Tharn : L'histoire d'un pèlerin qui aimait voyager [Terminé]

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 Tharn : L'histoire d'un pèlerin qui aimait voyager [Terminé]

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Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Tharn : L'histoire d'un pèlerin qui aimait voyager [Terminé]   Tharn : L'histoire d'un pèlerin qui aimait voyager [Terminé] Icon_minitimeMar 13 Nov - 18:50



Tharn Emahn
« Tout ce qui Emahn de la nature compose la nature »




IDENTITE : Tharn Emahn
SURNOM : Tharn
AGE :43 ans | SEXE : Masculin
PEUPLE :  Terran
CASTE : Gelovigien
METIER :Moine austère (ceux qui vivent dans les moinastères)




DON : Grande Adaptabilité
SPECIALITES : Parole divine, Quiétude
POUVOIRS : Trois pouvoirs (sauf pour Prédef.) + degrés de maîtrise (vous avez droit de remplir 9 étoiles ★)
Contrôle de la nature = ★★★★★✩
Soin guérisseur = ★★★✩✩✩
Contrôle de la terre = ★✩✩✩✩✩


Un homme de foi ne se bat pas, et pui, pourquoi me défendre ? Je ne sors que rarement du monastère pour partir en pèlerinage, et je n'emporte aucun objet de valeur avec moi, si ce n'est une offrande de ma confection pour les dieux à qui je rendrais visite par l'intérmédiaire de leurs temples. De plus, je ne voyage que le jour, c'est plus sûr.


Je ne possède presque aucun objet de valeur, si ce n'est mon fidèle bâton de marche que m'a offert mon père lorsque j'ai quitté sa maison ; il a été taillé par l'un des meilleurs artisans d'Hesperia, mais, mise à part sa beauté, il n'est d'aucune valeur marchande. Je possède toujours sur moi un ouvrage sur Delil, ses mythes et sa philosophie.



     Physiquement, on ne peut pas dire que je sois beau, et cela ne m'importe que peu. Je parais être un vieillard ridé et marqué par le temps, bien que j'ai encore de belles années à vivre devant moi. Je suis effrayamment  mince, à cause de longues années de privations, mais je n'ai pas pour autant perdu ma vigueur et ma vivacité que l'on associe si souvent à la jeunesse.

    Mon visage semble menaçant. Entouré d'une touffe grasse et hasardeuse de pelage laissé à l'abandon et d'un long bouc laissée dans le même état, il adopte une forme plutôt carrée, où certaines plissures s'étant transformées au fil des années en rides ne m'aida pas à rajeunir. Mes sourcils sont épais et rapprochés l'un de l'autre, si bien qu'en parler fait rejaillir en moi des souvenirs d'enfance, et des moqueries blessantes. Hélas, mes yeux ne sont guère plus accueillants ; aucune lumière ne s'y échappe, et cette mine sombre ne rassure en rien les quelques courageux qui ont eu la volonté de soutenir mon regard de taureau. Pour finir, je pourrais dire que mes babines sont encore supportables. Discrètes, elles ne sont pas l’élément le plus horrible de mon visage.

    Pour finir, mon style vestimentaire est très primitif. Je porte depuis plusieurs années la même tunique de cuir (que m'en vais laver toutes les semaines à la rivière) qui me protège à la fois des tâches de nourriture, qui me tient chaud l'hivers, et qui amortit les coups qu'on pourrait me porter. Les plus observateurs d'entre vous auront remarqué le gantelet que je porte à la main droite. Lors de mes études (qui sont désormais loin derrière moi) excellais dans l'art de la fauconnerie, si bien que l'un de ces rapaces est désormais mon plus fidèle compagnon (devant même mon bâton de marche) ; mais je vous en reparlerais un peu plus tard.

    Je ne saurais pas réellement me décrire mentalement ; je réagis à ma manière, c'est tout. Je me souviens qu'étant gamin j'étais intrépide, que je ne tenais pas en place et que mes pulsions parlaient souvent pour moi. Aujourd'hui, j'ai appris à me calmer, pour admirer l'harmonie de l'ordre naturel. Mes années passées au Haut-Monastère ont fait de moi un homme simple, qui n'aspire pas le luxe, seulement la sérénité. J'ai appris que les plus beau trésors ne sont pas ceux qu'on voit, mais ceux qu'on ressent. Ce frisson parcourant ma nuque au rythme du vent ; ce silence, cette absence de pensées. Pendant quelques instants, il m'arrive de ressentir quelque chose, une émotion fugitive et intangible sur laquelle je ne saurais dire les mots, quelque chose de grisant, une sorte de drogue inaccessible, que j'aimerais appeler l'appel des dieux, mais ça serait du blasphème. Ça serait beaucoup trop prétentieux et irrespectueux de se dire que les dieux, eux qui vivent si haut là où seules certaines de nos pensées peuvent aller, nous accordent autant d'importance, nous qui ne sommes rien de plus qu'une poussière d'étoile, quelque part dans le ciel.

    J'ai beaucoup parlé de la paix avec moi-même, il me reste maintenant à vous expliquer mon point de vue sur la religion. Comme vous l'avez déjà sûrement compris, je suis un grand adepte de Delil et de sa philosophie. En effet, il est écrit dans le treizième verset du culte primitif (livre écrit de l'époque du Haut-prêtre  Galaelle Liotoran et fnancé en partie par cette même personne dont l'auteur est anonyme) "Tout ce qui émane de la nature compose la nature". Je suis en effet persuadé que tout ce qui nous entoure, les animaux, les plantes, la terre comme les hommes sont en réalité partie intégrantes d'un organisme que l'on pourrait appeler nature. Ainsi, bien qu'il est quelque fois impossible d'éviter les conflits (avec les animaux par exemple ; il faut bien se nourrir), je pense qu'il est essentiel de rester en paix avec les autres composants de la nature, pour que celle-ci garde son intégrité et ainsi puisse survivre. Imaginez un être humain où les mains seraient en guerre contre le visage et essayeraient d'étrangler celui-ci. Tout le monde serait perdant, les mains y compris. Ainsi, je pense que Delil a pour principale rôle de veiller sur l'intégrité de la nature ; c'est donc en ce sens l'être divin le plus important pour tout être ne venant pas de cette terre.

    Comme je viens de le dire, il est important pour chaque homme d'être en paix avec le reste de la nature, puisqu'il en fait lui-même partie. Cependant, par nature, je parle aussi de sa nature interne, de ses pulsions et de son caractère. Je pense qu'il est essentiel de ne pas lutter contre sa nature, car c'est celle-ci qui fait de nous ce qu'on est. Je suis d'ailleurs moi-même très impulsif, et, bien que je sois au naturel très calme, il peut m'arriver de me mettre en colère (quand on vient critiquer ma religion notamment) et quand cela arrive, je ne donne aucune limite à ma haine. Bien que parfois, celle-ci reste modérée, parfois, ça peut aller très loin. Pour finir, j'aimerais parler des mes défauts. Je pense en réalité être parfois trop condescendant et asocial. J'ai d'ailleurs beaucoup de mal à m'intégrer parmi des groupes de religieux, et ça me va plutôt bien, moi qui suis par nature solitaire. Pour finir, je pense que mon plus grand défaut doit encore être la lâcheté, qui parfois me force à trahir tout ce à quoi je tiens, à cause d'une peur incontrôlable, qui me prends comme me prendrait un dieu malveillant. Si un jour, je venais à trahir ma foi, je suis presque sûr que ça serait par peur de la douleur.

On me dit aussi que j'ai des valeurs très traditionalistes, certaines fois au bord de la misogynie ; c'est sûrement dû à mon éducation. En tout cas, si j'ai blessé qui que ce soit dans ma vie, j'accepte la colère de cette personne, et quelque soit ma pénitence, je vous demande de me l'accorder.
   



PRENOM : Flèche
RACE : Faucon
SEXE : Féminin
POUVOIR : Aucun, c'est bien aussi, non ?
DESCRIPTION : Flèche est un fier faucon au regard perçant et au plumage duochrome fait de blanc et de brun. Le destin y est peut-être pour quelque chose, mais c'est un faucon pèlerin, réputé pour être l'une des espèces les plus rapides d'Istheria. Il m'est très loyal, bien qu'il n'est pas rare qu'il refuse de coopérer quand je lui donne un ordre. Flèche est en réalité le deuxième du nom (bien que je n'aime pas vraiment en parler) puisque le premier (qui était un mâle d'ailleurs) a rendu l'âme à l'âge de 13 ans. Après cela, je n'ai pas supporté de me retrouver seul malgré ma nature ; j'ai alors fait appel à un fauconnier afin d'apprivoiser un nouveau faucon. Quoi qu'il en soit, Flèche est un fier compagnon qui m'a sauvé la vie à maintes reprises, notamment en partant à la chasse lorsque nous étions nous deux affamés.



   Mon histoire commença il y a 40 ans environ, lorsque je vis enfin la lumière pour la première fois de ma vie. En réalité, je n'ai pas de réels souvenirs de cette époque, mais je pense qu'il serait important de vous parlez de mon mode de vie, de mon enfance à mes quinze ans. Issu d'une famille noble d'Hesperia, je vivais à cette époque dans un luxe ambiant, bercé par une famille aimante (bien que stricte) qui faisait tout pour veiller à ma bonne éducation. En effet, ma mère Ysiel avait voulu un enfant toute sa vie en vain ; les Eclaris lui avaient annoncé la triste nouvelle : elle était infertile. Cependant, à force de persévérance, d'un amour profond et sincère envers son mari, Rylek et de moultes prières, alors que l'âge avait raison de ses derniers espoirs, je vins enfin, non sans difficultés. Ainsi, la question ne s'était jamais posé quand à ma vocation : je vouerais ma vie aux dieux, pour les remercier de m'avoir permis d'exister.

     Cependant, bien que ma destiné fut déjà toute tracée, mes parents ne semblaient pas pressés à l'idée de m'envoyer au Haut-Monastère. En effet, ma mère m'avait tant désiré qu'elle en voulait pas que je les quitte aussi rapidement, et mon père voulait me faire profiter encore un peu de ma jeunesse avant de me la dérober. Ainsi, on fixa la date du grand départ à un jour futur. En attendant, dès que je fus en âge de parler, mes parents me payèrent une éducation digne de la classe sociale d'où j'étais issu. Alors que mon père m'enseignait les valeurs familiales, un éducateur avait pour rôle de faire de moi un homme de savoir. Ainsi, j'appris les sciences, les lettres, l'histoire d'Istheria etc. J'excellais en rhétorique, mais étrangement, la religion ne faisait pas partie de mon programme (où en tout cas, je n'appris que les bases de celle-ci), mon père voulant me préserver le plus longtemps possible loin de la foie, me répétant toujours que j'aurais tout le loisir d'apprendre à la connaître lorsque je serais au Haut-Monastère. Ainsi, je vécus les premières années de ma vie enfermé chez moi, isolé du monde extérieur, et cela me plaisait ainsi. Je pensais souvent à ma vie d'après, et un mélange d'inquiétude et d'excitation montait en moi. Je ne savais pas si cela me plairait, mais j'étais de plus en plus impatient de découvrir ce que pouvait être la foi, la dévotion de dieu là où je ne pouvais m'empêcher de tirer des grimaces lorsque ma famille (croyante jusqu'à la moelle) entamait sa prière du soir. Je me suis tant fait punir pour cela.

    Je me rappelle d'une période de mon enfance assez spéciale. Je me souviens que ça m'avait beaucoup fait de mal à l'époque, mais avec un peu de recul, je crois que c'est l'un des souvenirs les plus attendrissants de ma vie. Un jour, alors que j'avais 15 ans, je commençais à sortir de chez moi de plus en plus fréquemment. Je ne m'éloignais guerre plus loin que l'arbre qui était situé à la sortie de la ville, mais je sentais la nature m'appeler au loin. Je prenais souvent ombrage sous le feuillage de ce colosse, et je pouvais rester assis plusieurs heures, comme ça, à contempler l'horizon. Ce jour là, j'étais donc assoupis, mais pour la première fois, quelqu’un s'assit à côté de moi.
C'était elle.
On a commencé à parler, on a fini par rire, j'ai commencé à l'aimer et elle a fini par repartir. Dans mes souvenirs, il n'y avait que l'arbre et nous, je n'ai jamais su comment elle avait fait pour m'aimer, des fois je me dis que c'était simplement un rêve. Je me souviens du premier bisou qu'elle a déposé sur ma joue, c'était divin. C'était si beau que je crois pouvoir invoquer les êtres supérieurs sans exagération aucune.
C'était elle.
Le lendemain, elle était revenue. Qu'elle était belle, ses cheveux dans le vent, et son regard puissant. Elle possédait une sorte de masculinité qui faisait d'elle une fille encore plus féminine. On a continué à se voir dès qu'on pouvais pendant presque un mois, sans que jamais je n'eus le courage de lui dire ce que je pensais d'elle, et un jour, il était temps que je fasse le grand voyage ; je lui ai dit au revoir, et je ne l'ai plus jamais revue.
C'était elle, mon premier amour.

    Bien que notre séparation avait laissé en moi une plaie encore sanglante, je ne regrette rien ; plus j'y repense, plus je me dis qu'elle n'était pas faite pour que je finisse avec, elle était juste là pour me montrer mon premier amour, c'était une sorte de fantôme ou de songe inaccessible, qui me hante depuis que je l'ai vu. Je ne savais presque rien d'elle, et puis , elle était juste belle, je n'avais jamais réellement su plus que cela sur elle. De toute façon, je n'aurais jamais osé lui dire que je l'aimais. Toujours est-il que c'est le cœur rongé de remords que je suis parti en direction du Haut-Monastère, car à l'époque, je croyais encore qu'elle était celle qu'il me fallait. Mon tout premier voyage vers le lieu de la foie fut également mon tout premier pèlerinage. Pour mon voyage, mon père avait fait tailler un magnifique bâton de marche, d'une beauté sans égale, et il m'avait été permis d'emporter le faucon que j'avais apprivoisé lors de mes cours de fauconnerie. Jusque là, comme il ne m'appartenait pas, il restait anonyme, mais à cet instant, je pouvais l'appeler comme je le voulais. Ainsi, je partis sur les sentiers d'Eridania avec mon tout premier compagnon : flèche. Mon voyage me prit 15 jours, et fut relativement sans histoire. Arrivé au terme de celui-ci, une nouvelle vie commença : une vie de foi. Après avoir mis à la porte du lieu une statuette de bois que j'avais sculpté moi-même, je fus accepté au sein du Haut-Monastère. C'est ainsi que je passais les premières années de ma vie à vivre en communauté ; à apprendre tout de la religion, sa philosophie, ses secrets ; et c'est aussi à cette époque que je vécus les pires années de ma vie.

    J'en voulais toujours autant à mes parents de m'avoir enlevé de cette fille dont je ne connaissais pas le nom ; je ne leur en avais jamais parlé d'ailleurs, de peur qu'ils blâment à cause de cela. En tout cas, mes deux premières années années au Haut-Monastère furent assez mouvementées ; je n'acceptais toujours pas cette nouvelle vie, et la colère montait en moi à chaque fois que je repensais à la fille. Je dois avouer qu'au début, j'étais assez turbulent et je donnais beaucoup de fil à retordre aux prêtres chargés de l'éducation, mais leur discipline a eu raison de mon esprit de révolte ; et puis, plus le temps passait, plus je finissais par oublier cette fille. En réalité, je pensais à elle toujours aussi intensément, mais c'était plus devenu un rituel, car les sentiments que j'avais eu pour elle avaient peu à peu fondu comme neige au soleil. L’événement qui fit disparaître pour de bon son visage de mon esprit fut une révélation qui m'apparut alors que je devais avoir 18 ans. J'étais tombé par hasard dans la grande bibliothèque sur un livre nommé "Le culte de primitif", un recueil de mythes sur le dieu Delil, chacun présentant un point différent de la philosophie du culte primitif. L'idée générale étant que nous sommes tous un composant d'un tout qu'on appelle la nature, et que blesser un autre fils de la nature vaudrait à se blesser soi-même. Mon coup de foudre fut intense, et, alors que cette religion était jusqu'à présent secondaire dans mon éducation, elle devint mon premier centre d’intérêt. Je m'étais voué entièrement au dieu de la nature, et je passais de longues heures, seul, dans l'herbe, à essayé de m'unir à la nature, à faire que mon cœur batte au rythme de tout, je passais des heures à penser et à contempler ce qui m'entourait. Je croyais redécouvrir un monde qui pourtant m'entourait.

    A l'âge de 23 ans, après plusieurs années d'étude, je sortis du Haut-Monastère en ayant acquis un grand savoir. A vrai dire, toutes les autres religions, toutes les autres manières de vénérer Délil ne m’intéressaient que moyennement, je passais les heures de cours à attendre que l'on parle du culte primitif, et je me réjouissais les quelques rares fois où le sujet était abordé. Alors, lorsque je sortis du Haut-Monastère, je partis pour un pèlerinage qui dura plus d'un an dans lequel je fis le tour des temples de l'île principale d'Istheria : Aléa, puis Greis, et ensuite Kron, ensuite Bor, puis Sharna, puis Soulen et après Fen, pour finir par le magnifique temple de Delil, en pleine forêt. Sur l'autel de ce temple, je déposai une petite statuette en bois en forme d’arbre, que j'avais aussi sculptée moi-même. Je me souviens de ce voyage comme la plus belle aventure qui m'ait tendue les bras, mais je me souviens aussi qu'en rentrant, mes traits semblaient avoir vieilli rapidement, et la maladie avait pris le dessus, si bien que je faillis trépasser après mon premier grand pèlerinage.

   Depuis, je suis un prêtre voyageur, je parcours le monde afin de porter la parole de Delil à ceux qui acceptent de l'entendre. En 10 ans, il ne s'est pas passé grand chose, j'ai commencé à développer une routine : le matin, je voyage tout droit dans la même direction, je m'arrête pour manger le repas que mes hôtes m'ont donnés, ou bien les fruits d'un arbre (selon ce que Delil veut m'offrir), et je reprends ma route toujours tout droit quand enfin, le soir, lorsque les soleils commence à faiblir, je m'arrête dans une cité pour demander asile. Nombreuses sont les nuits que je passe dehors, sans abri, affamé et en proie à de nombreux dangers, mais la providence veille toujours sur moi, quand la nature ne le fait pas. En tout cas, je me plais dans cette routine, et je ne la briserais pour rien au monde. Ah oui, aussi, quelques fois, je reviens au haut monastère, pendant plusieurs mois, lorsque je suis trop fatigué, trop blessé, ou trop affamé pour continuer mon travail. Alors je m'y repose jusqu'à ce que j'aille mieux, mais quoi qu'il arrive, je finis toujours par revenir au temple de Delil alors que Gexon touche à sa fin, pour offrir au dieu une offrande en bois, comme je l'ai toujours fait.
     


Dernière édition par Tharn Emahn le Sam 17 Nov - 12:14, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: Tharn : L'histoire d'un pèlerin qui aimait voyager [Terminé]   Tharn : L'histoire d'un pèlerin qui aimait voyager [Terminé] Icon_minitimeMar 13 Nov - 18:53

Bonjour et bienvenue parmi nous!!!


Sache que si tu as le moindre soucis ou la moindre question, n'hésite pas à nous envoyer un mp. Nous serons là pour y répondre.

Tu peux aussi compter sur les membres plus anciens en les retrouvant sur le Discord du forum, beaucoup plus accessible.^^


Bref, n'hésite pas!!
bg
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MessageSujet: Re: Tharn : L'histoire d'un pèlerin qui aimait voyager [Terminé]   Tharn : L'histoire d'un pèlerin qui aimait voyager [Terminé] Icon_minitimeMar 13 Nov - 19:31

Coucou :D

Merci pour cet accueuil chaleureux en tout cas, je sens que je vais me plaire sur ce forum (pour une fois que j'ai pas la flemme de faire une fiche perso) :3

Par contre, cette fiche perso rest le fruit d'une fausse manip qui a fait que j'ai posté ce sujet en deux (apparament) et du cou, bah désolé pour le flood :/

Vous pourrez supprimer cette fiche du coup les modos siouplé ? Merci d'avance !
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MessageSujet: Re: Tharn : L'histoire d'un pèlerin qui aimait voyager [Terminé]   Tharn : L'histoire d'un pèlerin qui aimait voyager [Terminé] Icon_minitimeMar 13 Nov - 20:03

Voilà c'est fait!!!

N'hésite pas si tu rencontres le moindre soucis à nouveau.^^
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MessageSujet: Re: Tharn : L'histoire d'un pèlerin qui aimait voyager [Terminé]   Tharn : L'histoire d'un pèlerin qui aimait voyager [Terminé] Icon_minitimeSam 17 Nov - 12:15

Merci à toi du coup, je viens d'ailleurs de préciser que j'ai terminé ma fiche de personnage :D

Bonne lecture !
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MessageSujet: Re: Tharn : L'histoire d'un pèlerin qui aimait voyager [Terminé]   Tharn : L'histoire d'un pèlerin qui aimait voyager [Terminé] Icon_minitimeSam 17 Nov - 12:29

Nous revoilà! Cher moine austère!!

Tout est en ordre et ce prêtre m'a l'air bien sympathique!!
Fiche validée!


Va falloir que je me méfie quand même parce que c'est un nouveau fanatique de Delil à Noathis!!! XD


Tu vas pouvoir dès à présent te rendre dans la " GESTION DES AFFAIRES " afin d'ouvrir ton compte en banque, ton journal et ton inventaire.

Tu pourras également faire une demande de rang personnalisé JUSTE ICI.

Pour l'avatar, tu peux "réserver" une image particulière dans notre bottin ICI.



Je file de ce pas te mettre tes couleurs et si tu as besoin de quoique se soit, n'hésite pas!!!! ^^

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MessageSujet: Re: Tharn : L'histoire d'un pèlerin qui aimait voyager [Terminé]   Tharn : L'histoire d'un pèlerin qui aimait voyager [Terminé] Icon_minitime

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