Notre univers

L'Histoire d'Istheria
Evènements majeurs
Carte du monde
Le Guide Général

Géopolitiques

Cimmeria
Noathis
Eridania
Cebrenia
Phelgra
Argyrei

Répertoire

Peuples
Castes
Bestiaire
Herbier
Boutique

Pour les curieux

Les Questions
Les Prédéfinis
Les Postes à pourvoir
Les Scénarios
Les Partenariats

Quand murmure l'acier [PV: Daé']

News & Infos

C'est ici que vous trouverez les dernières infos du moment, les utiles et moins utiles.

Temps actuel

An 1307 de l'ère obscure

Saison:Béamas Mois:Toula
[Mai/Juin en temps réel]

Effectifs

• Eryllis: 3
• Ladrinis: 9
• Eclaris: 5
• Prêtresses: 5
• Cavaliers de S.: 5
• Nérozias: 6
• Gélovigiens: 3
• Ascans: 0
• Marins de N.: 4
• Civils: 15

Lien recherché

- Walter cherche de Preux chevaliers.
_ Raël veut des clients.
_ Deirdre a besoin d'employé!

Les Rumeurs

_ Il parait que des personnes hauts-placées seraient gravement malades.
_ Il parait que ça se bécotte "au bal de la Rose".
_ Il parait que des créanciers en sont après un des conseillers de Ridolbar.

Code par MV/Shoki - Never Utopia

Istheria, le monde oublié

Accueil

FAQ

FAQ

Rechercher

Dernières images

Dernières images Membres

Membres

Groupes

S'enregistrer

Connexion

Le Deal du moment : -39%

Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip

Istheria, le monde oublié :: La Communauté & ses échanges

:: • Corbeille :: • Les vieilles aventures

Quand murmure l'acier [PV: Daé']

Voir le sujet précédent

Voir le sujet suivant

Auteur

Message

Anonymous

Invité
Invité

Sujet: Quand murmure l'acier [PV: Daé'] Jeu 23 Oct - 2:36

S’en revenant de guerre tout d’honneur et de gloire vêtue, notre beau chevalier regardait tranquillement le monde qui l’entourait, il avait pour seul armure ses vêtement qui avait tant voyagé et la couche poussière –il veut dire de crasse- qui l’encombrait et lui donnait l’air de celui qui a tout vu –et l’odeur aussi-. Le front haut, les traits tirés par une marche forcée et le visage contrit par ce qu’il avait vu, il lui restait –juste- cette petite étincelle de malice qui fait la différence entre un de ces hommes vidé par les guerres et un de ces aventuriers fier. Assez grand et fort pour soulever des montagnes, il avait été taillé dans la roche –par un gamin de quatre ans et à peu près aussi réussit qu’on pouvait s’y attendre-… C’est donc l’esprit ailleurs qu’il longea la forêt avec le peu de discrétion que son corps immense, ses bottes ferrer et tout son arsenal lui permettait. Car l’homme, s’en revenant de guerre portait sur lui tout une collection d’arme comme on en voit peu. Toutes bien forgées et taillées pour le combat elle n’était pas moins des trésors de ferronnerie et de précision que seul la forge de Bor pouvait proposer. Car le digne héros –ici appeler le hérisson- était bien le grand maitre du temple du Dieu des artisans et donc la main de Bor qui s’en revenait de sa découverte du colosse et de sa lourde fumé rouge à la particularité si proche des petites pierres rougeoyante que l’ont trouve dans les prisons. C’est donc l’esprit ailleurs que Brom s’approcha de la clairière qui possédait l’une de ses biens, une belle charrette tiré par deux frisons solide. Et si à première vue la musculature des chevaux pouvais sembler démesuré par rapport à la taille de la voiture, il en était moins question quand on se penchait sur les détailles : La dite carriole était renforcer de toute part, les essieux était en métal et tout le système semblait fait pour supporté le transport de ligot métallique et de caillasse charger bien plus que de raison. Ou plutôt, si l’ont cherchait encore un peux plus, la plus part du poids charger au niveau du siège. Etonnant quand on ne connait pas Brom, mais moins frappant lorsque l’ont sais que l’homme, loin d’être gros -bien qu’il puisse survivre à un hiver bien rude- avait une densité bien à lui, bien plus proche des métaux que de la carcasse humaine et donc un poids certain qui l’empêchait entre autre de monté dans les étages des maisons ou de visité des ponts de cordes et de lianes. Handicapant la plus part du temps cela devenait utile une fois lancer au pas de course ou pour maitrisé quelqu’un. Mais le géant, qui dépassait d’un bon mètre la taille classique du Zélos, ne s’attarda pas à l’observation du chariot, bien que la clairière soit déserte quelque chose, une intuition ou un bruit avait attiré son attention. Posé à l’orée de cette dernière, près du petit chemin et de ses noisetiers, l’être scrutait l’obscurité des bois alentour sans s’approché d’avantage. Lentement, avec les gestes habitués d’un maitre escrimeur il tire à lui deux haches qui pendait sur ses cuisses, puis, sans plus de cérémonie et dans un bruit sourd il détache la bretelle de son paquetage qui s’effondre et laisse l’acier murmurer… -“Je suis là, qui que vous soyez je n’ai pas l’intention de partir sans mes biens, il vous reste donc trois possibilité, sortir amicalement de ces broussailles, les mains en l’air bien visible, ou vous tiré en vitesse. La troisième suppose que l’un de nous mourra et si c’est moins sachez que je n’y passerait pas seul.” C’était dit calmement, -presque- sans crainte, bien que qui ne serait pas assez stupide pour ne pas craindre les reines de la forêt. Mais elles auraient déjà dût quitter les lieux avec les armes livrées que contenait la charrette. Il n’y avait donc que peux de chances que ce fut elle, il restait donc les briguant, les animaux, et les autres. Au moins deux sur trois comprenait le langage parler, les autres comprendrait le ton.

Revenir en haut

Anonymous

Invité
Invité

Sujet: Re: Quand murmure l'acier [PV: Daé'] Jeu 23 Oct - 21:08

Quelques nuages gris recouvraient les soleils et le ciel. La jeune Eryllis sentait l'humidité de l'air s'agripper à chacun de ses pores. Même si elle n'aimait guère la pluie, le froid et l'humidité, cela n'y changerait rien: elle s'en allait découvrir tous ce que ce vaste monde avait à lui offrir. L'entrainement des Eryllis et leur façon de vivre, autonome, n'avaient été que bénéfiques. Elle ne doutait pas un instant de sa capacité à survivre seule en pleine nature. Son sac sur le dos, elle était fin prête à mettre les voiles. Mûr, sa monture, la suivait de près. C'est sa mère qui lui avait offert pour ses sept ans. Daenerys l'avait dressé depuis ce jour, seule, à la manière d'une reine. Il était obéissant, fidèle, protecteur, et bien sur, fort. Se souvenir lui donnait toujours du baume au coeur. Samarcande les suivaient sans doute aussi, même si pour le moment, elle ne le voyait pas. Il était toujours là. Il était ses yeux. Ils commencèrent donc leur voyage sans trop se presser. Erys -nom donné par les Eryllis- ne cessait de regarder autour d'elle, appréciant chaque détails, chaque bruit ou odeur. Là, quelques champignons à l'odeur sucré, ici, celle du bois humide ou encore l'odeur amer de quelques fruits à la couleur orangé. Les pas de Daenerys la menaient à la clairière. Lieu connu comme étant le point de halte des voyageurs. Elle savait qu'un homme vendant des armes avait laissé la chariote là bas. Elle avait entendu quelques Eryllis en parler à Samhach. Elle ne savait pas encore très bien ce qu'elle allait faire, voler les armes destinées ses congénères ou peut-être essayer de négocier une vente avec l'homme. Quoi qu'il en soit, elle devait s'y rendre. Quelques armes de plus n'était pas une mauvaise chose, après tout. Les arbres commençaient à se faire de moins en moins en moins denses, et l'on pouvait apercevoir une petite percée de lumière quelques mètres plus loin. Elle percevait déjà le bruit des crapauds volant au dessus de l'eau... Personne à l'horizon. Mais la chariote, elle, est bien là. Elle laissa Mûr se désaltérer tandis qu'elle s'avançait vers la chariote. Beaucoup de métal, sans doute pour supporter le poids des marchandises, mais quand même... Tant de métal, cela intriguait la Yorka. Sans plus de cérémonie, elle s'approcha, jeta quelques coups d’œils de part et d'autre de la clairière, et fouilla judicieusement mais rapidement -le plus silencieusement possible- l'arrière de la carriole. Malheureusement pour elle, à peine quelques minutes eut-elle le temps d'y voir quelque chose, un bruit de métal tombant au sol résonna en écho tout proche d'elle. Tellement proche qu'elle entendit très distinctement l'avertissement donné par ce qui en toute logique paraissait être celui du propriétaire des biens qu'elle s’apprêtait à voler. Erys hésita deux secondes, tout au plus, juste le temps de prendre la bonne décision... La brunette releva la tête lentement, vérifiant avec espoir -perdu- que l'on ne s'adressait pas à elle. Bien sur, elle était seule ici, à voler des armes. Les mains à hauteur de son visage pâle, elle fit trois pas sur le côté, s'éloignant assez de la chariote pour être libre de ses mouvements et voir ceux de son interlocuteur. - Je... Je suis désolé, je regardais juste. Vraiment désolé monsieur. Je vais payer! Je m'appelle Daenerys, je pars, je voulais des quelques armes de plus. Rien d'autre... Dit-elle d'un ton mal-assuré. Son coeur battait si fort dans sa poitrine qu'elle cru un instant qu'il pouvait aussi l'entendre. Et si jamais c'était le cas, et se tapait la honte de sa vie. Le voyage ne commençait pas aussi bien qu'elle l'aurait voulu. Un cri d'aigle se fît entendre au dessus de leurs têtes. Elle leva la tête et le vit survoler la clairière en cercle. Erys visualisa rapidement un paysage calme, serein, un cour d'eau glissant sur la roche grise. Un paysage qui relaxant, qu'elle avait souvent rêvé(traduction: * Ne t'en fais *). Aussitôt, l'aigle se posa sur une branche non loin de là. Dissimulé derrière le feuillage. La voleuse sentait sa présence, elle savait qu'il était resté dans le coin et qu'il les observait, elle sentait son stress, mais continua de se concentrer sur son calme interne, pour ne pas qu'il s'affole. Elle releva donc la tête et fixa l'homme en silence, attendant le verdict qu'il lui attribuerait.

Revenir en haut

Anonymous

Invité
Invité

Sujet: Re: Quand murmure l'acier [PV: Daé'] Ven 24 Oct - 0:48

Son regard dure et sévère se pose sur la demoiselle et y reste quelques longs instants. Tranquillement il la jauge comme un maitre d’arme juge un élève, sans s’attacher à tout ces points de vue matériels mais en cherchant les détailles les points. Le fait qu’elle porte peu de tissu, ou des vêtements assez proche du corps, aidant, il observe chaque point, chaque attache de tendon, chaque muscles, en détailles, son cou qui palpite de stresse ou de peur fasse au bruit et le fait d’avoir été prise la main dans le sac. Réaction enfantine mais si naturellement encré elle remonte toujours face à des figures d’autorité aussi marqué visuellement. Les jambes sont fines, les cuisses bien faite et habituer à courir, les muscles marquer sans dénaturé la silhouette, une pointe de jalousie dans le regard il observe ce genre de personne qui semble ici peuplé le monde comme on oublie tout ceux qui vivent dans les basses fosses. Il remonte, ventre plat, abdominaux, épaules, habitué à grimpé, à porter son poids sur les bras autant que sur les jambes, surement agile, un léger manque de poignet, pas forcement à l’arme, les mains trop vite hautes d’ailleurs pour un maitre d’arme … Une nouvelle femme de la forêt donc … Ou plutôt surement, pas un nom qu’elle donne d’habitude. Trop de stresse pour elle ? Qu’importe l’homme en grand chevalier repose ses haches à leur place, contre ses jambes et les attaches rapidement, puis, sans la quitter des yeux il porte à nouveau son sac sur l’épaule, sans effort malgré la masse informe de métal qui la compose, tout en le rattachant il se dirige vers la charrette et marmonne pour lui-même : -“Quitte à m’envoyé un voleur vous auriez put m’envoyé quelqu’un de compétent, pas une jolie demoiselle qui semble si fragile sans l’être …” Puis sa voit se fait plus haute, distincte “Plusieurs possibilités petites demoiselle, tu es une gamine voleuse qui tente stupidement de se racheté, à ce moment là je te conseil de dégager. Tu cherche des armes, de n’importe quel qualité car il te faut un canif pour coupé du bois, à ce moment là vas voir en ville, ça sera moins cher et surtout de la qualité que tu cherche. Enfin, si tu cherche le prolongement de ta main, ta vie, celle qui bougera avec toi, sera forgé pour toi ou au moins te convient parfaitement, à ce moment là tu es à peu près au bonne endroit bien que tu aurais dût aller m’attendre dans ma forge … Et je ne sais pas comment tu compte payer mais mes armes coutes très cher, je suis Brom Ode’Bahalmarche si ce nom te dit quelque chose.” D’une main habituée il ouvre la bâche et pose avec la délicatesse d’un père qui borde son enfant les armes qu’il portait sur lui sur le bois qui craque doucement comme un bas sous une lourde charge qu’on aurait posé avec délicatesse. Puis remettant la toile il se retourne vers la gamine à laquelle il a toujours porté une précieuse attention, non pas à cause de ses formes –bien que ça aide- mais surtout à cause de ses habitudes de maitre d’arme et sa connaissance de ces personnages bien trop en forme pour ne pas avoir un font de guerrier. “Alors je t’emmène ? Tu achète sur place même si je n’ai pas grand-chose et que vue ta carrure l’équilibre vas être dramatique ? Ou tu te fiche de ce genre de détaille et tu vas en ville ? A ce moment là je veux bien te déposé, pour moi le chemin sera long et au pire si tu essaye encore de fouillé dans mes affaires je te laisse sur le bord de la route accroché à un arbre.” Il sourit, mais contrairement à ce qu’il vient de dire, son visage ressemble plus à celui d’un pèlerin bien veillant et –stupidement- sympathique. A première vue –et à première odeur aussi- l’homme semble habituer au voyage –et à ne pas avoir la chance de se laver tout les jours- et la façon avec laquelle il grimpe à l’avant de la charrette finirait de convaincre n’importe quel être de peu de foi. Ici devant la brunette se trouvait la main de Bor, haut prêtre du Dieu des forges et l’un des meilleurs forgerons de sa ligné, un homme née pour forger et qui avait dut apprendre tout le reste, mais un sourire –au contraire du reste- sympathique et prompte à apporté la confiance.

Revenir en haut

Contenu sponsorisé

Sujet: Re: Quand murmure l'acier [PV: Daé']

Revenir en haut

Quand murmure l'acier [PV: Daé']

Voir le sujet précédent

Voir le sujet suivant

Revenir en haut

Page 1 sur 1

Sujets similaires

» La légende de Patte Blanche, Yorka de Samhach.
» Murmure [EN COURS]
» Murmure dans le silence [PV : Eryllis]
» Quand la foi rencontre la raison. (pv Kenian)
» Quand on ne maîtrise plus ses pouvoirs [PV, Kalysta]

Permission de ce forum:

Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum

Istheria, le monde oublié :: La Communauté & ses échanges

:: • Corbeille :: • Les vieilles aventures

Sauter vers:

(c) ISTHERIA LE MONDE OUBLIE | Reproduction Interdite !