Arrivée mouvementée [Libre]

Sujet: Arrivée mouvementée [Libre] Lun 15 Aoû - 22:59

Les deux hommes dérivé depuis plusieurs heures déjà, accroché à une planche il tentaient de nager en direction de cette île accueillante qu'ils voyaient au loin. l'eau était calme, un silence pesant régnait, aucun des deux hommes ne perlais, ne voulant évoqué ce qui c'était passé.

Quatre heures plus tôt...
Le combat faisait rage, depuis presque vingt minutes maintenant les vaillants soldats de Cimmeria combattait avec une tel rage que seul le nombre des pirates faisait pencher le combat en leur faveur, les trois sentinelles présentes sur le navire tiraient leurs flèches avec une dextérité ahurissante, à quasiment chaque tir c'était un pirate mort ou hors combat, mais les six guerriers, sur les dix à l'origine, qui empêchait les pirates de monter à bord, via les quelques palissades d'abordage placé par les pirates, eux avait dut mal à endiguer le flot continuelle de pirate. Les matelots du navire avait succombé sous l'assaut des pirates des les premières minutes. Les soldats de l'armée Cimmérianne arrivait tant bien que mal à résister aux pirates. Voyant que prendre le navire allait prendre trop de temps, le capitaine des pirates dut sans doute décidé de couler le navire car un gigantesque carreaux enflammé, celui d'une baliste, parti du navire aux voiles noires, il heurta la cabine du capitaine détruisant sous ce qui se trouvait à l’intérieur et commença à brûler l’intérieur du navire. Les sentinelles tournèrent tous la tête vers la cabine, le diplomate qu'ils étaient censé défendre se trouvait à l’intérieur avec le capitaine, tout deux était sans doute mort suite à cette attaque. Une sentinelle reçut une flèche sous l’aisselle qui pénétra son corps et transperça un poumon, se tordant de douleur, l'homme allait mourir asse vite. Les minutes passèrent et quatre guerriers furent abattu par les pirates, une autre sentinelle elle reçut une flèche dans le bas ventre, heureusement son armure de cuir freina la flèche qui la traversa et transperça le torse de la sentinelle de moins d'un centimètre, il allait pouvoir survivre, ce qui n'était pas le cas de la troisième sentinelle qui reçut quasiment d'affilé trois flèches en pleine poitrine.
Soudain les pirates reçurent l'ordre de ses replier, les survivant ne comprirent pas pourquoi, avant d'avoir la réponse, la sentinelle qui restée perdit conscience en recevant une nouvelle flèche, dans l'épaule gauche cette fois.
Le navire fut littéralement coupé en deux par deux carreaux de baliste tiré simultanément dans la coque du navire.

C'est ainsi que les deux hommes, les seuls survivant de l'attaque, ce trouvait en bout milieu de l'océan cherchant à rejoindre une île inconnu pour eux. L'un des hommes, la sentinelle qui avait perdu connaissance, n'avait plus la flèche dans l'épaule ni celle dans son ventre, mais il saigné encore, son seul souhait dans l’immédiat était d'atteindre l'île en espérant qu'un requin ne viennent l'attaque. L'autre homme était l'un des guerriers qui combattait les pirates au corps à corps, lui aussi était blésé, son armure de cuir était coupé en deux niveau du torse, un filé de sang se répandait à partir de l'entaille qui avait, peu profonde heureusement.

Quand enfin il arrivèrent sur l'île, environ cinq heures après l'attaque, c'était exténué et mort de fatigue. Ils marchèrent en direction du sable juste pour sortir de l'eau et s'effondrèrent sur la plage. Après quelques minutes à resté allongé dans le sable le guerrier ce leva, il devait soigner sa blessure, mais tout ce qu'il pouvait faire pour l'instant c'était de bander la blessure, pour cela il déchira le tissus humide de la chemise qu'il portait, enleva son armure de cuir coupée en deux et enroula le tissus autour de son corps pour couvrir la plaie. Il se tourna vers l'autre homme et lui dit :

"Sarius, tu devrais faire de même."

Le dénommé Sarius venait de se lever au même moment et s’exécuta, il enleva son armure percée par endroit mais encore utilisable, il déchira les manches de sa chemise et banda ses deux blessures. Ceci fait, il décida enfin de regarder où il était, une plage de sable blanc, des morceaux de bois était répandu sur quasiment toutes l'étendu de la plage, il y avait trop de bois pour qu'il provienne juste de leur navire.

"Bien et où sommes nous ?"

Après la plage en s'enfonçant dans les terres il y avait une jungle dense. Le guerrier ne sachant où il se trouvait haussa les épaules. Après mûr réflexion ils décidèrent de rester sur la plage en attendant de voir si un navire allait passé par là, sa ne servait à rien de s'enfoncer dans les terres sans savoir où aller au risque de rater un navire qui passerait près de l'île.

Une fois de plus le guerrier itinérant avait fait un long voyage en direction de... Nul-part. Il marchait au grès de ses pas, sans boussole ni carte, juste suivant les chemins lui inspirant le plus de sympathie.
Puis il était arrivé au bord de l'eau, suivant la plage. Un petit port de pêche se révéla soudain à l'horizon et il s'y dirigea, pris par l'envie de gagner le large pour quelques heures.
Il s'approcha d'un des pêcheur qui se tenait la et l'interpella:

-"Hola, mon ami! Tu as un fort joli bateau; il doit bien avoir un prix?"

Le pêcheur fut enchanté de louer son bateau au mercenaire, car cela était sa première rentrée d'argent depuis bien des mois.
Dáinsleif s'embarqua alors dans le petit esquif: c'était une coque de bois sur laquelle était vissé un gouvernail, surplombé par une voile en triangle relié à tout un système de cordes.
Le guerrier n'avait guère le pied marin, mais il put à peu près découvrir comment orienter la voile et tenir la barre; rien de bien difficile en fait.
Il donna un coup de botte sur le quais pour éloigner son bateau du bord, prenant ainsi un léger élan que la mer d'huile et le ciel si calme ne génèrent point.
D'ailleurs, de part le manque de vent, il dû plutôt ramer pour avancer... Jusqu'à atteindre un endroit assez éloigné de la cote, la ou le vent soufflait, ce qui lui permit de gonfler sa voile.
Puis au bout d'un moment il aperçu une île au loin; c'était il rapproché de El Bahari sans le savoir? Sa route l'avait conduit bien loin de la ou il se trouvait: chose fort amusante au demeurant. D'ailleurs il en rit.
Il voyait la plage au loin, pressé d'atteindre la terre ferme, mais en même temps rechignant à quitter son petit bateau si confortable...
Puis il heurta le sable fin de la cote de l'île puis, trainant sa barque un peu plus haut sur la plage afin qu'elle ne s'enfuit pas, il observa la nature autour de lui... L'endroit avait son charme à n'en pas douter, même si il était un peu austère... Il décida alors de faire le tour de l'île, et de repartir lorsqu'il aurait retrouvé son bateau.
Et au bout d'une ou deux heures de marche, il aperçut deux silhouettes au loin, elles avaient l'air d'attendre, ou de se reposer. Dáinsleif pensa tout d'abord à un duo de promeneur, mais il se souvint que les lieux étaient peu hospitaliers, et qu'il s'agissait peut être de naufragés. Il se précipita à leur rencontre.
Puis lorsqu'il les eurent rejoint, il s'aperçut qu'ils étaient blessé, peut être gravement. Il était un peu essoufflé d'avoir courut dans le sable, mais il leur demanda:

-"Salutation messieurs. Avez vous besoin d'aide? J'ai quelques bandages sur moi si vous voulez... Racontez moi ce qu'il vous est arrivé!"

Les deux homme devant lui avaient l'air de guerriers, et vu leurs blessures, il avaient dû combattre, très certainement. Dáinsleif inspecta l'un d'eux en particulier... Il lui semblait un peu étrange, il dégageait quelque chose d'animal. En tout cas, il espérait ne pas se faire prendre pour un ennemi... Il avait beau être très doué, il n'était pas de taille contre deux de ces gaillards. Il avait l'air d'avoir le pied bien plus marin que lui d'ailleurs.

Sujet: Re: Arrivée mouvementée [Libre] Jeu 18 Aoû - 0:17

Sarius était allongé sur le sable adossé à un rocher, son regard se perdait dans la verdoyante beauté de la jungle qui s'offrait à ses yeux. Il entendait derrière lui les vagues arrivait lentement sur la rive blanche. La jungle qu'il avait sous les yeux l'émerveillé, comment un lieu comme celui là avait put prospérer loin de la civilisation du continent, là bas, du moins dans le nord à Cimmeria on ne trouver que des étendu blanche à perte de vue. Il se souvenait dans son enfance le temps où il jouait dans les rues de Hellas. Il ne savait pas comment, mais il savait qu'il ne reverrait jamais la cité blanche. Même si la beauté blanche de son pays était unique et exceptionnel, le spectacle qu'il avait sous yeux dépassé largement toutes les beauté qu'il pouvait trouver chez lui. C'était un lieu idéal pour prendre le chemin des limbes, ce qui risquait d'arriver plus vite que prévu si personne ne venait les secourir.

Il entendit à côté le guerrier cimmérian qui faisait les cents pas dans le sables, bien qu'en général il fallait vraiment tendre l'oreille pour entendre quelqu'un marcher dans le sable, mais l'homme était un tel colosse que chacun de ses pas montrer clairement sa présence. A côté de lui, Sarius était un gringalet, beaucoup moins musclé que le soldat, la sentinelle était plus petit d'une dizaine de centimètre, et pourtant on ne pouvait pas dire qu'il était petit. Il y a dix ans, quand il c'était enrôlé dans l'armée, il avait fait le vœu de devenir un soldat comme le colosse, les recruteurs avait préférait le mettre chez les sentinelles. Aujourd'hui il comprenait la raison de ce choix, déjà à l'époque il n'avait pas la carrure nécessaire pour devenir soldat, depuis ce jour il c'était entrainer pour devenir un bon sentinelle, non le meilleur, sans pour autant atteindre le but qu'il c'était fixé, il était devenu une sentinelle en qui on pouvait avoir confiance. Mais il avait échoué à sa mission, et cela l'étonnerait, au cas où il réussisse à quitter cette île et à rentrer chez lui, que l'on ne le punisse pas pour son échec. En y réfléchissant bien, il n'avait pas vraiment envi de rentrer chez lui, cela était peut la chance pour qu'il puisse changer le destin qu'il c'était tracer jusque là.

Il se leva, ses blessures le fuir souffrir quand il bougea, le tissu qu'il avait mit servant de bandage était imbibé de sang. Il fit face à la jungle, il pouvait peut être espérer trouver de l'aide, peut être un petit village perdu au cœur de la jungle, mais avant qu'il puisse faire le moindre pas, le colosse l'interpela.

"Hé, regarde on dirait qu'il y a quelqu'un là bas."

Il pointait en effet ce qui semblait être une silhouette au loin sur la plage. Elle semblait venir vers eux, plus il approchait et plus l'individu en question était visible. C'était un homme, il semblait avoir un peu moins de trente ans, les cheveux noirs. Les deux hommes attendirent que le nouveau venu arrive plus près d'eux pour dire s'il était une menace ou non. L'homme leur dit.

-"Salutation messieurs. Avez vous besoin d'aide? J'ai quelques bandages sur moi si vous voulez... Racontez moi ce qu'il vous est arrivé!"

Sarius le regarda, jusque là il avait sa main sur le manche de son épée, qu'il n'avait même pas dégainé lors de l'attaque du navire. Voyant que le colosse à côté de lui semblait encore plus méfiant que lui, il jugea qu'il serrait apte à agir plus rapidement que lui, il décida donc de ce montrer civilisé au lieu d'attaquer tête baissée.

"-Comme vous avez dut le voir, nous sommes blessé et nous ne refuseront pas des bandages et peut être un onguent efficace pour arrêter les saignements.."

Il marqua une pause et regarda son collègue, il fit un léger signe approbatif de la tête.

"-Et pour la raison de ses blessures, c'est dut à l'abordage de pirate contre navire qui a coulé et avec lui tout le reste de l'équipage."

Il montra le colosse d'une signe de la main.

"-Il cherche à rentrer chez lui."

Surprit par le fait que le verbe était au singulier, le colosse tourna un regard interrogateur à Sarius.

"-Commença moi, et toi tu ne rentre pas ?

-Je n'ai pas encore décidé, j'ai bien envi d'explorer cette île, et puis je sais ce qui m'attend une fois rentrer, et même s'ils ne nous renvoient pas de l'armée, il n'y a rien qui m'attend là bas. Je sais qu'une nouvelle vie m'attend ici."

Sarius se tourna vers le voyageur.

"-Moi c'est Sarius et lui..."

Tient c'est vrais il ne connaissait pas son nom, il fallait dire que le colosse n'était pas très loquasse.

"-Tenaka..."

Voilà qui était clair et précis.

"Et vous, qui êtes vous ? Dites vous ne connaîtriez pas l'île par hasard, vous ne savait pas si je peux trouver un village en m’enfonçant dans cette jungle."

Il montra d'un signe de tête la jungle qui se trouver à une trentaine de mètre d'eux. Il ne savait si l'homme vivait sur cette île où s'il était venu avec un bateau.

Sujet: Re: Arrivée mouvementée [Libre] Jeu 18 Aoû - 0:37

Dáinsleif ne fut pas surpris de la réaction des deux guerriers, il avait l'air égaré, s'échouer sur une plage déserte n'était effectivement pas un bon moyen de se détendre. Mais ils n'esquissèrent aucun geste inamical, et le plus petit des deux prit la parole en premier, acceptant les bandages avec reconnaissance.
Il apprit donc que ces deux naufragés s'étaient fait abordé par des pirates, quel manque de chance...
Apparemment, le plus costaud voulait repartir de cette île, et l'autre se sentait d'aventure d'y rester, présageant un changement de vie.
Puis enfin, ils se présentèrent, leurs noms ne disait rien au mercenaire, il ne les avait jamais croisé. Mais si ils étaient marins, cela n'était guère étonnant, il n'avait personnellement jamais mis les pieds sur un navire plus grand que celui avec lequel il était arrivé.
Il tendit ses trois derniers rouleau de bandage au dénommé Sarius, haussant cela dit les épaules:

-"Désolé, mais je n'ai aucune pommade, ou autre. Je ne transporte rien de périssable...
Je m'appelle Dáinsleif, et je suis arrivé ici sur un frêle esquif, la terre ferme n'est pas bien loin..."

Le mercenaire se gratta la tête et réfléchit. Il se redressa et fit la moue.

-"Encore désolé, je ne connais pas les lieux. C'est la première fois que je viens. Mais si votre ami veut récupérer mon bateau je lui laisse... Je trouverais un autre moyen de rentrer. Je ne suis pas pressé."

Il fit quelque pas dans le sable en direction de la jungle toute proche et passa une main dans ses cheveux. Une belle aventure l'attendait finalement, en compagnie d'un autre homme semblant avoir un pressentiment envers cette île si sauvage... Pourquoi pas après tout? Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas fait de folie. Il haussa les épaules, considérant ses propres réflexions.

-"On gagnerait à explorer l'endroit... Il y a surement des source d'eau claire...
Indispensable pour nettoyer vos blessures, car le sable et le sel risque de les infecter... Et dans ce cas, mes bandages ne vous serviraient à rien."

Il avait dit ça à voix haute, sans se retourner vers les deux autres. Il espérait que ses proposition seraient acceptées sans trop d'histoire, car il se sentait le devoir de trouver une source d'eau claire à présent, ou celui qui souhaitait rester sur cette île n'y survivrait pas.

Sarius prit les bandage que lui tendait l'homme, ce dernier disait se nommé Dáinsleif, il n'avait jamais entendu un nom pareil. Ainsi ce Dáinsleif était arrivé en bateau.

"-Encore désolé, je ne connais pas les lieux. C'est la première fois que je viens. Mais si votre ami veut récupérer mon bateau je lui laisse... Je trouverais un autre moyen de rentrer. Je ne suis pas pressé."

Sarius fut surprit de voir cet homme proposé son unique moyen de rentrer chez lui à des inconnus. Est-ce de la gentillesse pure ou l'homme avait-il quelque chose en tête. Quoi qu'est put penser Sarius, Tenaka répondit.

"-Et bien je sais pour Sarius, mais moi j'accepte volontiers votre offre. Et toi Sarius tu rentre avec moi ou tu reste ici, si ton choix est de rester ici, sache que mon devoir m'oblige d'avertir nos supérieur que tu désertes. Je n'ai rien contre ça, je comprendrais que tu décides de rester ici, il est vrais que ce lieu à quelques choses de spécial."

Sarius se gratta la tête, il n'avait pas vraiment envi que l'armée Cimmerianne envoi des hommes pour le traquer et le ramener pour le pendre, sentence donner à tout les déserteurs. Mais en même temps cette île avait quelques choses de particulier, comme si elle l'appelait. Et puis, s'il ne trouver rien ici, il pourrait toujours fuir dans un autre pays où l'armée ne pourrait pas le retrouver.

"-J'ai prit ma décision, je reste ici, et puis il faut que je trouve une source d'eau clair pour soigner correctement mes blessures."

Tenaka se tourna vers Dáinsleif.

"-Je suppose que si je suis vos traces de pas dans le sable j’arriverai directement à votre bateau."

Sur ce, il parti avec un regard en arrière vers Sarius, pour être sûr de la décision de la sentinelle, puis il traça son chemin en direction du bateau. Alors que le colosse n'avait pas encore disparut de son champs de vison, Sarius se tourna vers la jungle.

"Alors nous l'explorons cette île ?"

Dáinsleif ne se retourna pas une seule seconde pendant que les deux hommes discutaient. Ils étaient donc militaires; dont l'un d'eux déserteur tout de même... Il se demandait si il serait jugé complice de désertion si on apprenait qu'il était venu en aide aux deux naufragés... Il haussa les épaules, il n'en avait cure de toute façon.
De plus, la poésie que lui inspirait un homme désertant l'armé pour rester sur une île inconnue sur un simple pressentiment avait le dont de l'émouvoir. Hé oui, son âme d'artiste sans doute.
Il observait la jungle qui s'étendait devant: elle avait l'air sauvage et dangereuse, et il n'était pas du tout sur que quiconque vive ici, à part quelques bêtes sauvages. En tout cas, la bonne nouvelle résidait dans le fait qu'il trouverait plus aisément une source d'eau clair.

-"Partons donc mon ami, à la recherche de notre but: une haute clair et courante. Et m'est avis que nous la trouverons au cœur de l'île, la ou la pluie est le mieux retenue."

Dáinsleif n'était en rien survivaliste, mais il avait appris au fil des ans a vivre au jour le jour, et à survivre dans certaine situation peu commodes. Mais une île sauvage représentée pour lui un véritable défi: bien plus grand qu'un défi guerrier.
Il se tourna donc vers Sarius et croisa les bras sur sa poitrine, lui offrant un sourire encourageant.

-"Suivez moi donc, et racontez moi votre histoire tantôt que nous avançons dans cette jungle, cela vous tiendra éveillé. Car je pense que si vous vous évanouissez, cela pourrait vous être fatal."

Se disant, il fit le premier pas dans l'épaisse forêt d'arbre exotique et de buissons touffus. Aucune route n'était prédéfini, et il faudrait se tailler son propre chemin: au propre comme au figuré. Il sortit Abend, son épée droite, et taillada la végétation devant lui, dégageant ainsi le chemin pour le grand blessé. Cette île était un vrais défi pour un homme.

Il venait de prendre une décision, peut être que ce n'était pas une bonne décision, mais c'était sa décision. La désertion était un crime dans chaque pays, il ne pouvait pas revenir en arrière, enfin il pourrait, le colosse serrait ravi de n'avoir pas à le dénoncer, mais lui il saurait en fond de lui même qu'il serrait passé à côté du aventure hors du commun. Plus jamais il n'allait pouvoir rentrer chez lui, mais rien ne l'attendait, aucune femme, aucun enfant, ses parents ne vivait plus au pays et il ne s'entendait plus avec ses frères et sœurs. Et Il n'avait jamais vraiment espérait percer dans l'armée. Une nouvelle vie s'offrait à lui.

-"Suivez moi donc, et racontez moi votre histoire tantôt que nous avançons dans cette jungle, cela vous tiendra éveillé. Car je pense que si vous vous évanouissez, cela pourrait vous être fatal."

L'homme entra dans la jungle, Sarius le suivit de près. Dáinsleif n'avait pas tort, ses blessures risquait de poser problème, ils devaient vite trouver une source d'eau claire, la douleur était forte et à chaque pas qu'il faisait elle se faisait de plus en plus forte. Dans cette jungle où toutes sortes d'animaux vivaient et mouraient, Sarius prenait des risques, le risque que ses blessures s'infecte et le risque de ce faire attaquer par des prédateurs ayant sentit l'odeur du sang.
Sarius marchait derrière son nouveau compagnon de voyage, ce dernier ouvrait la route en déblayant le chemin à coup d'épée. La jungle était dense et à tout moment un animal sauvage pouvait surgir. Par réflexe dut à la tension que Sarius ressentait, il tira le manche de Pardus, son épée à la lame blanche, tenant l'épée dans sa main droite, son bras gauche commençait à s'engourdir à cause de la blessure à l'épaule, chaque mouvement du bras lui tirait une grimaces dut à la blessure.

Comme l'avait dit Dáinsleif il devait rester éveillé, ainsi comme lui avait dit l'homme, il commença à raconter comment il c'était retrouver à bord d'un bateau alors qu'il était sentinelle au frontière de Cimmeria, puis la protection du diplomate qui mourut quand la cabine du capitaine fut complètement détruite par un coup de baliste. La mort de deux de ses amis qui travaillé avec lui aux frontière du pays venu avec lui sur le navire.

Au bout d'un moment, peu être une heure ou deux, peut être moins, le temps parcourut était flou pour Sarius, il arrivèrent sur un petit chemin à peine visible dans la densité de la jungle, un petit chemin qui semblait quelques peu utilisé au vu de quelques branche cassé au bord du chemin, à moins que c'était des animaux qui passé par là.

"-Bon alors par où va t'ont."

Il n'avait vraiment aucune idée d'où allait, aucun son pouvant faire penser à de l'eau, il aurait peut être put se transformer en léopard l’ouïe de l'animal était plus développé que celle qu'il avait normalement, mais ses blessures l'en empêchaient. Il laissait l'entière décision à Dáinsleif

Sujet: Re: Arrivée mouvementée [Libre] Ven 19 Aoû - 1:01

Avançant dans la jungle hostile, Dáinsleif écoutait l'histoire de son compagnon qu'il avait entendu tirer une épée... C'était surement peur recommandé pour sa blessure, mais en cas d'attaque, il aurait au moins l'occasion de se défendre.
Son histoire quant à elle était vraiment mouvementée. Cet homme avait eu bien du courage. Un courage que surement Dáinsleif n'aurait pas eut.

Avançant prudemment, tout en veillant à ce que son ami ne tombe pas dans les pommes, Dáinsleif cherchait un chemin qui les mènerait au moins à cour d'eau clair...
Lorsque soudain: miracle, un sentier semblant avoir été emprunté par divers créature s'ouvrit devant eux. Le mercenaire se pencha pour les inspecter et se gratta le sommet du crane...

-"Ses traces semblent appartenir à de nombreux animaux... Et si ils voyagent en groupe de cette manière, cela signifie qu'il n'y a pas de prédateur parmi eux... D'un coté nous rejoignons la plage, et de l'autre nous nous enfonçons plus encore dans la jungle... Nous devons nous enfoncer dans la jungle, c'est le seul moyen de trouver une source d'eau claire!"

Il continua alors d'avancer, sans plus d'égard envers la personne qui le suivait.
Il suivait les traces de pattes qui s'entremêlaient dans le seul chemin de cette jungle... Et cela fut finalement payant, car ils arrivèrent bientôt dans un magnifique endroit. La chute d'eau était calme et claire, le petit étang limpide et quelques animaux étaient entrain de s'abreuver... Un cadre idéal pour prendre un peu de repos.
Dáinsleif se tourna alors vers son nouvel ami:

-"Alors mon ami? N'est ce pas ce dont tu avais rêvé? Prend vite un bain pour nettoyer tes blessures et laisse moi te bander après cela."

Le mercenaire encouragea son camarade à passe devant, celui ci se contentant d'un rocher ou s'assoir.

Sarius suivait Dáinsleif, ce dernier semblait savoir suivre une piste, Sarius avait apprit à faire de même durant sa formation de sentinelle. Ils suivirent le chemin qui semblait s'enfoncer dans la forêt, après de longues minutes ils purent entendre le bruissement de l'eau, ils n'étaient pas loin d'une source d'eau clair qu'ils atteignirent en quelques minutes. Une chute d'eau s'offrait à leur yeux, elle reflétait à elle seule toutes la beauté de l'île.

-"Alors mon ami? N'est ce pas ce dont tu avais rêvé? Prend vite un bain pour nettoyer tes blessures et laisse moi te bander après cela."

Sarius s'approcha de l'eau, enleva son armure qu'il n'avait pas put serrer dut à sa blessure au ventre, puis sa chemise déchirée. Il enleva ses bandages fait à partie des manches de sa chemise. Les plaies était ouverte, mais saine, aucune infection apparente et elle n'avait pas encore commencer à se nécroser. Avec le tissus qu'il mouilla il nettoya les plaies, puis après il prit les bandages donné par son nouvel allié et les appliqua sur ses blessures. Il remit sa chemise puis se posa sur un rocher, les bandages avaient l'air de tenir, il les avait serré correctement.

"-Bon est maintenant. Il faudrait accéder à un point élevé pour pouvoir voir les environ, peut pourrons-nous trouver quelque chose d’intéressant."

Sarius se demandait quel était la grandeur de cette île, quels autres merveilles elle pouvait encore garder secrètes. La vie était présente sur cette île, pour le moment ils n'avaient vu que des traces d'animaux sans savoir si c'était en général des prédateurs ou des proies. Il y avait également des oiseaux au vu des sons que l'on pouvait attendre. mais proche d'eux la vie était présente, en effet des bruits étranges se faisaient entendre tout autour d'eux, peut être des prédateurs ayant trouver une nouvelle proie ou peut des indigènes n'ayant sensiblement pas la même sens de la vie qu'eux, ou peut être bien des personnes ayant élus domicile sur l'île.