il y a encore une chance et moi je pense que c’est la votre.
-Ma chance ?
-Cette affaire sera votre passe droit pour l’école, caporal-chef !
»

Veto resta stoïque. L’école militaire des officier était difficile d’accès du fait du peu de places de formation et de places offertes à la sortie. Mais il n’était pas un carriériste (du moins, pas encore), et cette proposition ne l’enchantait pas outre mesure.
Voyant le peu de réaction de son protéger (fait que Veto ne soupçonnait pas), le Major Millenia Rigane insista :


« C’est un ordre, caporal-chef.
-Je l’avais bien compris, Major. J’attendais simplement la permission de vous faire part de mes récentes découvertes et de vous demander de mettre une autre équipe sur trois morts suspectes.
-Faites. Mais faites le vite.
-On a découvert trois corps depuis longtemps décédés. Il s’agit de l’un de nos gardes de seconde classe, et deux fournisseurs de la caserne. Ils ont été tués tous les trois dans une ruelle, je pense, avec une arbalète : les perforations étaient caractéristiques.

« Quand à l’affaire des meurtres de voyageurs, je me permets de conseiller, si l’affaire m’est retirée, d’orienter les recherches vers un Yorka au totem félin. Les détails sont dans mon rapport.
-Toujours aussi pointu, Havelle…
-Force d’habitude, Major.
-Rompez.
-Bien, Major.
»

*

« Apparemment, elle allait rendre visite à sa mère.
-Où habitait-elle ?
-Quelques pâtés de maison plus loin. »

L’équipe de sept arpenta plusieurs rues, interrogeant les riverains et des passants.
Veto se présenta alors à un homme, ne le regardant qu’à moitié avant de commencer.


« Bonjour, monsieur. Caporal-chef Havelle Veto, Garde Cimmérienne. »

Alors il s’arrêta là. Il s’apprêtait à enchaîner sur la disparition de la fillette, mais il se ravisa immédiatement et accorda alors une attention pleine et entière à cet individu dont il avait croisé le regard d’ambre.

« Vous n’êtes pas de Hellas, je me trompe ? Je dis ça à cause de votre teint. Par ici, le soleil ne nous gâte pas beaucoup, n’est-ce pas ? »

Veto lui adressa un chaleureux sourire mais on pouvait voir dans son regard qu’il n’était pas si tranquille qu’il voulait le faire croire. Conscient qu’il n’était pas un acteur hors paire, le garde s’empressa d’enchaîner, ne cachant pas qu’il cherchait ses mots.

« Veuillez excuser cette abouchement soudain, mais avez-vous entendu parler de ces agressions sur les gens qui ne sont pas d’Hellas ? »

Un air tout à fait sérieux s’affichait désormais sur son visage. Cependant, nulle trace d’un air suspicieux sur ce visage professionnel, seule une lueur de curiosité et de sagacité brillait dans ses yeux. Ces deux prunelles d’un bleu-gris transperçaient le regard du Yorka avec une insistance non modérée.
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MessageSujet: Re: Meurtre en série à Hellas [Veto vs Yëodor]   Meurtre en série à Hellas [Veto vs Yëodor] Icon_minitime

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