Les origines [Duscisio Balibe]

Je viens de vous dire que je ne vend aucun poison. Cela ne changera pas.

Cette voix est familière. En train de discuter avec un sombre client alors que se n'est que la deuxième fois qu'il vient ici après des années de voyage. Il y a de quoi. Le client en question commandait un poison virulent pour la mettre sur sa lame afin de la parfaire. Si la lame ne tue pas, le poison le fera comme il dit si bien. Non seulement, ce jeune garçon encapuchonné refuse mais il se faisait menacer par l'épée en question alors qu'une bourse se trouvait sur la table de négociation pour le pousser à lui vendre se qu'il demande. En voyant la lame, le jeune homme ne faiblissait pas, une main sur la table l'autre en dessous alors que de la poussière noire était en train de tourner autour.

La bourse d'or fut rejeter par Duscisio qui avait maintenant sa lame contre sa gorge, réaction immédiate sur le fait que son acheteur peu scrupuleux senti une pointe métallique au niveau de son entre-jambe, alors qu'il commençait à saigner l'acheteur lhurgoyfs retira son épée en sentant la douleur et en regardant l'albinos. Son regard rouge sang était extrêmement sévère et l'exigence de retirer son épée était préférable au vu qu'il lui avait expliquer qu'il pourrait en un instant le tuer d'une épée sortie du sol, le plus silencieusement possible afin que tout le monde ne soit pas au courant. En réalité c'est ses paroles qu'il répéta deux fois car la première étant dans une langue ancestrale oublié. Pourquoi de simple mot suffise ? L'influence donner est que Duscisio est contre la tuerie mais qu'il ne pourrait très bien ne pas user de ses capacités pour tuer simplement pour se défendre, bien qu'il blessera plus qu'il ne tuera.
Le lhurgoyfs fini par lâcher sa lame brusquement et abandonna tout en reprenant sa bourse de peau animal, attirant un peu l'attention des autres clients de la taverne qui était tous en train de boire leur boisson. Duscisio fit disparaître sa deuxième épée et se leva pour prendre Limiria et s'en aller.

On comprend maintenant pourquoi Duscisio évite de genre de ville. Autre le fait que l'on risque sa vie à tout instant, tenir son épée prête à dégainer semble la seule manière de dissuader ses brigands d'accomplir leurs méfaits. Cherchant à se faire le plus discret possible dans un tel lieu, Duscisio n'utilisera pas de magie pour détecter une présence terrestre, de plus il y a bien trop de monde pour sentir une quelconques menaces. Il est temps de quitter la ville pour retourner dans un endroit plus accueillant. Il n'aurai jamais du venir ici. C'est une perte de temps, chaque êtres dans cette ville n'aspire qu'à faire de mauvaise actions envers tout le monde même leur semblable. Les origines de sa venue n'étant que de voir si cela avait changer en cinq ans. Peu d'espoir à se qu'il y avait à faire il a tout de même trouver se qu'il voulait. Une plante que l'on ne trouve que dans les endroits les plus sombres, se nourrissant de sang non humain régulièrement verser pour vivre sans lumière. Mélanger-la à une autres plantes et vous avez un remède pour soigner les maladies du sang. Une commande importante pour un client qui l'avait demander il y a maintenant trois mois. Ceci fini il n'y avait plus qu'à la travailler et la vendre pour une somme d'un salaire du temps du voyage. Le regard sur les années n'ai dut qu'au précédentes commande, mais le client est toujours patient. Commander une potion à Duscisio demande une extrême patience qui sait porter ses fruits quand on sait que ses jours et ses jours d'attente finissent par vous sauvez la vie. Prenez une objet pointu, faite y un trou le long de l'aiguille et insérer la mixture des plus liquide de couleur rouge sombre directement dans les veines. Se ne sera que ça qui permettra de soigner la personne, avaler le et son goût de sang pourri vous tuera.

Mais les histoires d'herboriste ne sont pas intéressantes. Au vu de l'entrée d'une femme et de son animal qui se faisait aussi discrète que lui, entrait dans un lieu mal famée qu'il n'avait jamais remarquer. Par simple curiosité et espérant qu'elle n'est aucun danger approchant d'elle, bien qu'elle sache tout de même se défendre. A peine le temps d'y aller qu'elle était ressorti. Curieux. Ne bougeant pas d'un pouce, Duscisio continuait de l'observer au dépit de la perdre de vu à cause d'un passant qui lui bouche la vue quelques instants. La suivre s'en fait alors un sentiment de curiosité intense. En restant le plus discret possible, il fini sa course dans se qui semblait une place publique, un trou dans le plafond laissant une faible lumière non rassurante passer. Duscisio était suffisamment prêt d'elle pour entendre le moindre de ses sons, et avait même sorti son épée dans un silence absolu par simple mesure de précaution. Cela était t'il nécessaire ? Aucune aura dégressivité n'échappait autant d'elle que de l'albinos. Duscisio entendit ses mots si étrange et baissa son épée pour se montrer derrière elle alors que son compagnons animal était en train de grogner. Et sans but de surprise il parla à son tour dans un ton sans humeur d'une voix relativement basse.

Parlez vous en connaissance de cause...?

La réponse de tarda pas à être prononcer mais Duscisio ne fit aucun geste pour lui confirmer qu'elle avait vu juste. La seul raison étant son épée que s'il la leva pour quoi que se soit cela aurait été prit pour un mouvement d'agression. IL est bien conscient ici qu'avoir confiance en ses pouvoirs n'était pas tout. Cette personne présentait une aura plus ou moins particulière. Et pour cause elle ressemblait un peu à la jeune femme rencontrer il y a quelques temps.. Si c'est un hasard alors c'est une Eryllis, sinon il se trompe complètement. C'est bien beau de maitriser une magie relativement puissante, bien que puissante elle possède des faiblesses et n'est pas sans faille. Le Blanc ne demanda pas se qu'elle était. Cela n'avait aucune importance. Son regard quelque peu cacher par sa capuche bien qu'utile que pour se cacher à la vue de tous dans un lieu si hostile. Ne montrant rien d'hostile, l'albinos fit un petit geste avec son épée afin de la rengainer dans son fourreau à sa hanche gauche sur sa ceinture. Les yeux de l'albinos ont tout de même quelque choses de particulier. Alors qu'il enleva sa propre capuche pour faire les présentations d'apparence, juste histoire de dire qu'il était albinos, qu'il était terrant, quelque chose qu'elle savait déjà dans tout les cas. Le manque de lumière ne permettait pas à la jeune femme de voir ses yeux particuliers en soit. Ses pupilles était aussi ronde et ouverte pour capter un maximum de luminosité pour voir correctement dans ces souterrains mal fréquentés. Donc ici ses yeux rouges n'avait que de différant la couleur, et le jeune adulte le fait d'avoir des cheveux blanc avant l'âge, comme cette jeune femme qui avait la même pigmentation capillaire.

Il avait de la chance d'être encore en vie ici. Duscisio savait pertinemment de quoi elle parlait, sa confrontation dans la taverne aurait pu mal tourner et l'homme qui cherchait à lui commander du poison appeler ses compagnons pour en terminer avec lui une fois sorti du bâtiment. Puis le fait qu'elle précisait bien qu'elle avait de la chance quelque part comme celle d'être en vie. La conclusion ne se fera sans aucune question par le simple fait qu'elle avait déjà répondu. Elle est né ici, et a vécu se qu'aucun enfant ne devrait vivre. Cette personne a vécu l'horreur quelques part.

Seulement dans le fais que je sois ici, le reste mon malheur et ma tristesse perdurent.

Il voulait parler de ses parents qu'il a perdu à l'âge de quinze ans. Mourir pour les rejoindre, il ne demande que ça, un amour envers ses parents qui lui ont donner la vie, mourir serait le pire des blasphèmes. Il a tout de même un but du souhait de ses parents décédés qu'il doit accomplir en restant en vie. Et de plus, son travail lui plait tellement qu'il ne veux qu'en savoir plus, découvrir de nouvelle plantes faire de nouvelle potion, voir de nouveau sourire à chaque fois qu'il soigne quelqu'un par ses potions miraculeuse.

La suggestion de partir de la ville vint alors. Mais quand elle parlait d'étranger cela faisait un peu étrange, mais à tout bien regarder elle n'a pas tort du tout. Duscisio est un étranger ici. Même s'il ont pourrait le confondre avec l'une des races présente ici avec ses yeux. Mais il n'y a pas de lumière assez forte donc impossible de voir les yeux dont la pupille fendu est une autre particularité de Duscisio en plus de la couleur. Tenant fermement son bâton d'invocation, Duscisio leva sa main simplement pour faire geste comme quoi il était relativement d'accord. Enfin, la proposition de partager la route avec elle se proposa indirectement.

Si vous avez l'intention de remonter autant vous accompagner. Je dois retourner à Herperia maintenant que ma course ici est terminé. J'ai un client qui attends sa commande avec hâte.

Normalement, Duscisio serrait plus à retourner seul à la surface mais il l'a dit lui-même. Si elle suit le même chemin se ne serait qu'idiot que de refuser de la compagnie même quelques instants.

Par nature, Sighild n'était pas une femme d'agréable compagnie, elle n'était guère sociable et peu avenante envers autrui. Ce qui pouvait paraître étrange était sans nul doute son altruisme, elle était capable d'aider les autres, des personnes en difficulté sans rien demander, et repartir aussitôt sans se retourner. Elle était comme une ombre qui ne faisait qu'effleurer son entourage, elle apparaissait comme elle disparaissait. Pourquoi? Parce qu'elle ne se sentait tout simplement pas à l'aise avec la compagnie humaine, les regards, les attentions, cela n'avait jamais fait parti de son monde. Se battre pour soi, pour survivre, tels furent les préceptes qui guidèrent sa jeunesse. On pourrait ainsi dire qu'elle agit en contradiction avec sa nature... peut-être que cela était vrai. Toutefois, Jézabel, de son vrai prénom, était possédée par un immuable sentiment de rédemption. Des fautes, elle en avait commis tant, sa vie entière ne pourrait jamais les expier. On ne ramenait pas les morts, on ne pouvait soulager les familles. La culpabilité était un fardeau qu'elle avait accepté et ce fut sans nul doute cette raison qui la poussa à redémarrer à zéro auprès des Eryllis. Mais que de chemin parcouru... et pourtant...

Peu curieuse ou plutôt respectueuse de la pudeur des sentiments de l'étranger qu'elle allait accompagner le temps de quelques pas, elle ne posa aucune question déplacée ou sur la vie privée de ce dernier. Cela n'était guère ces affaires et sans nul doute qu'il n'était pas désireux d'étaler ses tracas à une inconnue. Prenant alors la marche, Zodiark emboita les pas de sa maîtresse, la suivant de près en pointant ses yeux dans toutes les directions. Son odorat faisait le tri parmi toutes les puanteurs d'Umbriel, il guettait... Il était facile pour l'Eryllis que de savoir que le loup n'aimait pas cette position, celle de devenir la proie d'un prédateur invisible. Mais ils n'avaient guère le choix.

Brisant le silence, même si cela pouvait paraître étrange dans un tel lieu, elle entama une conversation assez banale, mais elle n'accordait aucun regard à l'albinos. Son attention était ailleurs, même si elle tendait l'oreille aux réponses du jeune homme.

" Vous êtes un marchand ou un mercenaire? Si vous êtes un marchand, je vous déconseillerais à l'avenir de faire des affaires dans un tel milieu... cela pourrait très facilement se retourner contre vous. "

Un conseil d'une femme qui connaissait bien les règles de ce pays. Combien des pauvres malheureux avaient dû perdre la vie en venant ici ou pensant qu'il contrôlait les rênes de leur métier? Combien ont dû terminer dans les geôles ou esclaves car malheureusement... cela existait encore. Sighild ne pouvait s'empêcher de penser que cette petite personne à ces côtés lui paraissaient bien jeune, peut-être même naïve... mais il ne fallait pas se fier aux apparences.

" Me permettez-vous de vous demander votre âge? "

Elle n'avait rien à perdre à se faire une opinion plus précise. Et puis, cela permettait aussi de faire croire aux trois hommes qui les suivaient depuis dix minutes que les jeunes gens ne les avaient pas repérés... Pauvres fous. Allaient-ils sérieusement s'en prendre à notre couple ou bien resteraient-ils en retrait par manque de courage?

[hs: pardonne-moi, c'est un peu court]

^{[HRP] Inutile de s'excuser pour la longueur je fais avec se que j'ai ^^'}

Si on devait parler de l'albinos quand il se présente à quelqu'un on ne me dire que l'on va le connaître en peu de temps. Dans tous commerce il se doit d'être dans une image respectueuse, le sourire qu'il affiche au client n'est donc que commercial. Se n'est pas quelqu'un de très social normalement, mais des caractères se dit qu'il peut changer à tout moment. C'est donc normal par endroit, suivant les situations d'aider quelqu'un dans le besoin, mais il refusera toutes aides. Enfin se qu'il se dit. Qu'il peut se débrouiller seul, suffisamment confiance en lui et ses capacités. La naïveté donc il fait preuve n'est pas exceptionnel, il est trop courant de voir quelqu'un ne vouloir l'aide de personne pour les mêmes raisons. La perte de ses parents laisse une cicatrice en lui qui ne se fermera jamais, mais bien sûr tout ça il le cache.

Alors qu'il avait commencé la marche avec la jeune femme qui ne s'était encore présenter, Duscisio par la même occasion d'ailleurs, n'avait pas l'air bavarde. Es-ce si mal d'ailleurs au fait que le jeune albinos n'avait rien à dire non plus. Une chance en partie justement pour la raison qu'il n'a tout simplement jamais rien à dire à qui que se soit. Mais s'il se mets à parler alors là... Mais bien entendu le silence des rues ne pouvait pas durer alors des questions et des conseils s'en suivi. Le conseil ici étant plutôt amusant pour lui qui souriait en coin en regardant droit devant lui.

Je pense avoir eu un aperçu il n'y a pas ci longtemps avec quelqu'un qui voulait que je lui vende des poisons, se que je ne ferai en aucun cas.

Vendre du poison est sans aucun doute la dernière chose qu'il fera. Mais il en vend pourtant tout les jours s'en rendre compte. Un médicament ou remède mal utiliser devient vite nocif. Souvent pour cela d'ailleurs qu'il participe à bien montrer comment utiliser l'un au l'autre pour une bonne compréhension de celui ci. La réputation en tant qu'herboriste de talents en prendrait un coup si ses potions avait tuer quelqu'un. Bien que cela est bien arriver bien entendu mais il ne fut pas en cause.

La marche continuait encore en silence. Pour poser ce genre de questions, le Blanc prit un air soucieux au fait qu'elle devait connaître les lieux. Bien entendu. Il avait entendu ses paroles étranges de tout à l'heure alors la conclusion vint rapidement à lui au fait qu'elle a passé son enfance ici. Elle qui parlait de chance d'être envie après avoir vécu sur la place en ruine qui se trouvait derrière eux. Ses pupilles toujours aussi ronde à cause de cette pénombre peut agréable en raison des lieux peu accueillant, le reste restait tout de même cacher, le visage à l'air libre profitant qu'il peut libérer un peu sa peau à un air qui n'était pas désagréable mais sentant tout de même nauséabonde, ses cheveux cacher par cette capuche comme cette jeune femme qui ne cherchait pas à se faire remarquer pour autant. Il avait la même couleur de cheveux, la question concernant l'âge du jeune garçon venant en premier.

Diatisni... La vingtaine pardon. Si ce sont mes cheveux qui en font croire que j'en ai plus je peux vous retourner la question.

Manie qu'il a de parler dans une autre langue n'a tout de même pas disparu. Par contre, il y avait quelque chose qui clochait. Elle avait l'air de vouloir cacher quelque chose à quelqu'un, mais pas à Duscisio.

Quelque chose ne va pas ?

Il eu rapidement sa réponse en regardant cette femme, il suffisait de regarder du coin de l'œil qu'il y avait trois personnes qui les suivait. Comment réagir ? Faire comme si de rien n'était alors que ses trois là était armé n'était pas de rigueur. Duscisio serrait son bâton d'invocation de sa main gauche, l'autre serrait le manche de son épée juste pas précaution, ne faisant tout de même comme si de rien n'était. Ses trois là attendait la bonne situation ? Avait t'il seulement le courage de s'en prendre au couple qui se présentait à eux ? Couple ? Ne rêvez pas encore, il ne la connait pas encore donc lâchez votre vision du couple qui se promène dans une ville en amoureux, surtout dans une ville pareil. Ne manquerait plus que la jeune femme lui demande de lui prendre la main pour faire genre....

Au moins cette personne dit se qu'elle pense. L'apparence que veux croire le jeune garçon est d'une personne aimable et en qui on peut faire confiance. Cela ne ferai qu'une ennemie en moins mais c'est déjà bien profitable de le savoir. Déjà qu'il s'est fait un ennemie dans la taverne qui ne devait pas en rester là. Une chose est sûre, la prochaine fois qu'il viendra ici pour les même raison qu'il est venu aujourd'hui il aura affaire avec lui et pas dans le sens d'un produit et de son dû mais bien d'une épée à une autre. Il existe des dizaines de vendeur pouvant lui procurer se qu'il cherche alors pourquoi le demander uniquement à Duscisio. Mais pourquoi se venger sur un marchant qui dit ne pas vouloir en vendre. L'affaire ici que ce fameux acheteur s'est fait légèrement humilier doit y être pour quelque chose. Quand il est parti de l'établissement il avait la rage. La rage de se faire maîtriser par un gosse qui n'en n'ai plus vraiment un. Non même que d'ailleurs la jeune femme lui assura qu'il paraissait plus jeune à cause de son visage. Un visage plein de vie mais qui en cache bien des choses.

Je ne vendrais jamais de poison au fait que cela va en contradiction avec que m'ont apprit mes parents. Je dois respecter cela.

Une volonté de fer à respecter les vœux et la voie d'herboriste dans laquelle il s'est engagé et dans rien de modifia ses vœux. Et aussi le fait qu'aujourd'hui, Duscisio aimerai grandement gagner un peu de sagesse, bien que c'est quelque chose que l'on a pas en claquant des doigts. Elle a elle-même dit qu'il possédait une certaine sagesse alors c'est déjà une chose dont il connait l'existence.

On dit souvent que l'age apporte la sagesse alors si je pouvais prendre un peu d'âge pour avoir cette vertu alors je ne refuserai pas quelques années en plus.

Il est souvent dit en effet que l'âge porte raison d'une connaissance vital pour tout homme qu'es la sagesse. En particulier chez les Fallacien aujourd'hui presque disparu d'où souvent la sagesse aide beaucoup dans la concoction de potions et à savoir se qui est juste ou non. Duscisio pense que même et d'après se que disait la jeune femme, elle possédait elle-même une certaine sagesse au fait de dire qu'elle a vécu bien plus longtemps que Le Blanc. Il souriait même, avant qu'il se soit crisper par les personnes qui les suivait derrière eux.

Au moins vous gardez une jeunesse sur votre visage que je n'aurai pas quand j'aurai votre âge.

Crisper par les personnes qui était derrière. Mains sur son fourreau et sur son bâton d'invocation, Duscisio eu la surprise qu'elle fut la première à en avoir assez. La crispation disparu pour se faire remplacer par la surprise qu'elle se retourna. Réaction des brigands qui se jetait sur eux mais stopper dans leur course un bref instant par des lianes invoquer par l'apparente jeune femme. Duscisio s'était retourner rapidement pour savoir se qu'il s'était passé, il n'avait plus sa main crisper sur le fourreau de son épée et Limiria commençait déjà à briller d'une certaine puissance magique. Au vu qu'il était également cibler il fallait agir également utile donc de perdre du temps à réfléchir.

Sirsada di taraga, virnis mi.. Si una misti di hach, vachtsi ti ralbid tui vivit si vi plistra
Esprits de la terre, venez à moi. Sur un mètre de haut, ondulez et renverser toutes êtres sur votre passage.

Le sol se mit donc à trembler soudainement mais avec une force minime pendant que Duscisio prononçais son incantation, le bâton devant lui à l'horizontal. Une fois cette phrase invoquer, l'albinos rouvrit les yeux pour voir dans quel direction envoyer se qu'il avait appeler. Regardant les assaillants maintenant libérer, il fit un mouvement de bras armé du bâton pour montrer la direction à prendre pour son sortilège, se qui a eu pour résultat un vague d'un mètre de haut qui avait l'air d'en impressionner plus d'un quand cette vague de terre arriva droit sur eux...

Si seulement il pouvais vivre autant. Mais cela paraitrait comme une malédiction que de vivre éternellement. L'herboristerie pour les plantes qui sont la base de potion mais comme tout alchimiste il pourrait très bien chercher la pierre philosophale, la pierre de longue vie pour perdurer son savoir. Cela serait-il utile ? Bien que ses cinq dernière années furent particulièrement longue il ne se voit pas vivre éternellement, néanmoins cela lui permettrait de faire se que d'autre ne feront pas. Faut-il y penser ? Se serait un pouvoir contre nature et d'autre ne lui cesseront de le poursuivre s'ils apprenait qu'un tel artefact existerait. Ici ils parlait d'age et de sagesse, il est certain que la plupart des personnes la perdent au fils du temps, attirer par bien plus puissant que cette qualité rare. Le pouvoir, l'argent, deux choses en contradiction. L'argent apporte le pouvoir, le pouvoir apporte l'argent. Duscisio a assez vu de personnes sombre dans cette folie, par personnellement du moins mais rien qu'en entendant parler de l'existence de ses personnes il y avait de quoi porter préjudice. Et où se trouve Duscisio dans cette affaire ? Ne cherchant ni à se faire connaître, se qui arrivera au fils du temps, ne cherchant à devenir riche, éviter les ennuies à cause de l'argent en plein. Ses scélérats les suivant depuis peu sont la cause de la corruption du monde.

L'âge et se que disait la jeune femme sur le fait de ne pas trop se hâter, il ne répondit point. Il sait parfaitement qu'il a le temps avant que la mort ne le prenne afin de rejoindre ses parents qui lui manque tant. Mais il a un devoir, le devoir de ne pas faire oublier une existence qui l'est déjà. C'est pour cela qu'il se bat et rien d'autre, défendre sa vie pour une cause qui serait presque perdu est bien le genre de l'albinos. La preuve qu'il se bat par la puissance de ses sortilèges prononcés dans une langue méconnue. Peu recommandable d'après lhurgoyf dont la simple cause est dut à la fragilité des lieux. La vague avait submergé l'un des assaillants, l'erreur dans la conception du sort alors qu'il voulait les faire renverser, une vague de vingt centimètres aurait alors suffit avec une consistance plus dure. Il y réfléchira la prochaine fois, s'il y en a une. A la remarque il ne répondit pas. Il savait parfaitement se qu'il faisait, on voyait même la vague en question baisser de taille avec la distance de façon significative. Par contre la suite était tout autre. La lhurgoyf parlait de cout d'une vie, de la vie des assaillants en question. Sur cette phrase il regardait celle ci avec des yeux qui n'en voulait pas. Il ne pouvait rien faire. Il ne connaitrait pas la réaction alors il ne pouvait que regarder se qu'il se passait sous ses yeux. Tuer une personne, Duscisio avait déjà fait cela, le dernier ne datant que de quelques minutes et par erreur. Il ne devais l'avouer.

L'un des deux derniers sortit son épée pour l'agiter violemment et tuer son compagnon. Que se passe t'il ? Un flash lumineux avait brièvement fait apparaître ses parents, pour lui, un moment qu'il préférait oublier et qui revient sans cesse à la moindre affluons de sang. La marre rouge qui était répandu par ses parents à cause d'un accident grotesque, l'excès de magie qui se produisit à ce moment là, les dégâts matériel qu'il avait fait subit à bâtiment voisin.
Se contrôlant un maximum; Duscisio regardait puis détourna le regard, ne faisant qu'écouter l'agonie des deux êtres humains en face de lui. Cela ne se passa qu'en peu de temps. Sighild se tenait silencieuse après son œuvre pendant que l'albinos se retenait un maximum de vomir d'horreur. Les nausées étaient là, mais se ne fut que des nausées qui prirent le temps de passer. Sa main devant la bouche qui retenait le tout se baissa rapidement avant qu'elle ne le remarque, avalant sa salive alors que ses yeux laissait apparaître une pupille fendue pour chaque œil. Tout le long il n'avait pas remarquer l'énergie magique déployer par sa compagne de route qui venait à peine de s'éteindre. Elle était donc responsable de cela, il ne cherchait pas d'explication à la manière dont elle s'y est prise.

La suggestion que d'autre arrivait lui montait à la tête en même temps que des questions. C'est uniquement en reprenant la route, en marchant dans un premier lieu puis en accélérant un peu le pas qu'il ne pouvait faire attendre ses interrogations. Il assembla le courage de demander quelques choses qui ne le concernait peut-être pas.

Qui êtes vous ? Êtes-vous leur cible ? Je ne crois pas que cela soit moi la cause de leur... rencontre.

Il pourrait très bien l'être, que se soit lui à cause du poison qu'il ne voulait vendre, ou elle dont la raison de l'attaque lui échappait complètement. Savoir qui elle était, serait la principale question. Savoir à qui elle fait compagnie ne serait pas de trop.

Après avoir vu ce spectacle, il ne semblait pas avoir vu autant de sang versés. Du sang. Le regard de Duscisio se figeait un moment après avoir poser la question de savoir qui elle était. L'angoisse de la scène de la mort de ses parents était toujours présente dans ses souvenirs. Cette marre rougeoyante sur le sol de pierre de la capital ne disparaitra jamais de sa tête, ni se qui s'est passé la première fois qu'il a vu ça. Duscisio se connait parfaitement. La décharge magique qu'il avait déployé ce jour là. Rien d'étonnant donc que ses sortilèges soit d'une certaine puissance quand on le connait assez bien. Son origine, son entrainement, son flux magique, tout est lié à son sang d'un peuple à présent oublier. Que doit-il penser à présent ? A t-elle bien ou mal fait ? Elle a défendu sa vie et Duscisio a défendu la sienne. C'est la moindre des choses et d'une certaine manière l'un a défendu celle de l'autre.
L'albinos n'est pas la cible donc cela ne pouvait qu'être qu'elle. En effet elle s'expliqua par le fait de remporter une somme d'argent importante, l'avarice des habitants du lieu souterrain était la cause de cette attaque. On comprend maintenant pourquoi l'acheteur de poison faisait un prix aussi dérisoire pour se qu'il demandait. Tuer pour pas cher, quant on ne connait pas le prix d'une vie cela en est presque révoltant. Dans tous les cas il ne portera pas la responsabilités d'un mort par les potions qu'il vend de lui-même. Le flux magique de la femme lhurgoyf était perturbé mais il n'en fut pas part de cette remarque, elle voulait garder quelques choses secrets il n'insista pas plus sur les détails. Quelques secondes plus tard elle s'excusa pour ses manières. Elle espérait qu'elle ne l'avait pas trop choquer. D'un côté elle avait raison sur les explications suivantes. Un moyen de dissuasion pour ceux qui les observe peut-être afin de reprendre l'assaut des trois derniers. Il ne pouvait rien dire, sauf une seule chose... alors d'une vois hésitante... :

Ne vous inquiétez pas... Si cela m'avait choqué je ne serait pas debout actuellement.... De plus, je ne pense pas que vous pouvez me connaître sur mon comportement actuel... Contrairement à se que l'on pense de moi, contrairement à la réputation que je me fais à sauver des vies via mes potions, je n'ai pas hésiter parfois à tuer pour sauver ma propre vie...

Il ne serait pas debout, il a déjà tuer pour sauver sa vie. De nombreux souvenir lui remémora, des souvenirs entre la mort de ses parents et aujourd'hui. A quel horreur à t'il participer pour survivre. La nausée monte en lui comme cette tension instable dont il n'arrive pas à se défaire. Il leva sa main droite, de la poussière noire tournait autour comme si l'une de ses épées allaient apparaître sous peu, semblant même voir un peu de sang sur cette main en se remémorant ce souvenir d'horreur. Ses épées sont dangereuses. Cette instabilité également. La seconde personnalité de Duscisio lui remonte un instinct de survit que le pousse jusqu'à tuer. Les premiers à en avoir eu l'expérience fut... découper en plusieurs morceaux par ses épées noires qu'il duplique avec une grand aisance. Ses six épées qui avait transpercer ses hommes, simples brigands en pleine nature, avant de les découper et rependre leur sang sur le sol et sur son visage. Combien de vision d'horreur à t-il dans le cœur ? Les forts vivent, les autres meurs. La règle de la nature que Duscisio n'approuve pas totalement. Se qu'il le pousse à soigner ceux qui en ont besoin, partager ses potions pour sauver des vies. Faire même des miracles avec certaines d'entre elle. Rien qu'avec les plantes et un secret de famille qu'il va devoir apprendre plus tard à son fils où à sa fille, avant que l'instabilité de le gagne totalement.

Il prit une plante de son sac, la feuille rougeoyante avait un goût amer, l'habitude d'en manger n'était pas encore là. La grimace alors que l'effet allait perdurer dans peu de temps, un peu d'énergie après se qu'il s'est passé n'est pas à rejeter par le goût qu'elle possède. La garantie qu'il ne serait pas poursuit après leur séparation lui fut assuré. A quel point ? L'obligation de répondre à cela se faisait sentir comme d'un avertissement de ne pas le sous-estimé à cause de son apparence. Elle a vu sa magie, elle devrait le savoir...

Ne vous inquiétez pas pour moi, je vous dis... Je sais me défendre...

Sans attendre, il passa devant d'un pas presque hésitant. Dès que le premier fut fait les autres suivaient avec une certaine hâte, il resta devant sans la regarder durant quelques temps. Bien sûr, il a quelques angoisses. Le sang lui remémore bien trop de souvenir, le ton soucieux dont il faisait manifester n'avait pas d'égal...