Amaldriel

De l'espèce canis lupus baileyi avec sa fourrure grise, blanche et un peu rousse, Lightning a rencontré Amaldriel sur l'île d'El Bahari. En quête d'une proie, elle ressentit une présence étrange pour faire face à Amaldriel, sous sa forme animal. Si la louve avait été humaine, sa bouche serait grande ouverte dû à la surprise. Un loup blanc à la fourrure épaisse pour se protéger du froid n'était pas à sa place dans la forêt luxuriante de l'île d'El Bahari. Avec sa vitesse surnaturelle qu'elle possède depuis plusieurs années, elle a tenté de le surprendre, mais Ligthning a dû attendre que le loup blanc se manifeste pour qu'elle le trouve : il était derrière la louve, assis, la tête penchée sur le côté en voulant dire : qu'essaie-tu de faire ? C'est à ce moment qu'elle comprit qu'il n'était pas comme les autres loups. Après avoir senti son odeur, elle pouvait voir qu'il sentait l'humain.

Après avoir montré ses dents, j'ai rapidement compris qu'elle avait deviné, donc j'ai repris ma forme humaine tout en restant assis, me penchant pour être à sa hauteur.

« T'es intelligente toi ! Vif comme l'éclair en plus ... Je vais t'appeller Lightning ! Ça te va bien comme prénom. » ai-je dit, avant de reprendre ma forme animale pour disparaître aussi vite que l'éclair. C'est ainsi que je suis venue la visiter tous les jours jusqu'à qu'elle décide de me suivre. Plus que les jours passaient, plus ne commencions être proche. Un jour, s'observait sa fourrure lorsque j'ai aperçu un éclat de couleur jaune incrusté dans sa chair. En regardant ailleurs, je me suis aperçu qu'il en avait partout sur son corps. C'est à ce moment que je me suis rappelée qu'elle courrait très vite pour une louve. Je lui ait demandé de se concentrer comme si elle était pour courir vite et j'ai pu voir les éclats briller légèrement. Elle a dû avoir un accident, je ne savais point comme, où une pierre catalysante s'est retrouvé fiché en plusieurs petits morceaux. Puisqu'elle semblait seulement accélérer la vitesse de la louve, les gens ne pouvaient pas remarqué l'utilisation de la sphène puisque aussitôt qu'elle ne courrait plus, le courant de magie s'arrêtait aussitôt.

J'ai rencontré cet étalon sauvage, ce mustang, dans les plaines d'Eridania. Il semblait avoir été blessé à cause de par des trappeurs. Certains n'aimant pas la méthode traditionnelle pour capturer cheval sauvage tout en évitant de le blesser, ils préfèrent user de la magie ou de pièges. Ce mustang devait avoir réussi à s'échapper et j'ai décidé de le soigner, quand il s'est laissé approché après plusieurs plaintes craintives vu qu'il ne pouvait pas se défendre, vu ses blessures. Cela pris plus de deux semaines pour qu'il soit guéri, mais lorsque j'ai jugé qu'il pouvait se défendre et repartir courir dans les plaines, je l'ai relâché à son plus grand plaisir. Une semaine plus tard, alors que j'étais reparti pour un contract à travers les plaines, un cheval sauvage a couru vers moi puis s'est arrêté, poussant son museau contre ma main pour que je puis le flatter. C'était ce même animal que j'avais soigné et il ne semblait pas vouloir partir. J'ai posé ma main contre son dos et voyant qu'il ne montrait pas grand signe de protestation, j'ai embarqué sur lui sans selle. À peine accroché, il a détalé comme si la mort le pourchassait : il me testait si j'étais « digne » de le monter. Bien sûr, je ne l'ai pas laissé faire et j'ai réussi son « test ». Étrangement, ce mustang a toujours su exactement où je voulais aller. Il fallait simplement que je lui demande et il m'y emmenait sans rechigner. Bien sûr, je ne lui ai jamais mis de selle malgré l'inconfort, car je le respectait : il ne m'appartenait pas, c'est lui qui me permettait de le monter. En retour, j'essayais toujours de repasser par les vastes plaines pour le laisser courir dans sa contrée natale, n'aimant pas de toute façon le laisser dans un pays qui lui ait étranger. Sa robe brune et blanche respirait la liberté et sa sauvagité ainsi que le respect.