Erope Navar - Le Professeur

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 Erope Navar - Le Professeur

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AuteurMessage
Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Erope Navar - Le Professeur   Erope Navar - Le Professeur Icon_minitimeMer 2 Juin - 23:34

:


Erope Navar
« Il n'y a rien de plus beau que la poésie et le sourire d'Helia. »




IDENTITE : Erope Navar
SURNOM :  « Professeur » ou « Maître » par ses élèves.
AGE : 405 ans | SEXE : Masculin
PEUPLE :  Sindarin
CASTE : Eclari
METIER :  Enseignant au Palantil




DON : 5 sens surdéveloppés
SPECIALITES : Force Mentale/Tacticien
POUVOIRS : 
1er pouvoir = Contrôle du feu ✩✩✩✩✩
2nd pouvoir = Magie curative ✩✩✩
3ème pouvoir = Téléportation (inconnu encore)


Erope dispose d’une dague légère que lui a légué son père, lorsqu’il parti une première fois de la cité de Canopée. Depuis, le sindarin ne la quitte plus et l’entretien régulièrement.

Au cours de ses expéditions pour le compte de la Masure des Érudits, il a également acquis une fine épée qui a pu le sauver de nombreuses fois. Il ne l’utilise que très rarement, elle a surtout une fonction dissuasive. Tout comme sa dague, Erope veille à son entretien.


Son premier bien le plus précieux est sans doute sa bibliothèque qu’il a installé à Canopée, dans sa résidence. Celle-ci est découpée en deux, une partie où est conservé et exposé les ouvrages qu’Erope acquiert auprès de copistes la plupart du temps, et une autre où sont consignés les ouvrages de la main du sindarin. On y trouve bien évidement les manuscrits des cours qu’il donne au Grand Collège, mais aussi ses « recueils » comme il aime les appeler. Ce sont des ouvrages traitant la plupart du temps de politique, de géographie et de médecine, même si on trouve par-ci, par-là, quelques essais de pièce de théâtre ou de poésie. Celui qui aurait le malheur de malmener un seul des ouvrages qui se trouvent dans sa bibliothèque s’en souviendrait longtemps. La gestion de sa bibliothèque constitue actuellement l’une des activités centrales d’Erope et c’est pourquoi j’ai trouvé nécessaire de noter ça dans ses possessions.

Le sindarin possède également une cape chère à son cœur, don de son grand-père, Savien. Il l’a acquis lorsqu’il lui a rendu visite avant de partir pour sa première expédition. Il en prend grand soin et n’hésite pas à s’en parer lors des grandes occasions. Elle est grande, d’un tissu agréable et recherché et d’un bleu profond qui lui rappel la mer et une certaine personne chère à son coeur

Au cours de ses voyages, il a également acquis un sac en cuir, où il y range tout ce qui lui est nécessaire lors de ses expéditions. Il y est très attaché, et sa perte le rendrait triste tant le nombre de souvenirs rattachés à son sac est grand.

Aussi, le sindarin possède du nécessaire de médecine ainsi que de quoi équiper sa monture lorsqu’il entreprend de longues expéditions ou que l’on vient quémander ses services de curateur.



Décrire le physique de votre personnage (8 lignes au minimum).


Erope est un sindarin très cultivé (cf.histoire). Pour lui, la collectivité prime sur les intérêts personnels. Mais il faut cependant savoir faire la part des choses, et ne pas vouer sa vie aux autres en veillant à prendre soin de soi-même. Cet entretien de soi passe par le fait se cultiver soi-même, autant ses connaissances que son bien-être. Ainsi, Erope vous appellera à voyager et à étudier le monde, à avoir une activité spirituelle et à prendre les plaisirs de la vie. Il se dira volontiers contre ceux qui croyant en leur supériorité veulent plier les autres à leurs volontés. Le sindarin appelle à une compréhension et au respect des autres ethnies. Il vous dira aussi que pour accomplir sa vie, la mise de ses propres pouvoirs au service de la communauté est une bonne chose. Il vous alarmera en vous disant cependant de ne pas tomber dans la dévotion pour les autres et de garder une indépendance propre à vous-même.



PRENOM : Le nom de votre animal
RACE : La race de votre animal
SEXE : Masculin ou féminin
POUVOIR : Vous pouvez avoir 1 pouvoir au choix, rendez vous dans la section approprié pour savoir à quoi il a droit
DESCRIPTION : Si il s'agit d'un familier ayant un pouvoir, pensez à décrire la manière dont il porte son catalyseur


PRENOM : Erindana
SEXE : Féminin
DESCRIPTION : Donner une brève description de votre monture



   1. Enfance à Canopée

Né à Canopée, Erope y a vécu toute son enfance et son adolescence auprès de son vieux père, Loriel, dont il est le seul et unique fils. Ainsi, le jeune sindarin n’a pas connu sa mère et ne s’en est jamais plaint, tout du moins publiquement. Celle-ci avait mystérieusement disparu après une dispute avec son conjoint, quelques temps suivant la naissance de leur enfant. Elle n’a jamais depuis refait surface à Canopée et cela était plutôt jugée « chose bonne » par l’entourage d’Erope.

Ainsi, son paternel lui était suffisant, tant il lui apportait tout ce dont il avait besoin, de la nourriture à l’éducation, en passant par la spiritualité. Il veillait surtout à faire de son jeune fils un sindarin cultivé et capable de raisonner par lui-même, et pour cela il lui donnait quotidiennement des « exercices de raison », en complément de l’enseignement qu’il lui délivrait. Il s’agissait d’exercices permettant au jeune Erope de cultiver ses compétences en arithmétique ou encore en rédaction d’essais. C’est aujourd’hui grâce à ce solide encadrement paternel que le sindarin est un des plus remarquables enseignants du Grand Collège du Palantil mais aussi membre remarqué de la caste des Eclari.

On pourrait croire que Erope a eu une enfance peu heureuse, tant son paternel a été derrière lui et tant son éducation prenait une grande place. Or, ce n’est pas le cas. Durant ses toutes jeunes années, son père lui laissait souvent le loisir de sortir rejoindre ses amis et était assez laxiste quand aux heures de sortie de son fils. Ainsi, Erope s’amusait avec ses compagnons dans les rues et les bois alentour de la cité, jusqu’à ce que ce soit l’heure pour lui de rentrer. Cette période de sa vie a été l’une des plus heureuses qui soit et ce fut d’ailleurs durant l’une de leurs escapades, que le jeune sindarin fit la découverte de son premier pouvoir, son don de pyrokinésie. Quand il prit de l’âge, Erope et ses amis se retrouvaient beaucoup moins, d’abord parce que l’éducation du jeune sindarin était devenu plus conséquente et qu’il passait du temps à s’entraîner à la maîtrise de son pouvoir, et que naturellement, leurs jeunes esprits se tournaient vers l’avenir et la préparation de leur futur place au sein de la société sindarine…

Ainsi, Erope cultiva ses compétences durant la majeur partie du temps passé auprès de son père. Après qu’il eu terminé son éducation, Loriel confia à son fils son désir de l’emmener avec lui parcourir le monde. C’était un grand souhait du vieux sindarin, et si il avait donné une éducation de rigueur à Erope, c’était principalement dans cette visée. Il voulait que sa progéniture puisse porter un regard neuf et critique sur Istheria. Malheureusement, Loriel ne put réaliser son rêve, emporté par une maladie. Cet épisode fut un moment marquant de la vie du jeune Erope. De cet événement, il tira une de ses principales occupations, parcourir Istheria et l’étudier, au nom de son père, comme en remerciement pour son éducation et sa présence auprès de lui.  

   2. Le feu ardent

La découverte de son pouvoir est un épisode qui restera toujours dans la mémoire d’Erope. Ce jour-là, le jeune sindarin et ses amis avaient décidé de jouer en forêt car le soleil tapait si fort que la chaleur au-delà de l’ombre des arbres était presque insoutenable. La fraîcheur des arbres les appelait. Ainsi, ils prirent la décision de passer la journée dans les bois.

Après de longues heures à jouer, le groupe d’amis décida qu’il était temps de se rassasier et partit en quête d’un lieu où s’installer. Par ce temps sec, une petite rivière fut l’heureuse élue de leur choix. La fraîcheur de l’eau crépitant sur les pierres du fond était bienvenue. La petite troupe d’heureux sindarins décida à l’unanimité de s’y installer et d’entamer leur repas. Alors qu’ils déjeunaient, Alivar, un grand ami d’Erope, à la chevelure brune et au teint de peau blanc, entendit des bruits inquiétants venant de l’autre coté de la rive et décida d’aller jetter un coup d’oeil. Si cette initiative fut majoritairement critiquée par le groupe, Erope ne fut pas de cet avis et fit le choix de suivre Alivar tandis que les autres rangeaient en vitesse la nourriture, apeurés. Ainsi, les deux jeunes sindarins traversèrent la rivière et s’enfoncèrent dans les buissons jusqu’à ce que leurs compagnons de jeu ne soient plus en mesure de les apercevoir.

Au fur et à mesure qu’ils avançaient, les sons devinrent de plus en plus fort et ressemblaient à des grognements, selon Erope. Cela n’eut pas pour effet de les décourager et continuèrent leur avancée vers cet inconnu inquiétant. Les deux amis arrivèrent après une dizaine de minutes de marches aux alentours d’une clairière entourée d’épaisses végétations masquant la vue à quiconque cherchait à regarder. Là, les bruits avaient atteint leur paroxysme et ce qui était l’intuition d’Erope fut validé. On pouvait entendre des grognements et ce qui ressemblait à des coups de griffes sur de la chair... Le jeune sindarin poussa aussitôt son ami à rebrousser chemin, apeuré. Mais Alivar protesta et continua de marcher, cherchant un endroit assez bas pour jeter un œil à l’intérieur de la clairière. C’était à vrai dire de la nature même d’Alivar d’être aussi têtu et entêté. Craignant le pire, Erope se résolut cependant à le suivre, ne voulant pas le laisser-seul près d’un danger possiblement mortel.

Alivar aperçu un espace dégagé pour la vue et fit signe à son ami de le suivre afin de s’y ruer. Arrivé au dit-endroit, sa ruée se stoppa net et son visage se figea dans une émotion qui pouvait à la fois tenir de la peur et de l’excitation. Devant lui se déroulait un combat des plus bestial qui soit. Un combat de bêtes tant acharnées qu’affamées. Une brutale et sanglante lutte de loups.  

Sur les pas de son ami, Erope n’arriva que quelques instants plus tard mais il n’eut pas tout à fait la même réaction que son ami. Si il se figea comme lui sur place, son visage ne traduisait pas autre chose que de la peur et de l’envie irrépressible de fuir. Milles scénarios lui traversèrent l’esprit, tous aux conclusions les plus funestes qui soient. Il s’imagina broyer, sous les crocs puissants des bêtes qu’il observait. Le jeune sindarin était tellement plongé dans son esprit qu’il ne se rendit pas compte que les loups avaient cessés de se livrer bataille et qu’ils grognaient à l’unisson, regardant les deux jeunes sindarins comme leur futur repas.

Alivar fut plus rapide que lui. Il prit le bras de son jeune ami et couru à pleins poumons, tentant d’échapper aux loups. Mais ce ne fut pas la bonne solution car les bêtes affamées se mirent alors à les poursuivre. Elles s’imaginaient déjà le sang gouttant de leurs griffes et l’odeur de la chair fraîche et inerte leur remplir les naseaux. Tant pour les loups que pour les deux sindarins, l’enjeu était de taille.

Mais les dés étaient déjà joués, et Alivar comme Erope le savaient très bien. Ils finiraient sous les crocs et les griffes des bêtes qui les poursuivaient car bientôt ces dernières réussirent à les encercler. Leurs grognements, qui traduisaient leur appétit féroce, plongèrent le jeune sindarin dans un état appréhension si violent que celui-ci le fit trembler et suer. Il prit alors la main de son ami, espérant un coup du sort en leur faveur. Cependant, un des loups, les plus puissants de la meute brisa ses espoirs, lorsqu’il se mit à grogner de plus en plus fort et à bondir vers eux. La bête coucha au sol les deux jeunes sindarins. La peur qui maîtrisait totalement Erope un instant auparavant permuta en une colère animale, instinctive. Alors que poussé par ce retournement, le jeune garçon tentait de contrecarrer les attaques du loup en tentant de le tenir à distance et que les compagnons de ce dernier s’approchaient autour de leur futur repas, il sentit ses mains chauffer et vit, avec étonnement, des flammes violentes et ardentes jaillir de ses paumes et mettre le feu au visage de l’animal. Aussitôt, prise par la douleur des flammes qui consumaient peu à peu ses poils et sa chair, le puissant loup, alpha de la meute, se transforma en une bête gémissante et apeurée qui rebroussa immédiatement chemin en courant, ses congénères sur ces pas.

Il fallut quelques minutes à Alivar pour se remettre de ce qui s’était passé, et bien plus à Erope. Leurs vêtements étaient déchiquetés et ils étaient sûrement perdus, mais sauvés d’une mort qui quelques instants auparavant semblait inévitable. Lorsque ceux-ci purent reprendre connaissance, Alivar interrogea Erope sur ce qu’il s’était passé. Celui-ci ne parvenait pas à sortir un mot tant son corps était transcendant de joie. Oui, il était heureux que son pouvoir se soit manifesté, malgré qu’il aurait pu y laisser sa vie. Ahhh, de cette aventure, les deux jeunes garçons s’en souviendraient toutes leurs vies.

   3. Helia Synrul

Ses yeux d’un bleu profond marquent l’esprit de quiconque croise son regard. Sa chevelure blonde coule sur son corps comme de parfaites rivières de miel. Son visage respire une jeunesse éternelle, fraîche et lumineuse. Ses formes ravissent nombre de mâles mais elle se tient au dessus de tous, grande et savante, curieuse et critique, altruiste et aimante. La sindarine pour qui Erope Navar pourrait être amener à commettre les plus grands crimes si elle se trouvait en danger et en qui celui-ci place l’entièreté de sa confiance. Helia Synrul.

Eclari comme lui, elle est celle qui l’initia dans cette caste et qui fut sa principale guide durant sa formation auprès des érudits d’Almaryl – cité où il s’arrêta pour la première fois lors de son premier voyage. Si le charme de l’érudite sindarine ne le rendait pas indifférent, Erope se garda bien d’attiser en lui ce genre de sentiments, car Longtemps aux yeux du jeune sindarin, Helia occupa la place de son père défunt et combla le manque lié à sa perte.  

Durant plusieurs années, elle le forma et renforça tant ses compétences intellectuelles que magiques. A ses cotés, Erope suivit également des enseignements de médecine et découvrit alors son deuxième pouvoir, une forme de magie curative basée sur l’association de plantes et de runes.
Par ailleurs, tout ce temps passé auprès d’elle et des Eclari, le fit significativement gagner en maturité et en sagesse. Finalement, grâce aux érudits mais plus particulièrement à Helia, le jeune sindarin décupla de manière considérable ses facultés et accomplit du même coup ce qu’il estime être la conclusion nécessaire et attendue de toutes ses années d’apprentissage auprès de son père, Loriel. Ainsi, aux cotés d’Helia, le sindarin de Canopée entra dans la caste des Eclari et s’y forgea une certaine renommée.

Durant toutes ces années de formation, Erope tenait Helia dans un grand respect et dans une grande admiration. Aujourd’hui, Helia et Erope vivent une amitié profonde et certaine, ayant traversé de nombreuses épreuves ensemble (épreuves qu’il serait bon de mettre par écrit un jour). Une amitié par ailleurs extraordinairement inusable malgré le temps et les voyages du sindarin. Ils s’adressent nombre de correspondances et Erope s’arrange toujours pour passer par Almaryl, lui rendre visite lors de ses voyages, évoquant à cette occasion, l’envie de l’emmener avec lui sur les routes.

  4. Ambitions actuelles.


PSEUDO : Angiel
AGE : 18 ans
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM?: Très probablement, une recherche sur un top-site dont je n’ai plus le nom.
VIE ET MORT SUR PERSONNAGE: En cas de départ, autorisez-vous le Staff a faire mourir votre personnage? Oui, bien sûr.
AUTRE CHOSE? :


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|| Informations ||
Fonction:
Pouvoirs, spécialités & Don:
Relations & Contacts:
Othello Lehoia
:: Infante de Kesha ::
Othello Lehoia
MessageSujet: Re: Erope Navar - Le Professeur   Erope Navar - Le Professeur Icon_minitimeMar 8 Juin - 19:56

Bonjour, et soit le bienvenu parmi nous!

Merci d'être venu posé tes valises ici, nous sommes heureux de voir que ta fiche! Elle est déjà bien entamée et jusqu'ici tout est bon. Fais nous signe quand tout est bon, et si as des questions n'hésites pas. A bientôt, bonne rédaction!
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