Mirage Anfrey

DON : Agilité développée // Grande adaptabilité
SPECIALITES :
Empathie animale (très bonne affinité avec les animaux)

Charisme (capacité à se faire écouter naturellement de tous)



POUVOIRS :Pouvoir 1 : Le contrôle des émotions par la musique ou le chant. ★★★★✩✩
Lorsque Mirage joue ou chante avec une émotion particulière dans le cœur, elle arrive à le faire ressentir à tous qui l’entend ou la voix. Ces gens sont alors touchés par l’émotion qui vibre dans l’air et commence également à la ressentir et à la vivre. Ce pouvoir elle le contrôle très bien, même si elle ne sait pas comment il fonctionne, elle a simplement à trouver les bonnes paroles en lien avec son émotion qu’elle cherche à transmettre et le reste se fait seule. Mais ne dure pas bien longtemps, quelques minutes une fois qu’elle a terminé sa chanson ou son morceau de musique. Les émotions ne disparaissent pas vraiment dans l’esprit des gens, ce qui les calme la plupart du temps.

Pouvoir 2 : La vision de l’au-delà.  ★★★★✩✩
Il lui arrive parfois, de voir des morts, d’entendre des voix autour d’elle, de sentir des présences ou des petits courants d’air froid. Depuis sa naissance qui fut presqu’une mort, elle est proche de l’au-delà tout en étant loin. Il lui arrive parfois d’avoir de longue conversation avec les morts, mais encore là elle a toujours pensé que c’était son imagination donc, est-ce vraiment des morts ? Elle ignore elle n’a jamais parlé à personne qu’elle connaissait qui était mort. Donc pour le moment elle n’en parle pas trop mais son comportement peut parfois être étrange aux yeux des autres.

Pouvoir 3 : Influence du temps ★✩✩✩✩✩
Il est rare que la jeune fille soit triste, mais lorsque le cœur n’est plus à la fête, il y a souvent de large et épais nuage sombre qui recouvre le ciel, lorsqu’elle se met en colère, le tonner gronde au-dessus des têtes. Pour le moment, elle n’a aucune vrai maitrise de ce pouvoir il arrive souvent qu’il se déclenche involontairement et cela lui fait encore terriblement peur.



Une dague courte prise à son père qu'elle détient dans un fourreau attaché à sa ceinture.


Ayant pris la route, la jeune fille ne pouvait pas emporter tous ses possessions. Elle prit le violon de son père, un instrument d’une grande valeur fais dans un arbre ou habitait autrefois son père. Fait d’essence de chêne rouge l’instrument possède un son bien à lui. L’artisan est malheureusement décédé et cela est sa dernière œuvre.
Quelques vêtements de rechanges, mais rien de très important.
Le papier des droits de possessions du domaine de son père, elle se doute ne pas revenir à la ferme avant un moment, mais cette dernière reste toujours à sa famille.
Un collier avec les emblèmes de sa famille bien caché sous ses vêtements noué à son cou.




Le regard sur son reflet, la jeune fille se souvient des paroles de sa mère. Cette dernière disait souvent que la jeune blonde aux reflets d’argent était le portrait craché de son arrière-grand-mère. Telle la réincarnation de cette vieille âme, elle avait les mêmes traits délicats du visage. La même peau d’opaline ou on pouvait voir quelques tâches au niveau du nez légèrement plus foncés. Sa mère n’avait que de louange pour cette ancêtre morte il y a des années avant la naissance de la jouvencelle.

Toutefois, lorsque sa mère lui prenait le menton entre deux doigts, elle ne pouvait s’empêcher de fixer son regard. Ses yeux d’un bleu su pure et si claire ne laissait personne indifférent. Il arrivait souvent même que sa mère reste silencieuse à se perdre dans son regard. Est-ce car ses yeux lui créaient une marrer de souvenir, ou simplement car leurs couleurs étaient unique?

Un soupire vie le jour au coin des lèvres teintés naturellement de rose de la jeune dame qui d’un mouvement rapide se redressa après avoir terminé sa toilette au-dessus de la rivière. Elle sentait l’épuisement la gagner doucement. Étirant son corps elle prit la direction d’une souche d’arbre, penchant à peine la tête afin de passé sous une branche elle eut un petit sourire en coin. Son père avait héritier de son grand-père, il était plutôt grand pour un homme et ses épaules étaient large. Mirage était le contraire de son père, mesurant 5p2 et possédant une silhouette mince aux courbes généreuses, elle semblait au premier regard plutôt fragile ce qui poussait souvent le monde à chercher à la protéger. Cependant, les mois passés seule à la ferme avait rendurcie les bras de la jeune femme qui avait développé une force surprenante pour sa carrure.

La blondinette prit place sur la souche, une main lui caressait le coup qui était douloureux. Elle avait marché depuis plusieurs nuits et n’avait toujours pas trouvé le village qu’elle cherchait. Ni de trace du passage de ses parents. Le jour tirant à sa fin, le soleil disparaissait à l’horizon laissant de nouveau les ténèbres reprendre le territoire. La délicate jeune fille se mit alors a murmurer de sa douce voix une nouvelle chanson qui parlait des exploits de sa famille, chanson que son père lui chantait souvent enfant. Mirage n’était pas très douée dans les domaines de la ferme ce qui avait découragé plusieurs fois son père, toutefois sa voix fut une révélation pour sa famille qui adorait l’entendre chanter.

D’un geste remplis de délicatesse, la jeune fille retira une bestiole de ses cheveux avant de se tourner le regard à mi-clos et de laisser l’épuisement la gagner au point de l’emporter dans les bras de morphé.



Combien de temps avait-elle marché, personne ne le sais, même elle n’avait pas pris le temps de compter les jours et nuits qui avaient succéder son arrivé dans ce village. Ce qu’elle savait, c’est qu’elle était enfin sortie de la forêt et qu’il avait enfin du monde devant elle. Trop longtemps qu’elle avait mariné dans la solitude, qu’elle commençait à devenir folle. Une large sourire sur ses lèvres, elle avançait aveuglément entre les gens qui parcourait leur chemin la regardant parfois pour la reluqué d’autre fois simplement pas curiosité. Bref vous avez compris Mirage est par son physique un point de regard intéressent toutefois, l’éclat de joie et son beau sourire qui s’affiche en permanence est également un paume au cœur pour les gens qui s’approche d’elle.

Cette jeune fille est d’un calme désarmant, elle réussit même à calmer une personne paniquée. Tendre et délicate on la compare parfois à une gamine. Il lui arrive d’avoir des idées des plus…. Surprenante, mais son instinct la trompe rarement, est-ce qu’elle l’écoute? Pas assez souvent.
Ayant passé la plupart de sa vie dans la ferme isolée du monde à écouter les récits de guerre de son père, la jeune fille à une vision simple du monde. Nous sommes tous amis et si elle est gentille avec les gens personne ne lui fera de mal. Malgré son éclat qui l’entoure, la jeune fille sait se faire discrète. Elle sait très bien écouté et parfois elle peut passer des heures tapis dans l’ombre à épier les conversations afin de trouver une nouvelle histoire à chanter ou des simples informations à vendre.

Poussant alors un soupir de soulagement, la jeune fille laissa son sac tomber sur le sol et prit place à ses coter en plein milieu du passage. Elle avait terriblement mal au pied et son ventre était depuis plusieurs jours. Elle n’avait pas réussi à trapper un lièvre et n’avait plus de provision. Elle prépara donc le violon de son père et se redressa avant de jouer une douce mélodie remplis d’espoir. Elle cherchait à avoir des pièces !

Mirage n’est pas une méchante fille, mais elle a si peur d’être seule que ferait n’importe quoi pour avoir des amis. Elle est loyale, douce, posée, elle a le sens de l’observation très développé et une calme à tout rompe. Toutefois, il lui arrive de craquer, mais cela lui prend beaucoup de temps. Si la douce jeune fille craque, c’est que plus rien ne vas. Elle n’est pas du genre à se mettre en colère, mais si cela doit arriver, elle explosera en larme coupable de ce sentiment si néfaste. Mirage à la tête froide la ou les gens panique, elle attire les gens vers elle, par ses gestes, ses paroles réconfortantes. Elle est un phare dans les ténèbres, elle n’accepte pas le rejet et veux être ami avec tous les gens qu’elle rencontre.
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PRENOM : Le nom de votre animal
RACE : La race de votre animal
SEXE : Masculin ou féminin
POUVOIR : Vous pouvez avoir 1 pouvoir au choix, rendez vous dans la section approprié pour savoir à quoi il a droit
DESCRIPTION : Si il s'agit d'un familier ayant un pouvoir, pensez à décrire la manière dont il porte son catalyseur


PRENOM : Le nom de votre animal
SEXE : Masculin ou féminin
DESCRIPTION : Donner une brève description de votre monture



1er journée seule.
Cher Journal,  Aujourd’hui mes parents me quittent. J’ignore complètement la raison, car mon père ne me dit rien. Hier, tard dans la nuit, un homme est venu à la ferme, il avait pour lui une missive. Une vieille lettre avec un drôle d’emblème fait de cire. Lorsque mon père à ouverte cette dernière, son regard est devenu sombre, il semblait avoir peur. C’était la première fois pour moi que je voyais une telle stupéfaction déchirer ses traits. Je n’eue le temps de voir le message que déjà il brula la lettre et fit ses bagages.  Ma mère semblait avoir également peur, les deux préparaient les chevaux avec le minimum dans leurs sacs. Ils étaient tant paniqués, que jamais ils ne me regardèrent, pourtant j’étais devant eux à les supplier de m’expliquer la situation. C’est avant de monter son cheval, que mon père se tournai vers moi, son regard était sévère et son expression était toujours aussi grave, il me dit d’une voix froide ‘’ Ne quitte pas la ferme et attend notre retour, ne laisse personne entrée et le soir éteint toute les lumières, toutes’’ Puis tel un adieu, ils sont partis sans se retourner.

C’est la première fois que mes parents ne m’apportent pas avec eux, la première fois que je me retrouve seule à la ferme. J’espère que cela ne prendra pas grand temps, j’ai un drôle d’impression, mon cœur est comprimé et mes larmes n’ont pas arrêté de couler, je sais que je dois être forte car je suis une Anfrey! Je vais donc prouver à mon père que je peux m’occuper seule de la ferme même si j’ai 17 ans, je suis assez grande pour vivre seule

26e journées seule…
Cher journal, je n’ai pas eu le temps d’écrire, car j’étais beaucoup trop épuisée. Toujours aucune nouvelle de mes parents, je commence à avoir un peu peur seule dans cette ferme si loin de la ville. De plus, je commence à manquer de plusieurs choses importantes que je n’arrive pas à produire, habituellement mes parents font affaire au village, en vendant des œufs ou de la viande et du foin en échange de certains légumes qui ne veulent pas poussés ici, ou des épices. Mais je n’ai pas le droit de quitter la ferme, donc si je me rends au village et que mon père l’apprend je doute qu’il va me sermonné. Mon père a oublier de prendre son violon, je me permet de me pratiquer lors de son absence, il sera fière de voir comment je suis rendue doué. Mes parents me manquent, je pensais aimer vivre seule mais c’est beaucoup plus difficile et inquiétant que je pouvais l’imaginer… De plus c’est bientôt mon anniversaire, j’aurais 18 ans, j’espère qu’ils seront de retour de leur voyage improvisé.

38e journées seules.
Cher journal,  un mois vient de passer rapidement, le temps est de plus en plus froid le soir, je sais que mon père ne souhaite pas que je laisse les bougies allumés, mais depuis quelques nuits, je laisse une lanterne dehors, peut-être mes parents cherchent leur chemin. Ils sont sûrement perdus, je ne peux pas croire qu’ils m’ont abandonnés sans regarder derrière eux. Les animaux commencent à agir étrangement, certain son même malade et je ne peux même pas aller voir un voisin pour demander de l’aide. De plus, le froid commence à faire mourir les légumes et je n’arrive pas tous les cueillir à temps. Vivre seule, ce n’est pas amusant, je commence à parler à moi-même, je ne dors plus car la nuit j’ai peur du silence… Ce silence qui hante mes jours et mes nuits. J’ai envie de désobéir et de partir, mais c’est peut-être un test de la part de mon père, il est peut-être caché quelque part à observer combien de temps je vais craquer… Si c’est le cas, je ne trouve pas cela drôle. Journal, je commence à trembler, j’ai si peur de rester seule plus longtemps, est-ce que je dois partir ou je dois rester aide moi dit moi quoi faire.

92e journées seules.
Cher journal, les animaux sont tous morts d’une étrange grippe. J’ai dû faire bruler leur carcasse pour ne pas contaminer le sol. L’odeur était infecte, le ciel était sombre dissimulé derrière cet épais nuage de cendre. Les flammes ont attiré des gens, au début ils voulaient simplement voir ce qui se passait, j’ai dû mentir et dire que mes parents étaient malades à l’intérieur de la maison et que je suivais simplement ce que mon père souhaitaient. Une fois les flammes devenues braises, la lumière à laisser place aux ténèbres de la nuit. Les curieux sont parti me laissant de nouveau seule, trois mois et mes parents n’ont toujours donné aucun signe de vie, trois mois à vivre entre ces murs, je suis épuisée, je pleure tous les soirs, tellement que je n’ai plus de larme qui coulent. Je compte bientôt partir, j’ai fêté mes 17 ans seule avec moi-même. Mes parents de reviendrons pas, ils doivent être perdu, je dois les retrouver…

245e journée seules
Cher journal, aujourd’hui, j’ai reçu une lettre de mon père, elle date de très longtemps. L’homme qui me l’a livrée ma simplement dit qu’il avait oublié de venir me la porter. J’ignore donc quand elle fut écrite, mais je reconnais bien l’écriture simple de mon père. Je ne comprends pas, il a écrit une simple phrase, sans plus, mais je pense bien que mon père à des ennuis… Il m’a écrit ‘’ Les Anfrey ne peuvent plus être, ne le dit jamais à personne’’ Le fais de devoir taire mon nom, me fait encore plus peur pour le sort de mes parents. Je suis dans le néant, dans l’incompréhension le plus profond. Journal, mes bagages sont faits, je prends avec moi le violon de mon père, un peu de nourriture qui me reste et quelques vêtements. La réserve de monnaies de mes parents dans une pochette de cuir et je suis prête pour prendre la route à la recherche de mes parents. Je n’ai aucun indice sur leur itinéraire, je vais simplement marcher à leur recherche.

Adieu maison, adieu souvenir passer, il est temps pour moi de prendre les routes, pardon père de défier ton autorité mais mon instinct me pousse à vous retrouver.

La jeune fille ferma son journal, un soupire aux lèvres elle le déposa sur la table, avant d’accorder un dernier regarde à sa demeure fermant la porte. Il était temps pour elle, de suivre le chemin qui la menait hors du domaine qui fut pour elle une prison. Ses pieds marchaient sans questionnement dans une direction prise sur le hasard d’une pièce jeté en l’air. Elle avait certainement peur de ce qui l’attendait au bout du chemin, mais elle avait surtout peur de ne plus jamais revoir ses parents.