La forge de Bor : CoeurVent

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- Walter cherche de Preux chevaliers.
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Les Rumeurs

_ Il parait que des personnes hauts-placées seraient gravement malades.
_ Il parait que ça se bécotte "au bal de la Rose".
_ Il parait que des créanciers en sont après un des conseillers de Ridolbar.

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 La forge de Bor : CoeurVent

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MessageSujet: La forge de Bor : CoeurVent   La forge de Bor : CoeurVent Icon_minitimeMar 28 Jan - 11:18

Au milieu de l’oppressant silence de la pierre et de l’architecture colossal, loin du temps et de ses méandres, bat le mouvement précis du cœur du temple. Là, dans l’âme de la terre, après la longue déambulation des couloirs qui vous dévore depuis que vous vous êtes jeter dans la bouche du temple, Brom bat son propre temps, l impose ses battement au métal et à la vie, il pulse doucement et infuse avec la violence d’un caresse l’âme d’une lame qui ne sera peu être jamais porté. Faite pour un corps fin elle est frêle, mais sa longueur impose une nécessité de maitrise. Pourtant l’équilibre à quelques centimètres de la poigné qui lui est fourni par le pommeau qui sera ouvrager dans les heures qui suivront en font une arme léger, peu baser sur la parade mais permettant volte et voltige elle a peu de réaction. Mais c’est un choix, l’être qui aura besoin de cette lame ne sera pas connu par sa force et ses parade seront juste des déviations, des mouvements où l’ont glisse sous l’arme de son adversaire sans opposé une vrai force…

Il sourit, là sous le damas se forme un contre tranchant dans le mouvement du sabre, pas d’élargissement, juste un mouvement dans l’espoir de jouer des bottes, dans le but de crée un sabre apte à l’estoque, il doit pouvoir se plier à toutes les volontés de son maitre ou de sa maitresse sans hurlé, sans préparation, il s’improvise. L’improvisation, et le vent, voilà la douce musique qui l’a guidé, qui l’as pris par le bras pour forger cette arme qui n’est en aucun cas pour un être comme lui. Le damas rougit en dévoilant ses courbes fines et élégantes, on montrant son corps au vieille ours qui le caresse avec fouge. Le marteau frappe à nouveau, et revient, il danse et dessine le futur… Et puis, après une nouvelle vague de chaleur, la lame crie, elle vient de rencontré l’eau. Le froid prend sa place, le rougeoiement disparait mais le sourire reste. Quelques instants elle coupe le vent et tournoie mais très vite la lame et la roue de pierre s’étreigne sous l’auspice de l’eau.

Les tranchants se dévoilent à nouveau, eux qui avaient été dessiné dans le feu, eux qui n’avaient pas été recouvert de l’argile protectrice et bénéficie donc d’une grande dureté exploité par la roue pour en découvrir le fil. Le temps prend son cours comme l’eau qui amène avec elle particule après particule du sabre qui renait. Puis l’acide pour révéler chaque mouvement, chaque danse des serpents et une nouvelle fois le supplice de la roue, l’arme souffre pour être forte, souffre pour être belle. Le vieil homme respire un instant puis se plonge à nouveau dans les derniers dessins…



Il est à sa table quand il propose d’entré, posé les yeux sur une lame qui vient d’être forgé, entouré de fil d’or et de cuivre mais aussi de cuire pour la poigné et d’un bout de bois qu’il fait tourner avec du sable pour pouvoir faire les trous qui lui permettront de garder la poigné bien a sa place.

Calmement il détaille le nouvelle arrivant, l’être à dût être guidé là par un des disciples, il a surement vécu milles et une facétie, c’est peu être arrêté devant l’un ou l’autre des objets du couloir, mais cela est une histoire qui importe peu, il est là, devant lui et vient d’apparaitre entre les portes de la forge de Bor… Mais même en faisant cela ses mains n’ont pas quitté son long travail.


-“Bonjour jeune ami(e) que me vos le plaisir de votre venu ? les gens sont rare dans ce dédalle, et ils ne sont que peu nombreux à vouloir me voir personnellement, on discute bien plus souvent avec les apprentis à propos d’un détaille… Non vous venez pour quelque chose de précis, de grandiose, vous venez pour votre Histoire.”

Ses yeux s’illuminent à cette idée en reflet de son sourire. Dessiné l’Histoire.


Dernière édition par Brom Ode'Bahalmarche le Mer 12 Fév - 7:49, édité 1 fois
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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: La forge de Bor : CoeurVent   La forge de Bor : CoeurVent Icon_minitimeMar 11 Fév - 19:39

Comment décrire la politique en termes simples? Imaginez une personne qui veut le pouvoir, mais elle n'est pas la seule bien sûr, imaginez que beaucoup de personnes veuillent le pouvoir. Ça y est vous voyez? Supposons que tout le monde soit de forces égales, même si en réalité ce n'est pas le cas, alors obligatoirement, la meilleure méthode pour ne pas se faire déchiqueter dans cette course au pouvoir est de faire des alliances. Quel était le lien avec cette histoire me direz vous? Tout.  

Avec l'évolution de son enquête, le plus grand aventurier que cette Terre ait jamais porté, pas mal haï des Dieux vu les sacrilèges qu'il avait dû commettre, se retrouvait face à un objectif de la taille du monde. Et si sa volonté avait quelque d'éternel et d'indétournable, son corps restait celui d'un Terran. Il constituait donc sa limite. Il l'avait clairement vu en récupérant le bracelet bleuté qui ornait son poignet et lui donnait accès à l'au delà. Il n'avait pas peur, mais s'il mourait, le sort du monde n'en deviendrait que plus sombre. Sans faire de jeux de mots cyniques.

Il était étonnant de voir que son nom avait voyagé même au cœur du Temple de Bor. Sa tenue officielle, uniformément blanche avec une cape de liseré bleu ciel, lui permettait un peu de fraicheur dans cet enfer ardent, l'endroit le plus chaud du monde. Il pouvait voir la personne qui le guidait, un gélovigien honorant le dieu des forges se retourner de temps à autre pour le regarder discrètement. Oui, il était le Baptisma Maverick, oui il était bien dans leur temple et non, il n'allait pas s'envoler.


-“Bonjour jeune ami(e) que me vos le plaisir de votre venu ? les gens sont rare dans ce dédalle, et ils ne sont que peu nombreux à vouloir me voir personnellement, on discute bien plus souvent avec les apprentis à propos d’un détaille… Non vous venez pour quelque chose de précis, de grandiose, vous venez pour votre Histoire.”

L'homme qui avait dit cela était grand, massif, des muscles saillants, une barbe drue. Un corps dur, mais un regard doux... sage? Ça rappelait un peu les sylphides et leurs regards porteurs de siècles qui n'avaient rien à voir avec leur corps semblant si jeune. Était-il seulement capable de force malgré ce que son corps disait?

À tout hasard, il sortit Trickster sous sa forme légion, épée à deux mains qu'il ne maniait que d'une seule. Les arabesques sur son alliage dansaient de façon hypnotique sous la lueur des flammes. Il la tendit poignée en avant au forgeron.


-Mon histoire, non, s'il s'agissait de mon histoire, Trickster me suffirait. En revanche je suis là pour les histoires de tous. Que chacun puisse un jour raconter aux génération futurs son histoire. Aussi, je ne passerais pas par quatre chemins, le temps me manque. êtes vous capable de faire mieux que mon arme? Si oui, il me faut un équipement et une arme qui résisteront à la fureur des dieux. Sinon, je ne gaspillerai pas d'avantage votre temps.

Il devait sembler vraiment orgueilleux, mais alors que leurs yeux se fixaient dans une joute silencieuse, son ennemi quelque part préparait son prochain coup. Et du temps, il n'en avait pas à perdre. Voilà pourquoi il avait rengainé sa fierté pour demander une alliance avec Bor ou à défaut sa main.[/i]
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MessageSujet: Re: La forge de Bor : CoeurVent   La forge de Bor : CoeurVent Icon_minitimeJeu 13 Fév - 9:40

Il prend l’arme entre ses grandes mains, un chiffon vient se placer entre le métal et ses doigts tendit que la poigné est occulté en détaille, puis la lame, lentement ses mains passent sur le fil et dessine l’esprit et l’espoir. Il regarde les dessins et les courbes, trop de courbes, trop de lignes, trop de faiblesses pour être quelque chose de vrai, d’âme, non c’est une des ces armes d’horloger, une des ces changes forme qui n’as rien de magique. Un travail admirable, précis et fin mais qui a autant à faire sur un champ de bataille qu’une montre à gousset aussi armuré soit-elle elle ne fait juste que montré le temps jusqu’à sa mort. Sortant son doigt du tissu il le pose sur la lame et le fait glissé, laissant derrière lui un peu de sang qui coagule bien vite sur son pouce et son sourire revit, le forgerons à fait un bon travail mais l’arme est digne de la personne qui la porte… Il la connait même si il ne l’avait jamais vue au part avant … Un article d’art ou de musé, un article pas une arme.

Quelques mouvement, il fait changer la forme, retourne, danse avec elle en laissant son propriétaire derrière la table. Il examine et ausculte et si un médecin vous regarde un forgeron laisse vivre pour savoir, et elle vie. Une lame, puis deux, à nouveau une, quelques hésitation mais il y a bien une habitude dans la gestion, il l’as longuement étudier comme tout homme étudie une révolution dans sa science, ou ce qui semble en être une. Il regarde encore et tournoie toujours comme un danseur en pleine valse endiablé avec une cavalière qu’il essaye de teste puis d’un coup il s’arrête, brutalement, la lame entre deux positions et son sourire se crispe et s’efface, sa main empêchant la lame de poursuivre son cours il écoute les mécanismes et les ressorts qui force et atteigne leur position d’équilibre. Un équilibre… Il la relâche et relance le changement en la faisant revenir enfin à sa forme initial puis il la pose sur la table. Aucune trace n’est apparue sur la lame, le chiffon qu’il a utilisé, quelques peu tranché sert à évité qu’elle ne touche le bois, lui s’assoit à sa place, en face de son commanditaire et reprend son œuvre en commençant à parler pour la première fois depuis qu’il à pris l’épée, ou la chose :


-“Je n’ai jamais parlé de votre histoire, mais de votre Histoire, votre contribution à l’Histoire si vous préféré des grands mots. Mais vous êtes hommes à faire semblant d’être presser et à aimé les grands mots et les choses qui font du bruit… Je n’aime pas particulièrement ce genre de choses mais je suis sur que vous allez laisser votre marque dans l’histoire autant que vous l’avez déjà fait, je vais donc vous aidé autant qu’il m’en est possible mais, car il y a un mais, je suis née de Bor pour forgé des armes et des armures, et non pas des pièces de musé qui ont eut de la chance de survivre aussi longtemps.

Car ceci est une pièce de musé, un magnifique et merveilleuse œuvre d’art, parfaite pour impressionné, au combien merveilleuse pour coupé du bois ou ouvrir un imbécile en deux, et stupidement crée pour faire d’une donzelle en détresse une compagne de lit. Mais vous parler ici d’affronté les Dieux eux même, je ne sais votre vrai but et il va me falloir plus d’informations mais les Dieux sont omniscient et votre lame par sa création même, à choisit de se faire des défauts. Certes ces défauts vous permettes de changer de style de combat, de vous sortir d’un tas de fange, mais ils permettent aussi à qui conque connais un temps soit peu la lame de la détruire de tel manière à ce qu’elle puisse seulement être reforgé mais jamais réparé …

Et ce n’est pas un petit couteau sorti du manche d’un tas de ferraille qui vous sauvera contre Krom ou un golem. Donc, si vous voulez mon aide il va falloir choisir, soit j’essaye stupidement d’augmenté la durée de vie de votre pièce de musé pour la rapproché d’une arme qu’elle ne sera jamais à mes yeux. Soit je vous fais une arme. Je peux toujours vous faire une épée à double tranchant que vous pourrez séparer par le milieu et contenant une pique sortable du manche bien que l’équilibre vas en souffrir et qu’il vous faudra bien plus de force que ce que j’en ai pour l’utilisé pleinement… Par contre, jamais je ne mettrais de l’horlogerie dedans, pas par manque de connaissance, Bor m’en as donné à ne savoir qu’en faire et j’ai des apprentis ici qui transcendent l’horlogerie que vous connaissez, mais bien par passion. Cette chose compte le temps avant sa mort, l’horlogerie n’est pas faite pour recevoir des chocs enflammés, elle est faite pour vivre dans l’air et non pas dans la passion.

Faites votre choix, je vous écoute, mais si vous suivez mes conseil je voudrais vous voir vous battre, avec votre arme, contre trois maitres d’armes, ceux qui sont derrière cette porte ferrons parfaitement l’affaire, aller les chercher et nous discuterons de votre arme et de votre armure, assez vous et nous discuterons de comment essayer l’impossible et vous faire une armure, partez et nous ne parlerons sans doute plus avant de long moment, je vous laisserais à votre mort et j’avancerais vers la mienne, sans regret …

Le choix vous appartiens.”


En disant cela il avait relevé les yeux de sa création et les avait fixés dans ceux du jeune homme qui avait déjà affronté tant de péril. Il n’en avait que faire de le blessé, il était drue et bourru, l’important était de dire les choses qui devait être dite, et non de murmuré des compliments et des promesses imbéciles qui ne serait jamais tenu. Légion avait beau être une magnifique pièce elle ne serait jamais une arme digne de sortir des forges avec ce nom, un simple suffixe tel que démonstration en font la plus belle pièce crée depuis des années… Mais les imbéciles avait essayé de lui donné le nom d’arme et cela n’était pas finit et ne le serait jamais car, comme on ne fait pas une arme à base de peinture, on ne fait pas une arme à base d’horlogerie … On ne fait qu’avancer l’heure de la mort de son porteur, avancer doucement dans le bruit régulier d’une montre et non pas dans le doux son du sable qui s’écoule comme il devrait.
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MessageSujet: Re: La forge de Bor : CoeurVent   La forge de Bor : CoeurVent Icon_minitimeMar 25 Fév - 19:23

Rick regarda le forgeron découvrir une à une les formes célestes de Trickster. Avec sa curiosité, et son habileté, il entrait dans la deuxième arcane. Seulement, il décida de s'arrêter en entendant le déclic. Croyait-il que Trickster allait se briser?

Ça avait été un spectacle intéressant voir fascinant que de voir un créateur d'armes manier Trickster, arme et bijou de la mécanique actuelle. Néanmoins, tout spectacle devait finir un jour et le forgeron lui rendit son arme.

Naturellement, il ne comprenait pas, il ne pouvait pas comprendre, tout au plus pouvait-il ressentir ce qui arrivait. Il ne souhaitait pas utiliser de grands mots, les mots étaient inutiles. Quel rôle jouerait-il dans l'Histoire, quel rôle avait-il joué? Oui ça avait fait partie de ses préoccupations lors de ses débuts. Mais depuis plus d'un an ses préoccupations avaient changées. Il avait basculé hors de la réalité, voyant finalement au delà des apparences et ce qu'il vit était pour ainsi dire le début de la fin.

Croirait-on ce qu'il avait à dire s'il l'avait raconté? Et même si on le croyait, Rick n'avait pas envie de créer une panique générale. L'expression de la musicienne chez les Eclaris, la lueur de rage chez la syliméas. Non, le monde n'était pas encore prêt à savoir. La sarnaroah avait créé un vent de panique et de chaos qui était allé jusqu'à l'émeute. S'il révélait que des choses bien pires les attendait, les dieux seuls pourraient anticiper le climat de chaos qui régnerait. Ça et ils seraient persécutés. Il ne pouvait pas agir ouvertement, il ne pouvait pas rester non plus sans rien faire. Il suivait une voie de plus en plus étroite diminuant sa marge d'action. La confrontation approchait, mais les obstacles devant lui seraient divins. Littéralement. Quel rôle il jouait dans l'histoire, disons que sans lui il risquait fort de ne plus y avoir d'histoire.

Il l'écouta descendre en flamme son arme avec attention. Certes, il reconnaissait qu'il y avait une mécanique délicate derrière Trickster et qu'elle constituait une pièce d'art. Mais il s'agissait d'une arme, de son arme. Elle avait les capacités pour tuer mais n'avait pas encore pris la vie d'un autre individu. Cela dit, il gagnait un point, cette mécanique seule ne pourrait pas arrêter la machinerie en place. Elle avait déjà interrompu celle du destin. Il lui fallait, il le savait combattre les dieux. Et seul le divin pourrait entamer le divin et résister au divin.

Soit, il se prêterait à son test. Il ne pensait honnêtement pas être capable de vaincre trois maîtres d'armes. Mais son style s'appuyait aussi sur la magie. Ombres, lumière et métamorphose, trois outils qui utilisés judicieusement pouvaient changer la réalité. Il n'était certes pas impossible de les vaincre, mais ce n'était pas le but. Alors soit, il combatterait avec Trickster, s'aiderait-il de magie?Ça dépendait, si on parlait d'honneur et tout et tout, il ne l'utiliserait pas. Mais puisqu'il s'agissait de son style, il serait absurde de changer ce qu'il avait toujours fait dans ses périples.

Ses yeux virèrent au doré alors qu'il avançait vers la porte dissimulant trois puissants maîtres d'armes. Ses griffes accrochèrent le métal chaud de la porte alors qu'il saisissait la poignée. Son énergie semblait se condenser, alors que la chevillette descendait, la porte s'ouvrit lentement dans un grincement fort révèlant les ténèbres où se cachaient son épreuve.


-Je suis prrrrêt!
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MessageSujet: Re: La forge de Bor : CoeurVent   La forge de Bor : CoeurVent Icon_minitimeMer 26 Fév - 13:42

Il ferme les yeux, les gens sont décidément des êtres sans grands intérêt, ce qu’il apprécie lui c’est les armes, les armes, les arts et l’histoire, mais tout cela passe bien souvent par des rencontre et des gens, chose que l’on ne peut ainsi pas éviter… Il a donc les yeux fermer lorsque le jeune homme aux chevilles qui en viennent à surement jouer sur son jeux de jambe par leur poids ouvre la porte avec un cri … Non pas de guerre, juste un cri.

Mais derrière la porte il y a juste un couloir, un grand couloir vide avec des centaines de portes et d’embranchement qui s’ouvrent à l’horizon vers d’autres salles, d’autres bruits et d’autres détailles. Personne ici n’est vraiment à son service, ils font leur possible pour l’aidé ses désirs sont une histoire perdu. Puis au son d’une cloche trois portes s’ouvrent et des êtres en sortent plus ou moins prêt et réveillé…

La première est une femme, surement humaine, une créature fine et même sans vrai forme, les cheveux cours, quelques muscles plutôt long, rien n’indique vraiment son sexe sinon ses yeux et son visage fin et rieur. En sortant de la pièce qui semblait être sa chambre elle baille et attache à sa ceinture un long shamshir d’un bras de longueur et qui vient se posé contre sa cuisse alors qu’elle marche d’un mouvement félin. Quelques instants après elle est passé à coté de l’aventurier sans même le regarder et a ouvert un coffre dans la forge pour en sortir une armure de cuire et l’enfilé avec une certaine grâce.

Ce qui n’est pas du tout le cas du second personnage, Zélos à la barbe mal taillé et au regard vague qui à garder la même attitude que la femme : n’attaché aucune importance au jeune homme, un petit manège qui perdure le temps qu’il enfile une semi lourde et prenne un long bâton métallique sur les râteliers. Comme le sabre il a été fait pour l’entrainement aux armes de poids, et les bouts en sont donc arrondit, aucune arrêté, de quoi cassé un os mais pas tuer par hasard … Après tout il sera triste de tuer les clients.

Le dernier maitre à sortir est aussi femme, plus agréable à regarder surtout si l’on prend en compte que ses formes sont serrer par des bandes de tissu qu’elle vient de finir d’ajusté dans le but de pouvoir se battre sans les inconvénients relatif à la gente féminine. A l’opposé des deux précédents elle regarde son futur opposant le détaille et s’incline avant de passé à coté pour aller s’équipé. Ses pièces d’armure semblent dépareillé, un gant renforcé, une attaque à l’autre épaule, un plastron incomplet, des protèges tibias de cuire, des bouts de métal et enfin une grande diversité d’armes. Couteau à la ceinture, une fine épée dans le dos, une dague dans la botte, et quelques autres créations plus étonnantes à d’autres emplacements …

Après un regard vers la main de Bor les trois s’incline et c’est à nouveau la femme qui s’avance vers l’aventurier comme si les deux autres le considérait avant tout comme un homme, et avec une voix douce bien que pas forcement agréable elle s’explique :


-“Mes camarades et moi-même sommes très honoré de combattre contre un aventurier aussi reconnu que vous l’êtes. Cependant mes amis ont choisit de travaillé le combat de transe, ainsi je m’excuse de leurs part pour leur froideur, cependant vous pouvez être sur qu’ils n’y aura aucun coup non maitrisé de leurs part. Etant moi-même encore en formation je ne peux vous en promettre autant … Cependant ne vous retenez pas, nous avons de très bon soigneur et si vos mouvement sont empêché par quelque chose notre forgeron aura du mal à faire une vrai arme pour vous … J’espère que vous allez apprécier le combat.

Les règles sont celle d’un entrainement, une main lever arrêté tout mouvement et l’abondons peux être temporaire, les touches sont comptabilisé par celui qui est touché et nos armes sont prévu pour l’entrainement ce qui n’est pas le cas de la votre mais nous nous en contenterons, essayer cependant de faire attention à vos actions, la mort se soigne mal…”


Un sourire gêné se crée sur ses lèvres alors que les deux autres se mettent en garde avec un grâce à nouveau révélé par leurs actions et leurs mouvement. Elle fait de même en sortant son épée et jette un coup d’œil aux alentours. Une centaine d’arme d’entrainement sont dispersé dans la pièce, au font les feux de la forge hurlent comme un encouragement à la mise à mort, et une grand espace s’ouvre entre les différentes portes maintenant fermé et la table, un sol en pierre régulier et vierge de tout obstacle, seul les mures et leurs armes semble être d’un intérêt pour un guerrier non averti. Pour les autres la lumière de la forge et sa chaleur semblera un point tout aussi important…

Mais les choses se lance l’arme qui ressemble à un sabre à deux mains de la femme se place en garde du fou, pointe sur le sol posé loin devant elle et les bras relâché. Le Zélos lui semble relâché, le bâton est encore en garde rapproché une pointe au niveau de sa cheville gauche l’autre à la hauteur de son visage. Quand à la dernière demoiselle ? Sa garde ne semble pas en être une, son arme à la pointe posé à coté de sa cheville gauche et sa main tiens juste sa garde … Pour un maitre d’arme cela revient à une garde nonchalante et surtout un des deux plus agréable de la voltige, une technique de combat extrêmement offensive et violente.
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MessageSujet: Re: La forge de Bor : CoeurVent   La forge de Bor : CoeurVent Icon_minitimeJeu 24 Avr - 15:55

L'hybride écoutait attentivement les règles du combat. Un style de combat qui ne le définissait pas. ça ne voulait pas dire qu'il n'était pas endurant. On ne vivait pas son style de vie sans gagner une certaine endurance après tout. Mais tout de même, son style était fait pour incapaciter ses adversaires le plus rapidement possible. Il s'appuyait donc sur la surprise et en ce sens Trickster le complétait vraiment. Bref, si c'était un combat d'endurance qui l'attendait, il était innutile de perdre plus d'énergie que nécessaire. D'hybride il repassa Terran.

Ils étaient honorés? Ces trois maîtres d'armes. De là où il se trouvait, il pouvait sentir le fossé qui les séparait. Plus qu'un fossé, c'était un abîme. Il avait face à lui des gens qui avaient dédiés leurs vies à comprendre leurs armes et à se perfectionner dans leur utilisation. Il avait dû leur en falloir du temps et de la patience pour arriver à ce point de leur art. Non de leur chemin! Ils avaient choisi cette voie et avançaient pas après pas dessus. Tout comme il avait choisi la sienne, l'aventure. Il devait aussi être pas mal avancé sur cette voie. Mais, ces trois là avaient dû faire des efforts comparables. Était-il un maître d'aventure? Il était maître de guilde bien sûr, mais c'était un titre qu'il avait reçu pour avoir construit sa guilde. En tant que leader, il devait avoir encore beaucoup à apprendre. Mais pour ça, il devait avant tout empêcher la fin de toutes choses.

Pour ce qui était de l'aventure, il n'était pas un maître. Sûr il avait accompli sa part d'exploits et de miracles, mais il était le plus grand aventurier que cette Terre ait jamais porté. Et pour cette raison, ses exploits ne suffisaient pas, il l'avait toujours prétendu, il y avait une certaine noblesse à l'aventure. Et pour que cette noblesse existe, il lui fallait un esprit, des valeurs, des règles. Qu'est ce que l'Aventure? Qu'est ce qu'un aventurier? Tant qu'il n'avait pas de réponses à ces questions, il ne pouvait décemment pas se prétendre maître d'aventure.

Durant ses aventures, il avait souvent eu à combattre, le chemin qu'ils avaient pris se croisait donc avec le sien. Ils avaient été nommés maître d'armes par les autres. Il n'était qu'un pratiquant de son Art qui avait en face de lui trois maîtres dans un autre domaine certes, mais trois maître quand même. Et c'était eux qui étaient honorés?


-Je ne vous en tiens aucune rigueur. Le plus important est de continuer sur sa voie, non? Pour ma part, je sens qu'à l'issue de ce combat j'en aurais beaucoup appris.


Trois styles différents, deux modes de combats différents, trois maîtres dans leur domaine. Tous en garde, plus ou moins. Ils ont dû voir Trickster, connaissent-ils ses secrets? Peut-être, mais ça n'avait aucune importance. Son interlocutrice avait révélé être la plus faible des trois, e quand l'aventurier aurait voulu tester le ou la plus forte,pour constater le fossé, il ne pouvait pas non plus la laisser en plan c'était juste... offensant.

Manipulant Légion, son arme à deux mains d'une seule main, il l'abattit sur la jambe de son interlocutrice. Il aurait sa réponse dans ce combat. Qu'est ce qui séparait un maître d'un pratiquant?
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MessageSujet: Re: La forge de Bor : CoeurVent   La forge de Bor : CoeurVent Icon_minitimeVen 25 Avr - 15:10

Qu’est ce qui sépare un maitre d’arme d’un maitre d’arme d’un simple pratiquant ? En premier lieu le savoir : Qu’est ce qu’une garde du fou ? A quoi sert-t-elle ? Quelles attaques passent plus facilement contre elle et quelle arme ? Voilà une bien vaste question mais en premier lieu c’est la technique de l’aventurier qu’observe Brom et non celle de ses maitres d’armes qu’il connait et avec qui il s’entraine … Et c’est donc à ce moment là que le désespoir le gagne.

Légion est une arme à deux mains, qui comme toute arme de cette catégorie ont un certain poids dans le but d’augmenté l’allonge certes, mais surtout d’infliger des dommages bien plus grand et bien plus dramatique. Donc, en aucun cas pour essayer de jouer sur un style incapacitant, pour cela l’arme doit perdre du poids, pour gagner en maniabilité, en vitesse, en réaction, permettre de jouer des coups osé comme le sont la plus part des coups incapacitant donc sous garde, tout en gardant une réactivité permettant de reformé sa propre garde rapidement. Ainsi un coup en jambe est très facile à porté avec une arme lourde, même, et surtout à une main, le coup est toujours clair mais la suite devient complexe.

C’est donc dans un sourire que la demoiselle entame sa réponse. Comme dit précédemment la garde du fou est une garde qui propose une pointe touchant le sol devant le porteur de l’arme, adapté aux armes à longues allonge elle demande cependant une arme plutôt légère mais, de par la configuration du poignet, permet d’avoir une bonne réaction même avec des armes lourdes par simple mouvement de balancier. Les coups en jambes peuvent donc être paré sur un simple glissé de la lame qui vient en opposition, mais comme il est facile de remonté sur un lame et qu’elle n’as pas envie de faire une opposition de force elle bondit simplement au moment où la lame touche la sienne et aurait donc dût toucher ses jambes. Ainsi elle active le balancier et le danger de la garde du fou arrive sous la forme d’une pointe qui remonte le long du corps du jeune homme.

Or ce dernier et forcement décalé sur l’avant pour porté un coup en jambe, cherchant à allonger son allonge, l’épée se dirige donc rapidement sur son torse et son visage. Vue l’inertie de la lame que manie que l’aventurier le coup à toute ses chances de touché et la lame ne pourra être arrêté pour revenir en arrière avant que la demoiselle n’ai remit pied au sol avec grâce.

Ne cherchant pas à savoir si son coup remontant à été esquivé par coup de chance, ou comble d’une maitrise inconnu, esquivé, elle active un moulinet pour ne pas faire perdre l’élan de son épée et passant au dessus de sa tête pendant que le jeune homme se redresse ou chute, son épée revient par le haut à l’instant même ou ses pieds touchent le sol.

Il est possible, avec se genre de moulinet et des cannes de bois de frapper avec une force équivalente à une tonne, on monte donc facilement à 3 avec une épée longue même équilibré sur l’arrière comme la sienne. Un coup qui est donc difficilement parable et vue la souplesse de ses actions, l’esquive aussi devient complexe …

En attendant les deux autres maitres regardent, même dans leurs transes ils respectent le duel et ses implications.

La différence entre un maitre d’arme et un pratiquant se trouve en de nombreux points, on pourrait donc citer le savoir, mais aussi l’habitude de son arme, les capacités d’improvisation ainsi que celle de se retrouver dans des catas longuement pratiqué. On peu aussi parler des long exercices, qui, chaque jours, éprouve un peu plus l’agilité, la force et l’endurance … Mais surtout, cette étincelle dans les yeux qui fait que l’ont voit, que l’on ressent et que l’ont vie pour et par le combat.

La lame retombe des cieux comme un couperet. Le coup est si classique et pourtant si puissant, personne n’hésite à le placer contre un coup en jambe car il oblige l’attaquant à revenir debout en se protégeant en tête. Or la garde du fou à déjà ouvert sur un attaque en menton, et l’épée lourde de l’homme ne permet pas une réaction suffisante pour jongle entre ces attaque et ses deux gardes. Enfin, une fois l’attaque en tête passé on revient facilement sur une garde scorpion, une basse ou une haute qui permet toute une gamme de coup des plus agréables, la garde allait donc être fonction de la réaction du jeune aventurier à cette suite de frappe que la demoiselle à l’épée longue avait placé.
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La forge de Bor : CoeurVent
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