Le croisement des marteaux

Les gorges de Paramis au crépuscule, le chemin était vide de toute autre vie. J'adore ce genre de petit voyage improvisé dans les bois. La nuit allait bientôt me happer dans ses bras et je ne pouvais plus retourner à l'auberge que j'avais quitté le matin même sur le dos de Salve, ma fidèle jument, avec Lame sur mon épaule.

-Et voilà! s'exclama l'oiseau d'un air d'évidence, On va devoir dormir dans les bois: encore!

-Arrête de te plaindre, Lame! répliquais-je avec un sourire. L'air a beau être froid, le sol est presque sec sous ses falaises et le bois tout autant. Des grottes doivent sûrement creuser ces parois. Utilise donc ta vision au lieux de me rabattre les oreilles.

Les yeux de Lame revinrent luminescent et sa poitrine tout autant. Il regarda un tout autour de nous et sembla hésiter à certains endroit.

-À gauche dans environs 50 coudé, il y a un feu. déclara Lame d'un malicieux, Plusieurs hommes à priori et l'un d'eux fait quelque chose que tu ne vas pas aimé.

-De quoi parles-tu? demandais-je surpris.

-Il fait chauffer la pointe de son épée dans le feu, dit le volatile avec un regard malicieux.

-L'imbécile, m'écriais-je tout bas. Il affaiblit son épée en faisant cela! Allons nous occuper d'eux Lame. Si l'un d'entre eux fait chauffer son épée comment sont les autres?

-Ils ont l'air de voleurs de grand chemin qui on réussi leur coup, rajouta Lame d'un air dégoûté, Des armures de cuirs mal tannées et de mauvais arcs.

-Allons mettre un peu de justice la dedans alors! déclarais-je en donnant un petit coup des talons dans les flancs de Salve.

Lame ricana et s'envola de mon épaule pour allé se perché au dessus du campement des voleurs. Je le contactai de manière télépathique pour connaître le rapport des forces. Cinq hommes, tous ivres et un gros sac d'argent traînait dans un coins de leur campement.
J'arrêtai Salve un peu avant le campement d'où l'on pouvait entendre des rires. J'entendis distinctement l'un d'eux féliciter l'autre pour le meurtre d'une jeune femme lors de la journée, bien assez pour effacer mes doutes.
Je descendis de Salve et dégaina ma dague en pointe de son fourreau.
Je me rapprochai donc du campement et lorsque j'apparut finalement aux regards des bandits et qu'ils réagirent en sortant leurs épées alors qu'un d'eux tombait à la renverse, je lançai:

-Une épée s'est fait pour frapper et non pour être chauffer par un pauvre ivrogne, déclarais-je avant de lancer ma dague sur l'homme en question ayant au préalable user de mon pouvoir de perception pour trouver le meilleur point d'impact possible.

Je dégainai par la suite ma hache de guerre et j'étais sur le point de m'élancer lorsqu'un cris perça la nuit tombante en me stoppant net tout comme les voleurs qui me fonçait dessus.

Le jour perdait son éclat d'heurs en heurs, le soleil étincelant perdait sa force au fur et mesure pour laisser place a une lune clair et brillante. La marche de Marcus était toujours maintenu et sa rage était omniprésente. Une rumeurs sur d'anciens voleurs qui avait participé a l'attaque 5 ans plutôt sur Dalma et qui s'en était sortie vivant, avait été repérer plus loin du village, dans les gorges de Paramis. Posant genou au sol, Marcus reposa ses jambe de la longue journée de marche qu'il venait de faire, il agrippa doucement Earlyx par le cou et il lui chuchota a l'oreille.

Aller ma belle, utilise tes yeux perçant l'obscurité pour exploré plus loin durant mon repos.

La panthère noir donna un léger coup de museau au menton de Marcus et d'un mouvement fluide, elle se dégagea pour disparaître dans l'ombre de la nuit. Le forgeron en profita pour sortir de petit biscuit acheté plutôt avant de partir et sa gourde pour se restauré.

Brave bête. Entre deux gorgées.

Marcus se rappela le jour ou il avait découvert la bête ,coincé dans un piège et condamné a souffrir sous les yeux de l'homme qui avait osé posé ce piège aussi atroce. La mort planait au dessus de lui et il tenta une dernière action et un voile d'ombre avait envie Marcus le laissant dans l’inconscience jusqu’à il se réveille et découvra la bête perché au dessus de lui. Une amitié forte était née entre le fauve au pelage noir et le soldat au gouffre de la mort.

Marcus se releva et il repris la route, ses yeux gris argenté arpentait le sol obscurci a la recherche de trace qui le permettrait de retrouvé les bandits qui n'avait pas eux justice 5 ans plutôt.

Le vent c'était lever en même temps que la lune qui brillait de mille feux avec l'absence de nuage, Le guerrier forgeron replaça sa toge rouge sur ses épaule et il rejeta un regard au sol et un sourire apparu sur le coin de sa bouche.

Je vous tien, sale rats !

La détermination de Marcus remonta en flèche a la découvert des traces de chevaux sur la terre. Son marteau en main, il avança d'un pas décider et une flamme brûla dans ses pupille brillante dans l'obscurité , fessant croire a n'importe qu'elle voyageurs que Marcus n'tait pas de ce monde.

Le forgeron avait oublier son épée dans l’excitation de la nouvelle et il n'avait que sur lui son marteau et sa ceinture avec ses lame cacher.

Marcus ce déplaçais de plus en plus silencieusement et il eux une sueur froide quand sa panthère lui poussa le bras avec son museau pour annoncé son retour. Le jeune Archéon se plaça a même hauteur que le fauve et il lui passa une main sur la tête en lui demandant.

Alors ma belle , ou sont la vermine a exterminer ?

La panthère fixait la direction pour Marcus, et justement, le forgeron compris en apercevant le feux qui brillait dans la défiler de pierre que ce dressait devant lui. D'un claquement de doigts, la panthère suivie Marcus camouflé dans l'obscurité. Le forgeron passa au dessus des rochers qui bloquait son chemin vers ses ennemis et il faillis tombé dans une rivière qui se dressait devant lui.


Sa lourde main se posa sur un arbre, a quelque mètre du campement bandits, il observait chaque fait et geste des hommes ivres. Mais son regard se posa sur un homme coucher dans un arbre, l’arbalète a la main. Tenant fermement son marteau, la rage de Marcus augmenta et sa respiration augmenta sérieusement avec les paroles du meurtre du jeune femme, les veines du cou de Marcus gonfla et ses jointure blanchissait en serrant son arme, mais a voir l'homme brûlé la pointe de sa lame ne fessait que empiré la fureur du forgeron qui savait bien que cela ne fessait que brisé l'arme.

Le jeune Archéon fut sortie de sa tentation de massacré le camps a main nue avec les paroles d'un invité surprise.

Une épée s'est fait pour frapper et non pour être chauffer par un pauvre ivrogne


Marcus réagit tout de suite et il envoya d'un geste sa panthère neutralisé l’arbalétrier sur l'arbre qui venait tout juste de se ressaisir et de prendre son arme.

Les regard des 5 bandits était tourné sur l'invité surpris et Marcus en profita pour se propulsé avec l'arbre qu'il se tenait et il lança son marteau en hurlant de guerre pour augmenté la puissance de son lancé.


Pour la gloire !

Le marteau siffla et les hommes ivres ne vue que leur camarade s'écroulé dans une explosion de sang et d'un bruit répugnant.

Deux des 4 autres fonçait sur L'inconnu et les deux autres sur Marcus. Le première porta un coup basique a la hanche , que Marcus esquiva facilement du a leur état, il attrapa le bras du premier brigand mais il senti quelque chose de froid glissé sur son bras, et du revers de la main il envoya s'écroulé le bandit au sol. Prenant sa main il brisa le poignet du premier et il l’assomma d'un solide direct sur le nez qui fit entendre un craquement.

Marcus se retourna pour voir ou en était l'inconnu et il entendit qu'un bruit de faucon.

Spoiler:

[HRP Désoler pour le changement de ma façon d'écrire Marcus, j'ai découvert que j'avais plus d'inspiration lorsque j'écrit à la troisième personne. fin HRP]

Les gorges de Paramis regorgeaient de surprises, ce n'était pas nouveau. Elles étaient reconnue pour ses catalyseurs incessibles et pour ses paysages à couper le souffle. Agnar appréciait grandement ses derniers car le paysage qu'il voyait le plus la plus part du temps était une plaine de glace. Même s'il faisait relativement froid en cette période de l'année, les Gorges étaient tout de même plus accueillantes que Cimmeria et son climat rigoureux. Comme il le disait souvent, les gorges de Paramis lui avait toujours fait de belles surprise, l'une d'elle avait été avant la rencontre avec sa femme alors que le Yorkas était dans l'une de ses innombrables pérégrinations, il était tombé sur de voluptueuses femmes qui prenaient leur bain dans un étang sous une cascade. Le reste, et bien, votre imagination vous le dira.

Mais la surprise actuelle du chevalier n'avait rien a voir avec ce précédant fort agréable, un fou furieux qui sortait de nul part en pulvérisant un de vos adversaires, ça ne l'était pas moins, mais s'était fort bienvenue. Un peu d'aide ne fait jamais de tort a qui que se soit.

Agnar s'occupa donc des deux bandits qui fonçait sur lui. Le premier tâta de sa hache de guerre et fut pratiquement décapiter après que celle-ci eu détruite l'épée qui tentait de bloquer le meurtrier. Le second trouva étonnamment une faille dans la défense d'Agnar mais avant que celui-ci n'ait eu le temps de faire quoi que se soit pour exploiter cette faille, Lame se jeta sur lui en déchiquetant son visage d'ivrogne. L'homme hurla et lâcha son épée en tentant de repousser le volatile tandis que le Yorkas jetait son arme et son armure au sol pour se transformé en ce terrible loup qui lui donnait le surnom de Loup des lames.

Le surnom pouvait parfois paraître sans rapport, mais le Yorkas le portait parfaitement a merveille avec sa transformation, car sa fourrure blanche comme le givre se terminais par des pointes de gris sur chaque poil, faisant la fierté d'Agnar. Chaque poil ressemblait à une lame et c'est de là que venait le surnom.

Mais le Loup des lames avait bien beau être majestueux, aux yeux de l'ivrogne qui se battait pour sa vie, les crocs qui se refermaient sur sa gorge étaient plus que terrifiant. Un bruit sec et satisfaisant informa le Yorkas que l'homme était mort sous la pression de sa puissante mâchoire. Le loup pensa retourné à sa forme humaine mais ce retint lorsqu'il vit le Terran qui terminait de tuer le premier de ses assaignant et commençait à jouer avec le deuxième. Le conseiller pris l'un des conseille de ses ancêtres Yorkas à la lettre et s'éloigna furtivement de part où il était venu pour rejoindre Salve qui était habituer à sa forme canine. Qui voulait apparaître nu devant quelqu'un pour la première rencontre? Bien qu'il ne soit pas pudique, loin de là, la première impression était toujours la plus importante. Lame s'occuperait de cela à ça place le temps qu'il se change. Justement, Lame lui rapporta que le combat venait de finir et le mystérieux guerrier ce retournait pour voir où se trouvait
l'inconnu qu'il était a ses yeux.

-Apparaît lui, Lame, demanda-t-il à l'oiseau de façon télépathique. Dit lui que j'arriverai bientôt.

Le conseiller entendit plus qu'il ne vit le début de l'échange entre l'oiseau et l'inconnu qui trônait au centre de l'ancien campement des bandits, alors que lui-même s'habillait après avoir repris forme humaine totalement nu. Lame atterri sur une branche bien en venu du guerrier.

-Bien le bonsoir, sire, commença le volatile avec une révérence ironique. Mon "maître" arrivera sous peu, car celui-ci a du s'éloigner quelque peu pour pouvoir se présenter à vous sans être dans le plus simple appareil.

Lame ricana lorsqu'il entendit le juron qu'Agnar lâcha en entendant cela. Il avait bien beau dire, mais ce fichu oiseau se fichait carrément de lui. Il devrait lui en toucher un mots plus tard. Le Yorkas finalisa sa tenu et se rapprocha finalement de la clairière, habillé de sa chemise de toile et de son tablier de cuir.

-Monsieur, je vous présente Agnar Dorkinsin, forgeron de son état, annonça Lame ironique avant d'ajouter, Et habillé qui plus est!

-Oh! mais tu vas arrêter un peu à la fin? demanda le conseiller irriter au volatile en lui lançant un regard noir, avant de se retourner vers la surprise de la soiré avec un sourire paternel. Alors jeune homme, on peut dire que vous êtes tomber rudement à-pic. Je gérais parfaitement la situation mais on est jamais trop prudent, n'est-ce pas?

Il s'agenouilla près du corps où se trouvait sa dague et la retira dans un bruit de succion toute a fait répugnant. Il l'essuya sur la chemise du mort puis la rangea dans sa ceinture avant de regarder l'homme qui lui faisait face.

Marcus sentait le sang couler sur son bras gauche, le coup que le second ivrogne lui avait donné alors qu'il tenait le premier entre ses larges mains. Le feux de camps éclairait les lieux et des corps garnissait le sol, certains morts,d'autres ,inconscient. Mais la soif de vengeance de Marcus n'était pas encore apaisés , qu'il cherchais des yeux d’autres bandits encore vivant. Mais il porta son regard sur le faucon qui lui adressait la parole.

Son maître serais la bientôt et Marcus s'en foutait.Tout ce qu'il voulait, c'était de faire payer au bandits qui avaient échappé a la justice.

Il pris une de ses deux lame et il agrippa le premier bandit avec le nez brisé et il lui trancha net la gorge.
Le second ,c'était remis du coup de poing de Marcus et il reculait sur le dos en suppliant Marcus de le laisser vivre mais Marcus lui répondit rapidement.

Les villageois de Dalma , tu ne les a pas laisser vivre quand tu a passer avec tes petits copains !

Le forgeron pris le bandit pas le cou et il le souleva de terre avec Facilité et il lui chuchota a l'oreil.

Va rejoindre la femme que tu a tuer et tout ceux que tu a envoyer dans le gouffre des ténèbres !

Et d'un bruits sec, un craquement ce fit entendre. Le bandit était mort, le cou brisé par la poigne de Marcus.

Rangeant son arme et en retournant prendre son Marteau, Marcus aperçu un homme approché , un homme large et un regard bleu qui le fixait. Sa hache qui pendait de sa ceinture et ses deux couteaux lui laissait croire qu'il n'était pas un simple marchand et par les paroles de la lame dans feux lui laissait un doute sur sa profession.


Alors jeune homme, on peut dire que vous êtes tomber rudement à-pic. Je gérais parfaitement la situation mais on est jamais trop prudent, n'est-ce pas?


Marcus releva la tête et il gloussa et il répliqua avec argne.

La situation en main ? vous auriez même pas eux le temps de donner un coup de votre hache que un carreau vous aurait fendu le crane. Ce combat est le mien et il doive payer par le sang leur actes.

Il vit sa panthère revenir et il s'apprettait a quitté les lieux pour continuer dans le chemin Des gorges de Paramis.
Il tourna la tête pour adresser une dernière parole.
Mon passage vous a sauvé la vie ,vielle homme.

Il continua de marché dans l'obscurité.

La nuit était définitivement tombé sur les gorges et la clairière où les bandits avaient élus domicile semblait de plus en plus morbide. Le sang avait coulé à flot et la terre se mélangeait avec celle-ci pour créer une boue sanglante. Le forgeron remarqua que le sol était glaiseux et donc presque infertile en filons de fer. Le feu n'était pas assez intense pour faire fondre quoi que ce soit, mais pour faire cuire un bon repas avec une bière à la main... L'endroit en valait un autre.

Le Yorkas se pencha pour se faire un espace puis s'assit sur le sol. Les flammes montèrent dans le feu, comme pour le saluer et il s'inclina de façon imperceptible devant elles. Elles qui lui permettaient de vivre sa passion, la forge.

-Mon jeune ami, déclara Agnar sans se retourner en contemplant les flammes, il est tard, la nuit n'est pas un temps pour voyager. Restez donc ici avec moi. J'ai une bon morceaux de boeuf et du fromage dans mes sacoches de selles. Peut-être voudriez-vous les partager avec un vieux Yorkas?

Le chevalier se pencha vers sa hache de guerre pour la ramener vers lui et pris par la même occasion son armure de remplacement. Celle-ci était de sa main bien sûre. Qu'est-ce qui méritais d'être porté autrement qu'une de ses créations? Le forgeron était fier de son travail du fer et cette armure ne faisait pas exception à la règle quant à la réputation des talents d'Agnar. De l'orgueil, diront certain; de la fierté diront les autres. Peut-être un peu des deux, mais rares étaient ceux qui étaient sorti d'une insulte face à son travail du métal, sans une ou deux blessures.

"Lame, penses-tu qu'il pourrait-être dangereux? demanda Agnar à l'oiseau, Je n'ai pas eu le temps de voir grand choses de ses capacités durant le combat contre ses bandits ivrognes."

Le volatile vint se posez sur son épaule avant de répondre.

"Il semble très habile, déclara Lame avec sérieux pour une fois, son épée n'as pas été forger par un forgeron quelconque. Beaucoup de talents dans l'armure et il semble avoir une carrure assez imposante. Un peu comme la tienne, mais plus jeune, mon vieux!"

Le Yorkas lança un regard noir à son familier. Il mourrait d'envi d'étriper son sarcastique ami, mais il se retint de justesse de commettre cette bassesse. Il le connaissait beaucoup trop, voilà tout!

"Est-ce que je devrait ma compréhension du loup à ton avis? demanda le Yorkas."

"Non, déclara le volatile, il me semble difficile à cerner et la douleur se lit dans ses yeux. Parler sera assez."

Sa hache sur ses genoux, il lança rapidement une rapide perception et y découvrit une faiblesse sur la pointe gauche, là où la lame avait toucher l'épée de l'ivrogne et qui avait fendu cette dernière, le tranchant semblait un peu émoussé aussi. Il sortit sa pierre à aiguisé et son cuir de la poche de son tablier de forge et commença à aiguisé la lame émoussée.

-Votre lame n'est pas celle d'un forgeron ordinaire, ajouta le Yorkas avec un sourire énigmatique et un regard vers l'inconnu. Du talent, beaucoup de talent et du temps, énormément de temps. J'ai rarement vu un forgeron ordinaire mettre autant de temps sur une lame quelqu'il soit. Vous devez avoir une raison particulière d'avoir fait forgé cette lame, mon jeune ami. Une femme qui vous aurait été enlevé peut-être? Ou un manque à remplir?

Agnar était un peu bourru et il le savait. Ces allusions étaient dans la nature profonde du Yorkas et il n'avait pu s'empêcher de les lâcher. À Tyrhénium, dans les bâtiments de l'Ordre, la blague aurait fait fureur et les rires auraient fusée de toute part. Là il n'avait fait que se mettre dans une situation embarrassante...

Le sang qui pompais dans tout le corps de Marcus s'abaissai doucement et l'envi de vengeance des bandits était désormais passé. Il aurait bien aimer se trouvé dans sa forge ,seul avec son marteau et un bon bout de métal ardent. Le voyage avait été épuisant et Marcus commença a se demander a quel endroit il pourrait monté son campement pour se reposé et il en avait complètement oublier le vieux qui était assis devant le feu avec son animal a plumes.

Son regard se porta sur le vieux guerrier a la hache au moment ou celui-ci proposa a Marcus de rester avec lui et de manger du boeuf et du fromage. Ne disant pas un mot, laissant son estomac parler pour lui, il alla s'asseoir devant le feu , en face du vieux. Il admira son armure et son arme posé sur ses genoux de meilleur vue. Voyant qu'elle était de fabrication personnelle . Le jeune forgeron fit signe a sa panthère de resté tranquille et de ne pas sauté sur l'animale a plume et ainsi évité un affrontement plutôt sanglant entre les deux forgerons.

La mention de son arme releva la curiosité de Marcus concernant la rapidité de déduction de Agnar. Prenant une simple fourchette de métal dans une casserole cabossé d'un bandit. Il la plaça devant le feu et d'une parole bien net il lui dit: Admiré et étudier.

Il eu finis sa sa phrase et il transforma la fourchette en une clé bien normale et 3 seconde après il la transforma en une boule de métal jusqu’à il l fit fondre en métal liquide dans le feu.

Le temps que j'ai mis dans cette armes , y enferme une partie de ma vie, une partie qui y restera a jamais enfermer.

Levant la main au dessus du feu , Marcus ferma le poing avant de le ré-ouvrir et il examina la lame de la hache pour y voir si la lame portait une trace de mauvaise manœuvre.

Voyer vous même votre arme.

Marcus se laissa perdre dans ses pensée mais les paroles de Agnar allait bientôt faire renaître la colère de Marcus.



Vous devez avoir une raison particulière d'avoir fait forgé cette lame, mon jeune ami. Une femme qui vous aurait été enlevé peut-être? Ou un manque à remplir?

Au parole de femme , Marcus serra le poing et il fixa au travers de son casque Agnar tout en rapprochant sa tête du feux en parlant du voix grave a en glacer le sang.

Surveiller vos paroles concernant ma vie que vous ne connaissez point vieillard, si vous ne voulez pas finir avec votre hache solidement planté dans votre crane.