la nouvelle Yorkas

Alana était en apparence une femme svelte, de taille moyenne pour son âge mais elle était déjà plus grande que ses parents. Elle avait une belle taille féminine et une poitrine assez plate.
Alana possédait de magnifiques cheveux « or » comme disaient des gens de son village mais elle préférait dire qu’elle avait les cheveux couleur du blé ou bien du soleil parce que ceci n’avait aucune connotation pécuniaire.
Alana avait un joli nez assez fin et lisse. On croirait qu’elle avait été crée pour être la femme parfaite, même sa bouche était sublime. Ses lèvres étaient rosées et douces et la demoiselle avait des dents blanches comme les flocons de neiges.
La jeune femme avait à l’avant bras gauche, un tatouage représentant une balance (voir l’image). Cela lui rappelait d’où elle venait et ce qu’elle devait faire.
Dans sa jeunesse, la demoiselle portait sans cesse des robes faites par les plus grands couturiers mais maintenant, elle met surtout des pantalons avec un maillot et un pull en faisant bien attention de faire un trou pour que sa queue passe. Enfin, elle rêve qu’un jour, elle enfilera l’armure dorée de l’Ordre.




Comment décrire la jeune femme ?
Selon certains, elle était spéciale, pour d’autres elle était mystérieuse. Pour son père c’était un fardeau borné comme une mule et pour sa mère : une fille de la haute société. Alana était une jeune intelligente, elle avait appris beaucoup de choses. Elle pouvait être douce mais seulement avec les enfants car ils lui rappelaient son petit frère. Elle était bornée, quand elle avait une idée, elle s’arrangeait pour qu’on cède mais de nombreuses fois elle n’avait pas réussi. Elle était par moment très joueuse et câlin et avait besoin d’être entourée et rassurée.
Alana était une jeune femme qui était devenue autonome et sait se débrouiller toute seule ce qui était un avantage car toutes celles qui avaient été ses amies ne savaient faire que ce que devait savoir faire une femme afin d’épouser un homme et d’être une bonne mère de famille. Mais ce n’était pas le cas pour la jeune, elle était en marge de tout et l’acceptait.




Alana avait été une enfant calme et douce, elle était assez curieuse de tout et voulait tout voir. Mais elle n’avait pas put partir à l’aventure. Son père dès sa naissance l’avait détestée. Elle était différente des autres enfants mais en plus, c’était une fille et lui, il voulait un fils. Elle faisait tout pour lui plaire, elle avait appris à compter pour reprendre le magasin de son père. Celui-ci tenait une petite épicerie dans leur village et tous les jours, elle écoutait à la porte de derrière pour comprendre comment elle devrait faire une fois adulte, elle s’était résignée à sa future existence.
A l’école, les autres enfants et professeurs étaient gentils avec elle saufs deux ou trois- mais cela, j’ai envie de dire que c’est toujours pareil, on ne peut pas plaire à tout le monde-.
Alana avait donc grandit pensant qu’elle deviendrait marchande à son tour et là, sa mère tomba enceinte. La jeune fille avait à cette époque là dix ans. Neufs mois plus tard, Elara accoucha d’un magnifique garçon auquel elle donna comme nom : Olòrin. La vie à la maison devint plus vivable pour la fillette. Son père était heureux d’avoir un garçon, il tiendrait le magasin une fois adulte et lui partirait en vacances. Alana se demanda donc ce qu’elle ferait alors : sa mère l’initia à la cuisine, à la couture ; enfin bref à toutes les tâches ménagères pour qu’elle fasse une bonne épouse.

A l’âge de quatorze ans, son frère disparut, elle se mit à sa recherche pendant une semaine et lorsque toute la famille eut perdu espoir de le retrouver, un ami de la famille apporta le corps du défunt chez eux. Il l’avait retrouvé près d’un fleuve, le petit avait été ouvert au niveau de l’abdomen et on lui avait pris son cœur. Ce n’était pas l’acte d’un animal car la découpe avait été faite avec un couteau. Le pauvre enfant avait été mutilé et semblait avoir eut le temps d’agonisé avant de mourir.
Alana entra dans une colère noire, qui avait put faire cela ? Qui avait put tuer un enfant de six ans sans défense qui ne distingue pas vraiment le bien du mal ? Voilà ce que ce demandait la belle. Elle prit une décision : retrouver les meurtriers de son frère même si cela devait lui prendre toute la vie, elle ne laisserait pas ce crime impuni, jamais !
Elle se mit à partir de la maison pour trouver des indices, qui plus est, son père était devenu exécrable avec elle, il la traitait comme une souillon et la faisait travailler. Elle partait donc pendant une semaine et revenait chez elle. Puis les recherches passèrent à deux puis trois semaines et enfin à un voir plusieurs mois d’affilés. Ses parents surtout sa mère s’inquiétait car elle était loin et qu’elle ne savait pas pourquoi sa fille s’en allait aussi longtemps. Peut être lui était il arrivé quelque chose. Elle priait donc tous les soirs les dieux pour qu’ils la protègent. De son côté, Alana parcourait les bois, le long des fleuves. Mais rien, elle ne trouvait rien et quand elle était exténuée, elle rentrait chez elle. Elle avait l’habitude de dormir dehors mais elle savait qu’elle pourrait rentrer chez elle, il lui suffisait de se décider à faire demi-tour.

La jeune femme avait maintenant dix neuf ans. Elle fut renvoyée de chez elle quand elle revint à la demeure familiale. Son père ne supportait plus qu’elle disparaisse sans arrêt, après tout, il l’avait toujours détesté depuis son enfance et le temps passé n‘avait pas arrangé les choses. Sa mère, quant à elle en était tombée malade, cette dernière avait demandé à son mari de lui envoyé sa fille dès qu’elle serait revenue, elle était convaincue qu‘elle reviendrait. Son père, lui avait espéré qu‘elle soit morte. Alana exécuta donc l’ordre et courut voir sa mère souffrante dans sa chambre. Sa mère se réveilla et la regarda, elle lui demanda d’une voix frêle pourquoi elle fuguait sans arrêt. La jeune femme ne put lui répondre qu‘un :
« J’essaye de retrouver ceux qui ont tué Olòrin, il y a maintenant cinq ans. Je souhaite que justice soit faite. »
Sa mère la regarda tendrement, elle comprenait, elle aussi avait souhaité que l’on retrouve les criminels mais elle n’avait jamais pensée que sa fille partirait dans une chasse à l’homme interminable. Elara baissa les yeux et tomba sur le tatouage : une balance, elle ne demanda pas pourquoi ni quand, elle en avait fait faire une, elle le savait. La jeune femme partait longtemps de la maison afin de chercher les criminels du meurtre de son frère et pour ne pas oublier pourquoi elle était absente de la maison, elle s’était fait tatouer se symbole : afin de toujours se rappeler que la justice devait triompher du mal.
« Ecoute, il y a un ordre, où je pense tu trouveras ton compte : l’Ordre d’Oris. J‘en ai entendu parler il y a peu de temps par ton père.» murmura sa mère.

Son père l’appela et lui déclara qu’il ne voulait plus la voir chez lui, qu’elle devait faire ses valises. Alana avait beau protester et lui demander où est ce qu’elle logerait, il ne voulait pas le savoir et ne lui répondait seulement : « Dépêche toi de faire tes valises, demain matin tu partiras ! »
C’était donc résignée qu’elle était montée dans sa chambre, avait pris deux sacs, et les avaient remplis d’affaires. Elle ressortit tout et regarda ce qu’elle avait mis machinalement dans le sac : des robes chics. Non, elle ne pouvait pas prendre tout cela. Elle choisit deux robes : l’une pour la route et l’autre pour les grandes occasions. Elle posa quelques serviettes dans l’autre sac et finit de remplir son sac d’affaire avec des pantalons dans lesquels elle fit un trou pour y passer sa queue, des maillots à manches courtes et longues ainsi que des pulls chauds pour l’hiver.
Le lendemain matin, à l’aube, elle descendit dans la cuisine et vola un peu d’argent à ses parents. Cela était un crime, elle le savait mais elle leur rembourserait ce qu’elle avait pris. Elle partit tout droit, elle ne savait pas ce que la vie lui réserverait. Tout ce qu’elle savait, c’est qu’elle devait trouver l’ordre d’Oris afin de leur demander de l’accepter parmi les leurs. Après plusieurs mois, elle les avait enfin trouvé, elle appréhendait leur réactions : une fille qui veut faire partie d’un groupe de soldat, c’était la meilleure. Mais ils acceptèrent après lui avoir fait passer quelques tests et lui expliquèrent comment ils travaillaient.



ANIMAL DE COMPAGNIE

Napoléon

Sexe : masculin Race : oiseau des iles Pouvoir : Napoléon a la capacité de parler le langage humain. Description : Alana marchait dans la ville cherchant quelqu'un qui connaitrait l'Ordre d'Oris et tomba sur un oiseau des iles. Il était blessé, la demoiselle le récupéra et l'emmena dans sa chambre à l'auberge où elle le soigna. Le perroquet n'avait pas dit un mot depuis qu'ils s'étaient rencontré, Alana lui demanda s'il se sentait mieux mais elle n'avait pas prévu qu'il lui dirait "Oui je vais bien, merci beaucoup mademoiselle." Elle regarda l'animal hébétée, elle lui demanda s'il parlait ou si c'était elle qui avait rêvé, le perroquet lui répondit que non, il parlait bel et bien son langage. Tous deux passèrent l'après midi à discuter car l'animal adorait parler même si c'était pour rien dire. Tous deux se mirent d'accord sur son nom: Napoléon. Le perroquet fier d'avoir ce nom déploya ses ailes et Alana se rendit compte qu'il était magnifique, son corps était rouge et il avait de magnifiques plumes vertes et bleues. Ils étaient devenus amis et ne se quitteraient plus.

MONTURE

Abyssal

Sexe : masculin Descriptionr : Abysaal est un cheval arabe de couleur blanche. Certains ont même dit que lorsque le soleil frappe à un endroit encore mystérieux du cheval, ils ont crûent que sa robe était de couleur argentée. C'est un cheval exemplaire: il galope rapidement sur le sable mais préfère les prairies vertes dans lesquels il peut se rouler au sol. Il est très joueur avec sa cavalière, d'ailleurs, il n'y a qu'avec lui qu'elle rit. Mais quand ils doivent aller au combat, Abyssal redevient sérieux et exécute les ordres qui lui sont donnés que se soit par Alana ou tout autre cavalier.