Potion et tissus [Ambroisy]

C'est une bien belle journée qui commence. Bien trop belle d'ailleurs pour attendre le moindre client alors qu'il pourrait voyager sans craindre la pluie qui n'est pas apparu depuis quelques jours sur la capitale. Se qui n'est pas plus mal. Avec la pluie la ville est bien plus calme, bien plus vide et perd rapidement de son entrain entre tout les commerçants qui crient à présenter leur vente à des prix bas pour une bonne qualité, enfin cela reste encore à prouver. La seule boutique où l'on peut espérer de la qualité est bien entendu l'Herboristerie de Lumière, la boutique des Balibe connu pour ses potions de très haut qualité d^à son savoir transmit de génération en génération. Duscisio étant le dernière de sa génération, il profite pleinement de cette aubaine pourrait-on dire d'être la seul herboristerie qui propose pour de bas prix des potions de qualité supérieur. Toutes personne qui est entrer dans cette boutique vous le diront. L'herboristerie de Lumière est l'herboristerie là plus performante de la ville voir certain vous diront du monde entier. Du monde entier. Et pour cause, au vu que l'on voit beaucoup cette boutique fermer est simplement dû faut qu'il qu'il n'y a qu'une seule personne à s'en occuper, c'est à dire Duscisio lui-même. C'est un Balibe, alors il possède les connaissances requises pour entretenir cette réputation de plusieurs génération. Duscisio, ses parents et peut-être avant même. Rien n'a été dit sur la naissance de la boutique par le simple fait qu'elle marche suffisamment pour faire vivre quelqu'un sans le moindre problème. De temps à autre il y a des mois sans vente, ici c'est la saison qui annonce le début de quelques maladies de saison. Quelque soit se maux, les potions qui sont de saison sont mit en vitrine et le plus en évidence. Mais se n'est pas pour autant que les clients connaissaient le nom de ses potions ou encore leur effet, car la technique de Duscisio s'améliore de mois en mois et ses potions sont de meilleurs qualité au fur et a mesure.

Voilà que le soir arrive. Il est temps maintenant de fermer, mais la boutique reste ouverte au client d'urgence qui préfère les potions de Duscisio au médecin des plus crapuleux, même s'il sont rare comme la boutique et le cabinet d'un médecin qui semble également avoir fait ses preuves, la boutique des bien heureux ou quelque chose dans se genre là, une concurrence au potion d'une simple herboriste contre un médecin de renommé dont le métier est de soigner les gens. Duscisio aussi soigne, mais il n'y a pas que des potions pour les personnes et tout le monde ne fait pas confiance dans des potions fait par des gens bizarres. Oui. Duscisio fait partit de ses personnes bizarres et il y a de quoi. Les Balibes sont certes renommé mais pas apprécier de tous. Ça changera un jour où l'autre.

Après avoir bien ferme la porte de la boutique, alors que Duscisio habite juste à l'étage au-dessus en montant un escalier, alors qu'il rangeait la cloque qui servait à le prévenir d'un de ses clients qui pourrait venir en urgence. Duscisio ferme et sort de la boutique pour le simple fait qu'il allait faire un tour. Il a travaillé toutes la journées à concocter un stock de divers potions de saison avec une partie du stock d'herbe venant soit de n'importe quelle jardin – oui il est possible de faire des potions curative avec tout se qui se trouve dans un jardin – ou du monde entier.

Le temps de la promenade et des possibles courses à faire pour le repas de ce soir est arrivé. De quoi prendre à manger de ses que Duscisio a envie. Du poison pour ce soir semble très bien. Cuit avec quelques herbes aromatique et vous avez un plat digne d'un roi. Mais le jeune garçon est plus herboriste que cuisinier, il ne sait que compter sur les plantes qu'il exploite pour divers raison – d'ailleurs pour cette raison que Duscisio propose des herbes aromatisé dans sa boutique pour divers utilisations.

La capital est encore animé même à cette heure tardive alors que le crépuscule commence à gagner le ciel trop lumineux. L'ombre des maisons offre la possibilité à Duscisio de ne pas mettre sa capuche. Une liberté qu'il ne prend pas souvent car l'albinos est fragile au soleil. La peau pale, les cheveux blanc argenter exposer à toutes personne le regardant de différant manière, leur regard ne dérangeant pas plus que ça le jeune garçon maintenant habituer depuis longtemps à toutes sortes de regard qu'il soit amical ou méprisant rien que par cette apparence peu commun qu'il possède. Tout personne regardant ses yeux change par contre de direction sauf les vendeur de bien alimentaire qui le connaissait bien. Duscisio leur adressait quelques geste amical dans leur proposition de vente, viande légume, il acceptait ou refusait selon se qu'il voulait prendre aujourd'hui. C'est un client fidèle.

Et enfin, une étal qu'il n'avait jamais vu auparavant. Une étal de vente de tissu, une étal ou une jeune femme présentait ses produits avec entrain encore à cette heure. Cette jeune fille avait des caractéristique frappante, digne de quelqu'un qui voyage beaucoup pour vendre le plus possible. Mais ici l'étal avait l'air intéressant. Du tissus. Celui ci avait une qualité bien bonne à se qu'il avait pu voir avant fin des yeux il pouvait dire que ce tissus était de qualité mais es-ce vraiment le cas ? Il approcha de cette étal ou cette jeune fille criant encore alors que Duscisio regardait ses produits. Pourquoi être intéresser par du tissus aujourd'hui ? A vrai dire, Duscisio vit seul et donc il prend seulement se qu'il a besoin. Le tissus ici semble utile dans la simple mesure ou il a abimé l'une de ses capes lors de l'un de ses voyages, cela se voit d'ailleurs, la cape qu'il porte est la cape en question, est un peu abimé par l'usure du temps et les aléas de la vie de voyageur.

^{[HRP] Je m'occupe du PNJ et de ses confrères, parole en bleu.}

Duscisio portait toujours le regard des autres sur lui. Pourquoi n'y prête plus attention ? C'est une habitude qu'il à finalement prit, on le regarde tout le temps, quel qu'en soit la cause de leur regard, les personnes regardent souvent se qui les marquent, les choquent ou encore leur fait peur pour mieux s'en protéger. Se protéger de quoi précisément ? Tout le monde le sait en Hespéria, Duscisio possède des facultés des plus rares, des plus étranges mais aussi ds plus effrayante. Sa magie est effrayante, un certain pouvoir fait immensément peur, son aspect dégoute parfois certaine personne. Le Blanc n'y peut rien. Il fait avec, il a apprit à vivre avec. Pourtant ici il est des plus inoffensif. Enfin dans une certaine limite. Oui. Duscisio n'a pas prit son bâton cette fois ci, bâton qui est orné d'une pierre de lumière, un catalyseur nécessaire pour créer cette magie si redouter. C'est un choix, mais il a tout de même son épée et son sac de voyage avec lui. Il pourrait aussi s'en passer, sauf le sac, après tout il a ce pouvoir si effrayant qui marche sans. Pouvoir qu'il n'utilisera pas pour la simple et bonne raison qu'il n'est là que pour prendre dont se qu'il a besoin et non chercher à blesser quelqu'un.

Mais pourquoi parler ce tout ça ? Réponse évidente au fait que dès qu'il a aperçu cet étal un regard de plus s'est posé sur lui. Par un regard de dégout, pas de haine rien de tout cela. Il le sent en lui, c'est un regard de surprise voir de stupéfaction. C'est cette jeune fille, la jeune fille au tissus. Duscisio était en train de regarder tranquillement la qualité du tissus qu'il aimerait peut-être prendre. Selon le prix pour la quantité dont il a besoin, la cape qu'il porte étant celle qu'il porte le moins, celle qui est a refaire est bien abimer. La seule preuve que l'on a que ce jeune homme est un voyageur au fait que le pan de la cape n'est plus violet mais bien marron, gris, beige toutes mélanges de couleur indélébile par le temps et l'usure. Duscisio touche, sens le tissus de la couleur végétation et il touche encore une fois tout en ignorant tous les regards porté sur lui. Jusqu'à que finalement une question soit poser. Non pas celle de savoir se qu'il était ou se qu'il faisait mais bel et bien la seule question qu'une commerçante digne de ce nom pose à l'un de ses clients.

Et bien j'hésite pour dire. Il me faut une autre cape car l'autre est particulièrement abimer. Il est clairement plus rentable pour quelqu'un comme moi de prendre du tissus de qualité, des ciseaux et une aiguille de la faire moi même que d'en acheter une toute faite.

Il réfléchit un instant. Cette avantage il l'a apprit il y a beaucoup de temps. La seules capes qu'il ne porte pas lors de ses voyages c'est bien celle-ci, bien entretenue, sans le moindre défaut, la moindre déchirure ou saleté de toutes sortes. Cette cape violette est celle qu'il porte depuis longtemps maintenant, un peu courte sur le bas elle lui protège la tête du soleil quand il y en a trop. Ici sa capuche est rabattu sur son dos plier soigneusement ne lui est pas utile. Vu que le crépuscule va bientôt disparaître et que les lanternes qui commence à s'allumer avec une personne qui est payer pour, passe dans les environs avec sa petite chandelle. Si cette personne passe alors il est préférable pour Duscisio de vite se décider. La nuit rode de diverse personnes peu scrupuleux, pouvait allez jusqu'à tuer pour une petite bourse de dias bien remplit quand leur victime résiste un peu trop.

Je vais prendre deux mètres sur un mètre cinquante de ce tissus là.

C'est 200 dias l'emplacement, pour la nuit ma demoiselle.

Alors que Duscisio était en train de désigner le tissus de couleur verte sombre qu'il allait prendre, un homme s'approcha non loin de la jeune fille. Duscisio qui avait prit cette fois d'un coup pour cette jeune fille en question mais pour qu'elle change de voix d'un seul coup c'est qu'il y avait un problème. Malheureusement se ne fut rien de cela. C'était un homme, relativement gros qu'il avait déjà vu avant. C'est un chapardeur. Il n'hésite pas à voler les plus belle marchandise pour s'en mettre plein les poches quelques jours plus tard avec l'une de ses vendeuses dans une boutique connu de la ville.

Duscisio le regardait de loin et pas très amicalement sans se mêler des affaires des autres de peur d'attirer un peu trop l'attention qu'il la déjà fait mainte et mainte fois, se qui a valu ses regards. Il exagérait sur le prix bien entendu pour qu'elle cède une partie de sa marchandise. Seulement il ne fallait pas qu'elle se laisse berner. Duscisio continua à faire comme s'il n'était pas là. De plus si se n'était pas la marchandise c'était bien autre chose, il valait bien s'en douter. Voyant qu'elle ne faisait pas encore attention à lui il répéta sa phrase alors qu'il tendait sa main pour la futur bourse et deux autres hommes s'approcha de lui, des complices si les choses tournaient mal, l'un deux d'ailleurs portait un regard sur Duscisio, ou plutôt son épée alors qu'il avait sa propre main sur la sienne pour le dissuader de la prendre en main.

On ne le sens pas mais la tension monte énormément. Duscisio qui était là pour acheter de quoi manger et éventuellement prendre quelques bricoles ici et là pour les besoins de voyage. Maintenant le voilà confronter à se qu'il aurai voulu à tout prix éviter. Une confrontation dans laquelle il n'est mêler en rien. Mais les principes de Duscisio va à l'aide de la personne en difficulté, difficulté de toutes sorte. Et là c'est une difficulté de taille. Trois personnes s'en prenant à une jeune femme apparemment sans défense, s'il n'a pas prit son bâton se n'est pas pour rien mais en sachant que cette fois ci il en aurait eu besoin c'était autre chose. Ça ne va pas du tout. Pour une fois qu'il espérait être en paix le voilà dans le mauvais endroit au mauvais moment. Il ne sait plus quoi penser. La seule chose qu'il fait à présent c'est regarder l'acolyte du gros homme qui tenait toujours son épée tout en regardant l'albinos ne touchant strictement pas à la sienne. Non il ne veut pas la sortir. Il y a encore trop de monde qui l'entoure, trop de personnes qui le regarde. Ça va encore finir en drame ou encore sa réputation de remue-ménage qui va s'aggraver. Mais il y a avait quelques chose qui avait changer.

L'autre acolyte qui regardait les courbes de la jeune fille avec appétit regarda soudain l'albinos. Il le regarda dans les yeux. Ses yeux était devenu méprisable, mais ses pupilles n'était plus ronde, elle était fendu. Il approcha sa bouche de l'oreille de son confrère pour lui murmurer quelques chose. Lire sur les lèvres est une chose aisé, mais lire sur le visage était encore plus facile. Lorsque qu'il reconnu sur ses lèvres son nom de famille celui qui tenait l'épée en main fit un visage d'étonnement. Sans détourner dur regard il demanda confirmation, sans détourner le regard sa main fut plus crisper.

Le gros perdait patience. La jeune fille avait sorti une bourse, elle allait payer ce voleur pour un emplacement qui n'a aucun prix. Les commerçant autour faisait comme si de rien n'était mais avait une certaine gêne, autant pour Duscisio que pour la jeune fille. Ses deux là étaient dans une sale situation.

Allons dépêchons jeune fille. Si se n'est pas en pièce c'est en marchandise ou en nature je te laisse le choix.

C'est de pire en pire. En plus d'y aller franchement il ose dire cela à haute voix. Quel homme malsain. Il en riait même. Duscisio devait avant tout reprendre son calme. Ne pas céder à quoi que se soit. Mais l'erreur a ne pas faire fut faite. La jeune fille avait clairement refuser et l'homme très envelopper s'énerva et lui attrapa le bras pour la secouer de toute ses force, et il en avait de la poigne.

Mais pour qui te prend tu, sait tu seulement qui je suis sale garce.

Et il la secouait encore et encore pendant que ses acolytes avaient complément oublier Duscisio et riait de l'agissement de leur patron, se frottant des mains intérieurement en sachant se qu'il allait pouvoir faire d'elle pour payer un faux prix qui avait maintenant augmenter. Se n'était pas une nuit qu'elle allait payer maintenant, c'était une bonne journée à se faire violenter par tous les hommes qui travaille pour lui, dans le meilleurs des cas.

Lâchez là immédiatement, boule de gras.

Mais autre chose encore vint d'un seul coup. Duscisio avait prit cette agression pas du tout à la légère. De la poussière noir tournait autour de lui alors que l'homme concerner le regardait sans y prêter attention, voyant ça comme de la poussière normale. Il ordonna à l'un de ses sbires de s'occuper de lui. Prenant l'épée en main et la dégainant il marcha vers Duscisio qui dégaina son épée à son tour. Geste qu'il regrettera surement mais il n'avait pas le choix. Au premier coup de son adversaire, en dégainant son épée, le geste fut tellement rapide que l'épée adverse vola en l'air. L'épée de Duscisio – Toribrioé – était toujours dans sa main, lame pointer vers le haut pendant que l'autre regardait son épée voler. Il garda un cours instant cette position avant de faire un tour sur lui-même pour prendre de l'élan avant de donner un violent coup de pied dans les côtés du sbire.
L'homme n'avait toujours pas lâcher la jeune fille qui avait sans doute commencer à se débattre. Duscisio lui avait parler à voix basse alors que l'autre sbire était en train de se mettre en garde à son tour.

Je sens que je vais le regretter...

Mais comment le jeune garçon a apprit à se battre ? Alors que la jeune fille avait ses propres problèmes du moment, Duscisio devait neutraliser ses acolytes afin que personne ne soit blesser. Absolument personne. Duscisio ne se bat pas pour tuer ou pour blesser, la simple vu du sang lui donne des nausées. Ici, contre son adversaire, il ne cherche qu'à contrer l'épée de son adversaire. Ici, il ne fait que se défendre mais ses mouvements sont si fluide, si précis que l'acolyte a énormément de mal à faire quoi que se soit d'autre que de frapper sur Toribrioé. Toribrioé. Cette épée noire autre le fait qu'elle soit aussi belle qu'impressionnante par sa vue est une épée exceptionnel. Fait d'un métal donc l'alliage est maintenant oublier, sa solidité est telle qu'avec suffisamment de force elle couperait cette épée qu'il frappe et qui se détériore sans que son propriétaire s'en rendent compte. Toribrioé ne s'abime pas, Toribrioé ne s'émousse pas, cette une épée tout se qu'il y a de plus parfaite.

Alors que l'adversaire était en train de porter l'élan d'un coup, le jeune albinos prit également de l'élan. C'était le moment de neutraliser cette épée. D'un geste précis, rapide et au plus fort qu'il pouvait, Duscisio donna un coup sur cette épée fragiliser par les chocs de sa propre épée pour la couper littéralement en deux. L'acolyte qui regardait le bout de sa lame voler en l'air tout en tournoyant aléatoirement dans une direction perdit sa concentration sur Duscisio qui se vit envoyer le même coup de pied qu'à son collègue, dans les côtes histoire de lui en casser une ou deux sans qu'une goutte de sang ne soit verser. La douleur était telle qu'il se crispait sur le point de douleur, en silence le visage très expressif.

Dans ce coup il y eu un bruit de fracas et de métal qui se brise. Alors que le gros homme était en train de se prendre une rouste de paroles, alors qu'il allait s'en prendre plein la figure, il entendu ce bruit qui avait l'air pour lui très inquiétant. Et pour cause, une fois ce son entendu il était arrêter de crier après la jeune fille pour regarder par dessus son épaule alors que ses deux acolytes était au sol crisper de douleur, mais toujours en vie. Il était seul maintenant. Il regardait Duscisio du coin de l'œil alors qu'il rengainait son épée et se retournait pour aller le voir. A cet instant il était en train de sentir la sueur perler sur son front. Visage de pitier maintenant qu'il était faible, pour lui valait mieux demander pardon voir...

Doucement jeune homme, on peut s'arranger. Partager les gains. Combien tu veux ? Hein ? Un jeune homme comme toi doit avoir du mal à vivre non ?

Déguerpissez immédiatement.

Le ton de Duscisio était dans une inexpression la plus totale, mais le visage était très expressif lui. Par peur de s'en prendre plein la figure il s'éloignait en se cassant la figure dès le premier pas, ayant du mal à se relever il prit toutes ses force de sa peur pour se relever. Duscisio ferma ses yeux et se calma doucement, respirant profondément et finalement regardant la jeune fille.

Si vous allez bien pouvons nous reprendre on l'on en était ? Je ne dois pas laisser ma boutique disponible trop longtemps.

Quel journée. Je vous jure. Cette aventure change clairement de la patience qu'il a dans sa propre boutique à attendre les clients tout en concoctant des potions ici et là dans l'arrière boutique avec une technique familiale des plus secrètes. Voilà l'affaire régler sur le moment. Se n'est pas la première fois d'ailleurs que cela arrive. Il connait très bien cette homme. Il escrocs les nouveaux commerçants qui arrivent dans la capital pour les arnaquer au plus haut point, prendre leurs marchandises en payement de l'emplacement qu'ils ne peuvent payer pour les revendre encore plus cher. Dans le pire des cas, quand il s'agit de femmes je n'ose dire se qu'il s'y passe mais rien qu'en voyant ses deux là se lécher les babines tout en regardant les courbes de la jeune fille, cela se laisse deviner.

Enfin cela est fini pour l'instant. L'impression de déjà-vu est terminé et l'achat peut reprendre de plus bel. Une tissus de deux mètres sur un mètre cinquante. Les deux mètres sont la longueurs bien entendu, mais une partie sera utiliser pour fabriquer la capuche, partie principal de la cape mais aussi la plus difficile. La couleur est la qualité du tissus se voyait clairement. La manière de couper le carré avec des ciseaux défini la qualité quand on a le bon œil. En même temps, si Duscisio n'avait pas cet œil il ne ferai pas sa propre boutique. Alors qu'elle décidait du prix pour ce carré, Duscisio pensa à une petit truc tout en sortant sa petit bourse de peau animale fermer par un petit lacet de tissus, en regardant s'il y avait assez pour la somme qu'il devait avoir. Bien que la bourse était déjà sortie il continuait momentanément à chercher autre chose qui n'était rien d'autre qu'un petit pot de couleur argenté en forme de médaillon lisse, gravé par les inicial BL, nom de la boutique en question dont s'occupe l'albinos.

Elle se décida enfin au fait qu'il ne devait rien. Pourquoi n'était t'il pas si surpris que ça ? Le fait qu'il ne l'était pas était tout à fait normal. Se n'est pas non plus la première fois que cela arrivait. Il garda la bourse dans la main tout en sortant une demi-douzaine de pièce de dix dias, et fit la même chose qu'avec les autres offres qui lui on été offerte.

Je ne craint devoir refuser cette offre. Prenez ça et ceci. Le pot contient un baume pour la peau. Il vous enlèvera la marque qui a surement été fait à cause de cette homme en vous tenant comme une brute. Il faut l'appliquer donc ne l'avaler pas si vous ne voulez pas vous intoxiquer.

Sourire en coin. Duscisio refusait toujours les offres mais il n'hésitait pas lui à offrir. Après tout l'un de ses principes est bien de venir en aide à ceux qui en ont besoin. Quand il avait parler de sa propre boutique une certaine curiosité émanait de la jeune fille. Les questions qui dépendait de quoi et où était la boutique furent les première question auquel Duscisio répondit.

Je suis propriétaire d'une boutique d'herboristerie dans la capitale, dans un quartier modeste. Je fabrique diverses remèdes de toutes sorte fabriquer à partir de plantes que je vais moi-même chercher à travers le monde.


Il fini par la conseiller, surtout après se qui venait de se passer.

Je ne vous conseille pas de rester ici cette nuit. La pluparts des commerçants ont fermé et les voleurs et autre bandit de toutes sortes rodent dans les rues sombres. Si vous n'avez nul part ou loger je peux vous inviter se n'est pas un réel problème, je vis seul.

Alors qu'elle rangeait ses affaires, Duscisio restait sur place. Après le conseil et la proposition d'invitation, la jeune fille ne pouvait qu'accepter. Déjà qu'elle perdrait beaucoup avec le peu qu'elle a vendu ce soir Duscisio a tout de suite penser à tout avec son commerce qui n'allait pas faire bénéfice. Duscisio est un commerçant à sa manière, mais aussi un voyageur, il connait très bien les avantages et inconvénient qu'elle possède. Demander si cela ne le gêne pas était également évident. Duscisio la regarda après avoir ranger son achat dans son sac, la fermant de sa lanière.

Je vous l'ai dit, je vis seul. Et puis un peu de compagnie ne peut pas faire de mal de temps en temps.

Réalité que le jeune garçon se sentait seul depuis maintenant bien longtemps. La jeune fille, en allant chez lui, allait vite s'en apercevoir. Elle rangea ses affaires, l'albinos attendit très peu de temps avant de la voir prête à rentrer dans un toit. La présentation du nom lui avait également échapper. Le moment de se faire appeler Monsieur lui était étrange. La plupart du temps c'était gamin, l'albinos, LeBlanc et tout autre surnom que l'on pouvait imaginer dans cette ville à cause de sa réputation et de son apparence. LeBlanc était son surnom préféré. Il leva donc la tête et fit un geste de sa main comme quoi il avait véritablement oublier de prononcer son nom.

Oui, pardonnez-moi. Duscisio. Appelez moi Duscisio. Et vous ?

Il attendit la réponse et continua.

Bien allons y.

Il faisait presque nuit déjà et le temps de rentrer se faisait présent. Il n'avait eu finalement pas le temps de prendre de quoi manger, aller sur les réserves de nourritures qui dépasse la semaine seulement. Comme la routine fait partie de son quotidien, il prévoit toujours de faire des courses pour la semaine en rentrant après des semaines voir des mois de voyage. Rivaliser avec les imprévus fait partis de la vie de tous les jours.

Il fit signe de le suivre tout en prenant le temps de marcher à travers les rues. Entre les grandes rues pour quitter le quartier commerçant de la ville et les petites pour changer de quartier rapidement, le temps ne passait que très peu pour arriver à se qui semblait une avenue parée de pierre beige assombrit à la pénombre de la nuit et enfin devant une maison entre d'autre qui avait une enseigne avec deux noms, le premier et la plus belle écriture étant "Limiria di BariaBalt" et un peu en dessous et en plus petit se qui semblait sa traduction d'une langue peu commune : "L'herboristerie de Lumière". Ceci n'était que l'enseigne, la maison qui l'a possédait avait trois étages distincts, une boutique à son rez-de-chaussée où la porte était fermer à clef. Il l'ouvrit avec une clef sortis de son sac après avoir fait un signe de main à son invitée d'attendre une seconde. Il sortis la cloche afin de le prévenir d'un client urgent et refit un signe.

Comme il n'y avait aucune lumière dans la boutique il était impossible de voir se qu'il y avait à l'intérieur, seule les vitrines extérieur remplit de toutes sortes de plantes sécher disposer de manière à présenter la boutique était à peine visible. Une fois fait il ferma la boutique et alla à la porte juste à côté où il invita la jeune fille à entrer.

Attachez votre monture à cette embarde, je m'en occupe. Puis rentrer vos marchandises près de l'entrée de la boutique et montez. Je vous rejoins.

Derrière la porte il y avait un escalier pour allez à l'étage, les petites lumières des lampes éclairaient les lieux, l'escalier il y avait assez, mais en montant elle allait vite voir que tout était déjà emplit de lumière par de multiples lampes de toute sorte, très bien meubler mais avec une fine pellicule de poussière sur leur surface et un autre petit escaliers pour un dernier étage.
Il y avait également divers tableaux de taille moyenne avec des paysages de toutes sortes mais les plus petits, disposer sur l'un des meubles de la maison il y avait quelques tableaux donc Duscisio était dessus seul et d'autres avec se qui semblait des adultes - ses parents - l'air joyeux et une dernière avec les trois réunit, se qui était son père, sa mère et lui dans un visage des plus fixes mais des plus souriant. Rien qu'en regardant le visage des tableaux et celui de l'albinos qui ne mit pas longtemps avant de la rejoindre, la différence d'expression était flagrante. Sur la petit tableau il était souriant, mais maintenant il n'avait plus aucune expression comme s'il cherchait à cacher quelque chose.
Duscisio montra plusieurs portes tout en lui disant où s'installer.

Il y a une chambre d'amis dans la porte à votre gauche. Je suis à l'étage si vous me cherchez pour une quelconque question. Avez vous faim ? Je vais allez faire de quoi manger pour ce soir.

Elle avait l'air un peu mal à l'aise. Rien de bien étonnant quand on est invité dans une maison que l'on ne connait pas. Duscisio quand à lui avait poser la question de savoir si elle avait faim, le fait est donc que c'était le cas et ses maigres capacité de cuisinier allait faire preuve de bon sens. Il était au dernier étage en train de se débarrasser de ses affaires. Entre son de métal poser sur un mur de bois et des vêtements discrètement poser sur une chaise. Il resta avec une chemise assez élégante et un autre pantalon qui pourrait être encore un peu grand pour lui au fait que c'était à son père, comme la plus part des autres vêtements adulte d'ailleurs. Nul besoin donc de racheter des vêtements qui sont déjà en bon état malgré le temps qu'ils ont vécu. Il coiffa sa tignasse argenté d'un bandeau beige pour les tenir en arrière et descendit, pour aller dans la cuisine en la regardant légèrement s'installer. Et regarder dans la réserve se qu'il pouvait faire de bon ce soir. Il ouvrit donc une porte d'où les mets parfumait quelques peu la maison en plus de l'odeur d'herbe aromatique pour cuisiner.

Ce n'est pas vraiment gênant de partager pour moi. Je vis seul et donc un peu de compagnie ne fait jamais de mal.

Il avait fermer la porte dans un claquement sonore en lâchant un oups par-ci par là dans le cas ou il s'était fait un peu sursauté. Puis les bruit de couteau sorti de leur étui de bois avant que le fortement d'une queue de rat pour les éguisser quelques secondes de geste habile dûe à son maniement d'épée sans doute. Hachette à viande se posa sur la table et il prépara le feu qu'il alluma avec le bois qui était entreposer. Il ne manquait de rien si cela pouvait questionner la jeune demoiselle il allait continuer sur le pourquoi du comment même si cela ne l'intéressait pas forcement.

La maison vient de mes parents, il ont tout acheté et entretenus c'est donc à moi d'en faire de même. C'est un peu difficile mais j'aime aider les personnes qui en ont besoin en leur donnant divers remèdes. Une raison un peu de se satisfaire soi-même. Vous avez beaucoup faim ?

La réponse ne s'était pas faire utile dans le fait qu'il avait préparer assez pour deux personnes, menu à base de viande donc le parfum commençait à griller en peu de temps. Bien que peu adroit à la cuisine généralement c'était assez plaisent pour lui donc l'espoir que cela l'était pour la jeune demoiselle serait un plaisir. Le peu de temps qu'elle passa a cuir était suffisant pour donner l'envie de la manger avec appétit. Il sortit une assiette et un couvert pour le poser sur la table qu'il accompagna de fruits dans un seconde voyage vers la cuisine. La tranche était appétissante et soigneusement couvert d'herbe ressemblant à des feuilles de buissons. Il retourna dans la cuisine pour finir sa part et se mettre à table.

Je préparais votre chambre une fois le repas terminer, j'espère que vous aller aimez. Tout se mange, même les feuilles qui remplace les légumes que je n'ai pu prendre, c'est juste un peu amer.

Il avait encore son tablier et s'empressa alors d'aller l'enlever dans la cuisine afin d'être un peu plus présentable. C'est incroyable d'ailleurs de le voir ainsi, un côté que l'on ne soupçonne pas chez lui de prendre autant soin de ses hôtes. Vous l'avez surement deviner mais il essai forcement de séduire un peu la jeune demoiselle le plus discrètement possible. Bien que timide par nature d'où son inexpression total alors qu'il venait de s'assoir.

Il n'y avait pas de quoi paniquer. Rien n'était exceptionnel sauf le fait peut-être d'avoir une tel maison qui s'acquit sur les année de travail quotidien. Maintenant que la maison est à Duscisio rien n'a changé. Depuis le départ pré-maturer des parents rien n'a bouger si se n'est quelques couverts et la poussière enlever pour laisser la maison propre. Rien n'a absolument rien changer. Il ne demande pas qu'on lui nettoie sa maison en son absence, il ne demande pas non plus de veiller sur la vente de la boutique. Il fait tous tout seul. Passe temps quotidien autre que les voyage mondialement fait pour toutes sorte de raison.

Pensif pendant qu'elle parler d'elle même est sur le fait qu'elle citait n'étant pas grosse mangeuse, elle avala tout de même d'un trait la viande qu'on lui avait présenter devant son nez. Il fit un sourire en coin et un non de la tête pour annoncer son amusement. Il pensa tout de même à répondre à la soi-disant question sur le fait de s'occuper de la maison.

Ce n'est pas vraiment un problème. Comme je voyage beaucoup et que je ne demande qu'à surveiller la maison de manière visuelle à des connaissances qui savent ma situation personnelle.

En tant qu'herboriste et que fabriquant de potion, Duscisio voyage et pas qu'un peu d'ailleurs. Il voyage à travers le monde pour chercher lui-même les plantes dont il a besoin. Qu'elle soit loin ou toutes proche, difficile ou facile à trouver il y va et il y va seul. Armer d'un simple livre tenue de génération en génération par la famille, il chasse en quelque sorte les plantes rares. D'une petite blessure jusqu'à une maladie relativement grave à soigner il peut quasiment tout faire. IL est même dit que son nom à commencer à faire le tour du monde avec une potion qui a fait renaitre une personne qui venait juste de mourir. En réalité c'est un peu d'ailleurs grâce à Isaril tout ça. Le jour ou il est entrée en tant qu'Ascan, il lui a montré une plante rare sur leur chemin. Cette plante avec une substance qui a permit au cœur de rebattre pour la personne sauver. La personne en question était jeune et forte heureusement Duscisio se trouvait dans le coin, de plus il lui reste encore de cette potion pour le cas où cela recommence quelque part. Pour ainsi dire, Duscisio avait toujours le nombre de potion en tout genre pour tous maux. Une manière pour lui de se rendre utile et également d'augmenter cette popularité mondiale. Ceci est tout de même à vérifier pour la popularité, le bouche à oreille surement, il a fait forte impression sur de multiples personnes.

Revenant quelque peu à lui et sur ses pensées perdues du passé au remerciement de la jeune fille pour le repas, Duscisio avait également fini sans s'en rendre compte. Elle cita bien qu'il n'était pas obliger de lui prêter une chambre. Un regard quelque peu étonner. Il se leva de table en lâchant un léger soupir et partis pour l'une des portes qu'il ouvrit sans y aller.

Puisse que je vous dit que se n'est pas un problème. Néanmoins si vous avez besoin d'un coup ou avoir une certaine discrétion cette pièce est à vous.

Il fit un léger sourire avec sa main sous le menton et un regard fixer sur la jeune fille d'un air de dire j'aimerai le voir même si je le nie.

Il ne faudrait pas que je vous vois alors que vous êtes en train de vous changer.

Il ne verrai rien. Au moins elle avait comprit son intention c'était déjà ça. Il affichait tout de même un regard moitié déçu moitié soulager. Déçu se n'est pas difficile à comprendre voir une femme dans un état de nudité fait monter la température de plusieurs mâles sans aucun doute. Soulager par le fait de ne pas la surprendre et la laisser dans un état de honte alors qu'elle voit un être humain de sexe opposé la regarder de font en comble dans ses plus belle formes les plus harmonieuse. Ne voulant aller trop loin dans son propre délire, il s'éloigna de la porte qu'il laissait ouverte dans le cas d'un changement d'avis, sans dire un mot, juste un petit sourire en coin tout en s'imaginant toute fois la scene si cela arrivait. Bien que cela le fait de se changer elle posa une autre question sur le fait de retirer sa chemine car il faisait chaud dans la maison. L'habitude de dormir dehors le fit sourire également.

Je comprend parfaitement. C'est pour cette raison que je suis moi-même en chemise. Sinon oui je suis très bien couvert, et pas que pour la nuit si vous comprenez se que je veux dire.

Il faisait allusion à sa peau qu'il couvrait de multiple couche quand il y avait besoin. IL n'y avait assez de lumière pour la maison la journée pour ne pas allumer toutes les bougies, bien que quelque une restait allumé pour l'ambiance général de la maison, une ambiance chaleureuse qu'il aime avoir pour que la maison ne soit pas déprimante. Qui voudrait dormir dans une maison qui n'inspire pas confiance ?
Elle retira sa chemise en passant par la tête faisant part d'un sourire et à la vu d'un débardeur léger. Il souleva un sourcil. Juste après il se remit à l'esprit des corvées à faire avant d'être enfin tranquille, profiter de la soirée comme il a l'habitude de le faire. Il marcha allant vers la cuisine qu'il avait occuper pour préparer le repas, d'un son on l'entendait pomper l'eau pour la vaisselle et le son de la porcelaine poser sur les séchoir à vaisselle. Puis le métal et enfin le bois. Le bois il entretenait le feu pour qu'il dure assez pour laisser une bonne température dans la maison. Il préférait avoir plus chaud que froid, cela se voyait la journée, la couche de vêtement on croirait qu'il a toujours trop chaud mais il préfère largement ça au fait de tomber dans les pommes à cause d'une insolation. D'ailleurs cette chaleur qui régnait dans la maison fit remarque par la jeune fille.

Vous savez la maison est très bien isolé de l'air extérieur, c'est pour cela qu'il faut chaud. J'allume le feu de temps en temps le soir pour garder cette chaleur. Au vu que la saison chaude arrive petit à petit je l'allume de moins en moins. C'est d'ailleurs pour la raison que si jamais vous avez trop chaud vous pouvez aller dans la chambre que je vous prête pour ouvrir la fenêtre et vous isolé.

Il parlait à travers la pièce pendant qu'il finissait de mettre du bois dans le feu qui crépitait. Il ferma la vitre qui séparait le feu de la maison pendant qu'il ouvrait une bouche pour que seul la chaleur sorte. Il monta l'étage et revenu dans la pièce principale avec un livre à la main puis prit place dans l'un des bouteille. La couverture était assez étrange car l'écriture n'était pas dans un langue commune. Impossible donc pour Ambroisy de lire ce livre. Ce n'est pas le seul livre comme ça d'ailleurs. Il ne le sont pas tous ainsi mais on peut clairement voir plusieurs livres portant la même écriture quelque peu bizarre.

Je le fais également dans ma chambre quand je ne m'endors pas ici même alors que je lis un livre. Donc il se peut que par la journée passée, je m'endorme ici-même. Concevoir des potions quand on a un secret bien particulier n'est pas de tout repos vous pouvez me croire.

Il ouvrit son livre dans laquelle il y avait un marque-page, une fleur sécher coller sur une bande de parchemin d'un marron très clair. La chambre était aussi pour cette raison, le fait qu'il se réveille ici peut entrainait des complications sur la raison du prêt de la chambre. Il ne retira pas le marque-page et ne commença à lire, il regarda la jeune fille qui demandait si elle pouvait fumer.

Mon père le faisait donc cela ne pose pas de problème. Voyez vous le relit ce livre d'herboristerie ancien donc je peux interrompre. Si jamais vous avez des questions, j'ai les réponses. Faite un peu comme chez vous en somme.

Il prit regard sur la page de son livre et lisait en silence, comme tout les soirs avant d'aller dormir, mais si l'habitude pouvait changer un peu avec une discutions cela ne serait pas de trop...

Duscisio avait à peine attendu quelque secondes avant d'avoir une question qui semblait intéresser la jeune femme. Comme il pouvait s'en douter c'est sur son apparence physique. Mais la question en elle même devient limite à ne pas parler qu'à cette apparence. Il y avait, en effet, de quoi se poser des questions. Il vit seul, avec des livres dans une langue que très peu de personne connaissent, que ses pratiquants sont encore plus rare. Particularité physique pouvait aussi dit ses yeux, la couleur était normal pour un albinos mais le fait que la pupille était fendue comme celle de certains animaux comme les félins ou les reptiles. Quand elle se mit à rire il se leva après avoir fermer et poser le livre qu'il avait en main. Il n'y avait presque aucune expression sur son visage mais il voulait assouvir sa curiosité. Comme s'il ne pensait pas qu'il allait intéresser quelqu'un. Après tout, rare sont les personnes à vouloir connaître Duscisio et les siens dans les moindre détails. Il se plaça devant la grand bibliothèque avant de passer sa main tout en déployant un peu de son aura magique autour de sa main qui passait se qui semblait être un coffre de décoration sur le sol, celui ci s'ouvrit avec cette magie, si un coffre s'ouvre de cette manière c'est surement qu'il y a quelque chose en son intérieur de précieux. Il ne faut pas s'attendre à grand chose. Il ouvrit le coffre.

Je suis né dans cette maison, mais le fait d'être albinos n'a presque aucun rapport avec mes origines. Logiquement, ma particularité provient de mes parents mais mes parents n'était pas comme moi sauf dans un sens des origines.

Il se baissa légèrement et y mit ses mains, rien qu'en ouvrant le coffre Duscisio avait une certaine surprise d'y trouver des ambres de magie, pas aussi pur qu'il possède déjà sur Limiria son bâton mais qui pourrait lui être utile. C'est la première fois qu'il ouvre ce coffre et il y sortie un énorme livre qu'il avait par contre déjà vu. Le livre étant relativement épais et lourd il soumit un peu d'effort. Il approchait facilement les dix kilos de savoir qu'il connait maintenant presque par cœur grâce à ses parents. Il posa l'énorme livre sur la table basse et reprit place sur son fauteuil.

livre contient tout se qui concerne mes origines. Au vu qu'il est écrit en une langue que peu comprenne et savent lire, je peux être le seul ici à savoir se qu'il contient.

S'il révélait cela c'est qu'il devait le faire. Par principe du fait qu'il ne devait pas voir sa culture disparaître.

Ce n'est pas un récit que je raconte à la légère, autrement il semblerait que tu sois une privilégier. Je suppose que tu connait les ruines de l'ancienne cité de Taulmaril ? Je viens d'un peuple ayant pour origine cette cité. Mon peuple, mes origines ont commencer à disparaître quand la cité a été détruite par la grande guerre. Je ne connais pas les grand détails, mais il se trouve que depuis ce jour là, mon peuple appeler les Fallaciens disparaît peu à peu. Je ne sais même pas si je suis ou non le dernier d'entre eux. Les miens ne se montre pas aussi facilement que je le pensais. Un jour donc viendra où cette culture disparaitra, le jour où moi ou mes enfants ne feront plus de descendance et apprendront à celle ci la culture oublier.

Il fit une courte pause. Se demandant s'il faisait bien de raconter ça d'un seul coup. Il prit une inspiration et termina sur le pourquoi du comment de son apparences.

Les miens, mon peuple voit beaucoup d'albinos naitre, c'est d'ailleurs pour cela que l'on nous appelle enfant porte-bonheur. Quelque années après que mon peuple ai quitté la cité pour vivre ailleurs, la cité était en feu, les albinos ne se rendait plus dans la cité, le malheur est autant arriver sur Taumaril et sur nous. C'est se que raconte le livre...

Il s'affala au fond de son assis avec un profond soupir. Normalement il parlait peu, même si il n'avait connu Ambroisy il y a peu, il semblait avoir une envie irrésistible de raconter les détails de l'histoire de ses origines. Son visage fixait le livre, dans une expression qui semblait être de la tristesse.