[-18] Contact éphémère [Terminer]

Verna se délectait à chaque instant, de chacune de ses caresses, de chacun de ses regards. Elle éprouvait toujours une immense satisfaction à dominer ses partenaires, cela la faisait se sentir forte et lui redonnait confiance en elle. Elle se perdait dans le regard réptilien de Duscisio qui lui semblait être prit d'un profond désarroi. Maladroitement il attrapa les mains de Verna mais se précipita ensuite pour venir lui caresser les hanches, remonter le long de son corps et finalement, tandis qu’une de ses mains se s'attardait sur la poitrine de la petite lhurgoyf, une autre s’évertua à venir la défaire d’une de ses couettes. Un petit sourire mesquin apparu sur le visage candide de Verna qui dans un geste gracieux se défit de sa seconde couette, laissant ainsi sa chevelure de feu tomber sur son corps. Elle caressa encore quelques peu la poitrine de Duscisio, s’imaginant encore et encore tout ce qu’elle pourrait lui faire et tout ce qu’il pourrait lui faire. Mais son corps lui dicta sa conduite en premier lieu, elle se pencha sensuellement vers lui et l’embrassa une nouvelle fois avant de lui baiser le menton et redescendre ainsi tout le long de son corps jusqu’à parvenir sous son nombril. Elle contraint alors le jeune homme à baisser sensiblement ce qui le couvrait avant de passer délicatement son index le long de sa virilité, puis se fut alors d'un coup de langue qu’elle vint le narguer. Elle lui jeta alors un dernier regard remplie d’une malice non dissimulé accompagnée d’un sourire de défiance. Ses lèvres vinrent alors se poser sur l’extrémité de l’intimité de l'albinos, qu’elle parcourut de sa langue tout en prenant la peine de dégager sensuellement ses mèches pour ne pas qu’elles viennent la gêner dans son office. Ce n’est qu’une fois qu’elle eut finit qu’elle entreprit de s’occuper comme elle se devait de son petit compagnon pour la nuit, sa main s’accordant parfaitement dans les mouvements de va-et-viens que suivait ses lèvres. Aussi vicieux que cela pouvait paraître, Verna adorait ainsi s’occuper de ses partenaires masculins, leurs virilités gorgées de sang était comme une sorte de corne d’abondance de ce si délectable fluide pourpre dont elle était tellement friante. Seulement il était clair qu’elle ne pouvait se permettre de les mordre, ce serait révéler sa nature de façon bien trop… déconvenue et déplaisante pour celui qui jouissait ainsi de sa compagnie. Après quelques petites minutes ainsi passées Verna ôta délicatement le membre viril de sa bouche et se rapprocha du visage de Duscisio à quatre pattes dans une gestuelle ô combien convaincante et provocatrice, telle une tigresse s'approchant de sa proie mourante et effrayée. Elle lui souriait avec malice et frotta à plusieurs reprises son nez contre le sien avant de lui susurrer à l’oreille.

« Déshabillez-moi… »

Son corps était en feu, et sa libido ne devait plus être très loin de son point culminant, maintenant elle avait besoin de se sentir aimé et désiré. Le temps qu’il se décide à agir suffit à ce que Verna continue de l’embrasser avec fougue tandis qu’une de ses mains s’évertuait à le pas lui laisser le temps de se relâcher.

Quelques choses n'allait pas dans ce moment. Ne le sentant pas encore, Duscisio oublie une chose importante, si cela se produit il pourrait blesser sa compagnie de nuit.

La première couette démêlée provoquait autant l'un que l'autre par des gestes machinalement effectués. Le regard reptilien attirait le sien comme un aimant, le charme que cela lui donnait avait apparemment un certaine effet sur la jeune demoiselle qui en demandait sans le montrer. Elle défit sa seconde et dernière couette d'elle-même pour laisser tomber entièrement ses cheveux par gravité sur la peau de son partenaire. Son visage se rapprocha à nouveau, lentement laissant sa chevelure zigzaguer à fur et à mesure de cette distance intime qui se réduisait. La douceur de celle ci le couvrit au final jusqu'à utiliser encore une fois ses douces lèvres pleine d'envie contre celle de Duscisio pour l'embrasser à nouveau un cours instant, descendant peu à peu. Le menton, puis son torse, puis le ventre. Se demandant bien se qu'elle pouvait faire, Duscisio leva la tête pour la regarder, celle qui lui lancer des yeux de plus en plus gourmand à fur et à mesure qu'elle descendait vers le troisième membre inférieur. Elle le regarda comme pour l'inviter à se découvrir. Sans le vouloir, sans le commander sa main disposer sur le fessier de la gourmande partenaire se baissa pour aller directement sur son propre vêtement pour le baisser sans l'enlever. Encore une question qui se pose comme celle de savoir pourquoi il faisait ça...
A cette invitation accepter, la gourmande se rabaissa encore pour prendre ce bâton qui lui faisait envie. L'index dessus puis la langue qui le narguait puis enfin elle vint à le posséder de sa main et de ses lèvres, écarta ses mèches grenat gênante pour une série de mouvement le menant à l'extrême.

C'est là que l'on se demande pourquoi il y a une la petite phrase d'introduction qui n'avait absolument rien à voir avec le reste du texte.
De ce sentiment de plaisir vint une chose qu'il eu oublié, qui ne s'était pas produit depuis quelques années déjà. Alors qu'elle s'amusait sensiblement Duscisio baissa soudainement ses bras sur le sable pour en prendre une poignée de chaque, levant brutalement le menton, fermait les yeux pour exprimer le plaisir soudain. Le sable autour de lui se soulevait, quelques grains un peu partout seulement rien de bien méchant. Une légère brise soufflait en cercle qui vint entrainer les grains ce sable et enfin de petite arc électrique parcourait ses bras. Cela se produisit jusqu'à qu'elle arrête de lâcher le bâton gorgée de sang, tout cessa soudainement. Les arc disparurent, le vent s'arrêta, les grains soulever retombèrent et lâcha son emprise sur la poignée de sable qui était dans ses mains serrer à mort.

Reprenant ses esprits comme s'il l'avait perdu un moment donné, il posa son regard sur le visage envieux remontant à lui par de gestes corporelle attirant et un déplacement félin où il ne manquait plus que le ronronnement pour parfaire tout ceci. Approchant son visage une troisième fois pour être nez à nez avec son compagnon, les yeux dans les yeux jusqu'à qu'elle aille glisser un doux ordre qu'il ne fit pas tout de suite par hésitation mais qui machinalement avec se qu'elle lui avait donnée.
Le dominé devait obéissance au dominant.
N'étant pas inactive non plus elle laissait une main sur la virilité pour ne pas le laisser se refroidir pendant qu'elle l'embrassait encore une fois, pendant qu'il vit l'une de ses mains encore couverte de quelques grains sable humide se leva du sol pour se diriger vers le dernière vêtement de la jeune femme. Le maillot de fortune constituer d'un simple morceau de tissus. La première main sur le maillot la seconde suivit peu après avec la même hésitation. Les doigts passant entre le tissus et la peau presque aussi pale que les mains qui entrait petit à petit, la caresse infime et lente pendant qu'il semblait chercher discrètement l'attache en passant tout autour, trouvant celui ci un peu au dessus de l'os pubien. Le vêtement maladroitement cousus glissa ce lui-même pour rendre une tenue d'Ève à l'apparence tigresse qu'elle voulait montrer. L'autre main, alla sur la joue de demoiselle de joie après avoir retirer de ses même doigts le sable qui pourrait allait irriter ce visage paraissant si fragile.

[désolé, j’ai de plus en plus de mal à faire long ^^]
L’excitation était maintenant à son comble, la respiration de Verna devenait haletante, anarchique. La cause venait du fait qu’elle n’avait pas eu de relation avec un homme de puis « longtemps ». Trouvant satisfaction et amusement auprès de sa servante dévouée de façon récurrente depuis quelques temps déjà. Ce qu’il y avait de bien dans la compagnie des hommes, c’était la fougue, l’énergie avec laquelle il leurs arriver parfois de vivre ce genre d’expérience, c’était tellement plus enivrant pour elle, de voir jusqu’à quel point elle pouvait les transcender. Le premier vrai coup de sang qu’elle eut fut lorsqu’il le sentit glisser sa main sous ses dessous. La proximité entre cette dernière et sa féminité la fit haleter plus encore, car elle attendait le contact, elle le désirait ardemment même. Elle faillit d’ailleurs attraper la main de Duscisio, et la maintenir ainsi près de son bas-ventre afin de lui faire comprendre ce qu’elle voulait, mais le bon garçon qu’il était se cantonna à faire ce qui lui avait été ordonné. Dans un geste délicat, le dernier rempart qui la séparait de la nudité s’évapora, la laissant ainsi à la merci du jeune homme. Sa pâle main vint alors lui déposer une caresse presque aimante sur son visage de porcelaine, une chose qui ne serait pas sans conséquence. Verna ferma alors les yeux pour s’en délecter davantage avant de s’allonger, dos au sol, invitant l’albinos à s’agenouiller face à elle avant de déposer ses jambes de part et d’autre de son partenaire de façon à se qu’il se trouve entre elles. D’un geste fougueux elle se redressa et passa ses mains autour de son cou avant de le coucher (plus ou moins) sur elle, puis elle ferma ses jambes autour de lui, afin de l’empêcher de partir. Elle posa alors son front contre celui de Duscisio, lui offrant un sourire tant charmeur que naturel… oui naturel, c’était une vraie face de sa personnalité maintenant.

« N’ayez pas peur… Je vous veux en moi maintenant. »

Sa voix était suave, délicate, douce… presque emplie tendresse. Elle caressait le dos du jeune albinos avec envie.

L'envie était présente, mais les doutes également. Avait-il raison de le faire ? Le seul doute qu'il avait était celui là et il n'avait que peu d'importance. Effaçant encore une fois celui ci par la vue de la jeune femme s'offrant à lui dans le plus grand des secrets , la mettant à nue au point d'en rougir visiblement. Adam et Eve dans une pale relation d'une nuit mais ne déterminant en aucun cas l'avenir du monde. Un contact simple, court et sans but précis pour le jeune homme. Un contact emplit d'un plaisir désiré, voulant qu'il dure le plus longtemps possible pour la jeune femme.
L'inexpérience du jeune adulte l'immobilisait à savoir que faire autre que rougir d'une nudité qu'elle voulait, qu'il semblait également vouloir par ses gestes lents et plein de sensualité. Le maillot de fortune maintenant retirer, il n'y avait plus à reculer s'il ne voulait pas passer pour un couard.

Sa main non loin de son intimité, la jeune femme en avait déjà des halètements d'envie. Le regard maintenant fixer sur son visage, Duscisio laissa faire momentanément quand elle ne le voulait voir partir d'une telle proximité, mais se n'était pas pour sa main qu'elle le voulait, mais pour son corps entier. Elle se laissa tomber sur le côté, s'allongeant sur le dos, invitant son compagnon qui ne tarda pas à prendre appuis sur l'une de ses mains pour s'agenouiller devant elle, la main sur son épaule, l'autre qui arriva sur sa joue blanche. Les jambes bien placer, Duscisio était coincé volontairement entre les magnifiques jambes qui avait attirer momentanément son regard d'entrée de jeu en début de conversation. Un seul geste, elle l'entoura pour qu'ils se collent. Coucher sur elle, son visage à côté du sien pendant qu'elle lui murmurait à l'oreille son désir sans qu'il en soit effrayer. Sa corne d'abondance sur le bas ventre, l'une de ses mains alla le rejoindre pour l'aider dans la tache qui était la sienne. Il leva son postérieur, prit son bâton et l'aida à entrer de la manière la plus douce possible dans un premier lieu, puis sous l'écoulement de son propre corps vint s'unir brutalement mais involontairement en elle. Il approcha ses propres lèvres de son oreilles pour que d'une murmure se souffla lentement, syllabe par syllabe de sa langue natale.

Ma-ta-né mi.
Par-don-ne moi.

Il n'allait pas forcement se faire comprendre alors que la réaction voulu de la jeune femme qui avait maintenant son souhait exaucé n'allait pas lui en vouloir au point de refuser un petit mot excuse de son partenaire. Il releva la tête, prit sa hanche maintenant qu'il ne pouvait plus tenir son extrémité disparue dans la caverne d'Eve, sa main sur l'épaule restant ainsi, il la regardait avant de continuer quoi que se soit. Surtout par le fait de ne savoir quoi faire alors l'instinct vint de lui-même à commencer à le sortir, une feinte alors qu'il retourna au fond lentement, pendant qu'il cola son nez au sien, plongea ses yeux dans son regard envieux, inspira l'air mauvais comme pour l'aider à respirer, une gémissement autrement voulu par ses propres mots, quelques minutes plus tôt...

Elle le tenait, il ne pouvait plus fuir. Contrairement à Duscisio, Verna était sûre d’elle, aucun de ses gestes ne semblaient maladroits ou même mue par une certaine hésitation. Elle savait ce qu’elle désirait et savait comment l’obtenir. Le beau garçon prit alors position autant par contrainte que par envie, sa main lui caressant si délicatement la joue venant alors courir de long du corps dénudé de la petite rouquine pour finalement venir s’attarder succinctement sur son aine avant d’aller aider sa virilité à accomplir son devoir. Elle sentit alors une douce caresse, ses sens commençaient déjà à lui jouer des tours, enivrés par cette sensation qu’ils avaient pourtant tant tendance à côtoyer. C’est alors qu’elle le sentit entrer, d’abord doucement, délectable. Son corps commençait à agir de son propre chef, une main venant parcourir son visage, machinalement, comme pour tenter vainement de reprendre le contrôle, puis elle se mordit la lèvre inférieure, un petit sourire satisfait et malicieux se dessinant sur ses traits de porcelaine, laissant apparaitre une de ses canines. Elle se perdait dans cet instant de bienêtre, tant physique que spirituel, puis ce fut dans un geste de surprise que ses mains vinrent se crisper, la première empoigna une poignée de cheveux, la seconde agrippa de ses maigres forces l’épaule sur lequel elle était posée. Ses yeux se fermèrent complètement tandis qu’elle basculait nerveusement la tête en arrière, ses dents se resserrant un peu plus sur sa fine lèvre inférieure qui laissa s’échapper un gémissement dut au plaisir. Au plaisir de la chaire, de la satisfaction, de la victoire. L’albinos vint alors lui susurrer mots à l’oreille, elle comprit ce qu’il lui disait, non parce qu’elle connaissait la langue dans laquelle il s’exprimait, mais par ce que ses pensées.

Elle se laissait maintenant complètement aller, s’adonnant librement à ses désirs, accompagnant le jeune homme dans tous ses mouvements, par le geste et parfois par quelques gémissements qu’elle avait du mal à réprimer. Elle sentait aussi ses courbes se dessiner sur la surface du sable à mesure que leur échange sensuel perdurait et se répétait, ce qui lui arracha un sourire. Après quelques instants, alors que le plaisir ne faisait que croitre et que ses jambes relâchaient quelques peu leurs étreintes sur le jeune homme, la belle lhurgoyf se redressa, venant déposer un long baiser sur les lèvres de son partenaire, elle ne s’arrêta cependant pas là, elle ramena ses jambes vers elle, s’offrant alors un nouvel appui qu’elle usa pour inviter Duscisio à s’allonger à son tour. Tout en continuant à l’embrasser , ses mains lui parcoururent le buste, dessinant chacun de ses muscles pour venir se déposer sur épaules sur lesquelles elle prit appui pour se redresser et ainsi, depuis cette position elle l’observa quelques instants sans mots dire. Elle se tenait à quatre pattes, l’échine courbée, au dessus de son pâle compagnon, ses hanches par conséquent étaient bien dessus du membre viril encore frémissant, qu’elle parcouru de l’œil un court instant avant de lâcher un petit rire malin. Puis elle reprit alors son précédent jeu, ses cuisses s’écartant dans le sable, permettant ainsi à son bas ventre de venir se déposer sur celui de son partenaire, puis elle refit quelques va-et-vient sans pour autant le laisser pénétrer en son corps. Elle poursuivit quelque instant, puis jugeant qu’elle avait assez fait attendre son ami, elle fit descendre sa main vers l’intimité du jeune homme avant de la guider vers la sienne dans un gémissement non dissimulé. Elle tortilla d’abord des hanches avec un sourire satisfait, jouissant de cette sensation de pouvoir, puis s’appuya de nouveau sur les épaules de Duscisio avant de commencer à agiter pleinement ses hanches dans de souples et amples mouvements. Courbant parfois l’échine afin de faire encore plus pointer son séant. Donnant tantôt de rapides mouvement, tantôt de plus lents. Ses yeux se fermèrent, afin de jouir encore plus des sensations charnelles, de sa fine bouches s’échappaient encore quelques gémissements entre d’haletantes respirations.

Le voilà maintenant prit dans le piège tant attendu de l'intimité de l'acte. Dans l'impossibilité de fuir par simple envie de continuer cette nouvelle expérience, l'albinos continuait de donner se qu'il pouvait de lui. C'est un labyrinthe où une fois entrée on ne peut en sortir facilement. Maintenant c'est comme s'il y avait un but à attendre. Cette nuit est la leur, les hurlement divins était pour eux, rien ne pouvait les empêcher de s'exprimer.
Dans les mouvements instinctivement effectués du jeune herboriste, la jeune femme ne pouvait s'empêcher de sortir quelques bouffés d'air sonores montrant son empathie à se qu'elle était en train de vivre, se qui ne devait pas être la première fois de sa vie si l'on pouvait tenir des conclusions sur les événements passés tout à l'heure. Depuis le début elle cherchait quelques choses de son compagnon d'un soir et elle l'a enfin obtenu par attirance toujours inexpliquée du jeune albinos. L'échange enfin effectuer elle ne voulait le laisser s'échapper. Par mouvement de haut en bas, les traits fin se dessinaient, ses jambes le relâchait lentement se posait sur le sable pour prendre un appuis. Se redressant lentement, la jeune demoiselle invitait son amant à se redresser à son tour, arrêtant tout mouvement, restant en elle un instant mais l'invitant enfin à s'allonger alors qu'elle quittait l'union qu'elle avait désirée. Non ce n'était ps fini, loin de là. Elle reprit sa domination mais ne s'arrêtait pas de l'embrasser pour autant.

Les petites mains qu'elle possédait dessinait sa musculature. Les mains raidit par le travail des plantes qu'il possédait restait l'une sur la hanche l'autre sur son bras. Se redressant pour le prendre de haut, son intimité bien caler sur le bâton de chair, le regard qu'elle pesait sur lui était très envieux de lui en faire voir de toutes les couleurs. D'un visage presque inexpressif, un soupçon surprit et impatience de savoir se qu'elle lui resservait.
Quatre pattes au dessus de lui elle continuait son jeu de séduction, son petit rire malicieux vint signaler ses petits mouvement de hanche qu'elle commençait alors qu'aucune unification n'était faite. Se stimulant elle-même avec le membre à l'extérieur, Duscisio ne pouvait pas ignorer ce petit bouton qui le touchait à ce point sensible qui lui donnait satisfaction. Plusieurs va-et-vient extérieure se faisaient. La peau de la corne d'abondance habillait et déshabillait cette dernière pour ne pas le laisser se réduire, bien au contraire il se faisait de plus en plus gonfler et un soupire silencieux s'expulsa de la gorge du dominé exprimant son acceptation. C'est une attente qu'il veut bien continuer, mais envieuse de ce petit jouet, la lhurgoyf posa l'une de ses mains sur son bas-ventre, puis sur son intimité puis encore sur le membre pour lever ses hanches et redresser la situation.
Encore une fois manipuler par cette petite main, l'albinos ne pouvait que regarder se qu'elle voulait. L'aventurier arrivait une seconde fois dans la grotte au plaisir pour s'y engouffrer, disparaissant dans les ténèbres de la cavité. Au moment de la seconde unification, l'herboriste lâcha un soupire un peu plus sonore, en même temps que le gémissement expulser par la dominante. Il sentait très bien son membre disparaître et se n'était pas par une horreur qu'il disparaissait.

Elle se donnait à cœur joie de cette victoire qu'était la sienne. Maintenant qu'il savait qu'il était en elle, elle ne s'empêchait pas de continuer son jeu. Ici c'était elle qui définissait les mouvements à venir, tout du moins se qu'elle laissait paraitre au vu que la situation l'albinos ne semblait pas savoir se qu'il fallait faire dans une telles situation. Après tout cela n'a rien d'étonnant. Les doutes et les hésitations ne sont dût qu'à une seule chose qu'une un jeune homme à chaque nouvelle expérience. Maintenant baptiser, il ne semblait refuser la messie qui lui était offerte. Un divin plaisir qu'il n'arrivait pas à définir, déjà bien au depuis la pénétration mais qui ne cessait de monter depuis qu'elle avait commencer ses coups de reins entre lent et rapide. Elle voulait se satisfaire alors il se laissait faire comme bon lui semblait t'elle. La seule chose qu'il faisait était de lui tenir les hanches, ses bras devenant mous suivant ses mouvements de haut en bas. Haletantes, elle continuait encore et toujours, cherchant le point ultime de la nuit qui lui offrait. Un point qui prenait le temps de venir, laissant la jeune demoiselle profiter de son nouveau jouet.

La sérénade passionnée qui se jouait en ce lieu isolé n’avait maintenant plus de cesse. Verna ne prêtait plus aucune attention au temps qui s’écoulait, une demi-heure, une heure peut-être… se laissant porter par ces plaisirs simples et pourtant ô combien enivrants. Les mouvements de la lhurgoyfs devenaient de plus en plus frénétiques et amples… la chaleur qui emplissait son corps ne cessait de croître, les sensations qui se déchainaient dans son bas-ventre s’intensifiaient encore et encore, à mesure qu’elle dansait sur le jeune albinos. Elle sentait que ça approchait, le point culminant de cette chorégraphie érotique se faisait maintenant proche. Son corps lui demandait, lui ordonnait d’en voir la fin. Elle s’efforça de se calmer, son esprit reprenant le dessus sur la situation… Se calmer, oui elle devait se calmer pour ne pas gâcher cet instant de plaisir. Sa respiration haletante… elle regarda Duscisio, l’air malicieux.

« C’est votre première fois si je ne m’abuse… Une telle endurance c’est déroutant. »

Elle dessina de son index des petits cercles sur la poitrine du garçon, restant quelques instants immobiles. Elle pouvait sentir la virilité de Duscisio frémir en elle, ce qui lui arracha un petit sourire.

« N’y voyez pas d’atteinte personnelle mais je vais en finir avec ceci… »

Puis dans un ricanement cristallin elle reprit sa danse enchanteresse, sentant monter en elle un bien-être dont elle ne saurait jamais se lasser, telle une drogue, les gémissements qui accompagnaient chacun de ses mouvements se faisaient de plus en plus fort malgré qu’elle s’efforçait de les étouffer et puis, dans un ultime mouvement de hanches… cette même sensations qui grandissait petit à petit en elle fut pris d’une célérité sans borne avant de se répandre dans le corps entier de la petite rouquine qui dans un dernier soupir se crispa légèrement sur son compagnon… Après quelques instants de quasi immobilité, elle se détendit doucement dans un soupir laissant communiquer son état de satisfaction actuel. Elle ne sépara pas pour autant de son compagnon de jeu, leurs corps toujours liés par leurs sexes respectifs, elle se contenta de s’allonger sur l’albinos pour venir lui déposer un dernier baiser sur le menton.

Combien de temps était t'il passé ? Combien de temps avait t'il passé à essayer de satisfaire et se satisfaire au corps de la jeune femme ici présente qui comme lui, avec la tenue d'Eve pour seule apparence. Il était son jouet, elle en profitait un maximum. Tout était en train de croire, l'envie de venir approchait tout autant que les mouvements sensuelle continuait régulièrement. Toujours plus important, toujours plus rapide celle ci voulait le point culminant de cette affaire tout en profitant de se qu'il y avait en elle. Elle voulait la fin, mais elle se calme, elle s'y força afin de s'arrêter momentanément, afin de ne rien gaspiller. Sa respiration haletante montrait autant la fatigue que le plaisir dont elle faisait preuve, son regard malicieux et ses paroles d'une constatation de la nouvelle expérience en ce domaine de Duscisio sur l'union de deux êtres. Se n'est pas pour autant que ses deux là s'aimaient, non loin de là. Il ne répondit pas à ses paroles.
L'endurance qu'il possédait n'avait pas grand chose d'impressionnant. Celle ci acquit au fils des années par les voyages et les entrainements à l'épée et à la magie avec quelques choses d'utile autre que dans le combat et la concoction de remèdes.

Les cercles de passion dessiner par le doigt de la jeune demoiselle sur son torse marqua l'immobilisation de celle ci. Son bâton de chair encore en elle, prêt à exploser quand le moment viendra, celle ci le sentait et continua de plus belle par des paroles et des faits, par le même mouvement et le rire envieux. Le gémissement a chaque enfoncement de la chose lui procurait une satisfaction hors norme. Il ne faisait quasiment rien si se n'est la tenir droite sur lui, coucher sur le sable chausser par son propre corps plus ou moins en mouvement.
Cela venait, une chose allait sortir, c'était aussi chaud que le reste. Dans un dernier mouvement, un liquide sorti de lui et entra en elle, procurant à chacun une extase enfin acquit. Il avait joui en elle comme elle le voulait. Une sensation unique à chaque union dont se fut la première fois ressenti pour l'albinos. Il resta immobile. Sa respiration était aussi rapide que la jeune femme qui ne voulait se séparer de lui, voulant rester encore un moment ainsi afin de profiter de cette union. Duscisio avait arrêter de la tenir sur la hanche. Ses bras longeait le long de son corps, sa respiration apparemment calme était tout aussi haletante. Celui ci respirant par le nez, ses lèvres s'ouvrant pour respirer de temps en temps plus profondément.
Un baiser fut donner à son menton. La rouquine n'avait senti que se que Duscisio n'avait jamais eu autant qu'elle. Il ne savait rien d'elle, mais elle connaissait son nom. Avec les voyages, il sait très bien qu'il ne la verra pas avant plusieurs semaines si se ne sont pas des mois. Son travail n'est que sa raison de vivre, soigner les gens avec ses remèdes un remerciement. Il n'oublie pas à quel point cela lui fait plaisir de travailler ainsi.
Il restèrent l'un dans l'autre durant un moment, ne cherchant ni l'un ni l'autre à se séparer. Si elle le voulait elle n'avait qu'à le faire, ne pouvait lui brusque par le simple fait qu'il était simplement dominer.

[Hors RP] Allez finissons-en avec ce RP ^^Essayes de jouer le jeu s’il te plait, je m’en voudrai de devoir te combattre [Hors RP]

Le couple d’amant se tenait maintenant l’un contre l’autre, échangeant quelques caresses furtives. Tous deux étaient dissimulés sous la cape de l’albinos, encore bercé par la danse des flammes du feu de camps. Le ciel était couvert d’une multitude d’astres lumineux et la petite Lhurgoyf fut même prise par l’idée saugrenue de les compter, enfin une minute tout au plus… Parce que la faim lui tiraillait littéralement l’estomac.

L’un des inconvénients quand on est un être à part comme Verna, c’est que notre organisme ne réagit de la même manière qu’une commune personne, ceci étant en partie lié à ses antécédents… particuliers. Elle commençait non seulement à se sentir faible mais aussi à avoir mal, c’était clair, il commençait à vouloir reprendre le dessus, il fallait qu’elle se nourrisse pour le calmer, sinon… Malgré la douleur, semblable à des crampes d’estomacs, il fallait qu’elle agisse calmement sinon Duscisio pourrait s’en apercevoir… et la dernière chose dont la petite rouquine ait besoin c’est qu’on organise une chasse aux vampires. Cela faisait maintenant quelques heures que le couple était en train de « dormir » elle sentait la chaleur de l’albinos lui parcourir le corps, c’était une sensation délectable. Peu de temps après, elle eut une violente crampe la forçant à se crisper un petit peu, elle commençait à devenir anxieuse, elle ne parvenait pas à comprendre qu’il devienne aussi violent aussi vite, l’empressement ne pouvait que l’amener à commettre la faute et réveiller l’albinos, à supposer qu’il dorme… devait-elle prendre la fuite ? Ou boire, juste un petit peu afin de calmer sa faim et pouvoir retourner auprès de Maxine ? Non… il était préférable de courir le risque de devoir tuer un homme que de laisser ce fléau se libérer. Elle se tourna alors vers l’albinos et l’enlaça tendrement posant son front le long de la joue de ce dernier et resta quelques minutes encore immobiles lui laissant ainsi le temps de retrouver le calme du repos et la quiétude du sommeil. Puis, délicatement ses crocs s’enfoncèrent dans la gorge du jeune homme dont elle extirpa le nectar à deux ou trois reprises, cette sensation était tout aussi enivrante que celles qu’elle avait partagées auparavant, à la différence qu’elle lui était privée. Ensuite elle passa un léger coup de langue à l’endroit où ses crocs s’étaient enfoncés afin de récupérer les dernières gouttes de ce précieux nectar et finit par déposer un dernier baiser sur ses fines lèvres.

Après avoir renfilé sa robe ainsi que le reste de ses vêtements, Verna tourna légèrement son regard vers le jeune homme encore allongé face au feu, elle espérait juste qu’il ne se soit rendu compte de rien et continu à dormir paisiblement. La nuit était encore loin d’être finie et Crow lui tracé déjà la route depuis le ciel pour retourner jusqu’à Tyrhénium.

« J’espère que l’on se reverra bientôt… mon tendre ami. »

Ce n'est pas le genre de nuit que l'on oublie vite. La nuit n'avait que commencer que la fatigue de l'acte avait raison de leur énergie. Couvert par la cape de l'herboriste, le couple se tenait chaud mutuellement, caresse discrète dans leur mouvement de sommeil, Duscisio tenant dans un bras la jeune demoiselle avec qui il s'était uni le temps d'une petite heure de plaisir, l'autre bras longer sur le sable réchauffer par les flammes du feu de camp.
Lui qui pourrait tenir une ou deux lunes sans dormir, le voilà à terre et épuiser. Le sommeil d'habitude léger se fit profond. La méfiance de la nature environnant s'était dissipé, la peur de se faire agresser en plein sommeil n'avait plus lieu d'être. Elle pouvait donc passer sans aucune inquiétude. La compagnie qu'il possédait lui fournissait un sentiment fort de sécurité.

C'est en pleine nuit qu'un picotement dans le cou le réveilla qu'à moitié. Ne prenant ceci que pour un rêve ou un fait semblable, la douleur du cou paraissait pourtant vraie. Le jeune homme avait les yeux mi-clos à cette sensation. Prenant toujours ceci pour un acte fantasmagorique en raison de sa vue particulièrement flou, il semblait perdre quelques choses de précieux qui le mettait dans cet état. Sans savoir qu'il se faisait aspirer son propre sang par un acte vampirique commit par la demoiselle dont seul le nom lui était inconnu. Heureusement pour lui, sa consistance était plutôt robuste pour quelqu'un de fragile de nature, son albinisme. Ses voyages l'ayant endurcit physiquement il n'allait pas mourir de perdre un ou deux litres de sang.
Toujours les yeux mi-clos, le flou révélant à peine le visage de la Lhurgoryf se relevant provisoirement pour le regarder après un baiser. Il ne faisait entre-voir celle ci, se rhabiller, le flou censurant le corps frêle de la fille de joie. Se retournant encore une fois pour lui adresser un vœu de retrouvailles. Il referma ses yeux sous la fatigue de sa perte et de l'union passée pour s'endormir profondément jusqu'à l'aube.

Il se releva brutalement. La demoiselle avait disparu et ses traces dans le sable aussi par une légère brise du matin dont il sentait l'effet sur sa peau pale et encore nue. Les effets de celle ci n'était plus là, les siens n'avaient pas bouger, aucun vol n'avait été commit. Pourtant, une chose se releva réellement vraie quand il la senti à nouveau pour y poser la main dessus. Deux trous avaient été fait et commençait déjà à cicatriser dans son cou. Se n'était pas un rêve alors.
Il ne cherchait pas la raison de cette pseudo vampirisation. Elle avait surement ses raisons d'avoir fait ainsi. La retrouver pour lui poser la question dans une prochaine et lointaine rencontre.
Le feu s'était presque éteint pour y laisser quelques braises mélanger au sable souffler durant la nuit, il s'habilla après avoir retrouver un peu ses esprits et se contentant de fouiller un peu ses affaires pour repenser à se pourquoi il était là en premier lieu. Mais peu important se qu'il faisait, cette fille était dans ses pensées. Peu importe. Le contact était éphémère et il le restera. Il y avait très peu de chance de la recroiser mais très peu de chance pour qu'il l'oublie. L'amour n'y avait pas sa place, il n'y en avait pas. Il n'a fait que profiter et s'être fait profiter d'une nuit avec le sexe opposé.
Il repartie la tête vide, quelques heures après, de toutes choses pour ne pas oublier se pour quoi il vivait et le faisait vivre.

Un souvenir sans valeur, un contact éphémère.