LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1

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_ Il parait que des personnes hauts-placées seraient gravement malades.
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 LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1

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MessageSujet: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeVen 16 Nov - 16:29



L'épidémie frappe de tout côté, et la grande capitale en est gravement touchée. Combien y a-t-il de malades ? Trop pour être répertoriés. Il n'y a même plus de place pour les contenir. Pour cette raison, le Roi a donné une autorisation spéciale permettant de donner libre accès au tribunal. Toutes les affaires qui devaient être jugées ont été repoussées, et les locaux seraient libérés pour servir d'immenses dispensaires. La plupart des malades seraient regroupés là bas, les familles seraient accueillies dans la mesure du possible pour rester aux côtés de leur proche atteint. Toutes les personnes souhaitant offrir leur service serait admise.

Le tribunal a été divisé en plusieurs section : une partie concernant les malades gravement atteints par la maladie, une partie concernant ceux qui souhaitent uniquement se faire ausculter en cas de doute ou pour connaître l'avancer de leur infection, et enfin une section destinée aux familles qui attendent des réponses où il y a de quoi se restaurer pendant les pénibles heures qui défilent...

Rappelons qu'il est impossible d'utiliser la magie dans les locaux du tribunal. Toutefois, il semblerait que cette interdiction eut été enlevé uniquement dans la section des grands malades afin d'effectuer des soins.


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Personnes présentent dans ce lieu :
Aliénor Isil (altruiste)
Illumina Ragnarok (altruiste, contaminé)
Calixte Telenna (altruiste)
Balibe Duscisio (altruiste)
Ision Lorindiar (opportuniste)
Chrysallia (dévoué, contaminée)
Edmond Alderbert (opportuniste)
Shalyn landoner (Indifférent)
Marcus Archéon (indéfférent)

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But :
Pour les personnes altruistes, il est de votre devoir de venir en aide à ceux qui sont malades, il s'agit de votre priorité.
Les opportunistes, vous portez bien votre nom pour saisir toutes les opportunités qui s'offrent à vous pour acquérir toutes les informations dont vous avez besoin, sur la maladie ou pour vos affaires.
Les infférents, c'est peut-être le hasard qui vous mène ici, ou bien l'un de vos proches qui eut été atteint... à part qu'il s'agisse d'une affaire en relation avec la loi et vous n'avez pas été prévenu que le tribunal serait ainsi réquisitionné.

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

Règles :
_ Vous devez poster au moins 3 messages.
_ Il n'y a pas d'ordre de postage afin de ne bloquer personne.
_ Vous avez trois semaines pour poster vos 3 messages, soit jusqu'au 7 Décembre.




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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeSam 17 Nov - 15:37

Il était un des premier à arriver. Suite à beaucoup de choses, il s'est retrouvé à aider en tant qu'altruiste les malades qui affluait encore et encore dans le tribunal qui avait été aménagé à cet effet par manque de place dans la cité. Il ne voulait pas rester, mais savoir un peu plus sur cette maladie était une chance unique et son savoir en Herboristerie allait peut-être être utile à tout le monde, les problèmes sont les herbes qui commence à manquer et d'où Duscisio n'a pas refait de stock depuis bien longtemps maintenant. Ses voyages se sont fortement réduit ses derniers moi à cause de beaucoup de chose. Le réveil d'un être venu d'outre-tombe, un entrainement en magie long et nécessaire, un tournoi qui lui a demandé beaucoup de magie. Pour conclusion, voilà maintenant qu'il doit s'occuper d'une maladie inconnue fait son apparition dans le monde d'Isthéria.

Le fait de prendre un peu de tout dans son sac pour voir quel herbe utilisé, quel magie utiliser également. Il ne savait rien de se qu'il fallait faire mais il était là pour le savoir, expérimenter si nécessaire. Des conditions lui ont été données. Pas le moindre contact avec un malade sous peine d'être immédiatement contagieux. Cruel dilemme. Venir soigner une maladie inconnue qui te rend malade au moindre contact. Il ne pouvait rien arriver de pire. Duscisio avait besoin souvent de toucher pour connaître la raison d'un mal. Voilà maintenant qu'il est dénué de cette condition pour soigner. C'est là que la magie intervient. L'avantage quand l'on est mage c'est que l'on possède forcement de la magie utile. On en avait la certitude quand on regardait agir Duscisio sur un contaminé en ce moment même.

Sans le moindre contact, il auscultait un patient qui demandait des soins, sans compter qu'il demanda avant toutes choses un volontaire pour expérimenter quelques choses et que cela n'était pas forcement sans risque.* Il y avait beaucoup de concentration dans se qu'il faisait, mais n'était pas sûr de bien faire vu que c'était la première fois qu'il utilisait sa magie ainsi. Il prévenu d'ailleurs en sachant qu'il ne savait pas utiliser à bien cette magie, qu'il expérimentait la chose et que cela pouvait être douloureux. Avec les conditions pour ne pas se faire contaminer, il demanda à la personne de ne pas bouger quel que soit la cause, mis sa main au dessus d'une zone déjà solidifier et incanta :

Sirsada di Taraga, aïda mi. Dilini mi silinis onicnochitsit ki gdinil ti daï madoni por misdisi li sio.
Esprit de la terre, aide moi. Donne moi le savoir inconnu que garde ton enfant malade pour mieux le soigner.


La douleur que cette magie de dégradation des corps provoquait pouvait être douloureux selon la personne. Étant désolé d'avance, il continua malgré tout pour savoir se qu'il se passait. Il sentait se qu'il y avait à l'intérieur, pour la simple est bonne raison... que se n'était que de la pierre sur une partie du corps qu'il analysait de lui-même. Il ne passa pas plus de cinq minutes sur une même personne, ne sachant pas quel effet cela pouvait produire sur celui ci. Il fit la même chose sur plusieurs malades et ne s'arrêtait pas avant de sentir une moindre différence. Il travaillait dur. Ne tenant pas compte de la fatigue il continuait encore et passait même de salle en salle voir même sur des personnes non malade par simple précaution qui demandait à être ausculter pour connaître leur état. Bien qu'il n'était pas le seul altruiste dans les environs, il voulait en savoir le plus possible. Ne demandant pas d'information pour le moment de peur que ses propres analyse soit perturber par des pensées autres que celle qu'il avait en tête.
Il passa à une dernière personne avant de continuer sur une prochaine salle. Malgré cela, il avait une crainte et cette crainte était que cette maladie était soit lié à la divinité terrestre qu'il vénère, Taraga, soit une maladie magique beaucoup plus grave qu'il ne connait dans les bouquins qu'il avait d'ailleurs amener en même temps que ses sacs de centaines de plantes.

Sur la dernière personne dont il analysait le corps, celui ci avait beaucoup de douleur. Non pas à cause de la magie mais de Duscisio qui avait de plus en plus de peine à l'utiliser à force de le répéter sans arrêt. Son travail acharné le fatiguait beaucoup. Mais il y prenait beaucoup de cœur. Un peu trop même. Il s'arrêta soudainement. Trop forte il avait besoin de respirer quelques dizaines de minutes, haletant rapidement, jusqu'à en transpirer...

[HRP] *Si quelqu'un veut être un des patients en question, voir le dernier, qu'il le signal dans son RP.
Formule Auscultation terrestre ajouté au carnet.


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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeSam 17 Nov - 18:16

Chrysallia était couchée sur un lit, cela faisait plusieurs jours déjà qu'elle perdait des forces et avait entendu dire qu'une épidémie avait touché tout le continent. En faisait-elle partie? Elle n'avait pas attendu de mourir pour aller se faire ausculter et on avait décelé en elle qu'elle en était atteinte. Elle pense avoir la poisse et je ne peux qu'approuver ses dires.

Chrysallia se sentait très mal mais refusait qu'on s'occupe d'elle. Si une telle épidémie l'avait touchée c'est qu'il y avait une raison et elle souhaitait qu'on la laisse mourir. Bien sur ses parents avaient été contacté et ils étaient venus, ils avaient voulus rester près d'elle, ils avaient tentés de la raisonner mais elle avait catégoriquement refusé, elle s'était même levée en hurlant qu'elle attendrait sagement son amie la mort alors qu'on en s'occupe pas d'elle et puis elle était tombée sur le sol.

Ses parents avaient voulus l'aider à se relever mais elle les avaient arrêtés, elle avait entendu dire que la maladie se transmettait par contact, elle leur avait donc interdit de la toucher, leur avait dit de partir et de rentrer chez eux et de ne surtout pas s'inquiéter. Bien sur, elle était triste car elle aurait aimé faire et voir beaucoup de choses. Elle aurait aimé vivre sa vie en tant qu'artiste musicale mais maintenant, tout cela lui paraissait obsolète. La demoiselle se recoucha dans son lit et se laissa aller au sommeil bienveillant encore pour l'heure.
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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeDim 18 Nov - 18:52

    Il se trouve que la guerrière Sindarin aussi était touchée par cette étrange maladie qui dégrade la cible à chaque fois qu'elle utilisait la magie. Illumina s'en est rendu compte alors qu'elle était dans sa Guilde des Aventuriers alors que ça ne faisait que quelques semaines qu'elle était devenue le chef de cette guilde depuis que Rick était parti. Elle se rappelait très biens des mots de ses amis et collègue avant de partir pour Hespéria, la capitale du continent d'Eridania. Il parait que là bas ils avaient ouvert un "tribunal" de soin parce qu'il n'avait plus de place dans les hôpitaux, selon Seto, l'un de ses meilleurs amis.


    Lumin tu devrait vraiment aller voir un docteur, non mais regarde ta peau, elle tourne grise à chaque fois que tu utilise la magie, arrête ou tu vas finir par mourir. Bon sang, tu est la pire tête dure que je connaisse, tu ne pourrais pas m'écouter pour une fois?


    Ouais, ouais, je vais me rendre là-bas, mais ça fait un sacré bout de chemin. En plus je ne peux pas prendre mon cheval pour aller là bas, le seul contact physique avec Épona la rendrait malade elle aussi. Il me reste juste un option, y aller à pied...........


    Et c'est comme ça qu'Illumina arriva à Hespéria après 3 jours de marche. Dans le cabinet, elle essayait tant bien que mal à penser à une solution, mais quelqu'un qu'elle connaissait était dans la pièce. Un homme qu'elle n'avait pas vu depuis le championnat dans l'arène.de Thyrénium. Elle attenda alors passiament de se faire peut-être examiner, elle était d'ailleurs la dernière dans la file, assise sur un chaise avec une musique dans la tête pour passer le temps.
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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeMer 21 Nov - 1:44

[Il ne s'agit pas du Lord Lorindiar mais d'une de ses servantes, une gorgoroth du nom d'Imnia dont vous trouverez le descriptif dans les chroniques d'Ision et qui est présente pour la durée d'un seul poste]

Elle était venu jusqu'en ces lieux parce qu'il lui avait demandé, il avait entendu dire que la jeune Chrysallia allait bientôt mourir d'une terrible maladie et il avait mandaté Imnia pour qu'elle se charge des formalités et prenne la température de la situation.
Depuis bien avant le début de cette épidémie le Lord n'avait plus remit les pieds à Hespéria, préférant son domaine d'Aziah dans les vastes plaines à la capitale surchargée et désormais gouvernée par un pseudo Roi dont les attributs aussi bien physique que psychique ne tenait que grâce des des ficelles d'ingénieux marionnettistes ou de redoutables chirurgiens.
Quoiqu'il en soit, il avait comprit qu'il n'aurait pas le temps de rentrer à Cimmerium et son domaine était bien l'endroit le plus épargné qu'il connaisse. Les recherches qu'il avait mené l'ayant conduit à conclure que Imnia ne risquait rien dans cet environnement hostile il lui avait ordonné de ramener Chrysallia en vie et il lui apporterait les soins dans sa propriété, bien qu'elle ne séjournerait pas dans les bâtiments principaux, mais bien dans une de ses dépendances dans les bois, auprès de cette nature que la gamine chérissait tant.

La gorgoroth ignora tout ceux qui se trouvait là se frayant à passage à grands coups de coude si cela était nécessaire elle avait une mission qui n'allait pas échouer. Lorsqu'elle trouva le lit de la gamine cette dernière était pratiquement passé de vie à trépas. Elle s'empara d'un linge propre et imbibé d'eau pour la faire revenir à elle, plongeant son regard dans le sien elle lui demanda...


"Voulez-vous revoir la nature une dernière fois baronne? Celle qui vous a vu naître... . Votre précepteur et l'homme qui est à l'origine de votre titre vous y attende déjà, j'ai pris des dispositions pour que vos parents puisse nous suivre. Vous n'allez pas mourir dans cet endroit sordide."

Elle soutint alors la petite fille et la prit dans ses bras, ordonnant qu'elle la laisse passer elle ne souffrit d'aucun rivale lorsqu'elle annonça qu'elle avait dans les bras une Baronne que l'on avait placé parmi le peuple, la plupart des gens craignant la puissance de la noblesse à leur encontre.

Elle sortit du bâtiment et plaça la jeune fille dans une calèche qui n'attendait qu'elle et dont elle prit les rennes, elle fouetta dans les airs et les chevaux partirent de la citée au triple galop pour rejoindre le Lord dans son manoir...
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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeMer 21 Nov - 20:53

Chrysallia s'était retournée sur l'un de ses côtés pour dormir, de cette manière elle ne souffrait plus et puis quitte à mourir, autant le faire en dormant, non? La petite ne faisait pas attention à ce qui l'entourait, ce qui la fit se reconnecter avec le monde extérieur ce ne fut pas une personne mais une sensation: celle du froid.
Elle ouvrit difficilement les paupières et aperçue une femme qui lui demandait si elle voulait revoir la nature une dernière fois.

Chrysallia avait envie de pleurer, elle n'y avait pas penser jusque là mais de l'entendre de la bouche de quelqu'un cela lui faisait mal. En plus, cette femme lui disait qu'elle n'allait pas mourir ici, ce n'est pas comme si elle lui avait dit qu'elle n'allait pas mourir du tout, et cela avait fait un choc à l'enfant. Elle continua en disant que sa famille pourrait venir aussi, cela elle ne le souhaitait pas tellement, elle n'avait pas envie qu'ils la voient agoniser mais elle ne pouvait rien y faire et elle le savait pertinemment.

Chrysallia acquiesça d'une petite voix très enfouie en elle et se laissa porter par la femme. Cela lui fit de la peine de voir la réaction des gens quand celle qui la soutenait déclarait qu'elle était baronne et qu'ils devaient la laisser passer, après tout, elle n'était pas si différente du peuple, elle n'avait qu'un titre, qu'un mot rien de plus. Ce n'était même pas quelque chose de matériel qu'elle possédait, à la veille de sa mort (ou presque) elle se rendait compte que la société dans laquelle elle avait vécue était basée sur des principes totalement idiots.
Les titres devraient être donnés au mérite et rien de plus. Arrivée dans la calèche la petite s'endormit profondément.


[FIN: la suite se fera au domaine d'Ision]
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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeJeu 22 Nov - 0:34

Si Edmond pouvait placer un seul objectif devant le spectacle grotesque qui se jouait devant lui, c’était qu’il s’agissait là d’un réel foutoir. Le gorgoroth aussi aimable pouvait-il être, se trouvait quelque peu blasé et agacé devant pareil désorganisation. Certes l’excuse était de taille et il pardonnait tant bien que mal le chaos qui sévissait entre ces quatre grands murs.
Entre ceux qui pleuraient, ceux qui souffraient, ceux qui se lamentaient, ceux qui courraient, ceux qui se dévouaient, ceux qui tentaient de soulager… Un brouhaha s’élevait de façon continue et résonnait sans relâche, et le gorgoroth était pour le coup bien content d’être mort, car il s’imaginait déjà les terribles maux de têtes qui auraient pu le frapper dans de pareil conditions.

Si l’on était suffisamment peu absorber par le chaos ambiant on aurait put le voir parcourir les longues allées dessinées par des rangées de lits, tous occupés. Observant avec un certain dédain par moment, avec un réel désintérêt par d’autre, et parfois avec un léger sentiment de tristesse en voyant quelques parents pleurer un enfant ou encore un jeune couple maintenant séparé. Il examina parfois certaines plaies, demandant à quelle vitesse s’était répandue la maladie. Que de réponses variées. Ensuite il passa chez les médecins cherchant à découvrir si certains avaient remarqué des choses particulières, si d’autre avaient réussi à ralentir ou guérir ce mal. S’attardant même devant un petit bonhomme blanc qui recourrait à ses dons de terre afin d’examiner les corps de ses patients sans les toucher. Il s’avança vers ce dernier alors qu’il était en train de souffler.


« Vous faisiez quoi au juste avec ces gens ? »

Il n’était certes pas là de gaité de cœur, mais il avait reçu ses ordres d’en haut, alors il devait agir en conséquence. Et il cherchera autant qu’il le faudra…
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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeVen 23 Nov - 0:51

Grognant seul dans un coin, jurant entre ses dents de la situation actuel et au moment désagréable qui si passait, Marcus aurait fait le maximum pour évité les évènement du moment mais, ignorant de tout, il c'était retrouvé enfermer ici du a une demande étrange venant des soldats de Hesperia qui lui demandait de venir au tribunal pour sa quitté d'étrange accusation porté sur sa personne. Sachant que la demande avait été envoyer par lettre et donné en main propre par un homme des journées plus tôt avant les évènement présent, Marcus ne se serait pas présenté ,a savoir ce qui allait se produire. Ne voulant pas quitté et ressemblé a un lâche mais aussi il se disait souvent qu'il pourrait quitté les lieux, avec les Altruistes qui tentait d'aidés des malades atteins, ne disait rien de bon a Marcus.


Venu sans armes excepté son marteau, il avait laissé son ami Eralyx chez lui a Dalma tendit qu'il c'était dirigé ici, dans l’interrogation et de sérieuse recherche d'explication. Seul dans un coin du Tribunal, il regardait les malades afflué et se demandait si il n'allait pas chopé ce que tout portait en eux , une nouvelle maladie qui ne plaisait guéer a Marcus. Certains étaient couché ou d'autre dispersé car la maladie se transmettait par contact physique. Ne permettant a personne d'approcher de lui, ignorant lui même si il était touché, il préférais en resté la, seul et dans l'ignorance, tendit que le colosse forgeron était seul dans son coin, a regarder son marteau, ignorant que la magie pouvait être déclencheur du problème alors qu'il modelais des formes dans la tête en métal de son marteau.
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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeLun 26 Nov - 22:35

Alors qu'il reprenais son souffle à cause de l'utilisation trop intense d'une magie qu'il n'a jamais utilisé, quelqu'un vint l'interpeller. Et d'après se qu'on lui posait comme question la plus simple réponse qu'il pouvait faire était de lui répondre le plus logiquement possible après avoir bu une petite gorgé d'eau qu'il possédait dans son petit sac.

J'examinais les personne ici présentes...

Quel réponse ! Heureusement et pour le moment il n'avait pas à expliquer se qu'il avait ressentie à partir de sa magie expérimentale, la seule chose qu'il pouvait conclure était encore flou mais il paru songeur, posa sa main sous le menton afin de se mettre à réfléchir... a haute et rapide voix...

D'ailleurs cette maladie n'a rien de banale, sans compter quelle utiliser la magie pour se propager il se peux que ma propre magie ai accélérer le processus de propagation dans leur corps ou démarrer celle ci par simple utilisation de magie. Le simple contact suffit à rendre malade et contagieux une personne qui en touche une autre qui possédait déjà la maladie. Le fait de voir le corps se transformer en pierre pourrait être une maladie magique qui transforme la peau et tout se qui constitue la personne dans une matière ressemblant à de la pierre.

Il se relâcha un moment et continua de plus belle.

La pétrification en elle-même est une magie complexe et mortelle qui à divers effet sur le corps humain ou animal, la magie de pierre pourrait être la cause de cette maladie se qui veux dire que cette maladie là provient d'une source elle-même magique mais il faut un support comme un magicien ou encore un animal possédant une pierre de sphène pour que cette maladie magique se propage par la volonté de celui ci. Ici n'étant pas du tout le cas, la question pourrait être es-ce vraiment une maladie et non une simple propagation magique anormal d'un corps utilisant l'énergie spirituelle d'un être pour se propager. Le corps agirait donc comme un catalyseur sans volonté mais avec une volonté de se propager indéfiniment ou même encore une utilisation de magie trop importante du corps qui cherche à se protéger magiquement d'un ennemi qu'il n'arrive pas à combattre normalement un corps étranger.

Une inspiration profonde par le nez et...

Mais juste ici même un corps humain n'utilise pas de magie pour se soigner ou encore utilise la magie d'une certaine manière pour que l'énergie magique fasse un effet bénéfique. Le fait que le corps se transforme en pierre doit-être un effet secondaire de cette nouvelle manière du corps à se soigner seul mais un utilisateur possédant un pouvoir de régénération accepte la magie naturellement et par un talent qu'il à lui-même travailler à travers les années ou simplement pas simple utilisation fréquente de magie bénéfique. C'est une autre magie complexe de soin mais qui n'a rien à voir avec le fait qu'un effet secondaire pourrait survenir. De plus, le corps en lui-même se soigne tout seul sans magie se qui veux dire que la régénération d'un corps par la magie n'est qu'une utilisation de magie continue et donc fatiguant pour le corps si celui ci se soigne constamment c'est pour cela que l'on apprend à utiliser la magie.

Remarquant qu'il dévia sa réflexion, il prit une courte pause de réflexion et reparti sur :

Mais tout ceci n'a rien à voir avec le temps que le corps se pétrifie de lui-même. Encore que toutes les hypothèses sont possible, donc rien ne doit être laisse au hasard. La plus simple manière de savoir se qu'il se passe dans un corps contaminé serait que je le sois également mais cela n'arrangerait pas les choses car l'envie d'utiliser la magie pour se soigner ne fera qu'empirer les choses d'après les informations échangés. La pétrification se basse sur la terre et la pierre, moi-même pouvant utiliser celle ci pour recouvrir un corps avec la sensation d'être pétrifier à déjà été utiliser il y a peu de temps au tournoi, donc se n'est pas une fausse pétrification, sans compte qu'un corps entièrement recouvert de pierre meurs et part en poussière, toujours d'après les informations échangés, sans compter que le cœur se transforme lui-même en pierre de sphène et qui plus est différant suivant la race de la personne contaminée...

Arrêtez le !!!


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Dernière édition par Duscisio Balibe le Mer 5 Déc - 23:41, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeMar 27 Nov - 1:03

    Illumina n'en avait marre d'attendre encore et encore à voir le médecin, elle décida tout de même de faire preuve d’altruisme en regardant la bibliothèque devant elle et ses nombreux livres et magazines dans cette dernière. Elle décida alors de se lever et de parcourir quelque mètre pour aller feuilleter ces livres intriguant. La guerrière Sindarine essaya en même temps d'en trouver un sur la maladie de la Sarnahora, une maladie jusqu'à aujourd'hui inconnu de la Valkyrie Blanche.


    C'était plutôt varié comme sujets, il y avait des recueil sur une majeure partie des maladie existante, mais elle avait beau chercher, elle n'en trouva aucun sur sa maladie. Elle continua tout de même à chercher dans la bibliothèque, écoutant en même temps, un peu de travers, Duscisio qui semblait très bavard à se parler à lui-même. Elle finit enfin par trouver quelques-chose après quelques minutes de fouille. Le plus drôle c'est que c'était écrit en langage Sindarin à l'intérieur, comme quoi il a dû être écrit par un homme ou une femme de son espèce. Elle se mit alors à lire à haute voix un peu comme Duscisio, ne se préocupant pas des autres qui semblait vouloir comprendre ce qu'Illumina racontait.


    Yr juemà, za m'ye ahveh dnuijé! My Cynhyruny, iha symytea xie yddaehd m'unkyhecsa ad xie acd dnèc tyhkanaica, m'idemecydeuh ta my sykea ah bnécahla ta ladda symytea tesehia m'acbénahla ta jea ta my jeldesa ah tédniecyhd m'unkyhecsa.
    (Ah voilà, je l'ai enfin trouvé! La Sarnahora, une maladie qui atteint l'organisme et qui est très dangereuse, l'utilisation de la magie en présence de cette maladie diminue l'espérence de vie de la victime en détruisant l'organisme.)

    Il faut que je trouve quelque-chose, peut-être avec l'aide de Duscisio?
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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeMar 27 Nov - 4:53

Seul dans le même coin que depuis son arrivé ici, le forgeron solitaire avait cesser tout activité et était resté frustré , assis au sol adossé au mur, laissant son marteau pendre de sa main tendit qu'un homme qui tentait d'aidé les infecté, entré tout droit dans son monde. Bien qu'il avait l'air épuisé, il savait que la maladie allait l'atteindre par son usage intense de la magie. Un usage magique qui selon lui sauvait les infecté. Ne croyant que a lui même ou que a Bor, il soupirait chaque heurs qui passait mais, bien que tranquille , cela allait changer.

tendit qu'il glissait ses doigts sur son amulette, deux griffes de loups entre croisé soutenant une Pierre de Sphène, il remarqua que plusieurs contaminé qui se tenait non loin leva le regard , des regards mauvais qui n'avait qu'une chose en tête, prendre l'amulette qui selon eux serais le moyens de les soignés. Bien que au début rien de graves, repoussant les malades du bout de son marteau en leurs disant poliment de reculer, il attira le regard de certains gardes qui se tenait non loin en cas de problème et il les vit accourir alors qu'il du frapper légèrement l'un des malades qui tentait agressivement de sauté sur le forgeron solitaire. Bien que beaucoup de regard fut tourné vers lui, ayant attiré l'attention de beaucoup dans la pièce, il fit tournoyer son marteau dans sa main avant de le ranger dans ce qui semblait être un support pour. Ne tenant pas a être infecté, il se leva , laissant sa main glissé sur la tête de son marteau pour évité les mains de certains malades qui se tenait élancé pour lui agrippé la jambe et il sauta sur le trône du Jury, innocupé pour s'y installé confortablement durant le moment ou il choisirait si oui il allait se faire examiner ou resté perché ainsi , hésitant aucunement a frapper qui tenterais de venir le contaminé.
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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeMer 28 Nov - 21:04

    Éreintée, désespérée, découragée... Tout ces sentiments l'avaient subitement happé avec violence et ardeur. Cela s'était passé si vite, que la Rôdeuse avait cette ignoble impression que tout ces problèmes furent apparus la veille... Cela avait commencé par des rumeurs, murmures emportés par le vent résonnant aussi sinistrement qu'un zéphyr de Nivéria. Elles furent des plus inquiétantes, des bruits courraient que des êtres étaient atteints d'un étrange mal. Les symptômes se manifestaient par l'apparition de plaque semblable et aussi dure que la pierre. Oui ! De la pierre ! Ils se changeaient en pierre ! Et après un certains temps, quand la maladie eut ravagé l'intégralité du corps... la personne disparaissait dans un amas de poussière, laissant derrière eux un coeur cristallisé... Une pierre de Sphène.

    Cette maladie qu'on nomma très vite Sarnahroa avait grandement inquiété Aliénor qui s'était hâtée de prévenir Sighild, meneuse des Eryllis, de son existence. Mais hélas, quelle fut sa douleur quand elle constata que le mal avait atteint celle à qui elle devait la vie. Estomaquée, alarmée, détruite... Sur tout les êtres que la pauvre Terranne connaissait, pourquoi a-t-il fallu qu'on s'en prenne à Sighild ? Pourquoi les Dieux s'acharnaient-ils sur la Rôdeuse ? N'en avaient-ils pas fait assez fait par le passé ?! Oh, mais elle ne laissera pas Kron la prendre aussi facilement. Oui, elle se fit la promesse en prenant la route pour Hesperia qu'elle ne laissera plus les Dieux lui voler les êtres qu'elle chérissait le plus... Elle fit ainsi le serment qu'elle usera de tout ce qui était en son pouvoir pour trouver un remède à ce fléau qui dévastait ce monde. Il n'y avait plus une minute à perdre, le temps était compté ; c'était une course contre le temps, une course contre la mort...

    En premier temps, elle passa des jours durant à feuilleter chaque ouvrage de la Bibliothèque des Lumières pour trouver une piste, un indice, un remède... Mais il semblerait que les sources écrites sur ce mal y étaient rares et aucuns médecins n'avaient trouvé comment en guérir. Cependant, un ouvrage parmi tant d'autres attira toute l'attention de notre jeune érudite. Elle y passa bien une journée à décortiquer chaque mot, chaque phrase de ce parchemin pour finalement être persuadée qu'elle tenait là une des clefs du mystère. La Rôdeuse avait alors retranscrit tout l'écrit dans son journal pour être sûr qu'elle puisse garder ses précieux indices sur elle. La Terranne aurait voulu prolonger ses recherches, mais un appel de désespoir arriva très vite à ses oreilles. On réclamait de l'aide, toute l'aide qu'on pouvait récolter, notamment des médecins, au tribunal d'Hesperia. C'était l'occasion où jamais de voir de ses propres yeux la Sarnahroa. Elle ne pensait pas qu'elle serait d'une grande aide, n'étant pas médecin mais guérisseuse, mais on pouvait toujours essayer et puis, peut-être trouvera-t-elle d'autres indices ? Elle quitta donc la Bibliothèque des Lumières, se promettant qu'elle reviendra dans ce lieu de savoir pour la mission qu'elle s'était fixée.

    C'est ainsi qu'elle se retrouva dans cet enfer... C'était tout simplement invivable ; toute cette souffrance, ces pleurs, ces morts... Aliénor jonglait entre les grands malades et les consultations, mettant son moral et sa résistance à rude épreuve. On ne savait où se donner de la tête ! Des gens vous attraper le bras pour vous suppliez de les consulter ou de sauver leurs proches malades. Et vous, vous ne pouviez rien faire, hormis les promettre de faire tout votre possible pour trouver une solution. Ça courait de droite à gauche, ça criait, ça s'énervait, ça pleurait... Jamais, au grand jamais, la pauvre Rôdeuse n'avait vécu pareil enfer ! Oh, elle faisait de son possible, mais la cadence était tout simplement ingérable.

    Le coup de poignard planté dans le coeur de la pauvre jeune femme se déroula en début d'après midi. Alors qu'elle tentait de reprendre son souffle dans un coin, essoufflée et en sueur d'avoir tant usée son pouvoir de guérison, elle crut entendre des murmures à quelques pas d'elles. Deux personnes, qui étaient là aussi pour offrir leurs aides, parlaient d'un homme sur le point d'être emporté par la maladie. On l'avait mis à l'écart des autres, dans une petite salle, pour ne pas alarmer les autres patients et créer une débandade. Aliénor voulut voir de ses propres yeux cette fameuse mort et c'est ainsi qu'elle rentra, seule, dans cette pièce à peine éclairée par la lueur d'une bougie au chevet de cet être mourant. La Terranne s'était rapprochée sur la pointe des pieds, accompagnée d'un froissement de tissus et s'était assise sur une chaise à côté du jeune homme. Cette vision lui brisa le coeur ; un jeune homme, peut-être à peine plus âgé qu'elle, se tenait là, allongé, telle une statue de marbre. Son corps n'était que de la pierre, seule une partie du visage n'était pas encore atteint : son oeil gauche, sa joue et son nez, lui permettant de respirer encore un peu avant le moment fatal. Quand il sentit l'approche de la jeune femme, il vira son unique oeil bleu sur la nouvelle venue, l’interrogeant sans nul doute du regard de la raison de sa venue alors qu'une lueur de souffrance et de peur brillaient dans ses iris. Il ne lui restait plus beaucoup de temps, l'Eryllis le savait et elle fut dans l'incapacité de rebrousser le chemin. Si il y avait bien quelque chose horrible, c'est bien de mourir seul, sans la moindre compagnie, à attendre la mort... Si c'était là les derniers instant de ce jeune homme, elle voulait lui offrir de sa présence, une toute dernière compagnie avant de mourir. Alors, elle sortit de sa sacoche sa flûte traversière en bois...

    Croyait le ou non, mais Aliénor offrit un monde à ce pauvre mourant, un monde calme et enchanteur, où le bruissement du vent y était maître dans la forêt de Noathis sous les lueurs des deux majestueuses lunes qui trônaient dans le ciel étoilé. Les Bublus entamaient là leurs mélodieux chants accompagné du ruissellement cristallin de la rivière d'Oxia... L'harmonie parfaite entre le Dieu Fen et Délil... Et dans cet oeil unique, le mourant n'avait plus peur car il savait qu'il allait rejoindre ce monde dans ce dernier souffle. Alors, plus aucune inquiétude ne se lisait dans son regard, seulement de la reconnaissance et de l'apaisement... Jamais Aliénor n'oubliera ce regard... La pierre emporta son visage et il rendu son dernier souffle sous une dernière note. Le corps se désintégra dans un nuage de poussière et une larme mourut dans le sol froid. L'Eryllis observa ce qu'il restait du corps dans un lourd silence, laissant ses joues se sécher naturellement de ses larmes amères. Elle fixa sinistrement ce coeur cristallisé au couleur de Délil... et un sourire bien triste naquit sur ses lèvres. Oui, ce pauvre jeune homme avait rejoint le royaume de Délil dans un sens. Comateuse, elle se releva doucement alors qu'elle rangeait sa flûte et, sortant un morceau de tissus dans son sac, elle prit ce pauvre coeur peut-être encore gorgée de vie entre ses mains. Non, elle ne voulait pas le laisser aux mains d'inconnus, elle voulait le prendre pour elle. Peut-être trouvera-t-elle des réponses dans cette pierre de Sphène. Mais elle se promit que, quand tout ceci sera terminé, qu'il retournera dans sa dernière demeure : dans la forêt de Noathis. C'est donc avec douleur qu'elle rangea soigneusement ce trésors au fond de son sac et qu'elle quitta la pièce.

    La journée reprit son cours bien qu'Aliénor était toujours atteinte par cette mort. Elle faisait comme elle pouvait pour aider les autres, usant de son pouvoir de guérison pour trouver l'origine du mal sur ses patients gravement atteint. Les heures passent et la jeune femme se laissa tomber contre un mur, totalement épuisée. Haletante, elle sortit une gourde de son sac dont elle but une grande gorgée pour finalement faire une grimace. Le goût y était infect, mais cela allait l'aider à la requinquer. Elle ferma un moment les yeux et, prenant aux creux de ses mains son catalyseur, une douce lueur bleuté plongea le corps tout entier de la jeune femme. Combien de temps allait-elle pouvoir suivre le rythme ? Peut-être jusqu'à qu'elle s'écroule inerte au sol ; elle ne voulait pas abandonner, elle devait continuer coûte que coûte pour ces pauvres personnes souffrant de ce mal. Elle resta ainsi, un moment à terre, avant que la lumière cessa de se diffuser et qu'elle se relève maladroitement en manquant de tomber. Non, elle ne devait pas abandonner...

    Soudain, du coin de l'oeil, elle crut apercevoir une chevelure rouge parmi cette foule imposante. Son coeur ne fit qu'un tour et aussitôt la Rôdeuse fit quelque pas précipité en sa direction :

    - Calixt...
    - Excusez-moi !


    L'Eryllis fut coupé par son élan par une pauvre dame marqué par la fatigue et l'inquiétude, elle tenait dans ses bras un jeune bambin de cinq ans.

    - S'il vous plait ! Pouvez-vous regarder mon pauvre enfant ? J'ai peur qu'il ait attrapé cette maladie ! Oh je vous en supplie !

    Elle ouvrit la bouche, voulant formuler un refus. Mais quand elle leva ses yeux vers la foule, la chevelure rousse avait disparu... Avait-elle rêvé ? Ce n'était peut-être pas son tendre ami érudit... Elle finit pas lâcher un long soupir ; elle voulait parler à Calixte, elle avait besoin de sa lumière pour lui exposer les indices qu'elle avait trouvé sur ce fléau. Finalement, elle déposa son regard sur les yeux de cette pauvre mère apeurée :

    - Déposez l'enfant sur le sol...

    La journée était décidément bien longue...
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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeSam 1 Déc - 17:13

    Tous les médecins du pays se battaient en ce moment même, tous les médecins faisaient de leur mieux pour rassembler toutes les informations possibles sur la maladie. Les épidémies étaient vraiment le fléau des peuples, et nombreux étaient les ravages que l'on pouvait compter dans les livres d'histoire à ce sujet... toutefois, aucun d'entre eux ne parlaient de cette curieuse maladie qui pétrifiait les pauvres bougres qui étaient atteints. Calixte s'était même arrachée les cheveux à tenter de comprendre son fonctionnement, mais elle perdait son temps. Toutefois, elle pensait avoir quelques pistes. Avec de nombreux confrères, ils s'étaient rendus compte que l'utilisation de la magie accéléraient les symptômes de pétrification. Si la maladie réagissait à la magie, cela devait forcément avoir un lien avec l'essence divine, substances incompréhensibles et invisibles du monde. Mais pourquoi cela entrainait la pétrification de la chair et la cristallisation du cœur? Et si les réponses ne se trouvaient pas dans son fonctionnement mais son origine? Il était impossible de véritablement connaître le patient zéro, ce dernier devait être décédé depuis un certain moment. Et le médecin qui devait s'occuper de lui? Peut-être était-il mort aussi.... combien de ses confrères avaient été touchés dans l'exercice de leur métier? Un certain nombre... trop peut-être.

    Quoiqu'il en fut, notre médecin sylphide avait décidé de rejoindre la capitale et d'offrir ces services aux terrans, plutôt que de rentrer auprès des siens. La jeune femme n'aurait pu se pardonner si elle avait fait le choix contraire. Et puis, elle ne connaît que trop les manières sylphides, si elle était rentrée pour soigner les leurs, ils ne leurs auraient pas permis de repartir pour soigner les autres peuples. Tant pis si elle prenait le risque d'être contaminée à son tour... cela en valait la chandelle. Mais ce n'était peut-être pas qu'une question de professionnalisme ou d'envie d'affronter l'autorité sylphide comme une adolescente qui se battait contre l'autorité d'un parent, c'était peut-être aussi par fierté et de stimulation intellectuelle. Calixte était certes altruistes, mais elle était aussi une savante. Elle ne pouvait lutter contre sa nature curieuse.

    Rejoignant alors les locaux de quarantaine - c'était à dire le tribunal - notre médecin avait pris les dispositions nécessaires pour tenter d'éviter tout contact direct avec les malades. Toutefois, elle refusa de dissimuler son visage. Si elle fallait qu'elle les accompagne vers une mort certaine, alors elle les regarderait dans les yeux et leur offrirait son plus beau visage.

    La jeune femme - qui aux yeux des concitoyens d'Hesperia était un homme - passa sa journée à se rendre au chevet des malades les plus sérieux. Seulement, puisqu'elle cachait sa nature sylphide, il lui était parfois nécessaire de feindre la fatigue. Dans ces moments là, elle préférait donner de son temps pour les consultations ou calmer les familles inquiètes. C'était une tâche moins contraignantes pour elle. Elle passait alors son temps à se mouvoir dans tout le tribunal, parfois à la recherche de visages familiers, mais aussi rassurait quand elle n'en voyait pas.

    Mais qu'importe les visages compatissaient qu'elle affichait, il était facile de noter son inquiétude mais aussi son agacement. Elle souhaitait, elle guettait à ce qu'à tout moment, que quelqu'un vienne lui apporter de bonnes nouvelles. Un remède, une information... qu'importe... tout était bon à prendre à présent.
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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeSam 1 Déc - 20:41

    Illumina continua encore et toujours à lire la brique, aussi épèce qu'un dictionnaire Sindarin, qu'elle avait dans les mains sans toutefois rien trouver. La seule chose qui Intriguait la guerrière Sindarin était le passage ou ça disait que la maladie finit par pétrifier celui qui l'attrape, en plus la magie accélérait le processus. Le seul problème, c'est que les dernière pages n'étaient pas écrites en Sindarin mais dans une langue qu'elle ne connaissait pas du tout, elle connaissait le Teran et sa langue maternelle mais celle là était plutôt intriguante, peut-être étèce du Ladrini ou un langue quelconque?


    Merde, pourquoi fallait-il que je tombe sur une brique pareille, pourquoi avoir écrit les dernières pages en langue inconnue......


    Elle demandait à certain des patients en quarantaine avec elle, si quelqu'un d'entre eux connaissait la langue, mais sans succès. Peut-être se passage du livre décrivait comment combattre la maladie ou peut-être un remède? Puis, elle vit un visage familier entrer à l'intérieur, il faut dire qu'elle n'avait pas trop peur avec tous ces gens infectés. Elle se rappelait bien d'elle, ce docteur qui l'avait aidé à comprendre son pouvoir de foudre quand elle ne pouvait pas encore le contrôler convenablement..... Docteur Telena


    Bonjour docteur Telena, dit-elle tout bas pour ne pas que les autres l'écoute, elle faisait attention en même temps de ne pas la toucher car la maladie se transmettait par le touché. J'ai ici un ouvrage sur la maladie qui pourrait bien vous intéresser, docteur comme vous êtes. Il est écrit en Sindarin mais j'imagine qu'un docteur bonne à tout faire a eu le temps d'apprendre pas mal de langues dans sa vie haha! Mais ya un truc bizarre, les dernières pages sont écrites en une langue que je ne connais pas, ces du quoi par hasard?


Dernière édition par Illumina Ragnarok le Mar 4 Déc - 19:52, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeSam 1 Déc - 23:34

    Aliénor était à nouveau adossée contre un mur, à boire comme une ivrogne sa gourde en peau... Mais non, ne vous inquiétez pas, ce n'était pas de l'alcool - même si cela lui démangeait d'en boire pour oublier cette satanée journée - juste de quoi lui faire tenir le coup. Mais le davantage de cette concoction aux multiples herbes médicinales est qu'à trop en boire, cela pouvait la nuire. Le coeur pouvait s'emballer dans une course folle, un manque d'air, la vue qui se trouble... et enfin un malaise. Elle n'était pas encore à ce stade, loin de là, mais si elle persistait à en boire, il ne faudra pas qu'elle se plaigne si elle se retrouve clouée dans un lit. Ça c'était le pire cauchemars de la Rôdeuse ; se reposer à rien faire dans un lit. C'est pour ça que, dans un sens, elle plaignait ces pauvres gens qui étaient obligés d'attendre un miracle, couchés dans ces lits de fortunes... Ils devaient prendre leur mal en patience, fixant le plafond dans une angoisse permanente, sans pouvoir voir les rayons des soleil, sentir la douceur d'un zéphyr, le parfum de Délil...

    Cette vision donna la sensation à la guérisseuse d'être oppressée, enfermée, la mauvaise impression que l'air lui manquait... Claustrophobe ? Non, ou peut-être un peu... Disons qu'elle haïssait d'être enchaînée ; elle voulait se sentir libre comme l'air. Mais elle ne pouvait partir, Aliénor devait rester, pour eux, pour le peuple, pour Sighild... Une larme glissa le long de sa joue et la jeune femme s'empressa de la faire disparaître d'un revers de main. Non ! Elle ne devait pas se laisser abattre !

    - Bon Dieu Aliénor... Ressaisis-toi ! Murmura-t-elle en plongeant son visage dans ses mains.
    - Petite nature, va ! Je savais que tu ne servirais à rien à l'Ordre, mais personne ne voulait me croire !

    Cette voix... L'Eryllis releva subitement la tête... bien haute. Une créature de près de deux mètres la surplombait avec un sourire narquois au bout de ses lèvres verdâtres où deux crocs s'en détachaient.

    - Dents acérés, souffla-t-elle d'un air hautain.
    - Ombre furtive...
    - Qu'est-ce qu'un satané Zélos fiche ici ?!
    - La même chose que toi, petite chose... Il l'empoigna par la cape et la souleva comme si elle était qu'une simple petite plume. Aider ces pauvres personnes face à ce mal des plus étrange. Quel dommage que tu ne sois pas atteinte ! Ça m’aurais tellement fait plaisir !
    - Reposes moi à terre ! Vieux c... Aïe ! Mais ça va pas ?!
    - Et ça insulte un ancien... Ben, bravo !
    - C'est toi qui a commencé ! Tête de Carnéa !
    - Hahahaha ! Tu réponds tellement vite à la provocation ! C'est tellement mignon...

    Pour souligner cette situation des plus tendus, il plaça une griffe décharnée sous son menton et commença à lui grattouiller en affichant un sourire narquois et hautain. Aliénor réagit au quart de tour et un grognement animal fit vibrer sa gorge pour finalement mordre le doigt de ce Zélos. Hélas, elle mordit que du vent et Dents Acérés lâcha un rire tonitruant avant de lâcher cette pauvre Terranne qui s'écrasa comme une crêpe au sol. Avant même que celle-ci puisse répliquer, son Aîné s'était éloigné d'elle en lâchant d'une voix moqueuse :

    - La vie est un long chemin semé d'embûches... Il suffit juste de savoir les enjamber.

    Elle l'observa en silence, quelque peu troublée et désorientée. Voici le lien vache dont partageait ses hommes encapuchonnés ; entre la taquinerie, l’austérité, et les insultes, ils étaient soudés et de bons conseils. Toujours... Surtout les Aînés.

    - Enfoiré, souffla l'Eryllis en affichant un magnifique sourire reconnaissant.

    La jeune femme se releva habilement alors que, sourire toujours aux lèvres, ses paroles raisonnaient dans sa tête. Il avait raison, elle devait se battre et avancer quelque soit les obstacles. C'est sous cet élan de motivation qu'elle continua sa journée dans les consultations pour alterner entre les blessés grave et les simples observations. Ces dernières étaient, certes, plus difficiles à gérer mais beaucoup moins blessantes ; la vue des ses personnes mourantes était difficile à encaisser et ces consultations se passèrent sans encombres bien qu'Aliénor commençait à se fatiguer.

    Soudain, elle crut voir à nouveau cette chevelure rousse si familière parmi la foule et cette fois, Aliénor ne la laissera pas disparaître ! Elle se déplaça habilement entre les personnes, vite et avec agilité sans quitter du regard, telle un rapace, cette chevelure... Et se retrouva nez à nez avec cette personne si cher à la louve solitaire qui semblait être accompagné d'une Sindarinne, mais n'est pas Aliénor qui veut ! C'est ainsi, alors que la Sindarinne semblait lui adresser la parole, que l'Eryllis se dressa derrière le docteur Telenna et posa une main bienveillante sur son épaule pour lui murmurer à l'oreille d'une voix douce et chaleureuse :

    - Je suis heureuse de vous revoir, mon ami, bien que j'aurais préféré que notre rencontre se déroule en d'autres circonstances. Veuillez m'excuser si je vous dérange et si je vous arrache à cette charmante compagnie, mais j'ai besoin de votre présence et de vos lumières... En tant qu'amis et érudits... et assoiffés de savoir.

    Sa voix vibrait de supplice et de mystère, comme si l'affaire qu'elle voulait traiter avec lui était des plus urgentes et elle ne pouvait attendre. On pouvait aussi sentir qu'il y avait des jeux de mots que seul le gentil homme pouvait comprendre. Peut-être aura-t-il comprit sur quelle requête elle voulait débattre avec lui et qu'elle voulait s'exprimer seule et à l'abris des oreilles curieuses... Si elle avait des regrets d'avoir coupé la Sindarinne ? Nul ne le sait, elle semblait si austère mais il est claire qu'elle ne s'était pas dérangée à couper la discussion et étrangement, cela rappelait une étrange scène qu'elle avait vécu il y a longtemps... N'était-ce pas justement en coupant une conversation entre un docteur et deux jeunes qu'ils se sont rencontrés ?
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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeMer 5 Déc - 0:35

Bien que non contaminé, le forgeron était irrité d'être ici ,entouré d'infecté qui tentait soi d'attraper son catalyseur ou de simplement l'infecté. Le forgeron avait remarquer que dans les rapprochement avec des infecté presque changer en pierre, il avait remarquer une fine poussière grise flotter dans l,air et aller directement vers le catalyseur. Ignorant si c'était de cette façon que l'infection par la magie ou le fait que cela empirait était du a ceci mais, le forgeron n'était plus capable. Il était sur le point d'éclaté , a être enfermer ici que du haut du siège du jury , il pris son marteau et hurla d'une voix forte qui couvris toute les voix présente.

-Ouvrez cette porte je sort d'ici ! Hurla t'il alors qu'il descendait de son perchoir , gardant son marteau prêt a repousser les malheureux qui tenterais de l'approcher. Bien que moins animé d'approcher le forgeron, un seul recula en recevant un coup de manche dans le ventre alors que malgré les conseilles des gardes qui lui indiquait de pas sortir, il quitta les lieux débordant de jurons, supportant mal d'être enfermer. Il savait l'endroit fortement contaminé et il évita tout contact , évita la nourriture et surtout les petites rues pour son propre bien. Aussi vite qu'il était sortie, il avait disparu.
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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeMer 5 Déc - 18:15

C'est dans ce genre de réflexion que les connaissances passées sont parfois utile. Le tilt qui l'arrêta dans sa réflexion à haute voix dont la cadence était très difficile à suivre, on ne pouvait comprendre comment il faisait déballer toutes ses hypothèses. En langue commune c'était déjà le bazar mais alors en fallacien je ne vous dis pas comment cela serait.
Entre ceux qui parte pour le propre compte et égoïsme et les autres qui reste pour chercher, soigner, ausculter, lancer des hypothèses plus farfelues les unes que les autres, discuter entre eux de la maladie, le monde se portait comme à son habitude même dans le cas d'une grande crise médicinales comme celle ci.

Duscisio quant à lui était parti chercher son sac dont lequel avait été remplit au préalable de bien comme des herbes médicinales et des bouquins de toutes sortes plutôt volumineux dont il en ouvrit un sur une table après un fracas quand il le posa soudainement pour commencer sa recherche. Le titre était illisible pour beaucoup, la langue n'était compréhensible que l'herboriste, car il n'y avait pas que le titre mais aussi le contenue qui était difficile de comprendre.
Duscisio avait déjà posé ses yeux sur plusieurs des pages qu'il lisait à la va vite pour trouver plus rapidement se qu'il cherchait, son doigt passait les lignes là ou ses yeux était posé pour la facilité de lecture, cherchant un terme bien particulier pour se qui pourrait être une solution temporaire, ou définitive avec un peu de chance mais cela n'allait pas à l'encontre du fait que l'on ne connaissait pas grand chose de cette maladie qui avait toucher tout Isthéria.
C'était, et c'est une belle saloperie que nous avons là. Se faire pétrifier et pas qu'en sensation il devait bien avoir quelque chose pour contrer ou ralentir les effets.

Guimauve, jus de salamandre, verveine était quelques mots que Duscisio prononçait pour se mémoriser les solutions possible pour ralentir les effets de la pétrification. La magie de la terre pourrait être aussi un ingrédient dans la solution, Duscisio connait bien l'utilisation de la magie dans ses remèdes et pour cause...
Bien qu'il recherchait des informations probable non pas contre la maladie mais contre la pétrification en elle-même, il était bien connue qu'il était possible d'y remédier sauf dans le cas où un être était entièrement solidifier, il fut interpeler pour une aide qu'un malade demandait pour se faire ausculter et éventuellement ressortir s'il n'avait rien.
Il referma son manuscrit pour le remettre dans son sac qu'il laissait sur place et reprit ses fonctions de mage-médecin improvisé. Recommençant sa formule de sa magie terrestre pour contrôler le corps avec plus de douceur, ses mais restèrent à distance et une fine douleur s'en ressortait...


LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Htp8
Handicap. Faculté magique grandement réduite.
LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Ogp4
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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeMer 5 Déc - 22:06

    Les visages se succédaient, tous, les uns après les autres. Le bon docteur se voyait rassurait de ne jamais voir de traits familiers, mais c'était peut-être un rêve trop doux. Néanmoins, même si elle était sereine sur l'idée de ne jamais croiser de personnes connues, avait-elle le droit de se sentir légère? Les malades s'entassaient toujours un peu plus, et le nombre ne décroissait aucunement. C'était désespérant.... Toutefois, il serait bien malvenu pour un médecin de baisser les bras et la sylphide espérait plus que tout au monde que ses camarades Eclaris aient trouvé ne serait-ce qu'une petite information sur la sarnahroa. Mais alors que la doctoresse retroussait ses manches, une voix familière l'interpella.

    Là, étonnée, elle se retourna et reconnue une jeune sindarin qu'elle avait aidé il y avait un petit moment maintenant. Elle était venue la rencontrer dans le village de Dalma afin de l'aider à mieux contrôler ses pouvoirs. C'était une rencontre plutôt anodine, mais elle n'en conservait pas un mauvais souvenir. Malheureusement, de la savoir présente dans la pièce des contaminés lui laissait tristement déduire que cette jeune femme n'avait pas été épargnée. De sa voix grave et sombre, elle se rapprocha d'elle et la salua.

    " Mademoiselle Ragnarok. Je suis bien malheureux de vous rencontrer ici. Il m'aurait été plus agréable de vous croiser... autrement. Êtes-vous gravement atteinte? "

    Mais n'eut-elle à peine le temps de poser la question que son attention se tourna vers l'ouvrage que lui tendit la sindarin. Là, Calixte le feuilleta rapidement. Effectivement, la plupart des pages était écrite dans la langue natale de la jeune fille, mais le reste était une langue morte depuis déjà bien longtemps. Il était étonnamment surprenant de voir un livre passer d'une langue à une autre. C'était peu commun.

    " Vous m'avez en haute estime Mademoiselle, mais je ne suis qu'un modeste médecin. Néanmoins, vous avez assez de chance car j'ai déjà vu ces écritures. Ceci est une langue morte, autrefois parlé par les terrans. Ce n'est plus utilisé depuis des siècles mais il demeure encore de nombreux livres de ce genre. J'ai rencontré des Eclaris qui se plaisent à les traduire dans notre langue la plus courante. "

    Les yeux de la jeune femme se baladaient sur quelques pages, comme si elle en faisait une lecture rapide. Elle afficha alors une petite moue, puis finalement lui rendit son ouvrage.

    " Votre livre est plutôt étrange et peu ordinaire, mais le peu que j'ai pu traduire de vos textes ne traitent pas... du mal que nous essayons de soigner. Mais il est question de plantes aux nombreuses vertus cependant... la plupart ne sont pas de la région. Mais je trouve curieux qu'uniquement cette partie soit écrite dans cette langue perdue. "

    Mais alors que le docteur allait sans nul doute prendre congés de la sindarine pour vaquer à ses tâches, une petite main frêle vint se poser sur son épaule. Là, une voix douce vint lui chatouiller les oreilles. Un petit sourire se dégagea alors sur son visage, avant qu'elle ne se retourna en direction de la rôdeuse.

    " Il est vrai que j'aurais aussi préféré que cela fusse autrement. J'étais justement en train d'éclairer cette jeune femme sur un ouvrage qui est en sa possession. Mais dites-moi en quoi je puis vous être utile? Cela me donnera au moins du baume au cœur.... car qu'importe mes connaissances actuelles, je me sens quelque peu lésé face à mes patients. Je suis incapable de leur être d'un véritable secours. "

    Calixte tenta d'afficher une esquisse plus franche sur son visage, mais en réalité, son optimisme semblait lentement s'échapper...
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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeMer 5 Déc - 23:45

    Ce bon docteur ne pouvait hélas se jouer de la Rôdeuse qui n'était pas aussi sotte qu'il aurait sans nul doute voulu croire. Quand Calixte tourna sa tête en sa direction, Aliénor vit ce petit sourire cruellement faux, sans réjouissance, sans optimisme... Un simple masque pour cacher ses véritables sentiments parsemés sans nul doutes de craintes et de désespoirs... Comment se doutait-elle ? Oh ! Elle ne pouvait se vanter de connaitre Telenna, pour sûr, mais il suffisait d'avoir passé du temps en sa compagnie ne serait-ce qu'une seule fois pour comprendre que ce pauvre jeune homme n'était guère dans sa plus grande forme. En effet, l'Eryllis se rappelait très bien de son sourire, de sa joie de vivre et de son enthousiasme, quelque soit les circonstances... Et en ce jour, à ce moment précis, elle n'avait rien trouvé de tel dans ses mots, dans ses gestes et dans cet étirement de lèvres. Pauvre homme, il devait sûrement être à bout de voir tout ces visages maladifs... Le voir ainsi dans cet état procura à la jeune femme un pincement de coeur. Un doux et chaleureux sourire se dessina alors sur ses lèvres rosées et déclara d'une voix douce et qui se voulait rassurante :

    - Vous êtes bien trop dur avec vous même, mon cher ami... Nous sommes certes démunis face à cette maladie, mais votre aide est tout autant précieuse pour ces jeunes gens. Votre simple présence suffit à rassurer certains et alléger la noirceur de leurs pensées. Et même si le temps nous est compté, prenez votre mal en patience et surtout, quoi qu'il arrive, ne baissez jamais les bras. Tant que nous vivrons, l'espoir subsistera et ce jusqu'à notre dernier souffle...

    Elle se pencha alors doucement à son oreille et souffla à voix basse :

    - Et je ne sais si les nouvelles que je vous apporte seront un baume pour votre coeur, mais je crois avoir trouvé quelque chose au sujet de ce mal qui ravage notre monde...

    A ces mots, elle empoigna doucement le bras de ce bon docteur et d'un geste de tête l'invita à la suivre. C'est ainsi qu'une jeune femme encapuchonnée et un jeune homme à la chevelure rougeoyante tentèrent de se frayer un chemin à travers cette foule étouffante. Mais plus ils avançaient, plus ils s'éloignaient de ce brouhaha infernal pour finalement trouver le silence des immenses couloirs du tribunal. Leurs pas résonnèrent entre les murs, s'attirant les regards de quelques hommes de passages, mais Aliénor ne s'arrêta pas pour autant et ouvrit finalement une porte qui grinça ses vieilles années. Elle savait que dans cette salle ils seraient tout deux tranquilles et qu'aucune oreille indiscrète viendrait les importuner.

    Alors, la Rôdeuse jeta une dernière fois un regard derrière son épaule après avoir fait rentrer Calixte et doucement la porte grinça à nouveau sinistrement, enfermant ainsi les deux érudits et leurs secrets...
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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeJeu 6 Déc - 0:16

    " Mademoiselle Ragnarok. Je suis bien malheureux de vous rencontrer ici. Il m'aurait été plus agréable de vous croiser... autrement. Êtes-vous gravement atteinte?


    Pour une infectée je ne me porte pas trop mal, mais j'avoue que ce pourrait être mieux, cette peau grisâtre ne me plait pas du tout, regardez moi, même mais cheveux blancs/blonds commencent à tourner vers le gris et chaque fois que j'utilise la magie je me sens de plus en plus exténuée. Selon ce livre la Sarnhaora pétrifie son porteur à la longue, je ne veux pas mourir si jeunes, même si je suis plus vieille que vous, j'ai seulement 127 ans (évidemment elle ignorait que le docteur Telena était une Sylphide, donc beaucoup plus vieille).


    " Votre livre est plutôt étrange et peu ordinaire, mais le peu que j'ai pu traduire de vos textes ne traitent pas... du mal que nous essayons de soigner. Mais il est question de plantes aux nombreuses vertus cependant... la plupart ne sont pas de la région. Mais je trouve curieux qu'uniquement cette partie soit écrite dans cette langue perdue. "


    S'il y a vraiment des plantes médicinales aux nombreuses vertu, je tente le risque d'aller les chercher, je ne peux pas rester ici à rien faire. Il faut que j'agisse vite, vous me connaissez un peu mais vous savez déjà que je suis une Sindarin intrépide. Je partierai à la recherche de ses herbes, et découvrierai si ces plantes peuvent nous guérir de cette foutue maladie. J'aimerais bien un équipe qui accepterait de m'accompagner ou même vous si vous le voulez, n'ayez crainte je ne vous toucherai pas, dites-moi seulement où les trouver.


    Elle haussa alors le ton de sa voix et s'adressa à la foule dans la pièce.


    EH VOUS TOUS DANS LA SALLE, JE PARS À LA RECHERCHE D'HERBES AUX NOMBREUSE VIRTUES QUI POURRAIT PEUT-ÊTRE NOUS GUÉRIR, JE PREND LE RISQUE DE PARTIR À LEUR RECHERCHES, QUELQUES-UNS D'ENTRE VOUS SERAIENT INTÉRESSÉ? cria t-elle dans la salle pour que tout le monde l'entende
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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeJeu 6 Déc - 21:46

    Calixte était ravie d'entendre la jeune terrane lui offrir autant de soutien. Encore aujourd'hui, la sylphide était étonnée par la ressource de cette race si mal jugée. Bien sûr, sur beaucoup de point, on pouvait les croire peu fiable, fragile et leur courte longévité ne leur permettait pas d'acquérir beaucoup de connaissances... et cela était sans compter le nombre impressionnant d'entre eux qui étaient emplis de préjugés... Mais est-ce que les immortels ne l'étaient pas aussi? Outre ces détails, Calixte avait toujours été fascinée par leur détermination à vivre et à espérer. Cependant, n'était-ce pas de leur défaut qu'était né ces qualités? Les terrans étaient un peuple qui savait qu'ils avaient beaucoup à perdre car leur vie se consommait plus rapidement que nul autre.

    Mais en attendant, la doctoresse aurait dû se sentir un peu honteuse de paraître si atténuée devant la rôdeuse. Cela ne la mettait pas le moins du monde à son avantage.

    " Vos paroles me réconfortent, noble Aliénor. Croyons à notre bonne étoile comme nous pouvons l'entendre. J'espère du plus profond de mon âme que les prières de ces pauvres gens parviendront aux oreilles de nos dieux. Qu'ils aient pitié de nous. "

    Mais alors que le médecin retrouva la forme de sourire avec plus de sincérité, elle fut étonnée lorsqu'elle entendit les mots susurrés de la jeune femme. Aurait-elle vraiment trouvé quelque chose? Elle ne devrait pas en douter... Calixte n'avait malheureusement guère le temps de chercher convenablement des informations car elle croulait sous les patients et les inquiets. Cependant, elle savait que la rôdeuse était une personne sérieuse et qu'elle ne lui aurait soufflé ses paroles si elle ne pensait pas sincèrement avoir trouvé quelque chose.

    Alors que la jeune femme souhaitait s'entretenir de manière plus privé avec le docteur, elle lui fit signe d'attendre quelques secondes. Calixte, en tant que gentleman, souhaitait finir sa conversation avec la sindarine. Oh, cela fut bien court mais suffisant pour l'aider à sa façon.

    " Veuillez m'excusez Mademoiselle Ragnarok, mais il m'est nécessaire de m'entretenir avec cette jeune dame. Toutefois, je suis heureux de vous savoir aussi déterminée. Je ne doute pas que vous puissiez trouver quelque chose et j'espère que vous pourrez revenir avec des choses intéressantes. Malheureusement, mes devoirs me retiennent ici. Nous manquons de médecins car beaucoup d'entre eux se sont vus contaminés... et ne peuvent plus exercer. Cependant, d'après votre livre, il est question de Noathis et des forêts profondes de la vallée. "

    Un geste de tête et un sourire, ce fut tout ce que le bon docteur était à même à accorder à la jeune sindarine. Ce fut donc ainsi qu'il se laissa alors entraîner par la rôdeuse, loin de la foule et des patients. La jeune demoiselle semblait connaître assez bien le tribunal pour leur trouver une pièce tranquille... mais pourquoi autant de précaution? Oh, seules ces deux jeunes personnes le sauraient....
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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeVen 7 Déc - 3:03

Duscisio était en train d'examiner un patien alors qu'une voix vint à hurler dans tout le tribunal. Pour cause qu'il connaissait cette voix car il l'avait déjà entendu dans l'arène il y a seulement quelques semaines. Avant d'aller répondre à celle-ci, Duscisio termina son travail avec la personne qu'il était en train de soigner au mieux. Quand il ne remarqua rien de particulier avec les différantes personnes qu'il a pu avoir jusque là. Il stoppa sa propre magie avant de lever son pouce vers le haut avec un sourire. Il s'excusa ensuite pour se lever, un petiit vertige, un simple signe comme quoi il devait se ménager sur sa magie pendant quelques temps, néanmoins il ne peut pas, il a vraiment trop de choses à faire.
Il s'est fait du mal depuis le début alors le temps qu'il allait devoir se reconstruire va être long, bien que des idées restent en lui. Vivre et survivre le plus longtemps possible. Reprenant son équilibre, il fit signe que tout allait bien. Enfin, il allait vers cette voix qui était destiné à le faire réagir.

Veuillez m'excuser et si je puis me permettre...

Lentement ses bruits de pas s'approchèrent des deux ou trois personnes qui parlait entre elles. L'albinos prit place à quelques pas d'elles pour se faire entendre sans avoir à crier. Posant une main sur sa hanche, levant l'autre à la hauteur de son épaule à la manière d'un noble, sa paume à plat à l'horizontale comme s'il tenait quelque chose dessus comme sur un plateau.

Je ne sais pas si tu te rend compte de se qu'il se passe. Nous avons une maladie d'ont nous ne savont que peu de chose. Le seul remède possible que nous avons est d'utiliser magie, animaux et plantes à notre avantage. Mais se n'est pas le seule problème.

Il ferma sa main sur-élevé en un poing ferme avant de le baisser violemment.

Les miens ont mit des années a assemblé une culture sur la magie et la nature en elle-même. Elle ressance plusieurs millier espèce d'animaux, des dizaines de milliers de plantes. Parmi ceux il existe certaine qui sont particulièrement rare, d'autre disparues.

Un autre geste pour montrer que la tache allait être rude.

Le secret de mes potions réside dans le mélange entre les plantes et la magie d'un savoir centenaire. Et tant qu'expert en matière de plante et de remèdes je ne peux pas vous cacher se qui guérira ses gens sera extrêmement difficile à trouver en tenant compte de ses informations.

Il releva sa main près de son cœur dans un même poing.

Le propriétaire de l'herboristerie de lumière aura besoin de beaucoup de personne pour trouver se qui pourrait tous nous sauver. Je ne pourrais pas tout faire, mais en tant qu'individu altruiste je ferai tout pour sauver ses gens tels que ma famille la promit.

Duscisio montrait un esprit sain et sur de lui. Malgré cela il avait encore beaucoup de doutes à propos de ses propres capacités. Néanmoins, il y avait quelque choses de grand. Se présentait à lui un médecin qui avait aussi ses connaissances, et Illumina dont il ne savait pas grand chose si se n'est un potentiel en magie qui n'a rien de ridicule. Si cela s'avère exacte, rien que ses deux là allait lui être utile. D'une manière ou d'une autre il fallait partager cette fois ci se que tout le monde savait pour faciliter le travail, Duscisio allait partager sa connaissance en plante et en magie, quant aux autres...


LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Htp8
Handicap. Faculté magique grandement réduite.
LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Ogp4
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MessageSujet: Re: LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1   LA GRANDE EPIDEMIE - acte 1 Icon_minitimeVen 7 Déc - 15:29

    Le docteur Telena avait l'air de vouloir rester pour aider les malades, mais la Sindarin intrépide ne voulait pas resté ici à ne rien faire à se la couler douce en attendant que quelqu'un trouve un remède. Elle devait agir, mais suite à sa proposition, il n'y avait pas grand monde qui lui répondu. Mais.... Duscisio lui, avait l'air déterminé lui aussi.


    Le propriétaire de l'herboristerie de lumière aura besoin de beaucoup de personne pour trouver se qui pourrait tous nous sauver. Je ne pourrais pas tout faire, mais en tant qu'individu altruiste je ferai tout pour sauver ses gens tels que ma famille la promit.


    Après avoir entendu l'Ascan, elle semblait encore plus déterminé à mener cet oddisée en groupe pour trouver ces herbes médicinales qui pourraient tous les guérir. Peu importe les obstacles, elle les surmontraient si c'est pour sauver sa propre vie. De toute façon elle était déjà excellente en combat rapproché. Elle s'avanca alors vers Duscision en faisant ben attention de ne pas le toucher.


    Bonjours monsieur Balibe, bien que ce n'est pas la meilleur situation pour se saluer, j'aimerais vous proposer quelque chose. Moi aussi je désir partir à la recherche du remède, alors si ça vous dit, je pourrait partir avec vous, je ne peux pas utiliser la magie mais je suis avant tout une guerrière qui maîtrise l'art du combat à l'épée double et j'ai aussi un arc pour attaquer discrètement. Voyez plutôt derrière mon dos haha.
    Elle ria de bon coeur et attendi sa réponse.
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