Dar'njah

DON : Transformation complète en son essence animale, le tigre noir.

SPECIALITES : Pisteuse et Accrobranche
POUVOIRS :
Régénération = ★★★★✩✩
Furtivité = ★★✩✩✩✩
Acrobate = ★★★✩✩✩


Une lance primitive - Une tenue primitive sans armure


Si vous avez du matériel important, un catalyseur, des biens précieux qui méritent d'être marqués



Mesurant un mètre soixante-dix et pesant cinquante-sept kilos, on peut dire que Dar’njah est plus grande que la moyenne des femmes, son corps est finement musclé comme un félin, de délicates démarcations sans musculature imposante. Ses formes sont généreuses, une poitrine imposante et de bonnes hanches pour bien agencer son fessier. Sur son ventre plat on ne peut y voir aucune graisse. Sur sa peau, Dar’njah a des rayures symétriques sur tout le corps due à un trouble de la peau appelé l’achromie. Ceux qui la connaissent savent qu’il ne s’agit de rien de contagieux et que ce manque de pigmentation est surement dû aux rayures de son essence animal. Mais pour les étrangers, on croit qu’elle est touchée par la peste. La tigresse a une très longue chevelure marronne très foncée qui peut se confondre avec le noir sans les rayons du soleil. Sa lourde tignasse se berce dans le veut sans se mêler comme de la soie. Son visage est ovale avec un menton pointu, ses lèvres sont charnues, son nez est étroit et ses yeux sont en amandes. Son regard est profond, comme si le vert qui entourait ses pupilles était une forêt dans laquelle on pouvait se perdre.

Lorsqu’elle se change en animal, Dar’njah n’est plus la jolie jeune femme de poids léger, mais un puissant tigre noir d’une hauteur d’un mètre dix-sept, d’une longueur de deux mètres soixante-quinze avec la queue et pesant cent-soixante kilos. Cet animal totem est loin d’être à l’image délicate de son apparence humaine. Ce sont seulement avec ses grands yeux verts avec les nuances de la forêt qui peut trahir son secret Yorka.


Sous ses apparences de femme, il ne faut pas oublier que Dar’njah est un animal au plus profond d’elle-même. Elle ne sera jamais une humaine élégante avec de bonnes manières, ni une demoiselle docile et soumise à un époux. Dar’njah reste souvent silencieuse et observe beaucoup, son parlé terran n’est pas parfait puisqu’elle passe la plus grande partit de son temps dans sa peau animal, comme si son apparence humaine n’était pas à son image. Certes, très jolie, mais rien à voir avec sa vraie nature. De plus, ce petit corps est beaucoup plus fragile que son imposante carrure de tigre. Dar’njah aime sentir la force et la puissance de l’animal. Mais son plaisir en tant qu’humaine, c’est de pouvoir grimper aux arbres et de sauter de branche en branche sans qu’elles ne se brises sous son poids. Mise à part sa tribu et son peuple, la tigresse n’aime pas vraiment les gens. Hommes ou femmes, elle ne fait pas la différence, s’ils ne font pas partie d’Eryllis, Dar’njah s’en méfie. Cependant, elle reste un animal curieux et audacieux.

Son envie de fourrer sa grosse truffe un peu partout l’attire parfois dans des situations délicates. Même si elle n’aime pas spécialement les autres peuples, ils attirent toute fois sa curiosité. Leurs connaissances, leurs technologies, leur magie. Tant de chose qui lui sont inconnues et qui suscite son attention. Dar’njah aime tout ce qui est nourriture. Des petits fruits à la viande graisseuse et bien saignante, c’est sans doute la façon la plus facile de l’amadouer un instant. Cette tigresse a aussi un petit côté rebelle qui la pousse à désobéir à l’autorité de sa tribu.




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