[Quête] La Masse D'Hélos

Marcus, poussé dans le talent de la forge depuis bien longtemps, survivait autrement que par le combat. Le métal était pour lui un autre coté de la vie, un métier bien aussi simple qu’essentielle. Être forgeron était pour lui non seulement un travail mais, une vocation, un exploit en soi même mais aussi un art. Savoir manipuler le marteau, savoir chauffer le métal a bonne température, mélanger les bons alliages pour donner un métal capable de résisté a un coup d’estoc d’une épée ou d’une lance en acier bien forgé. Le forgeron, torse nue, ses muscles sailli sous l’obscurité percé du feu de sa forge, laissant les multitudes de cicatrices ornés sa peau basané, laissant de toute petites étincelles virevoltées sur ses abdominaux alors qu’il frappait avec force et contrôle un bout de métal qui servirait d’après n’importe qui, d’une pointe de lance. Il frappait les extrémisées de la pointe rougeoyante et brulante, donnant forme a une belle pointe bien pointu, loin d’être prête mais, déjà très belle. La forme en feuille était égal, le pointu bien martelé et le support pour la perche venait a peine de refroidir qu’il plongea le bout de métal dans un contenant rectangulaire en fer, contenant de l’eau froide, des glaçons flottait sur son dessus en même temps qu’un feu réussissais à bruler sur la surface de l’eau. Glace et feu, un beau mélange qu’il avait testé et approuvé sur la solidité de ses armes, ignorant si c’était véridique ou non. Soufflant en lâchant la pince qui tenait la pointe, il recula dans sa forge jumelé a sa petite habitation a Dalma. Il s’écrasa sur son lit de fourrure, endroit qu’il n’avait pas partagé depuis bien longtemps. Il se sentait souvent seul, malgré le contact rassurant de la fourrure de sa panthère qui justement, ressentie sa désolation et alla frottée sa tête noire sur la cuisse de son maître. Caressant doucement la bête, il sourit, passant son autre main sur son crane dépourvue de cheveux excepté le milieu qui portait un court Mohawk noir qui descendait en pointe dans sa nuque, laissant une longue tresse dans son dos.
-J’ignore ce que j’aurais fait si tu n’aurais pas été la des années plutôt toi …

Il tapota la tête de la panthère avant de se coucher sur le lit quelque instant, soupirant en fixant le plafond. Sa panthère elle, retourna se coucher dans son coin, allant prendre un peu d’eau dans la cruche disposé pour elle et se laissa tomber sur le coté pour fermer les yeux et laisser un long bruit ressemblant a un soupire, surgir de son museau. Beaucoup de chose trottait dans la tête de Marcus, il pensait tout le temps. Sa famille, le rêve étrange qu’il avait vue dans la forêt des sphène, des messages étranges qu’il voyait partout qui ressemblait a son père. Il s’endormie, aussi rapidement qu’il c’était coucher sur son lit. Disparu dans le monde des rêves, quelque chose d’étrange apparaissait devant lui. Des lettres en métal étaient apparues dans un fond sombre et brumeux. Comprenant rien, Marcus tenta de marcher mais, rien. Alors qu’il soupira, un aigle hurla au dessus de lui, planant au dessus de sa tête alors qu’un nom complet venait d’apparaitre devant lui mélanger a des coups de marteau. El Bahari.

Marcus se réveilla en sueur, la nuit était tombée et seul El Bahari restait dans sa mémoire. Bien que décider, il avait entendu parler de la légende de Hélos et son marteau qui c’était soi disant échouer sur cette Ile étrange. La soirée même ou il c’était réveiller, il était partie dans l’ombre sans dire un mot. Même sa panthère n’avait pus le voir et s’en rendre compte. Bien qu’il fit des détour a certain endroit pour interroger d’autre forgeron sur l’histoire d’hélos, certain c’était montré un peu plus brusque et Marcus avait du le remonté la mâchoire avec ses poings alors que sur les dizaines de forgeron, un seul avait confirmé sa destination grâce a un journal. Les informations étaient pas claire mais, elle mentionnait Hélos , un marteau et une Ile. Tout ceci étaient parfait pour Marcus mais, son passage brutale et éclaire n’avait pas passé inaperçu, des gardes étaient a sa rechercher, alerté par les forgerons qui, par les poings plus jeune de Marcus, avait été corrigés et que leur égos avaient été touchés par la même occasion. Le forgeron se savait un bien connu commerçant et sachant que soi il allait se manger une grosse amande salée ou du travail forcé dans sa forge pour les gardes de la citée. Il n’avait pas de temps à perdre que l’aube se levait et ne belle course s’entama entre les gardes et le forgeron. Connaissant que minimums les rues et les chemins, il déboucha idiotement sur le quai, contraire a ce qu’il cherchait. Au loin il entendait les hurlements et les cris de son nom. Il ne tenait pas grand a être présent a leurs arrivé et un bateau venait a peine de décoller du quai. Prenant ses jambes a son cou, il sprinta vers le vide, sautant en disparaissant dans le vide par la vue des marins sur le bateau. Seul 8 doigts restaient agripper sur le rebord de bois du bateau. Le forgeron se remonta avec facilité et se présenta avec son arsenal devant les marins qui ignorait comment prendre cet homme comme ennemi ou allié.

-Désolé pour … l’entré un peu brusque et rapide mais, si je suis de trop j’ai de quoi payer pour régler cela, même que je donne plus si vous accepter de me mener la ou je veux aller !

Il hurla haut et fort, de sa voix forte et puissante, cherchant a capter le capitaine, prenant son casque sous son bras.

Un peux d'eau de mer aspergea le visage de Marcus. Une eau qui parcourait l'ensemble de la terre et qui par sa source rafraîchissante, nous vivons , une source de vie magnifique mais , a la fois dangereuse et mortel a qui ne fait pas attention a la force de cet élément et aux bêtes et créatures qui y vive.

Marcus c'était hisser sur la passerelle du bateau, malgré l'attroupement qui c'était fait au tour de lui, il resta sur et maître de la situation. Il n'était point intimidé par l'attroupement de marins mais, il préférait ne pas provoquer de bagarre ou autre conflit ouvert alors qu'il venait a peine d'arrivé. De toute façon, tout hommes intelligent savait garder ses distance avec un homme qui venait de franchir un saut presque impossible avec une charge aussi lourde sur le dos, sans compté son arsenal qui comptait deux long manche d'épée a deux mains et un lourd marteau a sa ceinture.Ils avaient nul besoin de savoir que deux lames discrètement placer dans le bas de son dos dans sa ceinture, était cacher et qu'il pouvait aussi bien les dégainer aussi rapidement bien avant qu'un des marins ne tente quoi que se soit.

Marcus avança de quelque pas, écartant les marins pour se retrouver au cente de la passerelle. Bien qu'il ai parlé a voix haute, aucun ''capitaine'' ne c'était montré. Le plus inquiétant la dedans, fut la réaction d'un marin quand il posa son regard sur la bourse que Marcus souleva de sa main pour montrer qu'il ne manquait pas d'argent pour le voyage. Le bougre sauta sur le forgeron, hurlant d'un coté sauvage, son crane chauve laissait la sueur perler de chaque coté tendit que le manque de dent de celui-ci prouvait qu'il avait du être engagé a la hâte par le capitaine qui devait manquer d'homme. L'agresseur plongea et porta plusieurs coups de crochet, ce que Marcus bloqua sans difficulté et l'écrasa au sol dans un habile coup de poignet, se saisissant de ceux de son agresseur pour lui jouer une belle clé de bras et le maintenir ainsi. Alors qu'il regarda au tour de lui, aucun homme ne parlaient et ne bougeait.

-Alors, un capitaine sur se rafiot de sauvage ? Demanda a nouveau Marcus en fessant tourné douloureusement le poignet de l'homme qui hurla fortement de douleur.

Un homme, plus grand que tous sortie du rang, il se présenta devant Marcus, finement et chiquement habiller comparé a ses hommes. Il examina Marcus un instant et se gratta la barbe avant de dire sèchement.

-Jette moi l'ordure que t'écrase par dessus bord et on pourra discuté.

Marcus haussa les épaules et obéis, jetant avec force l'homme le plus loin possible , le jetant le maximum le plus près du port tendit qu'il se fit craquer les épaules pour suivre le capitaine. Aucuns marins n'osa touché ou faire quoi que se soit contre le forgeron qui venait de terrifier les plus durs du bateau. Alors qu'il avançait, il se pencha pour laisser passer les manches de ses armes a deux mains, croisant le regard avec un homme, cet homme qui s’appelait Maverick, ne disait rien a Marcus mais son regard disait autre chose que ceux des marins présent sur se bateau. La rencontre avait été longue avec le capitaine, l'argent dépenser avait été dans l'estimation de Marcus et le capitaine acceptait malgré l'horreur, de détourner a la jungle d'Ilanî pour y déposer Marcus. Le chemin allait être long et il se demandait si sa panthère l'avait suivie. Dans le pire des cas, les rugissement au dessus laissait entendre qu'elle n'avait pas écouter et qu'elle avait suivie Marcus.

Les préparatifs étaient prêt, le capitaine avait laisser sans aucun pleurnichement de laisser Marcus a bord et de le mener ou il le désirait. Son trajet, son plan, son objectif allait enfin avoir lieu. Sa bourde avait été alléger moins fortement que prévu, croyant tombé sur un capitaine pire qu'il le pensait, il se dit qu'il ne devait pas manger d'argent pour avoir demander ce que Marcus avait pensé. Sortant de la cabine, il porta son regard sur l'homme présent, ressemblant aucunement a un matelot par la musculature de son corps, il le regarda brièvement avant d'aller sur le pont remarquant rapidement que certain hommes avaient de la difficulté avec la corde de la voile.

Marcus approcha en riant, se défaisant de son armure et ses deux fourreaux dorsal, il se craqua le cou et les épaules, approchant lentement pour saisir la corde et tirer en riant, réussissant facilement la ou 3 hommes avait échoué a cause du vent. Sa force surhumaine était quelque chose d'utile pour lui , déjà qu'il possède une force considérable pour sa grosseur.

-Alors les gamins, on a de la difficulté ici ?

Il plaqua son pied sur la corde au sol, l’empêchant de partir et il l'attacha , se relevant et se craquant le dos en gémissant, il se faisait vieux le pauvre.


Marcus avait su attiré les faveurs des Marins, sa force avait été un bon atout pour eux et ils le voyaient différemment qu'au début de son arrivé. Leurs craintes restaient énormes envers lui, un des marins idiot avait tenter de voler son argent et il en avait payer de quelque dents casser et un bon séjour inconscient. Les journées en mer semblait tranquille, pas de nuages, ni pluie , rien. Malheureusement, leurs tranquillité va être de courte duré, l'homme sur le perchoir du haut du navire hurle d'un mouvement dans l'eau. Bien que Marcus se dépêcha d'attraper flambeuse , il se tenait torse nue avec l'arme a deux main magnifiquement ornée , gagné lors d'un tournois. Le premier a voir la chose, fut un Marin qui fut frapper par une tentacule sortie de l'eau. Hurlant de douleur sous le coup porté par le crochet de la tentacule, Marcus plongea rapidement tout en tranchant la tentacule et la brûlant par la lame qui chauffa au contact de la chair du monstre, l’empêchant d'agripper le marin dans l'eau.

-Ne rester pas près des rebord !

Il hurla a plein poumon, esquiva une seconde tentacule sortie de l'eau, remarquant une dizaine d'autre entourer le bateau. Bien que gros et muscler, le guerrier restait toute fois agile sans son armure. Il frappa, croyant trancher la tentacule aussi facilement mais, il resta bête quand sa lame rebondi sur une plaque d'os couvrant une partie de la chair du monstre , il s’acharna aussi fort qu'il le pouvait jusqu’à voir le membre crochet tomber dans l'eau, un léger filet de fumet s'échappant de son épée. Le bateau était secouer.

L'eau fini par porter le forgeron jusqu’à la côte de l'île. La créature semblait se régaler d'un attaque grotesque lancée par un personnage tout aussi grotesque et ridicule que son attaque. Marcus avait assisté a cela en étant parmi les marins qui c'étaient échappés par canots. Mais, dans le désordre des mers, le bateau qui coulait et l'explosion semer par notre mystérieux personnage rendit la tâche plutôt facile pour les bêtes marines qui attendait leurs repas. Les canots c'étaient retournés aussi vite qu'un battement de paupière et bientôt, c'était les cries des marins qui résonnait parmi l'eau qui s'agitait. Coincés entres les dents des bêtes sous-marines, les malheureux écraser et déchiqueter, hurlaient de douleurs alors que les plus chanceux, c'étaient organisé dans la plus grande difficulté pour atteindre l'île. La journée avait déjà été merdique, elle allait être encore pire ce soir, alors que le sommeil allait être impossible a trouver avec les plaintes des morts qui ce faisait dévorer vivants.


Arrivé enfin a la plage, Marcus sortie de l'eau a quatre pattes. Il crachat de l'eau et ce releva d'un bond. Son casque gisait dans l'eau plus loin, la ou un bras pissant le sang maculait l'eau de la couleur morbide du sang. De son approche lente, il retira son casque de l'eau souillé et il regarda au tour de lui. Six Marins étaient encore de ce monde, avec un peu de chance il allaient être chacun utiles pour monter un camps de fortune. Mais le forgeron n'oublia pas pourquoi il était partie pour ce voyage, ho que non, c'était très claire même.


En regardant au tour de lui, le forgeron ce senti bien léger. Pris de panique il envoya sa main dans son dos et remarqua que ses armes étaient absente. Plaçant son casque dans le sable, vis a vis lui, il tata l'eau a la recherche de ses armes. Pire encore, sa cape c'était défaite et sa broche, sa précieuse broche, était porté disparue. Dans sa recherche folle, il n'avait pas vue sa panthère derrière lui. Tenant la cape dans sa gueule, la panthère la déposa près du casque et disparu aussitôt. Comprenant la peur de son maître, elle c'était mis a la recherche de la ceinture dorsal de Marcus, qui habituellement contenait ses deux épées. Marcus était tellement concentré, qu'il n'avait pas vue Eralyx revenir avec les deux fourreaux et ce fut dans une longue plainte de la panthère, que le forgeron ce retourna pour enfin souffler de soulagement et se laisser retomber a genoux dans l'eau, la panthère venant près de lui.

-Encore une fois, tu mes d'une aide précieuse mon amie. Il gratifia la panthère d'une caresse, ce qui lui fit émettre un long ronronnent agréable pour ses oreilles.

Sortant de l'eau a nouveau, il prit soin de défaire la broche de la cape trempée. Prenant ses fourreaux, il les replaça dans son dos et il alla vers les hommes survivants, la cape sur le bras. Ceux-ci ramenais les corps dans un tapons, recouvert de tissus. D'autres ramenaient du bois, des caisses encore intactes ou matériels encore utilisables. En terrain inconnus, il fallait vite s'organiser au risque d'être pris au dépourvue et attaqué par n'importe quoi. Ordonnant aux hommes de ne pas s'éloigner, Marcus pour son cas passa le plus claire de son temps a aider les hommes a fabriquer un légère abris et un support pour les vêtements mouiller, surtout qu'il était dangereux de rester avec des vêtements mouillés sur soie.


La jungle était juste a côté et Marcus savait que son chemin allait être par la mais, malgré son impatience de s'y aventurer, la crainte était visible dans son regard. Fixant la forêt, il ignorait que derrière la végétation, un groupe les observaient. Un groupe d'homme complètement fou, eux aussi échoué ici mais devenu sauvage, même tribale. Il ignorait qu'il allait être confronté a eux bientôt... si seulement il savait.

Alors que les feux avaient été allumés, Marcus s'installa dans un coin et a voix hautes, il offrit aux hommes de leurs forger armes et armures seulement s'il pouvaient leurs trouver de la ferrailles. Sinon, il ne pourrait rien faire pour eux. Bientôt, le forgeron c'était mit au travail alors que plusieurs kilos de ferrailles étaient a ses pieds. Pièces du navires, outils , etc... Tous sa allait devenir utiles pour les hommes qui allait suivre Marcus dans la jungle.

Tout était calme. Aucun bruit excepté les crépitement des feux et les mouettes qui planais a basse altitude. Les marins c'étaient rapidement mis a l'oeuvre pour monter un léger abris avec quelques feux, histoire de sécher leurs vêtements trempés. Les vagues du soirs rapportaient sans cesses des débris du navire coulé. Ce qui permettait au fur et a mesure de monter d'autres choses pour la poignée de survivant. Pour sa part, Marcus avait passé la plus part de son temps a modeler des pièces métalliques pour en faire des armes contondante, idéale pour des marins qui n'avaient pas l'habitude d'armes tranchantes ou qui n'avait jamais tenu d'armes de leurs vies. Masses légères, lourde, des pioche pour les plus brutales, quelques lames pour trancher les herbes de la jungles. Enfin, une petite arsenal bien basique pour survivre.

La nuit venait a peine d'atteindre son centre, certains dormais, d'autres surveillaient par précaution tendit que Marcus, fixait sans cesses la jungle. C'était la, il devait y entrer. Ce qu'il cherchais était tapis au fond de cette jungle cacher au fin fond du monde. Ce fut de cette même jungle ,touffu et inhospitalière que sortie ce qui semblait être des hommes, sauvages et hostiles. Leurs hurlements réveilla les marins et secoua les autres, a peine qu'un c'était levé, il avait été criblé de flèches, des flèches fabriqués a partir de branche, ce qui prouvait la nature sauvage de l'ennemis. Par instinct, le forgeron plongea vers l'avant, saisissant au passage une planche de bois qu'il plaqua sur son épaule et sentir a son tour plusieurs impacte rapide. Les marins c'étaient rapidement dépêcher de se rassembler pour s'organisé et ce fut Marcus qui pris les rênes. Suivant l'exemple du forgeron, ils avaient tous pris une planches ou objet pouvant servir de bouclier improvisée. Il était temps de combattre corps a corps maintenant. Restant groupé, la troupe improvisé des marins et du forgeron avancèrent lentement. Étant le seul habité a ce genre de déplacement et combat, plusieurs marins tombèrent une flèche planté dans l’œil ou la tête, par manque de protection. Ils étaient que 7 désormais. 7 contre un nombre inconnu. Se sachant assez près , Marcus donna l'ordre aux autres de lancer leurs planches et de foncer. De son côté, le forgeron pris son marteau de forgeron et plongea, sachant que son arme a deux mains serais trop encombrante. Les sauvages lâchèrent leurs arcs et fit de même, plongeant avec ce qui semblait être des armes de pierre,lance en bois ou bout de métal rouiller. Pour Marcus, son armure le protégeait bien et ses coups était d'une force trop puissante pour les simples tribales nue comme un ver. Ce qui concernait les Marins, leurs statures leurs assuraient un avantage sur leurs ennemis, mais malgré cela, certains avaient reçu des blessures et avant même qu'ils avancent, l'ennemis c'était replier pour fuir.

Prenant le temps de revenir au campement pour panser les blessures, les marins recouvra les morts et les plaça sous terre.. enfin sous sable.

-Il est temps de marcher, si nous souhaitons pas mourir contre un ennemis inconnu, je souhaite que nous marchons et cherchons quelques chose.

A peine qu'il eu fini sa phrase, un hurlement retenti dans la jungle, suivit d'une panthère noir qui arriva a pleine vitesse, une flèche qui passa au dessus d'elle. Dans sa gueule, une main avec une bague, un bague portant le même sceau que la broche familiale de Marcus. Il était temps d'y aller.


Avec les débris du navire, Marcus et les Marins c'étaient fabriquer des boucliers rustiques et quelques pièces d'armures simples pour les marins. Leurs marches commença.

L'état du corps de Marcus était dans un état critique. Passer un long moment en mer fut assez rude pour son corps mais la, être attaqué par une créature, survivre a l'attaque et se retrouvé sans vivre et non reposé sur une île hostile rendait les choses des plus corsé. Usant de son talent ancien pour le commandement et de son leadership, Marcus avait tenté de s'organisé avec les survivants restant mais une attaque qui semblait coordonné mais qui c'était révéler être qu'une attaque de ce qui semblait être une ou plusieurs tribus de sauvage en plongeons de masse. La surprise avait eux son effet mais rapidement, la détermination et l’acharnement des marins survivant tenant a leurs survies avait fait de sorte que l'attaque avait été repoussé. Essuyant plusieurs pertes du a la surprise de l'attaque, les survivants déjà peu nombreux, avaient chuté dans un nombre encore plus petit, devenant moins puissant contre de future attaque mais aussi le moral plutôt bas a se savoir harceler et peu équiper pour se battre.

Se réveillant complètement seul et perdu, le premier réflexe fut de saisir l'un de ses couteaux au dos de sa ceinture, pointant de droite a gauche de la petite pointe de métal pour percer tout ceux qui chercherais a l'attaquer. Ne voyant rien et surtout personne, il soupira et se laissa complètement aller sur le dos, respirant normalement et surtout se demandant quoi faire. Il ignorait qui l'avait sortie de la mais surtout comment. Sa panthère ne semblait pas présente mais son sauveur non plus, il devenait inquiet. Passant sa main au tour de lui, il pouvait toucher son épée mais aussi, sentir son fourreau contenant l'épée de Doroma et Martell qui se trouvait planté dans la terre près de sa jambe. Relevant la tête, il regarda un peu au sol et son casque était renversé près de Martell. Il se permit de souffler un peu, pouvant sentir son corps souffrir malgré l'absence des flèches qui l'avaient touchés il y'a peu. Les blessures portaient des traces de salive alors il se douta que Eralyx avait léchée ses plaies pour les nettoyer. Ignorant ci cela avait été bénéfique ou néfaste, il s'en foutait car il avait pire sur les bras.


Contenant sa douleur dans son esprit de fer, Marcus tenta de se relever, titubant contre un arbre et jura a haute voix, pouvant sentir la fraîcheur sur l'écorce du bois contre sa paume et il secoua la tête désirant cette fraîcheur sur tout son corps. Prenant Martell, il planta le manche dans la terre, titubant a nouveau alors qu'il chercha a récupérer son casque et il termina sa course a genoux, les deux mains dans la terre mole. Prenant le casque a panache noir dans sa main sale, il placa la protection sur la tête du marteau, s'en servant comme présentoir pour soutenir le casque sans le laisser au sol. Mais bien vite la fatigue pris le dessus et il du rester au sol, attirant l'épée près de lui avec le bout de ses doigts et s'adossant a l'arbre près de lui ne pouvant que regarder dans un seul chemin devant lui espérant ne pas se faire surprendre. Il ne put s’empêcher de sombrer a nouveau dans l'obscurité.


A son réveil, il pouvait entendre des voix mais aussi des bruits de branche brisés. Ouvrant les yeux il pouvait voir ce qui semblait être des sauvages différent a ceux affronté. Son coeur palpita comme un son marteau sur le métal et de ses doigts il chercha a se saisir de son épée. Ceux en la présence du forgeron n'était pas idiot et un lourd pied alla écrasé la lame de l'épée a deux mains du forgeron, l’empêchant de la saisir tendit que le groupe discutait entre eux, jusqu’à l'apparition d'une voix forte qui leurs ordonna de déguerpir par le ton qu'elle s'adressais mais aussi de la réaction des sauvages qui fut de disparaître aussi vite qu'ils eux apparus. Un vieil homme se tenant un étrange arbalète mais aussi le visage a demi caché par une capuche ne laissait que sa longue barbe blanche descendre sur ses vêtements fait de feuille et d'écorce.

-Alors c'est toi le maître de cette panthère ? Tu a eux de la chance que je la rencontre alors qu'elle semblait chercher quelque chose.

Le vieil homme parla a nouveau dans la langue étrangère et les sauvages a son service c'était approché avec une civière artisanal et il tenta sans succès de bouger le guerrier. Il bougea volontairement, se plaçant sur la civière sur le dos, pouvant sentir l'haleine de sa panthère contre son visage et un grand coup de langue sur son front.

-Éloigne toi tu sent la mort.

Éclatant de rire a ses dire, il chuta a nouveau dans l'inconscience, croyant apercevoir l'homme qu'il avait vue sur le bateau au début de son voyage. Rick.