Mercenaire et commerçant. [Esther]

Comme tout voyageur digne de ce nom, le fait qu'on en trouve à des endroits insolites comme celui ci, l'une des cités de ce monde n'a rien d'étonnant. Armé, d'un bâton de marche ornée d'une pierre-catalyseur à son extrémité haute, qu'une épée à sa hanche gauche et d'un sac de voyage relativement vide par cette occasion. Ce voyageur et vous vous en doutez bien, se présente comme n'importe quel homme mais cacher sous une cape comme s'il cherchait à ne pas se faire remarquer. Les température douce de la saison ne lui permettent tout de même pas de se cacher que des personnes mais des rayons du soleil qui frappe relativement fort pour quelqu'un de sa constitution. La mèche de cheveux blanc dépassant de la capuche et ses yeux rouge sang cacher par l'ombre de cette même capuche font qu'il ne cherche pas qu'à ne pas se faire remarquer mais bien à se cache d'un ennemie inimaginable pour un homme.

Duscisio marche paisiblement, d'un pas lent mais sans la moindre expression au fait qu'il n'avait en rien à sourire. Il se dirige vers une maison d'une personne surement haut placée pour que cette porte soit garder de deux hommes en armures ressemblant à des chevaliers. Pourquoi y va t'il ? Et bien comme tout commerçant il y va pour une commande, mais comme cette commande à déjà été demander il y a plusieurs jours il s'agit ici de remettre cette commande. L'albinos est un herboriste, donc par conséquent il va remettre un remède demander par une certaine personne ayant déjà connu la réputation de ce jeune homme sur ses capacités sur son métier. Ayant une toute confiance en ce jeune homme il remit la potion au médecin en question tout en lui expliquant comment s'en servir. Cela ne prit qu'une demi-heure. Énonçant bien que l'effet ne devait avoir lieu dans quelques heures, il prit le payement de son travail qui était tout à fait modeste mais suffisant pour que Duscisio puisse vivre comme il se doit. Il le remercia, le remerciement fut retourner, il était maintenant temps de partir.

En sortant du manoir, Duscisio avait toujours sa bourse à la main, qu'il lança en l'air un instant avant de la remettre dans son sac de voyage afin de ne rien perdre. Il s'assura qu'il était bien fermer avant de repartir pour délivrer une autre commande dans cette même ville. Il s'agissait cette fois d'une maison modeste à l'autre bout d'Hesperia. Oui. Ses commandes ont lieu dans la même ville où est implanté sa boutique d'herboristerie, Baria batl Limiria ou herboristerie de Lumière dans sa traduction. Ici le payement à gagner de serai que très pauvre, même qu'après avoir aider pour la potion il refusa catégoriquement la bourse en regardant cette femme qui ne comprenait pas. Alors Duscisio lui énonça son excuse dans un sourire cette fois qui n'était pas que commercial.

Voir les personnes en bonne santé est déjà un payement en soi.

Le voilà repartit. La première commande allait largement lui suffire pour les prochains besoin telle que la nourriture, un peu de viande dans son menu ne lui fera pas de mal. Il était donc temps d'aller dans le quartier commerçant en passant pour la place publique. Duscisio n'a jamais aimé cette place. Autre le fait de l'animation, il y avait bien trop de monde, crieur, chanteur et parfois bourreau. Se qu'il déteste par dessus tout, c'est justement que quelqu'un ai affaire à eux. Tuer un homme, verser du sang pour une faute qu'il aurait commis est bien trop cruel et inutile. Parfois il se dit qu'il y passera, parce que ses pratiques ne sont pas humaine, parce que lui-même n'est pas humain. Albinos de naissance, ses yeux font peur. Ses yeux rouges sang à la pupille fendu font croire à beaucoup de personne qu'il n'est pas humain. Il n'aime pas cette ville, il aimerait la quitter définitivement mais ou s'installer ? La boutique d'origine est envahi de souvenir aussi joyeuse que triste. C'est en regardant le piédestal de mort que le petit garçon se souvenir de la mort de ses parents à cause d'une cause stupide. En enfant jouais, l'enfant perdu son jouet et un chariot se reversa sur les parents de l'albinos. Il ne pourra jamais pardonner à cette enfant qui a grandit en même temps que lui, d'avoir prit tout se qu'il avait de plus cher. Les larmes venant rapidement sur ses yeux, il les ferma et marcha au hasard pour s'éloigner de ce lieu maudit par la mort. Le pas précipité voulu qu'il bouscula quelqu'un sur le chemin. Sans s'excuser il continua mais fut rapidement interpeler par celui ci...

Le choc fut long et l'homme qu'il avait malheureusement percuter était tomber au mauvais moment. Peu importe. Ici le fait de continuer son chemin importait plus qu'autre chose pour éviter de montrer son visage en larme de souvenir peu agréable, ainsi que d'éviter d'effrayer toutes personnes croisant son regard de sang, regard que la plupart trouve effrayant mais pas que par sa couleur du fluide corporel humain, mais bien aussi par le fait que sa pupille ne soit pas comme les autres, fendu ou comme celle d'un serpent, se qui est la même chose, bien qu'il possède des yeux que de nombreux animaux possèdent.

Bâton à la main gauche, ne tapant plus le sol à chaque pas qu'il faisait. Le tac répétitif avait cesser marquant l'empressement du jeune homme qui fini finalement par se faire interpeler par la personne qu'il avait bousculer par mégarde. Il se stoppa net, posant une extrémité de son bâton sur le sol, toujours en larme. Il corrigea cela, il prit sa manche droite pour les essuyer rapidement. IL y a eu un silence dans le lieu d'un seul coup. La plupart regardait le mercenaire qui n'avait pas l'air ravi de se qui s'était passer rien que par sa voix mais aussi par son regard que Duscisio sentait très bien dans son dos. Cette façon de l'appeler aussi et la dernière phrase qui lui disait de revenir ici. Que faire ? Continuer ? L'aura de l'homme n'avait pas l'air amical, mais relativement agacer. Misère. Il éclaircit la gorge et se retourna lentement tout en laissant son visage cacher. Tout les habitants autour de lui le regardait. C'était une pression désagréable que tout ses regards qui le pointent. Ses personnes qui semblait se dire que l'albinos était dans une mauvaise posture, des murmures s'entendait sur la situation de l'homme en question. Un mercenaire, rien qu'à regarder son attirail sous sa capuche dont celle si ne laisse pas voir son visage autant ses yeux. Le jeune homme pourrait très bien avoir des ennuis mais autant essayer de s'excuser le plus clairement possible.

Veuillez me pardonner monsieur. Le travail qui m'attend n'est que la raison de mon empressement.

Espérant qu'il se contente de cela, il se retourna pour continuer son chemin. Espérant que cela ne continue d'une mauvaise manière. Le travail ne serait qu'une excuse mais une vérité au fait qu'il a tout de même quelques potions à faire pour sa boutique quand il est à Hesperia, quand il ouvre sa boutique à tout publique voulant un remède rapide tant qu'il est encore là et non en voyage quelque part dans le monde entier où on ne le revoit pas avant des jours et des jours.
Le pas s'en faisant plus pressant afin de s'éloigner le plus possible dans la foule pour éviter qu'il ne l'épingle pour lui donner une leçon ou quelque chose dans le genre. Un sermon inutile qu'il pourrait tout à faire éviter pour une bousculade banal se qui arrive souvent dans une foule. Quoi que cette fois si cette bousculade était un peu plus forcené.

Comme promis il n'allait pas en premier lieu dans sa boutique. Maintenant qu'il a un peu de monnaie, sa direction n'est qu'autre que le quartier commerçant de la cité. L'homme ne l'avait pas suivi en premier lieu. Donc inutile de surveiller plus longtemps cette aura et ce regard désagréable de méprit. Après avoir parcourus une centaine de mettre dans un pas presser, il continua en marchant, s'étant calmer sur ses souvenirs douloureux, il n'y avait plus de larmes à cacher en plus de ses yeux. C'est alors que revint ce tac répétitif sur l'allée de pierre, peut perceptible avec les bruits de pas de la foule. Maintenant qu'il semblait tranquille il n'avait plus rien à s'y fier. Mais pourquoi diable se sent-il observer et suivi ? Espérant que cela ne soit qu'une sensation, il continuait comme si de rien n'était à aller vers le quartier pour faire son achat pour le repas de ce soir. Une viande bien rouge qui une fois cuisiner avec quelques herbes dans sa réserve, font tomber le plus fin des gourmet à son fumet.

Mais cette sensation était vraiment désagréable. Ici et maintenant c'était non de l'inquiétude mais bien de l'agacement cette fois. En plus c'était toujours la même aura qu'il sentait. Il continuait sa route tout en réfléchissant comment faire pour qu'il arrête de le suivre et surtout comprendre pourquoi il le suivait. Il mit son bâton dans sa main gauche pour cacher l'autre main devant lui pendant qu'il voyait quand il pourrait préparer quelques choses pour l'approcher sans qu'il ne se fasse remarquer. Ses quelques mots qu'il prononça vit créer trois petites boules électriques autour de sa main. Mais une femme l'avait vite remarquer et cria à tous de se mettre à l'abri. La foule prit de panique de se faire tuer, s'écarta de Duscisio une fois que tout le monde avait vu se qu'il faisait. Des gardes de sécurité de la ville armé de leur lance venait et c'est aussitôt que Duscisio leva son bâton pour les soulager de ses intentions. La foule c'était dégager mais il n'y avait qu'une personne pour se demander se qu'il se passait. Les gardes s'était retiré et le mercenaire se trouvait maintenant en face de lui alors que l'albinos le pointait de ses trois boules de foudre en plus de son doigt, mercenaire qui se trouvait à quelques mètres de lui. Ce n'est pas plus mal tout de même que la foule se soit écarté. Des murmures disait autour de lui que certain le connaissait et donc savait se qu'il pouvait dégager comme magie. Comme il y a cinq années, lors de la perte de ses parents.

Il n'y avait pas de danger imminent mais se faire suivre comme ça, il ne le supportait pas. Alors que les boules de magie de couleur blanche, jaune et violette faisait entendre un son d'arc électrique très bien audible, leur diamètre n'étant pas négligeable pour blesser quelqu'un, il ne regarda que le personnage pour ne lui poser qu'une seule question, d'une voix des plus calme alors que cette fois ci il ne se cachait plus, ses yeux rouge sang à la pupille fendu regardait celle de cette homme pour bien lui expliquer qu'il n'avait pas à faire se qu'il faisait.

Si vous êtres mercenaire, on vous a payé pour me suivre ?

Comme il s'en doutait, la panique lui fit perdre de vu momentanément l'albinos en train de préparer sa magie. Mais rien que le fait qu'il était le doigt pointer vers lui, de profil, l'autre main tenant le bâton d'invocation sur lequel la pierre-catalyseur jusqu'à maintenant semi-transparente était lumineuse comme un petit soleil. IL n'y avait pas que le sort qui était bien visible, comme Duscisio pointait avec sa main gauche, il pouvait voir l'épée dans son fourreau au niveau de sa hanche, une épée dont le manque était entièrement noire. Vu le regard que prenait Duscisio il avait l'air tout à fait près à lancer ses « flèches de foudre » sur cette homme. Cela ne l'aurai pas tuer mais renverser en arrière avec un goût d'électrocution qui n'aurait pas l'air très plaisant. Néanmoins il eu la réponse à sa question sur le fait qu'il n'était pas employer pour le suivre. Se qui fut logique au fait de la rencontre qu'il avait faite. Autre le fait qu'il continua sur des propos sans intérêt, se qu'il peut faire quand il a payé raisonnablement, le dernier mot qu'il ne finit pas vu la situation dans laquelle il se trouvait.

Les grésillements électrique de ses sphères magiques l'avait interrompu. Par contre il lui disait de ranger sa foudre et de le suivre. L'inviter pour se faire pardonner, il semblait avoir oublier se pourquoi il partait avec empressement. Blablate inutile il vint au fait que Duscisio l'avait intéressé sur son travail. Quand il disait d'accepter son invitation il tendit une main amical, mais la main de Duscisio ne s'en faisait que plus crisper et la charge magique plus intense.

Si tu voulais savoir se que je faisais il ne fallait que me le demander ou se renseigner en ville. Je ne suis pas difficile à trouver ma boutique non plus. Faire confiance à un homme qui suit le plus discrètement possible une personne... Comment lui faire confiance ? Maintenant se que je demande c'est repartir sans que tu n'es à me suivre. Sinon je serai bien obliger de lancer mes trois flèches électriques pour d'obliger à ne pas me suivre impunément.

Valait mieux pour ce personnage de suivre le conseil. Quand Duscisio ne rigole pas il sait faire preuve de bonne foi en tenant ses promesses, ici de lui envoyer ses trois boules électriques. Qui dit électrique dit vitesse de la foudre s'il le voulait. Mais ses flèches là ne sont plus intimidante que puissante. Cela peux changer en un rien de temps. Néanmoins il ne doit pas rester ainsi trop longtemps. Il a beau avoir de l'expérience, tenir une magie prête comme ceci lui consomme une énergie magique non négligeable. Mais après tout, quand on ne connait pas Duscisio et sa magie, il est impossible de deviner se qu'il peut ou pourrait faire.

Il n'avait rien dit sur se qu'il avait comme type de boutique. Si Duscisio le veut, il énoncera son métier. Mais se n'est pas quelqu'un de très gentil quand il pense qu'une personne est mauvaise, mais il n'ira jamais jusqu'à le tuer. C'est dans sa nature, il n'aime pas la tuerie inutile, la vue du sang inutilement versé va jusqu'à le faire vomir et pleurer à cause du tragique accident qui a emporter ses parents, mais attention tout de même à ne pas le sous-estimer. Exactement se que fait le mercenaire en ce moment même, qui vint à lui prendre le bras.

Le temps qu'il lui prennent deux des boules furent lancer sur le visage l'ordre prononcer,, un mot incompris malgré qu'il soit prononcer à haute voix juste avant que l'homme n'agrippe son bras. La dernière lui parcourra le bras avec une immense douleur. Le sérieux dont il en faisait preuve n'ébranlait pas Duscisio qui gardait sa méfiance sur ses traits. Accepter son invitation ? Il semblait avoir oublier un détail encore une fois. Faut t'il lui rappeler ? De la poussière noire commença à apparaître de nul part, se qui fit réagir certains gardes qui l'avait déjà vu faire ça. Leur lance pointer vers lui tout en restant à l'écard, une femme criant quand elle vit une première partie de se qu'il allait apparaître dans sa main, un manche, le même manche que celle de son épée à sa ceinture. Duscisio dirigea ce manche de manière à se que le pommeau soit à l'extérieur.

Unigla-tinos
Une épée - taille normal.

Le temps que le mercenaire comprennent se qu'il disait qu'il avait une épée sous la gorge, une épée noire apparue de nul part. La question qu'il pouvait se demander maintenant et comment il faisait ça ? Le regard de l'albinos se faisait de plus en plus déterminer, ses pupilles fendu étaient de plus en plus fermé. Sa pierre de son bâton de brillait plus autant mais brillait tout de même. Le ton de sa voix prit une forme très distinguer, un peu plus grave tout en gardant un sérieux à toute épreuve avec l'épée qui était maintenant apparu. Une épée sous la gorge, peu de personne ne font pas se qu'il lui demande, même si cela arrive que très rarement. Mais il n'a pas sorti son épée, il n'a fait qu'en créer une à partir d'un pouvoir que l'on ne soupçonnait pas sur un garçon de son âge, qui savait pourtant utiliser une magie comme personne.

Je dois vous le répéter. J'ai du travail qui m'attend, je dois travailler pour vivre maintenant lâcher moi immédiatement ou je ne ferai pas que de l'intimidation avec cette arme.

Et il était sérieux. Même avec ses principes de base, il n'en fera rien s'il est blessé, se n'est que de la légitime défense, rien de plus.

Doucement. Reste calme Duscisio. Il existe surement un moyen de le neutraliser sans montrer une goute de sang sur sa gorge, qui pourrait le tuer. C'est la seule chose à penser sur le moment. L'intimidation n'avait pas l'air de fonctionner. L'épée avait l'air plus un jouet qu'autre chose. Vieux avant l'âge ? De quoi parle t'il ? Le regard méprisant que lançait Duscisio à ce mercenaire n'avait pas d'ordre qu'un règlement de compte. Pensif et réfléchit il cherchait surtout à garder maintenant son calme avant que ses émotions ne prennent le dessus. Preuve faite que si cela devait arriver, si cela devait être une colère alors que seul la tristesse est capable de faire des ravages, il y a trop de monde pour que cela arrive. Il pourrait tous les tuer sans en avoir l'intention. Il ne faut pas que cela arrive, surtout pas. La dernière fois pour l'arrêter on lui a donner un coup relativement fort sur la tête pour le sonner. Les dégâts en fut effroyable, il y eu des blesser à causes des immenses arc électrique. La ville autant que l'albinos ne veut pas de que cela se reproduise. Rester calme. La tension qu'il avait dans la main se décontractait. Les paroles ne lui faisait rien, la provocation ne marchait pas. Son geste pour prendre son mouchoir failli remettre cette tension. Il le cherche. Intention amical mes fesses. Mais il lâcha Duscisio. Celui ci recula de quelque pas de manière précipité. L'épée original se trouvait toujours dans le fourreau tandis que l'autre était toujours dans la main de Duscisio qui la redressa de manière à la tenir comme il se doit.

Cobono faraï cocafinissi ci auroa...
Comment faire confiance à ce type...

Il ne cherchait pas à se faire comprendre. Il est très courant de voir Duscisio parler dans une langue étrange et inconnu de tous pour se parler à lui-même. Langue également utiliser pour ses formules magiques et invoquer ses épées, comme il l'a fait avec celle qu'il porte à sa main droite. Cette imbécile de mercenaire a cru que c'était le nom de son épée, cela fit sourire le jeune homme. Se cacher. Il semblerait qu'il fallait lui expliquer pourquoi il se cachait. Se qu'il fit de manière rapide et radical.

Crétin. Je suis albinos. Se n'est pas pour le publique que je me cache sous cette cape.

Si seulement il savait se que c'était un albinos. Vu la réflexion qu'il avait il ne devait pas comprendre. S'il savait se qu'était un albinos rien qu'en le regardant alors cela lui évitera des explications trop pousser. Il pert suffisamment de temps à parler alors que ce temps là aurait du être utiliser pour faites ses petites courses. Il serait déjà sur le chemin du retour à sa boutique d'herboristerie pour concocter quelques potions pour les vendre à qui en a besoin. Si seulement il connaissait une potion capable de faire réfléchir ce mercenaire il l'a lui donnerait sur le champ. Il restait en garde avec sa réplique de son épée en main, son bâton d'invocation dans l'autre. Cette personne n'est tout simplement pas digne de confiance...

Lorsque Dáinsleif entendit parler le gamin dans une langue étrange, il comprit qu'il avait à faire a un garçon hors du commun, voir même pas normal...
L'encapuchonné annonça alors au mercenaire qu'il était albinos, fort bien, cela ne choqua pas le guerrier le moins du monde; mais il se demandait même encore pourquoi ce garçon se baladait avec se chaperon qui n'avait pas l'air très pratique pour se mouvoir.
Il en arriva à la conclusion que ce gosse devait avoir un peu souffert de sa différence, peut être aussi ne contrôlait il pas totalement une telle énergie magique (cela aurait été fort étonnant pour son âge); De plus, le petit devait surement être en pleine crise d'adolescence... Ah, les jeunes!
Bon sang, l'olibrius était insensible à la camaraderie virile, à l'humour et à l'auto sacrifice... Le mercenaire ne pouvait rien faire de mieux, il était fort déçu. Alors, il appuya son coude droit dans sa main gauche et posa son menton au creux de sa main droite, une pose pensive et lasse... Ses yeux exprimaient une sincère déception.

-"Bien, quand tu auras fini tes caprices, tu pourras accepter mon invitation ou la refuser poliment. Mais je reste persuadé que tu as des histoires passionnantes à me raconter."

Il observait le garçon un peu plus attentivement, comme il en avait l'intuition, le personnage était vraiment du genre anxieux et nerveux... A la limite du capricieux même.

-"Si tu as des choses à me dire dis les moi... Au lieu de m'affubler de crétin si soudainement. Je ne lis pas dans les pensés tu sais?"

Il commençait même à se demander si ce gamin était capable de faire la différence entre ce qu'il disait et ce qu'il essayait d'exprimer rien que par son comportement ou ses yeux. Du coup, ce qui lui paraitrait évident ne le serait pas pour les autres, ce qui le contrariait semblait il.

-"Tu as pourtant bien vu que je ne voulait pas me battre, je n'ai même pas effleuré mes armes..."

Oh et puis zut, à quoi bon parler à un sourd-muet? Ce garçon était trop coriace pour lui, il ne connaitrait sans doute jamais son histoire et s'en trouvait très déçu, mais il croiserait surement d'autres personnes intéressantes... Mais tout de même, quel dommage...

^{[HRP] La couleur bleu est ici pour faire parler une personne qui donnait Duscisio, un PNJ en somme. Je le commande ici.}

Bien sur que Duscisio n'est pas normal. Bien sur que tout le monde le prend pour quelqu'un de différant et pas qu'à cause de son apparence. Une peau pale, des cheveux blanc argentés et surtout ses yeux de couleur rouge sang à la pupille fendu. Ses yeux sont les première choses que l'on regarde avec attention quand il suffit de les regarder. Il arrive parfois que certaines personnes soit paralyser par ses yeux anormales. Le plus caractéristique chez lui c'est bien entendu cette langue. Personne, il est dit personne ne connait cette langue, dans la ville du moins. Duscisio sait parfaitement que son peuple aujourd'hui presque disparue est disperser au quatre coin du monde se cachant de leur culture de peur de se faire tuer par simple croyance de toute sorte. Duscisio est un fallacien de naissance. Les fallaciens sont aujourd'hui rare, voir un fallacien en personne n'est pas donner à tout le monde. Duscisio a apprit à vivre avec cette différence en plus de son apparence comme s'il était normal. Se qui n'est pas le cas et il le sait bien. La foule qui l'observe, la plupart savait que se que le Blanc était, ses parents étaient la même « chose » comme certain le dise.
Suite au parole de finir ses caprises deux des gardes approchèrent de lui lance pointer sur l'enfant encore armée d'une épée en main.

Calmez vous Balibe Duscisio. Vos parents ne vous ont pas élevés ainsi.

C'était un habitant qui appréciait ses parents qui était en train de passer et mêler à la foule il était parvenu à avancer tant bien que mal et fini par reconnaître le gosse. Le mercenaire qui avait bien préciser qu'il n'avait pas toucher à ses armes. Duscisio allait réagir au parole du vieille homme quand il le reconnu il s'abstenir de dire le moindre mot. Oui c'était l'un des clients les plus agréables et il fait parti maintenant de ses clients encore aujourd'hui. C'est vraiment une personne aimable, rare qu'il en existe envers sa famille.

Duscisio baissa son arme et la lâcha alors qu'elle tombait au sol. Le vieille homme fit signe au garde de lever leur lance avant que quelqu'un de soit blesser dans la foule. L'épée que Duscisio avait fait apparaître, disparu dans une poussière noir qui tourna autour de Duscisio avant de disparaître. Lui faire penser à ses parents suffisait à le calmer au plus haut point. Après tout cette personne là faisait parti des personnes à être son tuteur après la mort de ses parent il y a cinq ans.

Matane mi...
Pardonnez moi...

Bien. Duscisio vient avec moi.

Le vieille homme avait apprit quelques mots pour qu'il comprennent de temps à autre se qu'il disait. Seulement les mots simple et principaux. Il n'est pas apte à apprendre une telle langue. Il regarda le mercenaire de ses yeux plisser par l'age avancé et parla à la place de Duscisio en quelque sorte qui ne pouvait plus rien dire dès à présent, dans un état de souvenir profond.

Veuillez l'excuser, Monsieur. Duscisio se méfie grandement des personnes qu'il ne connait pas, ceux qui n'a jamais vu, et cela depuis la mort de ses parents.
Mons...!

Le vieillard lui fit le geste de la main pour qu'il se taise. Duscisio était le plus en tords ici, il ne pouvait pas faire la moindre leçon à qui que se soit ici. Il suivit cette personne qui fini avec le mercenaire.

Si vous voulez lui dire quelques c'est le moment. Je vais l'emmener chez moi histoire de lui rappeler quelques trucs.