Sûlvim (Terminé)

NOM: Khobèlzarath
PRÉNOM: Sûlvim
SURNOM: Pâlefais, Seigneur de l'Estampe

SEXE: Mâle
AGE: Approchant Trois siècles
PEUPLE: Gorgoroth

CASTE: Cavaliers de Sharna
MÉTIER: Brute - Brilleur

ARMES PRINCIPALES:

• Kombriscär - Masse d'armes Barbelée
Du pommeau jusqu'à sa garde évasée, munie de quatre branches pointues, cette masse comporte une emmanchure d'acier sombre cerclée de cordoans souples noirs. Là le fort de la masse grossit lentement, se dénivelle sur cinq niveaux de crochets effilés et épais puis s'achève sur une tête pyramidale. La finition brune de cette escepeuse a de quoi faire blêmir, car on la devine aisément plier du plastron, arracher des pièces d'armure ou broyer des os.

• Umbo à piques
Léger allié, plus adapté pour déporter les coups que pour les parer, cet Umbo aux arêtes tranchantes est finement ouvragé. Sa petite surface, dissimulant une considérable épaisseur, expose une quinzaine de saillies pratiques pour écorcher et emprisonner une tranche d'acier.

AUTRES POSSESSIONS:

• Mat-harnois du Pâlefais (Armure) :

Sous les épaisses couches d'acier, il y a le cuir souple. Un gambison sans manches, des braies, des bottes et des mitaines, noirs. Puis vient le harnois complet, une armure lamellaire aux feuillets fins, d'un métal de jais irisé de reflets vermeils. Souples et parfaitement articulées, les pièces ciselées comportent un plastron, des cubitières, brassards, une braconnière, des jambières et des plaques couvrant les chausses du non-vivant. Deux spalieres tavelées à leurs pourtours de cornes chitineuses.
Pour voiler son visage, marquer une vision de terreur, le Gorgoroth se coiffe d'un casque de type armet, bardé de cornes longues. Le nasal épais, scindant ce qui ressemble à l'ouverture d'une barbute, coule jusqu'à un vantail étrange, marqué d'une antique gravure exposant l'hideuse et grimaçante bouche d'un humanoïde. Le rictus funeste, ou s'entremêlent nombre de dents effilées, souligne les deux iris lactescent du trépassé ... Deux billes luisantes qui brisent l'ombre régnant dans le maigre interstice de son heaume.

• Une trousse légère garnie de trois flacons longilignes de sang. Il s'en sert généralement pour se barder de peintures de guerre.

DON: Résistance physique dévelloppée

POUVOIRS:

• Fléau hématique :
Ce non-vivant a appris à s'illustrer dans le sang, endurant nombre de plaies, éprouvant jusqu'aux confins de la douleur. Il semble avoir découvert les attributs de son vin de mort, épais, glacé et doté d'une très rapide coagulation, si bien qu'il l'utilise comme bardage. Des qu'il saigne un adversaire et s'enduit de son fluide vital, où lorsqu'il endure une blessure lui même, le Maudit est en faculté de corrompre la matière pour former une sorte de gangue solide et élastique. Impossible à entamer par arme de tranche et difficile à percer, cette seconde peau transforme les effets de nombreuses armes, en dégâts contondants. Sa vulnérabilité se marque dans ce cas, face aux armes "lourdes".

• Eminence Rouge (Rage) :
Puisant dans les tréfonds de sa nature la plus primaire, le Non-vivant cède à son désir originel : Tuer et alimenter sa passion pour le sang. Il entre alors sous état de rage et abandonne son corps à la furie guerrière, voyant sa force surdévelloppée. Il ne peut utiliser de pouvoir sous cet état et celui-ci ne s'arrête que lorsqu'il obtient satisfaction. Soit en se repaissant ou en faisant couler le "miel rouge".

• Echo spectral :
Cette faculté permet a Sûlvim d'altérer une vibration sonique, de matérialiser les ondes en force. Un cri de guerre, un heurt ou un choc, génèrent alors des arcs ou inflexions matérielles mais invisibles. Elles ne sont pas maitrisées par Sûlvim, mais suivent simplement l'itinéraire initial du son produit (généralement des cercles divergents). Ces arcs brisent les objets fragiles et déstabilisent les personnes touchées. La puissance de l'onde dépendant aussi, de celle du bruit.

SPÉCIALITÉS: Excellence spécifique en arme ( Masse ) - Maître chevalier

PHYSIQUE:

Approchant les sept pieds, ce colosse affiche une charpente dissuasive. Cette masse a été longuement éprouvée et travaillée par les heurts incessants de la bataille, ravinée par la morsure du fer et poiçonnée par les estocs. Sur le derme d'albâtre du gaiant, il y a de nombreuses scarifications, tant de stigmates qui s'insinuent entre les vallons de ses puissants muscles, sous le pont de ses chair nervurées ... Ses mains calleuses et raides, bardées d'ongles opalins, témoignent de son passif avec les armes. Ses mollets galbés, exposent ses trop longues heures d'errance et de cavales sanglantes. Sur son cou haut, cerclé de trapèze et de dorsaux ciselés, il y a une tête aux contours abrupts, aux traits et aretes tranchantes. Les lèvres exsangues du réprouvé, jamais ne s'étirent et lorsqu'il se prête au courroux, l'on ne voit qu'une rangée de dents claires limées, striée de crocs. Ses yeux, pierres de howlite, sont d'un blanc scintillant, zébrés de veinules grises estompées, il ne peuvent encore luire mais demeurent expressifs. Son nez fin , pointu soutient un front haut et un crâne glabre, moucheté d'implants. Des excroissances d'acier vissées sur son crâne, furent un symbole de puissance chez les siens, ceux qui l'accompagnèrent avant son déclin. Pour les distinctions des temps jadis, il porte aussi sous la pulpe de sa lèvre inférieure, deux dards glissés sous un fin ourlet de peau. Pour parachever cette vision tribale, il expose trois implants de piques par coudes et une marque "d'appartenance" à une ancienne caste de Cavaliers barbares Terrans, aujourd'hui éteinte.

PERSONNALITÉ:

Bien peu de plébéiens cherchent à savoir ce que dissimule le "Fol-visage" du cavalier. Dans les méandres obombreux de son casque cornu, il y a un mort qui ne dort jamais ... Beaucoup des Cavaliers de Sharna ont considéré ce non-vivant comme un animal errant, allant jusqu'à le traiter comme une bête sauvage que l'on pourrait domestiquer. Après tout, les Gorgoroths font naturellement de très bons tueurs.
Grand mal leur en a fait, les rangs de la caste ont été sensiblement réduits par cette présomption. C'est sans aucun doute l'éclat qui a attisé l'intérêt des meneurs de cette "Grande Brigue". Belliqueux, fel et particulièrement brutal, Sûlvim ne connaît pas de limites, il est un 'dogue de guerre' particulièrement efficace. Ses propres frères d'armes se sont surpris à avoir le coeur au bout des lèvres en assistant à ses conflagrations sanglantes. Issu d'un milieu tribal, ce qui fut un Terran vandale, jadis, fougueux et ombrageux, est aujourd'hui une brute inhumaine et sanguinaire.
Ce sépulcral Reitre ne ressent plus les plaisirs futiles de l'existence, la nourriture n'est plus un miel, les liqueurs ne sont plus qu'eaux saumâtres à son palais et la douleur n'est qu'un lointain souvenir ... Un être qui ne craint plus la douleur, qui borde les confins entre l'existence et l'essence, ne craint plus rien. Pas même une mort qui est venue l'abrier comme une matrone. Que les coqs fassent bonne garde, tenter d'intimider ce traqueur ou de l'assujettir par la force est le meilleur moyen de subir son courroux et autant l'affirmer, le fruit de sa colère est une execution sordide. Il fut bien un autre Non-vivant pour tirer parti de lui, mais l'accord qui lie L'impérial et le Pâlefais est basé sur un "échange mutuel". Si Sûlvim verse son tribut de sang à l'ordre, il exploite en contrepartie des ressources de celui-ci, contrairement aux idées recues, ce sombre héraut utilise son éminence grise. Résolument dominateur, il aime imposer sa suprématie au combat, car c'est bien la seule chose qui soie encore en mesure de soulever une "passion" vaguement mortelle chez lui. On pourrait se figurer que la quête du maudit n'est qu'une expédition tavelée de tueries et profanations diverses, mais elle outrepasse de loin ces ambitions "raisonnables". Ce seigneur de l'estampe cherche à comprendre le processus de Non-vie, pour convertir les vivants, il est fort à parier que la domination raciale soit le dessein principal de cette entreprise.

HISTOIRE:

Personne n'aime suivre les sentiers battus, pourtant beaucoup se figurent qu'un itinéraire est déjà tracé. Que l'emprunt d'un embranchement sur la toile des déités, n'est pas motivé par un choix personnel, mais bien par une influence supérieure. Si tel est le cas, Sûlvim vint à naître pour alimenter la cruauté de ses créateurs. Sous l'ether vermeil d'une nuit de Riguéar, où les maigres flets sanglants d'Ignias peinaient à traverser l'encre brumeux de la saison morte, le nouveau-né poussa son premier hurlement. Une clameur qui anima un funeste écho, car l'enfant de souche guerrière, placé sous le giron de la violence, eut le droit à une éducation martiale. Rossé, méprisé pour devenir enhardi, l'initié laissa grandir en lui, un noyau de fureur, régulièrement alimenté.
Puis entrainé, il fut harnaché, gréé d'armes et envoyé au combat, pour ne respecter qu'un seul et unique crédo, celui que ses géniteurs répétaient comme une litanie :
" Approches l'abîme et souris à la mort, avant que ce soit elle qui ne se rie de toi "
Sûlvim vint rapidement à comprendre que sa préparation était un cheminement vers une étape décisive de son existence ... Quelque chose d'horrible et de grand, quelque chose qui dépassait un simple mortel.

Le baptême du sang, première étape vers l'accomplissement, était, pour les membres de sa lignée, une révélation. Ce palier consista à tuer, avec absurdité et sans but précis, le plus de cibles possibles. D'instiller la terreur et de survivre à un soulèvement face à une série d'odieux crimes. La campagne sanguinaire de Sûlvim eut donc lieu sur le continent de Cimmeria. Il écuma les postes frontaliers en rameutant de vulgaires pillards, plus intéressés par le troussage et le saccage, que par la volonté de tuer ... Là il commença à se tailler une sinistre réputation, à l'aube de ses seize années. Nombre d'avant-postes, de faubourgs et de patrouilles, maculèrent les plaines irisées d'auréoles rouges ... Nombre de charognes, parèrent l'air glacé de fragrances méphitiques. Ce fut une époque de discorde ou les Prêtresses eurent fort à faire, on chercha ce monstre sans relâche. L'expédition punitive de Sûlvim pris fin trois années après les premiers assauts, très sévèrement blessé, ce destructeur fut éconduit vers Umbriel.
Mais son échec était prévisible, tout faisait partie d'un plan macabre, ébauché par ceux qui lui avaient donné la vie ...
Son derme au niveau du pectoral droit, fut garni d'un Intra et privé de tout lien à l'essence, Sûlvim attendit patiemment son jugement. Il s'exposait à de nombreuses charges, le meurtre notamment et il comptait à son actif, plus d'une centaine d'âmes. C'est ce facteur qui déterminait le statut d'un combattant, aux Lices Ecarlates.

Oui, car ce sombre Reitre était le fils de cultistes de Kron, adhérants à une caste sombre : " Les Moissonneurs d'Espérite "
Ces fanatiques vénéraient l'Idole de la mort et nourrissaient, selon leurs croyances, son essence divine. Pour alimenter l'âme du Dieu Grisatre, les encapés organisaient des combats à mort dans les tréfonds d'Umbriel. Des affrontements violents où seul le fracas des armes était autorisé. Plus qu'un office religieux, cette entreprise macabre était aussi un commerce particulièrement lucratif. Suffisamment pour que nombre d'yeux se ferment. Il est difficile de définir combien de temps passa le condamné, à lutter pour sa survie, car au fond de cette fosse, la voûte était couverte de pierres. Celui que l'on surnomma le Seigneur de l'estampe, s'affaissa après quarante victoires contre les pires criminels des septs continents. Il ne se souvint que de celui qui planta au plus profond de son coeur, l'estoc de son épée. Un bretteur dont-il ne connaissait pas le nom, mais dont il garda le visage en mémoire. Un faciès qui s'imprima dans ses iris voilés.

Il y eut une nouvelle génèse, une renaissance où le seul souvenir palpable de Sûlvim, fut la douleur intense qui avait raidi ses chairs. Cette onde d'élancement insidieux, qui avait glacé sa poitrine ...
Il était là, allongé sur une table de pierre qui ressemblait fort à un autel, face à l'effigie d'une faucheuse ... Souriante. La statue bien qu'érodée, affichait un rictus ouvert sur une rangée de dents élimées, cette même gueule qui allait finalement orner le vantail de son casque. Il se releva, sans mal aucun, balayant les outils d'embaumement dans son sillage et là, il vit la pierre Intra ... Ce minéral qui à présent ne pulsait plus, il semblait s'éteindre à l'unisson de son éveil. Retrospectivement, son passé lui revint et il ne conserva plus qu'une seule obsession. Celle de faire disparaître à jamais de ses évocations, le faciès de son assassin.
Il ne le fit pas par un assaut direct, mais dissimulé à l'ombre d'une pèlerine. Il assista toutes les nuits, aux duels de l'épéiste. Il y dépensa tout l'or qu'il put avoir en se salissant les mains, tout cela dans le but de pouvoir offrir à celui que l'on surnomma "l'aiguillon", son plus beau sourire. Quand son bourreau succomba à son tour, quatre années après sa réanimation, il ne manqua pas de hanter ses iris, jusqu'à la fin des temps.
Il vint à errer durant quelques mois, fomentant sa vengeance, s'attelant à survivre en Umbriel. Son alliance avec les cavaliers de Sharna, motivé par un besoin d'appui militaire, lui octroya sa revanche. Il purga l'ordre des "Moissonneurs" avant de prêter ses armes à l'Impérial. Il brilla rapidement par ses aptitudes martiales et se familiarisa lentement avec son essence divine, pervertie et corrompue.

Il oeuvre désormais principalement pour Démégor et n'aime avoir de compte à rendre à personne d'autre. Il est principalement chargé de traquer des cibles bien spécifiques et de les éliminer, bien qu'il lui arrive de participer à des assauts groupés, il n'entretient pas de "cordiales" ententes avec tous les éléments de la Caste.

Spoiler:

PRÉNOM: Pharûll

SEXE: Mâle

DESCRIPTION:

Ni plus ni moins qu'un destrier de sang-pur, ce cheval à la robe noire, succède une nombreuse lignée. N'est pas immortel qui veut, le coursier ne sera sans doute pas le dernier, du moins espérons le pour sûlvim. Le bourrin est harnaché de cuir et bardé d'un acier de même constitution que l'armure de son cavalier. Il porte en outre, un chanfrein à piques. L'animal est régulièrement enduit de peintures de guerres, constitué de sang corrompu par le Pâlefais au préalable.
Débourrée depuis ses cinq ans, la monture a tout bonnement été achetée par le Non-vivant. Déjà accommodée à la présence des non-vivants, elle a été suivie par le meilleur dresseur et à fait un bon de chemin avec son actuel monteur.

Bonjour et bienvenue sur Istheria!

Je vois que tu as commencé à entamer ta fiche, mais avant que tu ne la continues, je préfère déjà faire des petites remarques sur ce que tu as noté car il y a des choses à modifier, et si tu dois les utiliser pour ton histoire, autant le préciser avant.^^

_ Age : " Quinquécentiste" Mon ignorance fait que je ne connaissais pas ce terme mais j'en avais deviné le sens. Mais j'ai néanmoins cherché dans un dictionnaire qui précisait que ce terme était utilisé pour désigner des classiques italiens de 1500 à 1600. Du coup, je ne suis pas sure que ce mot savant soit bien utilisé ici. Si il s'agit de dire que tu es âgé de 1500 ans, c'est impossible. Je n'accepte pas des individus âgés de 1000 ans ou plus pour des raisons historiques et de cohérence. Il te faudra donc obligatoirement te rajeunir.

_ Surnom : Sans doute aussi mon ignorance, mais ne saisit pas le sens des surnoms car je suppose qu'ils sont liés à quelque chose. Donc par curiosité, j'aimerais savoir ce qu'il signifie sachant que je n'ai rien trouvé sur ces "mot" (en ce qui concerne le Dévé, l'autre peut-être s'agit-il d'un nom?).

_ Armes : Je vais devoir refuser Bêlmusc. D'une part parce que les armes acceptées se doivent d'être physiques et non organiques. De plus, même si il est très intéressant de voir que tu as développé un détail anatomique des lhurgoyfs, cela ne fait pas partie de la race que j'ai développé. Donc cette drogue naturelle n'est pas autorisée.

Pour le gant, je vais avoir quelques réserves sur ce qui concerne les "encens" que tu utilises. Je me permettrais aussi de faire remarquer que tu cites principales des herbes médiévales à caractère "faussement magique". En soit, c'est certes intéressants mais c'est aussi peu propre à l'univers d'Istheria, mais pourquoi pas, parce qu'après tout, il y a bien des animaux simples ici. Mais il faudra que tu fasses attention car le mysticisme qui entoure ces plantes n'a pas lieu à Istheria (il n'y a pas d’inquisition ou de sorciers).
Pour en revenir aux encens :
_ la poudre de Brunfiel : "augmente considérablement l'endurance" je trouve ça exagéré d'autant plus qu'il ne doit pas y avoir beaucoup de poudre à inhaler. De plus, si déjà cela insensibilise à la douleur, c'est amplement suffisant et joue déjà en une façon sur une partie de l'endurance.
_ la poudre de vol : quel genre d'hallucination? Sachant qu'il faudra aussi être cohérent et ne pas exagérer.
Il me faudrait aussi un ordre d'idée de la durée des effets pour chaque poudre.

_ Autres possessions : Tu n'as pas droit au moindre objet magique en début de jeu. Les seuls que l'on peut obtenir se font autour de quête au cours d'un rp. Donc Flucuath ne convient pas ici, d'autant plus que tu ne peux pas parler de pierre de sphène avec toutes ces attributions. Il va falloir habiller ton personnage de façon traditionnelle ou bien le laisser se balader nu comme un ver. Les pierres de sphène n'offre pas de pouvoir d'illusion, il amplifie seulement la force d'une magie que peut posséder le personnage et son endurance quand à son utilisation, car toute magie épuise celui qui les utilise. Pour cela, je te conseille de relire le sujet concernant les pierres et catalyseurs. CLIC ICI.

- Pouvoirs : j'attends tes descriptions. ^^


Si tu as des questions ou que quelque chose te semble floue, n'hésite pas à poser des questions.

Bonjour et merci ^^

Je compose assez doucement ma fiche. x.x et après une expédition intensive pour étoffer mon personnage j'avais de ma propre initiative noté grand nombre d'erreurs. Pour les premières corrections :

_ Age : Carrément mal exploité, j'avais moi même enregistré ce mot et en avait perverti le sens, je ciblais bien "approximativement" 500 ans au départ

_ Surnom : Dévé (terme médiéval pour débauché) / Versamantel (surnom composé qu'on pourrait affilier a versatile mantel, pour l'aptitude de mon personnage à "retourner sa veste" haha)

_ Armes : Arv. Je nourrissais quelque doutes concernant ce concept, mais j'ai tenté ! ôté donc.

Pour l'utilisation des poudres, a dire vrai, je ne ciblais pas vraiment la prestidigitation ou le mysticisme, juste les effets inhérents à l'herboristerie.
Pour en revenir aux encens :
_ la poudre de Brunfiel : je m'étais tout bonnement inspiré des effets de la cocaïne pour l'endurance x) J'ai corrigé cela pour faire place a la résistance à la douleur.
_ la poudre de vol : Les effets des trois drogues mélangées sont les ingrédients d'une véritable drogue à dire vrai appelée par contre "l'onguent de vol", c'était utilisé par les sorcières dit-on pour entrer en transe, elles ingéraient le susdit baume par des voies que je ne décrirais pas, mais la légende du balai viendrait de là :') Donc les effets de ces trois produits sont simples, désorientation, hallucination et état de transe.

Pour la durée des produits en question, bien, ca dépend des résistances des personnages. Vu les doses, je dirais que ca peut durer entre une demi heure et deux/trois heures.

_ Autres possessions : J'ai donc corrigé cela en ôtant mon objet, je verrais donc pour les pierres de sphène et leur fonctionnement.

- Pouvoirs : je m'y mets sous peu.

Merci beaucoup pour ces conseils :)

Fiche terminée. : )