Gorgor Drôk [En cours...]

NOM: Grogor
PRÉNOM: Drôk

SURNOM: Le coléreux

SEXE: Masculin
AGE: 34 ans
PEUPLE: Zélos

CASTE:
Les cavaliers de Sharna

MÉTIER:
Rien de bien précis, sinon soldat. Son rôle de général est limité, car les seuls ordres qu’il connait et “suivez-moi !” et “chargez !”. Grâce à la réputation du Zélos en tant que monstre infâme, Démégor l’utilise comme une arme puissante pour détruire brutalement et spectaculairement ce qui se mette sur son chemin. C’est un moyen efficace d’accroître son influence par la peur.

ARMES PRINCIPALES:
Drôk n’a pas d’armes principales, a proprement parlé. Il entasse chez lui des armes qu’il a trouvés ça et là, choississant l’une d’elle pour le combat au dépit de son humeur et de ses envies. Il a des lances solides, des haches aux larges lames, des épées gigantesques…parfois il n’en prend aucune, et improvise lors de l’évènement. Il préfère balancer ses ennemis dans les rangs adverses et écraser le bouclier de quelqu’un à main nue, c’est plus marrant.

AUTRES POSSESSIONS:
Rien de spécial, sauf un détail important : ses gants. Drôk à de solides gants de fer à pointes, il a pensés à en prendre quand il remarqua que frapper trop souvent sur les boucliers endolorissait ses doigts. Considérant ses énormes mains, on a du lui en forger, cette fois ci. Il en a plusieurs paires du même modèle, ceux-ci s’use très vite.

DON:
–Force physique surdéveloppé : Drôk n’a aucun mal a soulever d’une main un pauvre Terrans et le balancer à 20 mètres. S’ajoute à cela son imposante couche de graisse. C’est très pratique pour supporter le froid, contenir des attaques au ventre sans trop sentir et écraser ses adversaires. Naturellement, son agilité et sa rapidité en a prit un coup.

POUVOIRS:

SPÉCIALITÉS:
- Force mentale (capacités à résister aux tortures psychologiques) : Eh oui, car le Zélos en a aussi, dans son crâne. Comment ça se fait ? Peut-être est-ce dut à sa courte/longue période dans les prisons des déments, forgeant ainsi son caractère psychologiques.
- Combattant d’exception (capacité à se battre à main nue sans aucune difficulté) : Mais rappelons le, c’est surtout la force brute du Zélos qi en fait un combattant or pair. Ses techniques de combat, s’il en a, sont certes rustres, il n’est pas spécialement rapide, mais il suffit d’une de ses attaques pour mettre K.O un robuste Yorkas.


PHYSIQUE:

Monstrueux est le premiers termes que l'on peut prononcer en la présence du Zélos. En effet, plus de deux mètres trente, pour un poids non mesurable, assurément Drôk n'est pas vraiment fait pour passer inapercu. Cet un être corpulent, duquel la graisse et les muscles se lient harmonieusement entre eux pour former une couche de chair épaisse et colossale. Sa peau est verte pâle et crasseuse, mais notons qu'il subsistent des taches rougeâtre sur différents endroit de sa personne, sûrement le sang de ses victimes, traverser par de multitudes veines bleues est complété par quelques cicatrices, selon lui sans importances. Ses muscles et sa graisses dessinant des formes arrondis et solides sur presque tout l'ensemble de son corps, des mains de la taille de deux nourrisson entier, aux doigts rêches et aux ongles noirs et longs, dont la description s'ajoute pour ses pieds, le Gorgor à de quoi rapetisser un Terrans, assis à coté de lui. Ses yeux sont d'un noir profond tel l'abysse, encadré par d'épais sourcils qui devance ses globes oculaires, cachant son regard d'un ombre opaque quand le soleil est à son zénith, son nez, plutôt petit proportionnellement à son visage, et dont la pointe et plus rehausser, montrant très grand ses orifices nasales, tel ceux d'un cochon, on peut dire que son nez complète avec perfection l'harmonie monstrueuse du personnage. Les grosses joues de son visages carré sont couverts de rides creusées grossièrement dans sa peau qui d'ailleurs présentes des aspects pâteux et répugnants, et séparés de sa bouches par deux lignes symétriques au centre de son visage. Ses lèvres sont noires , épaisses, dont celle inférieur est devancés par sept de ses proéminentes dents, pointus, sales, jaunâtres, durs et extrêmement longues. Son menton est mis en avant et arrondis, ses oreilles sont très longues, étrangement, pour un Zélos, pointues avec sur chacune un anneau accroché, et il possède de long cheveux bruns, dressés en arrière et attachés par deux nattes qui eux reviennent touché son torse, lui donnant un tout petit air efféminé, mais vraiment très petit...Cet aspect général, additionner à son expression facial qui est, par défaut, représentatif de quelqu'un toujours frustré, s'accorde à renforcer le dégout qu'on peut avoir à son égard. Côté vestimentaire...que dire ? Et bien d'abord, qu'il en a très peu sur lui, tout d'abord ses deux gants, évoqués plus haut, son casque bien naturellement, fait d'un fer robuste et forger plutôt simplement, avec seulement de quoi lui couvrir le crâne, contournant ses oreilles pour ne pas gêner son ouïe, et s'arrêtant au bas de la nuque. Deux cornes, représentant ceux d'un taureau sont soudés au dessus, l'air plus brutale que jamais. On ne retrouve pas d'autre vêtements, hormis sa cotte de maille et ses bottes de fer lorsqu'il part au combat, sur tout le haut de son corps, avec cependant deux anneaux, similaires à ceux attaché à ses oreilles, agrippant chacun d'eux ses deux tétons. Le Zélos porte de grossiers haillons, sales et noirâtres, comme pantalon.

PERSONNALITÉ:

Drôk possède un caractère qui va de pair avec son physique, tel un ogre dans un conte d'enfant. Quand on l'observe, on perçoit toujours ses respirations saccadés et ses grincements de dents, comme si il était tout le temps coléreux. La réalité n'est pas très éloigné du mythe...un rien énerve le Zélos. Il crie par habitude, aussi, son esprit c'est il fixé de se préparé à hurlé de colère, et ainsi déformer son expression et sa respiration. La colère et l'un des seul sentiment que Drôk exprime correctement. Une fois sa colère évoqué, il se met à se vengé de ce qui l'a irrité, très brutalement. Ce peut être autant des objets que des personnes, et ainsi peut il projeter en l'air dans un rugissement une choppe qui s'est renversé ou bien une personne qui lui marche sur le pied. Cependant, il tue rarement, lors de ces évènements, ou alors si il est vraiment en colère. Drôk n'est pas quelqu'un de froid pour autant, il lui arrive d'éclater de gros rire gras et de prendre pour ami n'importe qui qui ne l'importune pas. C'est, dans un sens un bon vivant, qui aime la bonne bière et la bonne viande. Sur ce sujet, notons que Drôk est...cannibale. Ce goût culinaire est inscrit dans la mémoire des cavaliers de Sharna, et il compare souvent Drôk a un animal, lorsqu'il lui arrive de manger ses prisonniers. On le dit vicieux pour cela, car, il est vrais, Drôk attache ses victimes sur une table, alors qu'ils sont encore en vie, et se met à mordre à pleine dents dans sa chair. Il fait ça quand ils sont toujours en vie, car il a remarqué que le goût est meilleur lors de cet état, et leur cris de douleur lui ouvre encore plus d'appétits. Sa sympathie envers les autres cavaliers est très différentes. Bien sûr, il voue à Démégor l'Impérial un respect profond, allant au fanatisme, et agissant du mieux qu'il le peut au moindre de ses ordres. Ceci est due a qu'il se plait en tant que cavalier de Sharna, et que c'est Démégor qui la intégré en son sein. Quand à Sharna lui même, il le considère comme un père mystérieux. Il se reconnait lui même en Sharna, tant leurs histoires à des traits communs. Il croit en lui et à son silence par la souffrance qu'il épprouve,c'est-à-dire que pour lui, si le Dieux de la Guerre ne se manifeste pas, c'est dut à la souffrance du rejet que les autres Dieux lui accorde, et pour cela, il hait tout les autres ordres religieux qui ne prête pas respect à Sharna, et tiens à l'honorer par le sang et les armes.Pour les autres membres des cavaliers, Drôk à moins de respect que cela...il n'aime pas Wode, car selon lui, ce n'est qu'un sale prétentieux qui compte tromper Démégor en lui léchant les bottes, bien qu'il refuse de lui faire le moindre mal, par respect pour l'Impérial, il lui arrive de lui hurlait de colère au visage quand il reçoit un ordre de sa part, ou même d'esquisser une frappe, mais renonce toujours derrière le regard obséquieux du Tourmenteur. Sirion n'est pour lui qu'une tapette, plus fort à remplir son bain de mousse qu'a écrasé la tête de ses victimes, et quand à Kern, c'est avec lui qu'il prend le plus de plaisir à combattre à ses cotés lors de batailles, tellement il admire sa férocité. Malheureusement, il ne sent pas que ce sentiment est partagé.

HISTOIRE:

Ridolbar. Une cité noire ou seul le requiem de la souffrance et de la mort siffle dans l'air, ou les faibles meurent, tombent et agonisent dans leur coins tels de vieilles mouches, ou les rats sont maitres, ou les perdants trainent dans les rues, vautour cherchant de quoi se nourrir par quelques sous, ce tenait une bâtisse sombre, puante, au centre du "Territoire des Gorgor". On aurait dit, comme tous les autres bâtiments qui l’entouraient, que cette maison serait prête à tomber en ruines au moindre coup de vents, et pourtant ce tas de pierres à résister à de nombreux conflits entre chef se disputant la ville. Et à l'intérieur, des cris et hurlements de douleur surgissait. Dans une scène capable de faire vomir le plus insensible des Gorgoroths, Drôk était né, Drôk fils de Gaverich chef des Gorgor, celui qui rigole de ses ennemis et qui fait frémir n’importe qu’elle vermine de cette ville. Dès sa naissance, Drôk était un Zélos obèse, mais plutôt farouche. Il ne garde aujourd’hui que très peu de souvenir de sa mère : il se souvient du son mielleux de sa voix et de sa peau lisse et étrangement protectrice, mais ne se souvient ni de son visage, ni de son odeur, mais Drôk ne la pas beaucoup connu. Elle mourut rapidement à cause de la maltraitance que lui infligeait son aimé. Drôk eut une jeunesse très tourmenté, il était le cadet de 8 frères, 5 sœurs et à peu près 30 cousins, mais que dire de sa soi-disant famille sinon qu’elle peuple tout un quartier ? Un quartier assez reculé…peu de gens apprécie ce genre de Zélos. La laideur de leur peau, leur férocité, tout ce coté répugnant…qui pourrait aimer ? Et pourtant, les Gorgor ont les mêmes sentiments pour les autres citadins de Ridolbar. Enfin, Drôk grandi avec l’éducation de sa famille, par des leçons quotidiennes de torgnoles et de maraves, tous ses frères le cognait, et il répondait aussi, cependant, c ‘était pas vraiment méchant, on peut même dire qu’il existait dans cette famille une solidarité rare et importante. Il fallait apprendre à ce petit gars la dur loi de la ville, et si c’est grâce à des bleues que le jeune Zélos deviendrat fort, alors frappons le, et il deviendra invincible. Naturellement, tous ses frères et sœurs ont eut le même traitement, que se soit entre eux, de la part de leur père ou de leurs oncles…ou des autres.

Son quartier était toujours animé : on mangeait, on se battait, parfois on allait « chasser », c'est-à-dire chercher dans la ville quelques vagabonds ou malheureux qui se trouvait sur leur passage et qui terminait sur une table ou au fond d’un chaudron. Vus cette description, le Drôk de sa jeunesse aurait pus croire vivre heureux, sa famille semblait heureuse, ils semblaient rire et s’amuser tout le temps, même quand ils recevaient des coups. Cela devenait même inquiétant. Drôk grandis, et à 13 ans, il se sentait déjà bien dans sa peau. Il était grand, gros et forts, et vivait une vie plutôt stable : Il cognait et mangeait, gardant son territoire sans trop de problème car les Gorgor ne cherche pas, contrairement à pleins d’autres chefs, à étendre son territoire. Il avait déjà perdus 6 frères, 3 sœurs et 24 cousins, mais en avait retrouvé bien plus. Son Père était extrêmement crains, car quand il allait chasser, il lui arrivait de ramener quelques femelles et de les souiller de sa semence, et ainsi faire des nouveaux compagnons à Drôk, si ceux-ci survivait. Gaverich, son père, était d’une vitalité extraordinaire. Le gros Zélos se souvient de ses longues tresses qui dansait quand il combattait. C’était très impressionnant et donnait au personnage un coté encore plus effrayant…Gaverich était fier de son fils, il a certes aimé chacun de ses frères et sœurs, partageant leur douleurs par des hurlements de colères et les vengeant par une intensité parfois trente fois supérieur à la normale, car après tout c’est sa famille et personne n’a le droit d’y toucher, mais Drôk était sa plus belle réussite.
Puis il y eut cette fameuse nuit…
Drôk était partit chasser. Cette nuit là, les rues étaient déserte.I L passa près d’une auberge ; attention, c’est celle de Clodion, c’est un Terrans vicieux et cruel, qui a beaucoup d’influence dans cette partie de la ville. Caché a travers l’ombre d’un bâtiment, le Zélos étudia le deux gros vigiles qui se tenait entre la porte d’entré, ils étaient sales, à la mine sévère, et divisageant chacun des passants. Dès que quelqu’un voulait entrer dans leur taverne, les gros macaques le fouillait pour voir s’y il ne possédait aucune arme. Si oui, l’homme ne vivait plus que quelques secondes…

« Hééééé…g-gars…t’aurais p-pas une…’tite pièce par l-là… ? »

Drôk tourna sa tête avec lenteur. Il faisait très sombre, mais à l’haleine, Drôk sentait que ce n’était qu’un pauvre ivrogne stupide, qui avait demandé à la mauvaise personne. Drôk entendit sa proie s’arrêter, il le dévisageait et sa respiration s’arrêta un moment elle aussi. L’obèse grogna, il va encore falloir s’activer : sa proie l’a reconnu, et il va se mettre à courir d’un instant à l’autre. Aussitôt dit, le Zélos entendit le bruit du verre se briser sur le sol, l’ivrogne avait lâché sa bouteille, puis des bruits de pas étouffés, jusqu'à devenir plus pressés. Bien que son diner se fût mis à courir dans ses ruelles sombres, Drôk ne courut pas. Les crétins dans se genre sont si facile à attraper…ils sont bruyants, peu imaginatifs et laisse derrière eux une odeur forte d’alcool. Le chasseur se mit à sourire et se mit à marcher en posant bien le plat de son pied en entier, pour étendre sa force sur son ensemble. On dit souvent qu’il faut, pour être discret de marcher sur la pointe des pieds, c’est stupide car on concentre toute sa force sur un seul point, et ainsi écraser plus fortement le sol. Se souvenant dans la direction du son de sa victime, Drôk tourna à la deuxième ruelle à gauche. C’était tout aussi peu éclairé, et les bruits de pas avaient disparus. Ce dernier n’était pas aussi bête que ça finalement ! Mais malheureusement pour lui, sa respiration qui semblait hurler de peur par saccades trahissait sa position…par-là, juste à coté, accroupis derrière le tonneau…dire que s’y il avait courut il se serait enfuis ! Mais au bout d’un moment, ses proies préfèrent toujours se cacher. Drôk n’a jamais trop compris pourquoi…Ses yeux s’étant un peu amélioré aux ténèbres, le Zélos examina son diner. C’était un vieil homme, aux vêtements mal entretenu, à la chevelure ébouriffés, grisâtre et à la longue barbe de plusieurs jours. Il avait le nez rouge et respirait de plus en plus fort de la bouche, les yeux ronds comme des pastèques à la vue de Drôk qui le tenait en tenailles. La victime tentait d’agrippait avec férocité le sol, comme si cela pouvait l’aider, puis cria :

« Aidez-moi…Aidez-moi ! Le…le Gorgor ! LE GORGOR ! »

A ces mots, les volets du voisinage se fermèrent. Les habitants n’étaient pas stupides, il ne fallait jamais contraindre les chasseurs nocturnes de Ridolbar. L’obèse ria bruyamment un instant, puis agrippa les cheveux de son diner. Il était content, une chasse rapide et efficace, voilà ce qu’il fallait tous les jours ! Le vieil homme hurlait de douleur en sentant son cuir chevelu se tendre et se débattait gauchement en faisant danser ses bras et ses jambes paniqué sans grande conviction. Drôk retourna chez lui, heureux de ne pas avoir dut trop tardé et de recueillir une proie vivante, c’est meilleur pour la viande, même si du coup, il devait supporter tos ses cris d’agonie. Drôk remarqua que sa famille devenait comme une unité. On parlait d’un monstre, le Gorgor, qui rôde dans les rues pour saisir le premier malchanceux qu’il croisait. Bientôt, on pourrat en faire une histoire à raconter aux enfants pour pas qu’il trainent trop le soir ! Sauf qu’a Ridolbar, il y a peu d’enfants, la population se vieilli. Ainsi donc, "l'adolescent" continua sa route vers son foyer avec son gibier. Il tourna a gauche, tourna à droite, encore à droite, et atteri à une des rues qui amène directement à son chez lui. Il marchait tranquilement quand il lui semblait entendre des murmures, il stoppa net à cet entente. En tendant l'oreille, il preçut des frottements de vêtements, des respirations, des chuchotements mal dissimulés, mais ne parvint pas à situer cet attroupement de sons familiers...on marchait d'un pas furtif derrière lui, Drôk se retourna doucement...et vit un homme habillé de noir soulevé une hache en direction du Zélos. Ce dernier fit ce qu'il avait à faire, il était trop tard pour esquiver, il tira très fort sa proie qu'il tenait toujours par les cheveux entre son adversaire et lui, de sorte que la hache atteignit non pas Drôk, mais le malheureux ivrogne qui reçut le coup sur en pein dans son épaule gauche, touchant en partie son coeur. La victime hurla comme il le pouvait son dernier crie endeuilli, puis le Gorgor le poussa violement sur l'homme à la hache, qui tituba en grommelant des injures d'avoir raté son attaque. Drôk recula un peu pour mieu voir ce qu'il se passait : des hommes de Clodion semblait ètre posté en embuscade, prèt à attaquer le secteur des Gorgor ! Le Zélos se dépécha et cria du plus fort qu'il le put un grognement rauque, qui semblait plutôt ètre un appelle aux armes de ses frères. Ces ennemis n'étaient pas dupes, ils sortir de leur cachète, Drôk reconnu Clodion, avec ses cheveux roux et son nez cassé, celui ci avait sortit ses deux épée courte, les faisant tournoyer autour de lui d'une manière impressionnante, l'homme que Drôk avait poussé s'approcha de son chef :

"Clodion, il faut fuir, ils nous ont repéré !"

"Non Ferth ! J'ai attendu ce jour trop longtemps, et enfin, le moment que j'attendait, celui d'éliminer cette famille de bête infâme qui ose terroriser notre territoire apparait ! Eliminons celui là d'abord, il y a encore le temps avant que les autres arrive..."

Aussitôt dit un autre homme lança une chaine sur le gors Zélos, qui se protégea la tête avec son bras gauche. La chaine s'y enroula et Drôk l'agrippa avec la main puis tira très fort, mais son possesseur eut le bon raisonnement de lacher son arme. Clodio pesta : Drôk avait maintenant une arme qui suffisait à maintenir une distancce entre eux. Alors que ses ennemis avançait, le Zélos balança sa chaine de gauche à droite dans rugissement, et toucha un homme au niveau du cou, qui tituba après le choc avant de tomber. Les autres reculère d'un bond puis scrutèrent d'un oeil noir leur dangereux adversaire. Clodion, prit de rage, fonca sur le Gorgor suivit du certain Ferth, qui soulevait toujours sa grosse hache. Drôk lança son arme gauchement en direction de Clodion qui poussa négligement dans un ricanement cette attaque avec son épée gauche, et tandis son autre lame pour attaquer son ennemi maintenant presque neutralier. Ce dernier recula comme il put sans tomber pour éviter l'attaque mais il reçut tout de même un but de l'épée qui fit saigner le bas du ventre à l'épaule gauche. Après un gémissement de douleur, iltenta de frapper son attaquant qui esquiva sans trop de difficulté avec un sourire en s'éloignant, tandis que Ferth qui était de l'autre coté de Drôk, avait déjâ bien levé sa hache. Drôk se retourna vers lui, mais il était trop tard pour faire quoi que ce soit maintenant. Il fermit les yeux, sentant son heure approcher, mais entendit une autre hache siffler dans l'air pour atterir sur le crâne de Ferth.

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