Ghorza Agrob - En cours

DON : Force physique surdéveloppée
SPECIALITES :
Résistance de fer (capacité à résister à la douleur, dépassement de soi)
Excellence spécifique en arme - Hache à deux mains (capacité de maîtriser à la perfection une arme précise)
POUVOIRS :
Sens développés - Odorat = ★★★★✩✩
Absorption de la douleur = ★★★✩✩✩
Agilité surdéveloppée = ★★✩✩✩✩


Ghorza étant sous la juridiction de la garde Cimmérienne, elle se doit de manier généralement l'équipement lui étant donner pour ses obligations. Cependant, étant très attaché aux "traditions", elle se garde le droit d'user de ce qu'elle manie le mieux à ses yeux : la hache à deux mains. De somme, elle possède généralement une hache à deux mains qu'elle porte comme une extension d'elle-même, mais qui, faute de l'opinion publique et ses "on-dit", se doit de rester cacher le plus clair du temps afin de s'éviter les foudres de quelqu'un de bien plus haut qu'elle. Puis, ses supérieurs lui préfèrent l'utilisation d'une simple hache et une égide, plus amène de correspondre au style de "l'individu" et remarquablement utile vue la force de Ghorza. Elle est donc invitée à s'en munir lorsqu'elle doit effectuer des rondes hors de la caserne ou quand elle est appelée à être en public.

- Bouclier + Hache à une main en "service", ne lui appartiens pas.
- Hache à deux mains le reste du temps.


Ghorza ne possède pas grand chose à elle : l'essentiel de ses biens étant à la garde Cimmérienne. Généralement, elle dispose d'une armure de fer-blanc, emplis de fourrures pour sa bonne tenue et recouverte des armoiries de Cimméria. Il est de même pour l'ensemble de ses biens matériels : il n'est rien mis de superflu à sa disposition, juste le nécessaire... Une "chambre" en casernement, une tente lors des rondes dans le territoire, une gamelle, un couteau, des couvertures. Elle possède cependant une hache à deux mains qu'elle est la seule à manier de part sa taille impressionnante. Beaucoup ne savent pas pourquoi elle tiens tant à la garder prêt d'elle, mais ce n'est pas grave. Ses collègues et ses supérieurs lui autorisent ce souhait fantasque sous réserve qu'elle se garde de l'utiliser en service... Ce qu'elle ne fait pas toujours cependant...

Autrement, elle considère l'ancien logement de ses parents comme étant à elle. Il se situe dans le Désert de glace et n'est connu plus que d'elle. L'endroit est dans un état déplorable, limite en ruine, il est difficile d'accès, et il manque de s’effondrer en tout temps... Mais Ghorza ne s'en soucis pas du tout. Celle-ci est une sorte de souvenir qu'elle ne veut pas laisser s'effacer ou en cadeau aux éléments.

- Armure de la Garde



Ghorza est une Zélos dans toute la splendeur. Tout d’abord de grande carrure, dite normal pour un Zélos, elle impressionne tout de même par son mètre quatre-vingt. Comme toutes celles de sa race, Ghorza joui d’une musculature taillée et prometteuse. La charpente de ses muscles fait visuellement d’elle une guerrière affable de combats, tandis que sa râblure souligne une féminité assumée. Effectivement, que ce soit l’arrondi de son accoudoir ou la prestance de sa croupe, ses atouts font-elle une marâtre d’excellence pour qui cherche à enfanté. Mais Ghorza n’y prête pas attention et à juste titre : que ce soit l’ensemble des plaies ou brûlures parsèment son dos et ses cuisses, ou l’importante présence de lésions ou griffures sur ses avants-bras, elle ne ment pas sur ses activités favorite ! Puis violente comme elle est habituellement, il serait facile de la prendre pour un homme, la faute à qui… D’ailleurs, beaucoup lui reprocheraient une certaine arrogance aussi s’ils leur étaient donnés que de se soucier de sa posture. Oui, Ghorza peut se montrer un peu outrecuidante dans sa manière d’être : elle est en tout temps bien droite et ne se dérobe jamais devant qui que ce soit, marche d’un pas lourd et serein… Puis son ton et sa voix eux, sont toujours gras et rectiligne, comme tout Zélos qui se respectent. Mais de grâce un visage, lui, beaucoup plus doux, fait office de garde-boue. De fait, ses grands yeux d’un noir profond lui donnent une présence rassurante tandis que les traits de l’ensemble enjolivent un corps beaucoup trop couper au hachoir. Ses longs cheveux eux aussi, sont d’un noir corbeau d’excellence. Ils sont parsemés de tresses et de cordages lui donnant un petit air bohème et leurs longueurs, il donne un charisme propre à celui d’un lion. Pour finir, son style vestimentaire est plutôt libre bien qu’étrangement succinct. Dans ces terres désolées où elle a élu domicile, Ghorza serait habitué à porter des armures lourdes ou des vêtements chauds aux multiples fourrures, mais rien n’y fait réellement. Lorsqu’elle le peut, elle se dédouane de tous apparats inutiles et retourne à ses instincts primaires avec seulement quelques peaux en guise de protection des parties intimes. Et détrompez-vous ! Les Zélos, bien que prompte, généralement, à l’absence de soins, sont plutôt coquettes. La preuve : elles se lavent tous les jours avec ce qu’elle trouve… Ce qui justifierait aussi leurs odeurs significatives et bien reconnaissable.


Plutôt, sans cervelle ou rentre-dedans, me direz-vous ? Bien non, pas tellement ! Notre Zélos est tout d’abord quelqu’un de caractéristique à sa race. Elle est forte, droite et sans détour. Que ce soit dans sa vie de tous les jours, ou aux moments où elle doit faire face aux problèmes, elle ne se débine pas, elle fonce ! Mais attention, elle n’est pas stupide pour autant. Habituer à correspondre en clans, les Zélos ont apprit à correspondre et à apprendre de leurs aînés. S’ils se montrent violents lors de leurs combats, Ghorza, tout comme ceux de sa race respective, font aussi preuve d’une réflexion basée sur l’instinct. Effectivement, elle sait mettre de l’eau dans son vin ou faire preuve de recul ou de retenue. Décelé et exploité la faiblesse d’un ennemi est une question de survie et elle le sait. C’est pour ça que premièrement : Ghorza est quelqu’un de plutôt sage derrière ses allures de « fortification sur patte ». Après, et comme dit précédemment, elle peut aussi se montrer plutôt hautaine et sans scrupule avec ses interlocuteurs, mais ce trop-plein d’assurance n’est en soit qu’une façade qu’entretient notre jeune femme pour supplanter son absence d’aisance sociale. Elle a en horreur la politique et la manipulation ! C’est simple, elle n’y comprend rien et ne veut rien y comprendre. Pour elle, l’honneur se mesure d’abord par son comportement. L’honneur d’ailleurs… C’est cette particularité propre aux Zélos qui fait d’elle cette personne tout de même convoitable. Ghorza ne ment tout bonnement jamais. Pour elle, faire preuve d’aplomb en tout temps est une qualité nécessaire à qui veut correspondre avec son environnement. Ses croyances lui font penser que le groupe prône sur l’individu et que l’individu n’est rien sans le groupe. Elle est loyale ! Pour finir notre femme est quelqu’un de plutôt apathique avec ses amis et son entourage. Il lui arrive d’être en colère ou folle de rage, mais généralement, c’est son absence de réactivité verbale qui fait d’elle celle qu’elle est aujourd’hui. Il lui est ainsi plus simple d’évoluer parmi les Terrans et autres races qu’elle considère comme fourbe et veille ainsi à ne rien laisser filtré qui pourrait lui nuire ultérieurement. Au fond, elle prie juste pour ne jamais porter sa colère sur l’un d’eux. Autrement, il lui serait difficile de continuer de séjourner sur le territoire sans avoir caché au préalable, les corps...



PRENOM : ///
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PRENOM : Olaugh "Lointaine rivière" en Zélos
SEXE : Masculin
DESCRIPTION : Monture initialement mise à disposition par la garde à Ghorza pour lui permettre de se déplacer en "service". Celle-ci est de grande carrure et d'une musculature acceptable pour se permettre de trainer la Zélos sur de longues distances. Sa robe "isabelle" consiste en des poils légèrement jaunâtre, un crin foncer et une peau noire. L'animal possède aussi une marque de tête blanche dite "liste fine". Enfin, sa patte avant gauche est elle aussi bordée de blanc sur son extrémité. C'est un cheval de caractère ! Il est difficile à monter et se montre peu prompte au dressage, d'où ce cadeau de la garde à Ghorza. Ghorza arrive cependant à monter l'animal sous réserve qu'il soit chevauché sans selle uniquement.



Tout commença il y a de cela soixante ans dans le désert de glace. Un petit regroupement de Zélos s’était retranché dans les étendues gelées pour y mené une vie monotone, loin des autres races et conflits éventuels entourant la région en proie aux larcins et méfaits en tout genre. Il ne compter pas plus d’une dizaine de têtes et le « chef » de l’endroit se voulait rassurant quant à la suite des événements. Oui là l’endroit était austère et peu prompte à la survie, mais qu’à cela ne tienne, ils seraient d’autant plus en sécurité disait-il ! C’est alors que le groupe accepta de s’installer et que chacun plus ou moins loin les uns des autres, tous réussir à plus ou moins bien s’implanter dans l’endroit. Tout de même soucieux de ne pas éveiller l’attention, tous restèrent plutôt distants des habitations de chacun. Mais cette sécurité supplémentaire n’eut pas réellement d’effet et fut même l’amorce de la débâcle...

Effectivement, tandis que chacune des familles s’atteler à survivre et veiller sur leurs enfants et nourrissons, le « semblant » de village fut attaquer pendant la nuit. Ce fut une effusion de sang et de violence qui s’abattit sur chacune des « maisons » et peu en réchappèrent. Pourquoi ? Comment ? Personne ne le sut et le peut d’adultes encore vivants n’étaient autre que des fuyards ou des survivants de leurs demeures détruites. Les enfants eux, du moins ceux en âge d’être dressé, fut emmenai de force au petit matin. Il ne restait rien. Les bambins, meurtris par la perte d’un proche et frigorifier par le froid, n’opposèrent pas réellement de résistance. Ils savaient tous qu’ils finiraient au bout d’une pique s’ils s’y tentaient.

C’est alors que tous firent route vers les bas-quartiers de Gaeaf. Là-bas, ils furent déposés, vendus ou récupérer par des gens d’objectifs douteux. La plupart furent vendues comme un butin que personne ne voulait, tandis que les plus malchanceux servirent d’objets de convoitise pour les plus basses intentions. C’est ainsi que notre protagoniste, alors appelé Ghorza, découvrit les joies de l’armée. Recueillis par un membre de la Garde se voulant de bonne foi, l’enfant fut l’une des seules à être récupéré puis emmener dans ce qu’elle considérera comme sa maison et fut tout de suite mit au pas. Elle grandira ainsi via un entraînement difficile et sans gratitudes. Elle apprendra par son biais l’obéissance et l’humilité qui ferait d’elle une recrue de choix pour éventuellement plus tard, envisager de rejoindre la garde à son tour. L’homme les ayant recueillis lui, ne s’en soucier pas réellement. Il avait, par un chemin de traverse politique, réussi à faire passer son action pour un acte humanitaire. Il ne portait, au fond, aucun intérêt aux enfants, si ce n’est celui d’acquérir par leurs suites un meilleur pécule et une situation bonifier.

Mais cet acte de bon samaritain devint un gouffre financier lorsque les enfants entrèrent dans l’adolescence. Effectivement, les Zélos en devenir, commencèrent à sentir naître en eux des souhaits de vengeance ou de violence et furent de plus en plus difficile en tenir en lesse. C’est ainsi que rapidement, beaucoup furent balancé et oublier. Ghorza, elle réussit cependant à rester dans les bonnes grâces en compagnie d’une poignée d’entre eux. Son absence de jujotte et son mental, légèrement bancale, faisait d’elle un mets de choix : elle ne réfléchissait pas, ne posez pas de questions, suivait les ordres sous ces simples prétextes qu’ils lui offraient une certaine reconnaissance... et c’est tout. Elle était parfaite aux yeux de ceux qui la commandait.

Et c’est ainsi qu’à l’âge de ses cinquante ans, Ghorza entra dans la Garde Cimmérienne. Habituer à son mode de vie spartiate et bien confiante de son passé exemplaire, elle réussie, non-pas sans peine, à rejoindre son but ultime. Mais voilà, une nouvelle fois, les années passèrent et la Zélos mûrie. Grâce à l’aide de ses paires, elle réussit à comblé un peu ses lacunes, mais encore et toujours, telle une autiste asperger, la jeune femme était incapable de comprendre les mœurs et les coutumes locales. Vivante d’une vie sans reliefs et sans contour, Ghorza ce contentée de faire ce qu’y lui était ordonner de faire. Et bien que consciente que beaucoup ici la considérerait toute sa vie, comme inférieur, elle s’en fichait : elle était libre maintenant et pouvait faire ce qu’elle souhaitait faire depuis toujours !

C’est ainsi qu'aujourd’hui, membre à part entière de la Garde Cimmérienne, notre Zélos jouis d’une certaine aisance dans son milieu. Elle sait maintenant ce qu’elle doit ou ne doit pas faire, effectuer une ronde sans encombre et tiens même tête aux plus grands bretteurs du royaume. Oui, mais voilà… Au fonds d’elle, Ghorza sent que quelque chose ne va pas et qu’elle n’est pas là ou elle devrait être. Mais incapable de comprendre encore ce que sont esprit tente de lui faire éveiller, notre protagoniste vie au jour le jour en espèrent en fond… Recouvrir son "soit" intérieur.