Das Ende der Krankheit.

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 Das Ende der Krankheit.

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Thimothée Mannus
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Thimothée Mannus
MessageSujet: Das Ende der Krankheit.   Das Ende der Krankheit. Icon_minitimeSam 26 Fév - 15:08

 
Das Ende der Krankheit.


Le pas déterminé et le visage sévère, j'avançais dans les allées de tentes et d'installations plus ou moins éphémères montées par l'armée aux pieds du Haut Monastère. La discipline et l'ordre y régnaient sans que je n'ai à m'interroger si c'était une apparence trompeuse mise en place pour mon arrivée ou une réalité. La générale Raikes n'était pas femme à faire dans les faux semblants. Je saluais les officiers qui croisaient mon chemin, laissant volontairement un espace plus important entre ma personne et les hommes du dernier cercle qui ne me quittaient pas.

Je faisais un détour par le secteur où étaient soignés les soldats qui avaient malheureusement été touchés par la maladie alors qu'ils venaient en aide aux civils. Je ne m'interdisais pas de venir à leur côté, montrer que je ne craignais pas qu'ils me contaminent sans pour autant les embrasser non plus. J'étais profondément fier du rôle qu'avait pu jouer l'armée éridanienne auprès des gelovingiens et des civils ici comme ailleurs. Les avancées faites ici seraient rapidement répercutées sur tout le territoire grâce aux corps de logistique et de Cervin.

Ne m'étant pas davantage fait annoncé depuis que j'avais prévenu que je viendrais au Haut Monastère, je me plaisais à parcourir les rangs de l'armée de manière un peu moins formelle qu'à l'accoutumée. Je reconnaissais certains visages déjà croisés sur les terres mortes de Taulmaril que je saluais d'un léger signe du menton. Puis je me dirigeais vers la tente de la générale qu'on avait du informer maintenant de mon entrée dans le camp. Je laissais ma garde devant la porte de tissu et entrais sans autre procédure.

Générale Raikes, présentez votre rapport.

Ma voix était grave, porteuse d'une puissance retrouvée depuis mon rétablissement, pour autant elle ne claquait pas aussi sèchement que mes mots pouvaient le laisser croire. Je passais les politesses d'usages sans craindre que la générale en prenne ombrage. Lui demander "comment allez-vous très chère" n'était et n'avait jamais été, notre façon de communiquer. La situation n'était pas aux ronds de jambe et mon ordre était celui d'un roi à sa générale des armées, pas à la duchesse de Méphrit ou à une dame de la haute noblesse.

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MessageSujet: Re: Das Ende der Krankheit.   Das Ende der Krankheit. Icon_minitimeMar 1 Mar - 20:32

The end of the disease
La situation était désormais sous contrôle. Elle demeurait problématique mais nous pouvions mieux la gérer, d'autant plus que nous avions un remède et des calmants pour les malades et les blessés. Comme quoi, réunir trois légions pour un endroit stratégique et symbolique était bien utile... J'avais de plus une liste de personnalités que je rencontrerai dans le courant du mois le temps que je restai au Haut-Monastère, gélovigiens, officiers de l'armée, scientifiques, représentants étrangers comme cette visite d'une des conseillères de Canopée... et le roi en personne. Le truc c'était que quand sa Majesté se déplaçait, j'étais bien vite au courant et aujourd'hui, je savais que le roi était là mais j'ignorai quand il viendrait me voir. Ça ne tarderait de toute façon pas. Avec mon état-major, j'avais réuni informations et données pour lui donner un résumé de la situation.

Ela était présente, tout comme Kennedy et deux aides de camp. Ce fut d'ailleurs l'un des deux qui m'avertit que le roi était en train de visiter les blessés militaires. Kennedy retira son casque et le tint sous le bras tandis qu'Ela croisa les bras en attendant la venue de notre chef. Les deux autres préparèrent la table de guerre où s'étendait une carte du Haut-Monastère et ses alentours. Nos uniformes étaient présentables, je nous passais de toute façon en revue, seul Kennedy était en armure en tant que capitaine de la garde. Quant à Ela, mis à part sa coiffure blonde courte pétante peu réglementaire, elle faisait toujours un effort pour bien paraître en service. C'était tout elle, Ela était d'ailleurs une belle femme comme ça.

Majesté.

Des trompettes avaient averti de l'arrivée du roi dans la zone des officiers du camp. Les deux gardes à l'entrée à l'intérieur de ma tente ouvrirent les pans pour laisser le roi passer. Nous fûmes 4 à le saluer et le moins que l'on puisse dire c'était que le roi allait droit au but sans même dire bonjour. J'arquai un sourcil en voyant sa façon de faire. Le roi aurait-il confondu fermeté et brutalité ? J'étais plus habituée à une façon plus subtile de salutations de sa part, bien sûr que je lui avais dis de s'imposer davantage en tant que roi mais j'avais l'impression qu'il avait un peu trop bien appliqué ce conseil... La requête du roi fusa mais je restai maitresse de la situation. Un regard perçant accueillit le jeune souverain et après une paire de secondes de regard, je fis signe à mes deux aides de camp de s'écarter après qu'ils aient fini de préparer la table de guerre tandis qu'Ela invita le roi à s'approcher.

Majesté, si vous voulez bieng vous donner la peineuh d'approcher. Du veng, vous deux, allez. Et amm'nez unn truc pour l'roi et la généraleuh.

Je laissai faire ma major qui chassa les deux soldats peu gradés avec un dernier ordre, j'étais plus concentrée par une feuille que me tendit Kennedy où un bref résumé tenait recto-verso. Dessus, des chiffres comme le nombre des pertes, blessés et morts compris, nombre de malades civils recensés, estimation des stocks de munitions, de matériel médical, de doses de remèdes et de vivres à la date d'aujourd'hui, l'ordre de bataille des troupes déployées dans la zone et le personnel non combattant, nombre d'incursions non autorisées dans la zone militaire ou encore l'effectif des gélovigiens. Je posai la feuille à côté du roi, à sa disposition.

Majesté, notre situation est toujours critique mais elle est désormais sous contrôle. Comme vous pouvez le voir sur cette feuille, nous avons eu notre lot d'ennuis à affronter comme en témoigne le nombre de pertes subies. Vous avez sans doute pu le constater en visitant les installations et cette carte devant vous l'illustre bien, le dispositif militaire que j'ai installé est exceptionnel de par ses effectifs et son organisation. Le Haut-Monastère est devenu un lieu stratégique de par le personnel médical, scientifique et religieux présent mais aussi symbolique de par le caractère religieux et spirituel du lieu.

Le roi avait devant lui un grand parchemin qui faisait toute la taille de la table de guerre, tenu aux quatre coins par des clous dans la table. Sur ce parchemin s'étendait la carte du Haut-Monastère, le bâtiment religieux en plein centre, et ses alentours. Des pions en forme de drapeaux avec le numéro de la légion symbolisaient les forces en présence et des traits tracés sur le parchemin indiquaient les limites des différentes zones à l'intérieur de la zone de quarantaine que j'avais imposé. En effet, il y eut plusieurs tailles de zone qui marquait les éventuelles lignes de défense à adopter si la zone de quarantaine était attaquée. La taille de la zone s'étendait à plusieurs kilomètres à la ronde et des check-points étaient symbolisés sous forme de points noirs sur la carte. D'autres pions se présentaient sur la carte et symbolisaient les unités logistiques et cervins. Des petits carrés de bois étaient là pour illustrer les campements de l'armée, un peint en noir pour montrer celui qui regroupait mon état-major. Enfin, il y eut deux autres pions, foncièrement différents et qui représentaient les civils et gélovigiens.

Je pense que je peux dire que la zone de quarantaine a été respectée malgré le nombre d'incursions recensées et les débordements auxquels nous avons dû faire face. Il y a eu moins de morts civiles et militaires par rapport à nos premières estimations mais il y a tout de même eu de la casse. Nous avons dû faire face à nombre de gens paniqués et/ou en colère, nous sommes parfois passés à deux doigts de l'émeute et cela est sans compter les inconscients qui n'ont pas obéi aux ordres des militaires malgré des tirs de semonce ou encore ceux qu'on a malheureusement dû se résoudre à abattre car on ne pouvait plus les sauver mais on devait les empêcher d'exploser au terme de leur maladie.

Je m'étais tournée vers le roi à côté de moi qui avait le résumé chiffré de la situation et la carte sous les yeux. Je tournai la tête pour voir que mes deux aides de camp revenaient avec des plateaux contenant des boissons chaudes dont du café et les posait sur une table plus petite à proximité. Pas d'alcool même au mess des officiers hormis repas exceptionnel mais comme ce n'était pas le cas et que nous étions toujours en gestion de crise, j'avais interdit toute forme d'effusion de richesse pour les officiers. On vivait mieux que les soldats mais on partageait la même galère. Kennedy et Ela se firent servir, ma commandante en second était notamment une friande de café tandis que l'homme buvait plus par convenance.

Je dois dire, Majesté, que je tiens à saluer la collaboration et le dévouement des civils pour nous aider et des gélovigiens qui ont aussi bénéficié du personnel cervin pour les épauler et prendre en charge malades et blessés. La découverte du remède est du fait des gélovigiens malgré certains éléments parmi eux hostiles à nous. Bref, nous contrôlons la situation, j'ai donné des ordres aux autres légions dans les autres domaines du pays. Nous avons empêché la situation de dégénérer et nous sommes désormais confrontés au défi de la distribution et l'administration du remède sans compter que les gélovigiens voudront sans doute une escorte pour leurs actions mais j'attends que les gélovigiens m'envoient une de leurs représentantes car les autres sont indisponibles, pour le définir. Vous en serez bien sûr informé.

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Thimothée Mannus
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MessageSujet: Re: Das Ende der Krankheit.   Das Ende der Krankheit. Icon_minitimeMar 26 Juil - 14:51

 
Das Ende der Krankheit.


J’observais avec attention le parchemin étendu devant moi, reconnaissant sans mal les différents éléments présents sur la carte et la cohérence de leur organisation. Je me questionnais sur ces lignes de défenses, tournées vers l’extérieur, qui pourrait bien attaquer un camp dédié à la lutte contre la maladie ? Je comprenais mieux avec la suite des explications et la lecture des chiffres. Je m’attendais à des débordements, dans une situation aussi tendue et avec une population aussi nombreuse sur un espace réduit, ils étaient impossible à éviter. Je regrettais pourtant leur nombre et leurs conséquences. Quant aux pauvres ères qu’il avait fallu achever avant la combustion..

Vous ne les avez pas abattus, générale, vous leur avez offert votre miséricorde. Un acte de clémence, pour eux comme pour leurs proches. Qu’il soit aussi réfléchi selon une logique plus pragmatique, éviter la propagation des flammes et ses conséquences, ne doit pas enlever à cet acte sa valeur morale.

Les mots avaient un sens et il n’était pas question que le peuple pense un seul instant que l’armée avait abattu des civils parce qu’ils étaient devenus "gênants", des rouages défectueux dans une machine sans âme. Je ne me faisais pas de fausse idée sur ce qu’entendait la générale et je la connaissais adepte des termes les plus simples pour désigner les choses telles qu’elles étaient mais, ici plus encore qu’en soirée mondaine, nous devions nous montrer prudents.

J'acquiesçais en l’entendant saluer la collaboration avec les civils et la caste des gelovigiens, je fondais de réels espoirs que cette opération conjointe puisse ouvrir des liens bénéfiques entre la couronne et la religion.

Nous fournirons les hommes nécessaires à la bonne distribution du remède, sa recette et sa confection ne seront pas gardés secrets. Sa distribution par les soldats de la couronne nous permettra de nous assurer l’égalité de sa diffusion, évitant que des territoires soient oubliés ou que certains se pensent assez malins pour tenter de tirer des bénéfices personnels de cette découverte. De plus, cela permettra au peuple éridanien de découvrir un visage plus amical de l’armée tout en donnant l’occasion aux réticents d’observer ce qu’est capable de réaliser une armée unifiée.

Quant à l’escorte des gélovigiens..

Les gélovigiens seront les bienvenus dans cette mission de distribution.

Nous n’étions pas leur escorte, cela sous-entendait qu’ils avaient la responsabilité du remède et nous celle de leur protection. Ce n’était pas ainsi que s’entendait notre relation, nous étions partenaires, à position égale.

Je ne dénigrerais pas le travail des gélovigiens ou celui des civils impliqués, la découverte du remède leur revient et je ne leur enlèverai pas cette paternité, cependant, il est de notre responsabilité de distribuer le remède. Notre devoir est envers notre peuple.

Et pas envers une caste, quelle qu'elle soit et quel que soit le respect que je pouvais éprouver à son égard.

Je ne pense que cela posera problème, en pratique, nos objectifs se rejoignent et nos chemins ne devraient pas être différents, dans les faits, les gélovigiens qui marcheront à nos côtés seront effectivement protégés.

Je ne pouvais pas ignorer la tâche obscure, vite mise de côté, qui entachait le discours de la générale.

Des éléments hostiles parmi les gélovigiens ?

Réticents ou agaçants ne m’aurait pas étonné mais hostiles ? Je laissais la générale expliciter ce à quoi elle pensait, si elle désirait s’ouvrir de ce sujet.

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MessageSujet: Re: Das Ende der Krankheit.   Das Ende der Krankheit. Icon_minitimeSam 15 Oct - 11:46

The end of the disease
Tout était réglé comme sur du papier à musique, je débitai mon rapport du même ton sérieux et péremptoire que le roi me connaissait et je le récitai comme un discours répété des milliers de fois par la force de l'habitude. Nul ton monocorde car je savais ce qu'il en coûtait de le faire, je l'avais apprise à mes dépends plus jeune officière. Le roi me connaissait à force et lorsque je marquai des pauses dans mon rapport pour lui laisser le temps de regarder la carte et d'assimiler les informations, il fit son commentaire. Je lui fis un signe de tête.

Merci Majesté.

En dehors de mon rapport, je ne fis pas d'autres commentaires que je n'approuvai déjà, j'avais par ailleurs assuré les gélovigiens du soutien de l'armée dans leur entreprise. Le roi approuvait ma manœuvre et ça faisait du bien de savoir qu'on était soutenue par son patron. On allait pouvoir avancer et mettre fin plus rapidement à cette crise sanitaire, que le roi n'ait pas approuvé ce que je comptais faire et les ordres que j'avais donné auraient ajouté de la confusion et n'aurait rien arrangé dans le bordel ambiant qu'était devenu Eridania. Mes sourcils se froncèrent un peu plus lorsque le roi me posa sa question. Mais bien évidemment, comment pouvait-il rater cela... Non Cassandra le roi n'était pas aussi... candide que tu ne le pensais, il était plus jeune mais il était ton roi et ton patron, tu lui devais ta place.

En dehors des éléments civils venus troubler l'ordre, en effet. Il faut se rappeler que nous protégeons des civils et que tous ne sont pas des militaires et j'inclus les gélovigiens parmi eux. De manière générale, les gélovigiens goûtaient peu la présence d'autant de personnel armé dans la zone mais ils avaient au moins la décence de comprendre que nos armes n'étaient pas dirigées contre eux. Néanmoins, certains parmi leurs effectifs se montraient hostiles à notre encontre. Je ne peux blâmer tous les anti-militaristes de chaque organisation mais certains, notamment un herboriste du nom de Balibe ont proféré des paroles hostiles et des menaces de mort à l'égard du personnel militaire sur, ce que je pense après investigation, être un malentendu.

Balibeuh croyait qu'onnn enn avait après ung d'ses protégés, ung gaming qui s'baladait dann l'temmp' malgré nos connsigneuh d'laisser traîner personneuh dann la zoneuh, surtout des gosses sang surveillannce.

Les soldats impliqués ont été interrogés dont le sous-officier en charge de l'unité impliquée et nos conclusions sont que l'un des nôtres voulait venir en aide à l'enfant en question car, comme la Major Artkinson vient de l'expliquer, il ne fallait surtout pas laisser qui que ce soit se balader sans surveillance, surtout un enfant. Ce dernier a dû prendre peur et a dû aller voir son tuteur en croyant qu'on le menaçait, aboutissant à la détestable conclusion à laquelle nous avons été confrontés. Balibe n'en est pas à son coup d'essai en public mais cet incident aurait pu empirer. Imaginez que l'enfant ait répandu la panique et que nous ne soyions pas en mesure de contrôler la panique. Parce qu'il n'a pas été foutu de comprendre que cette zone militaire n'est pas une garderie, nous n'aurions peut être pas pu être en possession d'un remède et donc de sauver des centaines, des milliers de vies. On a estimé que la maladie se propageait rapidement, la panique d'une foule malade, en colère et effrayée est bien pire. D'où la nécessité d'une supervision militaire.

Je fis un signe de tête en direction de ma blonde de commandante en second tout en expliquant de manière précise le déroulé des évènements, du moins notre version des faits car je ne doutais pas qu'on ne manquerait pas d'avoir dit une version différente au roi si jamais il s'en était enquis avant. Kennedy termina son breuvage en reposant sans bruit son gobelet sur une table plus loin. J'eus un regard avant de revoir le roi, croisant mes bras sous la poitrine en la remontant.

Comme vous pouvez le voir Majesté, malgré nos problèmes, nous faisons face. Chacun ici est dévoué à sa tâche autant que possible. Nous espérons comme vous l'avez dit, que la population le verra d'un bon œil comme nous. À présent, qu'allez vous décider, Majesté ? Nous allons aider les gélovigiens c'est un fait mais qu'attendez vous de plus ?

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