l'âme d'une pappenheimer

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_ Il parait que des personnes hauts-placées seraient gravement malades.
_ Il parait que ça se bécotte "au bal de la Rose".
_ Il parait que des créanciers en sont après un des conseillers de Ridolbar.

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 l'âme d'une pappenheimer

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Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: l'âme d'une pappenheimer   l'âme d'une pappenheimer Icon_minitimeJeu 3 Sep - 14:52

    Brom ode’bahalmarche, vieil homme épuisé et épuisant ou chevalier forgeron toujours en quête, voilà une des grandes questions qui fut posé dans les couloirs du temple en proie à une agitation certaine, car il était temps de travailler et si Brom était à lui seule une rumeur que l’on craint, une idée toute puissante de l’homme désagréable mais juste, il était devenu un avatar de cette rumeur et en quelque jour avait transformé le dernier des hommes fatigué et se languissant en lambinant dans une des chambrette, en un homme travailleur. On raconte qu’il avait refait marché le vieux paralysé du nom de Lazare, une légende celons certain car Lazare était connu pour sa procrastination proche du divin il fallut juste que le maitre des lieux lui explique avec grand calme que tous devait mettre la main dans les fourneaux, que tous avait leur place, et que les faignant seraient juste jeter de part la route ardue qu’ils prenaient. Pas vraiment de lève toi et marche, mais plus un lève toi ou part.

    Brom était donc, comme à son habitude adulé par la moitié, craint par l’autre, et tous avançait, même ceux qui n’aime pas les calcules, d’un même pas mener par le marteau du maitre du fort qui ne cessait de battre de jours comme de nuit. Car il attendait encore son homme, celui qui devait venir après avoir raccompagner sa douce dans les pays froids et par les passes du danger ou alors bien avant, il n’en savait rien à dire vrai, il était simplement certain qu’il viendrait car il avait besoin de sa main, de son bras, et de son corps pour en forger une extension qui lui permettrait de vivre.

    Léogan, figure recherché de partout pour le meurtre d’une de ses nombreuses maitresses, le déclanchement d’une guerre, ou même l’éradication d’une grande partie de l’armée de ces sindarins pure et simple au nom du fait qu’il faille toujours un bouc émissaire. Mais de là à le tourné en surhomme … En voilà une bien belle histoire. Léo donc, était attendu par la main de Bor dans les tréfonds de son antre, et si l’Histoire ne dit pas encore à quel instant il arriva, elle décrit cependant avec une grâce certaine la forge à cette intra temps qui marque un tournant d’un instant dans une vie ; Celle d’une naissance.

    Il présenta quelque chose à l’homme de faction qui lentement vérifia ces quelques détailles avant de le mener dans cette fourmilière étonnante. Coincer dans les tunnels d’une ville le temple était comme à son habitude vivant de battement du marteau, mais il était aussi pulsant dans les pas des hommes qui passaient de partout, grouillant dans les yeux des yeux des hommes qui regarde chaque nouveau venu et vérifie qu’il est bien accompagner d’un homme digne de ce travail. Le temple avait quitté son vivottement louvoyant où l’on voyait parfois une arme où une autre sortir d’une forge, ici et là, à présent la plus part des portes étaient ouvertes et celles qui ne l’était volaient dans un souffle pour laisser place à un chariot, ici des âmes, là des pommeaux à monté, plaquettes de bois dure et cordelettes, là des ligots qui vont être refondu et allonger sur les âmes, là bas des métaux bien trop brutes, ils tournent dans un autre couloire.

    Au fure et à mesure que la route avance, à mesure qu’il s’approche du cœur, l’aventurier croise de moins en moins d’objet incomplet, et se retrouve rapidement encadré par des charriots d’armes finies qui le dépassent et fils droit vers la les portes qu’il connait tant pour s’arrêter quelques instant avant dans une des petites portes qui l’encadre, salles d’entrainement des maitres d’armes qui vérifie chaque cargaison et demande parfois l’avis au vieux forgeron, bien plus souvent sur comment rattraper ceci, quel conseil renvoyé au créateur pour que la prochaine soit parfaite, que sur des détailles sans importances.

    Ainsi, dans ces long couloires, il n’a surement pas fait attention aux petites chapèles qui elles aussi recèlent des objets bien plus précieux qui tout ces chariots qui passes, des vases qui valent une dizaine voir une centaine de ces cargaisons. Mais la vie qui cours, la vie qui tourne autour des armes qui seront dans les mains de vos hommes est bien plus impressionnante qu’une œuvre d’art dans une loge du mur à demi caché derrières des barreaux n’est-il pas ?

    Et puis les portent s’ouvrent, un peu, lourd chênes assemblé entre eux pour faire une porte qui fait du colosse lui-même une fourmi sympathique et agréable, et qui laisse passé l’homme, seule face à un ours qui ne se détourne de sa conversation où il part de remettre du poids sur la pomme et de vérifier ses âmes avant de les fondre, ainsi que de rajouter une fine couche de sable pour charger en silice … Puis il se retourne et d’un regard fait signe aux êtres qui peuple la salle de sortir, ils n’étaient pas nombreux et ont eut leur réponse, mais ils savent aussi que Brom vas être occupé et qu’il ne sera plus question que de détaille que seule lui connait. Le reste leur vaudrait bien trop de foudres.

    Alors il se laisse tomber sur son trône de bois noirci qui une nouvelle fois le soutient en craquant par la grâce de Bor et montre la table couverte de plans :


    “Quelque part là-dessous il y a de quoi te restauré, une fois que tu serras près et disponible nous parlerons des divers point qu’il sera vital d’abordé. Tu m’as amené la dent du Léviathan comme nous en avons parlé dans la lettre ? Amène moi aussi quelques gâteaux s’il te plait.

    Ils me fatiguent et je suis très contant que tu arrive enfin gamin, ça vas me faire une bonne raison de leur mettre un coup de pied dans leur rondelet popotin, la plus part savent déjà ce que je leur dit, ils veulent juste être sur, ils ne savent pas gérer la pression et pense éviter l’échec ainsi, mais c’est moins pire que les premiers jours, je peux t’en assuré. Ta belle est en sûreté ? Ton machin aussi ?

    Ho et prend aussi ton premier cadeau en passant, quelque part sous les papier tu trouvera le model de la pappen’ que tu avait bien aimer, j’y ai mis des poids amovible comme je le pensait bien, mais comme je te l’ai dit ils sont amovible … Donc il vas falloir les bouger, pour ça, et seulement quand j’aurais mes gâteau, tu la prendre en mains et tu me fera dix passes d’armes, complètes, depuis l’arme dans le fourreau qui est à coté, jusqu’à son retour dans le cuire. Et tu me raconteras ton voyage en même temps, et tout ce que tu as me raconter. Tiens j’ai même une question, une prêtresse du nom d’Orchid ça te dit quelque chose ? Zélos, plutôt grande, corps d’assassin, arme longue mais plus forgé pour le couteau et l’arc, pas causante. Toujours vivante ?”


    Il sourit tranquillement et se posant un peu plus fauteuil tourné vers l’immense espace libre de la forge qui par miracle ou par la volonté de Brom n’était, à par la table, pas encombré par la moindre chose. La dite table avait été poussé contre un mur pas loin d’une petite porte qui avait servit de fuite à tout les hommes et femmes en demande.
    Il fut facile d’y trouver le fourreau, une simple ceinture avec une lanière de cuire qui portera la lame et les biscuits, et plus étonnant d’y trouver l’objet annoncer par Brom. L’arme avait été creusée un peu plus, le sillon y était très profond et les bords raccourcissent. Mais surtout de nombreuses petites billes y avait été fixé à divers endroit par des soudures dans un matériau brillant et cuivré, huit sur la lame, six sur la garde, et trois sur le pommeau en lui-même, tous différents, tous étonnants, et tous, aux yeux d’un homme du commun, n’ayant absolument rien à faire là.

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