Il faut savoir observer [Marcus & Tour]

News & Infos

C'est ici que vous trouverez les dernières infos du moment, les utiles et moins utiles.

Temps actuel

Effectifs

• Eryllis: 3
• Ladrinis: 9
• Eclaris: 5
• Prêtresses: 5
• Cavaliers de S.: 5
• Nérozias: 6
• Gélovigiens: 3
• Ascans: 0
• Marins de N.: 4
• Civils: 15

Lien recherché

- Walter cherche de Preux chevaliers.
_ Raël veut des clients.
_ Deirdre a besoin d'employé!

Les Rumeurs

_ Il parait que des personnes hauts-placées seraient gravement malades.
_ Il parait que ça se bécotte "au bal de la Rose".
_ Il parait que des créanciers en sont après un des conseillers de Ridolbar.

Code par MV/Shoki - Never Utopia



 
AccueilAccueil  FAQFAQ  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  


-20%
Le deal à ne pas rater :
-20% Récupérateur à eau mural 300 litres (Anthracite)
79 € 99 €
Voir le deal

Partagez
 

 Il faut savoir observer [Marcus & Tour]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Il faut savoir observer [Marcus & Tour]   Il faut savoir observer [Marcus & Tour] Icon_minitimeSam 1 Fév - 17:56





Il faut savoir observer


"Je ne cherche qu'à redorer l'image d'une armée digne de son peuple"
La Tour au Roi


Cela faisait bien 50 ans que je n'étais venue à Dalma. Ce joli village paisible n'avait rien à envier à Tyrhénium. Revenant de cette ville de vices et où la loi avait bien du mal à s'imposer je m'accordais un petit temps personnel. Après avoir été forcé à rendre mes hommages à ce régent narcissique, baignant dans la richesse, j'avais envie de faire une chose qui me tenait plus à coeur. J'avais abandonné ce cheval de pacotille, Rizzen, à l'auberge pourpre contre quelques Dias que je comptais bien jeter à la figure du palefrenier d'Hesperia. Jamais l'on ne m'avait donné une monture si pittoresque. La beauté ne faisait pas l'efficacité. Cet animal n'était bon que pour orner le champ d'un riche marchand pour montrer à quel point il pouvait être influent. Pour une personne d'arme comme moi, ce cheval aurait fini en ragout. Dalma était sur le chemin d'Hesperia, enfin, il m'avait tout de même fallu quitter mon chemin initial. J'étais la Tour après tout. Loin d'en profiter, j'allais plutôt chercher quelques réponses à mes questions. Dans l'armée j'étais un symbole de confiance, bien que mon visage restait constamment camouflé. Cela été dû, soi-disant, à mes méthodes de combat. Je n'avais pas pour habitude de prendre les gens à revers et de masquer mes attaques. Je combattais simplement avec tout mon honneur et ma loyauté. C'est peut-être ces valeurs qui avaient faits montés à mes oreilles l’existence d'une institution que le peuple chérissait plus que leur armée. J'étais après le roi l'un des plus grands symboles de l'armée d'Hesperia. Penser que le peuple se tournait vers des civils pour leur protection ternissait notre image. Le peuple devait avoir confiance en nous. Les rumeurs me disaient de venir ici. Moi qui d'habitude ne prenais jamais en considération les rumeurs m'étais laissé persuader.
Le temps se réchauffait. Il faisait trop chaud pour l'armure, mais je n'avais pas le choix. J'avais marché près d'une journée et demie pour arriver. La poussière avait terni mon armure et avait blanchi ma cape noire ainsi que ses plumes. J'avais peu fière allure, mais je ne pense pas qu'en se tournant vers moi les villageois se préoccupaient de toute cette crasse. Ils se posaient des questions entre eux sur le pourquoi de ma présence. Voir un membre de l'armée royal hors de la capitale était rare et dans ce cas cette rareté amener plutôt le malheur. Un village si paisible craignait le port de l'armure. Justement en parlant d'armure je cherchais une forge. Opposé au Ladrinis l'institution que je cherchais faisait plutôt le bien. Des Hommes courageux et qui semblaient se battre à merveille. J'avais pensé à des personnes de la bourgeoisie. De fiers et jeunes chevaliers voulant s'imposer dans le milieu, mais le manque d'information m'avait écarté de cette piste. La bourgeoisie n'aidait pas sans contre partie, faisait du bruit et je l’imaginais mal donner de leur temps aux plus pauvres. Vivre avec les sindarins ne me lavait que trop prouvé. Ma dernière hypothèse était que l'un d'entre eux avait la possibilité de se fournir en armes, de savoir en manier et de n'avoir aucune distinction particulière. L'argent était une denrée rare et se fournir des armes était difficile. Un forgeron tel que celui que je recherchais devait être en relation avec ces gens.
Les mains sur les hanches je faisais un tour sur moi-même à la recherche d'un indice qu'en a la présence d'une forge. Mon ouï avait le dessus sur ma vue et j'entendais donc le bruit d'un marteau frappant l'acier brûlant . Je suivais ce fond sonore et trouvais cette forge.
J'observais sans faire de bruit me demandant si ce village pouvait réellement contenir des « héros » jusqu'à preuve du contraire, je ne voyais que des paysans qui n'avaient jamais dû avoir à se battre à l'épée. Malgré tout j'entrais dans la forge dont la porte était ouverte. La chaleur y était presque étouffante et je me demandais comment l'on pouvait travailler avec cette température. Je remarquais instantanément quelques armes ici et là, dont une que je prenais en main pour admirer ses finissions et son tranchant.
« Voilà un bel ouvrage. Je ne peux que saluer votre compétence forgeron. »
Je regardais l'homme à travers les fentes de mon casque surmonté de plumes. Grand, musclé, les cheveux noir coupé d'une façon étrange, couvert de cicatrices, j'imaginais la crainte que certain villageois devait avoir de lui.
« Vous devez avoir une très bonne clientèle. »
Je reposais l'épée et me dirigeais vers ce physique atypique ma main gantelée en avant, cherchant à rencontrer celle de mon interlocuteur.
« Membre de l'armée Hesperanne. »
Je me présentais seulement par ces mots. Une identité qu'il avait déjà dû deviner. Il n'en saurait plus que s'il me le demandait.



Dernière édition par La Tour le Sam 1 Fév - 19:33, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Re: Il faut savoir observer [Marcus & Tour]   Il faut savoir observer [Marcus & Tour] Icon_minitimeSam 1 Fév - 19:13

Le métal rugissant sous la chaleur, brutalisé, martelé, tordu. Comment savoir comment allait finir cette plaque de métal plongé dans les flammes ? Telle était la destiné du mot forgeron. Choisir parmi les plus belles pièces de métal pour leurs donner une existence digne de ce nom. Telle était son métier, sa profession, son art... Pour Marcus, rien n'était plus magnifique que de rendre un morceau de méta brute en une pièce raffiné, tranchante et... meurtrière. Solide, efficace et destructrice. Telle était ce qu'il recherchait. Cet art lui avait été tracer dans le sang le même soir ou son sang ce mêla a celui de sa femme tuer. Tuer par une arme mal forgé, une arme qui, dans tout le désespoir, lui avait brisé entre les mains. Une arme qui aurait sauver plusieurs vies ce soir la. Depuis ce temps, il n'avait eux de vie que pour sa forge. Son marteau, son enclume et les flammes. Cela avait été durant un bon moment sa nouvelle famille. Ca et sa panthère, sa seule vraie amie. Dalma avait été sa maison. Forgeant pour le village, il s'assurait de fournir des outils aux villageois, aider a la réparation du village et aux construction. Il était un atout utile pour Dalma. Surtout dans les moments les plus chauds ou son côté guerriers reprenait le dessus quand des bandits ou forces hostiles désiraient crées du tord au village. Son travail ne s'arrêtait point la. Reconnu un peu plus loin, il recevait des commandes d'armes, armures et autres venant d'un peu partout. Son travail était exigeant, lui demandait beaucoup de temps et d'investigation mais, il s'assurait ainsi que personne ne meurt ou perdre d'amies, familles ou frère d'arme pour une erreur idiote dans la fabrication de son arme ou son armure. Son métier n'était pas a prendre a la légère. Depuis peu de temps, ses Dolofonos avait pris le peu de temps qu'il lui restait. S'assurer du maintiens des hommes, leurs entraînements, acheminement d'équipements. Tout sa lui dévorait son temps de façon phénoménal. Son côté guerrier allait tôt ou tard remonté et malheureusement, ce fut le cas. Craignant les événement passés, Marcus avait crée son groupe. Non pour lui, mais pour les autres. Assurant le transfert d'informations d'un bout a l'autre, permettant d'acheminer messages, demande ou autres grâces a son réseau, il pourrait facilement faire venir ses hommes en cas de danger pour Dalma. Mais aujourd'hui, il était forgeron. Forgeant épée pour un groupes de soldats , têtes de haches pour quelques villageois et une dizaines de fer a chevales pour les agriculteurs qui en ont besoin.

La chaleur était grande, très grande. C'était pour cela que Marcus c'était mis torse nue, laissant la sueur humidifier son corps, dessinant ses muscles massifs et découpé dans la pierre. Il avait terminé la commande des soldats et des têtes de haches. Il s'attardait désormais au fer a cheval qui était terminé a moitié. Aucune fenêtre ne décorait la forge, qui a la fois servait de maison au forgeron. Aucune lumière n'entrait car il en avait principalement pas besoin. Le feu qui brûlait dans la forge fournissait suffisamment de lumière pour travailler et les étincelles qui virolaient partout laissait un spectacle agréable a regarder. Il avait travaillé toute la journée sans arrêt. Il était habitué a faire cela, son corps était habituer aux chaleurs extrêmes de sa forge même que sa peau avait pris un teint plus foncé a toujours être a la chaleur des flammes. Les heurs passaient et pour lui, ce n'étaient que des minutes. Ils remarquais que plus tard la nourriture que les villageois de Dalma venaient lui apporté. Trop concentré sur le martèlement et la précision que réclamais ses créations, qu'ils apercevait rarement ceux-ci entré. De toute façon, sa panthère faisait bien le chien de garde après tout. Les années passaient et les poiles gris apparaissaient lentement sur sa peau. Le forgeron n'était plus du tout jeune. Sa force ne l'avait pas lâcher mais celui-ci commençait a démontré des faiblesses au niveau de son dos. Il maintenant sa forme aussi souvent qu'il le pouvait mais malgré cela, il ne pouvait rien faire contre les années qui passent. Son travail continuait malgré cela, frappant le métal de son marteau, changeant la forme du métal pour lui donner une utilité distinc. Mais malgré cela, malgré sa concentration, on venait d'entrer dans sa forge. Bien qu'il entendit le compliment du nouvelle arrivée, il continua, frappant le métal qui allait devenir un fer a cheval. Allant jeter le fer rougeoyant dans un sceau contenant de l'huile, de la glace et de l'eau, il laissa refroidir la pièce , s'approchant de l'invité en armure.

-Trop de clients même. Il pris un lingue ou il essuya ses doigts, laissant que deux pupilles bleus aciers illuminé dans l'obscurité.

Il alla ce servir un verre d'eau frais, détaillant le ou la nouvelle arrivée même ! Armure complète, cachant même son visage. Avant même qu'elle décrive qui elle était, il lui coupa la parole.

-Je sais d'ou tu viens et a qu'elle armée tu appartiens. Je vais vous le répéter encore, je ne suis pas intéresser a rejoindre l'armée, cela fait 3 soldats qui vient me le demander. Si vous voulez acheter ou discuté de quelque chose qui me concerne, parler ou partez. L'armée de quelconque citée n'est pas la bienvenu ici.

La voix de Marcus était neutre mais forte. Il s'imposait de sa voix alors que a la lumière de sa forge, son long tatouage tribale qui remplissait son bras droit jusqu’à son trapèze apparaissait parfaitement. Il attendait. Il attendait de voir ce qu'un soldat royale venait faire ici, aussi loin, et surtout. Pour ce présenter devant lui en personne.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Re: Il faut savoir observer [Marcus & Tour]   Il faut savoir observer [Marcus & Tour] Icon_minitimeSam 1 Fév - 20:41





Il faut savoir observer


Je regardais un instant ma main restée sans rencontre. Mes sourcils s'étaient rapprochés sous ce heaume en signe de mécontentement. Ils étaient nombreux à faire cela. Que diable l'armée avait-elle bien pu leur faire ? L'armée Hesperanne contenait-elle des êtres encore plus pourri que celle des Sindarins ? Les hommes et femmes que j'avais croisé ne méritaient pas le mépris. Ils étaient tous prêt à donner leur vie pour des inconnus. J'imaginais ce qu'un soldat Sindarin aurait fait à ce forgeron s'il lui avait parlé ainsi sans savoir le but de cette visite. Nous partions donc sur un malentendu. Je n'avais que faire de ce qu'il disait. Je n'étais pas là pour sa personne, mais pour ce qu'il pourrait m'apprendre. Il m'apprit qu'il était demandé dans l'armée, mais je m'en moquais bien. Je ne lui avais alors parler que par politesse. La politesse n'était pas la bienvenue alors t'en mieux pour moi et dommage pour lui. Je regardais ses yeux bleus glaçants posés sur ma personne tout pendant que je baissais ma main pour retirer mes gantelets. J'avais eu tort de venir en armure.
« Laisse le recrutement en dehors de ma personne. Je n'ai que faire de ce que tu me dis là. »
Je soufflais, provoquant un léger sifflement dans les fentes de mon casque et jetais mes gantelés sur une surface plane à ma proximité. Je frottais mes mains moites entre elles avant de retirer ma cuirasse argentée portant le sigle de l'aigle qui tomba dans un fracas assourdissant au sol entraînant ma cape noir. Ne me restaient plus en haut que ma tunique, mon gorgerin qui alla rejoindre ma cuirasse et mon indispensable casque. Je me sentais déjà plus capable de bouger et moins dégoulinante de transpiration. Je me raclais la gorge et continuais.
« J'ai quelques questions à te poser. Réponds-moi vite et clairement. J'ai assez perdu de temps. »
Je reposais ma main gauche sur le manche de mon épée, droite comme un I, avant de faire le tour du propriétaire.
« Je n'irais pas par 4 chemin. Tu connais l'existence d'un groupe de civils au service de la population qui agirait dans les environs ? »
Lui tournant le dos je visitais la pièce, contemplant quelques beaux objets et armes. Notre armée était très bien équipée. Nous ne manquions de rien, mais des armes de cette qualité, seul le cercle de la garde royale en possédait. Une petite cinquantaine et encore, nous avions de nombreux magiciens qui n'utilisaient pas de telles armes. L'armée Hesperanne était la plus grande et forte des armées, mais l'on pouvait toujours l'améliorer. Améliorer ses équipements comme celle des sindarins. Leurs armes étaient de vrais chefs-d'oeuvre comme pouvait le montrer mon épée. À double tranchant, jamais celle-ci n'avait failli à sa tâche. Elle était comme une aiguille qui transperçait les corps sans un mal, mais mortellement. Destinée à tuer, tout simplement. Je ne voulais pas de cris ou de larmes, juste la mort de ceux l'ayant attiré.
Je repositionnais mon collier en argent, surmonté de mon catalyseur bleu avant de reconsidérer le forgeron.
« Réponse. »
Le temps filait vite, j'avais encore bien d'autres question à lui poser. De plus j'imaginais déjà mon condor venir me chercher. J'étais en retard sur mon planning. Deux jours de retard. Mon Rizzen, qui pour le coup n'était pas un cheval niais, mais un splendide volatile aurait vite fait de me retrouver. Les années nous avaient comme gravé un même coeur.

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Re: Il faut savoir observer [Marcus & Tour]   Il faut savoir observer [Marcus & Tour] Icon_minitimeSam 1 Fév - 21:23

Marcus n'était pas un homme doux. N'était plus en faite. Depuis bien longtemps, son monde avait rejeté la douceur. Que se soit dans ses paroles ou ses gestes. La Tour n'était pas la première a réagir ainsi aux paroles brusques de Marcus mais, elle allait devoir faire avec.  A peine qu'il avait posé son regard sur elle alors qu'il l'avait enfin remarqué après avoir terminé le fer. Ses yeux avaient cherchés chaque endroits possibles ou une armes pourraient ce cacher. Mais surtout, il c'était basé sur la position de l'épée, la démarche du soldat, la façon dont elle se déplaçait, le poids qu'elle plaçait sur chaque pied. Ces petites informations pouvaient en dirent gros. La main dominante a l'épée, le style de combat qu'elle utilisait, l'agilité et rapidité de celle-ci. Le forgeron se souciait bien qu'elle soit en armure complète, sous-estimé le guerrier ou guerrière devant lui était un signe de faiblesse et Marcus n'était plus du genre a faire ce genre d’erreurs. Surtout qu'elle faisait pas partie des soldats ordinaire, alors précaution et prudence s'imposait.

-Désoler de vous avoir pris pour un autre recruteur, je suis simplement irrité d'être dérangé pour simplement répondre la même chose encore et encore.

Marcus remplis a nouveau son verre d'eau et le porta a ses lèvres. Il ne bougea pas, regardant la soldat retiré son armure. Il grimaça a la voir laisser tomber son armure ainsi, ne prenant pas soin de son équipement.

-Cela me pince le coeur de voir comment vous traité votre armure. Déposant son gobelet, il s'approcha pour prendre le plastron et le déposé sur son enclume. Plusieurs Rivets vont lâcher , penser a faire vérifier votre armure souvent, un simple voyage peut abîmer une armure plus qu'un combat.

Le forgeron passa sa main sur les rivets et en fermant les yeux et simplement avec son toucher, il replaça les rivets bien fermement sur le métal , de sorte que le cuire, lanière ou autres attache ne lâche pas. Prendre soin de son équipement peut avoir l'air banal mais, cela est très important. Autant plus que si tu respect l'homme a ta gauche, il te le rendra en retour, sur le champs de bataille et sera peut-être celui qui te sauvera la vie et te permettra de revoir ta femme, tes enfants, tes amies...

Se retournant lentement a la demande de La Tour, il s'adossa lentement a sa table,prenant une dague qui traînait sur le bureau. Il se gratta le menton et releva la tête. Tous le monde ignorait qu'il était l’entraîneur en chef, le père des Dolofonos , celui qui leurs avaient offert leurs chances parmi les siens.

-J'ai peut-être entendu parler d'eux, mais qui te fait croire que je suis relier a ces guerriers qui s’entraîne dans les Colonnes d'Ébreus ?  Ce ne sont que des mercenaires , comme beaucoup d'autres.

Le forgeron laissa la dague retombé sur la table en bois, piquant pour resté planté bien droite. Durant ce temps, Marcus alla dans sa chambre, laissant La Tour seule durant un petit moment. A son retour, il tenait un parchemin qu'il tendit a l'invitée.

-Regarde ce parchemin. Trouve la réponse a ce qu'il demande et reviens me voir. Ne demande de l'aide a personne ou tu n'aura aucune réponse de moi. Je vois tous fait attention. Sur ses mots, le forgeron alla s’asseoir a son bureau et alluma une bougie pour écrire avec sa plume, laissant La Tour dans son choix de quitté ou non.


La demande du parchemin:

Que l'histoire commence.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Re: Il faut savoir observer [Marcus & Tour]   Il faut savoir observer [Marcus & Tour] Icon_minitimeSam 8 Fév - 19:02





Il faut savoir observer


Je me moquais bien des objets, venait de là ce manque de soin. Cette armure, je ne l'aimais guère. Lourde et inconfortable elle réduisait les mouvements et l'on avait peine à s'y sentir en forme. N'avais-je enlevé que ma cuirasse que déjà je me sentais revivre. Même dans cet endroit étouffant de vapeur chaude mes poumons se gonflaient bien mieux de cet oxygène nécessaire pour vivre. Je prenais néanmoins ses propos en compte et décidais qu'à mon retour à la capitale cette armure irait en révision. J'avais détaché mes yeux des armes et autres objets pour me tourner vers lui. Il avait quelque chose de particulier. J'étais presque certaine qu'il savait quelque chose.
Je le regardais agiter sa dague et écoutais soigneusement ce qu'il avait à me dire. En effet il était au courant de bien des choses. Jusqu'alors je n'avais jamais entendu que ces mercenaires s'entraînaient dans les Colonnes d'Ebreus. Je ne savais même pas s'ils existaient vraiment. Je n'avais que des ouïs dires. Bien qu'il me dît le contraire j'étais persuadé qu'il était en contact avec eux. Cette organisation de bandits était donc bien en œuvre dans la région. J'eus un grand sourire sur les lèvres, ce qui était rare. Je ne savais pas vraiment si je devais me réjouir que des personnes s'amusaient à faire le bien ou voir cela comme un danger pour l'armée. Quel était leur but ? Se faire aimer du peuple en gagnant sa confiance et plus tard vouloir prendre la place du roi? Ou voulait-il vraiment aider? Dans ce cas pourquoi ne pas rejoindre l'armée ? Tant de questions auxquelles je ne pouvais répondre sans avoir l'un des membres de ce groupe sous mon nez à moins que ce forgeron fût des leurs. Je le regardais entrer dans une autre pièce pour revenir avec un vieux parchemin qu'il me remit.
Ce fou voulait que je réponde à une énigme. N'avait-il pas entendu que je n'avais pas de temps à perdre ? Je lisais rapidement ce manuscrit qui me rappelait vaguement ces cours d'histoire que j'avais eu trop souvent à la maison. Les Sindarins étaient trop fixés sur le savoir. J'avais préféré apprendre quelques techniques de guerre qui m'avaient conduite à devenir ce que j'étais aujourd'hui.
J'imitais le forgeron et m'asseyais sur une chaise devant son bureau. J'y posais le parchemin et m'adossais au dossier.
« J'ai mieux à faire que de chercher une réponse à un parchemin. Soit-dit en passant, si j'avais été l'ennemi de ce petit groupe j'aurais attaqué simplement pour honorer la persévérance de mon ennemi à vouloir venger les siens et donc à tout prix rencontrer la mort. Une mort que tout le monde craint, à moins de n'avoir personne avec qui vivre. »
Je croisais mes bras et continuais.
« Forgerons, tu connais ce groupe de mercenaires. J'en ai la conviction. Je ne veux pas jouer avec toi ni avec qui que ce soit. Je veux simplement pouvoir parler à ces gens. Tu as parlé des Colonnes d’Ébreus ce qui est déjà une précieuse information. Si tu n'as rien d'autre à me dire je ne vais pas m'attarder ici. »
Je me levais pour enfiler le reste de mon armure, ce que je fis rapidement grâce à un petit coup de pouce de ma magie.
« Encore une chose, je te préviens que notre souverain se verra averti de cette information. Tu seras surement surveillé. »
Je mettrais moi-même ce forgeron sous surveillance. Notre armée comptait de précieux membres dont certains doués pour se fondre dans la masse. Des Hommes de l'ombre qui avaient toujours su me surprendre. De très bons espions que je craignais moi-même.
J'attachais ma cape surmontée de plumes noires et m'en retournais vers la sortie après m'être emparé de mes gantelets. Je n'avais plus qu'à rejoindre la capitale pour faire mon rapport au roi. Un rapport sur ce régent et sur cette affaire encore secrète. La suite était évidente, j'aurais à me rendre à ces colonnes et à chercher ces mercenaires. Mon condor géant ne me serait pas d'aucune utilité. Survolant ces plaines arides il auraient vite fait de trouver ce groupe de soi-disant sauveurs.

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Re: Il faut savoir observer [Marcus & Tour]   Il faut savoir observer [Marcus & Tour] Icon_minitimeMar 11 Fév - 1:33

Marcus , qui était toujours assis a la table, écrivait les réponses aux commandes qu'il avait reçu. Pour lui, c'était ce qui semblait le plus ennuyeux et a vrai dire, ce l'était. A peine qu'il venait de commencer a écrire avec sa plume, que La Tour riposta. La pauvre, Marcus se sentait apaisé qu'elle ne les pas rencontrée des années plutôt, la ou sa fougue et son manque de contrôle était présent. Il se disait qu'elle aurait rapidement passée au travers du mur a venir menacer Marcus chez lui ainsi. Il ce dit que garder son contrôle et évité le débarquement de soldats du roi serait une meilleur idée pour lui et pour le village.

Il déposa la plume, laissant quelques goûtes d'encres couler sur le bois, il ce leva lentement et dévisagea la soldat. Ne disant rien, sa panthère entra lentement, laissant sa grande queue touffu frôler la cuisse de l'invitée avant de venir a son tour se frotter sur Marcus, son maître. Ce même maître s'éloigna a nouveau pour souffler avec le soufflet sur les flammes, assurant la survie de celui-ci. Il en profita même pour compter et tester le tranchant des longues épées destinées aux soldats.

-Venir me menacer dans ma propre demeure, j'y vois du culot et du courage, car vos manque d'information a mon sujet est clairement gravé partout que je ne suis pas un homme a me laisser insulté. Mais je vous pardonne puisque la cour de votre roi doit ignoré que les Mercenaires dans les Colonnes d'Ébreus sont connus de tous. Demandé a tous le monde, ils vous diront la même chose que moi. Si la cours de votre roi ignorait une information connu de beaucoup, je me demande comment la gardes, dite royales, fait pour surveiller et protèges les sujets du roi.

Marcus éclata de rire a ses propres paroles. Son âge grimpant le rendait de plus en plus ''cinglé'' que certains disaient, mais Marcus se fichait bien d'être dément. Tant qu'il pouvait continuer son art, le raffiné et le transmettre aux générations futures. Le forgeron passa son pouce sur chaque lame et la dernière lui coupa légèrement le pouce. Portant le sang a ses lèvres, il resta pensif un moment. Dans sa pratique, il savait que si par malheur ou n'importe qu'elle moyens, il devait ce blesser de la plus petite au plus grande façon sur une arme forgé pour un autre, la lame allait ce retourné contre son porteur et il allait mourir de la plus atroce façon.
Ne voulant pas y penser, il se rappela plutôt que ce phénomène lui était arrivé que 6 fois depuis qu'il forgeait. Malgré cela, il savait que ce qu'il créait dans sa forge, allait lâcher sur son âme toute ceux tuées par les armes qu'il avait crée et cela, lui écrasait les épaules. Revenant a ses esprits, toujours en la présence de La Tour, il se tourna vers elle en soupirant.

-Je ne suis pas l'homme que vous chercher concernant ceux que vous voulez parler. Répondez a l'épreuve, et vous ne serez pas venu pour rien au moins.


Malgré cela, pour toute personne bien avisé, il était facile a savoir par le rictus discret de Marcus qu'il en savait plus qu'il le disait. Prenant sa grande épée, une belle arme, lame en acier tremper, double tranchant, pointe d'un tranchant parfait pour l'estoc ou raser une barbe. Sa garde finement travaillée en forme d'ailes d'aigle et son manche, en ivoire taillé par les mains propres de Marcus. Cette lame forgé a partir de celle qui l'avait lâché et qui avait causé la mort de sa femme, n'était plus qu'une pièce magnifique et travailler parfaitement. La pierre a aiguisé laissait de belles étincelles quand il la passa sur l'arme, un beau spectacle.

-Si, vous désirez tant les rencontrés, répondez a l’énigme et je vous laisserez venir avec moi pour la cargaison d'armes et armes qu'il m'ont demandés.


C'était ultimatum pour La Tour. Soit elle partait la queue entre les jambes, soit elle répondait juste et elle allait rencontrer le chef et les hommes qu'elle voulait voir.
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé

MessageSujet: Re: Il faut savoir observer [Marcus & Tour]   Il faut savoir observer [Marcus & Tour] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Il faut savoir observer [Marcus & Tour]
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Quand il faut y aller, il faut y aller ! [terminé]
» En quête de savoir
» Le savoir est une grande arme [Aliénor Isil]
» Petite course? [Marcus]
» Compte de Marcus

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Istheria, le monde oublié :: La Communauté & ses échangesTitre :: • Corbeille :: • Les vieilles aventures-
Sauter vers:  

(c) ISTHERIA LE MONDE OUBLIE | Reproduction Interdite !