Zacharia Cirth

Sujet: Zacharia Cirth Mar 25 Juin - 2:22

Zacharia Cirth

« Ces plaisirs violents ont des fins violentes.»

IDENTITE : Zacharia Cirth
SURNOM : L'Ensanglanté / Sourire Pâle
AGE : 534 ans | SEXE : Masculin
PEUPLE : Lhurgoyf
CASTE : Nérozias / Division Logistique
METIER : chasseur de prime/Mercenaire

DON : Transformation monstrueuse
SPECIALITES :
-Art de la guerre ( polyvalence dans le combat, capacité accrue dans le combat rapproché)
- Informateur (capacité à trouver rapidement des informations)
POUVOIRS :

Malédiction des sens =★★★★✩✩
En touchant une personne (le tissus ou le cuir n’empêche pas sa magie de circuler, seul le métal isole la victime) Zach est capable de plonger sa cible dans des illusions, il utilise le plus souvent pour faire sentir une violente douleur ou des hallucination auditif ou visuelle plutôt courte puisqu’il doit toujours garder le contact. Une fois le contact physique perdu, le sort n’a plus d’effet. Coût d’utilisation : faible

Aux ordres de la bête ! = ★★★★✩✩
En injectant sa magie dans un objet, il peut l’enchanter temporairement (30 minutes) il met une minute pour enchanter un objet et peut activer la magie à l’intérieure quand il veut (par la pensée, mais une fois activé elle se désactivera 30 minutes après). Il gagne alors une maîtrise complète de l’objet comme s’il était sous le pouvoir de télékinésie. Il peut déplacer des objets de taille moyenne, mais portant une charges allant jusqu’à 250 kilos(comme par exemple, faire voler une corde où des être se serait accroché à elle). Cependant s’il enchante un objet complexe comme une serrure, il ne pourra pas commander l’objet pour ouvrir la serrure par exemple. Il doit forcément toucher physiquement l’objet pour l’enchanter. Pour la charge cela dépend de la nature de l’objet biensûre. Coût d’utilisation : moyenne

Touché corrupteur= ★✩✩✩✩✩
Il peut injecter sa magie dans de la matière stable et grande, comme une table, un mur ou le sol. Et lorsqu’il le décide faire exploser l’endroit qu’il a touché, enfin, théoriquement car pour le moment il ne maîtrise pas se pouvoir et ignore même son existence. Au niveau force, c’est complètement aléatoire (mais faible) et elle blesse surtout l’utilisateur car il est surpris que sa magie s’écoule de lui seul, libérant l’explosion sans faire exprès. Coût d’utilisation fort

Rapière/épée bâtarde

un catalyseur, une amulette, c'est une étrange pierre bleu non taillée.

Il mesure un mètre quatre-vingt-cinq. Il possède une carrure musculeuse, mais non pas massive. C'est un être assez beau, à la crinière blanche. Ses yeux sont d'un bleu clair intense et expressif. Mais c'est tout ? Un corps n'est pas une simple apparence, pas juste « la couverture d'un livre qu'est l'âme ». Elle est le livre, fait d'encre et de papier, de chair et de sang. C'est dans les détails que l'histoire réside. Il n'est pas qu'un véhicule que l'on maquille pour paraître meilleurs.

De nombreuses cicatrices parcours son corps, voilà autant de tentative de meurtre, mais certaines sont aussi les derniers vestiges de vie disparue dans le temps et dévoré par l'oubli. Jambe, bras et torse, partout l'on peut voir les marques d'anciens combats et d'anciennes guerres. Sa chevelure blanche, ses longs cils immaculés, sa peau pâle malgré les affres du soleil. Cela dénonce sa monstruosité, sa race, sa honte d'adolescent depuis longtemps morte.

Il est un vestige des temps anciens, voici l'encre qui marque sa chair, l'écriture de son passé, les mots sans définition qui forment son existence. Mais sa chair, sa musculature belle de premier abord est d'abord la marque de sa volonté, elle est la vérité sur sa vie. Une vie de violence et de rage, de passion et de survie. Tout ceci ne s'articule alors pas par hasard, il n'est pas un pantin articulé par un maître fou. Non, aucun geste ne provient de l'aléa, par exemple :

Son sourire se lit sur ses lèvres et ses yeux, illuminant son regard d’un éclat curieux comme éternel. Celui-ci est né d’une joie toute récente pour une vie multi-centenaire, venant de ce désir impérieux de ne plus garder son regards baissé et perdus dans l’horreur des sillons de sang, mais plutôt de l’élever au-dessus de sa propre condition. Sa posture dure et sûr, ses gestes brusques, et parfois sans grâce aucune, montrent toute l’ardeur de sa résolution, sa franchise dans ses rêves et toute la frénésie qu’il est prêt à mettre pour animer ses chimères. Même sa tenue fait sens, la simplicité de ses vêtements démontrent la simplicité de la personne. Il n’est rien en réalité face au temps et des civilisations parcourues. Rien n’est apparence, mais tout n’est qu’utilité, il préfère l’utile au beau et sait que de toute manière il ne possède aucun véritable goût vestimentaire. Il fut toujours un aventurier et cela restera ainsi jusqu’à sa mort.

Il ne fait attention à ses vêtements que pour se métamorphoser en serviteur de basses classes, en pauvre fermier ou un autre personnage dont on fait trop peu de cas et qu'on oublie le plus souvent. La créature en lui est hideuse, gracile et résistante. Elle n'a pas la force de ses congénères de sa race qui sont souvent plus massifs, mais ses griffes qui forment les doigts monstrueux de sa main sont aussi aiguisés que les lames des rasoirs d'un barbier consciencieux. Il possède une carapace épaisse et résistance qui recouvre tout son corps. Ne dépassant pas les deux mètres il reste une créature plutôt lourde.

La créature:

Un homme à la vie simple. En le croisant ainsi dans la rue c'est comme cela que l'on pourrait le définir. Un être qui vie le jour au jour, toujours un sourire aux lèvres, bavard et légèrement égocentrique. Très sociable, mais parfois un peu hypocrite. Une personne qui aime fêter les jours qui passe et les nuits qui arrivent. C'est comme si le monde n'avait pas assez de grandes menaces pour éclipser son sourire.

Il est à l’écoute des discours les plus creux et les plus savants. Cependant à l’ombre de son sourire il se trouve bien des atrocités. Il est de ces criminels qui traînent bien des horreurs et qui essaye de justifier ses actes sans moral parce qu’il le fait au nom d’une noble cause. C’est une créature confiante en ses propres capacités et qui tient pour philosophie de vie « la fin justifie les moyens ». Il a tant confiance en lui qu’on pourrait le décrire comme étant orgueilleux et imbu de sa personne. Evidemment, la clémence lui est étrangère. Combien de fois a-t-il subis la vengeance de quelques opposants ? Tuer est logique quand cela devient une assurance vie.

C’est un survivant qui aime l’alcool, un agent de l’ombre consciencieux et courageux. Un être utile et efficace avec qui il est agréable de partager un feu. Il est sûr de lui, mais pourtant il est perdu. En plus de 500 ans il n’a jamais vraiment appris à vivre normalement. Il vit de ses masques, de ses personnalités qu’il a inventées pour charmer le passant, le dégoûter ou l’attirer. Il ne prend aucun plaisir à tuer ou à torturer, il le fait tout de même sans empathie.

Malgré les mensonges qu’il se raconte, malgré son amour pour le voyage. C’est d’une vie simple qu’il rêve. Ses regrets se trouvent dans les vies de famille dont il s’est refusé. Pourtant, il reste un idéaliste et il possède une confiance certaine dans le futur, un espoir brillant et cette lumière, tâchée de sang, se ressent dans chaque geste, chaque parole et chaque éclat dans son regard. Il essaye toujours de remonter le moral aux gens, même maladroitement. Serait-ce une preuve que son empathie n’est pas tout à fait morte ? Ou une habitude sociale ?

Pas de doute possible, il aime la vie et l’aventure, l’art sous toutes ses formes sans pourtant être un grand savant dans aucun de ses domaines. Il aime chanter même lorsque l’alcool arrive à vaincre le peu de talent qu’il a dedans. Il aime cuisiner et se balader. Il est le genre d’être à avoir mille anecdotes et bien plus qu’il ne peut raconter. Apprenez-le à le connaître et vous sentirez le poids des secrets sur ses épaules. Mais pas seulement, celle de la solitude aussi.

Pas un mot ne fut dit sur sa condition raciale, sur le monstre qui est tapis au fond de lui. Beaucoup de choses auraient pu être dit il y a 300 ans, mais aujourd’hui non. Il l’a accepté, ce n’est pas qu’il a un contrôle total de sa transformation, mais au fond de lui, il sait qu’il est un monstre, transformé ou non. On peut même dire qu’il prend parfois plaisir à lâcher les reines et se laisser alors aller à la sauvagerie tel un animal profitant d’une certaine liberté. Une forme de simplicité bestiale faite de sang, de crie et de chair.

PRENOM : Le nom de votre animal
RACE : La race de votre animal
SEXE : Masculin ou féminin
POUVOIR : Vous pouvez avoir 1 pouvoir au choix, rendez vous dans la section approprié pour savoir à quoi il a droit
DESCRIPTION : Si il s'agit d'un familier ayant un pouvoir, pensez à décrire la manière dont il porte son catalyseur

PRENOM : Le nom de votre animal
SEXE : Masculin ou féminin
DESCRIPTION : Donner une brève description de votre monture

Les Terrans pensent que l'on garde tout en mémoire, que chaque seconde de nos vies reste indéfiniment en tête, mais c'est faux. Je crois que je vais avoir 500 ans, cela fait 20 ans que je me dis ça, j'ai oublié qui m'a élevé, mon père, ma mère, j'ai oublié l'année de ma naissance ou tout du moins j'ai un doute. Suis-je qu'une ombre sur un tableau car j'ai perdu mes origines ? Bien des gens se sentiraient perdus, sans identité, comme vide de quelque chose. Mais quelle importance à mon âge lorsque je sais que ce qui me tuera est une épée ? Quelle importance sont mes parents, si je dois vivre pour les venger ? L'on ne pardonne pas à cause du passé, j'ai oublié une partie du mien, c'est ma propre paix que j'ai trouvé dans l'oubli.

Si j’ai oublié l’odeur de ma mère je ne suis pas sans connaissance non plus. Elle fut tuée à cause de ce qu’elle était, je l’ai déduit à cause du reste de ma vie. J’ai parcouru ces terres en tant que chasseur de prime et parfois mercenaire. L’on me demandait de tuer une race qui avait massacré les miens, voilà un bonheur incontestable ! quelle futilité. Cela je m’en souviens, Je me souviens que j’ai fait des enfants sans m’inquiète de les élever. J’ai vécu ainsi, sans attache en parcourant ces terres avec rien de moins qu’une épée et de la rancœur. Lorsqu’enfin je me suis rendu compte que j’avais oublié l’origine véritable de ce ressentiment.

C’était un matin il y a 93 ans, je me suis levé et je me suis demandé, pourquoi ? Pourquoi ai-je abandonné des gens par peur de les perdre ? Pourquoi avoir de la haine pour les autres races ? Il est évident que je dois me cacher, les craindre et tuer si je le dois. Mais dois-je subir cette haine incroyable, car d’autre veulent ma mort ? Dois-je haïr pour des gens perdus dont je ne me souviens plus ? Mère n’a plus de visage, plus d’odeur, plus de corps en mon âme, ce mot n’est plus qu’une information vide de sens et d’intérêt. J’ai marché pendant des siècles la haine au cœur. Pour un simple mot ?

J'ai souffert de l'injustice due à ma race, l'on m'a chassé, blessé et parfois laissé pour mort. Cependant, je l'ai accepté. Pourquoi ? Car j'ai chassé, blessé et tué bien trop de fois pour me faire passer pour une victime. Pour un peu d'or je devenais le pire des bourreaux. Parfois même, un regard me suffisait pour briser chaque dent d'un homme à coup de poing. J'étais violent, peut-être le suis-je encore. Bref, lorsque je l'ai accepté, c'est le regret qui a cueilli mon cœur, j'eus peur de perdre mes enfants, alors je les ai abandonnés par lâcheté. J'eus peur de construire une amitié alors je n'ai aucun foyer. Pour la première fois de ma vie, je sentis cette solitude de plusieurs siècles peser sur ma conscience. Il n'y a pas d'armure plus lourde que ce mur qu'on érige entre nous et les autres. Pas de lame plus blessante que nos moyens maladroits de nous protéger. J'ai cru en devenir fou, en crever sous ce poids. J'étais mon propre bourreau, mes peurs avaient réduit en cendre tout bien au nom de quoi ?

Mais j'ai survécu. Je sais vous aimeriez connaître le prénom de mes enfants, mais je l'ignore, ceux de mes deux anciennes femmes ? Je vous répondrais Émilie et Coraline sans certitude, des créatures de ma race qui parfois aujourd'hui hantent mes rêves les plus érotiques, ou mes cauchemars les plus pervers. Je ne parlerais pas de mes cauchemars, mais sachez que si moi j'ai oublié, mes rêves eux, me semblent être très clairvoyant sur ma vie. En tout cas j'ai participé à bon nombre de guerres, j'étais parfois du côté du gagnant et parfois du perdant, l'on m'a engagé pour mille choses dont je me fichais et je tranchais les têtes qui me rapportaient de l'or.

Je n'ai eu aucune morale et ce n'est pas aujourd'hui que j'en aurais, je le sais, j'ai beau jouer les ignorants, j'ai commis des crimes terribles. Ce n'est pas à ma 500éme années que je deviendrais un saint ... mais tout du moins je peux tenter d'essayer de m'améliorer. Des crimes, meurtre, viole, vole, arnaque et que sais-je encore, je ne tire aucune joie ni fierté de tout ce que j'ai commis, mais plus le temps passe, plus il est facile de sombrer dans la déchéance. Si l'on dit que le mal est pavé de bonne intention, je dirais que, parfois, l'on devient un monstre effroyable avec l'habitude, chaque immoralité, la plus petite soit-elle est un pas vers de bien pires immondices. Voilà de quoi est composé mon passé lointain, la solitude, l'horreur, la haine, le sang et des espoirs gâchés. Rien d'original pour un être de ma race.

Cependant, j'ai bien observé le monde, et j'imagine que ça doit être la crise habituelle d'un multi-centenaire arrivé à la moitié d'un millénaire, mais j'ai envie d'autre chose, pour moi et pour vous. J'ai vu bien des injustices, j'en ai souffert et j'en ai causé alors je me suis demandé, serait-il possible de changer cela ? Évidement je ne suis pas un utopiste irrationnel, je connais la nature violente de toutes les races, mais cet espoir me mena, au bout de quelque dizaine d'années, à me faire recruter. L'on ne me recrutait pas à cause de mes faits d'armes, mais de mes mots, j'ai parcouru ces terres pendant 20 ans, en tenant un certain discours, un discours utopiste, mais jamais devant une cour de justice ou celle d'un roi. Je me suis fait tribun devant une assemblée bien plus sombre et alcoolisée, les tavernes. Dans ces lieux bénis, les secrets ne tiennent pas l'alcool et rien n'est véritablement pris au sérieux. C'est ce que j'ai cru tout du moins. À force de discourir de la sorte, une femme vint un soir à ma rencontre. Elle semblait bien plus alcoolisée que moi et à chacun de mes mots elle me poussa à en dire trois de plus. Ma méfiance m'a permis de survivre tant de siècle, mais personne ne buvait mes paroles autant qu'elle et j'ai heureusement subis l'orgueil de l'âge qui pousse à être bavard. Nous nous retrouvâmes ensuite le lendemain et nous parlâmes encore, cela fut ainsi pendant toute une semaine. Au début je la pensais surtout intéressée par mon physique, mais c'était étrange, alors je continuais à tenir notre habitude éphémère, plus pour tenter de lui soutirer des informations que pour révéler quoi que ce soit. J'étais curieux. Elle a dû me juger apte à rejoindre les Nérozias puisqu'elle me recruta.

Évidemment ça ne s’est pas fait comme ça, mais c’était sous couvert de petites missions avec elle dont je ne comprenais pas véritablement le sens. Elle me fit travailler pour eux avant que je ne le sache et bout d’une année en sa compagnie tout à fait agréable, elle me révéla tout, enfin presque tout, j’ai bien mis 10 ans par exemple pour connaître l’emplacement d’Argyrei. Ma rose noire fut tatouée au niveau de mon dos, tout en bas.

Depuis ma véritable intégration du groupe je fais partie de la division logistique, c’est un nom chiant, moi-même j’ai proposé de le modifier, mais ils ne veulent rien entendre ! Malgré donc nos oppositions relativement secondaires, je peux dire sans mal que nous sommes de joyeux révolutionnaires, évidemment grâce à mes talents et mes pouvoirs l’on me donne plus certaines missions que d’autre. Torture, agent de liaison, parfois je pars en soutiens pour d’autre membre de divisions différentes, c’est un poste agréable je dois dire. L’on voit de tout et beaucoup de monde

Je vois à votre regard que vous doutez de moi et de mon groupe. Je comprends, le mot torture calme beaucoup de gens, mais il faut savoir que nos ennemis n’auront aucune pitié et que nous n’avons pas d’allier. Je joue les fanfarons, mais le manichéisme dont la noblesse est pétrie pendant leur enfance n’a jamais existé. Il n’y a pas de dieux, pas de meilleur endroit que là où nous sommes. Les vertus ne sont là que pour donner une bonne image à notre âme malgré les méfaits commis... Bref, je veux dire que c’est un boulot où je me sens utile, enfin. Certes, je joue parfois les clodos ou les malades pendant une semaine entière, je traîne dans une rue pourrie juste pour récupérer un message d’un agent infiltré qui passe là. Je me déguise même parfois en alcoolique ou en libertin, mais généralement cela reste sympathique.

Eh ? Oh ?! Ne vous endormez pas, je sais que mon histoire est ennuyante, mais un peu de galanterie. »

Le monstre à la crinière immaculée se rapprocha d’un jeune homme, ligoté, tout en sueur et épuisé. Il approcha sa main de cet homme brun, assis sur une chaise et celui-ci sembla terrorisé par ce simple mouvement. Les doigts de cette main s’arrêtèrent à quelques centimètres de son visage. La pièce était bien éclairée. Sol et plafond étaient fais de bois, cela semblait être une petite maison, ou plutôt une cabane que l’on pourrait trouver au fond d’une forêt un peu glauque. L’homme libre de tout lien s‘étira par lassitude, un sourire aux lèvres.

« Cette histoire que je viens de vous raconter, signe votre arrêt de mort. J’en suis désolé, mais je voulais que vous le compreniez, nous avons besoin des informations que vous possédez et je ne voulais pas que vous ayez de faux espoirs sur votre fin. Donc, Libre à vous de continuer à résister, ou à vous abandonner enfin à la mort. Et ... non, ne pleurez pas, ne parlez pas de pitié, s’il vous plaît, car en vérités rien ne vous sauvera des monstruosités de ce monde. »

Sujet: Re: Zacharia Cirth Mar 25 Juin - 23:29

Bonjour et bienvenue sur Isthéria!

Voilà un sacré bonhomme!
Je l'aime bien.^^

Mais passons rapidement aux choses sérieuses pour ne pas te faire perdre de temps.

_ Pouvoir Aux ordres de la bête => Dans la description telle que tu l'as faite, tu parles qu'un objet pourrait potentiellement porter 250 kg. Je dirais que cela devrait dépendre de la nature de l'objet. Une corde, pourquoi pas si elle est assez épaisse pour cela, mais un objet d'une autre nature va naturellement céder. Comme tu l'indiques, ton pouvoir est une sorte de dérivée de la télékinésie, il ne modifie pas la nature de l'objet. Il te faudra donc faire attention. Mais tu nous détailleras cela dans "le comptoir des pouvoirs".^^

_ Pouvoir Touché corrupteur=> Juste pour comprendre, cette magie piège ne s'activerait que si tu le souhaitais? Si tel est le cas, il faudra que tu imposes une "durée de vie" à tes pièges et une distance pour les enclencher. Sinon cela voudrait dire que tu pourrais en mettre partout dans la cité, et tout faire sauter. Le pouvoir deviendrait beaucoup trop puissant.

Et rien à dire sur l'histoire! J'ai beaucoup aimé!

Donne moi simplement les petites précisions sur tes magies et ça sera ok!

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Sujet: Re: Zacharia Cirth Mer 26 Juin - 0:13

Pour le premier je ne l’avais pas précisé car ça me paraissait évident, donc j’ai changé ça et j’ai rajouté la ligne qui va bien. Pour le touché cela me semble surprenant qu’il puisse faire ça, car le sort s’active quasiment instantanément puisqu’il ne le maîtrise pas ... et généralement il s’explose La gueule lui même comme je l’ai dit ... Je ne sais quoi rajouter de plus ... ^^"

Pour l’instant c’est plus le sort drôle qu’autre chose. Après je comprends, je rajouterai les limites sur les autres niveaux, mais là déjà dire que ça blesse presque que l’ulisateur, qui ne le lance pas quand il veut et que ç s’active instantanément. c’est je pense des défauts lourd, je dirais même que le sort n’a aucun intérêt et donne un désavantage à mon personnage.

Sujet: Re: Zacharia Cirth Mer 26 Juin - 0:18

Et bien soit. De toute manière, pour le pouvoir du "toucher", tu me le développeras dans le comptoir également. Cela sera plus parlant de voir comment tu ambitionnes son développement et sa maîtrise.^^

Fiche validée!

Tu vas pouvoir dès à présent te rendre dans la " GESTION DES AFFAIRES " afin d'ouvrir ton compte en banque, ton journal, ton inventaire et proposer ton évolution dans le comptoir à pouvoir.

Tu pourras également faire une demande de rang personnalisé JUSTE ICI.

Pour ton avatar, tu peux "réserver" une image particulière dans notre bottin ICI.

Une fois tout cela accompli, il te faudra renseigner tes pouvoirs et leur déclinaison dans le "comptoir des pouvoirs" ICI afin que cela serve de bibliothèque et que l'on puisse donner des limites bien précises à chacun de nos pouvoirs (tu pourras rp même si nous n'avons pas validé ton compte-rendu).

Soit donc officiellement le bienvenue dans l'aventure!

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Sujet: Re: Zacharia Cirth

» Under the Moons. [Zacharia Cirth]

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