Tous les chemins mènent à...quelque part. En gros.

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 Tous les chemins mènent à...quelque part. En gros.

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Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Tous les chemins mènent à...quelque part. En gros.   Tous les chemins mènent à...quelque part. En gros. Icon_minitimeMar 17 Juin - 18:19

" Le monde a changé. Je le vois dans l’eau. Je le ressens dans la terre. Je le sens dans l’air. Beaucoup de ce qui existait jadis est perdu, car aucun de ceux qui vivent aujourd’hui ne s’en souvient..." Le reste des paroles du prêcheur furent englouties dans le brouhaha de la vie qui remplissait les ruelles de Cimmerium, cité dans les nuages aux murailles quasi infranchissables pour qui n'est pas illuminé de l'intérieur par une espèce de boulette de matière insondable aussi raciste que bornée. Enfin bref. Mettez donc ça sur le coup de l'irritation.

Mais le pire?

Cet illuminé (Ahah) n'a peut-être pas tant tort que ça. Car il se passe des choses étranges. Des choses que même un psychopathe égocentrique d'avantage tourné vers le sang et le meurtre ne peut ignorer. C'est ce qu'on appelle habituellement l'ironie du sort. C'est ce que Glanael appelle se faire démonter les valseuses parce que personne ne veut se bouger pour faire le sale boulot. Ou encore bouge ton cul ou tu pourras plus trouer celui des autres. Enfin bref, la liste de qualificatifs est longue. Très longue. Car le Ladrini vient de passer deux jours à cheval pour rallier Hespéria et Cimmérium. Et deux jours à dos de cheval, c'est long. Très long. Et chantonner ça va bien deux minutes.

Bon bien évidemment, les distractions ne manquèrent pas. Couper les pâquerettes à grands coups de sabre, chasser ici et là les papillons et autres insectes à portée, tuer ici et là le malheureux oiseau se risquant à voler trop près. Sans compter, bien évidemment, l’habituel feu de camp, ses moustiques, ses bêtes sauvages et autres dangers stupides. En somme, tout pour ralentir le train et traîner les pieds. Car malgré toute sa bonne volonté, s’il y avait une chose que Glanael ne voulait PAS faire, c’était enquêter sur la merde qui menaçait de leur tomber sur le coin de la gueule à tout moment. Non, franchement, il avait mieux à faire ! Des gens à tuer, des chats à disséquer, peu importe, mais pas ça. Tout sauf ça en fait.

Mais…Il le fallait bien. Car quelque chose ne tournait pas rond. Définitivement pas rond. L’épidémie, le myste… Tout ceci n’indiquait vraiment rien de bon. Et la mort du maire euh…Drake ? Quelque chose comme ça, n’avait fait qu’insister un peu plus sur le bordel de la situation. Et pour qu’un ‘insouciant’ de la trempe de Glanael le remarque…Et bien, voilà qui promettait d’envoyer du lourd.

Bref, en gros, la merde internationale. Et qui essayait d’en apprendre plus ? Eh ben c’était bibi. Même ces stupides Eclaris avaient pas l’air conscients du danger à en juger par la tête d’abruti (et le regard lubrique) que lui avait jeté le Sindarin qui l’avait accompagné dans la Bibliothèque des Lumières. Oui, Glanael et une bibliothèque. Difficile à imaginer et assez douloureux, donc évitons donc d’en parler. Non vraiment, rester assis toutes ces heures pour lire des conneries plus farfelues et obscures les unes que les autres à cause d’une simple suspicion est en fait terrible. Vraiment, terrible. Et rester assis deux jours d’affilée sur le dos d’un cheval n’aide rien. Sachant qu’en plus il allait devoir endosser l’identité d’un autre afin d’entrer dans Cimmérium. Parce que, bien évidemment, rien ne pouvait être simple.

Et c’est sachant donc que rien n’était jamais simple que Glanael avançait donc désormais dans la ville nuage, considérant les ruelles avec intérêt. La dernière chose qu’il voulait était d’avoir l’air pas à sa place. Il devait s’assurer de rester naturel. Il avait eu de la chance de tomber sur ce Sylphide un peu plus tôt. Un peu de sang dans une gourde à sa ceinture et hop ! Un cadavre dissimulé, un cheval attaché dans un coin et de nouveaux vêtements sur le dos et Glanael faisait son chemin dans la cité. Avec armes et familier, bien évidemment. Quoi que le Ladrini eut à déplorer la perte momentanée de son gant de griffes qui n’allait décidemment pas avec la panoplie du parfait Sylphide qu’il avait endossée et qui avait donc finit dans un sac contenant son matériel habituel ainsi que ses vêtements. Ce qui pourrait toujours être utile. Peut-être. Il avait au moins pu garder son épée et son pinceau à portée de main. . Ne restait qu’à espérer qu’il n’aurait pas à utiliser ses pouvoirs sinon sa couverture était aussi morte que le Sylphide auquel il l’avait piquée. Au moins il avait l’avantage da savoir se fondre dans le décor. Et de savoir où il allait. C’est-à-dire chercher des réponses chez le grand maître en personne, Kenian. Ben oui, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?

S’approchant discrètement de la résidence du Sylphide en question (il avait vraiment intérêt à être grand, ça n’allait pas se passer comme ça sinon !) Glanael allait essayer de jeter un œil aux défenses des fenêtres (plus discrètes que d’essayer la porte principale) quand un mouvement sur la droite le fit stopper dans les ombres qui le dissimulaient. Il n’était pas seul. Du moins pas seul à vouloir rentrer. Était-ce…Oui, c’était bien une porte dérobée. Ah, malin le gaillard. Et il avait l’air de savoir ce qu’il faisait en plus. Dissimulé comme il l’était, Glanael envisagea ses options. Il pouvait ignorer le type et toujours tenter sa chance avec les fenêtres. Ou bien tuer le type et se servir de la porte. Ou bien tuer le type, récupérer son sang et prendre sa place.

Ah moins qu’un événement inattendu lui force la main et ne le force à improviser d’avantage.
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