Nortys Avaron

Sujet: Nortys Avaron Mer 29 Jan - 1:23

QUELLE PERSONNE ES-TU ?
Toi qui voyage sur ces terres oubliées

AVARON Nortys
" Ne vous fiez pas à vos sens avec moi. "

SURNOM: Chaton (uniquement utilisé et utilisable par Elyon)
AGE: 134 ans.
SEXE: Masculin

PEUPLE: Lhurgoyf
CASTE: Membre des Ladrinis
METIER: Assassin, voleur, musicien.

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ARMES PRINCIPALES:

Il est plus doué avec sa magie qu'avec ses mains, aussi évite-t-il le plus possible d'utiliser ses armes. Il a tout de même une dague affutée de très bonne qualité, ainsi qu'une sarbacane et un petit lot de fléchettes pour empoisonner ses cibles à distance.

AUTRES POSSESSIONS:

Il possède une armure en cuir noir à capuche qu'il utilise lors de ses assassinats. Elle permet d'agir en toute discrétion et ne fait que très peu de bruit. Elle contient de nombreuses poches. Il a un petit calepin où il marque les notes importantes qui concernent ses missions, ainsi qu'un autre livret, où sont marqués parfois des anecdotes amusantes ou des morceaux de poèmes qu'il affectionne. Il possède aussi une amulette, qui a la forme d'un serpent avalant sa propre queue. Elle n'a aucune propriété particulière, mais il l'a toujours eu, donc il la garde. Il a aussi un nécessaire de crochetage ainsi qu'une petite flûte, le seul souvenir qu'il garde de sa mère, et qu'il transporte partout avec lui.

DON:

Transformation monstrueuse ( il évite autant que possible de l'utiliser).

POUVOIRS:

Magie de guérison :

C'est la première magie qu'il a su maîtriser. Il peut guérir rapidement toute sorte de blessure, sauf celles qui sont trop importantes, comme les fractures et les amputations qui nécessitent beaucoup plus de temps. Pour soigner sa cible, il doit être à son contact, et, suivant la gravité de la blessure, la guérison peut varier de quelques minutes à plusieurs jours de thérapie. Le poison et les maladies peuvent être aussi traitées, tant qu'ils ne sont pas trop graves ou d'origine magique. Il est incapable de se procurer ses propres soins.

Télépathie :

L'art de lire les pensées des gens. Au début, il était difficile pour lui de rentrer furtivement dans un esprit, et celui-ci alors se fermait. Avec le temps, il est parvenu à s'immiscer discrètement dans les pensées, parvenant à pousser son pouvoir jusqu'à la communication entre esprits (au maximum entre trois esprits dont le sien). Pour établir un contact mental, il doit pouvoir voir sa cible, mais cela n'est plus nécessaire une fois le lien établi. La portée maximale de sa télépathie est d'une centaine de mètres.
Il ne peut lire que les pensées de surfaces, immédiates, lorsqu'il est à distance. Pour pénétrer plus profondément dans les pensées et les souvenirs, il doit être au contact de sa cible, et celle-ci doit accepter cette intrusion dans son esprit.

Illusions :

L'art d'altérer les sens de ses victimes. C'est une branche de l'hypnose qui ne permet pas d'avoir un contrôle total sur une ou quelques cibles, mais qui permet de contrôler partiellement un plus grand groupe. Les sens les plus simples à manipuler sont les moins développés. Par exemple, il sera facile de duper un humain pour une odeur, mais cela le sera beaucoup moins pour un chien. Ainsi, dans l'ordre, il y a le goût et l'odorat, extrêmement pratique pour dissimuler un poison qui d'habitude est immédiatement décelé, puis l'ouïe, pour rendre certaines personnes sourdes à certains bruits qui trahiraient sa présence par exemple (plancher qui craque, porte qui grince, respiration, etc...) mais aussi pour imiter une voix, un son, une musique, parler sans être écouté, etc... C'est le sens qui est le plus utile à manipuler, et aussi celui qu'il sait le mieux manipuler. Puis vient la vue, très difficile (rendre partiellement aveugle, illusions visuelles en tout genre, etc...) et enfin vient le toucher ( simuler une douleur ou au contraire, en faire taire une, ne pas sentir qu'on lui fouille les poches, etc...). Il va de soi que plus le groupe est grand, ou plus il affecte de sens différents à la fois, plus il est difficile de maintenir l'illusion. En contrepartie, Nortys ressent la véritable sensation faussée : il sentira le vrai goût du vin ou du poison, entendra le plancher qui proteste et sentira la douleur de la piqûre de la fléchette qu'il fait ignorer à sa cible. Les cibles ne doivent pas forcément être dans son champ visuel, il doit uniquement sentir leur présence pour pouvoir les influencer.

SPECIALITES:

Discrétion :

Même lorsqu'il n'utilise pas sa magie des illusions, Nortys est doué pour se dissimuler aux yeux de tous, en silence, et il sait comment agir furtivement, son pouvoir affinant bien sûr son talent.

Trompeur:

A force d'entrer dans l'esprit d'autrui, il a vite appris comment fonctionnait les relations. Même lorsqu'il n'utilise pas sa télépathie, son éloquence lui permet de persuader rapidement son interlocuteur.

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Décris-moi comment je te vois...

Nortys est très grand (environ 1m 85) et élancé. Sa peau est pâle, ses cheveux sont argentés, comme la plupart des autres Lhurgoyfs, et longs, souvent cachés sous sa capuche à cause de leur couleur qui risque de le trahir la nuit. Ses yeux sont d'un gris très clair, ce qui lui donne un regard perçant, froid et calculateur. Son visage semble toujours neutre, et ce n'est qu'à de rares occasions que l'on peut voir un sentiment en changer les traits. Du fait d'une vie à agir discrètement, sa démarche est souple, et le moindre de ses gestes est réalisé avec calme. En dehors de son armure qu'il ne quitte que très rarement, il ne porte que des vêtements ternes pour éviter d'attirer l'attention. Lors de sa transformation en démon -qu'il évite à tout prix, sa peau devient noire et rugueuse, son corps entier s’épaissit, grandit et se voûte, ses bras s'allongent, s'armant d'énormes griffes tranchantes, et plusieurs rangées de crocs apparaissent dans une gueule devenue gigantesque. Il perd le sens de la vue pour gagner un odorat incroyablement fin. Dans cette forme, il gagne en force, en vélocité, mais aussi en sauvagerie, étant pratiquement incapable de retenir sa furie sanguinaire. -

Décris-moi comment tu penses...

Nortys a toujours su se débrouiller sans aucune aide, ayant grandi la majeure partie de sa vie seul ou entouré de personnes peu recommandables. Il est très observateur, calme et intelligent, et il reste la plupart du temps froid et distant, pour éviter qu'il soit dominé par son côté démoniaque -ce qui est dû parfois à l'excitation trop intense du combat, ou alors lorsqu'on l'énerve énormément- qui lui confère une agressivité farouche lui faisant prendre d'énormes risques d'habitude soigneusement évités, et qui aboutit dans le pire des cas à sa métamorphose en monstre. Il apprécie particulièrement lorsque les choses se sont produites comme il les avait planifiées. Il n'a aucune pitié pour ses cibles, et il met toujours un point d'honneur à suivre le plan à la lettre. Mentir et frapper dans le dos n'est pas un problème, car selon lui : "L'honneur est un principe que ceux qui ne peuvent atteindre leurs objectifs aiment mettre en avant.". Il évite en général de se mêler aux autres, mais il lui arrive parfois de se lier d'amitié avec une personne pour laquelle il a du respect. On découvre alors qu'il possède un certain humour, qui n'en reste pas moins cynique et glacé. Il aime beaucoup l'art, particulièrement la musique et l'écriture, et il lui arrive parfois de jouer quelques airs à la flûte.

Raconte-moi ce qu'a été ta vie...

Je crois que c'est vers l'âge de huit ans ( ce qui correspond à une trentaine d'années pour les terans) que ma mère m'a abandonné. Oh, comprenez moi bien, je ne dis pas ça pour que vous me regardiez avec un regard compatissant chargé de pitié. La famille ne fait pas partie de nos valeurs chez les Lhurgoyfs, et je n'ai gardé pratiquement aucun souvenir de ma mère, à l'exception d'une petite flûte, qu'elle m'avait confiée en me promettant de revenir rapidement. Par la suite, évidemment, elle n'est jamais revenue, et je suis resté un moment seul dans les plaines interminables d'Eridania. J'ai été recueilli peu de temps après par une danseuse qui appartenait à une caravane de marchands et de saltimbanques. Le dirigeant n'était pas heureux de ma présence, ayant tout de suite reconnu mes origines, et craignant que je me transforme en bête assoiffée de sang. Il jura de me laisser à la prochaine ville que nous allions atteindre sous peu. Par chance, je maîtrisais déjà mes pouvoirs de guérison à cette époque, et je pus soigner un acrobate de sa foulure à la cheville qui l’empêchait d'exécuter son numéro, le plus populaire de toute la troupe. Voyant que je n'étais pas si inutile, le dirigeant accepta ma présence au sein de la caravane. Je compris également qu'elle n'était pas uniquement composée que de marchands et de jongleurs, et que la disparition de bourses et d'objets de valeurs dans chaque ville où nous nous arrêtions n'était pas seulement due au hasard. Comme je n'étais doué pour aucun numéro de cirque, on me confia à Bastian, qui m'apprit la manière de fouiller dans les poches en toute discrétion et comment crocheter des serrures pour faire quelques courses dans une maison. J'avais par ailleurs un véritable don pour ce genre de travail. Je restai de nombreuses années avec les saltimbanques, et je parvins à développer un deuxième pouvoir : celui de la télépathie. Je l'ai toujours gardé secret, car les terans n'aiment pas trop que l'on s'introduise dans leur esprit. Mon premier accident se produisit vers le début de ma puberté, vers cinquante ans. Depuis quelques jours déjà, je ressentais comme une colère constante contre absolument tout, le moindre événement m'exaspérant davantage. Nous nous étions arrêtés à Tyrhénium, et j'avais pour mission de délester un riche propriétaire de quelques objets qui ne lui manqueraient surement pas. Ma mission accomplie sans aucune difficulté, je me dirigeai vers la caravane qui s'établissait comme toujours à l'extérieur de la ville, et je pris un raccourci par les quartiers malfamés quand je fus apostrophé par deux terans qui avaient un peu trop taquiné la bouteille. L'un deux me demanda si j'avais déjà tué beaucoup de terans, l'autre fut plus direct, me demandant combien j'en avais écorchés tout en me traitant de sale démon. Ma colère était déjà à son paroxysme, et je décidai de faire comme si je n'avais rien entendu, ce qui énerva le deuxième pochard, qui me frappa dans le dos avec sa bouteille à moitié vide. Alors que j'étais à terre, les oreilles pleines de leur rire gras, ma colère éclata, et une sensation grisante de puissance s'empara de tout mon corps. Les seuls souvenirs que je garde de ce moment sont les cris des deux ivrognes, leur odeur chargée d'alcool, mais aussi de peur, celle qui est propre à la proie consciente de sa mort imminente, et le goût de la chaire fraîche et saignante. Je me réveillai quelques heures plus tard, dans une ruelle sombre, quelques rares vêtements en lambeaux encore sur moi, et totalement désorienté. Je parvins à rejoindre la caravane sans être vu. Le lendemain, j'allai voir le dirigeant -à présent le doyen de la caravane- qui me pardonna pour avoir échouer pour la première fois à une mission, mais en insistant tout de même qu'il s'agissait là aussi de la dernière. Lorsqu'il me questionna sur les raisons de mon échec, je mentis en affirmant que la propriété était protégée magiquement, et qu'il m'aurait été impossible de m'y introduire sans être repéré. J'appris par les ragots de deux citoyennes qui admiraient une étale de bijoux, obtenus de toutes les manières possibles sauf légales, que deux hommes avaient été retrouvés déchiquetés dans un caniveau. Je fus heureux d'apprendre que la garde suspectait un fauve des sables d'avoir commis cette atrocité, leurs combats étant très prisés dans l'arène de la ville, l'un d'entre eux avait dû s'échapper et s'était offert un petit repas avant d'être capturé par son propriétaire qui aurait fait taire l'affaire. C'est à ce moment que je compris que je fus incroyablement chanceux, et que me transformer n'était pas seulement un danger pour mon entourage, mais aussi pour moi. Si quelqu'un m'avait aperçu, la garde serait en train de chercher un Lhurgoyf à l'heure qu'il est. Je me promis à cet instant de ne plus jamais me transformer en démon. De nombreuses années passèrent, les terans moururent et d'autres vinrent gonfler les rangs de la caravane, qui gagna par ailleurs en réputation. J'eus ma première mission d'assassinat dans l'année de mes quatre-vingt deux ans. Ma cible était le chef de la garde d'une petite ville, Ardin, qui posait beaucoup trop de questions et qui, selon les dires, enquêtait sur notre caravane. Je me découvris là une deuxième vocation. L'assassinat était encore plus excitant que les vols, et après cette mission qui fut un réel succès, il en plut des dizaines d'autres qui impliquaient la mort de quelqu'un. Je gagnai en respect au sein de la troupe, qui devint une vraie guilde, et celle-ci établit dans chaque grande ville d'Eridania plusieurs repaires où étaient affichées les missions. Pendant une trentaine d'années, je fis assassinat sur assassinat, en passant par des cambriolages, des falsifications de preuves, des vols à la tire et autres travaux qui nécessitaient une grande compétence dans la discrétion. Je pus également développer un troisième pouvoir : celui d'altérer les sens de mes victimes. Après quelques recherches, j'appris qu'il s'agissait là de la magie des illusions, une branche de l'hypnose, qui contrairement à celle-ci ne permettait pas de dominer totalement un ou quelques individus, mais qui permettait d'en contrôler partiellement un plus grand nombre. En altérant leurs sens, je pouvais leur faire ignorer le goût d'un poison ou son odeur, les rendre sourds à certains bruits, ou imiter la voix de quelqu'un pour qu'il me laisse entrer. Les possibilités étaient infinies, et ce pouvoir m'aida à affiner encore plus mon talent. Durant l'année de mes cent vingt-deux ans, il se passa un événement qui changea complètement ma vie. Dans notre repaire de Tyrhénium, alors que je regardais les missions, l'une d'entre elles attira mon attention. Il s'agisssait d'un assassinat, mais avec des restrictions : la cible devait être tuée à l'aide d'un poison, l'éren, connu pour infliger une douleur si grande que le cœur de la personne empoisonnée lâchait, quand celle-ci n'avait pas trouvé le moyen d'en finir avant. Malheureusement, il avait une odeur et un goût beaucoup trop forts pour un poison, et il était décelé immédiatement. Mais je sus que je pouvais réussir. Je me procurai facilement le poison et je me rendis vers la demeure de ma cible. Je n'eus aucun mal à y entrer et à empoisonner son repas -un beau morceau de bœuf qui était en train de mijoter. Je restai dans l'ombre, tout en altérant l'odorat du cuisinier qui agençait la présentation pour qu'il ne sentît l'odeur du poison qui me montait à la tête. Je le suivis caché dans l'ombre pendant qu'il apportait le repas à son maître. Celui-ci fut aussi trompé par ma magie, il félicita même le cuisinier pour cette belle pièce de viande dont l'odeur lui mettait l'eau à la bouche. Il entama son repas et c'est là que je compris mon erreur. Le poison était puissant, certes, mais pour que la douleur qu'il provoque soit au-delà de l’insupportable, il fallait tout de même en prendre une grande dose. Or, je l'avais versé sur toute la viande, ce qui impliquait qu'il devait la manger en entier pour que je sois sûr qu'il n'en réchappe pas. Ce fut une expérience incroyablement douloureuse, mais bénéfique : cela m'appris à ne plus agir stupidement, et à faire attention à mon orgueil. Pendant qu'il mangeait, je lui manipulait son odorat et son goût, pour qu'il ait l'impression d'un bœuf tendre et juteux, mais aussi son toucher, afin qu'il ne s'arrêtât pas à cause de la douleur abominable qui naquit dans son estomac, et donc dans le mien également. Je crus que ma poitrine allait exploser, tant mon cœur tambourina, et je craignis un court instant que mes gémissements de douleur que je ne parvins pas à retenir ne trahissent ma présence. Par chance, il dévora à pleines dents la viande, et quand je fus certain qu'il ait tout mangé, je relâcha ma magie, soupirant de soulagement pendant qu'il se mit à hurler à pleins poumons, le poison circulant dans chaque fibre de son corps. Lorsque que je rentrai au repère, je ne m'attendis pas à trouver ce spectacle : tout le monde gisait dans son propre sang, la gorge ouverte. Les hurlements et les ordres des que les gardes criaient me confirmèrent que tous les membres de la caravane avaient dû subir le même sort, et je restai un moment debout, totalement interdit. Une légère piqûre apparut dans ma nuque, et j'eus juste le temps de retirer la fléchette qui s'y était fichée avant d'être avalé par l'obscurité et le silence. A mon réveil, j'étais sur un lit de plûmes, dans une chambre sobrement décorée, un homme assis sur une chaise me regardait fixement en silence, un sourire sur les lèvres. « Beau meurtre. » fut ses premiers mots. Il m'expliqua être membre des Ladrinis. Notre guilde devenait trop encombrante pour eux, et ils avaient décidé de laisser une chance à certains de ses membres en accomplissant une mission particulièrement difficile qu'ils avaient affichée à cet effet. Je fus le seul membre à réussir une de ces missions, et le Ladrini me proposa immédiatement de rentrer dans son ordre, en précisant que si je refusais, j'irais faire quelques tours dans l'arène, et pas à la place des spectateurs. Un peu forcé, j'acceptai sur le champ, mais dans les années qui ont suivi, je n'ai jamais eu à regretter cette décision. Je fis la rencontre peu de temps après d'Elyon, une femme pour le moins étonnante.-

QUI M'ACCOMPAGNE
Toi l'animal qui me suit

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RACE:
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QUI ME PORTE
Toi ma vaillante monture

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Sujet: Re: Nortys Avaron Jeu 30 Jan - 21:01

Bonjour et bienvenue parmi nous!

Alors ta fiche est presque parfaite, il n'y aura qu'un petit détail qui coince et peut-être que cela aura une petite incidence sur ta fiche : l'âge.

Les lhurgoyfs ont une longévité proche de celle des sindarins, donc du coup, pour avoir l'apparence d'un adulte majeur, il faut avoir minimum 100 ans. Si tu veux que ton personnage est l'air d'en avoir 24, il faut aller minimum aux alentours de 160 voir carrément 200 ans (voyons grand).

Donc du coup, il faudrait que tu modifies cela, et par conséquence, les petits détails dans ta fiche où tu parles de ton âge pour que ce soit raccord.

Voilou. Une fois modifiée, je te validerais parce que tout le reste est bon.^^

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Sujet: Re: Nortys Avaron Ven 31 Jan - 17:33

Nous revoilà sur ta fiche!

J'ai pu noté que tu as apporté les modifications demandées, donc tout est en ordre!

Fiche validée!

Tu vas pouvoir dès à présent faire une demande de rang personnalisé dans la zone évènementielle, mais aussi préciser ton habitat et ta patrie (lien jaune dans la même zone).

Tu pourras aussi ouvrir ton compte en banque, ton journal, ta boîte aux lettres et ton inventaire.^^

Bienvenue parmi nous cher camarade et surtout bon jeu!!!

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Sujet: Re: Nortys Avaron

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