Oldarik Shola... dit le mesquin

News & Infos

C'est ici que vous trouverez les dernières infos du moment, les utiles et moins utiles.

Temps actuel

Effectifs

• Eryllis: 3
• Ladrinis: 9
• Eclaris: 5
• Prêtresses: 5
• Cavaliers de S.: 5
• Nérozias: 6
• Gélovigiens: 3
• Ascans: 0
• Marins de N.: 4
• Civils: 15

Lien recherché

- Walter cherche de Preux chevaliers.
_ Raël veut des clients.
_ Deirdre a besoin d'employé!

Les Rumeurs

_ Il parait que des personnes hauts-placées seraient gravement malades.
_ Il parait que ça se bécotte "au bal de la Rose".
_ Il parait que des créanciers en sont après un des conseillers de Ridolbar.

Code par MV/Shoki - Never Utopia



 
AccueilAccueil  FAQFAQ  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  


Le deal à ne pas rater :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez
 

 Oldarik Shola... dit le mesquin

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Oldarik Shola... dit le mesquin   Oldarik Shola... dit le mesquin Icon_minitimeDim 13 Juin - 17:02


PRESENTATION
Oldarik Shola



    NOM: Shola
    PRÉNOM: Oldarik
    SURNOM: Dit le mesquin

    SEXE: Masculin
    AGE: Très anciens, mais garde le secret
    PEUPLE: Sylphide

    CASTE: Civil
    MÉTIER: Conseiller du prince héritier

    ARMES PRINCIPALES:

    -Les jumelles : Le conseiller possède deux épées à lames très fines en or blanc qui on un manche enrober d'un tissus rougeâtre et doux ou découle une séries de cordes en cuive brunâtre décorés de perles blanche et or qui s'agance au écriture qui couronne la lame de l'épée. Ces deux épées, auquel il tient plus que tout au monde après son caractère mesquin, sont reliées entre elles par deux ruban de même couleur que le manche, hormis le fait que l'une en ait un de satin blanc, cette dernière possède donc les perles rouge et or, donc l'un des ruban qui les relies est blanc et l'autre rouge.

    AUTRES POSSESSIONS:
    -Le conseiller traîne toujours sous ses habits un couteau dissimuler, sans réelle importance et fait d'un bon matériaux, maisn qui n'équivaut aucunementr à ses épées, d'ailleurs il est plus porter à utiliser ce dernier avant de se servir de ces dernière dont la beauté est sans limite d'après lui.
    -Lors de ses expéditions pour l'héritier, dont il ne manque pas de tirer profit, il traîne à sa taille une large bourse qui fait la largeur de son dos et qui est d'un blanc immaculé comme la plus part de ses objets.
    -Dans sa bourse, depuis le temps qu'il vit, il a apprit à confectionner quelque potion et médication qu'il traîne sur lui pour soigner son corps ou l'héritier lorsque ce dernier décide de l'accompagner dans ses expéditions.


    DON:
    -Immortalité / Insensible à la douleur
    POUVOIRS:
    -Bouclier
    -Télékinésie
    -Contrôle de la terre

    SPÉCIALITÉS:
    -Excellance spécifique en armes
    -Force mentale


    PHYSIQUE:

    Oldarik Shola est doté d'une beauté sans limite et sans normes, il est unique et cela par bien des sens, il arbore une tenue royal et riche de tissus rares et attirant l'oeil des gens lorsqu'il les croises. Il possède de longs, très longs cheveux argents qui sont reluisant d'un reflet bleuté métalique, dont une partie sont peignés vers l'arrière, les cheveux du dessus, ceux qui se trouvent à l'avant de ses oreilles retombent sur son torse, presque au milieu de son ventre. À L'arrière, ses cheveux vont jusqu'au millieu de son dos, soyeux et fins, ils ne manquent pas de virevolter féeriquement à chaque légère brises. Sur sa tête, des losange de verre vont vers l'arrière, chose qu'il peut projeter grâce à sa télékinésie., mais elles sont principalement des décoration.

    Son visage blanc immaculé est bien horné d'une petite spère blanche minuscule, mis au milleu de son front, accesoir démontrant ni lpus ni moins un sens de l'esthétique plutôt bizarre, mais propre à lui même. Nes long et droit, bien cadré symétriquement au millieu de son visage, il ne manque pas de rappeller sa pureté et cela tout le monde le voie. Sa peau blanche parfaite, sans plis, sans tâche, sans boutons, sans por ouvert et sans imperfection a tandance à le fair epasser pour patraque, mais ses yeux brillant d'un bleu immensément clair vers l'extérieurs et plus foncé que la nuit vers le centre, se mélangeant à sa pupilles, ramène les pensées de maladie à la raison. Son regard semble toujours parraître méfiant et sérieux, mais laisse parfois entrevoir un éclair de malignité et de savoir.

    Son oeil droit est parcouru d'une marque bleuté glaciale avyant une forme vague de larme qui s'étirerait au dessus de son sourcil et qui cadrerait avec son habit. Ses lèvres sont pâles et droite.

    Ses habits chauds enlacant le haut de son coup et de sa nuque sont portés spécifiquement car il déteste avoir froid. Prtant plusieurs couches de tissus toutes de couleur argent et blanchit de la couleur la plus pur, le blanc, sa tunique arbore quelques motifs de feuilles tournant vers un légé turquoise foncé à peine remarquable qui grossit légèrement sont corps.

    Corps qui n'ait aucunement gros ou emcombrant... Oldarik avait veiller à se mouler un corps ni trop lourd ni trop léger, mais élanger et bien sculpter car il adorait attirer les femmes. Il possédait des muscles au bras, aux jambes et au torse, non apparent sous ses vêtements, mais évident une fois mis à nu, ses mains étaient grande et froide, contrairement au reste de son corps.

    Si Oldarik Shola avait parfois extrêmement chaud à l'intérieur de son corps, sa peau à l'extérieur, elle, avait toujorus froid, c'était poru cela qu'il portait une multitude d'habits, mais aussi à cause de son rang important. L'héritier ne se montrait jamais en compagie de gensmal habiller, mais Oldarik m'avait aucunement besouins de vêtement riches pour parraître beau. Il L'était un point c'est tout.


    PERSONNALITÉ:

    Étant le conseiller de l'éhirtier il se doit d'avoir la tête sur les épaules, d'être organiser et de savori ce qui se passe un peu partout à travers Istheria, parfois crue et sens pitié, les gesn qui le cotois disent pourtant qu'il est gentil et raisonable, mais c'est qu'il est un excellent menteur et manipulateur, ainsi dire, lorsque le roi l'envois cherche un objet ou quelconque information, il sait toujours en tirer profit et ne fait jamais rien sans avoir quelque chose en retour. Égoiste et mesquin, il pense plus souvent à lui-même qu'aux autres personnes qui l'entour et ce même envers l'héritier, mais il cache bien son jeux.

    N'aimant pas spécialement être déranger et que tous viennent lui demander conseil, il pourrait cependant prendre goût au plaisir de diriger d'autre et diriger pourrait être une embition ou un but dans sa longue vie, mais il aime bien dirigier dans l'ombre l'héritier qui se confie à lui et lui demande conseille. Évidament Oldarik fait tout pour avoir le plus de cartes dans son jeu et prépare d'avance le terrain de jeu pour sa propre personne. Impatient et impulsif, il n'aime pas quand les gens ne comprennent pas du premier coup et a tendance à s'impatienter lorsque les autres cerveau ne semble pas bien éveiller.

    Côté relation avec autruit, Oldarik est un homme comme bien d'autre qui aime les femmes, mais ne voudrait pas d'enfants et de totues façon il ne peut pas, néanmoins il pourrait bien s'attacher à une personnes en particulier. Étant immortel, il se rappelle de plusieurs choses dont la guère de Taulmaril et dans tout ses voyages.

    Tout dépendant des situations, ils pourrait aussi bien être gentil que méchant et sans pitier, nésitant probablement pas à tuer quelqu'un pour son profit ou tout simplement pour atteindre un objectif, il n'est pas très cmopréhensif et coeur à coeur.

    Étant Sylphide, il se concidère comme étant supérieur, un réservoir de savoir et de connaissance, et adore avoir raison et ne se laisse pas facilement marcher sur les pied, savant se faire écouter il sait néanmoins se résigner lorsqu'il se sait dans l'erreur et utilise généralement la nouvelle information à ses propres fins. Aimant controeler les gens et s'immicer dans leur vie, Oldarik fait tout pour tout savoir et ce dans les moindre detailles.

    Si il garde bien profondement dans sa memoires des choses dont il est moins fier, il est plutot du genre a ne faire ressortir que ce qu'il veut faire resortir et s'arrange si cela fonctionne pas a faire croire aux gens ce qu'ils desirent entendre.

    Inelligent, un peu plus que la normal, il est brillant et sait faire un plan de guere digne de ce nom sans pour autant en etre un tacthicien.


    HISTOIRE:

    -La creation du corps:
    J'ignore comment je suis nee, je suis juste apparus, la, de cette facon, ni vivant ni mort, mais j'etais la, j'avais des emotions et des sentiments, je voyagais sous forme lumineuse, mais je ne possedait aucun corps. Au tout debut j'avais su me contenter de regarder les humaisn vivre , d'en haut, tout etait bien distrayant, la guere de Taulmaril avait ete un episode haut de suspence et de meurtre, je l'avais regarder de mon petit nuage au Temple Suspendu. Les miens immortels et parraisseux vas s'en dire aurait pu se bouger un peu, il n'y avait pas eu beaucoup de Sylphid participant a cette guere, j'en avait observer un, d'une apparence divine, possedant de long cheveux blancs,... il venait de perdre une personne importante, il en avait pleurer et son regard avait changer, il etait partit... Mais je l'avais regardee, tentant de sauver cette humain si pathetique...
    Quoi qu'il en etait, la guere ne nm'avait desennuyer nu temps, mais mon peuple sous forme lumineuse, n'avait quant a elle, rien de bien interressant, je d'eus finalement penser a integrer un corps...
    Je devais me donner une beaute fulgurante et attrayante, assez pour que les gens aient un profond respect pour moi et assez belle pour qu'ils me regardent et sachent que j'occupais une place importante. Mais comme aucune image me venait, je repenssa a ce Sylphide pleurant la mort de la personne qui semblait si importante a ces yeux... les humains aiment les gens qui possedent des sentiments, ainsi donc, devais-je m'inculquer une apparence qui inspirait la purete et un caractere... calme et gentil... alors le plus logique etait de prendre une apparence pur et gentille... un corps ni trop imposant ni impuissant, un regard malin et... enfin...


    -Le debut, les premieres pensees:
    J'apparu sur Istheria apres plusieurs temps a modeler convenablement mon corps, mais mon caractere restait le meme, je detestais etre ennuyer, ainsi donc semer la zizanie etait parfois distrayant, tout comme manipuler les gens, mais le mieux s'etait d'etre occuper. Se desannuyer quoi...
    Les gens croient ce qu'ils vuelent croire, cela c'etait certain, alors je devais me trouver quelqu'un de haut placer a embobinner, mais tout d'abord, commencons par quelqu'un au bas de l'echelle... un marchand pourquoi pas ? Question de voir l'entendue de ma manipulation...
    Je guida maladroitement mon corps jusqu'a l'arriere d'une boutique de tunique, le proprietaire etait a l'avant avec un client, j'ouvrit des cartons empiler ici et la. J'avais miser juste, le lingue etait de qualite, plus ou moins elegante. Tout etait parfait. J'emporta une tunique avec moi, pour linstant la couleur n'importait pas grandement. Presque deja nu comme un verre, j'enfila le lingue et alla me balader subtilement dans la ville ou du moins la ou il y avait beaucoup de monde, on aurait dit un marche ou quelconque endroit pouvant rassembler plusieurs marchands et petit stands etaler ici et la sur une place publique probablement.

    Tout d'abord, mon plan consistait a trouver une victime faiblarde qui aurait besoins de mon aide, moi bienvaillant et attentionner, je devais venir a son secourd, elle me dirait qu'elle me doit sa vie et patati et patata, alors je lui propose un marche pour me recompensser, la prend a mon service et tout... je la sauve de sa miserable vie.

    Deuxiemement je devais me trouver un semblant de couteau ou d'epee pouvant proteger dignement ma victime, assit dans une taverne je regarda autour de moi, il y avait un gros gaillard, plein de graisse qui s'arrosait le gosier avec un semblant d'alcool probablement ou d'eau de vie, a une autre table, un homme entoure de dames de bonne compagnie, robe presque relevee a mi cuisse, bretelles descendue, visage maquiller odieusement, puis trois chasseur assis un peu plus loins a une table pres... des toilettes... Voila ma sortie ! Les toillettes se trouvaient pres dJe m'avanca pres des homme, ils parlaient d'une creature qui rodait depuis quelques temps pres de la cite. J'y preta une vague attention et fit mine de m'accrocher dans l'une des pattes de chaise. Tout d'abord frustree d emon interruption, l'homme se tourna rapidement, mais se radoucit, appercevant mes vetements et mes longs cheveux et mon apparence hors normes. Je m'excusa et alla msupposement m'engouffrer dans les toillettes, alors qu j'empruntais en fait la voie de sorti. Mission accomplie, lors de mon accrochage j'avais saisie un couteau qui semblait fait de bon materiaux et je l'avais glisse derriere mon dos tout en m'inclinant legerement vers l'avant en guise d'excuse.

    Je marcha jusqu'a une auberge et j'entra... une jeune dame au allure de princesse m'interpella:
    -Bonjour tres cher monsieur, que pouvons-nous pour vous ce soir?
    -J'aimerais bien une chambre, tres chere, mais je ne crains n'avoir point de quoi vous payer...
    Elle me devora des yeux, mais ne dit rien...
    -Cependant, pourais-je venir vous payer un peu plus tard...? en guise de ma bonne volonte, pourrais-je vous rendre un petit service?
    De facon provoquante, elle quita le comptoir et vint me rejoindre, nous montames dans une chambre...

    Lorsque je me reveilla le landemain matin, le soleil filtrait sur ses long traits fin, etendue pres de moi, nue, je passa par dessus son corps, m'habilla et sortit. Le travail commencait. Je sortit dans les rues d'Eridania, nom grave sous une peinture dans la chambre ou j'avais passe la nuit, et marcha dans quelques ruelles. Le soleil levant etait vraiment agreable a regarder, mais mes idees etaient prises ailleurs. Apres quelque sminutes de marche en silence, je tomba finalement sur une scene de menage assez particuliere.

    Une femme tremblait au sol, pleurant, se shabits sales trainaient au sol tout comme son corps, elle tendait les bras vers un bebe soulever d'une main par un homme sale et gras. La femme criait de liberer son enfant; elle etait presque belle, un visage sans trop d'imperfection et de beaux cheveux, seul ses vetements gachaient le tout. Mais ce qui etait clair s'etait qu'elle voulait son enfant, qu'elle dornnerait sa vie pour lui, exactement ce que je voulais entendre. Alors que l'homme s'appretait a la giffler ou a lui infliger une quelconque souffrance, j'alla me placer bras ouverts en l'homme et la jeune femme tout juste maman. La main s'approcha toujours, neanmoins, a mon grand etonnement rien ne se produisit hormis le fait que la main heurta un mur invisible qui se mobilisea devant mon corps... comme un bouclier...

    Si j'etais surpris interieurement, je n'en laissa rien parraitre et saisi la main pateuse de l'homme qui tentait de faire du mal a la femme, le sortit le couteau de ma tunique et alla le poser sous la gorge de l'homme imposant qui se trouvait devant moi. il ne bougea plus, avec agilite, j'elanca mon bras a la conquete du petit humain enveleopper dans un tissus poisseux, le retira des mains de l'homme et lui ordonna de partir, prenant un regard, que j'utilisea pour la premiere fois, un regard meurtrier.

    Je me trouna vers la femme qui me regardait haurit, je plongea ma main dans sa direction, elle ferma le syeux, elle avait peur... ces humains... mais lorsqu'elle els rouvrit, elle vit que je lui tendais son bebe. elle le prit l'embrassa a plusieurs reprises. Je roula les yeux discretement et l'aida a se relever, elle me serra contre elle aussi fort qu'elle le pu et me remercia:
    -Que puis-je faire pour vous montrer toute ma gratitude ? Pleurnicha-t-elle en serrant le petit contre sa poitrine.
    Je paru reflechir alors que mes paroles etaient en fait pensees depuis hier soir.
    -J'aurais besoins de votre aide, tres chere...
    -Tout ce que vous voudrez! repondit-elle aussitot.

    Je lui expliqua qu'elle devait seduire l'heritier d'Eridiana pour moi et le faire tomber amoureux d'elle, je lui promis vetement convenable et l'assurance que son petit vivrait une vie d'humain normal. L'esprit humain est facile et elle, je connaissais deja sa reponsse, elle aimait trop son fils pour refuser... oui c'etait un petit garcon... alors elle accepta et me promis de seduire l'heritier. Je la ramena a l'auberge, la jeune fille de l'accueille me lanca un regard reprobateur et je lui souris, elle me desirait, mais pour l'instantj'avais d'autre chat a fouetter...

    Bon desormait je devais entamer la troixieme partie de mon plan, je devais me rapprocher du roi... de l'heritier.... de la famille royale... Je devais impressionner la galerie et cela j'etais bien au courant...


    -La bete de la ville... les chiens de l'enfer:
    Je du me rendre une seconde fois dans une taverne de la ville pour entendre de quoi etait faite cette si magnifique bete dont tout le monde parlait. Une bet qui s'attaquait au habitants et qui devenait plus menacante que jamais, un loup, voir un gros chien, peut-etre bien un ourse, avec de longue dent asserees et une odeur de sang abominable. J'avais ma chance de prouver ma valeure. D'un pas decider et rapide, je me rendis au palais des dites personnes de la royautee. Le roi semblait bien surprit de voir arrive run inconnu qui serrait en mesure de detruire sa belle petite bete carnivore, mais moi elle ne me faisait aucunement peur... elle m'excitait, aller a sa poursuite ennivrai mes sens d'adrenaline. Assit sur un trone, avec son fils pres de lui et ses serviteurs, le roi me regarda, ne semblant vouloir m'accorder que quelques secondes de son precieux temps, neanmoins je ne me laisserais aucunement faire, il ne m'impressionnait aucunement. Je ne m'inclina meme pas et ils en parurent offusques.
    -Roi et heritier d'Eridania, je pense pouvoir vous etre d'une grande aide en ces jours mysterieux... Vous ne semblez pas savoir quoi faire de votre jolie be-bete... puis-je vous proposer un petit marche?
    Si ils n'en pouffairent pas de rire, moi mon regard se maintenanit glacialement.
    -Je vous debarasse de la bete et vous payer mon auberge et me leger un poste pres de votre grandeur si magnifique... quand dites-vous ?
    La il s'exclafferent presque exagerement, mais je ne scilla point.
    Je vous apporterais sa tete sur un plateau dans une semaine mesirs ! Repondis-je en provocation.
    Je trouna les talons sans ceremonie et ils me regarderent, je le savaient, ils me fixaient, mais moi je m'en contrefichait bien, j'aurais ces majestes dans mon fillet je le savais bien...

    Je ressortis du chateau satisfait de l'effet que je devais avoir mis en place dans leur esprit, je retourna a l'auberge, croisant le regard triste de la jeune femme toujours a l'accueil, je lui souria aimablement et alla poser un baiser sur sa joue, j'avais une faveur a lui demander.
    -Pourriez-vous aidez la dame qui se trouve dans ma chambre a s'habiller convenablement? Vous mettrez cela sur le conseiller du roi je vous pris.

    Je ressortit, marcha dans la cite, alla degoter une bourse d'un blanc immacule, et alla ensuite me plonger dans la flore des foret environnate. La bete me guetait peut-etre deja, mais je m'en contrefichait bien assez... je la trouverais, la tuerais et m'inposerais aupres de ses sirs si importants avec leur air hautain.

    Les premiers jours ne furent pas tres fluctueux, mais j'apprenais a me souder a la fone, au arbres, aux roches et a tout ce qui m'entourait. C'etait interessant de toucher toute cette flora, surtout que je ne pouvait que l'appercevoir du Temple Suspendu. Mais la c'etait bien reelle, je m'amusais en meme temps sans reellement m'en appercevoir. Plus les heures passait, plus je m'eloignais de la ville, cela faisait quatres jours que je vaguait a mes occupation de chasses, ma premiere.

    Je nageais dans l'eau plutot froide d'une rivieres qui portait le nom d'une chute... les Gorges de Paramis, l'eau ondulait sur mon corps nu dans cet substance glaciale, flottant sur le dos, je ressentis le bseoins de me mefier de quelque chose. Je replongea mon corps dans l'eau et regarda au allentour. Une sensation d'incertitude m'envahit soudainement. Une peur quelconque, probablement venant du fait que desormait je pouvait etre blesse... mais cela devait etre un reflex humain de penser que je pouvais etre blesse, car je ne ressentais pas reellement la douleur...

    Je m'extirpa de la fameuse eau et me rabilla, mes chevux mouiller se mirent a tembouriner contre mes tempes lorsque le vent s'eleva soudain; je vis de grands yeux jaunes apparaitre devant moi alors que je fixait la foret.

    La bete mesurais pres de trois mettre de hauteur sur deux bon metre de largeur, ses pattes d'une quarentaine de centimetre chaque se tenaient fermement au sol, les griffes s'enfoncaient dans la terre, ses pattes arriere s'abaisserent en position de charge, elle etait prete a bondire. Je sortit a peine mon couteau qu'elle bondissait deja sur moi, toutes dents dehors. A la premiere charge, je ressue une morsure au ventre, entre le haut de ma cuisse et mon torse. Je ne broncha pas et enfonca le couteau a la base du cou de l'animal, il m'aurait bien fallu une deuxieme arme pour pouvoir faire quoi que ce soit d'autre, mais rien... La bete me rejeta a plusieur metres et la ou je m'attendais a trouver un sol dur et des pierres, je ne trouva qu'un sol mou. Je rula sur moi et m'appercut que je m'etais plus ou moins enffonce dans le sol, comme si ce dernier avait reagit pour me proteger. Je me releva et leva les mains pour me laver de la poussiere et alors que je faisait un pas incertain pour m'assurer de la concistance du sol, celui-ci se solidifia.

    La surprise se revela a etre une vrai rejuissance pour moi... j'etais speciale...

    Je souleva un bras en me concentrant sur une roche et je l'imagina voler vers la bete, cela se produisit, elle la recu en pleine tete. La bete rechigna, et la satisfaction ainsi que le sentiment de puissance m'envahit. La creature se rua ensuite sur moi, je pensa a un sol qui s'enfoncais et comme de fait le sol sous les pattes de la bete s'enfonca, elle trebucha et profitant de cette chance, j'envoya des roches falcer contre elle, puis je recouvris le tout d'une couche de terre que je solidifia puis que je poussa vers l'interieur pour ecraboyer la bete. J'entendis un hurlement de douleur puis plus rien...

    Je relacha la pression et fit ecarter de mon nouveau pouvoir les roches et la terre, la bete etait legerement deformer et ne bougeais plus. Je m'approcha d'elle et alla saisir le couteau. J'approcha ma main et sentit quelques chose me transpercer la peau. Des dents. La bete c'etait retournee contre moi et avait agripee mon bras. Furioso je pris le couteau de son cou, elle grogna enfoncant encore plus profondement ses dents dans ma chaire froide. DE ma main qui avait saisit l'outil, j'alla enfoncer ma force dans le debut du museau de la bete et l'arriere de son crane. Le couteau transpercait sa tete, j'avais gagner. Le lourd corps de la bete retomba sur son flanc droit, m'entrainant avec elle. Une fois au sol, je me releva legerement et de ma main droite, j'alla saisir la machoire qui s'etait un peu plus tot enfoncer dans mon bras, je releva son pallet supperieur et souleva mon bras endomage. les marque de dents etaient evidente et su sang coulait abondament des plaies profondes.

    Je soupira et roula sur le coter en reprenant au passage mon couteau qui fit tressallir le corps du chien de l'enfer, l'achevant.


    -Le retour et la richesse:
    Je m'assis quelques instants a quelques metres de la bete, je venait de vivre ma premiere reelle dose d'aventure et je trouvais cela pas mal; Je me souvint de ma promesse de ramener la bete sur un plateau, je me retourna une seconde fois vers la creature et lui trancha la tete un fois rapproche. J'alla m'addosser a un arbre et je ferma les yeux. serrant ma plaie a mon mon bras gauche et de ce denrier j'appuyais une pression sur les ouverture au bas de mon ventre. Je ferma les yeux pour m'assoupir quelques instants...

    Le temps defila... je devais en etre au dernier jours lorsque je me reveilla finalement de mon doux reve ou je revoyais ma nuit avec la jeune femme de l'auberge. Je me reveilla, trempe de cette substance que les humains appellaient de la sueur. La tete de la bete etait deja emplie de mouches degoutantes. Par sa fourure je la ramassa et prit soins de laisser les organes a l'interieur de osn membre superieur pour que les majester constate de eux meme que cette tete n'etait pas singee. Je regarda mes plaies infectees qui brulaient, mais don je ne ressentais pas de douleur, et me leva chancelant. J'avais encore un peu de mal a mouver ce nouveau corps.

    Si venir a la rencontre de la bete m'avait pris du temps, revenir parcontre avait ete un jeu d'enfant...

    Je passa la frontiere de la ville, aucune sourire sur mon visage, la tete de la bete pendant au bout de ma main droite; les gens me regardaient d'une expression horrifier avec une pointe de stupeur. J'arriva au palais, je n'attendit aucunement que les gardes ouvrent les portes, je les poussa toutes d'un bon coup de pied impatient. J'arriva en salle du trone, sans pudeur, ne cachant pas mon corps ou certain endroit se revelait a cause du tissu dechire.

    Ses majestes etait assises sur leur trone respectifs, je leur balanca la tete de l'animal, sur les marches menant a leur perchoir, et ne magenouilla point, chose que je ne ferais jamais de toute facon.
    -Voila votre petite bete mes seigneurs ! Dis-je simplement.
    Le rois avait sourit de facon : J'ai un plan derriere la tete, mais je n'en eu aucunement peur.
    -Votre ville pourrais bien tomber en morceau, vous n'avez aucun plan d'attaque pour la remodeller a votre image de grandeur mes seigneur et is je puis me permettre de vous conseiller, il vous faudrait bien une personne sur lequel vous pourriez compter en tout temps...
    -Et cette personne est evidament vous n'est-ce pas ? Demanda le roi en roulant les yeux.
    -Oui! repondis-je froidement. Combient de personne ont-elle risquer leur vie pour vous ? Probablement plusieurs ou du moins c'est ce qu'ils disent, mais moi je me contre fiche pas mal des ordres que vous me donnerez et je suis un chien obeissant, je serrais un bon conseiller!
    -Vraiment et pouruqoi verrais-tu cela si vaillament ?
    -J'ai une personne a qui je tient beaucoup qui aurait besoins d'un toit et pour etre honnet avec vous votre majester, je recherche le prestige, ainsi donc jamais je ne m'agenouillerais devant vous, mais je peut vous garantir que je ferrais tout pour que tous hormis moi le fasse !

    J'avais evidament mentis, pour se qui etait du toit pour une personne qui m'etait precieuse, ou enfin a moitier vrai, dison suelement que le fils dont je devait m'occuper desormait, a cause de sa mere que j'avais envoyer en mission jsutement aupres de l'heritier, me servait de couverture.
    -J'aimerais que vous preniez sous votre aile un enfant qui na plus de famille, veillez a son education, fait-en un homme de main, un garde ou un serviteur lorsqu'il sera plus grand, en echange j'eliminerais tous les personnages qui oserons vous opportuner ou mettre des batons dans vos roues, je resolverais vos problemes et vous, vous pourrez vous reposer a votre guise dans votre si royal chateau... quant dites-vous?
    Le roi souria de facon: j'ai de petites surprises pour toi et prit la parole, se levant de son siege.
    -Tres bien, puisque tu semble si confiant en tes moyens, trouve un solution pour rendre Eridania et Hesperia la capitale plus prospere et je ferais de toi mon conseiller... Prend le temps qu'il te faudra et revient avec le petit un de ces jours si tu en n'a le courage et ramenes-nous donc des solutions.

    Je toruna les talons et sortit en coup de vent, je retourna a mon auberge, a deux doigts d'avoir touche a ma richesse tant attendue.


    -L'ombre des tueurs
    J'avais passer plusieurs jouers en compagnie de la charmante dame de l'accueil de mon auberge, la femme charger de seduire l'heritier revenait de temps a autre prenant des nouvelles de son fils que je faisais passer comme etant le mien devant tous et dont je confiait la garde a la la jeune femme lorsque je sortais pour des promenades noctures pour reflechir a la solution tant attendue de la part du roi. Puis un jour alors que le soleil plombait sur mon visage, etandu dans l'herbe en compagnie de la jeune femme que je commencai a apprecier, regardant l'enfant auquel je commencais a m'attacher, je question la femme. Elle avait de longs cheveux et une beau legerement rose... son regard enjouer etait charmant... elle etait de bonne compagnie...
    -Dit moi tres chere... dis-je en prenant appuis sur l'un de mes coudes, relevant le visage vers le siens pour l'admirer ou un semblant de se geste. Que voudriez-vous ameliorer dans cette ville?
    Elle me regarda surprise, mais repondit en.
    -Pour etre honnete, cette ville n'est pas tres securitaire, on y voit souvant des gens se faire tuer, je pense... et ce n'est guere rassurant... ce n'est pas un endroit ou elever des petits, elle toucha l'enfant qui arrachait une fleur du jardin de l'auberge, de plus les gens de la haute coure semble avoir peur de se faire derober tout leur or...

    La journee suivant je metais en plan mon deuxieme plan, celui d'exterminer les "vilain garcons" de la ville, puis d'aller rendre une petite visite au maire d'Hesperia, du quel je ne m'attendais pas a grand chose,... mais le reste avec ce vieux crouton allait devoir attendre... le roi et l'heritier etant plus facile a manipuler, j'allais donc me concentrer sur eux pour commencer.

    Pour commencer, j'analysa mon combat avec la bete de la foret, a ce moment j'avais cru noter que posseder deux armes, une dans chacune des mains aurait ete utile si jamais l'une d'elles se retrouvait coincer dans une quelconque chose, alors j'alla faire le tour des magasin d'armurerie... Je finit par tomber sur quelque chose d'interessant, un homme, marchands d'arme probablement, transportait duex epees identique en presque tout els points dans ses bras, je l'interpella:
    -Monsieur!
    Il se tourna vers moi.
    -Vos epees, elle sont a vendre ?
    Il se mit a rir et je n ele supporta point, dans un coin un peu moins achalande de la ville, mon regard se ducit.
    -Alors ? Elle sont a vendre vos bout de metal ?
    -Si elles le sont ! Mais pas pour un vagabon comme toi !
    Cette fois-ci se fut moi qui me mit a rire.
    -Ha oui et pourquoi? Deplus qui vous dit que je suis un vagabon ?
    -Regardez vos vetement jeune homme, vous n'avez rien de la purete et de la noblesse, de plus, ces epees sont uniques, elle ont etes fabriquer tres loin d'ici et leur lame est incassable...
    -Qu'a t'elles de si speciale dites moi mon brave ! Repondis-je en m'efforcant de parraitre polis.
    -Elle sont jumelles, creent en meme temps, dans le meme moule, mais par deux personnes differentes, deux jumaux, mort l'annee derniere, de plus il n'en existe aucune copie, elle sont hors prix et le roi d'Eridania me les a demandees, desoler!
    Il s'appretait a poursuivre son chemin, mais je l'arreta.
    -Ecoutez moi bien mon brave monsieur, j'aurais ces epees bien avant qu'elles ne parviennent au palais royal et cela meme si je dois vous arracher la tete, alors vous allez gentillement me les donner avant que quelqu'un d'autre ne vous tue!
    Je posa ma main sur les epees envelpper dans un tissus et fixa l'homme de mon regard, que j'appreciait de plus en plus, assassin. Une force m'envahit, mon regard devint percant... une force mental semparait de mon regard. L'homme hocha la tete comme ebahit et partit sans demander ses reste, le tout s'etait effectuer sans attirer l'attention, j'etais plutot fier de moi. Maintenant le vidage de cadavre par leur sang...

    Je confia l'enfant ua soins de ma nouvelle amante charnelle et passa le restant de mes journees a m'entrainer, dans une prairie tout pres d'ici, a utiliser mes nouvelles acquisition dont j'etais si fier, car elle etait unique j'avais l'impression de l'etre moi aussi.

    Le soir venu, lorsque les bandits et tueurs sortaient de leur cachette, je sortais de la mienne egalement et allait trancher quelques gorges, cette ville etait bien sombre et cela eloignait tout le monde, je le savais... et quelques jour ssufirent a tout netoyer, mes nouveau pouvoirs m'aidaient bien et tout semblait se passer pour le mieux... mais elle... elle fut tuee...

    Je rentrais a l'auberge lorsque je decouvris un cadavre ensanglante etaller devant la comptoir, quelques residant s'etaient attroupes pres d'elle. Ma poitrine se souleva, des sentiments humains m'envahirent et j'eus envie de vomir.
    -Qui a fait ca ? Demandais-je d'une calme olympien.
    Des tetes se tournerent vers moi.
    -Un homme! Repondit une femme appeuree.
    -Il cherchait ca ! Dit un autre en pointant les epees jumelles.
    Je fronca les sourcils et m'approcha du corps etendue par terre, cette si belle jeune femme, assassinee par ma faute, je n'en tirais aucunement satisfaction, mais je pourrais en tirer profit, ma sa chaleur allait probablement me manquer plus que ce que je voulais ne le laisser croire.
    -Ou est le gamin? Demandais-je.
    -L'homme la amene ! Repondit un adolescent au cheveux frivoles roux tirant sur le chatain.

    Je sortit en coup de vent, laissant le corps, autre fois magnifique, sur place et passa de ruelle en ruelle a la recherche de l'homme. Puis ce qui arriva devait bien arriver, le tomba dans un guetapend. Des hommes sortirent de nul part m'encerclant et la peur m'envahit, cette sensation si etrange qui m'envahissait, je la detestais, elle me faisait douter de moi et de mes talents...

    Prit entre deux batiments ou une fenetre tronait, toute sale, a moitier briser, je respira un bon coup.
    -Que puis-je pour vous messieurs? Demandais-je en reconnaissant l'homme qui transportait la derniere fois les jumelles.
    -Les epees! contre le petit !
    Je ricana en baissant mon visage, devais-je laisser l'enfant mourir ou le garder en vie? Oui ! Sinon la femme qui devait seduire l'heritier me tuerait sur le champ.
    -Ou est l'enfant? Et quel etait votre utilite a tuer la femme de l'auberge?
    Les hommes ricanerent.
    -J'ai promis au roi de lui rapporter ces epees, tu est un obstacle sur mon chemin, la femme a voulu te proteger... ou plutot ta maitresse a voulu le faire... et elle ne voulais pas me laisser le petit, elle pleurait son fils...
    -Ce n'etait pas son fils!
    -Alors elle pleurait TON fils ! Elle s'est jeter sur nous comme une possede qui protege un son petit, comme cette autre garce de la derniere fois...
    DE la derniere fois ?
    -Ha alors c'etais toi ! L'homme qui opportunait une femme et son petit...
    -Tu n'as pas bonne memoire on dirait!
    J'avanca vers les hommes ou plutot encore plus vers le centre du cercle.
    -Donne moi l'enfant immediatement ou je de tecoupe en rondelle d'agnau que je vais donner aux chiens de sa majeste.
    Les hommes rirent et se ruerent sur moi.
    -Sa laisse moi en douter le jeune ! Cria le premier malfrat.
    On m'attaqua par derriere et je tomba au sol, me cognant contre le sol, un filet de sang s'echapa de mon arcade sur mon visage. JE sortit mon couteau et fit volte face en toute vitesse, l'enfoncant dans les cotes d'un homme. Je leva une main, la pierre des maison se retira, a quelque endroit et je les dirigea vers mes adversaires. j'en assoma un , les trois autres qui avaient reculer revinrent a la charge. Je chercha de quoi lancer a distance et la panique s'empara d emon corps. Je leva les mains vers la fenetre.
    Pitie! cher dieux, faites quelque chose!
    La fenetre vola en morceau et se dirigea vers les hommes dont la peau se dechira, l'un deux tomba au sol, suivit d'un autre qui distrait ne vit pas mon couteau qui vint s'enfoncer dans sa gorge. Il ne restait desormait que moi et l'homme qui m'en voulait.
    -Alors... vous m'en vouler uniquement pour les epees ou il y a autres choses?
    -Tues un Sylphide !
    -Et alors?
    -Tu es parmis les plus minables espece d'Istheria, tu n'a aucune droit ici, alros comment as-tu oser t'interposer entre moi et ma femme? Beugla-t-il.
    -Entre toi et ta femme? Comment osez-vous insinuer qu'elle etait votre femme vu la facon dont vous la traitiez? Et j'imagine que cet enfant est votre fils? Pas etonnant que vous m'en vouliez, mais j'ai jsute offert mieu a votre epouse ou a votre femme... comme vous voulez cela n'a aucune importance...
    -Je voulais offrir ces epees au seigneur pour me faire de l'argent et la ramener,... alors un jour je vous ais vu tuer un homme, je vous ais suivit jusqu'a votre auberge et je l'ai appercus qui rentrait, accompagnee de l'heritier... ce salopar... pourquoi le servez-vous? j'ai des intentions plus louables que les siennes non?
    Je ne dit rien un instant et repondit finalement tout en faisant bouger l'une de mes maisn dans mon dos, je pouvais fair leviter des objets a distance, drriere l'homme il y avait un grand bout de verre qui irait se loger dans son crane.
    -Car j'ai des objectifs a atteindre !
    Le morceau alla s'enfoncer dans sa tete, la traversant au millieu de ses deux yeux; le rouge se mit a couler et un frisson me parcouru l'echine.


    -L'acquisition
    Cette nuit la je retourna directement au chateau du roi, ouvrant les portes comme la derniere fois, mais je du patienter dansla salle dut rone, le temps que sa royaute se rhabille et vienne me rejoindre. Je portais le petit garcons dans mes bras et avait neanmoins prit soins de ne pas montrer les epees a qui que se soit, je les avaient rapportees a l'auberge.
    -Voici l'enfant et voici la solution a la ville, dis-je en lancant mon couteau emplis de sang au pied de sa majestes.
    -Qu'et-ce que cela signifie?
    -Que votre ville a besoins de quelqu'un pour faire le sale boulot et que vous n'avez personne pour le faire,... ce soir j'ai tuer le dernier des brignats, d'autres reviendrons, mais nous serrons tranquil pour quelques temps... et voici l'enfant dont j'aimerais qu'il benefici d'un logis...
    -Tres bien et pourquoi avez vous tuez tout ces gens?
    -Car il on tuer ma femme... monsieur...
    Mensonge ! Techniquement je ne la connaissais que depuis quelques temps, mais cela il n'avait nuellement besoins de le savoir.

    Un ans plus tard...

    Cela faisait douze mois que j'avasi fait l'acquisition du poste de consieller aupres du roi, apres avoir tuer le dernier conseiller et les malfrats repugnant d ela ville, un plan parfait, ensuite, j'avais fait changer le nom du gamin pour un autre et l'avais confier a une belle petite famille pour ne plus jamais m'en approcher... il me rendais trop humain et puis... il me rappellait trop souvent elle... pas celle qui s'etait supposement amouracher de l'heritier, mais ma premiere maitraisse. Elle l'avait beaucoup aimer pour une femme qui venait tout jsute de le rencontrer, mais elle avait tout un intuition maternel cela je devais l'avouer.

    Etant homme de paroles, je devais veiller a la bonne maintenance du corps d'Eridania, des hommes riches venaient d'arriver et l'heritier faisait parler de lui avec sa relation avec une paysane, la dite mere de mon suppose fils desormait delaisser par moi-meme. enfait, il rabaissait la noblesse et je devais m'occuper de se probleme sous l'ordonance du roi. Mais cela faisait tout de meme aprtie de mon plan, ramolir l'heritier d'un chagrin horrible, tuer le roi et manipuler le nouveau roi, le soit disant heritier qui ne faisait que decevoir son imbecile de pere, le roi actuel.

    J'arriva dans la salle du trone d'un pas decider, revetu de mes nouveau habits de la royaute, couleur argent et blanc, a ma demande speciale, les couleur favorite de mon ancienne maitraisse, et regarda au allentour, faisant signe au garde qu'ils pouvaient bien disposer.
    -Majester, je crois bien que la relationd evotre fils n'ait ete deja un peu trop loins, je crois qu'il serrait preferable de tuer la femme, elle devient un peu trop curieuse sur certains sujets...
    Ce qui n'etait pas faux, parfois je retournait a l'auberge pour un moment de silence et elle m'y attendais, me reclament son fils, dils que je ne possedait plus, en fait elle jouait dans mes plats de bandes et l'heritier voulait la presenter a mon pere et si elle devait m'appercevoir que j'etais au servic du roi, elle menerait a l'echaffau tout mon plan.

    Ayant acquis aussi la confiance, importante, de sa majester cette derniere annee, il ne reflechissait meme plus lorsque je lui exposais mes idees, ainsi donc, en cet apres-midi ensoiller, je me rendit dans la salle des demandes du palais et fit venir un assassin, aussi simple que cela et lui ordonna de tuer la femme de l'heritier. Il obeit et la tua facilement. L'heritier sombra dans une profonde trsitesse, me demandant aide et soutient, ce que je ne manqua pa de lui apporter, jouant le role d'un pere parfait et sensible, se qu'il n'avait jamais obtenu du siens qui de toute facon devenait vieux et faiblard, un obstacle.

    Je tua le roi en lui lancant l'une de mes accesoir a cheveux de verre en plein dans le coeur,il mouru et je pretexta a un meurtre, faux, dont je demontra ue attention particulere a retrouver son meurtrier, mais avant cette fameuse mort, j'avais du forcer l'heritier a trouver un novueau partit, de quoi faire refleurir l'image d'Eridania, cette derniere mourue lors de l'accouchement avec le petit. Ca eu pour effet d'attirer la sympathie des partisant et de porter l'heritier a me soliciter d'avantage... et a cet instant lorsque le roi mouru je dit au nouveau roi, l'heritier que son pere avait commender le meurtre de son ancienne femme. La il entreprit une haine sans envergure envers son pere deceder e tmoi je passais pour le gentil qui avait essayer de l'ennempecher.


    -Sensation
    Mon plan se deroulait bien jusque la.. mais aujourd'hui... que possedais-je? de l'argent peut-etre et un heritier incapable de se tenir debout... la trsitesse contagieuse de mon employeur m'embrassait d eplein fouet et l'envie de mourir egalement... Je n'avais donc plus de but?



Je ne possede ni animal ni monture... Oldarik Shola est un grand solitaire, mais emprunte les chevaux de sa majeste... Mais pourrait-il trouver un animal lros d'une de ses expedition sous les ordres de l'heritier?
Revenir en haut Aller en bas
:: L'Eryl ::

|| Informations ||
Fonction:
Pouvoirs, spécialités & Don:
Relations & Contacts:
Sighild
:: L'Eryl ::
Sighild
MessageSujet: Re: Oldarik Shola... dit le mesquin   Oldarik Shola... dit le mesquin Icon_minitimeLun 14 Juin - 14:50

Haaaa! J'aime bien! C'est tout à fait dans l'esprit tordu du personnage! J'adore! ^^

fiche validée


Re-bienvenue à toi sous ce visage en espérant qu'il t'inspirera toujours plus sur le rp!!! lool
Revenir en haut Aller en bas
 
Oldarik Shola... dit le mesquin
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Istheria, le monde oublié :: Gestion des PersonnagesTitre :: • Création de votre Personnage :: • Inscription & Présentation :: • Cimetière-
Sauter vers:  

(c) ISTHERIA LE MONDE OUBLIE | Reproduction Interdite !