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|  Sujet: Abbhygaël Karev  Sam 12 Juin - 19:21 | |
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PRESENTATION
Abbhygaël Karev
NOM: Karev
PRÉNOM: Abbhygaël
SURNOM: Panther Lily
SEXE: Féminin
AGE: 28 ans
PEUPLE: Yorka
CASTE:
Les Ladrinis
MÉTIER:
Mercenaire (assassin, voleuse, garde du corps, chasseuse de prime... tout du moment que ça paye bien)
ARMES PRINCIPALES:
Deux dagues mélengeant poing américain et dagues (ainsi qu'une quantité importante de dagues en tout genre, dissimulées un peu partout...)
AUTRES POSSESSIONS: Porte toujours, bien dissimulé, un lys, sa marque de fabrique, ainsi qu'une petite sacoche contenant des accessoires tels que filins métalliques, noisettes...
DON:
Métamorphose partielle/complète en panthère noire
POUVOIRS:
†Contrôle de l'électricité (manipulation de l'électricité et une forme de magnétisme) ;
†Sens développés (ouïe, vue, odorat, toucher, goût sur-développés) ;
†Télépathie (capacité à s'introduire dans un esprit afin de lire les pensées ou bien de directement discuter) (cependant, ce don ne marche que si Abbhy possède un objet de la personne à qui elle souhaite parler)
SPÉCIALITÉS:
Sens de l'orientation (incapacité à se perdre quelque soit le milieu) ; Combattant d'exception (capacité à se battre à main nue sans aucune difficulté)
PHYSIQUE:
La plupart des gens, quand il rencontrent une personne qu’ils ne connaissent pas, regardent les yeux de leur interlocuteur. Malheureusement pour eux, il existe des personnes dont les yeux sont à éviter. Abbhygaël, fait partie de ces gens là. Imaginez un visage bien dessiné, un nez parfait, une bouche délicate et des sourcils fins, arqués en une expression éternelle de dédain moqueur, le tout délicatement posé sur une peau oscillant entre mate et caramel. Et ajoutez à ce beau tableau des yeux, ni trop ronds, ni trop en amande, frangés de longs cils noirs, le tout rehaussé par la délicate couleur…jaune orangé et les pupilles fendues des iris. Imaginez un peu le choc, un visage si délicat ou brillent deux yeux jaunes, regard tout félin en somme.
De quoi oublier de regarder le corps pourtant attirant de la jeune femme. Oui, il faut le dire, si Abbhy n’est pas un canon de beauté, elle s’en approche tout de même ne serait-ce qu’un peu. Grande, élancée, féline même, elle laisse ses longs cheveux noirs flotter dans son dos comme une sombre cascade étincelante, parfois libres, parfois attachés en queue de cheval ou en tout autre coiffure existante et possible à réaliser seule.
Toujours vêtue de vêtements sombres et assez ajustés afin de mieux pouvoir bouger (et éventuellement laisser croire qu’elle n’est pas armée), nombreux hommes tomberaient sous le charme de cette Ladrini sensuelle…si son aura n’était pas aussi sombre. Il se dégage en effet de la jeune femme une impression de danger, d’obscurité et d’un petit je-ne-sais quoi qui fait tourner les talons des moins entreprenants des interessés. Et si par hasard, un hardi bellâtre venait à tenter d’établir un contact avec la jeune yorka, il se verrait ni rabroué, ni tué ni rien d’autre dans le genre. Non, il se retrouverait simplement face à un véritable mur de glace ou brillent deux feux d’or transperçant.
Car Abbhy est neutre. Elle ne sourit pas, ne pleure pas, n’est pas contrariée ni en colère. Rien. Aucune émotion n’est jamais visible, si ce n’est pour des yeux perçants ou habitués. Un sourire se révèlera alors être un haussement d’épaule ou un soulèvement de sourcil, la tristesse ne se verra que dans le mince pli au niveau du front et la colère, si elle ne se voit pas, tous peuvent cependant la ressentir, même si aucun changement d’expression n’a lieu. Il est en général facile de déduire que, si un orage éclate subitement ou qu’un éclaire tombe malgré un ciel limpide, c’est qu ’Abbhy est en colère. Mais autant être très patient. Car les émotions sont comme gelées chez la jeune fille. Du moins extérieurement. Et seul une personne très proche pourrait, avec patience, réussir à décrypter et à briser la gangue de glace qui entoure la jeune femme.
Et même si sa silhouette attirante et son aura impressionnante ne semblent pas faites pour la discrétion, il ne faut pas oublier que l’animal d’ Abbhy est la panthère noire. Ce qui explique peut-être sa capacité à passer inaperçu. La panthère n’est-elle pas discrète, souple et agile ? Il en va donc de même pour Abhy qui, même si la foule ne la dérange pas et que ses attributs félins lui permettent de se faufiler partout, préfère passer en général pas les toits, où seuls quelques chats et autres animaux peuvent déranger sa course silencieuse. De plus, il faut savoir que l’origine féline de la Ladrini lui permet d’atteindre une vitesse de pointe en course assez impressionnante, conjuguée avec une grande habileté et une souplesse qui lui permettent de faire des bonds hauts, longs et assez acrobatiques…utiles pour se sortir de situations délicates.
On trouvera également dans son dos un tatouage tribal, allant des omoplates jusqu’au bas des reins.
PERSONNALITÉ:
Un lac de glace serait plus expressif que la jeune femme. Elle porte un regard neutre sur tout, parle peu si bien que tous pensent que , de par sa nature yorka, son intelligence est moindre que celle des autres espèces. Mais si Abbhy ne parle pas, elle écoute, enregistre, classe, analyse, interprète toutes les informations qui pourraient lui être utiles et son esprit est bien plus vif que les autres pensent le croire. Et celui qui pense que la jeune femme n’est qu’un légume pourrait très bien être surpris le jour où celle-ci se venge en lui balançant deux trois remarques bien placées que l’arrogant pensait avoir put garder secrètes. Parlant donc peu mais bien, la Yorka manie, quand elle ouvre la bouche, le cynisme et l’humour noir aussi bien que ses dagues, ne se donnant pas la peine de respecter les convenances et de vouvoyer qui que ce soit…si ce n’est lorsque, en mission, elle se doit de garder profil bas.
Ajoutez à ce don pour le cynisme un goût pour le jeu sous toutes ces formes, et vous obtiendrez une psychopathe à tendance sadique qui vole un objet appartenant à ses futures victimes juste pour jouer avec leurs nerfs et rendre le jeu plus intéressant, laissant à la place de l’objet un lys panthère, d’où son surnom de Panther lily.
Mais si la jeune femme aime jouer avec les nerfs, elle n’ acceptera cependant pas tous les contrats: voleuse, garde du corps, chasseuse de primes, mercenaire et assassin, elle ne vous prêtera sa force et ses compétences uniquement sous caution d’une bourse bien pleine et d’un motif solide. Pas de banale dispute d’écolier et encore moins de petite vengeance. Il en va de même pour les assassinats, pas de meurtre sans un solide mobile, pas d’innocent, ni d’enfants.
Car si la jeune femme semble sombre, violente et agressive, elle cache en réalité un coeur pur ( enfin assez pur, sachant que son activité n’est pas non plus celle d’un ange), ayant des scrupules à tuer, mais finissant toujours son travail avec la régularité d’une horloge. Ce qu’elle dit, elle le fait.
Ce bon fond transparaît également dans ses actes du quotidien. En effet, si un jour le couteau que vous pensiez faire tomber sur votre pied s’arrête miraculeusement à quelques centimètres de vos orteils ou bien que, mendiant dans la rue, vous entendez subitement des pièces tomber devant vous, il se peut que la jeune femme y soit pour quelque chose, même si jamais elle ne l’avouera.
HISTOIRE:
Vous savez, chaque jour on vit des expériences différentes. Aucun n’ est monotone, tous sont différents. A chacun d’entre eux apporte son lot d’expériences, de bonheur, de tristesse, d’ amour et de sang.
Certains s’effacent, d’autres perdurent et des ces jours qui restent, vous apprenez, vous changez et vous devenez, petit à petit, ce que vous êtes aujourd’hui. Ces évènements vous guident comme vous provoquez ces évènements.
Je n’ai, pour le moment, pas beaucoup vécu je pense, mais il a des journées que jamais je n’oublierais. Ce sont celles qui ont fait de moi ce que je suis maintenant et qui feront que j’agirait de telle ou telle sorte demain.
Par exemple, il y a ce jour où, rentrant comme tous les soirs chez moi, épuisée et affamée, j’ai vu la porte éventrée, de la fumée sortant par les fenêtres, brûlant tout, ma maison, mes affaires, mes parents. J’avais six ans. Mes parents étaient des yorkas, mal intégrés et redoutant pas dessus tout le regard des autres. Ils étaient serviles, s’abaissant devant les autres sans rêver de changer un jours. Je les détestait pour ça. Moi j’était fière d’être ce que j’étais. J’étais, différente, unique, et j’en étais fière. J’étais toute jeune à l’époque, exubérante…maintenant tout à changé. J’ai appris depuis, qu’être différent est aussi handicapant qu’être sourd ou aveugle. J’ai appris, depuis cette nuit où tout est parti en fumée, que je devais faire profil bas, refoulant mes émotions, m’abaissant devant pour mieux frapper ou voler derrière. Voila pourquoi je me cache derrière ce masque qui est le mien. Nul ne sait qui je suis vraiment, je n’en ai aucune envie. Pourquoi m’ouvrir quand l’indifférence de façade suffit pour réussir là où tous ont échoué ? Ravaler sa fierté est-t-il si dur ?
J’aurais très bien pu terminer dans la rue, dans un lupanard ou dans une maison avec un mari alcoolique et violent et me voila pourtant dans un appartement bien placé, donnant directement sur les toits, dans un quartier tranquille. Comment ? Parce que j’ ai ravalé ma fierté, mes sentiments, ma honte, ma colère, mes larmes et que j’ai réussi, malgré mes yeux jaunes, à devenir Ladrini, j’ai réussi, j’ai profité ans scrupules de toutes les occasions et je suis arrivée la où j’en suis.
Il me semble avoir dit plus tôt que personne ne savait qui j’était vraiment. C’était une erreur. Il y a une personne qui me connaît aussi bien que je la connaît. Nous sommes en quelque sorte des opposés, un ange avec une âme de démon, un démon avec un cœur d’ange, c’est ainsi que l’on peut se décrire. Deux solitaires qui lisent en l’autre comme dans un livre ouvert. Ma seule amie qui aurait très bien pu devenir ma meilleure ennemie…Tout ça grâce à un seau de toilette.
Il m’arrive dans rire encore. J’avais neuf ans, cela faisait trois ans désormais que je dormais où je pouvais, économisant dans les maigres butins que je dérobais. Je cherchais ce jour là une proie facile, fatiguée de devoir m’enfuir tout le temps, de mentir ou encore de subir brimades et coups à cause de mon regard.
L’angle d’une rue, une fillette d’environ mon âge passe devant moi en un tourbillon de boucles blondes, suivie de près pas un homme bedonnant et apparemment pas content. Une énorme bourse à sa ceinture. Action. Réaction. Un pied qui se lève, l’homme qui bascule et ma main qui récupère la bourse convoitée.
La gamine qui s’est arrêtée me regarde, ses yeux sont d’un bleu turquoise impressionnant. Mais ils cachent quelque chose. En tout cas la voleuse, débutante malchanceuse ou encore peu douée, se révèle également peu patiente et tire la langue. Haussement de sourcil. Que veut-elle celle là ? La bourse que j’ai récupéré peu être. Elle peu toujours rêver ! Mais voila le gras-double qui se relève déjà. Contact visuel interrompu. Bruit d’une fenêtre qui s’ouvre au dessus. Saut précipité vers la gauche, juste à temps pour éviter le contenu du seau que vient de vider la ménagère par sa fenêtre…directement sur le gros bonhomme. C’en est trop, la vision est tellement…hilarante que je ne peut m’empêcher de rire, d’un rire que jamais je n’avais entendu et que jamais je n’entendrai à nouveau. Regard complice avec la gamine blonde. Tension évanouie. Promesse d’amitié scellée dans un rire.
Retour au présent, Abbhy, les yeux dans le vague, accoudée à sa fenêtre, contemple la ville qu’elle surplombe, sa ville, son territoire…son terrain de jeux, de chasse. Le film qui se déroule derrière ses yeux accélère soudain, sa vie défile, les évènements passent, s’éclipsent, se cognent les uns contre les autres quand soudain, l’un d’entre s’affirme, se colore et s’impose parmi tout le troupeau de souvenirs. Oui, celui-ci elle s’en souvient très bien…sa première mission « officielle » en tant que Ladrini, comment l’oublier ?
Elle était encore jeune, sa mission? Exécuter le plus discrètement possible un influent homme d'affaires dont les affaires justement gênaient plus qu'autre chose. Elle avait guetté des semaines durant cet homme, mémorisé ses habitudes, son emploi du temps, son personnel, ses goûts, tout, tout ce qui aurait pu lui servir. Et un soir, elle était passée à l'action. Il dormait du sommeil lourd de celui qui à bu plus que de raison. Personne ne l'entendit rentrer dans la chambre. Et personne ne l'entendit ressortir. Le lendemain matin, on découvrait qu'une ombre était passée, et que le maître de maison avait rendu son dernier soupir, mort dans son sommeil, la gorge tranchée.
Voila désormais le quotidien d'Abbhy, protection, entraînement et camouflage le jour, meutre et vol la nuit. Chaque jour amène son lot de surprises, de nouveautés, de rencontres et de sang. Aucun ne ressemble au précédent, et chacun fait ce que l'on sera demain. Ainsi pense Abbhygaël, une lueur de farouche détermination brillant soudain dans son regard. Minuit est là. L'heure du crime...
PRÉNOM:Jack
SEXE:Mâle
POUVOIR:
Porter un catalyseur (à l'oreille gauche) à développé chez cet écureuil son intelligence, qui est à peu près égale à celle d'un humain normal.
DESCRIPTION:
Cet écureuil mutin accompagne Abbhy partout depuis qu’il à décidé qu’une panthère c’était peut être méchant, mais une panthère qui vous à donné à mangé une fois n’est plus méchante du tout et est votre amie. C’est ainsi qu’à commencé la cohabitation panthère/écureuil. Les débuts furent difficiles, Abbhy cherchant désespéremment et par tous les moyens à se débarrasser du maudit écureuil, l’écureuil la suivant partout, mangeant dans son assiette, cachant des glands partout dans son appartement et dormant dans le cou d’Abbhy le reste du temps. Puis les mois passèrent et l’écureuil se fit adopter par la bête, qui décida de l’appeler Jack, se rendant compte qu’un écureuil, c’était rudement pratique pour les repérages, personne ne se méfiant d’une boule de poils comme celle là, si mignonne et si innocente. Mais Jack, tout comme sa maîtresse, est joueur. Très joueur. Ne vous étonnez pas si vous entendez quelqu’un hurler des imprécations après un écureuil si Abbhy est dans les parages.
Ecureuil vite de retour cependant sitôt que sa maîtresse adorée l’appelle. Profitant de son don de télépathie, Abbhy peut lire les « pensées » de Jack, comprendre ses émotions et ses envies ainsi que ce qu'il veut lui transmettre. De son côté, Jack, grâce à l'intelligence procurée par le catalyseur, comprend parfaitement tout ce qu'on lui dit.
Petite précision ? Jack n’est peut être qu un écureuil, mais il semble qu’il soit un drôle de petit fouineur à tendances perverses…mesdames, méfiez vous !
Abbhy ne possède aucune monture précise, elle préfère les déplacements à pieds où à pattes, se déplacer sous forme féline étant en général plus rapide, plus pratique et moins cher. Si toutefois l'obligation se profile, elle pourra toujours voler une monture, bien que sa nature de prédateur effraie plus d'un cheval et que son niveau en équitation ne frôle que l'amateurisme.
Dernière édition par Abbhygaël Karev le Mar 17 Aoû - 22:37, édité 1 fois |
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|| Informations ||
Fonction:
Pouvoirs, spécialités & Don:
Relations & Contacts:  :: L'Eryl ::
Sighild
| | Sujet: Re: Abbhygaël Karev Dim 13 Juin - 0:22 | |
| Bienvenue parmi nous Mademoiselle! ^^
Ton personnage me paraît bien sympathique et j'adore le petit écureuil!! loool
Je n'ai rien à redire sur ta fiche et j'espère que tu t'amuseras bien parmi nous!
Fiche validée!
Si tu as la moindre question, n'hésite pas! |
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