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|  Sujet: Llyrannia Duir  Ven 27 Mai - 16:57 | |
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NOM: Duir.
PRÉNOM: Llyrannia.
SURNOM: Lhyra ou Lly.
SEXE: Originellement féminin.
ÂGE: D'inombrables siècles.
PEUPLE: Sylphide.
CASTE: L'Ordre d'Oris.
MÉTIER: Gardienne de la bibliothèque des lumières et virtuose de la justice.
ARMES PRINCIPALES:
♥ Une dague dont la lame est courbée tel un serpent. Sur son manche est sculpté en un dragon à la gueule béante. Llyrannia maîtrise cette arme à la perfection. Si bien qu'on dit que la lame serpente tranquillement lorsqu'elle pénètre votre chair.
- Spoiler:
♥ Un fléau d'armes qui est composé d'un bâton en bois d'environ un mètre au bout duquel se rajoutent trois longues chaînes. À ces chaînes sont accrochées trois boules épineuses en acier. Suite à quelques années de pratique, la guerrière est parvenue à manier cette arme sans se blesser... Ce qui est une chose extraordinaire si vous verriez les blessures que certains s'infligent malencontreusement.
AUTRES POSSESSIONS:
♥ Le sceptre de Duirwem est un cadeau offert par l’ancienne « famille » de Llyrannia. Il s’agit d’un bâton symbolisant la puissance mais avant tout la connaissance et l’amour éternel. On peut également le comparer à une baguette d’énergie puisqu’il a son bout une sphère d’améthyste qui, de par sa forme, chasse les énergies néfaste. Elle est en parfaite harmonie avec le cosmos, libérant d’ailleurs des rayons cosmiques(voir pouvoirs).
♥ Un sac ayat la capacité de contenir une multitude d'objet malgré les apparences. On dit qu'il serait caché aux tréfonds de la bibliothèque aux lumières.
♥ Un violon écarlate fait en bois de cerisier.
DON: Immortalité // Insensibilité à la douleur.
POUVOIRS:
♥ Changer son apparence: Un tel pouvoir est utile lorsque l'on ne possède pas son enveloppe originelle... Llyrannia peut très bien se dissimuler sous le corps d'un homme, d'une vielle sorcière ou encore d'un prêtre si jamais vous lui tournez le dos !
♥ Rayons cosmiques: Utilisé le biais de son sceptre, des rayons cosmiques sont un flot de lumière inévitable. Ces derniers ont la force de raviver l'espoir chez un coeur blessé, de chasser les angoisses qui torturent les plus faibles. Quiconque est aveuglé par cette énergie cosmique perd ses idées noires, devient serein. Une légende raconte qu'elle puiserait ses rayons du soleil, tel le mythique Oris.
♥ Contrôle des sens: Qui ne craint pas soudainement de devenir muet ou encore aveugle, au moment le plus inattendu ? À défaut d'être sourde, Llyrannia a développé une façon de retrouver l'ouïe... Bien qu'elle n'utilise pas son pouvoir à cette effet. À la suite de ses expérimentations, elle a enfin réussi à manipuler les sens d'autrui pour faire justice. Le toucher, le goûter, l'ouîe, la vue, l'odorat... Elle se restreint pourtant à utiliser sa faculté au risque d'y prendre trop goût.
SPÉCIALITÉS:
♥ Excellence spécifique en arme, soit une dague.
♥ Tacticienne (capacité naturelle à développer des tactiques de guerre ou politique)
PHYSIQUE:
Première apparence... Notre sylphide n'est qu'à la base une enveloppe de lumière et d'essence divine formant une image enfantine. Jamais sur son visage on ne pouvait voir l'ombre d'un ride. Llyrannia avait les cheveux ondulés d'un bleu poudreux qui encadraient son visage pâle. Dans ce dernier brillait un regard crépusculaire. Sa peau douce aussi douce que de la soir était d'une perfection exemplaire. Longtemps elle garda le même visage, emprisonnée dans l'enfance éternelle.
Deuxième apparence... La voila qui s'élance dans un corps de femme mûre, contrairement à ce dont elle était. Ses longs cheveux noirs lui descendaient jusqu'à la mi-cuisse, contrastant avec son teint bleuté. Des pupilles aussi verdoyantes qu'un plaine d'herbes en plein printemps rendaient doux ses grands traits. Bref, elle avait tout d'une fille sindarin qui avait l'agilité pour se battre au sein de l'Ordre d'Oris.
Troisième apparence... Il s'agit de la dernière enveloppe qu'elle a revêtit depuis de nombreuses décennies. Llyrannia avait pris le corps d'un jeune terran en mauvaise condition. De longs cheveux écarlates, un regard d'or qui en ferait tomber plus d'une... Voilà de quoi est composé le corps actuel de notre justicière... Ou plutôt devrais-je dire justicier ! Malgré toute cette beauté masculine, elle est entêtée... Ainsi l'apercevrez-vous dans l'ensemble d'une jeune femme gracile aux fins traits. Comme à l'époque, ses cheveux sont d'un bleu clair et ses pupilles d'un rose pétillant. Sous son statut de bibliothécaire, elle porte généralement des robes et des corsets tous plus élégants les uns que les autres, sertis d'écharpes et de bijoux colorés. Cependant, lorsqu'elle quitte les lieux, elle ne part jamais sans son armure d'or - sur lequel est gravé un soleil en signe de sa caste - sa ceinture d'armes et son sceptre.
PERSONNALITÉ:
Llyrannia est toujours de bonne humeur. Même quand les choses tournant mal, elle garde son sang froid. Elle croit que chaque jour est précieux, mérite d'être vécu dans un esprit de calme éternel. Bien que l'immortalité lui ait été donné, la sylphide espère ne pas devoir tuer quelqu'un à nouveau pour que son essence soit toujours en vie. Malgré ses principes de la justice que nombreux trouveront excentriques, elle tente de préserver toute forme de vie par-dessus tout. Voir l'univers recommencer son cycle toujours autour d'elle la rend parfois nostalgique. Ses connaissances très larges lui donnent par le fait même une grande sagesse... Ce qui ne lui empêche pas d'être tête en l'air à tout autre moment. Lorsqu'elle lit, il lui arrive quelques moments d'immobilité complète où elle semble être absente de vie. Ce qui n'est pas totalement faux puisqu'elle ne respire pratiquement jamais. Avec les autres, elle est assez généreuse, voir amicale. Son entrain constant lui donne instantanément un petit air sympathique. Elle a cependant l'esprit d'une dirigeante née et n'aime pas être contredite, car son orgueil en prend un coup. Malgré tout, il lui arrive d'effectuer des moues boudeuses et d'ignorer spécifiquement quelqu'un. Son coeur a gardé l'espoir irréel qu'ont souvent les enfants, un émerveillement continu qui l'enchante dès qu'elle met le pied dehors.
HISTOIRE:
« Cette histoire remonte à trop longtemps pour que je puisse vous nommer l'année où elle débuta. J'en déduis cependant qu'elle fut entamée à l'ère même du commencement... Une époque lointaine où les dieux créaient d'autres enfants sous l'oeil des premiers êtres créés sur Istheria. À l'époque, la civilisation n'était guère aussi développée que de nos jours. La présence de divinités constituait une éventualité définitivement, soit acquise par la majorité du peuple. Ne pas y croire revenait un peu à renier l'existence de la magie. Certains maîtres de puissances s’immisçaient parfois dans les mythes populaires de ces temps reculés. Les multiples races aimaient, malgré tout, insinuer que leurs différences provenait d'une énergie extérieure. J’employai d'ailleurs ces formes culturelles, ignorant si notre mère n'était pas tout simplement une très vieille sylphide ayant obtenu des dons particuliers avec le temps. Je vous raconterai néanmoins comment s'est entamée cette histoire peuplée de légendes et mystères...
Mon enveloppe charnelle n'était à l'origine que des particules de lumières et de magie. Je suis née pur la première fois dans la forme d'une sylphide au corps infantile, aux cheveux bleutés puis au pupilles rosées qui rappelaient la couleur du ciel lors des soleils couchants. Ténéis, qui vivait en ce temps sur Istheria, m'avait façonnée tel qu'elle le souhaitait. J'étais donc une enfant sans imperfection qui devait la vie même à cette divinité et devait lui obéir. Elle ne souhaitait cependant qu'un seul chose: que nous restions à ses côtés. Au fil de mes premières années, je vis de nombreux sylphides quitter Ténéis pour découvrir le monde. Un univers bien dangereux alors que certains dieux habitaient encore les continents d'Istheria. Contrairement à certains peuples, nous n'avions jamais faim, sommeil et n'étions pas atteint de cette chose qui paralysait au bout d'un temps la forme de certains : la vieillesse. Chacun continuait de vivre selon sa forme originelle. En outre, je resterais à jamais une fillette immortelle.
Au bout du deuxième siècle Ténéis se retira de notre minuscule communauté, croyant que nous pourrions apprendre davantage sur le vaste monde si nous ne restions point près d'elle. À son départ, elle souffla quelques infimes brins de connaissances qui se révélèrent d'une ampleur gigantesque aux yeux de plusieurs. Après ce jour, nul ne la revit ou même osa demander son retour. Beaucoup suivirent son conseil et nous quittèrent. Nous restâmes donc sept à vivre ensemble, dans le palais de Ténéis. Le temps passa sans même que nous comptions les jours que la guerre éclata. Nous vivions dans un coin reculé de Cimmeria à l'époque. L'éventualité d'être mêlés à cette quête de pouvoir et de corruption nous répugnais. Cependant, elle était inévitable. Le palais que nous avions construis pour notre mère attirait l'oeil des cavaliers de Sharna qui arrivèrent, par je ne sais quel moyen, jusqu'à nous pour détruire le monument céleste. Puisque nous n'avions appris à confronter des ennemis, ils détruisirent nos corps à l'aide d'outils inconnus qu'ils appelaient '' armes ''.
Guidés par la connaissance de Ténéis, nos esprits partirent à la recherche de nouvelles enveloppes pour étendre notre longévité. C'est ainsi que découvris l'aspect réel d'une femme, une sindarin qui cesserait à jamais de vieillir, par ma faute. Par respect pour notre créatrice, nous retournâmes tous dans l’ancien palais pour procéder à un rite funéraire. Bien qu’aujourd’hui cela reste du cannibalisme, nous mangions les restes de nos enveloppes d’origine afin qu’elle ne soit plus des imperfections. Cette idéologie de la beauté était très conceptuelle dans ce temps-là. J'eus toujours l'impression d'être une femme au coeur d'enfant, un coeur bienveillant qui était horrifié par la guerre de Taulmaril. Malgré tout, mes confrères immortel et moi décidâmes de nous rendre à cette cité détruire, croyant qu'il y avait là-bas beaucoup de choses à apprendre. Avec tous ces ossements, ces cadavres et ces esprits errants, nous nous lançâmes dans l'art d'une magie ancienne que certains qualifient de nécromancie. Nous rédigeâmes d'ailleurs plusieurs ouvrages, dans diverses langes, sur les sciences occultes tel que la divination par les ossements ou l'incarnation des esprits défunts à travers le cosmos.
Tout notre travail d'acharnement et de magie nous conduit à faire des intrusions dans la vie des cités d'Istheria pour y faire régner la paix. Mon esprit entraîné à développer des tactiques pour faire régner une forme de justice fit de moi la chef de notre cercle... Le cercle de Duirwem. À l'aide de leurs connaissances acquises, mes semblables m'offrirent un sceptre qui ferait régner un calme inébranlable, un présent très précieux qui ne m'a quitté depuis ce jour. Nous connurent cependant de nombreuses déceptions au sein de certains peuples ou d'association telle que les cavaliers de Sharna.
Il vint un jour où nous rencontrèrent des guerriers qui partageaient cette même notion de la justice, des membres de l'Ordre d'Oris. Duirwem ne fit qu'un avec cet ordre, prouvant non sans difficulté qu'il prônait lui aussi le calme serein. Nul de l'Ordre ne posa trop de questions puisque nous étions des justiciers exemplaires ayant fière allure dans nos amures dorées. Il vint un temps où les terrans vieillirent sans que l'âge ne nous marque(car certains avaient une apparence terrane), un fait troublant puisque très peu de gens connaissaient l'existence des sylphides à cette époque.
Nos enveloppes ne duraient pourtant pas éternellement... Dans les cent cinquante années qui suivirent mon entrée dans l'Ordre d'Oris, un tragique évènement me sépara du cercle ancien. Un puissant dirigeant des cavaliers de Sharna pulvérisa mon corps de sindarin, m'écartant irrémédiablement des miens. J'intégrai alors pour la première fois la chair d'un jeune homme malade qui avait perdu l'ouïe. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir la surdité ! Sous mon ancienne apparence de dame aux oreilles pointues, je revins au sein d'Oris, constatant que les miens étaient partis venger ma mort. Ne se souvenaient-ils pas comment nous avions survécu lors de la première attaque au temple de la mère ? Je ramassai chaque manuscrit que nous avions écrit dans un sac magique... Un sac aussi petit qu'une bourse qui pouvait contenir autant de choses que ma volonté en décidait.
Au début des dix dernières décennies, je devins depuis lors une virtuose de la justice totalement indépendante qui consacrerait une plus grande partie de son temps dans les ouvrages anciens. La découverte d'une bibliothèque sur Eridania fut l'un des moments les plus magiques. Cet endroit clos et pourtant bordé de lumières attiraient quiconque y entrait. Les livres soufflaient des doux murmures de leurs histoires les plus féeriques, mais aussi les plus horribles. Cet endroit quelque peu abandonné me conduit lui-même à l'adopter, à en devenir sa gardienne. J'y entreposai certains la majorité des livres du Duirwem. Seulement les plus dangereux résidèrent dans mon sac magique, quelque part dans la bibliothèque.
Tous ces livres m'apprirent de nombreuses choses sur les activités des autres peuplades d'Istheria. Je fus charmée par la discipline de la musique lorsqu'un livre enchanté m'en joua divers extraits. Même si je n'entendais pas, je ressentais toutes ces vibrations merveilleuses qui emballaient chaque fois mon coeur. J'appris donc à manipuler les sens afin de connaître le réel son du violon, mon instrument de prédilection. J'étais cependant déjà habitué à entendre un autre univers de bruits que les autres ne percevaient pas. Mes pouvoirs s'accrurent tel que je pus bientôt revêtir une nouvelle apparence permanente... L'enfant que j'étais lors de mes premières années, seulement avec un corps de jeune femme adulte.
Depuis les huit petites dernières années, est entré un jeune étudiant au nom de Drayken Olmir qui passait le plus clair de son temps le nez fourré dans les bouquins. J'étais toujours heureuse de voir les habitants profiter de ces vieux ouvrages mystiques qui n'attendent que d'être lus. L'embaucher ne pouvait donc que me réjouir. Cela me permettait de quitter les lieux de temps à autres. » » Llyrannia.
Note: certaines chroniques personnelles ou livres du cercle de Duirwem seront rajouté dans son journal.
- Spoiler:
PRÉNOM: Meio.
SEXE: Masculin.
POUVOIR: Le don de parole.
DEscriptION: Meio est un animal dans la famille des herpestidaes. C'est un suricate mesurant à peine trente centimètres. Son pelage d'un beige crémeux est rayé de quelques taches grises. Son petit museau rose fouine tout ce qu'il voit, guettant milles et un danger même si Llyrannia est là pour le protéger. Il a un instinct de survie très développé, ce qui lui a permis de vivre en solitaire durant quelques mois près des colonnes d'Herbeus. C'est d'ailleurs là qu'il s'est fait adopter. Ses yeux sont d'un noir d'encre et leurs contours d'un brun sombre. Il aime par-dessus tout être mignon, ne vous y méprenez pas. Étant aussi de nature très affectueuse, il s'enfouit toujours au creux du cou de sa maîtresse ou prend place sur ses genoux. Son met favoris est le scorpion, mais il mange un peu de tout puisqu'il n'est pas aisé de trouver ce type d'insecte près de la bibliothèque aux lumières.
PRÉNOM: Fibbos.
SEXE: Masculin.
DEscriptION: Fibbos est un grand étalon à la robe blanche et à la crinière d'encre. Contrairement à Mei le suricate, il est très silencieux. Llyrannia croit qu'il comprend tout ce qu'elle lui dit, mais ne s'abaisse pas à parler la même langue. En effet, il a beaucoup de dignité et de gêne alors qu'il s'agit d'un cheval bien ordinaire. Il est néanmoins du cheval le plus goinfre d'Istheriea. On croirait même qu'il n'a qu'une occupation en tête... Manger !
Dernière édition par Llyrannia le Mer 1 Fév - 23:12, édité 4 fois |
|  | | Invité
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| | Sujet: Re: Llyrannia Duir Dim 29 Mai - 21:03 | |
| Simple double post pour révenir que ma fiche est finie.^^ |
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Fonction:
Pouvoirs, spécialités & Don:
Relations & Contacts:  :: L'Eryl ::
Sighild
| | Sujet: Re: Llyrannia Duir Dim 29 Mai - 22:24 | |
| Enchantée de rencontrer ce nouveau compte!
Tout est parfait! L'histoire est très belle également! J'aime beaucoup!!
fiche validée
Tu connais sans doute la routine, demande de rang, coffre-fort... loool |
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| | Sujet: Re: Llyrannia Duir | |
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