Ashabell'Anar Sirael

Sujet: Ashabell'Anar Sirael Dim 26 Jan - 1:14

QUELLE PERSONNE ES-TU ?
Toi qui voyage sur ces terres oubliées

Sirael Ashabell’anar
"Quand on n’aime pas se salir les mains, on utilise des gants. Je suis un gant. "

SURNOM: Ash, Sasha, Bella, Anna
AGE: Elle est âgée de 28 ans
SEXE: Féminin

PEUPLE: Yorka CASTE: Ladrini
METIER: Marchande, contrebandière, entremetteuse dans le milieu criminel, voleuse, assassin, et propriétaire de la taverne du couteau sanglant

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ARMES PRINCIPALES:
Dagues & lames de jet. Rien d'exceptionnel, aucune arme qui ne saurait être remplacer facilement. Les dagues sont situées de chaque côté de sa ceinture. Elle porte sur elle presque en permanence une dizaine de lames de jet, deux collées sur chacun de ses avants-bras, quatre sur l'intérieur gauche de son manteau, deux autres sur l'intérieur du manteau aussi mais situées au niveau de la nuque et elle en possède deux dernières, chacune dans une de ses bottes.

AUTRES POSESIONS:
Elle possède bien sûr des dias, dans une bourse dans une botte, mais aussi dans d'autres endroits comme sois sa ceinture, dans son manteau. Mais surtout quelques pertes précieuses, plus facilement transportables que les pièces sonnantes et trébuchantes, cachées dans des endroits moins évident, comme par exemple sois ses cheveux, ou incrusté à l'intérieur de certains de ses vêtements. Car si elle n'a pas beaucoup de possessions, elle a les moyens d'acheter ce qu'elle désire tant que cela n'a pas une valeur astronomique. Sur elle donc, environ une centaine de dias, deux diamants, un rubis et trois saphirs. Le reste de son argent est soit investit dans certains établissements, soit dissimulé dans des caches ( il lui est déjà arrivée d'en retrouver vide, les gens prenant sans doute ça pour un trésor d'aventurier) un peu partout où ses intérêts peuvent la mener.

DON:
Prendre sa forme animale, celle d’un serpent.
POUVOIRS:

Invisibilité
Je me rend rarement invisible. Comprenez moi bien, c'est très pratique, mais c'est quelque chose que je préfère qui reste discret. D'autres gens sont invisibles de part le monde bien sûr, mais si jamais je dois me sortir d'une situation extrême, je préfère que les gens ne sache pas tout ce dont je suis capable. Les effets que cela a sur moi? Je deviens invisible, tout simplement. Cela est épuisant, désagréable. Mais très pratique.

Sens développés (ouïe, vue & odorat)
Moins spectaculaire que l'invisibilité, c'est sûr et certain, moins épuisant aussi. Très pratique quand je perd la trace momentanément d'une cible par exemple, même si je ne fais plus aussi souvent qu'il y a quatre ans autant d'assassinats. Cela permet parfois de remonter des pistes que bien des gens penseraient refroidies.

Empathie
Niveau épuisement, c'est encore un cran en dessous, je peux en général tenir plusieurs conversations en étant empathe avant de devoir me reposer un peu. C'est le pouvoir que j'utilise le plus, et certains trouveront ça étrange pour une voleuse, tueuse, comme moi. Mais il est important de savoir les sentiments qu'ont les gens à vôtre égard, cela aide beaucoup sur la manière de les influencer. Ou pour savoir quand ils bluffent par exemple aussi.

SPECIALITES:

Excellence dans l’usage des dagues
Je sais manier ces lames oui, bien mieux que la plupart des péquenots. Est-ce que je saurais apprendre a quelqu'un cela? Non, je suis très mauvaise enseignante. Je sais qu'il y a des gens meilleurs que moi dans ce monde, mais cela est le cas pour beaucoup de choses. Mais c'est simplement qu'il y a beaucoup de gens qui en savent moins que de gens qui en savent plus. Je suis bonne, très bonne avec les dagues, et si vous voulez je peux toujours faire une démonstration...

Discrétion
Cela vous étonnes? Non, hein? Quand quelqu'un comme moi n'est pas discret, ce quelqu'un meurt. Et moi je veux vivre, donc même si mon nom est connu dans certains endroits, quand on parle de meurtre, de vols et de tout cela, on ne pense pas directement a moi. On pense a moins cher. Sinon j'ai aussi ce talent qui consiste a me fondre dans la foule bien sûr, ou bien parfois a simplement ne pas me faire remarquer même quand je me tiens seule debout sans personne autours de moi. Les gens ne m'accordent pas toute l'attention qu'ils devraient, c'est quelque chose d'inné pour certains, chez moi c'est un travail assidu qui me permet d'accomplir cela. Vous ne m'entendrez pas forcément m'approcher, mais je serai là malgré tout. Pour quoi? Vous le saurez bien assez tôt.

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Image:

Art par Fetsch

Décris-moi comment je te vois...

N’aie crainte de me regarder, car ce que tu peux voir n’est qu’une parcelle de ce que je suis. Femme-serpent, c’est ce que je suis, mais la plupart des gens pensent qu’il ne faut pas se fier aux apparences. L’habit ne fait pas le moine, mais un moine porte l’habit. Tu peux admirer aussi bien ma chevelure blonde ou mes écailles possédant l’éclat sombre des améthystes quand mon sang se fait froid… J’exagère… mon physique n’est en rien celui d’une déesse, mais n’est ni celui de la femme du cuisinier et ce que je suis me suffit amplement. Il me suffit de mettre un sourire sur mon visage, malgré une mâchoire plutôt carrée, de quelques mots pour attirer le regard des hommes et parfois des femmes, et les inciter à me fixer dans mes yeux bleus céruléens. Pour ce qui est de ma garde-robe, rien de très extravagant, et tout ce que je porte est pratique. En général en tout cas. Une veste légère, par-dessus une robe ouverte maintenue par une ceinture, un pantalon dessous, et voilà. Des jambes longues et fermes, tout comme mes mains d’ailleurs. Pour ce qui est des bijoux, j’en porte très peu, ils ont tendance à attirer le regard, en conséquence de quoi je n’arbore qu’un simple collier orné d’un cristal taillé. Et quand je me fais serpente, mes écailles sombres ont de beaux reflets violets. Que dire de plus ? Vous ne me verrez jamais sortir trop du lot, et si jamais vous me voyez, c’est que nous pouvons faire affaire.

Décris-moi comment tu penses...

Mais, comme indiqué plus haut, si certains pensent que l’apparence est sans rapport avec la personnalité, en mon cas ils se trompent. Mes yeux reflètent la froideur que mon âme réserve à la vie, plus précisément à celle des autres, la mienne étant bien sûr très importante. Vous pouvez bien sûr en mes yeux trouver un éclat qui est habituellement absent, mais cela ne sera principalement que si je me trouve devant une bonne affaire. Simplifions les choses. Ce qui compte, dans l’ordre : ma vie, ma caste, mon argent. Je ne dis pas que je ne risquerai jamais ma vie pour gagner de l’argent ou pour aider a étendre l’influence de la caste, un risque calculé est toujours acceptable. Mais aller au casse-pipe, très peu pour moi, quelle que soit la noblesse ou la grandeur de la cause. Tout cela ne signifie pas que je ne prends du plaisir nulle part, juste que mes plaisirs ne seront pas forcément les autres. J’aime la sensation du travail bien fait, la sensation d’être vivante quand d’autres voudraient que je ne le sois plus. J’ai bien d’autres plaisirs simple, comme aller sur les marchés sans pour autant acheter quelque chose forcément, mais juste pour voir et sentir les nouveaux fromages, épices, viandes, légumes. Bref, j’ai des goûts simples, parfois même rustiques. Cela ne veut pas dire que, avec mon penchant à trouver comment me faire plus d’argent, je ne cherche qu’à en accumuler le plus possible. Pour ce qui est de mon métier, je fais beaucoup de choses. Mais pour que ce soit un larcin ou un meurtre, je ne choisis jamais mes cibles, même s’il m’arrive d’en refuser à cause du danger. Je fournis de tout, du produit juste difficile a trouver, à de la contrebande complètement dégueulasse, comme cette histoire avec ce nécrophile… J’aide aussi certaines personnes à rejoindre certains endroits ou à en quitter d’autres en tant que guide ou que passeuse. Je fais aussi de la mise en contact, quand il arrive que je ne puisse accomplir ce que voudrait un client. Me salir les mains ne me gêne en rien, les gens me payent en général très bien pour ce que je fais, même si quand quelqu’un veut jouer au malin et me dénonce quand il a eu ce qu’il voulait. Tout le monde fini par me payer.

Raconte-moi ce qu'a été ta vie...

Une autobiographie ? Bah ! Je peux vous mettre quelques trucs croustillants, mais auriez-vous des preuves que je parle de faits avérés ? Aucune importance il semblerait… Je suis donc comme vous le savez déjà, Ashabell’anar Sirael, Yorka, née à Elusia comme un bon Yorka se doit de l’être. Ma famille était une famille de pêcheurs, certaines mauvaises langues diraient aussi de pécheurs, mais ils n’auraient raison que pour moi. J’ai très petite appris à aider mes parents dans leurs tâches ménagères, que ce soit le ménage, d’évider les poissons, de nettoyer le bateau, ou tout ce a quoi la vie de pêcheur vous fait penser, sans que je ne prenne la mer, du moins jusqu'à un certain âge bien sûr. J’étais à l’époque amoureuse comme toutes les filles de notre groupe, amoureuse d’un garçon. L’avantage de la proximité c’était que l’on se voyait souvent, et c’est sans rougir ou presque que je nous pensais amis à ce moment. La jalousie était donc chose commune, et avec le temps la rancune se fit plus aiguisée, et quelques rumeurs vinrent à courir sur moi. Et sur ce que faisais pour rester proche de lui. Mon âge encore jeune a cette époque, et le fait aussi je suppose que mes parents devaient avoir d’autres « plans » en tête pour moi, firent que, un beau jour, mon père m’emmena sans raison voir le médecin. Vous comprenez, j’étais alors en retard sur mes règles, et la rumeur n’avait pas particulièrement aidée. Donc, papa m’emmena voir un médecin, qui bien sûr le rassura sur ma virginité, mais l’idée était désormais vraiment présente dans sa tête, et les propos que j’ai pu tenir, toute en colère que j’étais, sur le fameux garçon et moi, n’ont fait qu’aggraver la situation. J’appris plus tard que la rumeur n’était pas partit des filles jalouses, mais du garçon qui se vantait faussement de ce qu’il avait pu me faire. Mais je voyais donc à l’époque mes parents comme des tyrans, mon ami comme un salopard, et les autres filles… Les autres filles n’ont plus eu beaucoup d’importance à mes yeux pendant un moment.

Mais le temps passe, les mois défilent, et les mensonges du jeune homme finirent par s’éventer, toutes ses fameuses conquêtes qu’il n’avait jamais touché firent qu’il obtint une réputation de menteur, obsédé, pervers, et quelques autres adjectifs qui n’étaient pas très flatteurs. Et donc, bien sûr, il décida de se venger sur moi, et de faire que certains de ses mensonges, s’ils n’étaient pas véridiques, le deviennent. Je passe les détails, ce ne fut pas très agréable. Il rétablit donc en partie, très légèrement, sa réputation, et me fit donc passer pour la pire des putains. Et comme souvent dans ce genre de cas, la justice ne fait que peu de choses. La honte pour mon père, qui se réfugia dans la colère sans la force, c'est-à-dire qu’in devint ivrogne. Ma mère ne fit pas beaucoup mieux. Et moi je regardais les gens autours de moi se moquer. Rien de ce que j’ai pu dire ou faire a l’époque ne changea leur vision du problème. Et cela est, il faut le dire, légèrement frustrant. Je devais avoir dans les quatorze ans a l’époque je crois, on ne faisait pas vraiment attention a l’année sur le calendrier, mais juste aux saisons et aux vents. Un jour, donc, quand les hommes rentrèrent de la pêche et se prirent une cuite, le jeune homme était avec eux. Complètement imbibé par l’alcool il rentra chez lui tard dans la nuit. Ou du moins il essaya, vu que je l’ai tué sur son chemin, comme on évide les poissons. Ce fut pour le moins douloureux, et cela me fit plaisir. J’ai toujours un certain sourire en pensant à la scène. Bref, j’avais préparé mes affaires, et son corps encore chaud je quittais ma famille et les connards qui me servaient de voisins.

Je partis donc pour la fameuse ville, Hesperia, mais je ne suis pas arrivée à destination. Une jeune fille de quatorze ans seule sur les routes, ça attire l’attention. Je n’avais à l’époque pas la prévenance dont je ferai preuve par la suite. Je fus donc trouvée par des bandits de grands chemins, et je dois dire avoir été terrorisé à l’idée de revivre les événements qui m’avaient mené sur la route. Mais nullement. Ils furent très galants, et voyant que je n’avais rien de valeur m’invitèrent à partager leur repas. J’avais bien sûr toujours peur malgré leurs manières, mais je n’avais pas vraiment les moyens de refuser en fuyant. Voyant ce qu’ils mangeaient, je leur ai proposé alors qu’on fasse une partie du chemin ensemble, et que je leur ferai de meilleurs repas que la bouille qu’ils avaient préparé. Je dois dire que les temps que j’ai passé avec eux fut très agréable. Ils ne volaient que quand ils ne pouvaient pas faire autrement, ne tuaient que poussé a le faire, et même si cela arriva quelque fois, je ne fus pas choquée. On fait ce que l’on doit pour survivre après tout. Au final je suis restée plusieurs années dans ce groupe très aimable, et j’ai auprès de l’un d’eux pu effacer de mauvais souvenirs par certains plus agréables. Au fil du temps, il arriva qu’ils tombent sur quelques objets de valeur, et entraient dans ce cas avec un Ladrini à qui ils revendaient leurs trouvailles. Mon groupe étant visiblement un groupe a qui ce ladrini pouvait faire confiance, quand au bout de ces quelques années je lui demandais d’entrer dans sa caste, il me prit sous son aile, et m’expliqua en quoi cela consistait. J’ai accepté.

C’est de la sorte que je suis devenue une Ladrini. Il me prépara puis m’emmena les yeux bandé devant le chef, et puis voilà. Rien de très glorieux. Mais « la gloire n’apporte que des problèmes dans notre métier, il faut lui préférer la discrétion en toute circonstance. » comme mon mentor me le dit. Il avait beaucoup de petites phrases comme ça, même si lui-même ne les suivait pas tout le temps. C’était un homme cultivé, un ancien Eclaris je pense, mais il ne l’avoua jamais lui-même. Je participais donc a de nombreux larcins, et j’étais douée. Mais bien vite mon attention fut attirée par quelque chose chez cet homme. Non, pas lui-même, il était vieux et moche. Très gentil avec moi, mais pas plus. Bref, chez cet homme se trouvaient beaucoup de livres, sur beaucoup de sujets, et je lui demandais donc de m’apprendre à lire, ce qu’il fit. Après tout, lire est aussi utile chez un voleur que chez un scribe, si par exemple on veut envoyer une lettre de menace, lire le livre des comptes… Et pendant cet apprentissage, qui se fit principalement au travers de livres d’Histoire, mais aussi de livres d’histoires, je me découvris une envie, un rêve. Partir par delà les contours de la carte, aller au-delà des terres connues du monde. Un beau rêve dit-il, mais un rêve que personne ne financerais à ma place. Et cela me motiva donc encore plus dans mon travail, et j’accumulais donc les tâches les plus rentables. L’idée était de faire construire mon propre navire et de réunir mon propre équipage, un bon équipage, et d’accomplir ce rêve. La sécurité avant tout, je ne faisais que très peu de meurtres, et quand c’était le cas c’était le plus souvent à distance, par des dagues que je maitrisais parfaitement lancées sur les ennemis inconscient de ce qui arrivait, ou par le poison que je me faisais préparer par des collègues. Je décidais avec le temps de me spécialiser dans l’aspect clientèle, et toutes les actions que je menais dans le cadre de la caste étaient des actes commandés par des clients prêts à mettre le prix. Je fais payer tout le monde, d’une manière ou d’une autre, mais parfois il est plus intéressant au long terme de demander des faveurs, et j’ai donc établis un petit réseau de fournisseurs en tout genre. Armes, poisons, médicaments, nourritures, dans pas mal d’endroits. Une partie de mon argent rénovait régulièrement mon équipement qui sans être de luxe était juste ce dont j’avais besoin, et une autre fut investie dans un établissement. Plusieurs établissements en fait, mais un seul dont je peux me dire vraiment en être la propriétaire, sans pourtant y mettre souvent les pieds. Au couteau sanglant, dans la cité de Mavro Limani. Il y a eu bien sûr quelques soucis quand a eu lieu le changement de propriétaire, mais cela fut régler définitivement par quelques maisons brûlées. Et je pense que la soudaine disparition du « prétendant » a été très pratique.

Cela parait sûrement dégueulasse pour certains. Faites vous à cette idée, ceux qui prennent des risques et en sortent vainqueur possèdent ce qu’ils veulent, et l’ancien propriétaire, bien qu’il a été arnaqué, a mérité tout ce qui lui est arrivé. Je ne suis pas tavernière, pensez-vous bien. Mais disons que le couteau est un bon refuge quand il s’agit de se faire oublier, et aussi un bon endroit pour mes clients potentiels. Plus récemment donc, j’ai été en contact avec de plus en plus de gens bien placés, où qu’ils soient. Mais les derniers événements font que je préfère éviter de venir en Eridania. Je ne me ferais surement pas prendre en arrivant en ville, et j’ai toujours fais en sorte de rester hors des tribunaux, aussi bien physiquement qu’en tant que personne morale. Aucune cour de justice n’a encore prononcé mon nom.

Le temps est de mon côté, jusqu'à présent en tout cas. Quelques barons qui ont appréciés mes services, et qui m’invitent parfois à leurs festivités. Je n’ai jamais accepté d’y participer, mais je garde les invitations, et en tire un certain orgueil que de savoir que moi, la fille de pêcheur, je suis régulièrement invité dans de tels événements mondains. J’ai récupérer au fil du temps quelques stockes très pratiques et très variés.

Mon rêve ? Oh, le navire est prêt bien sûr, mais un équipage sûr et loyal, je préfère prendre mon temps pour le trouver. Et je ne compte pas laisser non plus mon affaire sans personne pour la diriger quand je ne serais pas là.

Les Ladrinis ? Oui, j’en suis une, et croyez-moi, une bonne partie de l’argent qui passe par mes mains passe dans la bourse de nos chefs, mais c’est avec plaisir que je paye cet impôt.

Voulez-vous accomplir quelque chose sans oser vous salir les mains ? Peut-être avez-vous les moyens d’acheter mes services…

QUI M'ACCOMPAGNE
Toi l'animal qui me suit

PRENOM:
Inexistant
RACE:
Inexistant
SEXE:
Inexistant
POUVOIR:
Inexistant
DESCRIPTION:
Inexistant

QUI ME PORTE
Toi ma vaillante monture

PRENOM:
Inexistant
SEXE:
Inexistant
DESCRIPTION:
Inexistant

Sujet: Re: Ashabell'Anar Sirael Dim 26 Jan - 10:45

Bonjour et bienvenue sur Istheria!

Je vois que tu as bien commencé ta fiche, si tu as des questions, préviens-moi.

Préviens moi également dès que tu as fini.

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See what I´ve become

† Image - Inconnu & Image - hgjart †

Sujet: Re: Ashabell'Anar Sirael Mer 29 Jan - 22:42

En attente de validation.

Sujet: Re: Ashabell'Anar Sirael Jeu 30 Jan - 20:35

Bonsoir!

Nous revoilà sur ta fiche! Je pense que tout est en ordre car j'ai rien noté qui m'aurait choqué. Je vois qu'on aura à faire à une jeune femme au langage châtié! loool Le minimum quand on est à Phelgra! XD

Fiche validée

Tu vas pouvoir dès à présent faire une demande de rang dans la zone évènementielle, mais aussi indiquer ta patrie et ton habitat.
Tu pourras aussi ouvrir ton compte en banque, ton journal, ta boîte aux lettres et ton inventaire. Je vais également notifier que tu es la propriétaire du couteau sanglant. Si tu veux changer les prix ou rajouter des choses à vendre dans cette taverne, envoie-moi un mp, je le rajouterais au linsting de l'établissement.^^

Bienvenue parmi nous et amuse-toi bien.

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