Beyla la douce [en cours...]

News & Infos

C'est ici que vous trouverez les dernières infos du moment, les utiles et moins utiles.

Temps actuel

Effectifs

• Eryllis: 3
• Ladrinis: 9
• Eclaris: 5
• Prêtresses: 5
• Cavaliers de S.: 5
• Nérozias: 6
• Gélovigiens: 3
• Ascans: 0
• Marins de N.: 4
• Civils: 15

Lien recherché

- Walter cherche de Preux chevaliers.
_ Raël veut des clients.
_ Deirdre a besoin d'employé!

Les Rumeurs

_ Il parait que des personnes hauts-placées seraient gravement malades.
_ Il parait que ça se bécotte "au bal de la Rose".
_ Il parait que des créanciers en sont après un des conseillers de Ridolbar.

Code par MV/Shoki - Never Utopia



 
AccueilAccueil  FAQFAQ  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  


-28%
Le deal à ne pas rater :
Brandt LVE127J – Lave-vaisselle encastrable 12 couverts – L60cm
279.99 € 390.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 Beyla la douce [en cours...]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Beyla la douce [en cours...]   Beyla la douce [en cours...] Icon_minitimeSam 27 Aoû - 20:09


PRESENTATION
Selminanda



    NOM: Selminanda
    PRÉNOM: Beylinda
    SURNOM: Beyla

    SEXE:Féminin
    AGE:27 ans
    PEUPLE: Terran

    CASTE: Eryllis
    MÉTIER: Troisième de conseil // Médecin

    ARMES PRINCIPALES: Un petit poignard, caché dans sa manche droite, attaché à son bras.
    AUTRES POSSESSIONS:Une petite bourse contenant des herbes médicinales et un manuscrit rédigé de sa main sur la nature des toutes les plantes médicinales qu'elle a répertorié durant ses sept années d'études….

    DON: Agilité développée // Grande adaptabilité
    POUVOIRS: Soin guérisseur, régénération, contrôle de l’eau et télépathie
    SPÉCIALITÉS: Herboristerie, empathie animale, sens de l’orientation

    PHYSIQUE: Beyla est une jeune femme élégante et raffinée, compensant son allure fragile par des manières altières qui montre qu’elle a été élevée dans une famille noble. C’est une jeune femme assez jolie, mais dont seuls les cheveux et les yeux attirent vraiment l’attention. Ses cheveux couleur de feu sont soyeux et elle en prend grand soin étant extrêmement fière de cette couleur. Son regard est très doux et semble vous donner de l’éclat lorsqu’il se pose sur vous. Ses yeux d'émeraudes fascinent les gens, ils semblent lire en vous et prendre en charge tous les malheurs qui vous sont arrivés, sans pour autant les connaître. Son visage exprime le calme et la sérénité. Son corps aux formes généreuses suscite les regards aguicheurs des hommes; ce qui la gêne quelque peu car elle a été élevé avec des moeurs puritaines. . Elle ne fait pas partie de ses personnes dont la beauté attache les regards à jamais sur elles. La vie en forêt avec les autres Eryllis l‘a considérablement endurcie, elle est maintenant capable d’aider aux travaux les plus durs, même si on ne lui demande pas souvent. Ses mains agiles sont plutôt requises pour soigner, et c’est une tâche dont elle s’acquitte le mieux possible. Elle s’habille avec le plus grand soin, ne négligeant aucun détail car elle ne supporte pas d’être « habillée comme un sac » : vous la verrez donc la plupart du temps avec une robe élégante et sobre, bien coiffée, et avec des bijoux qu’elle a emmené avant qu’elle ne quitte sa famille. Un bracelet en or, un collier avec un pendentif sur lequel il y a le symbole de sa famille, un sablier, et une paire de boucle d’oreille que lui avait offert sa mère avant leur dispute. Chaque pierre qui est incrustée sur ses bijoux est un catalyseur potentiel.

    PERSONNALITÉ: Beyla est une jeune femme intelligente et douce, très douée de ses mains et portée vers les autres, raison pour laquelle elle se dirigea naturellement vers l'étude de la médecine. Passionnée, elle est une philanthrope accomplie qui fera son devoir avant tout. Elle est une jeune femme sensible et fragile qui cache cependant une grande force. Douce en apparence, elle sait se montrer ferme lorsqu'elle a décidé quelque chose. D'une nature déterminée et courageuse, elle ne se laisse pas intimider facilement. Elle aspire en premier lieu à la liberté et n’a jamais voulu accepter quelque chose qui pourrait ressembler de trop près à une vie monotone et bien proprette avec un mari volage comme celui que lui avaient choisi ses parents. Un peu tête en l’air, les détails importants des réunions ne s’inscrivent jamais dans sa mémoire alors que toutes les choses un peu idiotes, mais qui l’ont fait rire, qu’elle a entendu au campement resteront gravées pendant des mois…
    Elle est connue par ses patients pour être une bavarde traquant les ragots les plus récents, c’est d’ailleurs de cette façon qu’elle apprit les histoires tragiques de ceci, ce qui l’a aidé à relativiser sur son sort, car elle sait très bien que ce qu’elle a vécu n’est pas grand choses par rapport aux malheurs des autres personnes qui l’entourent.
    Beyla ne dit pas souvent ce qu’elle pense réellement, préférant garder ces opinions sur les gens et la politique pour elle-même afin de ne pas les confronter aux autres. Les idéaux de sa famille sont restés les siens, bien qu’elle ait choisi de les appliquer différemment.
    Avec un sens de rangement presque maniaque, elle s’assure que tous ses remèdes et potions sont bien rangés tous les matins et que tout est propre et décent pour recevoir et s’occuper de ses patients, qui vont de la vieille femme au plus petit enfant. Bien qu'elle sache se défendre, elle n'aime guère se battre et préfère se comporter de façon pacifique dans la mesure du possible, bien qu’une fois que quelqu’un a dépassé les limites de sa patience, il vaut mieux fuir sous peine de se prendre un coup monstrueux qui l’enverrait valser loin d’elle.
    Ses dieux favoris sont Kesha, bien sûr, qu'elle remercie chaque jour de lui avoir montré la voie de la médecine et Greis qu'elle affectionne particulièrement pour cause de l’un de ces souhaits irréalisables : celui de rester une enfant à jamais. Au fond, elle ne s'est jamais vraiment plu dans sa vie d'adulte, regrettant l'insouciance de l'enfance et tout ce qu'elle a vécu durant cette période... Depuis ses quatorze ans, Beyla s'est rendu compte que la vie adulte comporte bien plus d'ennuis que d'avantages, contrairement à ce que lui faisait croire ses proches...


    HISTOIRE:


Depuis ma naissance mon destin ressemble à celui d'une fleur de cerisier constamment portée par le vent sans pouvoir sortir de son emprise... Avec le recul, je me rends compte que toutes les décisions que j'ai prises me rapprochait toujours de la liberté à laquelle j'aspirai. De même toutes les rencontres que j'ai pu faire m'ont toutes permis de me rapprocher de mon but, sans même que je m'en aperçoive. Elles m'ont aidé chacune à leur façon : certaines en me poussant à bout, d'autres en mourant, et deux en croyant en moi. C'est grâce à ces deux-là surtout que je suis ce que vous voyez maintenant. Ces deux personnes m'ont aidé juste au moment où je ne savais plus quoi faire, hésitant entre deux choix qui pourraient changer complètement ma vie. A ses deux personnes, je leurs dit : "merci".

Ma naissance au sein de la famille Selminanda était fort attendue : j'étais le premier enfant de cette famille de nobles politiciens, et on espérait que ce premier enfant serait un garçon capable de succéder à mon père. D'ailleurs, mon père, Gwaynnon Selminanda, avait déjà choisi ce qu'allait faire de sa vie son héritier ou son héritière ; soit un diplomate avec une carrière brillante derrière lui où dans le cas malheureux où ce serait une fille, une bonne épouse qui aiderait son époux à progresser dans sa carrière. Et le hasard fit que je naissais fille : désolé Père ! Je fus donc promise à un homme de 20 ans mon aîné, qui correspondait à l'idée que père se faisait de son gendre. Pas de chance. Mais heureusement, je n'étais sensée être au courant que le jour de mes 15 ans, et encore, par inadvertance de la part de ma mère. Enfin, cela m'évita de grandir horrifiée par cette perspective.
En même temps, j'aurais pu tomber sur une famille pauvre, malade et brisée, alors je n'ai pas beaucoup de raisons de me plaindre d'être née dans une famille noble et riche, habitant la capitale et possédant une forte influence politique.
Alors que je décrive ma jolie famille... autant commencer par mon père, puisqu'il est le "chef" : bel homme, assez grand et musclé, il a les traits durs, des yeux gris acier et les cheveux gris. Il est sexy, il a 60 ans maintenant et il n'aime pas les autres. Il est d'un sérieux inébranlable, je ne me souviens pas de l'avoir vu sourire ne serait-ce qu'une fois. Il aime se battre, chasser, exercer sa carrière de politicien qui sont selon lui, les hommes sur qui il faut compter pour tout, sa femme, et enfin donner des ordres. Une liste qui ne fait même pas un quart de celle sur ce qu'il n'aime pas. Un personnage fort sympathique, n'est-ce pas ? C'est un homme misogyne au possible, mais au moins, je crois qu'il m'aimait bien... enfin, avant que je refuse le destin qu'il m'avait choisi...
Ensuite, ma mère, Ereilith Selminanda, une femme de passion et bien en chair, de qui je tiens ma chevelure rousse. Elle n'a que 50 ans derrière elle. Je me souviens principalement de son visage magnifique, avec des yeux bleu profond et un sourire charmeur. Lorsqu'elle rit, ses yeux se plisse d'une manière adorable et elle devient si belle... Je l'aimais et l'aime encore énormément. Elle aime tenir salon, car c'est une grande bavarde, capable de parler de tout et de rien pendant des heures... talent dont je crois avoir hérité. Elle attirait tout les regards avec sa démarche féline et son décolleté plongeant, je me souviens encore d'un homme qui l'avait contemplé un peu trop au goût de mon père et qu'il avait expulsé de chez nous en lui interdisant de revenir. Un peu jaloux....
Et pour finir, Sennar, mon jeune frère, né deux ans après moi. Je suis partie de la maison lorsqu'il avait 15 ans... Assez mignon, c'était le parfait mélange entre Père et Mère : il tenait de Mère la même tignasse que moi et son sens de l'humour et de Père son goût pour la bataille verbale et son sérieux bien qu'il soit moins difficile à faire sourire. Il a un beau visage dans le style gamin, avec des cheveux roux un peu trop longs et ébouriffés (les servantes et moi n'avons jamais réussi à l'approcher avec une brosse dès qu'il eut dépassé ses 12 ans) , et des yeux semblables aux miens. Gentil, attentionné, prévoyant, intelligent, musclé... et dommage pour mes parents, plus portés sur les hommes que sur les femmes. Personnellement, je ne pense pas que cette attirance durera mais pour l'instant... il est bien atteint.
Je crois que j'ai un autre petit frère, mais ma mère ne m'a pas laissé le rencontrer... il est né après que j'ai quitté la demeure familiale. Elle ne m'a même pas prévenu, c'est Sennar qui me l'a dit... il est le seul à prendre de mes nouvelles et à m'en donner...
Oh, et j'allais oublier ma tendre Nini, ma gouvernante, par qui j'ai commencé à m’intéresser de près à la médecine et à apprendre à cultiver et me servir des plantes médicinales dont elle se servait pour nous guérir et qui poussait dans son jardin.

Mon enfance et mon adolescence se résumèrent à l'apprentissage du savoir-vivre, du protocole, de l'art de savoir tenir une maison et grâce à Nini, des rudiments de la médecine. Je n'ai pas de souvenirs particuliers de cette époque, à part le fait que je me sentais de plus en plus opprimée par ma vie de jeune fille oisive et noble. Toutes mes pensées étaient tournées sur une évasion possible de cette cage dorée dans laquelle on m'enfermait, et dont les geôliers s'assuraient que je ne manquais de rien, pour mieux me rendre dépendante. Je n'avais qu'à lever la main pour qu'on m'apporte aussitôt ce que je désirais. On m'offrait des robes sublimes, des bijoux somptueux, des servantes étaient spécialement affectées à ma manucure, ma coiffure, ma garde-robe... Je ne savais même pas me déshabiller sans leur aide, c'est pour dire... J'imagine qu'il fallait bien qu'à un moment ou un autre, il fallait que ça change. Je me demande ce qui se serait passé si j'étais resté ? Hum... j'aurais eu quatre enfants insupportables, et je serais une véritable peste, qui aurait détesté son époux et poussé à l'adultère. Sûrement.

Heureusement pour moi (ou pour mon futur époux ?), je fus soudain propulsée au premier rôle dans l'histoire de ma vie, le jour de mes 15 ans grâce à ma mère et à sa maladresse. En effet, nous étions toutes deux dans le salon, parlant de sujets des plus futiles tels que la robe que je voulais me faire offrir par ma mère, lorsque celle-ci commença à me demander si je ne voulais pas plutôt une belle robe... de mariée. Intriguée, je lui demandais pourquoi, et ma mère si bavarde me répondit, en feuilletant tranquillement un livre :
-"Oh, parce que nous allons te marier cet hiver, alors j'aurais aimé que tu fixes déjà ton choix sur la robe que tu porteras pendant la cérémonie, puis celle pour le bal... Tiens, que penses-tu de la robe de ta cousine Emily, qu'elle portait pour son propre mariage ? Si nous changions quelques détails comme le corsage ou-
-Comment ?! Mère, vous vous y prenez trop en avance ! Je ne suis même pas promise à un homme ! La moindre des chose aurait été de me prévenir un minimum, ne pensez-vous pas ?!
-Hum ?... Bien sûr que si ma chérie ! D'ailleurs ton futur époux arrive après-demain pour te rencontrer... Il est charmant, paraît-il !"
Je faillis m'étrangler de l'entendre parler si posément et frivolement d'un sujet qui concernait tout mon futur, et dont on n'avait jamais jugé bon de m'en prévenir. Je me levais, et très froidement, pris congé de ma mère, pour courir dans les bras de ma gouvernante, sangloter et demander conseil. J'ai honte de cette attitude si enfantine que j'avais alors ! D'ailleurs, en général, je n'écoutais même pas ce que me disais ma gouvernante car je commençais à fulminer et à décider par moi-même de ce qu'il convenait de faire. Et là, il convenait de rencontrer mon "fiancé", de faire semblant d'être intéresser, puis de prétexter que je ne pouvais "malheureusement" pas l'épouser de suite. En tout cas, pas tant que je n'aurais pas acquis l'approbation de ma nourrice sur mes capacités médicales pour ainsi pouvoir gagner ma vie parmi le bas peuple. Et de préférence le plus loin possible de la capitale, pour que personne ne puisse me reconnaître. Mon plan me paru sur le coup génial, digne du génie dont les gens m'affublait. J'étais assez fière de moi.
Ce fut donc parfaitement sûre de moi que je rencontrais mon futur époux, notant par ailleurs que mes parents avaient "malencontreusement" omis de me préciser que ce cher gendre avait 20 ans de plus que moi...



COMPAGNON
Pistache



Beyla la douce [en cours...] Pistache-2c3e838

    PRÉNOM:Pistache

    SEXE:Mâle

    POUVOIR: Don de parole

    DEscriptION: Pistache est un petit écureuil pas bien malin mais très attachant, qui arbore une fourrure flamboyante telle que la chevelure de sa maîtresse. Il a des petits yeux mordorés qui brille d’un éclat coquin, car il aime par-dessus tout faire des farces pendables. Il est un petit compagnon très fidèle, mais son don de parole le rend parfois insupportable, voyez donc dans les conseils il ne cesse d’interrompre les conversations entre les dirigeants en criant haut et fort, lorsque Beyla se fait discrète : « Mais laissez-la parler ! Bande de ploucs ! » où lorsqu’il veut appuyer ses propos : « Vous voyez bien, elle a raison ! Vous n’êtes que des petits êtres insignifiants ! » . Oui, cet écureuil n’a pas peur de se faire écrabouiller…
    On peut parfois distinguer dans les cheveux de Beyla des formes se mouvant rapidement : ne soyez donc pas surpris en voyant un écureuil se frayer un passage à travers ses mèches pour vous saluer. Cet écureuil, si malin qu’il est, n’a rien trouvé de mieux que d’avaler le catalyseur offert par sa maîtresse afin de ne pas avoir à s’encombrer de celui-ci sur son dos… Il a rencontré Beyla dans la forêt des Eryllis il y a trois ans, et n’a pas été très dur à apprivoiser… Quelques pistaches (d’où son nom d’ailleurs…) et le tour était joué !






MONTURE
Alexandrovna



Beyla la douce [en cours...] Real_8673-cheval-...d-orange-2c3e7d7

    PRÉNOM:Alexandrovna (dit Alix)

    SEXE:Femelle

    DEscriptION: Alexandrovna est une jument en tout point semblable au caractère de sa maîtresse : douce, calme, et réfléchie, qui n’aime pas les grands efforts physiques et les hommes. Sa robe est d’un brun-roux un peu terne tel une noisette rougeâtre, ce qui la rend facile à dissimuler durant Riguéar… Sa crinière est lavallière (c’à’d d’un brun clair de la couleur d’une feuille morte) et très longue, car sa maîtresse n’a pas souhaité la lui couper, que ce soit la crinière ou la queue.
    Cette jument est celle avec qui Beyla a fui sa famille, elle à traverser toutes les phases de sa vie avec Alexandrovna, lui permettant d’aller toujours plus loin, pour ne jamais se faire retrouver. Alexandrovna aime beaucoup les pommes et brouter tranquillement dans une prairie, sans que l’écureuil Pistache ne vienne… car oui, même les animaux ont du mal à supporter cette boule de poil hyperactive et bavarde pour deux. Et Alexandrovna ne fait pas exception à la règle…


Dernière édition par Beylinda Selminanda le Dim 11 Sep - 18:04, édité 4 fois
Revenir en haut Aller en bas
:: L'Eryl ::

|| Informations ||
Fonction:
Pouvoirs, spécialités & Don:
Relations & Contacts:
Sighild
:: L'Eryl ::
Sighild
MessageSujet: Re: Beyla la douce [en cours...]   Beyla la douce [en cours...] Icon_minitimeSam 27 Aoû - 21:11

Bonjour et bienvenue

Si tu as la moindre question n'hésite surtout pas.

Bonne continuation.
Revenir en haut Aller en bas
 
Beyla la douce [en cours...]
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Compte de Beyla
» Appelez-moi Beyla.... [terminée]
» Kaylia, douce prêtresse
» Rp avec une douce prêtresse ?
» Wannaïg Oor [en cours]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Istheria, le monde oublié :: Gestion des PersonnagesTitre :: • Création de votre Personnage :: • Inscription & Présentation :: • Cimetière-
Sauter vers:  

(c) ISTHERIA LE MONDE OUBLIE | Reproduction Interdite !