Leto Héliogalba

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 Leto Héliogalba

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AuteurMessage
Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Leto Héliogalba   Leto Héliogalba Icon_minitimeDim 10 Juin - 21:56


PRESENTATION
LETO HÉLIOGALBA



    NOM:
    PRÉNOM:Leto
    SURNOM:Héliogalba

    SEXE:Masculin
    AGE: 30 ans
    PEUPLE:Terran

    CASTE:Cavalier de Sharna
    MÉTIER: Seigneur de ses terres.

    ARMES PRINCIPALES:
    Leto possède une épée à double tranchant qui pend toujours à son côté quelque soit l’occasion. Sa lame est faîte d’acier trempé mais son fourreau de simple cuir bouilli et sombre ce qui lui donne l’apparence d’une arme ordinaire. Avec un regard un peu plus attentif, on remarquera le pommeau, d’un acier d’une couleur noire, représentant une femme aux cheveux détachés et au visage meurtri. Elle s’appelle Aurë et il l’appelle élégamment sa « Dame », quelque chose par rapport au nom d’une femme qu’il aurait jadis connue.

    Même si son épée reste son moyen favori de se battre, Leto a tout de même prévu d’autres armes au cas où il aurait besoin de plus de discrétion où qu’un malheur advienne à sa Dame. Dans son dos, deux fourreaux aussi simples que celui destiné à son épée contiennent deux sabres. Fins, élégants et plus légers, ils vont par deux et se croisent dans son dos, comme deux carquois. Les lames sont en acier et les pommeaux sont on ne peut plus simples, destinés à être utilisés uniquement dans les situations extrêmes. Contrairement à son épée, les sabres n’ont pas de nom ni même le privilège d’accompagner Leto jusque dans sa couche.

    AUTRES POSSESSIONS:Le catalyseur de Leto est une chose bien curieuse. Sculptée dans un onyx, la pierre est rougeoyante, fixée à la place du cœur de la forme : une gente dame voilée, les mains jointes comme dans une prière. Certains disent que c’est une représentation d’une Prêtresse de Cimmeria, mais personne n’est jamais vraiment allé lui demander. Allez savoir pourquoi…

    Sans compter ses armes, il a également une armure en acier qui a d’inquiétants reflets noirs et une cape qui a du être noire autrefois et qui est désormais décolorée par la pluie, la boue et abîmée par les chemins et les batailles.

    Ses autres possessions sont bien sûr ses terres dont il s’occupe avec beaucoup de soin, veillant à toujours avoir à manger pour lui et ses nombreux domestiques ainsi que pour son cheval.

    DON: Agilité développée // Grande adaptabilité

    POUVOIRS:
    La télépathie, même si elle reste très faible, parce qu’il la développe très peu est un de ses pouvoirs. Ainsi, s’il se concentre sur une personne en particulier, il peut saisir des brides de son discours intérieurs pendant quelques secondes. Le processus est normalement indolore. Il ne peut évidemment pas envahir tous les esprits. Si la personne en question met des barrières et a la capacité de le bloquer, il lui est alors impossible de pénétrer ses pensées.

    Les visions ont également commencé à le tourmenter, rendant sa lente folie un peu plus profonde. Il est capable de voir de brèves images du passé ou du futur. Hélas, son esprit étant entièrement tourné vers le passé, il voit souvent des souvenirs de feu sa bien aimée.

    Enfin, il a des sens très développés, surtout sa vue et son odorat, ce qui lui permet de suivre une piste avec précision et de voir les formations ennemies approcher de loin.

    SPÉCIALITÉS: Tacticien : pour un cavalier détruit par la rage, il a un sang-froid incroyable lorsqu’il s’agit d’organiser ses terres et ses hommes avant une bataille.

    Excellence spécifique en arme : Aurë, sa fidèle épée n’a plus de secrets pour lui. Elle est devenue l’extension naturelle de son bras droit.

    PHYSIQUE:
    Même si Leto n’est pas vraiment un gringalet, il n’est pas non plus le plus imposant des cavaliers. Sa force réside plus sur son intelligence que sa force brute. Pourtant, il n’est pas difficile de remarquer ses muscles saillant qui supportent sa lourde armure.

    Leto n’est pas non plus très grand. Il arrive tout de même à ne jamais lever les yeux vers ses domestiques mais de nombreux cavaliers sont plus grands que lui. Il reste d’une taille respectable et surtout, bien proportionné. Sauf son bras droit. Il est deux fois plus grand que le bras gauche, épée oblige.
    Sa stature l’aide à être plus agile et plus rapide. Il utilise rarement la force brute car il sait qu’il n’a pas les capités physiques qu’il faut, mais son esprit et vif et lui permet de toujours placer son épée au bon endroit. Du moins, jusqu’à maintenant.
    Sans oublier, bien sûr qu’une taille moins imposante effraie moins les demoiselles qu’une montagne de muscles.

    Car Leto, malgré le dédain et la rage qui partagent ses traits, est encore très avenant. Si on oublie bien sûr quelques cicatrices assez laides qui refusent de disparaître. Sa barbe naissante qu’il ne peut pas cependant s’autoriser à garder (avec le casque, vous comprenez, ce n’est pas du tout pratique) mange une partie de son visage et peut lui donner un air assez mystérieux, mais également majestueux et sage.
    L’autre partie de son visage est souvent masqué par son épaisse crinière noire souvent désordonnée. Il l’attache rarement, sauf lorsqu’il doit réfléchir à de graves sujets. Ce serait en effet un gâchis : couper des cheveux qui lui arrivent à la taille ! Enfin, allez dire ça à ses écuyers qui doivent s’arranger pour qu’elle tienne entièrement sous son casque afin que ses ennemis n’en tirent pas avantages. Mais la longueur de sa chevelure lui donne un caractère ancien et honorable, ce qui compense l’absence de barbe.

    Sa peau pâle mais pas blafarde. Leto n’est pas un homme d’intérieur, même s’il réfléchit énormément : il aime s’entraîner, visiter ses terres et ne supporte pas l’enfermement et l’isolement : être seul signifie se souvenir. Ainsi, sa peau est-elle légèrement hâlée par le soleil et lui donne presque un air… humain.

    Mais ne vous y trompez pas et regardez ses yeux. Des yeux de couleur simple : noirs. D’un noir très profond où on croit voir s’agiter la haine et la peine comme deux démons combattant sans cesse et ne gagnant jamais. Ses yeux sont souvent cernés à cause de ses longues nuits de veille : les affaires de ses terres ou ses souvenirs ne lui laissant pas ou peu de répit. Il paraît qu’il est effrayant de regarder dans ses yeux, de s’y plonger complètement. Ils portent le sceau de Sharna.

    Du jeune homme qu’il était, il est devenu un adulte, un guerrier aguerri : ses doigts ont des cals et ses paumes sont dures. Sa mâchoire est carrée et son regard, dur et froid. Sa stature s’est affirmée et ses épaules ont encore prit de l’envergure. Aujourd’hui, il est un homme accompli et fort. Le genre d’homme qui aurait pu protéger Aurë.

    PERSONNALITÉ:
    Leto est un homme rongé par le regret, la culpabilité et la haine.

    Même s’il a l’air calme et posé lorsqu’il doit prendre des décisions, tous ceux qui partagent sa vie quotidienne se rendent bien compte qu’il n’est pas le seigneur parfait qu’il tente d’être. Leto reste malgré tout un homme assoiffé de sang qui n’hésite pas à tuer ceux qui osent se montrer trop arrogants avec lui. Il ne supporte pas le moindre tourment et se montre souvent très dur avec les rares femmes qui osent s’offrir à lui. Son cœur n’appartient qu’à une seule dame et celle-ci est morte.
    Le sommeil de Leto est souvent troublé. Il lui arrive de se lever pendant la nuit et de marcher sans but dans les couloirs du château. Dès fois, il s’agite dans son sommeil, comme possédé par un démon. Ses yeux n’ont jamais de repos et il semble toujours chercher tout autour de lui quelque chose qu’il ne trouve jamais.

    Le jeune homme bon vivant a disparu. Il arrive quelque fois à Leto de se lier d’une certaine amitié avec des cavaliers ou des domestiques avec qui il aime à s’entraîner au combat ou à s’occuper de ses montures, mais il reste très secret et bien peu peuvent se vanter d’avoir été proche de lui.
    Quelques fois, on voit dans ses yeux une lueur, on a un espoir pour lui quand il pose ses yeux sur une belle femme aux cheveux noirs, mais en un instant ; l’illusion est brisée et il redevient l’homme froid, dur et dédaigneux qu’il a toujours été.

    Leto est quelqu’un d’intelligent quand il ne se laisse pas aller à ses fréquents accès de colère. Tout peut lui être prétexte à de violentes colères : un échec, un souvenir, la mention des chevaliers de l’Ordre d’Oris… Alors, il part s’isoler pendant quelques minutes, casse des meubles et revient à son personnage de chef taciturne et silencieux.

    Leto n’est pas un grand bavard mais il n’est pas rustre. Il connaît de nombreuses chansons et s’intéresse aux arts. Il reçoit des ménestrels avec tous les honneurs qu’il peut leur offrir et écoute les nouvelles du dehors avec grande attention. Il n’apprécie seulement pas vraiment les fêtes joyeuses, leur préférant les banquets barbares où il peut admirer à loisir les filles perdues circuler entre les tables et proposer leurs corps à des cavaliers moins scrupuleux que lui. Car tout le monde sait que Leto ne touche pas aux filles de joie et ne s’est jamais marié.

    Car Leto, tout homme courageux qu’il est, est encore emprisonné dans le passé et refuse d’aller de l’avant. C’est ce qui fait de lui un homme d’une violence exceptionnelle : toute la violence de la haine qu’il a pour lui-même, il la retourne vers son adversaire, faisant de lui un combattant redoutable. Mais s’il semble invincible pour les autres, lui-même sait bien à quel point il est fragile.



    HISTOIRE:


Il y a une histoire qui court en Phelgra et qui est racontée aux petits guerriers le soir, au coin du feu. Cette histoire ressemble étrangement à celle de Leto Héliogalba.

C’est l’histoire d’un cavalier de Sharna, Oton qui fut jadis vaincu par un chevalier de l’Ordre d’Oris. C’est la triste, triste histoire d’un cavalier de Sharna qui dut vivre comme un vaincu. Car le Chevalier Lumineux, Vitelius, ne daigna pas tuer son adversaire. Il lui montra tout son mépris en lui retirant son armure et en dispersant les morceaux. Il le méprisait tellement qu’il en fit son écuyer, son esclave. Il pansa même la blessure qu’il lui avait lui-même infligée. C’est la triste, triste histoire d’Oton, cavalier déchu de Sharna qui dut vivre sans son honneur et sans son bras droit, incapable de se venger.

Oton fut donc amené à Tyrhénium où il dut servir son vainqueur. Il servit aux écuries, à la forge, sur les terres, au château. Il resta silencieux et ne tenta jamais de se rebeller. Il se contentait de jurer contre son seigneur une fois la nuit tombée quand il n’arrivait pas à trouver le sommeil. Les années passèrent et il sembla que sa haine s’atténua. Oton trouva en une servante peu futée mais bien jolie une compagne agréable et la mit enceinte. Galba promit de s’occuper de l’enfant comme des siens. Du moins, ceux qui avaient survécus. Le premier, un petit garçon était mort-né, le second n’avait pas survécu à l’entraînement militaire que lui imposait son père et mourut de fatigue à 13 ans, le troisième décéda d’une mystérieuse chute de cheval lors d’une partie de chasse et le dernier était en réalité une jeune fille, Aurë, destinée à épouser un grand seigneur. Aurë était le trésor du château, l’adorée du seigneur Galba dont il vantait sans cesse la beauté et qui la préservait des yeux vicieux des serviteurs et des seigneurs étrangers grâce aux voiles qui cachaient toujours son visage et ses cheveux.

Sharna n’avait pas tout à fait oublié Oton. Il lui donna un fils. Un fils assez robuste pour survivre une vie de serviteur et sans doute même une vie de cavalier. Oton ferait de son fils un véritable cavalier. Oton aurait sa vengeance grâce à son fils. Il l’appela Leto, du nom du troisième fils de Vitelius, un affront déguisé sous un hommage.
Vitelius fut heureux de voir un jeune garçon robuste naître dans l’enceinte de son château. Il ne pouvait pas laisser un tel garçon devenir domestique. Non, ses yeux embrasés et impatients ne demandaient qu’une chose : une éducation hors pair. Vitelius ferait un dernier affront à son ancien ennemi : il ferait de son fils un chevalier de l’Ordre d’Oris.

Son prétexte d’une grande tendresse envers le garçon, Vitelius commença son apprentissage très jeune. Comme son père et son père avant lui, il lui apprit tout ce qu’un bon chevalier doit savoir : monter à cheval qu’il pleuve ou qu’il neige, s’occuper de sa monture, nettoyer son harnachement, ses armes. Tant qu’il était trop petit pour tenir une arme, Vitelius lui apprit à se battre avec ses poings, à résister aux températures les plus basses ou les plus hautes, à compter sur son corps avant de compter sur l’arme qu’on porte.
Puis, il lui mit une épée entre les mains. Il devait porter l’épée avec ses bras où les muscles commençaient à peine à apparaître. Il devait savoir nettoyer une armure, la mettre et l’enlever. Il devait savoir chasser, traquer une piste.

Vitelius lui apprit tout cela lui-même. Il demandait toujours au jeune Leto de prendre exemple sur lui. Lui, le grand chevalier aux cheveux de soleil malgré les premières rides et les tempes grisonnantes, lui, le beau seigneur, fort, rigoureux et respecté. Lui qui semblait avoir toutes les qualités. Lui, qui était si différent de son père. Car malgré sa bonté, Vitelius le ramenait chez son père, dans sa couchette misérable tous les soirs.
Oton, lui, était très différent. L’âge, la rage et le désespoir avaient eu raison de sa beauté d’antan. Son visage n’était plus qu’un parchemin rabougri percé par des yeux sombres enfoncés dans leurs orbites, éclairés seulement par l’idée du sang, du chaos et de la violence. Illuminés seulement par la vue des forces sans cesse grandissantes de son fils.

Leto fut élevé comme un Chevalier de l’Ordre d’Oris. Il était considéré comme la pupille du seigneur et les serviteurs le traitaient avec respect quand bien même ils méprisaient son père ouvertement. Il se considérait lui-même comme le fils adoptif de Vitelius, le fils qu’il aurait toujours voulu avoir. Il était peut-être son bâtard, qui sait ? Il avait beau avoir une épaisse chevelure noire et Vitelius avait beau être blond, il tenait peut-être ça de sa mère, une illustre inconnue qui avait disparu après sa naissance ? Ah oui, ais-je oublié de vous préciser que Vitelius conviait souvent le jeune Leto à écouter des ménestrels après les entrainements et que le jeune garçon adorait les histoires de jeune hommes qui se découvrent de nobles origines leur permettant d’épouser la princesse de leurs rêves.

Leto aurait véritablement fait un bon chevalier de l’Ordre d’Oris : il avait un bon entraînement et il était réceptif aux premiers préceptes que Vitelius lui inculquait peu à peu. L’Ordre, la Justice…
Mais un petit incident bouleversa tout ce que le seigneur avait mit tellement de temps à mettre en place.

Leto avait alors 15 ans. C’était une jeune homme fougueux, vigoureux, qui s’emportait vite et disait toujours ce qu’il pensait. Il maniait l’épée à la perfection et s’entendait très bien avec les garçons qui s’occupaient des écuries. Son enthousiasme et ses plaisanteries plaisaient beaucoup aux femmes et il avait eu sa première expérience sexuelle il y avait peu avec une jeune suivante de la jeune dame, dans une botte de foin. Il se rendait à la hâte dans la salle principale du château où il avait l’habitude de retrouver son seigneur pour écouter les ménestrels qui demandaient hospitalité au seigneur Lumineux. Courant dans les couloirs tout en enfilant à la hâte un pourpoint de toile grossière, il finit par entrer dans la grande pièce.
Il y vit la troupe colorée des ménestrels, mais cela n’attira son regard que quelques minutes. Assise aux genoux en armure de son père, une silhouette apparemment féminine se tenait. Elle était entourée par ses suivantes, parmi lesquelles il remarqua avec un petit sourire sa suivante favorite. Mais la suivante n’était rien par rapport à la beauté qui semblait émaner de la jeune dame. Couverte par de riches étoffes blanches et dorées, il ne pouvait apercevoir que la pointe d’un menton délicat et sa lèvre inférieure aussi pâle que le voile qui masquait ses yeux. Ses mains étaient posées sur les genoux de son père, dans un geste de soumission qui ressemblait étrangement à celui qu’une prisonnière volontaire.
Ainsi, sans même avoir aperçu son visage, le jeune Leto tomba passionnément amoureux de la jeune dame qui lui rappelait tant les princesses en danger des chansons… Il essaya de l’approcher à petits pas, intimidé par sa posture noble et immobile quand Vitelius le retint avec un bras de fer, le frappant directement au travers de sa poitrine avec son gant de fer : « Ne t’approche pas. Rien ne doit la souiller. »

La rage et la jalousie consumèrent alors son cœur. Il était alors perdu pour l’Ordre d’Oris. Il rentra le soir chez son père et n’hésita pas à lui faire part de ses sentiments à l’égard de Vitelius suite aux évènements de la soirée. Oton tapota l’épaule de son fils avec un grand sourire édenté. Sharna n’abandonnait jamais ses fidèles cavaliers. Il n’avait rien eut à faire au final, la jalousie avait détourné Leto de la Lumière pour le plonger dans les Ténèbres de la passion, aux côtés de son véritable père.

Les années qui suivirent, Leto les passa à mentir à son seigneur Vitelius. Faisant comme si l’incident n’avait pas eu lieu, Leto continuait à s’entraîner et à acquiescer… Mais Vitelius et tous les autres domestiques se rendaient bien compte que son front s’assombrissait de jour en jour et il était clair que ce n’était plus le soucis de la Justice qui conduisait ses gestes. Il frappait les mannequins jusqu’à l’annihilation avec son épée, respirant la rage et la frustration de tout son être. Il arrêta même de voir la jeune suivante à son grand désespoir. Son temps libre, il le passait à errer dans les couloirs ou dans les jardins, à tenter de deviner où était la chambre de la jeune dame. Que n’aurait-il pas donné pour un regard, un aperçu de ce qui se trouvait sous le voile ?
Vitelius ne tarda pas à voir la nouvelle obsession de Leto. Il connaissait bien le garçon. Il savait que c’était un être complet, passionné, il lui avait lui-même apprit à aller jusqu’au bout de ses projets. Il savait que Leto ne tarderait pas à retrouver sa fille adorée. Mais il n’avait nullement envie de la lui offrir. Il voulait la donner au chevalier le plus puissant et le plus respecté afin qu’elle n’eut jamais rien à craindre de son époux.

Se sentant vieillir et prêt à mourir, il convoqua tous les chevaliers les plus respectables afin de marier sa fille. Leto était assigné au service des ces potentiels ennemis jurés. Il se plia à la tâche, la rancœur dévorant son cœur un peu plus tous les jours. Tous ces chevaliers étaient vieux, gros, pervers, mal élevés dès qu’ils étaient seuls (ils ne considéraient pas les domestiques comme des personnes) Il ne pouvait vraiment pas autoriser que l’un d’entre eux porte jamais ses mains sur sa belle Aurë.
Le seul avantage que le jeune homme pouvait trouver à ce rassemblement était que la jeune dame sortait de plus en plus souvent pour apparaître devant ses prétendants, toujours voilée bien évidemment. Ainsi, Leto pouvait faire en sorte de se trouver régulièrement sur son passage pour qu’elle le remarque. Il réussit même une fois à avoir l’air si pathétique qu’elle eut un léger sourire qui, à ses yeux de jeune amoureux pathétique, eut l’effet d’une flèche droit dans son cœur.

Vitelius ne tarda pas à désigner son futur gendre. Vespasien, un chevalier, énorme, imposant dans son armure dorée, ses cheveux aussi blancs que ceux de son futur beau-père, une cicatrice traversant son visage, déformant ses traits. Il eut l’ultime honneur de prendre la douce main d’Aurë dans les siennes. Leto crut mourir de jalousie ce soir-là et passa la nuit à s’entraîner sur un mannequin qu’il réduit littéralement en miettes sous le regard bienveillant de son père. Il allait avoir sa vengeance. Il pouvait la sentit aussi bien que l’odeur de la sueur qui roulait le long des bras de son fils. Sharna n’oublie jamais ses cavaliers.

Tout semblait perdu pour Leto. Il était prêt à faire les plus grandes folies pour éviter ce mariage : tuer Vitelius ou Vespasien. Tuer n’importe qui, tant que le résultat était Aurë dans ses bras. Non, peut-être pas jusque dans ces bras. C’était trop tôt. Si seulement il pouvait juste avoir le droit de se mettre à genoux devant elle et lui dire à quel point il l’aimait, il serait ravi pour l’éternité…
Il eut plus que ce qu’il avait jamais osé espérer.

Un soir, après un entrainement, alors qu’il versait une bassine d’eau fraiche sur lui afin de laver la sueur et la poussière qui collait à son corps, il sentit une main agripper son biceps. Surpris, croyant à une surprise d’un compagnon, il sursauta et lâcha un juron en se retournant.
C’était la jeune dame. Il était si embêté qu’il resta un instant, planté là, bouche bée. Elle était seule, le seul obstacle entre eux était le voile blanc devant ses yeux.

- Ma..Ma… Ma Dame.. Que.., bafouilla-t-il.

Elle ne dit rien et se contenta de baisser les yeux vers ses souliers qui avaient été trempés par le sursaut de Leto. Celui-ci se sentit rougir, profondément désolé d’avoir tâché sa belle dame. Sans oser la toucher, il lui proposa d’entrer dans les écuries où ils seraient plus tranquilles pour discuter.
Après s’être assurée que personne ne s’y trouvait, elle porta ses deux mains à son voile et le retira. Leto s’apprêta à être transformé en pierre ou à être maudit pour avoir osé porter les yeux sur autant de beauté…
Aurë était belle, c’était indéniable. Mais elle n’avait pas la beauté à laquelle il s’était attendu. Il l’avait imaginée blonde comme les blés avec des grands yeux bleus et des rouges rondes et enfantines. A la place, il voyait une belle jeune fille au visage long et anguleux, au grand front et aux lèvres pleines et flegmatiques. Ses yeux en amandes, d’un vert pénétrant le fixèrent sur place. Il n’osa pas bouger ou même prononcer un mot. Alors Aurë fut la première à parler :

- Je dois m’échapper, déclara-t-elle. Emmenez-moi avec vous, ordonna-t-elle alors.

Elle n’avait rien de la demoiselle en détresse des chansons. Leto était perdu. Il ne l’en aimait pas moins, mais il ne savait pas comment jouer son rôle de chevalier servant avec une telle demoiselle. Elle n’était même pas blonde : devant ses yeux ébahis coulait une chevelure ébène.
Si la demoiselle était forte et autoritaire, il devait l’être encore plus pour l’impressionner :

- Où voulez-vous aller ? lui demanda-t-il alors, tentant d’ignorer ses yeux sur son torse trempé.
- Peu m’importe, répondit-elle, visiblement énervée, je dois partir avant que mon père ne me marie. Je ne veux pas épouser Vespasien !

Un dernier regard envoûtant et Leto se promit d’aller jusqu’au bout des mondes pour elle. Il hocha la tête avant de remettre son voile sur son si joli visage, osant à peine toucher le tissu du bout de ses doigts sales et trempés :

- Venez, murmura-t-il.

Sa main saisit machinalement la sienne, prenant garde à ne pas trop la serrer tandis qu’il l’emmenait chez lui où son père tentait tant bien que mal de réparer une botte avec un seul bras. Quand il vit son fil rentrer en compagnie de la jeune dame, il se leva et ne demanda même pas des explications avant de sauter sur l’occasion :

- Leto, enfourche Glaurung dès que tu seras prêt. Je les retiendrais quelques minutes, mais pas plus. Chevauche à bride abattue jusqu’à Thémisto et n’oublie pas le nom de ton père.
- Père… commença le jeune homme.
- C’est ainsi que vivent les cavaliers de Sharna, mon fils. N’oublie pas qui fut ton père et fais-lui honneur. Maintenant, va !

Leto enfila son armure d’entraînement le plus rapidement possible, prit une épée et quelques provisions avant d’aller chercher son cheval pour emmener la femme de ses rêves sur ses genoux. Il ne se retourna qu’une fois pour voir son père déliasser sa botte et prendre son épée de sa main gauche, assoiffé de sang, de violence et de mort, offrant son vieux corps comme un ultime hommage à Sharna. Ce jour-là, Leto décida qu’il deviendrait un cavalier de Sharna aussi redoutable que son père. Puis, il poussa son cheval au galop loin du château de Vitelius.

Dès la tombée de la nuit, il arrêta Glaurung et débarrassa Aurë de son voile et autres bijoux qui pourraient attirer l’attention. Visiblement peu habituée au contact masculin, elle ne manqua pas de le frapper mais finit par se rendre à ses arguments. Toute la comté allait essayer de la retrouver : ils se devaient d’être discrets. Ils ne tardèrent pas à arriver au premier petit village où ils achetèrent des vêtements plus discrets et un nouveau cheval à la jeune femme grâce à ses bijoux.
Ils chevauchèrent encore plus loin, près d’une rivière où ils pourraient se reposer et manger un peu tandis qu’elle se changeait.

Ainsi, le brave Leto se retrouva en train d’entourer sa dame avec sa cape tandis qu’elle se changeait :

- Pourquoi moi ? lui demanda-t-il, se sentant soudainement très brave et très intelligent.
- Aucun autre domestique de mon père n’aurait accepté de faire quelque chose d’aussi stupide, rétorqua-t-elle.
- Ce… C’est tout ?

Elle rejeta son ancien corset et saisit le nouveau avant de répondre :

- D’accord… Vous êtes le seul homme assez courageux pour faire ça pour moi. Je vous avais remarqué, vous savez ? Je ne suis pas aveugle : je pouvais vous voir derrière le voile.
- Ah… Et vous… Enfin, vous…
- Oui, je vous aime bien, chevalier Leto, fit-elle avec un sourire de ses lèvres pâles.

Il ne fut jamais aussi heureux de sa vie. Une fois rendus complètement anonymes, ils poursuivirent leur route. Leto apprit à monter à Aurë et soigna les ampoules sur ses mains tous les jours avec une révérence qui toucha profondément la jeune femme. Ils chevauchaient de jour et dormaient souvent à la belle étoile quand la météo le permettait. Dès fois, il lui chantait des chansons qu’il avait apprises au château et n’hésitait pas à faire toutes les bêtises possibles et imaginables pour l’impressionner. Mais jamais il ne la toucha sans sa permission.

Un soir, alors que la pluie battante les avait obligés à s’arrêter dans une petite auberge pour la nuit, ils se rendirent compte qu’ils étaient presque à Thémisto grâce à la congrégation de cavaliers de Sharna qui semblait s’être donnés rendez-vous dans la même auberge pour fêter une victoire militaire. Ils étaient grands, impressionnants, forts et charismatiques. La même violence que celle d’Oton transpirait de leurs gestes. Leto ne pouvait s’empêcher de les admirer. Aurë, quant à elle, se cachait dans l’ombre de son chevalier servant dès qu’elle pouvait. Il pouvait lire la crainte dans ses yeux d’habitude si forts et courageux. Il osa caresser doucement sa joue de ses doigts gantés. Elle lui sourit.

Quand leur repas arriva, Aurë semblait perdue dans ses pensées. Elle se mordait sans cesse les lèvres les rendant une peu plus rouges à chaque fois. Il essayait de se concentrer sur sa nourriture et pas sur elle.

- Leto ? lui demanda-t-elle.
- Oui ?
- Que vas-tu faire, une fois arrivé à Thémisto ?
- Je ne sais pas. Devenir un cavalier de Sharna, sans doute, comme je l’ai promis à mon père.
- Et moi ? Que vais-je faire ?
- Je ne sais pas. Ce que tu veux.
- Je voudrais t’épouser.

C’était probablement la chanson la moins conventionnelle qu’il ait jamais entendu. Il fronça légèrement les sourcils avant de répondre :

- Ce n’est pas censé être l’homme qui demande à la femme de l’épouser ?
- Si, mais tu es bien trop lent : je me suis impatientée.

Elle lui offrit son sourire le plus radieux quand il lui demanda de l’épouser. Elle accepta et quand ils s’embrassèrent pour la première fois, personne d’autre dans l’auberge ne daigna en prendre note.

Mais, même si leurs cœurs étaient désormais unis, il leur fallait tout de même atteindre Thémisto afin d’assurer leur sécurité : ils étaient tout de même en fuite depuis près d’un an.

Le lendemain, ils montèrent en scelle dès les premières lueurs du jour et chevauchèrent à bride abattue jusqu’à la tombée de la nuit. Dans deux jours, ils seraient en sécurité. Leto prendrait Aurë pour femme et il deviendrait un puissant cavalier de Sharna.

Hélas, le rêve ne tarda pas à s’écrouler. Vespasien était entêté et il n’aurait laissé tomber ses privilèges sur Aurë et les terres de son père pour rien au monde. Acompagné de plusieurs autres chevaliers d’Oris, il avait prit le jeune homme en chasse et n’avaient pas eu de mal à le retrouver : la beauté de sa compagne n’avait pas laissé les cœurs indifférents.
Ce fut la nuit suivante. Leto et Aurë suivaient de loin un groupe de cavaliers de Sharna qui avait l’intention de se rendre à Thémisto (du moins, ils l’avaient entendu dire dans l’auberge) et dormait à la belle étoile non loin de leur feu de camp, comme ils l’avaient si souvent fait tout au long de leur périple. Leto se rappellerait tout sa vie de cette nuit : il tenait le corps frêle d’Aurë contre lui, n’osant pas encore vraiment la toucher de manière inconventionnelle : ils n’étaient pas encore mariés, voyez-vous. Elle dormait, apaisée, comme en sécurité contre lui. Mais il avait échoué. Epuisé par leur longue chevauchée, il s’était endormi et lorsqu’il s’était réveillé au son des cris et des sabots de chevaux au galop, il était déjà trop tard.

Il se leva précipitemment, attrapant son épée, réveillant Aurë par la même occasion. La jeune femme se leva également et tenta de s’habiller en vitesse. Pour la première fois, Leto vit de la terreur dans ses beaux yeux verts. Il la prit par les épaules :

- Cours. Cours le plus vite possible et réfugie-toi dans le village le plus proche. Cache-toi et ne sort pas avant que le soleil ne se lève. Si c’est trop tard : va te réfugier avec un des cavaliers, ils sauront te protéger.
- Et toi ?
- Je suis de taille ou je ne suis pas digne de toi.

Elle déposa un léger baiser sur ses lèvres avant de s’enfuir dans le simple appareil d’une beauté arrachée à son sommeil.
Il se tourna alors vers ses assaillants et tira son épée.

Leto n’eut pas à combattre seul : les cavaliers avaient entendu le raffut et se levèrent afin de voir le jeune homme affronter les premiers chevaliers d’Oris. Par solidarité ou par amour de la guerre et des bains de sang, ils lui vinrent en aide. Les combats firent rage et durèrent longtemps. Leto y reçut ses premières cicatrices définitives. Il tua également ses premiers hommes.
Le jour se leva sur une victoire des cavaliers Sharna, moins épuisés que les chevaliers d’Oris. Ils furent tous mis à mort. Leto reprit son souffle, appuyé à son épée quand il se rendit compte que…

- Où est Vespasien ? demanda Leto à ses nouveaux compagnons.

Ils le regardèrent et haussèrent les épaules. Ils ne savaient même pas à quoi ressemblaient Vespasien. Angoissé, Leto refusa de se reposer et chercha son rival parmi les cadavres. Ne le trouvant pas, il regarda autour de lui avant de courir dans la direction où Aurë s’était enfuie au beau milieu de la nuit.

- Il est inépuisable ce gamin, fit remarquer l’un des cavaliers en buvant un peu de vin.

Leto marcha longtemps, suivant la trace d’Aurë. Il finit par la trouver vers le milieu de la matinée. Enfin, trouver ce qui restait d’elle. On n’avait pas été doux avec elle : elle avait le visage ravagé par les coups de poing et de couteau. Elle avait du se débattre. Ses bras avaient également souffert et ses jambes étaient remplies d’ecchymoses. Ses doux cheveux noirs étaient désormais tâchés de sang séché. Elle avait du souffrir. Elle avait du crier. L’appeler à l’aide. Il n’était pas venu. Il lui avait faillit. Voilà un bien piètre cavalier qui ne peut pas défendre sa dame. Il passa doucement sa main sur son visage, fermant ses doux yeux verts qu’aucun coup n’avait pu abîmer.

Les cavaliers avaient finis par s’inquiéter de l’absence prolongée du jeune homme. C’était un bon combattant, c’ aurait été dommage qu’il succombe à ses blessures. Ils finirent par partir à sa recherche. Quand ils le trouvèrent, vers la fin de l’après-midi. Il était encore en train de planter son épée dans ce qui semblait être la carcasse d’un chevalier d’Oris. Il fallut deux hommes pour le séparer du cadavre de Vespasien. La rage qui avait désormais clamé son hégémonie sur le cœur de Leto avait déculpe ses forces. Il venait de comprendre le véritable pouvoir des cavaliers de Sharna. La haine, la rage, le désespoir qui en redemande sans cesse et porte un homme, même à moitié mort, à annihiler ses ennemis.

Ses nouveaux compagnons l’escortèrent à Thémisto où ils se séparèrent. Ayant tout perdu et ayant tout à gagner, Leto partit du plus bas et gagnant duel sur duel, réussit à amasser les grades nécessaires pour obtenir un peu de respect. Sa rage le poussant à vouloir plus, avoir plus, tuer plus, inspirer plus de crainte. Il ne se calma que lorsqu’une de ses victimes lui céda aussi ses terres avant de mourir.
Il s’installa dans le château et, pour une fois, raisonna. Il réorganisa les terres et s’arrangea pour faire de ce château sa demeure, ne manquant de rien pour vivre cette misérable existence où la peine aveugle pousse à la rage sans fin. On dit même qu’il accueille de temps en temps des ménestrels.


COMPAGNON
SMAUG



    PRÉNOM:Smaug

    SEXE:Masculin

    POUVOIR: Décuplement de vitesse.

    Description:
Smaug est un corbeau. C’est un corbeau à peu près comme les autres. Il y a beaucoup de corbeaux qui transmettent des messages et qui évitent ainsi aux seigneurs de se déplacer à chaque fois qu’une nouvelle doit se répandre. Mais Smaug a toujours été le corbeau personnel de Leto. Celui qui portait sa marque en quelques sortes. C’est donc naturellement que le seigneur en a fait un compagnon presque aussi cher à ses yeux que sa monture.




MONTURE
GLAURUNG



    PRÉNOM: Glaurung.

    SEXE:Masculin

    DEscriptION:
Monture robuste et puissante, il n’en fallait pas moins pour supporter le poids de l’armure et de son porteur. Glaurung ressemble presque à un cheval de trait. Rien d’exceptionnel parmi les cavaliers de Sharna, à une chose près : c’est un étalon blanc et sa robe respire la pureté aussi bien que ses muscles respirent la force. Cela reste une monture dont jamais Leto ne se défera et dont la couleur le précède partout sur ses terres.

Désolée si ma fiche vous a semblée longue et ennuyeuse. J’ai un peu raccourci l’histoire sinon, je me lançais dans un roman. J’espère que vous avez apprécié la lecture tout de même =)


Dernière édition par Leto Héliogalba le Lun 11 Juin - 16:41, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Leto Héliogalba   Leto Héliogalba Icon_minitimeLun 11 Juin - 13:31

Bonjour et bienvenue sur Istheria!

Ne t'inquiète pas pour la longueur de ton texte, j'ai déjà eu à lire plus long. lool

Voici les petites modifications qui te seront nécessaire :

_ Don => Le don est spécifique à ton peuple. Comme tu es terran, tu n'as pas le choix et il s'agit forcément de " Agilité développée // Grande adaptabilité ". (cf peuples).

_ Pouvoirs => Juste une remarque sur la télépathie. Il te faudra prendre en compte que tu ne pourras pas lire dans tous les esprits, notamment des personnages possédant éventuellement plus d'expérience que ton personnage, ou la spécialité "force mentale".

_ Description physique => Question bête, mais quand tu parles de son regard, tu dis "Ils portent le sceau de Sharna. " C'est au sens métaphorique? Parce que tu te doutes bien que ses yeux sont normaux hein? XD

_ Histoire => Rien à dire!! Très agréable et j'ai adoré!!! Ton personnage est plus qu'intéressant et bien travaillé! C'est le genre de bonhomme qu'il doit être plaisant de rencontrer!! ^^


Modifie simplement le petit détail du don et je pense que tout seras en ordre pour la validation.^^
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MessageSujet: Re: Leto Héliogalba   Leto Héliogalba Icon_minitimeLun 11 Juin - 16:56

Voilà, alors j'ai fais les changements pour le pouvoir et le don ! Pour que ce soit plus facile à repérer, je les ai mis en italique.

Oui, la métaphore n'était qu'une enjolivure de plus, si elle vous gène cependant, je peux l'enlever, elle n'est que facultative.

Pour l'histoire : ciel ! J'aurais pu garder le chapitre sur ses années en tant que seigneur ! Tant pis =)
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MessageSujet: Re: Leto Héliogalba   Leto Héliogalba Icon_minitimeLun 11 Juin - 17:56

Tout est impeccable!! Je n'ai plus rien à dire!!

Fiche validée


Tu vas pouvoir faire une demande de rang personnalisé dans la zone évènementielle, mais aussi ouvrir ton compte en banque, ton journal et ta boîte aux lettres.
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MessageSujet: Re: Leto Héliogalba   Leto Héliogalba Icon_minitime

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