Susa Dëfoz

Sujet: Susa Dëfoz [En cours] Dim 18 Mar - 18:10

PRESENTATION
Susa DËFOZ

NOM:

PRÉNOM:

SURNOM:

SEXE:

AGE:

PEUPLE:

CASTE:

MÉTIER:

ARMES PRINCIPALES:

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AUTRES POSSESSIONS:

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DON:

POUVOIRS:

(A son contact Susa usant de l'essence divine peut insufler à n'importe quel métal la forme qu'il souhaite. Ainsi, une bille de fer peut devenir une plaque carrée par un seul contact. Mais plus on s'éloigne de la forme originelle de l'objet plus cela puisse dans l'essence divine du vieux Gélovigien, tout comme le volume à modifier, plus il est important plus cela lui demandera un effort. De plus, il lui est impossible de tranformer une bille de fer de la taille d'un pouce en un bouclier grand comme un bras. Il ne crée pas de substance métalique en plu,s mais change juste son apparence en le modelant. Par exemple un bâton pourra s'affiner pour devenir une grande épée, ou une bille en une flèche très fine.)

(Susa Dëfoz avait jadis créé une armure: casque, gantelet, blason, jambière, coudière, ceinturon. L'armure parfaite. Mais celle-ci n'est pas rester qu'un simple poids. Tel un pantin qui prend vie, l'armure est devenue une créature, un monstre de deux mètres tout en métal. Vide à l'intérieur, le Golem de fer n'est pas doté d'intelligence mais est seulement contrôler par la volonté de son invocateur. Ainsi usant de l'essence divine le haut-prête peut engendre cette machine de guerre à ses côté.)

Spoiler:

(La légende raconte que Sharna avait demandé à Bor cinq lames assassines, pour équiper cinq de ses meilleurs guerriers. Bor ne voulant pas que ses créations servent des mains corrompues et non dignes, refusa. Mais devant l’insistance de Sharna ils convinrent à un défi. Si ses 5 guerriers remporter chacune une épreuve de droiture et de force, alors Bor forgerai leurs cinq épées. Sharna sachant la valeur de ses hommes connaissait par avance l’issue du défi, aucun d’eux ne seraient assez dignes aux yeux de Bor pour manier une de ses créations. Sharna usa de ses forces est manipula le destin faisant réussir a ses guerriers les épreuves. Bor loin d’être incrédule remarqua le manège mais le dieu avait qu’une parole et dû malgré lui remettre à Sharna, cinq épées qu’il fit exceptionnelle, d'une précision de légèreté, de dextérité, de finesse et d’équilibre exeptionnelles. Cinq lames parfaites. Chaque guerrier de Sharna manipuler chacun un élément qu’ils usèrent pour enchanter leur épée : du feu, de la terre, du vent, de la foudre et de la glace…
Susa puisant dans la puissance divine a ce pouvoir de faire apparaitre une, deux, trois, quatre ou cinq de ses lames. Elle lui apparaît en lévitation autour de lui parfaite comme à l’origine. Il peut alors se faire embrocher par les épées les enfonçant jusqu’au manche dans son torse. Une fois la lame en lui il peut user le pouvoir de la lame enfoncé. Manipulant le feu si l’épée enchanté jadis par le feu est en lui ou par la foudre et la glace si les deux lames son embrochées en même temps. Mais plus il y a de lame plus le sort est dangereux et risque de tuer le vieux haut-prêtre. Susa n’a d’ailleurs jamais invoqué les 5 lames en même temps et que très rarement 4 à la fois. De plus une fois enfoncer la lame ressort dans son dos et celle-ci disparait au fur à mesure que le Gorgoroth use du pouvoir qu’elle lui confère. Tel un sablier content son temps de pouvoir, une fois la lame consumé, l’arme disparaît et le vieux Susa ne peut plus manipuler l’élément qui enchanté l’arme légendaire.)

Spoiler:

(Usant dans son essence divine, le vieux Gorgorth fait apparaître de sa bouche une bulle d’eau pas plus grosse qu’une noix de coco. La bulle d’eau d’une couleur limpide, flotte en lévitation. Susa peut la bouger pour l’amener lentement vers un point précis. La bulle d’eau peut alors être bue par une tiers personne. Une fois bue-elle à le pouvoir de développer la puissance divine de son consommateur. Ainsi un manipulateur de la foudre pourra lancer un éclair cinq fois plus puissant ou beaucoup plus loin, etc. La durée de l’amélioration est bien entendu pas définitive et varie selon la dose d’eau bénite ingurgitée et de la puissance divine consommé pour lancer le sort. Si la personne ayant but la bulle d’eau lance un sort surpuissant il se peut que celui-ci soit augmenter mais usent en une seule fois les bien fait de l’eau bénite. Un point essentiel à ne pas oublier, Susa ne peut pas bénéficier des pouvoir de ce sort. Empli de sa propre essence divine elle n’aura aucune effet supplémentaire si il la buvait à par le rafraichir.)

Spoiler:

SPÉCIALITÉS:

(capacité à entrer en communion avec l'essence divine)

(capacité à utiliser n'importe quelles armes à disposition)

(capacité à se faire écouter naturellement de tous)

PHYSIQUE:

PERSONNALITÉ:

HISTOIRE:

Chapitre I

- Prend ça fils de catin !

Le coup poing s’abattit sur la lèvre inférieure de Rëlus pour la troisième fois de suite. Sa lèvre céda et il sentit le coup cuivré de son sang qui maculer désarmer sa bouche et lui couler le long du menton. Attraper par le col le reste du corps au sol, l’œil droit au beurre noir résultat d’un coup de pied sauvage et lâche d’un enfant qui frappe un autre à terre. Le cracha qui suivit vint s’abattre sur son front marquer un point d’honore à sa souffrance et a sa honte.

- Lâchez le, bande de rat.

Un autre enfant comparable à Rëlus sans les multiples blessures, peut-être plus costaud fit lâcher prise à son assaillant en lui donnant un coup de pied derrière les genoux. Il repoussa du même coup d’un violent coup d’épaule son acolyte qui armait son poing.

- Reculez ou vous allez le regretter (il adressa un regard féroce au premier garçon), et ta mère Barof ne te reconnaitra même plus.

- Enfoiré de Dëfoz ! Tu vas le regretter ta catin de mère vous a pas fini tous les deux.

Les deux groupes de jeunes enfants ce regardé la rage au ventre les poings séré, prêt à foncer dans le tas au premier mouvement.

- Vous là-haut ! On bouge plus !

- On dégage.

Deux gardes de la jeune ville de Ridolbar, approchèrent à petit trot, mais Barof et son compagnon avait filé dans les sombres ruelles. A cause du passage à tabac de Rëlus, son frère resta sur place accroupi l’aidant à ce relevé.

- Vous là, debout.

L’un des gardes un homme d’une carrure impressionnante attrapa dans chaque main le revers du col des deux avortons et le souleva d’un mouvement vertical, jusqu'à les reposer au sol sur leur pied sans pour autant les lâcher.

- T’es bien amocher morveux. Ton père doit être triste d’avoir une mauviette comme toi, comme fils.

- Enfoiré ! Mon père te botter le cul en deux seconde.

Rëlus sangloter au parole dure du garde alors que son frère encore gonflé de l’adrénaline de son combat s’agité dans tous les sens pour essayer de se libérer du garde.

- Lâchez nous on a rien fait !

- ASSEZ !

Le garde lui asséna un revers de la main envoyant Susa Dëfoz à terre.

- Et toi aussi arrête de chialer mauviette.

La même baffe envoya également Rëlus sur les pavés, qu’il avait beaucoup trop côtoyés à son goût pour aujourd’hui.

- Taftalènne, calme toi je pense que la leçon est claire ! Charge moi ses deux avortons et allons expliquer a leurs parents comment ils ont attaqué un garde dans ses fonctions.

A la maison les deux enfants dure se boucher les oreilles tapis dans le coin de leurs chambres pour ne pas entendre les gémissements de leurs mères réparer les bêtises qu’ils avaient causées. Comme toujours lorsque les hommes découvrait que la femme élevait seule ses deux enfants.
Les deux frères était écœuré de l’attitude des garde d’abuser de leur mère. Ils en voulaient à ses hommes, ils en voulaient à leurs pères qui les avaient abandonnés à leurs 5 ans. Ils en voulaient à sa mère trop facile avec les jeunes hommes, Ils en voulaient au patron de leur mère, ou fils du boulanger qui lui rendait visite tous les jeudis, et à tous les autres de passages. Ils en voulaient à la terre entière. Oui, leur mère était une fille de joie. Mais elle les aimé elle les chérissait, elle était femme et encore plus pour eux une mère. On n’avait pas le droit de la traiter comme ça.
Rëlus sentait les larmes lui monté aux yeux. La porte de la chambre d’en face, celle de leurs mères, s’ouvrit et les deux gardes sortir débrayés. L’un deux jeta un regard au fond de la chambre des jumeaux.

- Et restait tranquille la prochaine fois les enfants vous causé du tort à votre mère.

Susa le dévisagea d’un regard plein de haine, alors que Rëlus baisser les yeux dans une moue pleine de tristesse. Les deux garde partir et les deux rejetons restèrent quelque minute encore là, blottie l’un contre l’autre au fond de leur chambre, écoutant le cœur serré les larmes de leur mère dans la pièce d’en face.

Puis la femme en chemise à carreau vint les cherchés pour leur faire un sermon. Comme d’habitude c’est Susa qui protégea son frère et en pris toute la responsabilité innocentant son frère, selon ses dires venu le secourir. Rëlus restait en retrait c’est ce qu’il faisait toujours, le garde avait raison il était un petit garçon timide et lâche, même capable d’assumer ses actes devant sa mère qui après une correction et une engueulade les prenait dans ses bras pour un câlin remplit d’amour que seule une mère pouvait donner. Mais Rëlus était le faible dans le couple de jumeaux qu’il formé avec son frère, Susa. Les jumeaux Dëfoz, nait d’une mère catin et d’un père coureur de jupon. Susa faisait preuve quant à lui d'une force mentale et physique supérieur à son frère. Il était bon, honnête et courageux. Rëlus l'enviait. A cette instant il aurait voulu mourir, quitter ce monde maudit ou sa faiblesse mettant les gens qu’il aimait dans des situations difficile. Simplement partir et ne plus souffrir.

Chapitre II

C’était une belle journée. L’herbe verte du début de béamas, bien arrosé par les intempéries du mois d'enkilil, épousé la vallée. Par ci par là des fleurs bleu, rouge, jeune pointé leur collerette par ci par là butiner par les abeilles. La petite brise était chaude et porter les odeurs enivrante de la vallée. Les oiseaux gazouillaient et les animaux traversaient la vallée en toute sérénité. Oui, c’était une merveilleuse journée et pourtant Rëlus et Susa était les deux orphelines les plus tristes d’Isthéria.

- C’est bien que tu es pus venir Rë.

Susa posa sa main sur l’épaule de son frère qui s’écher ses larmes devant la tombe de leur mère.

- J’aurais remué ciel et terre pour être ici, mais encore plus pour qu’elle soit…. Qu’elle soit encore parmi….

Une boule dans la gorge Rëlus ne put finir sa phrase. Les larmes lui monté.

- J’aurais… Tu sais Su…Je

- Je sais Rëlus, je sais.

***

Le temps avait passé depuis leurs dures enfances dans les ruelles de Ridolbar. Rëlus et Susa, les deux jumeaux Dëfoz, avait grandi et avait chacun prit un chemin bien différent.

Rëlus c’est enrôlé auprès des Cavalier de Sharna une guilde sauvage, réputé dans tous Isthéria comme regroupant les meilleurs cavaliers et les moins remarquables épéistes. Le jeune Rëlus retrouve dans cette guilde un moyen d’exprimer toute la rage et la haine qu’il porte au monde. Le plus sensible des deux jumeaux reste très affecté par son enfance et se réfugie dans la violence facile.

Son frère, Susa, plus posé plus fort psychologiquement, a épousé la carrière de forgeron. Il alla tenter sa chance à la jeune et richissime ville de Tyrhénium. Point de commerce d’Isthéria qui depuis quelque année maintenant ne cesse de croitre et d’attirer les mécènes et jeune commerçant en quête de gloire et de richesse.
Après un apprentissage dans une forge de seconde zone, Susa s’installa à son compte. Comme tous ce qu’il entreprenait il excellait dans la art de la forge. Et une belle petite réputation commença à émerger dans la ville.
Et pour une fois son frêre Rëlus n’avait pas à l’envier, car lui aussi grimper les échelon au sein de l’ordre des Cavalier de Sharna. Il était presque à l’appogé de leur vie. En tout cas tout leur surier, enfin.

***

La terre retourner former un petit monticule devant la plaque en métal fixer à une stèle en pierre qui indiquer l’emplacement de la tombe de la plus belle femme au monde pour Rëlus et Susa.

- Tu te souviens Rë, elle disait toujours sourie au monde et le monde te le rendra. Aujourd’hui elle serait heureuse de…. De nous voir sourire pour elle.

Ces paroles de la bouche de son frère firent remonter plein de souvenir de sa mère. Les meilleurs et les plus chaleureux dans l’esprit des jumeaux. Et il sourire là comme deux nié heureux devant la tombe de la femme qui leur à donner la vie. Bras dessus bras dessous, ils restèrent toute la journée au milieu de la vallée à se raconté des souvenir d’enfance des plus drôle au plus triste, pleurant et rigolant comme jamais.

- Viens on rentre Rëlus, il va faire noir dans quelques heures maintenant.

Susa, regarda une dernière fois la tombe de sa mère et y déposa une fleur au pétale blanche comme la pureté du souvenir des câlins de sa mère.

- Merci pour tout, et soit fier de nous maman.

Les deux frères reprirent le chemin de Tyrhénium.

***

Susa après dix belles années, réussi à amasser assez d’argent pour se mettre à son compte. Il acheta un bout de terre à Tyrhénium légèrement excentré, pour bénéficier du calme des grandes vallées qui s’étendait nord-est de la ville commerçante. Il y fit construire une maison, une forge et un moulin avec une soufflerie automatique grâce à un système de vent et de poulie.

Très vite il devint l’un des meilleurs forgerons de tout Eridiana. Encore aujourd’hui on peut trouver de vielle arme, armure ou bouclier qui porte sa griffe.

Du côté de son frère, l’ordre avait commençait par devoir compté sur lui de manière presque permanente. Grace à l’équipement offert par son forgeron de frère, et à la violence enfouit en lui qui demandait qu’à sortir, il était devenue un cavalier de Sharna des plus puissant et respecté.
Il n’était pas rare que les deux frères se retrouvent au domaine de Susa, pour échanger un duel entre eux en toute fraternité. Et bien qu’être un simple forgeron, Susa restait meilleur épéiste que Rëlus, ce qui émoussait ce dernier.

Il allait pourtant que très rarement voir leur mère restait à Ridolbar. Par honte, par ingratitude, par manque de temps ? Eux même ne savent pas réponde à cette question. Susa avait une affaire à faire tourner et une réputation à tenir. Quant à Rëlus, il était toujours parti en campagne aux quatre coins d’Isthéria.
Mais ils lui écrivaient le plus souvent possible. Et avait comme réponse toujours des mots doux et gentille et une énième question : « A quand un petit fils mes enfants ? »
Et oui, la seule fausse note dans leur vie actuelle à tous les deux était l’absence d’une femme fixe aimante et prête à procréer la nouvelle génération.

***

- Wouah ! sa na pas changer d’un pouce ici, Susa. Mais ta forge est fantastique.

- Merci vieux frère, mais vient pat là j’ai quelqu’un a te présenter.

- Oh ! Ne me dit pas que tu as invité la pouasseuse de Tya, parce que sinon je fais demi-tour tout de suite.

- Héhé ! Non idiot, je te présente Kalana.

Une jeune femme plus jeune qu’eux deux se présenta au jumeaux. Elle avait les cheveux long et noir comme la crinière des plus valeur pur-sang de Sharna, remarqua Rëlus. Sa peau d’une blancheur maladive ajouté un soupçon de pudeur à son visage juvénile et parfaitement dessiné. Ses lèvres pulpeuse m’était en valeur ses petits yeux et son nez quelconque. Sa poitrine était généreuse mais pas vulgaire et ses formes sensuelle pour n’importe qu’elle homme.

- Bonjour, Rëlus, enchanter de faire enfin ta rencontre.

Kalana le salua, le sourire aux lèvres avant de déposer un baisé langoureux à Susa.

- Rëlus, je te présente ma femme.

Rëlus resta bouche bée dans un premier temps. Subjuguer par le charme de Kalana et ensuite par la stupeur de voir son frère se mettre en ménage avec une femme.

- Et bien dit quelque chose, idiot !

- Hihihi !

-Wouah ! Enchanté, qu’elle merveilleuse nouvelle. Vient que je t’embrasse Kalana.

Il étreignit la jeune femme qui rigola de plus belle devant les manières familières du frère de son fiancée.

- On va se mariée, le mois prochain.

- Et après on espère avoir plein d’enfant.

- Oui, euh ! le mariage avant. Tu seras là bien sûr ?

- Evidement. Voyons c’est génial Susa.

Et il embrassa son frère cette fois ci.

Et le mois prochain ils se marièrent. Rêlus était là et le couple était au ange, bien décider a réparer l’impair de n’avoir pu offert à leur mère de son vivant un beau petit fils.

Chapitre III

- YYAAAAHHHHHH !!!!!

- YYAAAAHHHHHH !!!!!

Les fers s’entrechoquèrent dans un bruit de métal et d’étincelle. A peine le coup poter que les deux combattants se remettaient en garde, et s’élancer l’un vers l’autre pour une autres attaque.

La plus tomber en grosse coute dans la vallée. On était aux portes de Langdum, le soleil se coucher beaucoup trop tôt déjà. Le vent rabattait les larmes du ciel dans le visage dur et haineux des deux adversaires. Qui s’échanger coup d’épée et botte mortelle, en contrant et contre attaquant sans cesse, essayant par-dessus tout de mettre à terre son adversaire. De son vivant très peu de personnes peut dire avoir vue un combat avec une telle intensité.

Un coup de coude trouva une mâchoire, une épée effleura une épaule déchirant la chaire. Une botte vint repousser le vieux corps fatigué de son assaillant pour répliquer d’une attaque haute.

Les deux frères s’entretuer, dans des cris de colères, seule dans la vallées non loin de la tombe de leur mère qui les regardait se détruire en silence les bras tendu prête à venir les cherchait pour qu’ils soit de nouveaux réunit.

***

Des tensions naissante entre Taulmaril et Phelgra, amener un conteste politique dans la ville de Tyrhénium très tendu. Et les commandes d’armement augmentèrent du coup la forge tourner toujours à plein régime, les affaire allait bien pour Susa. Il avait même prit deux apprentie sous son aile, qui amassait un dure labeur. Mais pourtant Susa, qui avait maintenant pris de l’âge et commençait à grisonner, ne souriait que de façade pour ne pas inquiet son entourage ou ses client. Mais il était malheureux, il était devenue ronchon et désagréable avec ses amis proches et surtout avec sa femme.

Non loin des cinquante ans, Susa et Kalana, n’avaient pas réussi à avoir des enfants. Bien que Kalana soit plus jeune que le forgeron, il commençait à être urgent que cette dernière tombe enceinte. Et le forgeront remettait la faute sur lui. Il l’avait aimé, il l’aimait toujours surement. Mais il y a avait eut cette distance qui était venu se mettre entre eux deux. Kalana ne le montré pas, mais elle soufrer de cette situation.

Pour ne pas arranger les choses, son frères Rëlus avait était banni de l’ordre des Cavalier de Sharna, pour des raisons qu’il n’a jamais voulu évoqué et il était venu demandais asile à son frère. Susa avait évidemment accepté de bon cœur, la compagnie de son frère jumeaux était toujours un réconfort pour le forgeron.

Mais petit à petit des tensions n’acquirent entre eux deux. Susa ne supporter plus les manières de son frère. Rëlus ne l’aider pas dans la forge et ne foutait rien non plus dans la maison pour aider Kalana. Il se laisser vivre, dans les tavernes de Tyrhénium, dépensant les recettes de Susa aux jeux de carte et en alcool. Il était redevenu le bon arien de son enfance. Le petit Rëlus, faible, pleurnichard et toujours derrière son frère.

Ce n’était plus possible pour Susa. Mais il ne trouva jamais la force nécessaire pour bannir son frère, son jumeau, de son foyer. Et puis Kalana avait l’aire d’aimait sa présence elle. Sa lui faisait au moins une personne à qui parlait sans qu’on lui renvoi sens ses des réflexions dans la gueule. Oui Susa était devenue insupportable et ne supporter plus personne.

Rëlus n’avait pas pris conscience du mal être de son frère. Il avait mis sur le dos de l’âge ses mauvaise humeur à répétition à son égard et à l’égard de Kalana. Mais lui-même ne se sentait pas heureux. Le bilan de sa vie n’était pas glorieux. Il avait eu une enfance de merde, toujours frapper, toujours insulté, toujours second derrière Susa. Certes il avait était un grand Cavalier de Sharna. Il avait connue des campagnes avec l’ordre victorieuses, des fêtes, des femmes, de l’argent et de la camaraderie. Mais aussi des meurtres, des vols, des billages et aujourd’hui ils se retrouver avec plus rien, qu’une nostalgie à faire mourir les chanteur des rues, qu’il noyait dans la boisson.

***

- Je t’ai tout donné, Rëlus. (Il lança une attaque frontale que son frère esquiva). Ma maison, ma nourriture, mes meilleures armes et armure. (Il para à son tour la riposte de Rëlus). Je t’ai appris à te battre, tes défendu devant maman.

- Ta gueule Susa, ne la mêle pas à sa. Laisse maman reposé en paix.

Le poing de Rëlus trouva l’arcade sourcilière de Susa qui fit volait son frère au sol. Le sang coulait, et Rëlus regardait son frère de haut. Il y vit lui-même. Les deux jumeaux se ressemblaient vraiment fortement même après toutes ses années, même après ses chemins différents. Susa lui renvoyer tel un miroir son image d’un homme vieux, mais encore aguerrie et robuste au visage ferme et un peu ridé, aux tempes grisonnantes et au yeux triste.

- Justement tu as cru bien faire en me protégeant mais tu m’as surtout enfermé dans ton ombre.

Susa s’était relever d’un bon et réattaquait son frère encore plus fougueusement qu’avant.

- Pauvre cavalier de merde.

- Forgeron impuissant

- YAH !

***

On était à l’aube d’une guerre certain et sans précédent dans Isthéria. Mais à Tyrhénium, au moulin de la forge de Susa, la morosité avait laissé court aux trahisons sans ce soucié des répercutions.

Kalana et Rëlus s’était rapproché de manière bien dangereuse. Sa avait commençait par des balade sous les étoiles d’Isthéria, au son des alizé dans les grande plaine. Il y eut une nuit, puis deux et enfin il se voyait pratiquement tous les soirs. La mauvaise humeur de Susa, envoya Kalana se réfugier dans les bras de son frère chez qui elle trouva une oreille à l’écoute et une épaule confortable.

Rëlus n’avait rien planifié, mais sa ses passé petit à petit. Après leur longue ballade nocturne ils commencèrent à se fréquenté dans les tavernes en cachette rigolant de l’humeur exécrable de Susa, puis il rentré main dans la main le regard complice.

Un soir Rëlus franchi le pas, et embrassa Kalana. Leur lèvres s’effloraient, plus se baisser devin intense comme deux amant qui se retrouver après des années de séparation interminable. Langoureux, puissant et intense, le baisser fit naitre une pulsion d’attraction physique et ils firent l’amour comme deux adolescents dans le moulin de la forge sous le toit de son frère.

Mais comme toujours après avoir franchi la ligne rouge, les remords apparurent. Et Kalana, mit un terme à leur histoire. Rëlus, éperdument amoureux s’isola encore plus et devint aussi désagréable que son frère.

Mais voilà trois mois plus tard un ventre naquit dessous le tablier de Kalana et deux mois plus tard alors que Susa reprenait de la joie de vivre avec l’arrivée de ce petit. Susa retrouva Kalana pendu dans le moulin qui couiner au grès du vent. Du sang gisait de dessous ses pieds en lévitation. Son corps inerte regardait son marie d’un regard livide rempli de culpabilité. Au sol, il découvrit une lettre que Kalana lui avait écrite avant de se donner la mort. Il la lue, tomba a genou et pleura sa femme les mains dans le sang qui couler des jambes du cadavre.

***

- Elle t’aimait Susa, elle n’aimait que toi.

- Et toi tu la souiller, tu la pris comme tu prenais tes catins.

- Non je l’aimais aussi, je…

- LA FERME !... Tu… TU n’as pas le droit de l’aimait. AAAAHHHH Meurt…

Les lames étincelèrent, l’orage grondait et devenait de plus en plus fort dans la vallée. La pluie avait redoublait d’intensité et le vent hurler à travers les herbes de la plaine. Les deux frère était à bout de souffle, à bout de force, à bout d’amour. Il y avait que haine, souffrance et attaque meurtrière entre eux deux dorénavant. Susa pisser le sang de son arcade, et avait la tunique déchiré à plusieurs endroit. Il avait sorti sa plus belle épée et sa plus aiguisé. Rëlus, se battre avec son épée, la même que l’lorsqu’il était cavalier de Sharna, celle-là même qui sortait des forges de Dëfoz, que son frère lui avait confectionné, résulta super d’un ancien amour fraternelle. Son épaule gauche était en sang et il n’utilisé plus on bars gauche. Son visage était marqué de bleu et sa lèvre était ouverte.

Soudain la lame s’enfonça dans son cœur, le bras tendu Rëlus regardait son allonge qui venait transperçait lui aussi le cœur de son frère. L’attaque avait était mortelle pour tous les deux en même temps. Transperçait l’un par l’autre ils tombèrent mort le regard perdu dans une vie bien rempli. Les derniers battements de cœur allèrent pour Rëlus à sa mère qu’il pouvait maintenant rejoindre pour lui montrer qu’il l’aimait.
Susa quant à lui voyait à travers les gouttes de pluie, le doux visage de sa femme, Kalana, joyeuse et si belle.

- Je t’aime… Ka…lana.

***

Chapitre IV

« Bou-Boum… Bou-Boum… »

Qu’elle sensation de bien-être, de pesanteur, de détente et de chaleur. Son âme était libre. Elle voguait dans l’immensité, se laissait emporter par une chaleur enivrante, une sensation qu’il ne pouvait pas expliquer, mais qu’il ne voulait voir s’arrêter. Que c’était plaisir de ne plus ressentir de souffrance, de chagrin, de honte et d’amour. Rien, que du calme et de la sérénité, ce doit être cela qu’on appelle la paix intérieur, la paix universelle, la mort.

La lumière chaleureuse, enfin il la voit. Pourquoi résister ? Pourquoi vouloir se débattre pour rebrousser chemin ? Le temps avait était trop long pour arriver à ce moment, de toute sa volonté il voulait l’accélérer pour entrer dans cette lumière.

Maman….. Mon frère….. Kalana….. J’arrive.

Comment ? Attendaient j’arrive ! Allez !.... Encore un peu….

Il faisait du surplace. Toute son âme, sa volonté, l’être qu’il été devenue, s’étirer vers cette simple lumière ou une paix l’attendait il en était convaincu. Mais une force invisible, une force qu’il détester, le retenait. Comme si des chaînes le retenir prisonnier, comme arriver au bout de la laisse. Il pouvait effleurer la plénitude, mais était incapable d’y plonger.
Non ? Aller ! J’arrive ! Maman ?!

Puis la chaine surement guider par une main maléfique une puissance néfaste, le tira en arrière. L’éloignant de plus en plus de la lumière de ce destin final qu’il souhaitait temps. Il rebrousser chemin, de plus en plus vite et de plus en plus brute. La chaleur se transforma en froid glaciale, le silence en bourdonnement et en crie, la plénitude en angoisse et la paix en souffrance.

NOOOOON !!!!!!

- HHAAAaaaa !

Ses poumons se gonflèrent a leurs maximums envoyant le corps se cambré dans un mouvement presque impossible.

- NOO…. Eugh !

L’être revenue à la vie se pencha du côté et vomis deux fois de suite, un mélange de sang et d’eau.

Haletant il se redressa tant bien que mal, se mit à quatre patte le souffle court, comme si il venait de faire le tour d’Isthéria à pied. Sa tête l’élancé, ses articulation gelé lui faisaient atrocement souffrir. Sa barbe blanche pendait dans la terre que la fine pluie qui tombé avait transformé en boue. Le soleil se levé doucement sur la vallée et avec lui un nouveau née. Un Gorgoroth.

Le Gorgoroth se leva enfin fébrile, mais vivant, les yeux en larme, les membres endormis, il s’essaya à faire quelque pas mais manqua de trébuché et resta statique, immobile au milieu de la vallée, témoin de sa renaissance.

Il ouvrit les yeux, la faible lumière de l’aube lui arracher des grimaces comme si une flamme s’était tenue devant ses yeux. Son regard vitreux, il regarda autour de lui. D’abord flou, la vallée s’apposa a lui petit à petit. Immense et merveilleuse, même sous la pluie.

Le Gorgoroth regard autour de lui, les mains sur ses temps essayant de calmer se battement incessant dans son crâne.

« Bou-Boum… Bou-Boum… »

Une épée gisait à ses pieds.

- Ahhh !

Une vision vient lui percuté le crane comme un coup de marteau: Deux être rempli de haine se battant à mort.
Il chancela et alla buter sur une masse qui le fit tomber à genou les mains posées à terre pour éviter qu’il s’affale sur le sol entourer une tête.

-Wouahh !

Il eut un mouvement de recul et se releva effraya. Il regarda le corps. Il était inerte, mais une incompréhension l’envahi.

-Co-Comment ? Pourquoi ? Qu’es… AAAh !

Une autre vision plus douloureuse que celle d’avant le remis à genou dans la boue les mains aux tempes, une grimace de souffrance sur son visage : « Un baisé avec une femme….. Un corps pendu… Du sang…. Un être en colère…. Deux épées qui s’entrechoquent…. »

- ASSER ! AH ! ASSER

Le Gorgortoh était décontenancer il souffrait. Il été encore vivant. Non ! Il était mort, mais était devenue autre chose. Son incompréhension venait du corps qu’il voyait étendu au sol. S’était le sien, son corps. Oui, ils étaient jumeaux mais celui-là était son corps. Rëlus avait était tuer par son frère et il venait de renaitre mais son âme avait repris forme dans le corps de Susa. Comme une erreur de la nature, deux jumeaux qui n’en forme plus qu’un, une âme et un corps.

- Pourquoi ? Por… AAAAAAAAAAH !

Une vision interminable s’imposa une nouvelle fois à lui : « Le câlin d’une mère…. Les meurtres d’un cavalier…. La bêtise de deux adolescent…. L’amour de deux amants…. La traitrise des siens…. »
S’en était de trop, Rëlus dans le corps de Susa, le Gorgoroth Dëfoz tomba au sol, plongeait dans le comas, une nouvelle existence de souffrance l’attendrais à son réveille.

A son réveille la pluie s’était arrêter de tombait et sa vie passé avait ressurgit dans sa mémoire comme un torrent dévastateur.

Il passa ses premiers moments au moulin de Susa, le seul lieu qu’il considérer comme sa maison. Il y découvrir après plusieurs a jour a se posé des questions sur son état, le journal de son défunt frère.

Rëlus, enfin le Gorgoroth, le lus, il le lut d’un trait sans s’arrêter pendant deux jour et deux nuits. Passant du rire aux larmes. Puis une fois terminer il le relue une deuxième fois.

Le livre de Susa était un journal relatant tous les instants de sa vie des meilleurs au plus sombre, des moments de joie et de doute. Le tout agrémenter de prière, de vérité et de chemin de vie adresser à un dieu, le dieu Bor. Rëlus, s’étonna de découvrir à qu’elle point son frère avait pu être accompagné par Bor durant sa plus tendre enfance. Il le savait proche du dieu Bor dans ses prières comme la plupart des forgerons. Mais autant inspirer par lui. Rëlus tomba amoureux de la divinité par les écrits de son frère. Il comprenait les directions que Susa avait empruntées le rendant toujours meilleur que lui et son allégeance jadis à Sharna.

Ce journal était une œuvre à la gloire de Bor, et Rëlus allait en faire ses pensées.

Les moments au moulin devinrent des jours, puis des mois et enfin des années. Les tensions au cœur d’Isthéria n’allaient pas en s’améliorant et la forge eut de plus en plus de travail. Les habitant reconnaissaient l’apparence de Susa en Rëlus, et étant ni l’un ni l’autre, il abandonna petit à petit la personnalité de Rëlus pour devenir Susa Dëfoz le frère qu’il avait perdu.

La grande guerre éclata. Les peuples s’entretuèrent, les villes se déchirèrent et Taulmaril fut détruite. Tout comme la forge, ou il resta debout qu’un moulin en ruine.

Susa devenue Gorgoroth quitta Tyrhénium, pour rejoindre à Umbriel le temple de Bor, et se consacrer à son culte en la mémoire de son frère et espérant trouver les réponses à ses questions.

Chapitre V

« Tac…. Tac…. Tac…. Tac…. »

- Hihi !

- Chut ! Zalen, tu vas nous faire repérer.

Les deux jeunes novice de Bor, se cacher en haut d’une statue à l’effigie du grand dieu.

- Qazialus nous trouvera pas et…

- Et à nous l’après-midi sans leçons barbante.

Au sein même d’Umbirel, se dresse le sanctuaire de Bor. Un lieu de pèlerinage pour les sympathisants du dieu et de résidence pour les hautes instances de son ordre.

« Tac… Tac… Tac… Tac… »

Qazialus qui avait donné rendez-vous à ses novices pour les leçons dans la grande salle du temple, cherchait maintenant depuis quelque minute ses deux rejetons. Sa moustache rousse avait des soubresauts signe de son état de colère qui ne cessait de croitre.

- Hé ! Dorel tu l’imagine cette grosse barrique retournant le temple avec sa moustache en éventail. Ahah !

- Ahah ! heum ! Arrête tais-toi on va se faire remarquer. Pffff

« Tac… Tac… Tac. »

Les deux jeunes garçons gloussé tout en haut de la statue, et ne s’aperçurent pas de l’homme au pied de la statue de Bor qui venait de s’arrêter en mettant sa main contre le pied en métal de Bor.

- Qazialus !

- Oui, Haut-prêtre ?

Alors que Qazialus venant en petite fouler auprès du Haut-prêtre de Bor qui venait de l’appeler, au même moment les deux garçon sentir de petite vibration sous leur jeune corps. Les vibrations s’intensifia et un état de stupeur apparue sur leur visage juvénile.

- Que puis-je faire ?

- Qazialus vous ne devez pas avoir court ?

- Si, si mais je…

- Ah !

- Wouah !

La statue en métal de Bor se mit à boucher à se désarticulait pour venir transporter un plateau de métal devant les yeux de Qazialus, qui découvrit énervé les deux fripons terrorisés et accrochés à la plaque de métal qui jadis était la tête de Bor.

- Bande de bon à rien !

- Maître Q…

- Taisez-vous et descendais de là, TOUT DE SUITE !

Les deux gosses descendirent à toute hâte du socle qui reprit sa forme originelle aussitôt. Qazialus leur tira les oreilles et les obligea a pencher la tête face à Susa.

- Manquez de respect à Bor devant votre Haut-prête de la sorte… Hou ! Je vais vous ….

- Qazialus ! Je vais dans mes appartements pour travailler !

Susa porta son regard de vieillard aux deux rejetons. Puis les reposa sur le maître.

- Apprenait la discipline a vos élève Qazialus !

Puis il repartit comme il était venu a petit pas le dos courber par les années appuyé sur sa longue canne en métal.

« Tac… Tac… Tac… Tac… »

Qazialus se courba de respect et attrapa la tête de Zalen et Dorel pour qu’il face de même trop choquer de voir la statue revenir à la normal juste par la volonté de ce vieille homme qu’il apprendrait à respecter une fois leur insouciance d’enfant perdu.

- Vous allez le regretter maes petits.

- Attendez maître Qazialus, racontez-nous comment Susa… Aïe.

Qazialus frappa le haut du crane du jeune garçon.

- C’est Haut-prêtre de Bor, pour toi mon petit arrogant.

Zalen se frotta le haut du crane une larme à l’œil.

- Allez maître Qazialus racontez-nous comment le Haut-prête était dans sa jeunesse ?

Le maître à la moustache rousse, contenant sa colère devint tout rouge.

- Taisez-vous maintenant petits arrogants ON….

- Du calme Qazialus. Ahaha ! Susa Dëfoz : jeune ! Ahah !

Qazialus sentit une lourde main se posé sur son épaule et un vieux prête s’avançait le regard joyeux face au deux jeune garçon.

- Hum ! Prêtre Eröc, veuillez excuser mes deux jeunes novice.

- Tutututu ! Qazialus, la fougue et la curiosité des jeunes me font sourire.

Le vieux prêtre s’assis sur le banc et resta un moment sans rien dire étirant ses pauvres articulations qui lui faisait souffrir. Il regarda les deux garçons.

- Le haut-prête à toujours était vieux vous savez.

Piqué de curiosité et heureux de sécher les court de Qazialus pour une histoire sur leur Haut-prête de Bor leurs redonna le sourire. Ils regardèrent leur maître avec un regard insistant.

- Allez ! Allez ! rejoignez le prêtre Eröc.

Les deux enfants allèrent s’assoir en tailleur devant le ban les yeux braqué sur l’ancien.

- Alors racontez-nous comment on devient haut-prêtre ?

- Oh ! et l’étendue de ses pouvoirs, est-ce que cela lui vient de sa foi en Bor ?

- Ahah ! Jeunes, intrépides et trop trop pressé.

Le vieux prêtre semblait emballé par l’entourage des jeunes.

- Susa Dëfoz notre grand haut-prêtre de Bor, a certes des pouvoir impressionnants, il parait bourru, froid et distant. Mais il a une foi inébranlable en Bor et Bor lui a apporté une grande force d’âme. Ne vous arrêter pas à son apparence jeune loup, notre haut-prêtre est un écorcher de la vie, mais il cherche la rédemption absolue, il recherche une vérité sur la vie, la mort, et Bor le guide sur ce chemin. Tout comme il vous guidera dans votre cursus vers le savoir, la discipline et la justice. Mais pour l’heure jeune fougueux, laissez-moi vous racontez l’histoire du métal volant.

Les deux jeunes garçons se regardèrent la bouche grande ouverte.

- Le métal volant !

- La légende de Susa Dëfoz, haut-prêtre de Bor.

Le rire grave du prêtre Eröc empli la coupole du temple.

- Oui la légende du haut-prêtre de Bor, et son arrivé à Umbriel alors qu’il n’était que novice…

Qazialus à l’écart regardais ses deux apprenties écouté l’histoire du sage Eröc, qui semblait prendre autant de plaisir que ses deux chenapans.

*Le pouvoir de la fois ses aussi l’échange entre les générations* Pensa Qazialus.

Tous se qu’avait dit Eröc sur le haut-prête était vrai. Il avait jamais était jeune, Gorgoroth de nature, il avait toujours eut cette apparence de vieillard, lent et faible. Et pourtant il était à la tête d’un ordre à la gloire de Bor depuis des centaines d’année maintenant.

Qazialus eut un rictus de rire sur son visage à l’appellation de la légende du métal volant. Il se souvient son même intérêt quand on lui avait raconté pour la première fois, l’arrivé de Susa Dëfoz un vieux novice de Bor déboulant dans le temple sur un bouclier de métal volant de l’entrée du temple jusqu’au bout de a coupole. Et faire tout ce qui en suivit. L’histoire était invraisemblable, mais il n’y avait plus personne aujourd’hui pour raconter la vérité, et Susa ne faisait rien pour dire le contraire.

Qazialus le savait, le haut-prêtre de Bor était un homme torturer par son passé qui avait trouver grâce à Bor la force d’avançait, plonger dans une quête au artefact de Divin pour la paix de son âme qu’il souhaitait temps.

Sujet: Re: Susa Dëfoz Lun 19 Mar - 1:09

Bonjour et bienvenue sur Istheria!!!

Si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas à demander! Nous sommes là en cas de soucis.

Bonne continuation.

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Sujet: Re: Susa Dëfoz Dim 1 Avr - 20:18

Salut!

Présentation fini, j'attend les corrections à faire!

Bonne lecture Sighild :-P

Sujet: Re: Susa Dëfoz Dim 1 Avr - 22:06

Haaaaaa! C'était une sacrée lecture!! J'aime beaucoup l'histoire, c'est passionnant.

Tout me semble impeccable mais il me faudrait juste une petite précision au niveau des pouvoirs :
Est-ce que tu pourrais me donner une durée limite des pouvoir les 5 merveilles de Bor et Invocation métallique?? Comme les notions sont vagues, j'aimerais savoir l'ordre de temps que tu donnes à ses invocations?

Après ça tout sera impeccable.^^

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Sujet: Re: Susa Dëfoz Jeu 5 Avr - 13:10

Nous nous sommes mis d'accord par mp sur les détails donc...

Fiche validée

Tu vas pouvoir demander ton rang personnalisé dans la zone évènementielle, mais aussi ouvrir ton journal, ton coffre-fort et ta boîte aux lettres.

Bon jeu!!!!!

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Sujet: Re: Susa Dëfoz

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