Cèdre Berrenal, Lapin honni

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Effectifs

• Eryllis: 3
• Ladrinis: 9
• Eclaris: 5
• Prêtresses: 5
• Cavaliers de S.: 5
• Nérozias: 6
• Gélovigiens: 3
• Ascans: 0
• Marins de N.: 4
• Civils: 15

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Les Rumeurs

_ Il parait que des personnes hauts-placées seraient gravement malades.
_ Il parait que ça se bécotte "au bal de la Rose".
_ Il parait que des créanciers en sont après un des conseillers de Ridolbar.

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 Cèdre Berrenal, Lapin honni

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Invité

MessageSujet: Cèdre Berrenal, Lapin honni   Cèdre Berrenal, Lapin honni Icon_minitimeSam 8 Juin - 18:30



QUELLE PERSONNE ES-TU ?
Toi qui voyage sur ces terres oubliées



Cèdre Berrenal
" Aujourd'hui vivants, demain morts, que nous importe d'amasser ou de ménager, nous ne comptons que sur le jour que nous vivons et jamais sur celui que nous allons vivre" Olivier OExmelin


SURNOM: Lapin (si vous n’avez pas peur des représailles)
AGE: 107 ans
SEXE: Féminin
PEUPLE: Zélos
CASTE: Marin de Noxis
METIER: Maître Charpentier à bord de la Blanche-Nef


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ARMES PRINCIPALES:
Un labrys à manche assez long (hache bipenne), une dague toute simple
AUTRES POSSESSIONS:
Deux bracelets larges en bronze dans lesquels sont enchâssées des pierres de sphène, des perles de verre tressées dans ses cheveux, une ceinture d’outils de charpentier, des bottes renforcées, une boussole au bout d'une chaîne
DON:
Force physique surdéveloppée
POUVOIRS:
Contrôle de la terre : Capacité à renforcer la structure des objets non animés
Traverser les matières : Capacité à traverser un élément non animé
Régénération : Capacité à guérir de ses blessures à une vitesse accélérée
SPECIALITES:
Sens de l’orientation : Impossible de se perdre, quel que soit l’environnement
Survivante extrême : Capacité à survivre en cas de problème et en pleine tempête

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Décris-moi comment je te vois...


« La nature apprend à l'homme à nager lorsqu'elle fait couler son bateau » Saït Faïk Abasiyanik

Et on peut dire que la nature aura à plusieurs reprises appris à nager à Cèdre. Bien qu’elle dépasse d’une à deux têtes la plupart des Terrans, et qu’elle pèse son poids de muscles et d’os, l’impression qu’elle dégage n’est pas celle d’une force… de la nature, justement. Ses longs cheveux noirs sont tressés et entrelacés de perles de verre multicolore, puis rassemblés grossièrement en une queue haute qui dégage son visage renfrogné. Il ne serait pas si désagréable à regarder sans la cicatrice horizontale qui barre sa joue gauche, sans son sourcil constamment relevé en une expression de dédain, ou sans le tatouage représentant trois plumes de mer sur son front. Ses yeux, que l’on dirait noirs au premier abord sont en fait d’un bleu nuit qui tranche avec sa peau grisâtre. Aucun sourire ne semble jamais relever les coins de sa bouche pulpeuse pour dévoiler des dents blanches dont les canines inférieures semblent avoir été limées.

Le reste de son corps est au diapason, musclé et souple, mais couvert de multiples cicatrices, certaines plus anciennes que d’autres, dont quelques-unes qui pourraient avoir l’air mortelles. Elle est vêtue très sobrement d’une tenue légère qui ne la gêne pas si elle tombe à l’eau. Quand elle descend à terre, sa parure est complétée par diverses pièces d’armure disparates et des bottes renforcées faites à son pied. Une large ceinture d’outils pare également sa taille de tous temps. Un rappel de son tatouage est marqué au fer rouge sur son torse. -


Décris-moi comment tu penses...

« Méfie toi d'une poulie qui crie et d'une femme qui se tait. Toutes deux préparent un mauvais coup. » Proverbe marin

Comme dit précédemment, Cèdre ne dégage pas une impression de violence ou de force, mais plutôt une aura de… victime. Victime du destin ou de ses propres choix ? Nul, à part elle, ne peut le dire, mais elle est de nature terriblement malchanceuse et le sait. Ceux qui la verraient seraient en droit de penser qu’elle fait attention à chacun de ses gestes, par crainte qu’ils aient une conséquence malheureuse. Elle ne parle que très peu, non par indifférence, mais par peur, et a passé une grande partie de sa vie à se forcer à réfléchir avant d’agir. Il en résulte qu’elle prend son temps pour tout, lui donnant l’air parfois stupide. Plutôt austère, elle est cependant extrêmement attachée à son navire (enfin celui de son Capitaine, normalement). Possessive et loyale, elle n’hésite pas à se montrer agressive si le besoin s’en fait sentir (chassez le naturel…) mais ne trahirait l’équipage pour rien au monde, car elle estime avoir une dette envers eux. Malgré son appartenance aux Marins de Noxis, elle abhorre les navires d’esclave mais ne se soucie sinon que peu de morale ou de lois. En somme, Cèdre est un chien fidèle et obéissant qui préfère passer ses soirées au coin du feu que d’aller courir après une balle… à tout le moins en apparence.-


Raconte-moi ce qu'a été ta vie...

« Le bonheur est comme un frêle voilier en pleine mer : il suffit d'un orage pour le détruire. » Léna Allen-Shore
Une mer d’huile, un Maître-Voile malade, un navire en parfait état, un tonneau de rhum. Il n’en avait pas fallu plus pour inciter le Lapin à prendre la parole. En face des mousses enthousiastes, elle secoua la tête, faisant carillonner les dizaines de perles de verre parsemant sa chevelure emmêlée. De sa voix presque inaudible et un peu trop rauque pour être immédiatement identifiée comme féminine, elle commença donc son histoire, au début comme ils l’avaient demandé :

«Le début donc… Avez-vous connaissance, enfants, de Thémisto ? Bien entendu, vous savez où c’est, mais savez-vous comment on y vit ? Non ? Alors laissez-moi vous l’expliquer… En réalité un mot suffit : mal. On y vit dans la pauvreté et dans la violence. Nombreux sont ceux qui pillent, volent, tuent avec la bénédiction des Cavaliers de Sharna. Mais la discussion n’est pas politique aujourd’hui… Mes parents étaient des gens normaux. Prostituée, tueur… Mais peu importe, j’ai pas de souvenirs de cette époque, à part qu’ils m’ont appelée Cèdre entre deux stupeurs opiacées parce que c’est ce qu’ils avaient sous la main. »

Elle fit une pause, parcourant du regard ceux qui prêtaient l’oreille. Le timonier, perché sur la dunette, tenant fermement la barre, penchait parfois la tête pour surprendre des bribes de conversation. Le bosco criait ses ordres précis aux jeunes dans la voilure en les traitant de gabiers de poulaine pour les faire avancer plus vite. Les cordes grinçaient en glissant les unes contre les autres. Le bois craquait de façon rassurante maintenant que le safran avait été réparé. Laissant son inquiétude se dissiper peu à peu, elle toucha le tatouage sur son front avant de reprendre :

« Vous savez tous pourquoi on m’appelle par ce nom qui ne devrait pas être prononcé sur un vaisseau, n’est-ce pas ? Eh bien même à cette époque, ça n’a pas manqué. Mes vieux sont morts sans un regard en arrière, et ç’a été la rue pour moi. Je sais pas si c’est pareil partout à Phelgra, mais à Thémisto, y a pas cinquante façons de survivre. Et comme je n’suis pas Filos, j’ai choisi d’apprendre à me battre. »

Elle laissa encore une fois le silence s’appesantir. Elle n’avait pas envie de leur dire qu’elle n’avait pas été très douée pour la prostitution, et qu’elle avait failli se faire prendre après un vol, et donc qu’elle n’avait pas trop eu le choix. Elle ne voulut pas non plus leur avouer que ses débuts de guerrière avaient été plus que catastrophiques et que les plus effrayantes de ses cicatrices n’étaient dues qu’à sa maladresse. Elle se permit donc une sacrée ellipse, le temps pour elle de remettre de l’ordre dans sa chronologie personnelle en poussant un long soupir et de reprendre une gorgée de rhum avant de poursuivre :

« On avait constitué un groupe de jeunes. On était plus que vous et plus disciplinés qu’vous l’serez jamais. On marchait bien. On cassait des bobines à tour de bras, voire pire que ça encore, on mettait l’feu à des maisons, on… Le bosco m’regarde méchamment en faisant signe de pas vous raconter tout ça… »

Le bosco n’était qu’une excuse. Il aurait très bien pu ne pas exister, elle se serait quand même interrompue. Ils avaient commis de nombreux méfaits à l’époque, et tuer n’avait pas été le moindre. Néanmoins, elle les avait aimés, tous autant qu’ils étaient. Ils avaient été sa famille de cœur, et même si elle n’avait pas été la plus âgée, elle avait souhaité les protéger à n’importe quel prix. Aussi, le jour où ils avaient été attrapés par les marchands d’esclave et qu’ils avaient dit qu’ils les libéreraient si elle arrêtait de massacrer ses gardes, elle avait baissé sa hache, avait lâché le manche et les avaient laissés l’emmener. Ce n’avait été qu’un mensonge et un tour du Destin voulut que la caravane et tous les esclaves, ses « frères » compris, succombent à une attaque en cours de route. Elle avait encore le goût du sang de ces hommes sur la langue alors qu’elle plongeait son arme dans leur cou ou entre leurs côtes avec une brutalité sans nom. Elle était devenue un animal à ce moment-là, enragée comme une louve à qui on aurait volé les petits.

Elle fut sortie de ses réflexions par un mousse qui se tortillait sur le pont comme s’il avait eu des morpions, ce qui était possible au demeurant. Il faudrait qu’elle songe à le signaler au Chirurgien, au cas où. Le Capitaine était très à cheval sur la propreté, après tout. Son sourcil gauche se baissa quelques secondes, lui donnant l’air moins farouche, avant de reprendre sa place initiale et qu’elle ne poursuive son histoire :


« Je pense que le bosco me permettra de reprendre quand j’ai rejoins une compagnie de mercenaires. On ne faisait pas des choses mieux, mais on était payé, au moins… Ah non, il secoue la tête… Je n’y suis pas restée si longtemps qu’ça ‘toute façon. »

Effectivement, elle n’y était pas restée longtemps, mais elle s’était perfectionnée au combat, et le chef lui avait donné le labrys qu’elle utilisait encore aujourd’hui. Son regard couleur de nuit s’égara sur la lame qui reflétait le soleil à ses côtés. C’est aussi là qu’elle avait découvert que l’essence divine coulait effectivement en elle, et qu’elle lui permettait d’agir sur les objets d’une façon qu’elle n’aurait jamais jugée possible avant… Elle secoua la tête. Elle n’était même pas certaine que le Capitaine sache pour quoi elle utilisait ces pierres de sphène. Elle lança un regard lourd de sens au bosco, lui signifiant soit de faire son devoir, soit d’écouter son histoire, et reprit la parole :

« C’est dans cette compagnie que j’ai appris à travailler l’bois. Ils avaient un inventeur, un gars bien, même si c’était un terrien. D’ailleurs, on a pris un rafiot une fois et l’a gerbé ses tripes ! Enfin bref, la question était pas là… Vénérait Bor, d’ailleurs. Donc, votre légendaire cousin du lièvre a encore fait des siennes, et on a été piégés par un client. J’me suis r’trouvée sur une galère. J’étais forte, alors j’étais une bonne chiourme mais… ça m’plaisait pas. »

*Drôle de façon de résumer le sang et la sueur, le fouet, le tambour, le soleil, la faim, la maladie qui rongeait les reins, l’effort incessant, la fatigue, la saleté, et… les équipages plus intéressés par c’que t’as pas et qu’tu devrais avoir.* Mais elle l’avait vécu une fois, sous le harnais et son tatouage qui la marquait comme une esclave, s’était enfuie, et avait été marquée pour son insubordination.

Chaque jour elle avait prié Soulen de la délivrer des chaînes qui marquaient ses poignets, quitte à la tuer. Il y avait eu une mutinerie. Le garde-chiourme avait été le premier à tomber, mais il le méritait, puis le capitaine, le bosco… Jusqu’à ce qu’il n’y ait plus personne pour diriger ce bon à rien de nom de Bor de baille. Elle avait fui le combat. Elle haïssait trop l’équipage pour les défendre et elle ne tenait pas assez aux autres esclaves pour prendre leur parti. Elle s’était donc réfugiée dans la cale, pensant à bon escient que personne n’irait la chercher à cet endroit-là. Elle y avait retrouvé son labrys et, en vrac, les certificats de propriété des « passagers ». Elle ne savait pas lire, donc elle les avait tous fourrés dans sa tunique de fortune.

Quand les rumeurs de combat s’étaient tues, elle était allée pour sortir, mais les hiloires, en mauvais état, s’étaient fendues et avaient bloqué le panneau, la rendant prisonnière d’un bâtiment qui partait à vau-l’eau. Elle ignorait combien d’heures, de jours ou de semaines elle avait passé dans cet endroit exigu en plein Tymbé, se desséchant sur pied avec ses papiers et sa hache, se demandant s’il valait mieux mourir de faim ou noyée en perçant la coque, quand un léger choc l’avait tirée de sa torpeur. Les souvenirs plus heureux revenaient, et elle releva donc la tête vers les jeunes impatients aux yeux rendus brillants par l’alcool qui la fixaient, dans l’expectative. Avec une ébauche de sourire qui dévoila ses canines inférieures limées (un souvenir du bosco de la Plume de Mer qui n’avait pas apprécié d’être mordu à un endroit qu’on ne montrait pas aux femmes non tarifées) elle reprit le fil de son récit, la voix un tout petit peu plus assurée qu’auparavant :


« Le Capitaine, pas çui-là, celui d’avant, avait décidé de reprendre le navire d’esclave pour son compte, Soulen soit louée. Ils faisaient pas partie du… consensus. J’étais dans un sale état à l’époque, mais depuis, je suis sur la Blanche-Nef. Maintenant, vous avez eu votre repos, c’est l’heure du quart, bande de bons à rien ! »

Elle n’avait pas eu besoin d’élever la voix pour qu’ils s’égayent sur le pont vers diverses tâches. Qui allait assister le Maître-Coq pour récupérer un bout de graille en plus, qui grimpait au mât pour rejoindre la vigie, qui allait s’enquérir de l’état du Maître-Voile… Appuyée à la dunette, Cèdre contempla quelques instants cette fourmilière qui l’avait adoptée et l’avait sauvée. Le Capitaine, que Soulen, Bor et Teneis veillent sur son âme, l’avait recueillie, lui avait appris le métier et aussi à lire et à écrire. Désormais, dans une poche de sa ceinture d’outils, elle gardait précieusement son certificat de propriété, à son propre nom, mais aussi les bracelets qu’il avait pris dans la cabine du capitaine de la Plume de Mer. « Tu les as mérités » avait-il dit. C’était aussi lui qui lui avait donné ce surnom de malheur, juste avant une tempête particulièrement féroce. Il en était mort et le nom était resté, même s’il n’était jamais prononcé qu’à terre, désormais. Et Filos était à lui, et un peu à tout l'équipage, mais il dormait avec elle plutôt qu'avec qui que ce fut d'autre.

Avec un soupir, elle pensa au nouveau Capitaine, un bon, un vrai, qui faisait de la Blanche-Nef une Reine des Quais. Toute l’année en mer à essayer d’aider les Marins de Noxis en leur portant de la nourriture ou du bois en cas de coup dur. Ils avaient déjà sauvé quelques navires et démantelés encore deux fois ce nombre, mais ils appréciaient tous l’ambiance familiale à bord. On mourait les uns pour les autres, après tout… Empoignant son labrys et vérifiant que sa ceinture était bien attachée, elle descendit dans la cale vérifier la solidité de la coque.
-






QUI M'ACCOMPAGNE
Toi l'animal qui me suit

PRENOM:
Filos
RACE:
Singe
SEXE:
Masculin
POUVOIR:
Vous pouvez avoir 1 pouvoir au choix, rendez vous dans la section approprié pour savoir à quoi il a droit
DESCRIPTION:
Filos est un petit capucin d'un brun-rouge brillant. Il est sur la Blanche-Nef depuis longtemps et passe la plupart de son temps dans la mâture. Il est affectueux avec Cèdre et aime jouer des tours en déroulant des cordes ou en volant les ustensiles du Maître-Coq.





QUI ME PORTE
Toi ma vaillante monture

PRENOM:
Le nom de votre animal
SEXE:
Masculin ou féminin
DESCRIPTION:
Donner une brève description de votre monture


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:: L'Eryl ::

|| Informations ||
Fonction:
Pouvoirs, spécialités & Don:
Relations & Contacts:
Sighild
:: L'Eryl ::
Sighild
MessageSujet: Re: Cèdre Berrenal, Lapin honni   Cèdre Berrenal, Lapin honni Icon_minitimeLun 10 Juin - 13:59

Bonjour et bienvenue sur Istheria!

Que je suis contente de voir une Zélos et une marin! Tu me combles double fois!!!
Et en plus, que dire à part que je n'ai rien à dire? loool

La fiche est impeccable, je n'ai pas de remarques particulières, tout est convenable. En plus, l'histoire est sympathique. Je l'aime bien Cèdre.^^ Bref.

Fiche validée

Tu vas pouvoir dès à présent ouvrir ton compte en banque, ton journal intime et ta boîte aux lettres.
Penses à passer par la zone évènementielle pour faire une demande de rang, et aussi indiquer la patrie qui est la tienne.^^


Ravie de te savoir parmi nous et n'hésite pas si tu as la moindre question.

Bon jeu!!!
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Cèdre Berrenal, Lapin honni
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