L'invité / La rencontre (PV)

Sujet: L'invité / La rencontre (PV) Mar 15 Juin - 21:04

L'invité / La rencontre

Je marchait entre les murs du palais, la lumière filtrait les fenêtre, éclairant me visage crisper par la colère, ainsi était-t-il donc venu, cet imbécile d'héritier en m'envoyer voguer a sa quête, comme si je n'avasi que cela à faire. Si j'avais réussit a le conveincre de me la laisser ensuite en guise de compasation pour mon déplacement, cet héritier se foutait royalement de l'arme, ce qu'il voulait c'était qu'une personne importante l'arbore dans Hesperia et Eradania pour le compte du roi. Je pouvais faire cette tâche sans problême et cet idée était bonne et augmenterais encor eplus la populatrité de la capitale, qu'une merveille y soit raporté, mais devais-je réellement y aller moi-même? Au dernière nouvelle oui !

Malheur s'acharnait donc sur moi depuis plus de deux semaines, deux semaines que l'éhritier me demandais comme un petit chien piteux d'aller cherche l'épée, vas s'en dire que sur le coup j'en avais eu très envie et j'avais encore cette envie en tête, néanmoins quelques petits problème dont j'avais peur de laisser au roi me trottaient encore plus dans la tête.

Je passa devant la tourelle, m'y arrêta quelques istants, regardant du haut de mon perchoir Eredania. Le palais était situer un peur sur une falaise, surélevé si je pouvais dire. Majestueux, on pouvait tout y percevoir, tout était beau et féerique; J'aimais la tourelle, prosté un peu plus a l'avant du château et joignable grace a une passerelle de pierre, les gardes y faisaient parfois une ronde et une centinelle y était toujours postée en vue d'attaque future. J'avais ordonné qu'il y en ait une, je tenais beaucoup trop a mon poste et a mon presque dit palais pour le laisser se faire scandaliser par des méchants ou encore des créatures infames.

Lors que la centinelle me vit, elle s'inclina et commença son rapport.

'' Il ne semble y avoir aucune mouvement suceptible de devoir passer sous votre oeil votre signeurerie, tout est calme. ''

J'hocha la tête et tourna la talons, je m'apprêtais a partir lorsque la centinelle me lança des dernières paroles.

'' Ha... Et... il semblerais que l'idée du roi est fluctuée, nous semblons avoir un visiteur, un garde est passé plus tôt et m'en à avertit, désirez-vous que j'ai annoncé que vous êtes occupé ? ''

'' Hors de question! Je peux marcher et m'y rendre de mes propres moyens, merci ! ''

Il s'inclina et je partit, le laissant sur un : évidament votre bonté... Je repris la passerelle et revint dans les couloirsd du châteaux.

L'épée de cerisier était selon les légende une épée créer par mon peuple, raison de plus pour qu'elle me revienne, et étsait doté d'une beauté hors norme, comme moi d'ailleur... Elle enlevait, sleon les légende, toujours, la peur et procurait courage et espoir.

Je ne manque pas de courage, mais despoirs probablement et surtout si le nouveau roi, l'héritier continuait de se comporter comme un abbatu. Cert j'avais bel et bien propagé cette tristesse chez lui avec... bon passons... mais néanmoins je ne m'attendais pas à le voir aussi vaiblard, il ralentissait mes projets de cents et m'obligeait à sortir de mes gons d eplus en plus souvent avec sa lenteur d'esprit. Aller cercher cette épée était celon lui une récompensse, alors je jouais le petit chien déborder et pleurnichard qui devais reporter l'expédition contre son grée à cause de son surpleins de travail... Travail que le roi voulait reprendre... Misaire....

Si je partais je devrais minimiser les arrêts inutiles, qui sait ce que en une heure il pouvait faire... déclancher une guère peut-être ou tout simplement ne rien faire... je préférais de loins la deuxième option, même si cela ajoutais a ma longue liste de tâche une autre listes de tâches.

Traversant le dernier couloir qui me permettais d'accéder a la chambre de mon seigneur, j'ouvrit les larges portes. Le corps étendu de mon roi se reposait... il avait une certaine beauté diabolique, bien que je le croyait incapable de commettre quelconque acte de méchanceté tant sa lâcheté me revenait a l'esprit.

Je m'inclina d'une courbette vertigineuse, jouant mon rôle de supportair au maximum et annonça la bonne nouvelle, pour lui et la mauvaise nouvelle pour moi :

'' Sir... votre splandide idée pour annoncer l'appréciation d'une aide lros de ma quête porte bon train, je vais de ce pas rencontrer un prétendant... votre idée a été d'une aide insoutenable... J'espère ne pas vous encombrer avec mon travail dont vous avez si gentillement accepter de me libérer. ''

Je sortit de la pièce après quelques paroles de courtoisies le laissant croire mon bonheur total, ce qui n'était pas faux, mais qui se partagegait entre l'inquiétude de lui laisser le total contrôle durant quelques jours, et me dirigea vers la salle du trône.

Sujet: Re: L'invité / La rencontre (PV) Mer 16 Juin - 1:29

Le métier de médecin était plein de surprise, mais surtout d'énormément de travail. Nul autre profession n'aurait pu convenir à une âme altruiste et philanthrope que celle de Calixte Telenna. Même si cette volonté d'aider et de s'engager échappait à beaucoup d'individus de son espèce, la jeune femme aimait prendre les choses à bras le corps. La passivité n'était pas son domaine, loin de là et elle ne souhaitait pas revivre l'horreur de l'impuissance face aux actes de barbaries, elle refusait de revivre des mois de souffrance à voir des visions du mal d'autrui. Quelque soit la révélation qui la poussa à prendre les voies médicales pour aider son prochain, elle s'efforçait de faire de son mieux en commerçant alors dans la grande capitale d'Hesperia. Quelle jolie nom pour une ville, au consonance d'espoir. Il n'y avait pas meilleur lieu pour pouvoir démarrer une vie pleine de fougue. Jouissant heureusement d'une intelligence certaine et de connaissance louable, notre dame garçonne avait pu tromper son monde et se faire connaître, et reconnaître, comme un homme de bon parti, ayant depuis quelques années maintenant mis en place un endroit où tout patient pourrait venir parler de ses maux. Gentleman, elle incarnait un docteur qui n'hésitait pas à se déplacer si les malades ne le pouvaient guère, elle allait même jusqu'à apporter les herbes médicinales à ses patients, grâce aux talents de préparateurs d'un sylphide qu'elle avait pris comme associé pour ses affaires. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes.... ou presque.

Il n'était pas sans oublier que Calixte demeurait une femme qui se travestissait. Elle prenait là sans doute un risque du scandale si cela se faisait savoir, nombreux seraient ses patients qui iraient voir ailleurs... Mais à vrai dire, si elle n'était pas homme, beaucoup du sexe fort ne serait pas ses clients non plus. Un véritable dilemme. Il aurait été sans doute largement plus simple pour elle de prendre le corps d'un homme mais le temps avait fait qu'elle s'était attachée à sa chair féminine... et elle demeurait femme de par son esprit. Elle n'avait fait que trouver un certain compromis. Son androgénie l'obligeait donc à porter des costumes élégants mais virils. Un beau pantalon, une chemise blanche délicate et un chapeau haute-forme. Elle ne portait aucun superflus comme du maquillage et elle attachait ses cheveux d'un simple ruban bien banal. Bien que les traits de son visage étaient fins et délicats, relativement féminin, Calixte était capable de tromper les autres car elle avait une voix assez grave pour une dame, mais aussi car elle dissimulait sa poitrine sous une gaine bien serrée qu'elle ne pouvait retirer que lorsqu'elle rentrait chez elle. C'était des instants de grande libération, vous ne vous doutez pas un seul instant la tragédie désagréable que cela représentait que de porter pareil attelage. Mais ce n'était qu'un piètre sacrifice comparait à ce qu'elle pouvait bénéficier.

Quoiqu'il en soit, notre chère médecin avait été quémandé au palais royal, chose étonnante. Elle pensait que le prince héritier possédait son docteur personnel, mais il semblerait que non. A vrai dire, elle ne saisissait pas pourquoi on l'appelait là bas si ce n'était pas pour ses compétences dans son art. Traînant alors avec elle sa petite sacoche avec son bric à brac, elle passait dans les rues en ayant un sourire agréable à qui elle croisait, surtout les belles dames - parce qu'elle devait jouer le jeu. Même si elle n'était guère attirer par la gente féminine, il était toujours plaisant de voir que ces dernières roucoulaient à ses politesse comme des jouvencelles rougissantes. Cela restait flatteur, surtout quand elle remportait plus de succès que certains hommes. Quelle ironie n'est-ce pas?

Il ne lui fallut pas tant de temps que cela pour parvenir aux portes du château, même si elle avait préféré la marche que le dos de ce bon Magnus. Un véritable impudent comme animal. Son autre ami, Tulli, était en cage, dans ses appartements. Une cage ouverte à vrai dire car il était libre et pouvait s'envoler où bon lui semblait. Mais au lieu de percevoir une prison, il y voyait un refuge où la nourriture l'attendait toujours.

Droite, sûre d'elle, Calixte se présenta avec son charisme et charme naturel auprès des gardes. Elle fut ensuite annoncée par d'autres gens, et ainsi de suite jusqu'à ce que l'on finisse par la conduire dans la salle du trône. Néanmoins, personne ne lui avait dit pourquoi elle était là, et quel serait son patient... si patient il y avait. Il était sans dire que la population connaissait l'état fébrile du prince depuis la perte de son épouse et de son enfant mort né, mais de là à croire qu'il était si malade... Suspectant finalement une autre affaire, notre sylphide ne s'en inquiéta pas pour autant. Elle avait de la ressource et de la conversation, qu'importe la situation.

Conduite donc dans la salle du trône, elle dut faire preuve de patience dans l'immense salle vide. Ni foule, ni prince. Il semblerait que ce dernier ne soit pas présent, et sa cours en avait fait de même. Cela offrait alors un silence religieux presque pesant à l'édifice dont on ne distinguait que peu le plafond tellement ce dernier était haut. Une merveilleuse bâtisse royale. Marchant sur un grand tapis rouge, Calixte put prendre le temps d'observer les splendides tapisseries qui ornaient les murs, alors que les soldats qui se tenaient devant les portes ne la quittaient pas des yeux, s'interrogeant sans doute sur sa personne. On lui avait simplement demandé d'attendre... le conseiller viendrait se présenter même en personne...

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Artiste Snod Snow

Sujet: Re: L'invité / La rencontre (PV) Mer 16 Juin - 2:03

Drole de sensation

Les gardes se poussèrent de mon chemins lorsque je passais près d'eux, mon visage était patraque et mon humeur massacrante, j'allais a la rencontre de mon inconnu surprise, un homme, je ne me souvient plus duquel l'avais convoquer a mon intention, un soit disant médecin... dommage que ce ne soit pas une femme... j'aurais peut-être pu m'amuser un peu ou du moins... cela aurait été une bonne distraction... depuis Elle, ma vie sociale se limitait bien au roi et aux gens de la haute société... parfois également au gens que le roi voulait que je condamne, rien de bien heureux.

Longeant les murs en rêvassant pour me détendre, je pensa a la pureté des prairies, l'air chaud des plaines et la chaleur ... enfin bon, passons.

J'arriva au grande porte de bois qui montaient a une quinzaine de pied, les gardes la poussèrent lentement, vue son poids, malgré mon impatience je pouvais comprendre.

La salle du trône était aménager de façon assez simple, il y avait trois trône, deux surélever d'une demi-douzaine de marche et un autre plus petit et moins importe a l'étage plat et non soulever a la droite du siège du roi, ma place. Néanmoins étant vu la situation je prenais la place de la reine, de toutes façons le roi ne venait jamais et il n'y avait plus de reine et j'avais aussi remarqué que le siège était plus confortable que le mien...

Je resta un instant en silence et remarqua finalement au fond de la pièce ou il y avait d'autre portes, un homme...
Un homme assez féminin, ou plutôt élégant, il portait un pantalon et chemisier propre ainsi que chapeau étrange... enfin bref... un beau visage saillant de belle pommettes assez troublante et un regard... que je ne saurais qualifier... une beauté étrange et presque parfaite, mais pas autant que moi évidement, mais tout de même... enfin quelqu'un qui avait de l'allure.

Je me tourna vers les gardes et ils refermèrent les portes, d'un geste de la main je congédia ceux on fond de la pièce, j'attendis quelques minutes et m'assura convenablement qu'il n'y avait personne d'autres dans la pièce, vu l'étendue de sa grandeur, même vide je pouvais presque m'y perdre.
" Approchez-vous que je vous examine d'un peu mieux... "

Je le détailla une autre fois, mais il n'y avait rien a ajouté, c'était un homme a femmes doter de je ne sais quoi, j'allais devoir lui demander.

" Que savez-vous faire? On m'a venté vos mérites, mais j'étais occuper avec le roi, j'ai été distrait... "

Je detourna les yeux, son regard me rappelait Elle, parlant, intelligeant avec un je ne sais quoi d'attirant qui m'avait fait chavirer... Elle avait été la seul avec qui j'avais eu une réelle relation autant charnelle que passionnelle, ses yeux avaient parlé au mien et depuis rien n'avait réussit à le refaire, mais bon... Cet homme devait être l'effet de la nouveauté et de l'inconnu car un homme ne m'avais jamais fait de l'effet quel quant soit ce dernier. Même le roi qualifier d'une beauté noire, dur et hors paire ne m'avait jamais affecté, il n'y avait jamais eu que moi et moi seul. Mais bon... je devais être épuiser par le travail c'est tout...

" Vous etes libre? J'ai besoins d'un accompagnateur, le roi vous payera! Mais nous n'avons plus beaucoup de temps pour la parlotte! "

Je bondit de mon siège et alla a la rencontre de l'individu.

Aussi insondable était la nature de sa venue ici, notre jeune femme s'en accommodait tant bien que mal car après tout, ce n'était autre qu'un ordre presque princier qui l'avait poussé à venir ici, dans le grand palais. Elle aurait pu aisément en être troublée, d'autant plus que sa curiosité avait été piquée, toutefois, notre rousse érudit se tenait droite et majestueusement froide pour ne pas se laisser emporter par la multitude de questions qui lui piquaient la langue. Néanmoins, la renarde qu'elle était se douter bien que l'affaire devait se porter sur quelque chose d'assez sérieux pour faire autant de mystère et la laissait dans l'incompréhension la plus totale. Cela lui rappelait nostalgiquement les quelques secrets qui entouraient les éclaris, et moins agréablement le comportement égoïste de ses confrères sylphides. Enfin, enfin... qu'importait. Maintenant elle se devait de patienter dans la grande salle du trône où elle pouvait promener les yeux où bon lui semblait. D'ailleurs, elle se surprit à trouver la décoration bien morne pour un lieu si royal, bien que les tapisseries avaient été conçus d'une façon remarquable. Il y avait également trois trônes en place, celui du roi et de la reine, ainsi qu'un autre beaucoup plus simple pour le proche du grand prince... ou peut-être un enfant? Sans nul doute que non. Quoiqu'il en soit, Calixte ne pouvait ne percevoir qu'une seule chose : on ne lui avait pas desservi le tapis rouge. Quel dommage. Mais cela n'était qu'un signe de plus parmi tant d'autres qui lui mettait la puce à l'oreille pour une affaire bien mystérieuse.

Laissant alors aller et vagabonder ses pensées, elle déambula quelques instants dans l'immense salle vide de vie, n'ayant alors que l'écho de ses pas sur les pavés de pierre pour seule musique à ses oreilles.... jusqu'à ce que le grincement de la lourde porte vienne à se faire enfin ouïr. Tournant alors sur elle-même, notre sylphide chercha naturellement à voir qui d'autre allait sortir soudainement de l'ombre. Ce fut donc avec un peu de surprise qu'elle vit la silhouette d'un individu auquel elle ne s'attendait pas. Un bel homme, c'était certain mais trop beau pour que cette silhouette lui fut offerte par la nature elle-même, trop sur-réelle pour être un terran. Cela ne pouvait alors signifier qu'une unique chose, il était sylphide. Mais toutes ces déductions ne pouvaient pas être formelles... si il était d'une autre espèce, cela rendrait le personnage encore plus passionnant.

Le fixant alors de ses yeux félins et dorés, Calixte ne pouvait nier la différence de statut qui la séparait de son compatriote. Ses vêtements de belle nature, les bijoux qui l'arborait, les épingles dans ses cheveux, une personne coquette de toute évidence. Ce fut alors que l'inconnu s'adressa à notre médecin androgyne d'une voix mielleuse, lui quémandant alors de s'approcher de ce dernier. Silencieuse, la jeune femme ne se fit pas prier, marchant d'un pas assuré et masculin, le front droit et le visage sérieux. Arrivée à hauteur de ce dernier, elle le salua alors avec une petite courbette, main sur la poitrine, baissant l'échine et légèrement le genou avant de se relever pour le regarder droit dans les yeux.

Ce fut alors qu'il lui demanda ses compétences... chose qui lui paraissait... étranges. Elle n'était donc pas là pour ses talents médicaux. Et bien soit, si il souhaitait la connaître un peu plus. De sa voix grave et rassurante, elle répondit alors avec le plus de modestie possible.

" Je me nomme Calixte Telenna. Docteur Calixte Telenna. Je possède de par ma profession une connaissance accrue dans les domaines des soins et de nombreuses plantes. La nature a fait en sorte que je porte une grande affinité avec cette dernière, et un lien particulier avec les animaux. Je peux également manipuler le métal à ma guise. "

Volontairement et parce qu'elle ne pensait pas que cela soit d'une quelconque aide, Calixte ne parla pas de ses dons de prescience. De plus, c'était une magie qui agissait de façon totalement aléatoire, et même malgré les années qui coulaient derrière elle aujourd'hui, elle ne pouvait guère les provoquer comme bon lui semblait.

Ce fut alors que le conseiller se redressa sur lui-même et lui proposa de l'accompagner pour une mission. Il semblerait que cela soit pour le prince et qu'elle serait rémunérée par ce dernier. Là voilà un peu prise de cours à vrai dire... et il serait sans nul doute très mal vu également qu'elle refuse un tel... honneur? Mais elle s'étonnait de savoir que sa réputation l'avait précédé au point d'être même entendu entre les quatre murs du palais. Heureusement pour elle, la population se portait bien et les affaires auxquelles elle vaquait n'était que de petits maux, lui laissant ainsi un grand champ libre. De plus, elle n'était pas la seule doctoresse d'Hesperia... et beaucoup de ses confrères se plairaient à lui voler ses patients d'ailleurs.

" Et bien... j'ai du temps libre mais j'avoue que l'on ne m'a pas exposé le pourquoi de ma présence. Je pensais avoir été appelé en qualité de médecin. Me serait-il possible de savoir dans quoi je m'engage avec plus de précision? Mais sachez que quelque soit la nature, il m'est naturel de faire cela pour notre prince bien-aimé. "

Saluant alors le conseiller par politesse une nouvelle fois, Calixte espérait mieux connaître l'histoire dans laquelle elle s'embarquait. Là, ce n'était plus de la curiosité, mais simplement du bon sens. Allez savoir pourquoi un mauvais pressentiment l'animait alors... mais qui vivra verra.

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Artiste Snod Snow

De la reconnaissance

L'homme devant moi s'exprimait avec une courtoisie et une politesse hors normes, et si j'étais le plus malin menteur de toute la cite, cette personne semblait cacher pas mal de choses egalement et lèvidance me sauta a lèsprit... elle devait etre un Sylphide, nul autre creature que nous arrivions a atteindre se sommet de beaute imiter des mortels mais jamais egalee, jele toisa d'un regard d'abord fermer pour ensuite s'épanouir et devenir un brin plus humain. Nul doute sur le fait qu'elle savait que j'étais un Sylphide et nul doute non plus sur ce qu'elle était réellement.

'' Ainsi donc vous êtes médecin ? Pourtant je ne vous ais jamais vu dans nos murs... Êtes-vous arrivé récament a Eradania ? ''

Je la laissa me répondre, tournant les talons pour aller me prostrer devant l'une des vitres de la salle, grande elle laissait la vue sur tout Hesperia. Sont regard félin me regardait encore, je pouvais le sentir dans mon dos, cet ondes qui me parcourait le corps... Je devrais mener une petite enquête de reconnaissance sur cette personne, passez du temps avec elle, la regarder... son regard presque trop humain pour un Sylphide me rappellait vaguement celui de Elle... ces cheveux roux rattacher par un simple ruban, lui, me rappellait le sang qui avait couler de son corps a Elle, le dernier souvenir que j'ai d'Elle... Mais la recemblance s'arrêtait là, il était un homme après tout. Mais sa façon courtoise de parler, comme celle que Elle elle avait adopté jadis, quelques fois...

Si je ne comprenais pas le roi de ne pas se relever de la perte de ses deux femmes, je pouvais encore ressentir l'odeur de sa chaire à Elle, de son sang, ainsi donc le roi devait se souvenir de l'amour qu'il avait éprouvé envers ses dames. Mais je ne m'êtais jamais laisser abbatre pour autant, alors que lui continuait de pleurer les tombes royales entérées dans le cimetière royal. Cela me deonnait envie de vomir tout cette humanité réunit dans ce château de malheur. Finalement que ne donnerais-je donc pas pour sortir d'ici quelques temps?

'' Le roi souffre beaucoup ces derniers temps et je ne crains qu'il essaye de donner encore plus de fougue a Eridania pour compler son coeur saignant a large plaies. Il m'envoit donc chercher une épée lointaine qui appporterais prestige a la cité... C'est un homme si bon... il compte même me déservir de travail le temps que j'y accourt, n'est-ce pas généreux de sa part ? ''

MENSONGE ! Il souffre car il ne fait rien et ne fait rien pour Eridania non plus, je me tape tout le boulot, mais vaut mieux que cela en soit ainsi avec ce poltron... Il est tellement abbatu qu'il a du mal a tenir sa fourchette entre ses doigts ! La honte pour Eridania, par chance mon magnifique être est ici, ici avec tout ses malheureux souvenir... n'est-ce pas Elle ? Nous nous étions bien amuser ensemble non ? Tu en savais beaucoup sur moi et mes projets... Elle... Mais tu n'es plus de ce monde, auquel cas je ne peut t'en tenir rigueur, tu est morte par ma faute...

'' Ainsi donc je vous demanderais de bien voulois m'accompagner ! Vous savez comment sont le corps des Sylphide n'est-ce pas ? Puisque vous en êtes un... je comprend donc que vous comprenez que je ne puis m'avanturer dans l'expédition seul... N'ais-je pas raison ? ''

Les Sylphides peuvent bien se reconnaître entre eux, et tout humains qui a un tant soit peu lu les livres concernant l'histoire d'Istheria le pouvait également, ce n'était pas difficile à constater. Si une personne a une beauté hors norme et non semblable a celle des autres avec un petit je ne sais quoi de tout simplement sublime et magnifique, c'étais un Sylphide.

Mais il y avait quelques exception parfois... un humain trop beau et contre nature... Elle elle l'avait été, trop belle ou tu moins avec une certaine beauté... elle m'avait attirée un point et c'était tout. Lorsque j'avasi commencer avec ce corps, je n'était pas familié avec les sensations nouvelles et les réactions physique d'un homme et donc je n'avais pu résister a ses avance... Mais c'était humain disait-on... Trop humain pour moi et assez pour que je m'amourache de son corps et que j'en éprouve d ela peine lors de sa mort... Un corps sans âme n'est qu'une enveloppe vide et une envelope vide devient froide et cela n'a plus rien d'Attirant... Leur corps se décompose et il ne servent plus a rien...

Je me tourna vers le Sylphide, la regardant d'un sourire qui disait : Je sais que tu sais ce que je sais que tu sais... Et attendit sa réponsse, me rapprochant de lui.

Sujet: Re: L'invité / La rencontre (PV) Lun 5 Juil - 17:31

Calixte avait autrefois était une femme particulièrement élégante, connaissant les bonnes manières humaines, et qui se plaisait de temps à autre à faire preuve de féminité. Qui l'aurait cru aujourd'hui capable de se travestir pour simplement assouvir ses envies si humaines de philanthropie. Être un homme facilitait les choses pensait-elle, être un bel homme encore mieux. Pourtant elle avait toujours rejeté l'idée de vouloir en adopté un dans toute sa conformité car bien évidemment, pour un sylphide qui originellement ne possédait aucune enveloppe charnelle définie, cela était assez facile d'un point de vue théorique. Toutefois, son esprit était désespérément féminin, tout comme sa grâce naturelle, alors elle se plaisait seulement à tromper son monde par le jeu de la comédie, comédie qu'elle améliorait toujours avec le temps et les relations qu'elle se créait jour après jour. Personne ne se douta jusque là qu'elle n'était pas ce qu'elle prétendait être, sauf quelque rares sylphides qui l'eurent connu quand elle était à Cimmerium, la cité céleste. Néanmoins, leur condescendance et désintéressement du monde terran était tel que ce qui arrivait à leurs congénères n'étaient guère une information digne de leur attention. Leur prétention rendait Calixte presque malade. Toutefois, elle avait peut-être, sans nul doute même, malheureusement hérité une part de ce mauvais côté. Ne fallait-il pas être orgueilleux pour être aussi sûr de soi?

Le visage serein et munis d'un sourire agréable, qui bien souvent, attirait la sympathie sur sa personne, la jeune femme s'adressa sans difficulté ni gêne au conseiller du prince. Elle semblait parfaitement à l'aise et franche, et sa voix était d'autant plus pleine d'assurance. Beaucoup aurait pu se sentir particulièrement intimidé avec une personne d'aussi haut rang qu'un proche de sang princier, ou tout simplement de la présence d'un individu qui dégageait une impression imposante, charismatique mais aussi d'une grande beauté pour un homme. Shola Oldarik était connu pour être un précieux conseiller, d'une expérience dans le domaine non négligeable puisqu'il le fut auprès du père de Timothée. Mais il y avait également un profond mystère qui entourait le personnage, assez pour attirer l'attention et laisser les rumeurs planer. Calixte se souvenait avec tristesse les jeunes femmes d'Hesperia plaindre le sort du prince bien aimé du pays, pleurant son sort, mais d'autre flattait Oldarik Shola pour son courage à rester auprès de ce dernier malgré les évènements tragiques mais aussi pour sa beauté. Il avait visiblement beaucoup de succès auprès de la gente féminine.

" Ho! Je suis en ville depuis près d'un an maintenant... il m'a fallu quelque peu de temps pour trouver un endroit parfait pour monter mon cabinet médical. Maintenant, je commence à avoir une clientèle fidèle mais je me dois encore de me faire un nom ici. Il ne faudra donc pas hésiter à me voir quelque soit les maux dont vous souffrirez si un jour cela vous arrivez... bien que je ne me doute pas du talent des médecins du palais. "

Si Calixte venait à devenir un médecin du palais, ou tout du moins que l'on ait recourt à certaines de ces consultations, il était évident que cela attirerait du monde. Elle serait sans doute beaucoup plus solliciter, il n'y avait pas meilleure publicité. Néanmoins, ce n'était pas comme si elle faisait ce métier pour l'argent, raison pour laquelle son bonheur était grand même si elle n'était pas encore la plus réputée. Une vie était une vie, tant qu'elle soignait ou sauvait des existences, alors son bonheur était à son comble.

Le conseiller lui tourna alors négligemment le dos, préférant jeter un œil par la fenêtre pour se perdre dans le paysage de la ville. Notre médecin elle, ne quitta nullement du regard la silhouette du protagoniste, cherchant à comprendre ce qui pouvait bien de dissimuler sous cette apparente tranquillité. Calixte était particulièrement intriguée par le personnage, mais elle ne l'avouerait pas, elle préfèrerait le découvrir par elle-même au cours de leur aventure.

" Le prince est un homme fort courageux. Il lui faudrait sans doute du temps pour réussir à surmonter les tragédies qui lui sont arrivées. Vous devez lui être d'un grand soutien, et son estime pour vous, il souhaite sans nul doute vous en récompensez. Et savoir que malgré la douleur, le prince pense tout de même à son peuple montre qu'il est une homme digne de confiance. "

Calixte ne faisait que preuve de politesse car elle en connaissait rien du Prince, si ce n'était ce qui était raconté à Hesperia. On racontait énormément de chose sur la vie menée au palais, des bonnes comme mauvaises d'ailleurs. Mais il fallait dire que malgré le fait qu'elle soit curieuse, elle n'avait jamais cherché jusque là à connaître la vérité en ce qui concernait l'univers royale, une tare qu'elle espérait plus tard combler. Mais alors qu'elle réfléchissait quelque peu aux détails, elle fut surprise de voir que sa nature avait été si facilement démasquée, bien que là, il n'y avait rien d'impressionnant à cela quand on savait son opposant lui-même de ce même peuple.

Son visage mima alors quelques secondes l'étonnement, un faible sourcillement, avant que finalement, la jeune femme androgyne ne mette à simplement sourire. Le conseiller attisait d'autant plus son attention maintenant que lorsqu'elle le vit la première fois. N'y avait-il pas plus belle occasion pour elle que de l'accompagner dans une quête à la poursuite d'une épée pour pouvoir mieux le cerner? Cela serait également une façon de pouvoir exercer son métier en cas de problème, mais également d'avoir une relation haut placée. Si elle parvenait à s'entendre avec ce dernier, alors cela deviendrait une aubaine. Il n'y aurait qu'un seul hic : faire en sorte qu'il ne devine pas sa féminité. Elle devrait se montrer particulièrement discrète bien que en soit, il n'y avait rien de problématique.... mais il faudrait que ce dernier soit totalement dénué de mauvaises intentions. Si son secret était deviné, alors sa réputation serait totalement en cause, elle ne pourrait plus travailler à Hesperia, voire peut-être même exercer dans tout Eridania. L'autre possibilité pouvait être un sournois chantage, voilà bien une chose qu'elle espérait éviter. Enfin, le risque valait sans nul doute la chandelle. La vie serait bien triste si on ne se montrait guère aventureux.

" Me voilà ainsi démasquer. Cela serait un honneur pour moi de vous accompagnez messire. Je ferais en sorte qu'il ne vous arrive rien et si tel était le cas, j'accomplirais mon devoir de médecin. Il sera d'autant plus intéressant de tenir compagnie à un congénère. Quand dois-je me tenir prêt? "

Lorsque Calixte mentionna le mot honneur, elle se courba comme le ferait un gentleman devant le conseiller, avant de se redresser avec une grande esquisse sur sa figure. Ses yeux dorés pétillaient de malice, montrant particulièrement la hâte qui l'envahissait pour l'aventure, d'autant plus qu'elle se retenait de demander le lieu de leur expédition, ne souhaitant se montrer trop familière entre ses quatre murs....

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Artiste Snod Snow

Décidément ce voyage commencait à devenir interessant et ce au plus haut point. Ça faisait si longtemps que je n'avais pas conversé avec un autre immortel que intérieurement je pouvais presque en trépigner d'excitation. Mystère de la vie soit-il, les immortel tel que moi ne semblait pas très locasse non plus et j'étais tout de même une exception à la règle également tout comme cette personne... cet homme d'apparence puisque nous vivions parmis les mortels, ce que notre race ne faisait pas en règle général. Comme quoi la surprise est de mise.

- Nous partirons ce soir, apporter le nécessaire et une arme si vous en possédez une, car je doute que notre voyage ne soit que des plus paisible malgré mon voeux de tranquilité. Mais qui sait...

Je retourna à mon trône pour m'y assoir et regarder le médecin dont le visage me rappelait certains traits familiers d'autre fois.

-Désirez-vous une escorte pour vous conduire à votre logis ou bien désirez-vous simplement y aller seul?

J'attendis sa réponsse et me tourna vers les gardes pour qu'ils m'ouvrent les grandes portes de la salle, saluant d'une bref signe de la main mon invité. Je m'adossa contre le mur d'un des couloir du pallais après une courte marche et porta ma main gauche à mon front tandis que l'autre s'accoudait au mur. Une vive douleur me traversa la tête, cette personne, cet étranger avait quelque chose qui me remémorait des souvenirs bien douloureux... Elle, ma première flamme... pourquoi éprouvais-je tant de remords pour une simple humaine, mortelle et qui n'avait que pour seul charme son sourire de figure maternel et son corps enivrant? J'avais programmé la mort de plusieurs personnes jusuq'à aujourd'hui et pourtant Elle était la seul à me faire souffrir. Un mal intérieur et profond...

Je me rendis dans mes appartements où des servantes s'afféraient à faire mon lit, nettoyez et époussetez la pièce. Je les congédiaires sans ménage et plongea dans mes draps de soies... Je ne voulais pas dormir mais mon corps réclamait le repos. Ce satané corps! Comme je désirais ardement être humain et ne pas l'être en même temps... c'était si contradictoire dans ma tête... En un sens la vie elle même prenait un sens pour un mortel, mais un Sylphide ne souffrait pas de la tiranie du fait de : savoir rester en vie. Il mourrait si il le désirait... donc... il n'y avait aucun défit à surmonter. Les mortels ne s'appercevaient pas qu'à chaque jour leur vie se voyait menacée, moi rien ne me menacait hormis le désir d'un jour peut-être vouloir éprouver le regret d'avoir obtenu ce corps ou encore d'avoir échoué en tant que possible humain. Ce jour arrivé, cependant, je savais comment mourir et comment rejoindre ma douce dans l'Au-delà, néanmoins moi ausis je craignais de vouloir mourir, avouer que j'avasi échoué dans mes buts... Pffff Quel dileme...

Après quelques minutes je me releva en pris avec une violente envie de vomir, action d'un corps proprement dit humain et mortel, mais je ravala en une grimmace mon envie et sortit en toute hâte. Je devais annoncer la bonne / mauvaise nouvelle au prince héritier...

Sujet: Re: L'invité / La rencontre (PV)

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