Randiel Wyrdam

Sujet: Randiel Wyrdam Mar 15 Avr - 13:35

QUELLE PERSONNE ES-TU ?
Toi qui voyage sur ces terres oubliées

RANDIEL WYRDAM
" " La vertu, comme le corbeau, niche dans les ruines""

SURNOM: Rand, parfois
AGE: 22 ans
SEXE: Féminin

PEUPLE:Yorka
CASTE: Civile
METIER: Sa profession ? Elle endosse plusieurs rôles, mais pour le compte d’une seule personne. Elle est le second de Tekum Seh

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ARMES PRINCIPALES:
Deux dagues, dont les lames courbes sont longue comme son avant-bras
AUTRES POSSESSIONS:
Randiel peut posséder pas mal de chose, mais se contente d’une besace, ou elle fourrera ses « petites » rapine, ainsi que le nécessaire de survit.
DON:
se transforme en son essence animal : Le corbeau
POUVOIRS:
- Contrôle de l’air
- Empathie
- Traverser les matières
SPECIALITES:
- Camouflage (capacité à se faire discret, à se fondre dans le décor sans se faire repérer, enfin presque)
- Grande agilité (capacité d'acrobates et sauts longs)

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Décris-moi comment je te vois...

Les origines de Yorkas de Randiel sont très visibles. Le fait que son essence animale soit celui du corbeau, donc d’un oiseau, fait que de longue plume d’un bleu foncé avec de léger reflet vert à la lumière. Des plumes plus petites s’étalent sur sa mâchoire, couvrant un bout de sa joue. Sur ses paupières et ses sourcils, un fin mélange de cil et de plumes lui donne un air très doux, très agréable à voir. Cela peut être un atout pour elle lorsqu’elle veut charmer, à la condition que la personne en face d’elle n’ait rien contre les Yorkas, et contre les oiseaux. Son visage est fin, devenue celui d’une femme en plein dans la fleur de l’âge. Ses yeux, eux, sont d’un beau bleu marine, assez calculateur.
Randiel n’est pas très grande. Elle ne doit pas dépasser le mètre soixante-cinq. Plutôt fine, c’est quelqu’un de très agile, et qui n’a pas peur de se faufiler dans des endroits exigus et sombre pour se dissimuler. Des plumes sont visibles au niveau de ses avant-bras, sur un côté du bras, comme une esquisse d’aile. D’autre, plus petite et très fine, sont placées au niveau de ses hanches, sur les côtés.
Randiel s’habille de vêtement très léger, en lin. Bien que grossière, cette matière lui tient chaud, et permet de ne pas la trahir : des vêtements de trop bonne qualité pourraient faire tomber sa couverture. Elle privilégie les couleurs sombres, plus pratique pour son « métier », et les vêtements assez serrer pour ne rien accrocher au passage lorsqu’elle doit fuir. Elle porte une cape, autant par soucis de chaleur et de protection contre la pluie que par soucis de passer inaperçu. Des bottes en cuir terminent son équipement.
Elle n’est pas très musclée physiquement, mais compte beaucoup sur son agilité pour se débarrasser des gêneurs, autant par la fuite, ce qui peut amener au camouflage, que par le combat à l’aide de ses deux dagues, qu’elle manie comme une extension de ses bras. Elle ne pourrait pas parer des coups d’épée, du moins pas plusieurs, mais son esquive et son agilité, mêlée à un soupçon de ruse peut lui permettre de remporter des combats de manière improbable. C’est, à ce niveau-là, un vrai courant d’air. Peut-être s’aide-t-elle de capacité magique, à n’en pas douter.

Décris-moi comment tu penses...

Randiel est quelqu’un de libre, et d’un peu sauvage. Elle tient beaucoup du corbeau en fait, qui n’est pas son essence animal pour rien. Un poil trop attirée par les objets brillants, même sans valeur, elle a tendance à chaparder un peu tout, sans aucun état de conscience. Mais elle n’a jamais su se plier à des horaires : cela est bien trop ennuyant pour elle. Elle n’aime pas la routine, et préfère faire ce qu’elle fait le mieux : accomplir les tâches qui lui sont confiées avec le plus grand sérieux, avec cette envie presque vitale de plaire. L’avantage à son « métier » est sa grande liberté, qui, si elle n’a rien à voir avec son ancienne vie, lui donne l’impression d’être plus vivante que jamais.

Elle a envers sa condition de Yorkas une très grande liberté. Se transformer en corbeau et se retransformer en… Humanoide ne lui pose aucun problème. Elle ne se considère pas comme un monstre, bien que certain Terrans parle de sa race ainsi, mais comme une Yorkas : un peuple qui existe et qui n’est en rien inférieurs aux autres.

Elle est très joueuse, et profite amplement de son pouvoir d’empathie pour rendre un individu intéressant à ses yeux. S’il fut une époque où elle avait tendance à se mettre en danger par jeu, le changement radical de sa vie lors de sa rencontre avec Tekum Seh lui a appris la prudence : Elle ne vie plus pour elle, mais pour lui.

Randiel fut et reste un genre d’animal curieux. Elle semblera toujours sympathique, et tolèrera beaucoup de chose tant qu’elle ne se sent pas menacée. Le jeu fait partit de sa vie, mais elle a appris les règles. Son apparente bontés et sa fausse niaiserie en fera tomber plusieurs dans le panneau, car celle-ci n’est pas totalement feinte. Mais ses oreilles trainent toujours, et rien n’est jamais perdu avec elle. On sait peut être que le second de Tekum Seh est une yorkas, et qu’elle est d’une utilité dans les plans du duc, mais qui se douterait que cet oiseau futile fut la Randiel ?
Elle s’est beaucoup endurcit, et quelque chose c’est intensément développé chez elle : La loyauté. Elle est capable de tout pour son amant, et préfèrera mourir plutôt que de le trahir. Elle fait preuve, à ce sujet, d’une volonté en acier trempé.

Son comportement vis-à vis d’autres personnes lors d’une première rencontre est donc, quel que soit la race, assez mesquin. Il n’y a aucune volonté de blesser, aucune notion d’orgueil personnel, c’est une sorte de test dans un premier temps. Après quoi, elle voudra bien se montrer sous un visage plus sérieux, dans la limite du possible.
Cependant, si elle se sent menacée au point d’être sérieuse, on se confrontera à une créature capable du pire pour s’en sortir, profitant de la moindre erreur, capable de tuer de sang-froid.

Raconte-moi ce qu'a été ta vie...

Randiel est née lors d’une journée tout à fait banale. Petite déjà, des plumes étaient visibles sur son corps, comme un fin duvet. C’était une enfant Yorkas tout à fait normale, en bonne santé, et assez mignonne avec ses airs d’oisillon tombé du nid.
Très vite, elle se montra casse-cou, crapahutant un peu partout dès que ses parents avaient les yeux tournés. Plus elle grandissait, pus tout semblait être amusant pour elle. Et que dire, avec un bois comme terrain de jeu, elle avait fort à faire et à découvrir. Son don lui vint naturellement. Elle ne se rappelle plus quand elle s’est transformée pour la première fois, pour s’envoler dans un ciel si vaste qu’elle en avait eu le tournis. Tout cela, il lui semblait qu’elle l’avait toujours fait, depuis des années déjà. Quitter ses parents ne fut pas difficile. En fait, un jour, lorsqu’elle n’avait que quinze ans, elle s’envola pour ne plus revenir, trop perdue dans sa contemplation du monde. Incapable de retrouver son chemin, elle chercha de l’aide et se heurta à sa propre ignorance. Elle pouvait demander de l’aide, mais ne pas savoir ou elle était ni même ou elle habitait était un problème insurmontable. C’est ainsi que sa vie prit un tournant plus chaotique. Elle s’attacha à de nombreuses personnes, le temps d’un voyage, apprenant quelques trucs. Elle apprit le maniement de la dague grâce à un mercenaire Terran qu’elle avait rencontré en ville et qu’elle avait accompagné lors d’un voyage ou il escortait une caravane marchande, renforça ses pouvoirs au fil de ses rencontres. Et lorsqu’elle était seule, le vol devenait alors son moyen de survit. Le corbeau n’était pas un oiseau très apprécié, à cause des nombreux préjugés que les gens pouvaient avoir. Aussi Randiel apprit à se dissimuler pour mieux se protéger. Repérer sa proie en vol et la détrousser en chemin, pour s’esquiver aussitôt après, d’aidant d’un curieux nuage de poussière crée à l’aide d’une petite bourrasque, tout cela devint familier à Randiel qui ne se plaignait pas de sa vie. S’adapter au fil des années, cela n’était pas un problème, mais une question de survie qui ne lui déplaisait pas. Au fond, cela ressemblait à sa vie dans les bois, les dangers et les risques étaient différents, mais l’adrénaline restait la même.
C’est lors d’un de ses voyages en forêt qu’elle rencontra Pitchi, un petit oiseau passablement amoché. Elle le soigna, le gardant dans un premier temps dans sa besace, s’obligeant à garder une forme d’humanoïde pour le transporter. Très vite, le petit piaf se montra très reconnaissant et très affectueux, et se mit à accompagner Randiel ou qu’elle se trouve. Plusieurs fois, il lui sauva la mise en la prévenant à l’aide de pépiement de l’arrivée de garde ou du regard d’une personne susceptible de la dénoncer. Le lien qui se tissa entre ce petit animal et Randiel fut de plus en plus solide, si bien qu’il fut un jour capable de la prévenir à l’aide de sentiment. Elle n’avait pas eu besoin de son empathie pour ça. Randiel sut alors qu’elle ne pourrait jamais supporter de perdre cette adorable créature qu’elle pouvait martyriser à souhait.

Et puis, un grand tournant dans sa vie. D’abord un simple jeu, ou elle décida de pénétrer dans un château afin de profiter de la fête pour récolter information et menu objet, profité de la stupidité de la noblesse afin de préparer son pain du lendemain. Naïve.

Alors qu’elle pensait mener la partie, déguisée en servante, elle servit le maître des lieux et se retrouva prisonnière de ses anneaux, le serpent ayant attrapé le corbeau. Et étrangement, malgré la terreur qu’il lui avait inspirée, malgré le fait qu’il tenait sa vie entre ses mains, il lui donna le choix. Elle aurait pu fuir, loin du duc aveugle et de la noblesse, s’enfuir et garder sa vie telle qu’elle était. Mais… Il y avait quelque chose qui la fascinait chez cet homme qui lui inspirait crainte et respect. Elle avait été vaincue en quelques paroles, sans se battre, et même malgré cela, alors qu’elle n’était que la proie, il avait réussi à lui faire ressentir autre chose.

Elle avait décidé de lier son destin à cet « homme ». Il lui donna plus qu’elle ne pouvait espérer avant, lorsqu’elle était dans la rue, plus même que ce que ses talents méritait, plus que cette chose simple et sans valeur qu’était l’or. Le prix en avait été sa liberté, s’emprisonnant elle-même dans un cocon qu’elle ne pouvait crever : ses propres sentiments.

Le reste de son temps fut consacré à le suivre lors de ses déplacements, et ceux jusqu'à la nouvelle Arghanat.

QUI M'ACCOMPAGNE
Toi l'animal qui me suit
PRENOM:
Pitchi
RACE:
Oiseau
SEXE:
Féminin
POUVOIR:
Aucun, Randiel n’ayant pas donné de catalyseur à Pitchi : d’ailleurs, un si petit oiseau aurait eu quels dons ?
DESCRIPTION:
Pitchi est un petit oiseau très agile, pouvant être apparenté à un gros moineau au plumage vert clair, blanc au niveau du ventre. Ce petit animal a une assez longue durée de vie, mais aucune compétence en chant. Il sait à peine siffler, rien de mélodieux. Autrement dit, son unique moyen de séduction réside en sa couleur plus ou moins chatoyante selon le sexe.

Sujet: Re: Randiel Wyrdam Mer 16 Avr - 21:07

Bonjour et re-bienvenue sur Istheria!

Connaissant déjà la fiche et le personnage, je n'ai rien dire. Tu as fait les mises à jour depuis ton départ et tout me semble correct.

Fiche validée

Je pense que tu connais déjà les marches à suivre : ouvrir ton journal, ton coffre, ta boîte aux lettres et ton inventaire.

Bon retour et amuse toi bien!

~ Sighild's Theme ~
See what I´ve become

† Image - Inconnu & Image - hgjart †

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