Walter Veldar

News & Infos

C'est ici que vous trouverez les dernières infos du moment, les utiles et moins utiles.

Temps actuel

Effectifs

• Eryllis: 3
• Ladrinis: 9
• Eclaris: 5
• Prêtresses: 5
• Cavaliers de S.: 5
• Nérozias: 6
• Gélovigiens: 3
• Ascans: 0
• Marins de N.: 4
• Civils: 15

Lien recherché

- Walter cherche de Preux chevaliers.
_ Raël veut des clients.
_ Deirdre a besoin d'employé!

Les Rumeurs

_ Il parait que des personnes hauts-placées seraient gravement malades.
_ Il parait que ça se bécotte "au bal de la Rose".
_ Il parait que des créanciers en sont après un des conseillers de Ridolbar.

Code par MV/Shoki - Never Utopia



 
AccueilAccueil  FAQFAQ  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  


Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

Partagez
 

 Walter Veldar

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
:: Le Comte du Béon ::

|| Informations ||
Fonction:
Pouvoirs, spécialités & Don:
Relations & Contacts:
Walter Veldar
:: Le Comte du Béon ::
Walter Veldar
MessageSujet: Walter Veldar   Walter Veldar Icon_minitimeVen 1 Nov - 23:03



Walter Veldar
« Chevalier, batard, comte... Tout ça à la fois !»




IDENTITE : Walter Veldar
SURNOM : Ser Walt, le Bâtard de Béon
AGE : 30 ans | SEXE : Masculin
PEUPLE :  Terran
CASTE : Civil
METIER : Comte de Béon




DON : Agilité développée
SPECIALITES : Maitre d'Armes
Maitre de Chevalerie
Tacticien
Charisme

POUVOIRS :
Bouclier : Capacité à créer un bouclier sous une forme énergétique : Il s'agit de faire apparaitre un champ protecteur énergétique dont la taille et la puissance varie au fil des niveaux de maitrise.

Célérité : Capacité à se déplacer à une vitesse surhumaine : Permet d’accélérer ses mouvements afin de se déplacer plus rapidement, d’agir plus rapidement en terme de mouvement du corps et de temps de réaction

Télékinésie : Capacité à manipuler les objets sans les toucher, et à distance : permet d'attirer ou de propulser des objets (ou des personnes à un certain niveau). Et ce, même si cet objet est tenu par une personne. La personne pourra s’y agripper pour retenir l’objet, mais devra lutter. La vitesse de base de déplacement des objets pris par la télékinésie de Walter est de 20km/h. A partir du niveau 4, vitesse à 40hm/h

Aura du Chevalier : Capacité à régénérer les forces de l'utilisateur et de ces compagnons se tenant à ses côtés. Le périmètre est de quelques mètres autour de lui.


Une épée bâtarde en bon acier
Une dague simple


Armure : cotte de maille, épaulières, gantelets, jambières, bottes, casque.
Gravure d’un visage féminin.
Surcot rouge orangé
Vêtements classiques
Vêtements de voyages de Comte, vêtement d'apparat de comte



Walter Veldar, chevalier de son état a le physique de sa profession. Sa silhouette renvoie celle d’une personne athlétique, habituée à effectuer des tâches physiques et éprouvantes. Sans être une armoire à glace, il est musculeux juste ce qu’il faut pour sa taille et son poids. Son entrainement régulier aux armes a affuté sa silhouette.
Sa peau pâle est percée de deux yeux bleus perçants qui font le bonheur de ces dames et qui sont surplombés de fins sourcils blonds qui donnent de la noblesse à son regard. Son nez, plutôt fin a eu la chance d’échapper aux fractures et contusions qui ont laissé de nombreuses cicatrices sur le corps du chevalier. Ses lèvres fines sont bordées de quelques rides, dû à une propension aux sourires et aux rires francs.
Le chevalier est, en revanche, pourvu de cheveux n’ayant que peu d’attraits. Ils sont fillasses et d’un blond pâle sans panache. N’aimant pas avoir à se coiffer régulièrement, il les garde court et en tonsure, c’est-à-dire rasé au-dessus des oreilles et autour du crânes mais laissé libres et court au-dessus. De même que ses cheveux, Walter n’a pas été gâté en ce qui concerne sa pilosité faciale. Sa barbe est tout sauf drue et poussé par touffes sur ses joues, c’est pourquoi il est toujours rasé à ras, ce qui a tendance à lui donner une apparence juvénile.
Généralement habillé de tout ou partie de son armure, il garde son surcot rouge orangé, qui commence à fatiguer d’être porté continuellement, par-dessus pour lui donner une allure moins martiale et plus avenante. Néanmoins, son épée pend, dans son fourreau, à côté gauche, retenu par sa ceinture en beau cuir.
Walter est donc un chevalier typique, à l’allure d’un homme n’ayant pas la possibilité d’avoir une armure dernier cri.
Depuis sa prise de fonction en tant que comte de Béon, il a fait réparer son armure et changer certaines pièces et peut se battre avec une armure ayant plus d'allure désormais.


Le chevalier Walter Veldar est un homme à la moralité ambigüe qui convient parfaitement à un chevalier errant. S’il aime à se définir comme un chevalier errant, offrant ses services pour protéger les petites gens, il est bien plus un mercenaire louant son épée à qui pourra le payer. N’ayant pas été éduqué dans des valeurs d’honneur et de justice, ces choses-là étant plutôt dangereuses, selon lui. Malgré cela, il a grandi en écoutant les chansons et ballades parlant de preux combattants, défendant la veuve et l’orphelin. Cela donne une certaine schizophrénie au chevalier dans ses choix moraux. S’il souhaite juste trouver une récompense intéressante, il est frileux à l’idée de devenir un simple tueur à gages. De plus, si l’honneur et la justice ne sont pas des points cardinaux de sa personnalité, loyauté et parole donnée le sont, ce qui fait qu’il a déjà refusé de se laisser acheter pour retourner sa veste contre son employeur.
Prétentieux, arrogant mais néanmoins loyal et amusant, Walter reste négligé et traite parfois les gens de hauts, malgré de bonnes intentions à l’origine de ses actes ou de ses paroles. Il n’hésite pas à refiler toutes les corvées désagréables à Mary, la gamine qui l’accompagne depuis un bout de temps maintenant. Il se décharge de nombreuses activités sur elle en l’ensevelissant sous ses demandes. Il la traite avec condescendance et ne s’intéresse que très peu à elle, même s’il lui fournit nourriture et habillement sur son propre compte et la laisse l’accompagner.
Le chevalier possède une haute opinion de lui-même et aime à toujours se donner le beau rôle lorsqu’il raconte des histoires ou donne des conseils à sa jeune écuyère.
N’étant en aucun cas un noble, mais un roturier adoubé chevalier par un vieux chevalier mourant qui l’avait pris comme son écuyer et entrainé aux armes, il est avide de prouver sa valeur et peut se montrer têtu et conflictuel avec les personnes mieux nés.
Il a depuis découvert qu'il était le fils caché de feu le comte de Béon, reconnu et légitimité par le roi Thimothée, il est devenu le nouveau seigneur de Béon, mais garde ses manières et son caractère forger sur les routes.





PRENOM : Grendel
SEXE : Masculin
DESCRIPTION : Grand destrier à la robe noire, ce cheval a déjà une bonne expérience, entendez par là qu’il commence à avoir de l’âge. D’ailleurs, son crin commence à se strier de gris. Mais sa musculature et sa corpulence son digne de son statut de monture d’un chevalier, mais de nombreuses cicatrices parcourent son corps, signe de sa participation à de nombreux combats. D’un naturel agressif, il n’hésitera pas à mordre quiconque ne lui revient pas ou à ruer assez fort pour envoyer voler les importuns passant derrière lui. Son maitre semble le maitriser sans soucis même s’il se décharge de cette tâche sur la jeune fille qui l’accompagne et qui fait office d’écuyer.  Depuis le départ de Mary, de jeunes gens de la forteresse de Béon font office d'écuyer pour le nouveau comte, espérant devenir chevalier dans le futur.



Le jeune Walter est le fils d’un chevalier issu d’une famille à peine noble. De ce fait, beaucoup ont du mal à le qualifier de noble, bien que cela ne compte pas vraiment pour lui. Son père l’a laissé au soin de sa mère très jeune et il ne l’a jamais revu. Son enfance fut assez peu intéressante. Sa mère fit de son mieux pour fournir tout ce dont pouvait avoir besoin son enfant. Ce dernier grandit en fantasmant son chevalier de père et en rêvant de devenir lui aussi un chevalier et d’acquérir la gloire sur un champ de bataille.
Alors qu’il avait à peine huit ans, un chevalier de passage le remarqua et le trouva habile de ses mains et assez intelligent pour un enfant de son âge. Il convainquit donc la mère du jeune garçon pour l’emmener en tant qu’écuyer avec lui, promettant solennellement de le former aux armes, aux convenances et de lui donner un but dans la vie. Ce chevalier s’appelait Ohto Tironien. Sans pouvoir être affirmatif concernant les convenances et le but de sa vie, Walter a été entrainé à se battre avec les armes d’un chevalier et il est plutôt bon dans ce domaine.
En tant qu’écuyer, il suivit son maitre partout où ce dernier se rendait. Il s’avéra bien vite qu’un chevalier errant ne différait pas trop d’un mercenaire. La différence était même infime et résidait essentiellement dans le choix des personnes à servir ou des contrats à accepter. Walter déchanta rapidement sur le romantisme de la vie de chevalier. Si  certaines valeurs et un état d’esprit perdurait dans son esprit et celui de son maitre, nécessité faisait loi. Ohto Tironien se comportait souvent comme un vulgaire mercenaire quand il avait besoin d’argent. La complexité de la vie et le manichéisme que l’on enseignait aux jeunes enfants apparurent bien vite au jeune écuyer qu’il était.
Son maitre se comportait comme une espèce d’oncle avec lui. Il lui enseigna le maniement des armes, l’équitation, l’écriture, la lecture. Quand il fut assez grand, il lui permit de l’accompagner se battre avec lui en tant qu’écuyer. Bientôt, ses aptitudes au combat étant assurées, le vieil Ohto Tironien l’adouba. Ce fut une cérémonie anonyme avec pour seul témoin un homme d’arme ayant participé aux combats. Son maitre lui remit son épée et lui fit donc de ses pièces d’armes ainsi que du cheval. Ils chevauchèrent en tant qu’égaux pendant quelques temps, puis un jour le vieux chevalier qui avait permis à jeune garçon rêveur de réaliser son rêve d’être chevalier, malgré toutes les nuances qu’il avait fallu apporté à ce rêve, mourut. Alors qu’ils avançaient au pas sur une route peu fréquenté, aux abords d’une forêt, le chevalier s’arrêta avec son cheval. Tandis que celui qui avait été son écuyer se retournait pour voir ce qu’il se passait, le vieil homme s’écroula au sol, son pied toujours prisonnier de l’étrier. La vieille carne qui avait accompagné son maitre pendant si longtemps ne bougea même pas. Le vieux combattant était mort avant d’avoir touché le sol.
Walter l’enterra aux abords de cette forêt, sur cette route sans passage. Il lui fit une pierre tombale comme il put, dit une prière et ce fut tout. Cet homme avait été la seule figure paternelle qu’il n’eut jamais eue. Il lui avait tout appris, tout donné et la mort l’avait fauché aussi simplement quand fauche le blé.
Walter Veldar, désormais chevalier, pour ce que cela valait, continua donc son chemin, après avoir récupérer les biens de son ancien mentor qu’il pouvait transportait. Il céda le vieux cheval à un fermier qui l’avait engagé pour chasser des bandits s’étant installé près de son village.
Sa vie de chevalier errant, et parfois de simple mercenaire, les deux se mêlant au point qu’il soit parfois difficile de dire ce qu’était Walter Veldar, l’emmena en de nombreux endroits et pour accomplir divers faits d’armes. Cette vie ne différait pas tellement de celle que son mentor avait menée. A la différence près, que le jeune Walter était un homme de panache, très fier de son statut de chevalier et aiment beaucoup raconter ses histoires pour impressionner les femmes. Il était d’un naturel amusant et souriant, dans des situations détendues, ce qui donnait une impression de grande confiance en soi, voire même d’arrogance.
Finalement, il passa par la ville d’Hespéria. Il avait accompagné une caravane de marchand en tant que membre de l’escorte. N’ayant pas trouvé d’amis dans les autres membres de l’escorte, il les quitta une fois à destination pour reprendre son chemin. Il ne savait pas trop où il devait aller, mais il décida de continuer son chemin. Le travail ne manquait pas dans sa profession et il était encore jeune. Néanmoins, il était fatigué et décida d’avancer lentement pour profiter de la région. Il aimait flâner lors de ses voyages. Surtout quand il n’avait aucun engagement à respecter. Généralement, il en profitait pour s’exercer à l’utilisation des quelques pouvoirs qu’il avait la chance de posséder. Il n’était en rien un grand pratiquant, mais à toutes fins utiles, il voulait pouvoir maitriser un tant soit peu ces talents qu’ils possédaient.
Cependant, cette fois-ci ne fut pas l’occasion de flâner tranquillement et de prendre son temps. Alors qu’il avançait au pas avec son destrier, il lui sembla être observé. Préférant éviter de dévoiler qu’il était sur ses gardes, il n’en montra rien. La nuit se passa normalement et il commit l’erreur de s’endormir. En effet, une fois le soleil levé, il remarqua que ses vivres avaient diminué. Grognant de dépit, il se remit en chemin tout en préparant une surprise à ce voleur de nourriture.
La nuit suivante, le jeune chevalier fit mine de s’endormir près de son feu, avec le sac contenant ses provisions bien en vue. Le voleur s’avança à pas prudents. Dans sa position, Walter ne pouvait pas bien voir sa silhouette pour l’identifier, mais cela n’avait pas d’importance. Alors que le bras du voleur était enfoncé dans son sac, il avait tendu son bras tenant sa dague et le tranchant de la lame reposait sur la gorge du voleur. En cet instant, il était prêt à tuer si nécessaire.
Leurs yeux se croisèrent et il se détendit un peu. Ce n’était qu’une gamine affamée. Néanmoins, il garda sa dague là où elle se trouvait, histoire de bien faire comprendre que le vol de nourriture ne serait pas profitable à la poursuite de son voyage parmi les vivants. Ils restèrent comme ça pendant un long instant. La peur se lisait sur les traits de la gamine voleuse de pain. Walter réfléchissait. Il ne pouvait pas décemment s’en prendre à une enfant. Affamée qui plus est. Ce n’était pas chevaleresque.
Il se releva, gardant son arme bien en vue de la gamine et avec un grognement, il lui donna de la viande séchée. Il rengaina sa dague et alla lui chercher une couverture qu’il lui offrit pour lui éviter d’avoir trop froid la nuit. Il ne lui avait pas adressé la parole. Il n’y avait rien à dire, après tout. Et en plus il n’était pas sûr qu’elle parle la même langue que lui.
Après cette nuit, la jeune fille le suivit sur la route et continua de partager son feu de camp. Il décida qu’il pouvait se permettre de la nourrir car il avait de bonnes réserves et des économies plutôt bonnes pour un chevalier errant. Malgré tout, il ne savait pas quoi lui dire et il se rendit compte que parler n’améliorerai en aucun cas les choses. Cette gamine était sans doute une fille abandonnée ayant vécue dans la rue ou d’autres choses… Elle pouvait bien le suivre si elle se tenait correctement et faisait sa part.
Pourtant, un soir la gamine fut prise d’une espèce de crise et se mit à trembler de manière surnaturelle. C’est à ce moment qu’il comprit. La gamine était une lhurgoyfs. Il comprit également que ce qui arrivait sous ses yeux était une transformation en monstre. Il n’avait jamais été confronté à ce genre de situation. Il décida donc de commencer à lui adresser la parole, pour voir quel effet cela aurait sur la gamine. Il s’approcha d’elle et lui prit la main, pour s’assurer qu’il ne s’agissait pas d’une maladie qui l’aurait rendue fiévreuse. Ce n’était pas le cas.
- Calme-toi, gamine, dit-il d’un ton mesuré et tranquille. Respire calmement.
Il sentit que la jeune fille réagissait au son de ses paroles. Walter décida donc de commencer la conversation par le début de conversation classique lors d’une rencontre.
- Dis-moi plutôt comment tu t’appelles.
La réponse le surprit. « Kil’Ci ». C’était assez exotique, mais pas surprenant compte tenu de ce qu’elle était et de ce qu’elle avait dû vivre. Il fit une moue tout en réfléchissant.
- On va plutôt t’appeler Mary.
Le regard qu’elle lui rendit lui fit mal au cœur. C’était de la reconnaissance et de l’admiration comme il n’en n’avait jamais vu. Il ne s’était pas montré si chaleureux pourtant… Alors qu’il se perdait dans ses pensées au sujet de cette gamine sortit de nulle part et capable de se transformer en monstre sanguinaire à tout moment, elle lui demanda comme il s’appelait lui.
- J’ai l’honneur d’être le chevalier Walter Veldar, annonça-t-il d’un ton un rien grandiloquent.

Après avoir continué leur route, Walter considéra que cette gamine était désormais à son service, comme écuyer si elle en montrait les capacités, comme servante sinon. Après tout, il la nourrissait et, au vu de la serpillère qui lui servait de tunique, il devrait sans doute la vêtir. Cela allait augmenter ses dépenses. Réprimant une envie de la laisser derrière lui et de s’en aller, il s’attela à la tâche de lui apprendre sa langue, de lui enseigner les tâches qu’elle aurait à accomplir : faire le camp, s’occuper du cheval, ranger ses affaires…
Cela ne fut pas aisé, surtout après que cette brute de Grendel lui avait mis un bon coup de sabot dans le derrière. Cette mésaventure fit rire le chevalier qui laissa la gamine se débrouiller. Cela lui forgerait le caractère.
Après cela, il la testa avec plusieurs armes quand il en avait le temps. Mary était frêle et avait un caractère fuyant. L’épée n’était pas pour elle. Elle montra des dispositions pour l’arc et la lance. Il soupira en pensant à la dépense que cela serait de lui en fournir et au temps qu’il devrait consacrer à l’exercer.

Malgré cette nouveauté dans sa vie, Walter continua ses pérégrinations, au fil des demandes et des contrats qu’on lui proposait. Il se tenait toujours en périphérie ou en marge des grands événements de ce monde. Il voulait à tout prix éviter d’être entrainer dans une sale affaire qui le priverait de sa petite vie confortable. Il aimait sa profession, il était plutôt doué dedans d’ailleurs, et le confort qui allait avec.
Malgré cela, il appréhendait la gamine qui l’accompagnait. En fait, il appréhendait surtout sa transformation en monstre sanguinaire. Il y avait pensé à de nombreuses reprises. Si elle perdait le contrôle, il serait peut-être obligé de la neutralisé, ou pire. Il s’y préparait mentalement mais cela été difficile. Malgré lui, il s’était attaché à cette gamine. Pour le moment, il gardait une influence sur elle. Quand elle s’était transformée lors d’un combat particulièrement ardu, elle avait perdu le contrôle. Heureusement, la voix de Walter avait semblé la ramener à la réalité. Mais que se passerait-il quand cela ne suffirait plus ?
Mettant de côtés ses appréhensions, Walter prit sur lui de l’entrainer à maitriser son don héréditaire. Elle fit de nombreux progrès. Ce qui coûta ne nombreuses blessures au chevalier. Il ne se plaignait pas. Cela n’aurait pas été honorable de le faire face à son écuyère et il aurait perdu la face devant cette gamine.
Les années avait passé et elle était toujours resté à ses côtés, le servant fidèlement en tant qu’écuyère. Il était plutôt étrange d’avoir une fille comme écuyer mais cela le distinguait auprès des petites gens. Ils avaient pu remplir de nombreux petits contrats ensemble : ici un petit seigneur cherchant à récupérer une taxe sur un village, là des brigands à éliminer pour le compte de n’importe qui y avait intérêt. Parfois, il s’agissait de s’engagé auprès de compagnie en manque de lames, parfois cela frisait le brigandage. Walter faisait attention à ne pas franchir la ligne rouge entre le vulgaire mercenaire sans honneur et le chevalier errant louant son bras.
Les finances n’étaient pas au beau fixe et il savait qu’il n’aurait pas de marge de refus face à la prochaine offre qu’on lui ferait, mais il s’en était toujours sortis et ne craignait pas pour son avenir.

Apprenant que le roi Thimothée d'Eridania cherchait un homme d'armes aguerri pour accomplir une mission, Walter se présenta devant le souverain dans l'un des camps militaire où il séjournait alors. Ce dernier voulait envoyé un émissaire chargé de remettre un pli diplomatique à l'attention de l'Eryl, cheffe de toutes les Eryllis et protectrice de Noathis. A l'occasion de la discussion, Thimothée Mannus reconnu les armoiries figurant sur certains documents que Walter transportait avec lui. Il s'avérait que ces documents avaient été laissé par son père à sa mère avant même la naissance du jeune Walter. Le roi révéla plus tard que les armoiries étaient celle des Comtes de Béon, dont le dernier en date venait de périr avec ses trois enfants dans une épidémie mortelle. Ces révélations lui furent faite à son retour de Noathis. La mission se déroula mieux que prévue car ils n'eurent pas besoin d'atteindre le Temple de Delil pour trouver les eryllis.
Ils furent interceptés par une patrouille qui récupéra le message du roi et jura de le remettre à l'Eryl.
Sur le chemin du retour, Walter estima qu'il était temps d'adouber la jeune Mary et de la laisser emprunter le chemin qu'elle voulait. Cela lui laissa un grand vide, mais il n'eut pas le temps de trop s'apitoyer sur lui-même.

De retour à Hespéria, Thimothée Mannus le reconnut et le légitima comme dernier fils de feu le Comte de Béon. Il lui apporta son soutien quant à la question épineuse de la succession aux titres, biens et domaines de la famille Veldar. L'officier notarial chargé d'arbitrer le litige avalisa la volonté royale et Walter se retrouva comte de Béon. Sans expérience aucune, il est aidé par le chambellan de Béon, un homme mûr et expérimenté qui cherche à faire de l'ancien chevalier errant un comte en bonne et due forme.

Peu après, les événements de la Convergence eurent lieu. Walter, nouveau comte de Béon, fut transporté à travers l'espace et le temps par la magie de la Convergence. Perdu dans une jungle ayant recouvert Canopée, il rencontra d'autres rescapés, dont Duscisio Balibe. Ils découvrirent avoir été projeté des milliers d'années dans le futur. Puis la magie s'estompa et il réapparut à son époque.
Décidé à tirer certaines choses au clair, Walter entreprit peu après de retrouver maitre Balibe. Ce dernier lui ayant donné rendez-vous au Temple de Delil en Noathis. Ironie du sort puisqu'il avait failli atteindre le Temple quelques mois auparavant...
En chemin vers l'Est, Walter fit halte à Ditham, où il rencontra le comte Claudel Thyssen et sa nièce, la belle Naia.




Walter Veldar 1550329792-ai8hbr85iqh01
Image tiré des artworks de Kingdom Come Deliverance
Revenir en haut Aller en bas
:: L'Eryl ::

|| Informations ||
Fonction:
Pouvoirs, spécialités & Don:
Relations & Contacts:
Sighild
:: L'Eryl ::
Sighild
MessageSujet: Re: Walter Veldar   Walter Veldar Icon_minitimeLun 4 Nov - 19:09

Mis à jour ok

Vu par Sighild
bg
Revenir en haut Aller en bas
 
Walter Veldar
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Pouvoir de Walter Veldar
» Walter Veldar, Chevalier errant
» Et la lignée survivra... [PV Walter Veldar]
» Un marin sur la terre ferme [PV Walter Veldar]
» Voyage en terre Eryllis (feat. Walter Veldar et Mary Kil'Ci)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Istheria, le monde oublié :: Gestion des PersonnagesTitre :: • Création de votre Personnage :: • Inscription & Présentation :: • Présentations validées :: • Les Terrans-
Sauter vers:  

(c) ISTHERIA LE MONDE OUBLIE | Reproduction Interdite !