Chasse au traitre (Mission)

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- Walter cherche de Preux chevaliers.
_ Raël veut des clients.
_ Deirdre a besoin d'employé!

Les Rumeurs

_ Il parait que des personnes hauts-placées seraient gravement malades.
_ Il parait que ça se bécotte "au bal de la Rose".
_ Il parait que des créanciers en sont après un des conseillers de Ridolbar.

Code par MV/Shoki - Never Utopia



 
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 Chasse au traitre (Mission)

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Anonymous Invité
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MessageSujet: Chasse au traitre (Mission)   Chasse au traitre (Mission) Icon_minitimeMer 25 Juin - 18:51

La fin de la saison chaude approche et ce fait sentir de plus en plus alors que les jours passent Alors que les cieux s’assombrissaient avec la venue de la nuit, .à l'horizon devant les prunelles de notre protagoniste, la cité de Ridoblar se présente. Une cité des plus corrompus, un paradis pour les criminels de toutes espèces. Les criminels ne sont pas les seuls êtres à apprécier le mal qui entoure l'endroit, lorsque les contrats se font rares, notre chasseur de primes peut toujours compter sur Ridoblar et ses rats afin de lui offrir du travail. De retour de son voyage à Thyrenium, le voilà à nouveau aux portes dans la cité qui l'a vu grandir. Sur le dos du vaillant Jyry, notre blondinet franchit tranquillement les portes avant de parcourir les rues .Le parfum de la cité était maintenant beaucoup plus fort et présent, l'odeur nauséabonde de la corruption .Rien ne semblait avoir changé depuis son départ, les habitants de la cité étaient les mêmes et la résidence d'Áedh, aussi misérable qu'avant, c’est à ce demander pourquoi il est revenu dans cette cité. Certes, c’est là où il a grandi, les rues de Ridoblar il les connaissait comme le revers de sa main. C’est en effet en parcourant les rues de la cité que ce dernier remarqua un avis de recherche. S’arrêtant devant une, notre protagoniste descendit de sa monture afin de voir le tout d’un peu plus près. Il aurait sans doute dû sans douter, un avis de recherche pour un criminel en provenance de la cité… il ne s’agit rien de bien étonnant.

Prenant alors l’avis de recherche, Áedh se dirigea alors vers la taverne du coin. S’il y avait un endroit où les rumeurs circulent sous un semblant de discrétion c’est bien là. Cela lui prit peu de temps avant de se rendre à destination. Attachant Jyry à l’extérieur, notre protagoniste s’assura d’abord que la bête avant de quoi boire, manger et aussi un abri. Caressant l’animal doucement, l’ombre blanche murmura doucement à l’oreille de sa monture quelques mots afin de le rassurer. Il jeta ensuite un regard vers les cieux, observant son fidèle faucon, Airut, qui avait su trouver un perchoir non loin. L’homme observa l’animal et utilisant la symbiose animal, lui demanda de parcourir la cité afin de l’aider à repérer le fameux traitre en question. L’oiseau de proie prit son envol alors qu’ Áedh entra dans la taverne. Quelques regards se sont retournées vers notre chasseur de primes, mais nul ont restés posés sur ce dernier bien longtemps. Retirant son capuchon, révélant ainsi un peu plus son visage, il se dirigea vers le bar où le propriétaire l’accueillit avec autant de chaleur qu’un homme peut offrir dans un endroit aussi déshérité. Notre protagoniste lui fit signe rapidement qu’il souhaitait avoir une bière et le tenancier lui prépara aussi tôt le poison de son choix.

S’installant au bar, Áedh paya le tenancier avant de prendre la première gorgé. L’homme était familiers avec notre protagoniste, ils avaient grandis tous les deux dans la même rue, mais avaient eu des fréquentations différentes. Nettoyant un verre avec un cracha et un vieux chiffon, le tenancier observa alors notre protagoniste avant de s’adresser à celui-ci.

«Je suppose que tu n’es pas de retour que par plaisir» prononça sèchement l’homme.

Aux oreilles d’une personne peu familière avec celui-ci, il s’agissait d’une rudesse, mais les gens qui le connaissaient bien savaient qu’il s’agissait tout simplement de sa façon d’être. Ce cher homme que tout le monde surnomme le vieux grincheux est sans doute le plus sympathique personnage qu’il vous est possible de connaître, du moins tant que vous ne le provoquez pas. Ce vieux Zélos possède un sacré caractère et n’hésitera pas une seule seconde à vous balancer lui-même hors de son établissement.

Faces aux commentaires du maître de l'établissement, notre protagoniste lui fit un petit sourire en coin avant d'offrir sa réplique.

«Depuis quand je reviens que par plaisir?

''Le Zélos retourna alors le sourire. Áedh but alors une autre gorgée de sa bière avant de poursuivre.

''Je suis à la recherche d'un vieil ami... Je me demandais si tu savais où il se cache par hasard..''

Le grincheux savait exactement de qui notre protagoniste parlait de. Lorsqu'il faisait référence aux vieux amis notre très cher Áedh faisait références aux têtes mises à prix et cela le Zélos le savait. Le maître d'établissement jeta un regard rapide et circulaire sur les gens dans son établissement avant d'offrir sa réplique à son interlocuteur.

''Ah ce qu'il parait il est encore en ville... j'ai entendu dire qu'il s'était trouvé un nouvel endroit où squatter dans le nord de la ville...''

''Merci bien" Ajouta-t-il avec un petit sourire en coin "...Des amis comme ça, ont le ne les visites pas assez souvent'' Répliqua alors le chasseur de primes.

Il continua de boire sa bière pendant un moment tout en écoutant les diverses rumeurs de l'établissement.Il est possible qu'un être indiscret possèdes certaines informations.Un complice, un ami, peu importent la relation, les rumeurs finissent toujours par trouver leurs chemins dans les rues de la cité.Les secrets ne semblent pouvoir être gardés par les vivants, seuls les morts semblent en être capable.

Les bandits, lorsqu'ils sont ivres, ont une tendance à ne pas toujours bien penser avant de prendre la parole. Portant attention aux rumeurs, notre protagoniste peut entendre dans un coin certain rumeurs concernant un coup que certains fraudeurs ont monté...Mais il ne s'agit pas là d'information pertinente à sa situation.


Le temps passa et rien ne semblait vouloir faire surface dans l'établissement. Ayant fini sa bière depuis un moment, notre protagoniste remercia son vieil ami avant de déserter les lieux. De toute évidence, bien qu'il soit un homme des plus patients, la taverne sera une perte de temps.Les cieux s'étaient nettement assombris depuis la dernière fois qu'il les avait vue.Replaçant son capuchon sur sa tête, notre protagoniste retrouva Jyry. L'étalon henni en voyant Áedh s'approcher pour le détacher. L'ombre blanche détacher alors la monture avant de la monter. Haut dans les cieux, Airut apparu à nouveau.Utisant la symbiose animale, notre protagoniste partagea alors durant un instant son esprit avec celui du faucon afin d'obtenir le rapport, mais peu de choses à signaler.De toute évidence il n'allait pas être facile d'attraper le traitre.

Le Nord est donc la direction à prendre. Bien qu'il possède en ce moment peu d'information sur la tête à prix, notre protagoniste s'aventure tout de même dans le quartier afin de voir ce qu'il peut y trouver.Trottant tranquillement dans les rues, celui-ci écoutait et observait les lieux avant de se diriger vers l'écurie locale.Retrouver l'individu en question sera impossible à dos de cheval, mieux vaut laisser la pauvre bête se reposer... la nuit risque d'être longue.

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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: Chasse au traitre (Mission)   Chasse au traitre (Mission) Icon_minitimeDim 2 Nov - 23:27

« Tu sais bien que c'est plus sage de payer l'impôt, Lobran. On ne demande pas grand chose... Sans la participation de chacun, comment crois-tu que Godric pourrait protéger nos quartiers des bandes ? Pense à ta femme, pense à ta fille. Tu ne voudrais pas qu'il leur arrive malheur, n'est-ce pas ? »

Un peu en retrait, assis indifféremment sur son cheval, Godric se frottait le front d'une main fatiguée. Chaque fois c'était pareil. Il fallait entendre encore et encore les mêmes jérémiades de boutiquiers désargentés, de marchands de salades sans le sous, et de couturières pleurnicheuses qui les suppliaient de ne pas prendre la part qu'il leur revenait sur leurs deniers. Cela faisait des années et des années que tout fonctionnait ainsi à Ridolbar – la sécurité se payait, comme la résidence et la nourriture, c'était une affaire entendue, les gangs pullulaient partout dans la cité, certains garantissaient la protection des habitants de leurs quartiers, comme ici au Nord-Est, d'autres ne prenaient pas cette peine – c'était à croire que les pleurnicheries des petites gens étaient une affaire universelle.
Il se souvenait du temps où il travaillait aux côtés de Kodran, ce vieux butor sans subtilité qui avait réussi par les dieux savaient quels moyens à repérer qu'il se servait régulièrement dans les caisses de la Mairie pour faire vivre la pègre de son vieux quartier. Si ce pauvre fou avait compris que ce n'était qu'un menu détail sur la longue liste d'exactions que Godric avait pu commettre en tant que conseiller, il était certain que la prime pour sa tête s'élèverait sans doute davantage aujourd'hui à plus de trois-cents malheureux dias.
Le travail qu'il accomplissait désormais et depuis un an, en revanche, ne présentait aucun intérêt à ses yeux. Maintenant qu'il était « recherché » – ce qui somme toute était assez relatif à Ridolbar, surtout quand on était comme lui à la tête d'un influent groupe de malfaiteurs – il ne servait plus à rien de faire profil bas ou de tenter d'infiltrer les compagnies du beau monde. Il était passé dans le clan des corrompus et des bandits au regard de la société, il ne pourrait plus en sortir, alors il n'avait plus qu'à tenter de s'y complaire pour son gagne-pain.

« Je vous ai dit que je ne pouvais pas payer... La saison n'est pas bonne pour mon commerce, comprenez-moi... Le mois prochain, le mois prochain je pourrais payer, je vous le jure.
‒ Lobran, Lobran, mon ami, on ne peut pas faire ça. Que crois-tu qu'il arriverait si l'on t'exemptait d'impôt ? D'autres viendraient nous demander de le faire également pour eux, parce que la saison, les récoltes, le commerce n'ont pas été bons, et quelles raisons aurions-nous de refuser puisque nous aurions accepté pour toi ? Nous ne pouvons pas faire d'exception.
‒ Mais je n'ai pas cet argent...
‒ Nous te laissons une semaine pour le trouver, Lobran, pas un jour de plus. Au-delà, nous serons contraints de venir prendre en nature chez toi ce dont nous avons besoin de disposer. »

Ovard adressa un salut poli à Lobran, serra les étriers de son cheval et rejoignit Godric au milieu de la rue. Il lui fit un hochement de tête assuré et les deux hommes quittèrent l'avenue déserte en laissant derrière eux le commerçant à son désarroi. Le soir tombait et avec lui, l'odeur chargée de pluie des nuages qui s'assemblaient avec menace au-dessus de leurs têtes. Il restait encore deux ou trois habitants à rappeler à l'ordre et ils pourraient enfin retourner à la planque, boire, jouer aux cartes, faire passer le temps qui semblait si long en ces soirées lugubres de Langdum. La vie était devenue d'une monotonie accablante.
Pourtant, Godric n'avait même pas pris la peine de quitter Ridolbar. Il y était né, il avait fait fortune au milieu de la pègre, il y était protégé, il n'avait sa place nulle part ailleurs. D'ailleurs il s'amusait souvent de se dire qu'aucun mercenaire, en réalisant la situation qu'occupait leur proie, n'avait eu la bêtise de le poursuivre sérieusement ou de tenter de le capturer. Et cela faisait plus d'un an que cela durait. L'inefficacité des forces armées et la médiocrité de la prime y jouaient sans doute pour beaucoup.
Ovard s'arrêta à nouveau dans un autre caveau insalubre et sauta au bas de sa monture pour frapper à la porte de leur client suivant. Godric descendit également de son cheval pour se dégourdir les jambes, et posa machinalement sa main sur sa dague en levant les yeux au ciel.
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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: Chasse au traitre (Mission)   Chasse au traitre (Mission) Icon_minitimeDim 9 Nov - 18:01

Les rues de la cité nous chantaient toujours leur sinistre chanson. Le temps sombre et lourd était sans l'ombre d'un doute à l'image du lieu. Peut-être était-il même un peu cliché selon certains, mais le temps n'est pas toujours une chose que l'on peut contrôler. Sur le pavé humide des rues de Ridolbar, il nous était possible d'entendre, si on y portait véritablement attention, le claquement sourd des semelles de cuire. Un pas léger, mais déterminé, c'est cela qu'il nous était possible d'entendre. Il s'agissait du pas d'un prédateur, d'un chasseur, maraudant dans les rues de la citée corrompue. Notre baroudeur était ici sur un territoire familier, un terrain de chasse qu’il avait arpenté à plusieurs reprises lors de sa jeunesse. Il avait laissé sa marque dans la ville et celle-ci avait laissé sa marque en lui.. Dans l'air, il y était possible de le sentir, cette odeur nauséabond du mal habitant les rues, de cet esprit tordu qui hantait la citée. La ville possédait son masque qui pouvait parfois donner l'illusion d'être un endroit parfait, mais toute âme habitant la ville sait qu'il ne s'agit que d'une illusion servant à berner les pauvres êtres s'aventurant ici, les victimes potentiels! Oui, un simple masque, mais il s’agissait d’un masque que notre rustre avait vu par le passé, un masque qu’il avait lui-même porté. Certains diront même que sur le visage de celui-ci, qu’il y existe encore les vestiges de ce monde auquel il avait jadis appartenu. À sa façon, il y appartenait toujours, il n’était pas si différent du vaurien du coin, tout simplement un autre côté de la même pièce, tourner le, regarder un peu au-delà de la première impression et c’est un tout autre visage que vous est révélé. Quel est l’homme qui se cache de l’autre côté de cette même pièce ? Est-ce le bien, le mal, un ange ou un démon ? Quel est l’histoire qui accompagne chaque cicatrice, chaque fracture ? Il s’agit là sans doute d’un récit qui peut être des plus intéressants, certes, mais là n’était sans doute pas le meilleur moment afin de laisser bercer par la fantaisie des belles histoires du passé.

Son regard d’acier était toujours à l’affut du moindre danger, du moindre indice pouvant indiquer le passage du gibier. Il s’avait que l’homme qu’il recherchait avait été de passage, le lourd silence qui pesait dans les rues l’indiquait. Une rue n’est jamais aussi silencieuse, même pas en pleine nuit, sauf bien entendu si tout être habitant les lieux retenait leur souffle attendait que le danger s’écarte, que les ténèbres fasse place à une lueur d’espoir. Un tel silence ne pouvait qu’indiquer que l’homme qui recherchait avait été de passage il y a de cela peu de temps. Les gens craignaient sans doute qu’ils soient de retour, ce qui expliquerait les quelques regards curieux cherchant à voir qui rôdait dans les rues. Du coin de l’œil, notre rustre avait su remarquer un regard qui s’était posé sur lui, celui-ci d’un vieil homme ayant vu devant ses yeux la corruption qui se rependant un peu plus à chaque jour, le regard d’un homme qui aurait certes aimé être en mesure de quitter les lieux, mais dont la mauvaise fortune et la peur avait fait en sorte qu’il était demeuré ici. Ce regard s’était posé sur notre baroudeur, sur cette ombre blanche qui errait dans les rues, un regard incertain, craintif. Cette crainte était indubitablement justifiable, car l’apparence même de notre rustre ne donnait pas toujours l’impression qu’il pouvait être un homme bon. Non, cette silhouette, cette démarche, il pouvait facilement donner l’impression d’être un vil personnage. Mais c’est dans son regard qu’il était possible de voir plus loin que les apparences, mais son regard, cela il était difficile de bien le percevoir sous ce capuchon masquant partiellement l’identité de notre protagoniste.

Dans les cieux, possédant un regard sur la cité, Airut tentait à nouveau de repérer leur gibier, d’indiquer à notre protagoniste, en tant que bon partenaire de chasse, où le dit traitre se trouvait. Observant le vol du faucon, sa danse aérienne, il était en mesure de déterminer la direction à prendre. Au loin, il pouvait entendre les premiers échos perçant le silence. Sur le pavé, quelques sabots lointains et puis une oreille attentive après avoir un peu plus éveillé ses sens lui permettait d’entendre quelques voix masculine. Un échange entre divers hommes, tortionnaire et infâme personnage tourmentant la populace, imposant leur propre taxe supplémentaire afin d’éviter les ennuis. Si le gibier était présent à cet endroit, il était bien entouré et notre chasseur de primes allait devoir faire preuve de prudence. Pressant le pas et s’approchant progressivement de la cible, celui-ci pris la décision d’emprunter un chemin un peu alternatif. Il connaissait certes les rues de la cité, mais les toits, cela avait été souvent le terrain de jeu pour celui-ci lors de jours anciens. Une façon facile d’échapper aux autorités de la ville, aux êtres un peu plus lent et un peu moins agiles.

Accélérant le pas, s’approchant en courant un peu, il mit d’abord le pied sur une caisse afin de se propulser vers un balcon. Parvenant à se soulever et atteindre le balcon, les pieds fermement établis sur celui-ci et un bon supplémentaire celui-ci avait alors atteint la corniche et puis il n’avait eu besoin que de faire un petit effort supplémentaire, utilisant son monentum afin d’atteindre le toit. Perché tout haut, il pouvait apercevoir les hommes entourant le dit traitre. Une attaque directe n’était pas la meilleure tactique à emprunter en ce moment. Demeurant bas, il pouvait observer les déplacements de ceux-ci, les suivre en passant d’un toit à un autre tel un agile félin.

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