Vitani R. Léon

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Effectifs

• Eryllis: 3
• Ladrinis: 9
• Eclaris: 5
• Prêtresses: 5
• Cavaliers de S.: 5
• Nérozias: 6
• Gélovigiens: 3
• Ascans: 0
• Marins de N.: 4
• Civils: 15

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- Walter cherche de Preux chevaliers.
_ Raël veut des clients.
_ Deirdre a besoin d'employé!

Les Rumeurs

_ Il parait que des personnes hauts-placées seraient gravement malades.
_ Il parait que ça se bécotte "au bal de la Rose".
_ Il parait que des créanciers en sont après un des conseillers de Ridolbar.

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 Vitani R. Léon

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Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Vitani R. Léon    Vitani R. Léon  Icon_minitimeVen 10 Mai - 19:01



QUELLE PERSONNE ES-TU ?
Toi qui voyage sur ces terres oubliées



Vitani Ravenna Léon
"  La première tisse le fil, c'est la naissance, la deuxième déroule et mesure le fil, ce sont les jours de la vie, la troisième coupe le fil, c'est la mort..."


SURNOM : Vita' ou plus communément appellée chez les Nérozias :
- La Dernière Aube
AGE:On ne connait pas toute son histoire puisqu'elle a perdu la mémoire mais on estime qu'elle est environ âgée de 450 ans.
SEXE: Féminin
PEUPLE: C'est une Sindarin
CASTE: Elle fait partit des Nérozias
METIER: Chef du département du commerce


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ARMES PRINCIPALES:

Spoiler:
"Nyx",qui signifie la nuit. C'est une épée, légère et tranchante, la lame est très fine mais extrêmement solide. C'est une épée asser longue qu'elle a fait forger. Elle l'adore et lui a donner le nom de Nyx,qui signifie la nuit en admirant le métal aussi sombre que la nuit et l'aura bleuté qui l'entoure lui faisait penser à la lueur des étoiles. 3 piques tranchants sont au bout de la lame.
Au départ elle n'avait que son arme " Chaos",mais celle-ci respirait trop le sang et la mort. Alors elle a fait forger Nyx mais garde quand même " Chaos" même si elle la juge "impur" et ténébreuse.  

Spoiler:
"Eurydiss", une magnifique épée courte,au manche, on peut apercevoir une magnifique rose en améthyste.
C'est une arme légère et plutôt facile à manipuler.


AUTRES POSSESSIONS:

Spoiler:

"Chaos",une épée courte qu'elle a retrouvé dans les ruines de son passé... Une arme qui appartenais à un de ces ancêtre qui était tombé du côté sombre de son pouvoir. Elle l'a garde néanmoins,car ayant oublier beaucoup de chose elle la garde en espérant connaître la vérité qui entoure cette arme qui semble être son dernier lien avec ses origines.


Spoiler:

Ce médaillon était au départ une broche qu'elle à fait transformer par un forgeron pour pouvoir y mettre une chaîne. Il renferme un catalyseur. Elle ne s'en sépare jamais. Il était dans la boite à musique... (voir histoire)

DON:
Sens développés
POUVOIRS:
- " Lumière"Un pouvoir étrange... mais déjà, précision : la lumière peut être brûlante et aveuglante. Donc,son pouvoir se résume à brûler par la chaleur de la lumière et également aveugler les autres.
- " Dit-moi ",ce pouvoir lui est très utile lorsqu'elle se retrouve face à un animal dangereux. Elle peut parler aux animaux, leur ordonner de faire quelque chose, lancer un appel à l'aide...
- " Malédiction des impurs",un pouvoir asser étrange... Elle ne sait pas trop comment l'utiliser entièrement mais elle sais qu'en versant 3 gouttes du sang de son ennemi (ou plus) et le mêler à 3 autres gouttes de son sang,elle lance une malédiction. L'adversaire souffre à chaque seconde,d'une souffrance insoutenable qu'il lui fait se tordre par terre mais il ne peut mourir. Pour annuler ce sortilège, elle doit reverser 3 gouttes de sang et faire une sorte d'incantation pour annuler ce sort. Le problème est que,ce pouvoir n'est pas éternel. La malédiction de dure qu'un petit temps qui peut aller de quelques secondes à 10 minutes. Ce pouvoir est très fatiguant. parfois,après l'utilisation du pouvoir elle perd connaissance. Si elle tombe dans les pommes alors qu'elle utilise encore son pouvoir,la malédiction se lève et elle ne peut l'utiliser pendant quelques jours. Autre problème,ce pouvoir puise sa force dans la bonté d'âme de Vitani. En l'utilisant de trop,elle devient mésquine et plus que dangereuse... La malédiction n'est pas qu'une malédiction pour les autres,mais aussi pour elle.
- "Métamorphose" Permet de se transformer physiquement en quelqu'un. Il suffit d'analyser son physique, et de se métamorphoser. La métamorphose est toute fois douloureuse et elle ne peut rester qu'environ 20 à 30 minutes sous sa nouvelle forme est attendre une demi-journée ou plus avant de réutiliser ce pouvoir.
SPECIALITES:
Ses spécialités sont :
► Don de chef ( capacité à diriger et prendre des décisions dans des situations critiques )
►Art de la guerre ( polyvalence dans le combat, capacité accrue dans le combat rapproché)
► Transe ( capacité permettant d'accroitre sa magie, de la renforcer )


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Décris-moi comment je te vois...


Il s'agit de faire la description physique de votre personnage. (8 lignes minimum)
La première fois que tu me verras,tu pourras voir une femme sous toute ces coutures...les jambes fines et longues,le ventre plat,des formes bien dessiné et marqué comme il faut,une silhouette de mannequin,un visage aux traits finement dessiné,la chevelure longue et d'un blond platine presque blanc dans la lumière du grand jour... Une allure de marquise, toujours habiller comme une de ces femmes qui travaillent avec toutes ces personnes de la haute-couture, avec la démarche assuré et souple de ce qui veulent être remarquer dès la première apparition,le regard hautain et droit,la silhouette élancé vers l'avant et les bras qui s'accordent avec les mouvements de ces jambes... Oui tu verras plus une femme de la mode plutôt que la Chef du Département du Commerce des Nérozias ! En effet, je cache bien moins jeu sous mes airs de sale garce !mais ce n'est qu'une apparence... lorsque tu me verras en tant que guerrière,tu rigoleras moins... le regard loin,sournois,cherchant ta moindre faille,ton moindre défaut. La femme qui se tiendra devant toi sera plus comme un serpent avec une posture de tigresse... La dame t'analysera,te liera comme un livre ouvert,puis au moment X, elle jaillira tel la vipère vers toi,l'arme devant, prête à t'arracher le coeur sans la moindre once de regret ou de peine. Bon ok, pas sans la moindre peine et regret je suis pas sanguinaire à ce point là !!! mais si tu me chauffe trop je deviendrais bien vite dangereuse...plus pour toi que pour moi.
Lorsque la femme décidera de te séduire, attention, car elle joue de sa beauté de Sindarin...avec sa peau immaculé,son teint d'une blancheur presque irréel...bien sur pas comme un fantôme ça non ! Mais le teint, rosé très pâlement,qui te ferras penser au fleurs du printemps,les fleurs des cerisier ou des prunus par exemple. Et puis, tu t’enivra de la démarche de cette femme si belle et attirante avec des atouts si tentant et sensuelle... Gare à toi, parce que dans l'histoire, tu es la souris, et je suis le chat(enfin..plutôt le Tigre non ?)... Oh ! et j'ai les yeux gris... de ce gris qui varie celons la luminosité, qui va d'un gris glacial et aussi froid que la neige au gris plus foncé et qui rappelle le gris des roches.      -


Décris-moi comment tu penses...

Il s'agit de faire la description mentale de votre personnage. (8 lignes minimum)
"Hmmm... En trois mots si j'devais décrire cette bourique se s'rait :
- Fêtarde
- Narcissique
- Et Passionné "
Petit marchand au marché noir

Mon mental ?? Bahh... je suis une jeune fille égoïste, une garce, je suis narcissique, je me crois au-dessus de tout- ce que je suis ( enfin.. je le suis quoi ! )...-,je suis une séductrice dans l'âme,j'aime passé des bonnes soirée en compagnie des hommes au bar avec l'odeur de l'alcool et du tabac,blaguer avec mes associé,faire la fête jusqu'à pas d'heure ! mais bon ça c'est mon côté que Vous percevez...
Mais sinon, je suis une femme passionné par son travail et qui passe plus de temps au bureau qu'à manger ! En effet mon rang chez les Nérozias me tient beaucoup à coeur, j’ai toujours aimer gérer l'économie,organiser des choses,innover... J'adore passer des heures avec le conseil pour trouver le meilleur endroit pour un marché noir, organiser des vols dans la voix maritime etc... j'aime organiser les choses à ma manière ! Et Que PERSONNE ne me dise que je fait les Choses de TRAVERS !
bref, sinon,un côté plus sombre que seule les plus grand sage peuvent entrevoir,c'est mon passé torturé... En effet, pour une raison inexpliqué je me suis réveiller au beau milieu d'un champs de bataille, je ne savais plus où j'étais, qui j'étais, rien du tout... mais je portais un collier avec deux inscription gravé dessus : Vitanie Léon. Et c'est tout... bon dans la foulée j'ai vue un jeune homme mort qui me rappelait obstinément quelque chose mais impossible pour moi de me rappeler quoi que se soit... Donc, je suis torturé par un passé que je ne connais pas,qu'est-ce que j’avais fait auparavant,d'où je venais,avais-je une famille  ? Enfin bref voilà quoi... J'ai eu une époque de grand trouble, une période très sombre... Jusqu'à ce jour où j'ai rencontré Ethéryos...bon je vous raconterai tout en détail après,c'est un magnifique Cerf Blanc... Il m'a transmis 2 pouvoirs, enfin... plutôt : j’ai développer deux pouvoirs avec lui. Puis il m'a apporté la connaissance, ce qui est juste ou non, et je ne sais pourquoi mais il rapportait tout à la "pureté" des choses... au départ je trouvais ça ennuyant, mais... finalement,je trouvais que ça avait un sens,et je suis devenue une jeune fille qui vivait jour pour jour, qui profitais de sa vie et qui faisait les choses justes. Jusqu'à ce que je rencontre des Nérozias. Et là,j'avais trouvé, comme une famille... et puis je ne l'ai est plus quitter. J'étais l'apprenti du Chef du Département du Commerce de l'époque. Jusqu'à ce qu'il meurt et qu'il me lègue sa place. Donc voilà ! Au premier abord je parais snobe et superficielle alors que je suis une femme intelligente qui gère une grande économie comerciale ! Et au plus profond de moi,je suis torturé et je cherche à découvrir mon passé,et en même temps à me "purifier" comme le dit Ethéryos.


Raconte-moi ce qu'a été ta vie...

Il s'agit d'écrire la biographie de votre personnage (15 lignes minimum)

Retour




" Je respirais. L'air emplit mes poumons,me les brûlant presque. Je criai, j'avais tellement mal...ça faisait tellement mal de respirer...J'essayai d'ouvrir les yeux,de faire un quelconque mouvement, rien. Comme si une énorme pierre me bloquais. J'avais mal partout, comme si mon corps entier était une grande échymose, enfin,le terme le plus approprié serrait plutôt,une grande plaie ouverte...je sentait un liquide chaud roulé le long de ma peau, j'ouvris enfin les yeux. J'étais allongé sur le dos,les bras ballant de chaque côté de mon corps.Je ne voyais rien,que du noir,des grandes tâches noirs,comme du brouillard... ma vision étai brouillé. Je mis un long moment avant d'apercevoir un ciel nuageux,tâché de couleur ocre et rouge de sang. Lorsque j'écris ces mots, on penserait à un ocre et un rouge vif. mais non. Celui-ci plongeait vers le gris et le sombre,c'était un ciel de guerre,de fin de guerre. Les âmes et le sang étaient monté au ciel pour l'imprénié de couleur morte. Je roulais sur le dos en gémissant des plaintes de douleurs...J'avais tellement mal,la douleur me brûlais et me piquais comme des dagues chauffé à blanc qui transperçait ma peau. Je regardai mon corps, j'étais couverte de sang,mais mes plaies s'étaient refermés. " Guerison" c'était la seule chose qui me revenais à l'esprit. l’inconvénient des Sindarins, c'est qu'on a beau vivre des siècles,la mort ne nous épargne pas. Et qu'on ne.. ressent pas... la douleur ? Dans ce cas pourquoi... pourquoi avais-je si mal ? Peut être était-ce mental, ou que non.. j'avais vraiment mal. Que diable m'avait-on fait ? Je sentis des picotements dans ma main gauche, des picotements qui brûlait,je me redressais et enlevai l'aiguille qui versait en moi un liquide verdâtre. Qu'était-ce ??! Au moment ou je le retirai,je me sentais déjà mieux... la douleur disparaissait... mais enfin, qu'est-ce que c'était ? Surement une substance qui rend le corps d'un Sindarin, capable de percevoir la douleur...je m'asseyais dans les graviers. Où étais-je ? Je commença à me concentrer sur ma respiration et la comptait. 1...2...25...48... jusqu'à arrivé au nombre 100. Puis je m’arrêtai. Je me mis debout, et je tanguais, je me raccrochai à une colonne.. Je relâchais ma respiration,je me sentais... je ne sais pas... comme si, j'étais réveillé, mais pas entièrement...je voyais les choses autour de moi, mais sans contours... enfin... je voyais les choses,mais je ne savais pas ce qu'elles représentaient... il y avait des choses par terre, pleins de choses...je ne m'y attardai pas,je préférais ne pas savoir si vous préférez... une substance gluante glissait sur mes doigts, je retombais par terre. Et à partir de ce moment, je ne me relevai plus... m'abandonnant au vide qui m'emplissais.
Je restai ainsi un très,très long moment... Puis j'ouvris les yeux. Je voyais enfin les choses. Et ce que je vis ne me plu vraiment pas. J'étais dans des ruines, les ruines d'un grand,très grand bâtiment. Et,il y avait beaucoup de cadavre autour de moi,énormément...j'étais dans les restes d’une très grande bataille. Je me relevais,et me ré appuyai sur la colonne où je m'étais tenue juste avant. Puis, je regardai enfin la colonne et là,je fit un bond en arrière en lâchant un cri. Un homme avait été transpercé de 3 flèches, et une épée le clouait sur la colonne,elle était enfoncé jusqu'au manche. J'hurlai. Lui aussi semblait crier,mais aucun son ne sortait de sa bouche,il l'avait juste grande ouverte,comme si il avait crier juste avant de rendre un dernier soupire. C'était horrible. Vraiment, Horrible...Pauvre homme... Il y avait une épée à côté de moi. Une épée où il y avait écrit " Chaos" sur la lame. Cela me dit vaguement quelque chose... Je la ramassai,et l'empoignai. je me sentais plus à l'aise avec une épée dans la main. Moi une tueuse ? non ! Jamais ! Mais... dans ce cas, pourquoi étais-je là... et pourquoi j'éprouvais un sentiment de sécurité en touchant l'arme ? je fis quelques mouvements avec, des étirements, je faisait mien d'attaquer un adversaire invisible. Puis,un bruit derrière moi. je me retournai brusquement.
Un homme était là. Grand, imposant,menaçant. Il tenait une arme, je me mis en posture de défense. Il dit :
- Et ! Vita' ! C'est moi ! Ahh je suis tellement heureux de te voir ma belle.. si tu savais... ouuhh sa voix s'étouffa dans sa gorge lorsque je l'empoignai. ohh ett lâche moi ! Vita !!!! C'est moi ! PUTIN LÂCHE MOI !!!
- QUI ES-TU ?!
- Mais Bordel ! C'est moi ! Klaus ! fit-il avec une tel conviction que je le croyais presque.
- Où On est ???
- Mais fait pas al conne ! lâche moi putin !!!il jura entre ces dents lorsque je resserai ma prise.
- Réponds !!!
- Putin on est dans les ruines de Taulmaril c’est tout bordel lâche moi !!! Putin qu'est-ce qu' il te prends ??!
- Taulmaril...
Ce simple mot provoqua en moi une série d'image flou... Moi,entrain de me battre,encore et encore... puis je demandai :
- Pourquoi des Ruines ?
- Mais rhoo tu sais, depuis la nuit des temps machin enfin, tu sais c'est les Cavaliers de Sharna qu'on tout détruit enfin... celons la légende...
- Mais Pourquoi alors tant d'hommes sont mort ici ??
- Mais pour un règlement de compte entre 2 grande armée de solitaire  !
- Et Qui êtes-vous ?
- Mais juste un solitaire ! Je suis ton ami d'enfance !!! j'ai appris pour la bataille, et je voulais juste veiller sur toi !! !!!!
- Des solitaires...
- Oui enfin toi t'étais là pour autre chose !
- Pour quoi ?
- Bah pour ce mec que t'aimais et que tu voulais ramener avec toi. Il était passer du côté des "méchants" et tu voulais le résonner, c’est pour ça que t'as rejoins les Solitaires du Nord ! Uniquement pour assister à cette fichu guerre et sauver ton petit copain !!!
- Qui... Qui est-il ?
- J'en sais rien moi ! Bordel lâche-moi !!
Son discour tenait trop la route pour qu'il soit faux. Je le relâchai, et m'écartai. Je regardai au loin. les cadavres s'entassaient les uns sur les autres. Tout semblait mort...
- Qui.. a gagner ?
- Les Soli' du Nord. Même si les pertes ont été lourde... Tout le monde est déjà partit.. Mais,je suis resté pour te chercher ! Vitani enfin, mais.. qu'est-ce qu'il t'es arriver ? On dirait que tu te souviens de... Oh non !! Mon Dieu ! Cette... cette seringue ! oh non... Vitani.... c'est c'est... un sérum pour oublier les choses... Non.... t'as pas fait ça ?!!
- COMMENT LE SAURAIS-JE !!! je ne me souviens de rien, RIEN tu entends ?! Je me suis réveillée avec ça... dans le bras, et puis...et puis... c'est tout...
Une larme coula sur ma joue,puis une autre...en des larmes scintillantes et blanches. Elles perlaient mes joues et descendaient vers mon cou. je ne cherchai par à les dissimuler...Klaus s'approcha de moi et me prit dans ces bras. Je le laissai faire, lui rendant son étreinte, et puis, je m'accrochai à lui,et,j'éclatai en sanglot... il me caressai le dos en murmurant de me calmer, qu'ils allaient trouver un moyen d'arranger les choses...
- Maintenant, tu vas venir avec moi. On va aller chez ma tante, tu verras c'est une jolie maison,grande et tu auras ta chambre si tu veux. ne t'en fait pas... tout ira bien... Je suis là.. Désormais,je le jure, je ne te quitterais plus.Promis... tu ne seras plus jamais seule...
Tandis qu'il me guidais,je continuai de pleurer... Jusqu'à ce que je vois le cadavre d'un jeune homme...

Lui




"LE DORMEUR DU VAL

C'est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent, où le soleil, de la montagne fière,
Luit ; c'est un petit val qui mousse de rayons.

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort : il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme.
Nature, berce-le chaudement : il a froid !

Les parfums ne font pas frissonner sa narine
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit."

L'homme était étendu dans l'herbe...les bras en croix,le regard lointain. Il était mort,il avait le regard vitreux,il avait les bras en croix et tenait entre ses mains une bague... je ne m'y attardai pas tout de suite,me concentrant sur son visage... Il avait des traits si... familier... j'essayai en vain de mettre un nom sur ce visage blême,mais rien...je tentais de retrouver des noms, des images, mais c'est comme si, un mur se dressait devant moi,oui, c’est cela, à chaque fois que j'essayais de trouver quelque chose dans ma mémoire, et bien,je m'heurtais à un mur invisible...ma mémoire était bloquer... Pourquoi ? A cause du "sérum" ? Ou bien avais-je comme dans les livres eu un choc trop grand et mon esprit avait décidé de tout oublier, de tout boucler ? je n'en savais rien... Rien ! RIEN !!
Je regardai l'homme. Il avait des lèvres rosé, la pommette haute, la mâchoire en pointe,les yeux devaient avoir été d'un bleu céruléen magnifique à regarder... Il avait des cheveux brun, le brun du bois des meubles chez les antiquaires,un brun sombre,rouillé par le sang qui perlait dans sa chevelure. Il avait des traits... si fin, si beau... Il était si joli à regarder... Il devait être un Sindarins vu ces oreilles... enfin, je crois... je ne sais pas trop. Il me faisait éprouvé quelque chose que je ne connaissais pas, enfin plus... de l'amour... j'avais envie, oui... envie qu'il se relève et que... qu'il me sert dans ces bras, je voulais m’imprégner de sa chaleur, prendre le temps de savourer le bonheur d'être dans ces bras, d'être serré contre quelque chose de vivant... J'avais tellement envie, qu'il me sourit... A ce moment là, je le vit. Vivant, beau, dans la lumière du petit jour, il était vêtu d'une simple chemise blanche et d'un pantalon noir élégant. Il me regardais en souriant, ce sourire si éclatant,si charmeur, il vous emplit d'un bonheur tellement grand que vous souriez-vous aussi... J'imprimai cette image,la gravai dans mon esprit,pour ne jamais l'oublier...Je voulais tellement... embrasser ce visage... L'image s'estompa... Je revint à la réalité, j'étais agenouillé devant le jeune inconnu. Et là... je ne su qu'elle mouche m’avait piqué mais... je fus prise d'une grande envie de l'embrasser, d'entrelacer mes lèvres avec les siennes... Alors, je m'approchai de lui, tout doucement, posa une main sur sa poitrine musclé, et posa délicatement mes lèvres sur les siennes, en un baiser froid. Cet instant fut magique, j'eu l'impression que j'étais à ma place, dans les bras d'une fée, il ne manquais plus que deux choses... Un nom, et de la vie sur ce visage...
Je me relevais, m'abandonnant à cet homme. Et puis, j'eu un réflexe étrange mais qui me semblais naturelle pour cette personne en question... je repoussai ses cheveux derrière son oreille... Et puis enfin, dans un effort sur-humain, je me relevais, en fermant avant délicatement ses paupières, avec la douceur d'une mère avec son nourrisson.Puis je me retournai, laissant cet homme dans l'herbe... Cet homme qui me faisait tant d'effet... Et puis là, je réalisai quelque chose, je courrai vers l'homme et, pris la bague qui était entre ces mains. Une bague fine en argent et avec des saphirs... j'embrassai le front de l'homme et, murmurai :
- Je t'aime...
Pourquoi ? Je ne sais pas... Non, la scène devait être bien risible et pourtant... même en y repensant après toutes ces années... je n'arrive même pas à sourire...
Je repartis avec Klaus, la bague dans la main...

Nouveau Monde



Quelques années plus tard...

- Vitani, Klaus !
- On arrive Madame Foxs !! Aller YYAAAHHH !!!
Les 2 chevaux partirent au galop dans la vallée... On était en milieu d'année. L'herbe avait poussé. S'en suivit un galop fou avec les chevaux. Klaus me suivait de près avec son hongre nommé Cacao, et moi sur Sultane,on commença à dévier de direction brutalement. Klaus me suivit, On sautais par dessus les arbres, on volait comme des oiseaux dans la plaine. Tandis que Sultane fit un bond magnifique au-dessus d'un tronc d'arbre, Klaus me lança :
- Minute Papillon ! j'ai pas encore accélérer la cadence !
Dit-il en talonnant Cacao et en s’engouffrant dans la plaine au grand galop. Son étalon brun commençait à me rattraper. Ces sabots fracassaient le sol en  soulevant des nuées de terres. Klaus était couché sur son encolure pour aller encore plus vite et bien sentir le vent. Je donnai un coup dans sa jambe quand il arriva à ma hauteur, et son étalon fit une petite croupade.
- Whooo !! Et C'est pas du jeu ! M'en fou t’arriveras jamais la prems !!cria-t-il en rigolant bouche ouverte, je me joignit à son rire.
- On Pari ?? fis-je avec un clin d'oeil. Aller Sultane ! VOLE !
La jument se déroba et fonça enfin, je sentais ces muscles sous sa peau, chaque parcelle de ces muscles qui se lançaient en avant, toujours encore plus en avant jusqu'à touché l'horizon... Mais Cacao accélérait lui aussi. S'en suivit alors un jeu entre nous deux pour faire tomber l'autre. On multipliait les coups de jambes,les tapotes sur l'épaule en lançant une petite vanne à l'autre pour qu'il perde l'attention. Puis à un moment, alors que je rigolais à en pleurer et que je fermai les yeux un instant, Sultanne s'arrêta brusquement et je basculai en avant, et Boom ! La tête la première dans le bac à eau qui se trouvait de l'autre côté de la clôture.Le choc me tétanisa. Klaus descendit de cheval rapidement et me rejoigna, sa tête de con sous son air inquiet me fit rire.
- Et oh ?? Heuu ça va Vita ??? demanda-t-il.
- Oui... Oui... Regarde...
Puis sans crier garre, je fonçai vers la porte d'entrée et criai :
- J'AI GAGNER !!!
Puis j'explosa de rire et Klaus qui me rejoignais se joint à moi. Arrivé dans le salon nous étions comme deux idiots qui rigolent à une vielle blague du siècle dernier !  
On arriva devant Tante Amia qui avait les bras sur ces hanches en mode " je vais vous passer un sermon à vous deux ! " !  Klaus vit avec sa tante depuis tout petit. C'est un Terrans qui à au moins 30 ans ! Mais... depuis qu'il m'à retrouvé il y'à 7 ans il s'obstine à rester au près de moi et à m'aider à retrouver ma mémoire... Klaus est mon seul et meilleur ami... Enfin, que je connais... dont je me souviens. Il s'est toujours comporté comme un gamin,mais j'ai toujours su que c'était une image pour dissimuler les choses qu'il avait fait pour survivre.. Klaus en à baver...parfois il se réveille en criant en pleine nuit. Et je suis toujours là pour lui. Toujours,je serai là pour lui. Pour nous. Bref, cela  fait 7 ans que je vis avec eux un bonheur parfait ! Corvée,marché pour vendre les fleurs de tante Amia,chevauché,et dodo ! Bon entre chaque y'à le manger ><' hahhaaa bande de goinfre ! Enfin bref, nous 3 formons une grande et heureuse famille...enfin... Klaus a perdu ses parents dans un incendie (quand je vous dit qu'il en a baver le pauvre ...)et le mari d'Amia a sombré dans l'alcool et a été pendu pour viol... Bon, je vous l'accorde ce n'est pas très gaie !
Et moi, j’ai perdu la mémoire et je ne me souviens de rien... mais à part tout ces problèmes, on vit heureux dans notre petite ferme... Autrefois c'était une étable pour les cochons, avec des petits près autour... mais Amia a tout réaménager et maintenant il y a pleins de jolies fleurs partout ! Elle est fleuriste et vend de magnifique bouquet  au marché. On vit de ces fleurs et des huiles qu'elle produit avec. Cela rapporte ce que ça rapporte... Autant dire pas beaucoup mais assez pour vivre. Et puis, on ne se plait pas, tant qu'on reste ensemble. Si on n'étais pas là pour les autres,chacun serait de son côté à sombrer dans l'alcool ou le crime alors, autant être à trois et se tenir chaud la nuit et rester du bon côté ! Et puis... on s'apprécie tous beaucoup,beaucoup,beaucoup... Klaus et moi somme comme frère et soeur, et Amia est notre mère à tous les deux.Bref, on vit très bien tout les trois. Avec nos 2 chevaux et nos fleurs.
Amia se planta devant nous fit la moue mais en voyant que j'étais trempé, elle ne pu retenir son rire. On rigola ensemble pendant un long moment et Amia parvint à dire : Aller, tous en cuisine j'ai acheté un poulet !
Tandis qu'on le préparai, on entendis des cavaliers au loin. Amia sembla perturber. Elle s'arreta net, et regarda par la fenêtre le visage blême alors elle nous cria :
- Vite ! Les chevaux, seller les et cachez-vous  derrière la maison !
- Maiiss.... fit Klaus inquiet et le regard qui trahissait une peur grandissante
- Silence ! Dépêchez-vous !
On couru vers la porte de derrière et lorsque je me retournai, je la vis prendre une épée. "Chaos", elle était toujours dans mon fourreau,à la selle de Sultane ma jument grise.
Amia se retourna, me sourit et me dit :
- Si tu entends un cri, tu fonce avec Klaus. Partez le plus loin possible...
Et c'était tout. Elle tira son épée et s'approcha de la porte d'entrée avant de dire :
-Je vous aime les enfants.... je vous aime...

Prisonnier



- Vite Klaus ! Aller viens dépêche toi !
- maiis... Amia ?!
Je le regardais, les yeux inquiets et affolés, je parviens à souffler :
- Un Jour... un jour, on la reverra...
- Maiis... fit-il en ayant les yeux mouillé de larme. Je lui coupai la parole, et alors que je m'écartais vers Sultane,je frappai la croupe de Cacao qui se cabra et partit au galop. D'un bond, je montai sur ma jument et la talonnai. Elle prit le galop et rattrapa Cacao&Klaus. Derrière nous, n'était plus que brouhaha et cri. Je regardai Klaus et dis :
- Aller.
Klaus pleurait. mais il donna un violent coup de  talon dans les flancs de Cacao qui s'élança en avant,suivit de Sultane.Je partis devant lui me retournant quelque fois pour le regarder,voir si il suivait toujours, il s'était réfugié dans la crinière brune de Cacao et sanglotait. Je prit les rênes du cheval et Fonçai avec Sultane. Derrière nous, on entendis le cri d'Amia. Précédé par une pluie de flèches, et la maison partit en feu. Le toit de chaume brûlait,les fleurs s’embrasaient... Je criai
- NOONN !!!
On s'arrêta un instant, regardant cette maison,cette ferme... Notre chez nous... Notre foyer...Il n'en restait plus rien ! RIEN !
Sultane partit au galop lorsqu'on vit une vingtaine de cavaliers coururent vers nous. Les cavaliers avaient des armes, des épées,des arcs... Ils nous chargeaient et se rapprochaient dangereusement, ils avaient des chevaux très rapides, surement des chevaux de guerre. Nos deux chevaux à nous ne faisaient le poids. l'un cria :
-Croods !
L'un de ces coéquipier nous visa avec son arc. Je fit des zig-zag avec Sultane et Cacao suivait le rythme. jusqu'à ce que la flèche soit tiré.
On atteindait la barrière lorsque soudain, Sultane s'écroula par terre. D'abord les postérieur,puis la tête la première. Je valsai vers l'avant et me cognai contre la barrière. Le choc fut si violent que je n'eu plus de sens pendant un long moment. Cacao était tombé  à la manière du domino sur Sultane qui tentait en vain de se relever mais qui n'y arrivait pas. Klaus était bloquer sous le corps de son cheval. Le guerrier tira trois flèches dans Cacao et un autre acheva Sultane de son épée.
- SULTANE !!!
Trop tard. Le sang gicla de sa gorge que l'homme avait tranché.
- oh mon Dieu... Nonn... Non !
Je fondis en larme, je m'écroulai, la tête dans l'herbe devant Sultane,qui avait les yeux sans vie... Klaus hurlait et jurait...5 Hommes descendirent de cheval et jetèrent un filet sur moi. Un filet qui semblait se resserrer à chaque mouvement. Klaus cria mon nom. mais, sous le choc d'avoir perdu ma vaillante monture, je ne dis rien. les hommes s'approchaient de moi,et me soulevèrent.
En un mouvement rapide,je dégainai mon épée. " Chaos". L'épée sentait la mort et le sang. La violence et la haine. je ramenai l'épée derrière mon dos, la fit voltiger avant qu'elle ne rencontre l'acier de l'homme devant moi. Je lui assénai un grand coup de pied dans le ventre. Il se jeta en arrière en jurant.Puis, alors que je frappai l'autre, le cri de Klaus me fis me stopper.
Un homme avait son poignard sous sa gorge et me menaçait de le tuer. Je lâchai mon arme et soufflai :
-Quel courage,fis-je avec ironie.
Mon épée fut laisser là,ainsi que Klaus, qui essayai en vain de les arrêter mais, quand vous êtes bloquer sous un poids de 500 kilos c'est assez compliquer. C’est ainsi, que je fus emmener par ces hommes. Aux armures sombres et aux faces torturés par la guerre.

On me m'attachais sur une chaise au bois sombre. Mes menottes étaient en fer,je ne pouvais dénoué un lien inexistant...elles étaient fermés par un cadenas dont la clé était attaché au trousseau du gardien qui était dans la pièce. Un jeune homme à la barde naissante noire. Il avait les yeux d'un vert émeraude perturbant, et possédait des cheveux bruns. tandis que je l'examinai,le jeune homme resta impassible. Son visage était muet, aucune expression ne pouvais s'y lire. Cela me perturbai... Puis, la porte s'ouvrit. Une silhouette sombre se détachai du soleil. Je du plisser les yeux avant de m'habituer à la lumière du jour. L'homme était plus vieux que le gardien, dans les 40 ans. Il avait les yeux d'un gris glacial et avait les cheveux blond. Un vieux blond, mêlé à du gris terne. Il s'approcha de moi. Je me reculai dans ma chaise. Mon esprit semblait me crier qu'il était méchant et qu'il ne fallait pas qu'il me touche. Je voyais des images de cet homme en train de tuer des gens dans les ruines, et puis de poser son regard vers moi... Menaçant, me jurant une mort lente et douloureuse, sous le fouet et le feu... Mon pouls commençait à s'accélérer, s'accélérer encore et encore...j'avais peur. De cette peur qui semble être irrationnel mais qui pourtant l'est quand on a perdu la mémoire comme moi. L'homme se pencha vers moi, s'appuyant sur les accoudoirs de la chaise. Je sentais son haleine froide dans mon cou. Je tremblais. Cet homme ne me disait rien qui vaille... Je déglutis et cela le fit sourire. Je remarquai sa balafre qui coupait son oeil en deux.Je ne pouvais n’empêcher de la fixer et de trembler de tout mon corps. Il rigola et lorsqu’il parla, sa voix était aussi dur et ferme que la roche :
- mhhh.... Ma petite Vitani... Tu te souviens de moi ? non ? Étrange....il rigola avec sarcasme.Moi... jamais je ne t'oublierai ma petite... Laisse moi te rafraîchir la mémoire...
Il me caressa la joue de ces doigts squelettique et glacés et là, je vis... je vis... Cet homme, se dresser devant moi, le visage encore parfait à cette époque, il brandissait une chaine et au bout se trouvait une boule de piques qui semblait ne resister à rien... Je déglutis rien qu'en observant cet homme si dangereux et mesquin... Et... il y avait une jeune femme... Qui brandissait une épée... mais, Chaos ?! Oui, c'était moi.. devant lui, et s'ensuivit un combat acharné. Moi ? me battre ainsi ? Et je me battais bien, j'avais la position de ceux qui se battent depuis longtemps et pour sauver leur vie et celle des autres en premier lieux... Puis, je lui assénai un violent coup qu'il ne pu éviter. tranchant son oeil gauche en deux. L’œil avait éclaté en deux. Ils avaient roulé dans son orbite, puis s'étaient écrasé par terre.. Lui laissant un orbite sans rien et une horrible balafre...il tomba à genoux. Puis en avant, et ne bougea plus.
Je revins à la réalité, haletante... L'homme souriait. Un sourire diabolique et il murmura :
- Maintenant c'est à ton tour de souffrir...fit-il en me caressant la joue.
Il se retourna, marcha vers la porte mais avant je dit :
- Attendez ! Attendez... qui... lorsque je me suis réveillé...quelqu'un... m'à planté une aiguille qui.. enfin... qui à sembler me faire perdre la mémoire...
- Ohh... la substance verdâtre qui était dans cette seringue n'était pas pour te faire perdre la mémoire.C'est un de Tes disciples qui te l'a administrer pour que tu souffre à ton réveil, lorsque tu serait inconsciente...Pour se venger de toi, il t'à fait connaître une sensation que tu ne connaissais pas... La souffrance. Cet homme t'as trahit car tu l'avais trahit oh une simple histoire de coeur... qui l'a mis hors de lui. rejeté par la femme qu'il aimait, il est venu me voir pour se venger de toi. Alors, je lui est donner cette substance que je suis seul à créer... En effet Vitani... ma petite Vitani... je possède le pouvoir d'emplire la douleur à un point inimaginable grâce à la substance que je créai... mais bon, je ne vais pas tout devoiler maintenant hahhaaa.....
Puis il s'en alla. me laissant seul avec l'autre homme. Le gardien aux yeux émeraude. Je repris mon souffle. Depuis quand avais-je arrêter de respirer ? je ne sais pas... Et je m'en fichais. Je voulais savoir...savoir déjà qui m'avait administrer cette substance ? Qu'avais-je comme lien avec tout ces gens... Et surtout... comment avais-je perdu la mémoire ? Une souffrance aussi grande pouvait exister et faire perdre la mémoire ??? Non...Maiune trop grande souffrance peut faire naître un mur de défense pour l'esprit. Un mur qui à pour but d'oublier.Les seules choses que je sais me vienne de Klaus. Il m'avait seulement apprise que j'étais venue dans cette guerre uniquement pour sauver l'homme que j'aimais.. J'aretai de réfléchir et redressai mes jambes pour mettre ma tête entre mes genoux. Puis, je comptai mes respirations. pendant un long moment, il n'y eu aucun bruit dasn la pièce. Puis, quelqu'un s'avança vers moi et me dit :
-Tu as faim ? sur un ton neutre.
C'était le gardien. je relevai la tête. Il tenait une assiette de viande séché. Je le regardai et demandai :
- A quoi bon manger si cet homme va me tuer demain ?
- Pas te tuer. Dit-il après un long silence. Il veut seulement que tu éprouve de la douleur. La même qu'il a éprouvé. Il veut se venger. C’est tout...
- Mais.. Qui est-il ?
- Le jour où tu t'es réveillé, tu étais dans des ruines. Celle de Taulmaril. A cette époque, les Solitaires du nord et ceux que l'on nomme les déserteurs étaient en conflit. Les déserteurs avaient capturé beaucoup beaucoup de gens, y compris des solitaires. Ceux du Nord. Et dans tout ces conflits... il y avait, un homme et une femme. toi, et un homme que tu aimais. Cet homme avait été capturé par les déserteurs. Puis,a rejoins le côté du chef des déserteurs pour sauver sa peau et avoir une chance de te revoir. L'homme que tu viens d'avoir le plaisir de connaître, Kaïto. Et toi,qui croyais que ton amant était toujours prisonnier, tu t'es rallié aux autres pour sauver ton chéri. Vous aviez intercepté les déserteurs aux ruines. Ils étaient en train de changer de planque. Tout les prisonniers y étaient... Alors, vous les avez attaquer. Et c'est là que tu as vu ton prince charmant tué ceux de ton "groupe". Et puis, lorsque vos regards se sont croisés, vous vous êtes jeté les bras l'un de l'autre...mais... Kaïto, qui vu la scène, tua ton chéri. Et là, folle de rage, tu lui trancha l'oeil. Et puis... quelqu'un t'a administer la substance verte de Kaïto. Et il sembla que la douleur fut tellement grande pour toi que tu as perdu la mémoire.
-Pourquoi... Pourquoi tu m'as tout dit ?Tu n'as donc pas peur que Kaïto t'en veule ? Et...pourquoi connais tu tout ça ?
- Secret défense ma mignonne... dit-il en un sourire diabolique et en me caressant les cheveux.
Sa main me fit l'effet d'une gifle.Cet homme aussi m'était familier...Mais, comme pour l'homme que j'ai vu à mon réveil, il n'y avait rien, c'était un mur... L'homme... Lui... ça devait être... mon amant ? Surement... peut être... je ne sais pas...
- Et... tu sais qui était cet homme que j'aimais tant ?
- Non. dit-il sur un ton des plus neutres. Il posa l’assiette sur mes cuisses et s'en alla.

Quelques jours plus tard, Kaïto entra dans la pièce, avec... une sacoche...il la posa dans un coin. Il en sortit des couteaux, des dagues, des scalpels... et des seringues... puis une grande fiole d'un liquide. verdâtre.
Il s’occupait de préparer tout ça... Puis, s'approcha de moi. Je ne me débattis pas...Il transperça la veine de mon bras, puis y inséra le liquide. La sensation était étrange. .. je me sentais.. bien. Et je sentais mon corps endolori par le fait d'avoir été aussi longtemps attaché sur cette chaise...Je soupirai. Un soupire lasse,fatigué...
Kaïto émit un rire bas. un rire sadique, machiavélique. Un rire d'assassin. Il prit le couteau et dit:
- Laisse moi voir ces yeux de plus près....
Alors je compris ! Quel monstre ! M'arracher les yeux ? Non ! Je ne le laisserai pas. je commençai à me débattre.
- NONNN nonn !!! NOONN !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je criai, je me débatai. Il tenta de me bloquer en m'étranglant. Je n'allai pas me laisser faire.
- Malédiction !
Je ne su pourquoi je dise ça, jusqu'à ce que je me coupa le doit avec un des pics de la menotte. Trois gouttes de sang tombèrent sur le sol.
Puis,je me levai de la chaise et mordit le cou de l'homme dont le sang coula. Kaïto commença à prendre son épée et tenta de me coupé la tête. Et non.... Râté !La malédiction s'abbatit sur lui. Il commença à souffrir,à se tordre par terre.
-Tu n’auras pas mes yeux.
Puis,avec un pouvoir...
- LUMIERE
Je fit fondre les menottes en même temps,m'en débarrassai, pris l'épée, et le trancha en deux. C'était un Gorgoroth. Je lui trancha la tête. Avec la lumièren Je brûlai Kaïto, le transformant en cendre.
le gardien n'avait fait aucun geste. Il était immobile. Puis il dit :
- Viens. Viens avec moi Vitani.
Je le suivis, hors de ce cauchemar, hors de ce monde fait d'ombre et de ténèbres...


Vérité Mensongère



40 ans plus tard

Je ne prends une ride, et Sylvain lui, s'assombrit de jour en jour... la mort le guette... En même temps, il a 70 ans... Il peut mourir d'un jour à l'autre... Un jour, Sylvain me dit...
- Vitani. Il y'a une chose qu'il faut que tu sache...
- Oui mon amour ?
- J'étais là... Il y'à environ 50 ans...Aux ruines de Taulmaril... C'est moi... C'est moi qui t'es administré le sérum...
-Quoi ?....
-Oui. Je suis l'homme qui t'aimais, mais quand tu m'as rejeté, je me suis sentit, trahit. J'ai fait emprisonner ton amant, et comme tu l'aimais trop, tu as voulu le sauver. Alors, fou de rage, je me suis venger une nouvelle fois pendant cette guerre... Quand.. Micah, l'homme que tu aimais, a périt...tu as perdu la mémoire, enfin.. c’est trouble, personne ne sais si la mort de Micah fut tellement traumatisant que ton esprit décida de tout oublier, ou si.... si quelqu'un t'à jeté un sort...
- Pourquoi.... Pourquoi ?
- Je t'aimais. Dit-il en me prenant la main et en me souriant sur son lit, au seuil de la mort.
Dans la nuit il rendis l'âme. Et je partis.
J'avais vécu 40 ans avec lui... 40 ans à l'aimer...mais c'était un amour battit sur du mensonge.

Je repartis donc sur les routes. J'érai pendant 250 ans... 250 ans pour me rebattir... Entéré ce passé, tourner la page même si une dernière question me hantait, mais à qui je ne donnerais surement jamais de réponse :
A cause de Qui,et pourquoi avais-je perdu la mémoire ? Oh, et bien sur : Qu'avais-été ma vie avant ?.....

 
Nérozias



Le brouhaha et la musique était infernal dans le bar ! Je discutais et rigolais avec un homme qui faisait partit d'une étrange communauté.. les Nérozias. C'était le chef du département du Commerce. Enfin bref, je ne raconterais pas tout en détails, c’est grâce à lui que je suis entrée chez les Nérozias et que je suis devenue l'apprenti de ce Monsieur... Horel Viktor. Ou plutôt appelé Horelinounet ! Enfin bref.. il est mort vers 50 ans d'une crise cardiaque, et étant son apprenti, je me suis retrouvé à la tête du commerce chez les Nérozias... Ce qui ne me dérangea pas ! J'adore les nombres et organiser pleins de choses !
Donc bon... ma vie fut meilleur depuis ma rencontre avec les Nérozias. Cette bande de joyeux fêtards... J'avais trouvé ce que je n'avais plus eu depuis la mort d'Amia : Une famille.
Je n'ai jamais revu Klaus, mais depuis le temps, il est mort surement... l'inconvénient des mortels. Ils ne vivent pas bien longtemps...
Bref, sinon et bien, ma vie se résume à travailler le jour, et faire la fête le soir ! C'est la belle vie non ? Bon entre-temps je fuis les autorités car le Roi a mis nos têtes à prix mais bon...Et parfois, j'essaye de retrouver des brides de mon passé... Oh ! Et j'ai deux nouvelles épées super classes ! hahhaa regarder dans les possessions tiens !


L'Armoire



J'étais en train de ranger des documents dans la vielle armoire de mon maître récemment décédé,je triai en même temps ses affaires que je gardais ou pas... en écoutant le chant du petit rossignol qui se déposait toujours à la fenêtre du petit manoir...
Soudain,un petit livre pour je ne c'est qu'elle raison, attira mon attention. Je le pris dans ma main, le tirai, et il y eu un bruit sourd. Je me retournai vers le bruit. Et là, une ouverture s'ouvrit, elle était sur le mur,je n'avais même pas remarquer son contour ! Je laissai tomber ce que j'avais dans la main... J'étais comme attiré par cette trappe mystérieuse. Je levai ma main, en l'approchant lentement du trou qu'elle donnait. Je plongeai ma main dedans, et pris ce qui y était dissimulé. Une manette.
Je tira dessus et attendis. L'armoire bougea. Les libres tombérent,et les étagères également. L'armoire étaient maintenant vide, à l’exception d'une poignée de verre. Et d'une boite accroché au plafond de l'armoire. Je pris la boite, elle s'ouvrit, elle était toute simple, il y avait un petit tiroir, je le tirai, et il s'y trouvait une petite broche. Un magnifique cerf...
Je retournai la boîte, et tournai la petite manivelle qui actionnait la musique. Puis, à côté du tiroir, un autre tiroir pris forme...Un mécanisme. J'ouvris le tiroir, un papier et une deuxième manivelle y étaient cachés. Je pris le papier, le posai sans le lire sur la petite table en bois qui portait un bouquet de rose, et tournai la manivelle. Soudain, s'éleva un cylindre rattaché à la boîte, il y eu un déclic et là... Une statuette de cristal et de diamant apparu,tournant sur elle même... C'était un splendide cerf blanc, avec pour yeux deux diamants resplendissant...la musique qui s'en échappa était entraînante... je pris le papier, m'arrachant à l'attraction que me produisait la musique et la statuette si belle et mystérieuse. Il y'avait des lettres écrit en italique sur le papier :
AL-ETNAHC
Heuu qu'est-ce que ça voulait dire ? Aucune idée... je fronçai les sourcils, et soudain, une idée m'apparu. Si on retournais les lettres...
CHANTE -LA
Une autre personne aurai trouver ça débile. Pas moi... je sentais la magie et le pouvoir qui se dégageais de ce coffre. Je chantonnais la berceuse...en accord avec le son de la boîte, comme si j'avais toujours connu ce refrain, ces notes... La poignée émit un bruit. Ahh.... je comprenais. La poignée était bloqué et c'était cette petite mélodie qui la débloquais. Un Nérozias devait avoir eu le pouvoir de bloquer des choses et une musique devait les débloquer,comme un petit sortilège. La boite avait été une énigme à résoudre. Intéressant...
Je tournai la poignée... Le fond de l'armoire s'ouvrit. Une nouvelle pièce s'offrait à moi. Une pièce emplit de lumière. C'était une pièce avec des fenêtres,et le soleil s'y engouffrait. Il y'avait également une cage de verre.. Il y'avait une silhouette encore plus blanche que l'éclat de cette lumière. La pureté qui se dégageait de ce moment me paralysais... Et j'aimais cette sensation d'être en parfaite harmonie avec cette chose et ce qui était autour de moi... Puis,une fois que mes yeux furent habitué à la lumière, la silhouette se matérialisa enfin avec contraste et netteté.. Un cerf Blanc. Si beau... Si grand, si Majestueux... Si Pur... Il me regardai de ces grands yeux d'un noir profond. Et une voix chuchota dans ma tête la sienne. Je devais le libéré.

C'est ainsi que j'avais libéré le Cerf Blanc de sa prison. Et qu'il devint mon protecteur... mon Cerf...  Et aussi grâce à lui que je découvris 2 nouveaux pouvoirs. Mon don de parole avec les animaux et la Malédiction des Impurs.  
Quand les gens le regardent, ils sont absorbé par l'attraction qu'il provoque, il possède comme une aura d'harmonie et de " divinité". Les gens ne l'attaquent pas... Non c'est plutôt comme si ils s'inclinaient devant lui... Au départ il n'avait pas de nom. Enfin, il disait toujours que son nom était prononçable que par le vent, la terre,l'air et le feu. Alors je lui donnai le nom d'Ethéryos... l'alliance de la lumière pur des astres, et le sommeil dans lequel il avait été plongé durant des siècles et des siècles. Ce cerf avait tout vu, tout entendu. la cruauté des hommes et leur idéologie depuis la nuit des temps...

Plus tard, j'ai sauvé une jeune jument d'une bande de tatoueur déjanté !!! Je l'ai appellé Nymphe car cette coquine adore joué dans l'eau d'un lac ou d'une rivière et celà me faisait penser à l'histoire de Narcisse. Donc voilà ! Ah oui... Et j'ai réussi à retrouver Chaos. Elle était dans un marché noir. Pur hasard ??? Aucune idée ! Et puis je me suis fait construire 2 nouvelles armes, Eurydiss une épée courte et Nyx une longue épée. Elles sont toutes les deux magnifiques... Et j'en suis très fière.



 





 




QUI M'ACCOMPAGNE
Toi l'animal qui me suit

Vitani R. Léon  208149whitedeerbypsdeluxed5nhex7

PRENOM:
Ethéryos, l'alliance des noms Ether et Hypnos, la lumière des astres et le sommeil ( à lire étérios)
RACE:
Cerf Blanc
SEXE:
Masculin
POUVOIR:
" Pureté ",un pouvoir qui transforme sa ramure, elle l'agrandit,l'entoure d'une aura de pureté, elle devient tranchante comme une dague aiguisé...
C'est sinon un immense Cerf Blanc,imposant,le regard franc, quand il vous regarde vous êtes absorbé par sa beauté et vous ne pouvez le quitter des yeux. Et lorsqu'il vous charge, seule ceux qui sont fort d'esprit arrivent à s'arracher à son attraction et à s'écarter. ce Cerf ira partout là où ira Vitani. Ils sont comme siamois,ils ne se quittent jamais ou presque.  Ah oui ! Il détient son catalyseur incrusté dans son sabot. C'est pour cela qu'il à un sabot de couleur blanche.
DESCRIPTION:
Si il s'agit d'un familier ayant un pouvoir, pensez à décrire la manière dont il porte son catalyseur





QUI ME PORTE
Toi ma vaillante monture

Vitani R. Léon  85754173586986bad0d0596dc161d7f10d467b

PRENOM:
Nymphe
SEXE:
Féminin
DESCRIPTION:
Jeune jument blanche avec quelques teintes de noirs en partant des yeux. Son point fort ? Rapidité. Elle est plutôt bonne en saut même si elle ne sautera jamais plus d'un mètre 20. Vitani l'a sauvé  d'un tatoueur. Ces gens s'amusait à la torturé, en dessinant au couteau sur sa tête et ses flancs. Donc maintenant elle à des arabesques noires sur les membres et la joue gauche.



Dernière édition par Vitani R. Léon le Mer 12 Juin - 15:36, édité 20 fois
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MessageSujet: Re: Vitani R. Léon    Vitani R. Léon  Icon_minitimeVen 24 Mai - 18:49

Finiiishing :x J'attends ta Critique Fatale Sighild *.*
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:: L'Eryl ::

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Fonction:
Pouvoirs, spécialités & Don:
Relations & Contacts:
Sighild
:: L'Eryl ::
Sighild
MessageSujet: Re: Vitani R. Léon    Vitani R. Léon  Icon_minitimeLun 27 Mai - 16:22

Bonjour!

Pardonne moi du petit retard!!! Passons directement à l'analyse de la fiche!! Et d'avance, je me permet de te dire que tu as fait peut-être un mauvais choix de race. Tu comprendras au fur et à mesure de mes remarques.^^

_ Autre possession :
¤ Chaos : Il y a une petite erreur de langage. Tu as noté "Une arme qui appartenait à un de ces ancêtres". Or, si tu es une sylphide, tu n'as pas d'ancêtre à proprement parlé. Les sylphides n'ont pas de lien de parenté, donc pas d'ancêtre.

_ Pouvoirs :
¤ "L'être" : Je suppose qu'il s'agit pour faire simple d'un pouvoir de fusion? En soit, cela me pose pas de soucis, à part un détail. Si tu fusionnes avec un objet, tu prends l'objet tel qu'il est. C'est à dire que tu ne crées rien à partir de lui comme dans ton exemple avec l'arbre. Tu ne lui crées pas de branches ou de lianes sinon, c'est un pouvoir de contrôle de la nature. Cela te ferais deux pouvoirs en un et je ne l'autorise pas. Si ton arbre à trois branches, et bien tu fais avec ces trois branches, tu ne les allonges pas, tu ne crées pas de feuilles, tu fusionnes uniquement avec lui et tu fais avec ce qu'il est. Si tu fusionnes avec une épée, la lame ne s'allonge pas non plus. Note aussi que dans les limites de ce pouvoir, tu ne peux ni fusionner avec un être humain, ni avec un animal. Uniquement avec des objets et éventuellement un végétal comme l'arbre (je ne te vois pas fusionner avec une fougère! loool).

¤ "Dites-moi" : Il s'agit d'un contrôle des animaux? Par contre, j'ai un soucis avec le terme "créature". Si tu fais par exemple référence avec une créature comme le colosse de Taulmaril, dit toi que c'est impossible. Des créatures aussi qui sont très imposantes ou forte comme un carnéa, c'est aussi improbable. Ce sont des "créatures' trop sauvages pour être contrôlé.

¤ "Malédiction des impurs" : J'ai une question bête : tu parles de trois gouttes de sang, mais je suppose que si tu en as plus, ça marche de la même façon? Par exemple, tu blesses un adversaire, il saigne abondamment mais ne veut pas lâcher l'affaire, si tu faits goutter ton sang dans une grosse tâche de sang sur le sol, les douleurs se déclenchent? Après je vais avoir un soucis avec le fait que tu lis ce pouvoir à ton animal. Ce n'est pas permis. Il n'y a pas d'intermédiaire dans les pouvoirs, c'est ton personnage qui le possède et qui peut le faire cesser uniquement. Donc il faudrait que tu trouves un autre système pour faire cesser la douleur de l'individu.

_ Tu as choisi un rôle de prédéfini, tu as droit à un quatrième pouvoir et trois spécialités.

_ Description physique :
Petites erreurs de langage, évite d'utiliser des descriptifs comme "mannequin" ou "top-model". Rappelle toi que nous sommes dans un univers plutôt médiéval. Ce sont des choses qui n'existent pas ici. Tu fais des anachronismes en utilisant un tel langage et cela fait perdre de la crédibilité à ton persos.

_ Description mentale :
" j'ai vu un jeune homme mort qui me disait quelque chose" => J'ai bien peur que les morts ne parlent pas. loool (sauf si c'est un gorgoroth).

_ Histoire :
¤ "Retour" : "Surement une substance qui rend le corps d'un Sylphide, Terrans", c'est un peu maladroit. Si tu es une sylphide et que tu n'as jamais parasité de corps humain, tu ne peux pas savoir ce que c'est la douleur physique terrane. Il faudrait plutôt que ton personnage se rende compte que ce qu'il ressent, c'est ce qu'on appelle de la douleur, et non qu'elle dise, "c'est ça être terran" puisque le sylphide ne sait pas ce que sait.

" un règlement de compte entre une grande armée de solitaire et les Eryllis " => Peu probable que les Eryllis se lancent dans une bataille contre un groupe de gens soit disant solitaire, et encore plus à Taulmaril. Il faudrait que tu trouves d'autres opposants que les amazones.

" Mais juste un solitaire ! Je suis ton ami d'enfance !! " => Les sylphides n'ont pas d'enfance. Ils ne sont jamais jeune. Donc ce n'est pas possible.

" ce mec que t'aimais [...] c’est pour ça que t'as rejoins les Eryllis " => Je dois te rappeler que les sylphides ne sont pas tellement porté sur les sentiments. L'amour ne représente pas grand chose pour eux, un sylphide ne tombe pas amoureux comme les humains et ne sont pas des midinettes. De plus, les Eryllis n'auraient jamais accepté que tu deviennes l'une d'entre elles pour quelque chose d'aussi futile que vouloir retrouver l'homme que tu aimes.

¤ "Nouveau monde " & "prisonnier" : " On était en été " => C'est pas une saison de chez nous! lool
Un avis général après sur le comportement des personnages. Tu déclares que Klaus a 30 ans mais tu le joues comme un enfant de 7 ans, ce n'est pas cohérent surtout si c'est un homme qui en a bavé. Qu"il soit puéril, soit mais qui se mette à pleurer comme un gamin parce qu'on lui dit qu'il doit quitter sa grand-mère, c'est un peu exagéré. loool N'oublie pas que tu joues des adultes qui en ont bavé, on redevient jamais innocent même si on acquiert le bonheur.
" Précédé par un bruit de flèches" => Si tu pars au galop et que la vieille cri, je pense que les entendre sera difficile.
" il brandissait une chaine et au bout se trouvait une boule de piques qui pouvait détruire un colosse de Taulmaril en une seconde " => Peu probable, sauf si il fait la taille d'un immeuble.
" je possède le pouvoir de faire souffrir toute personnes Sylphide comme Mort grâce à la substance que je créai. " => Euhhh... non. Il ne faut pas pousser. lool Il faudrait connaître le secret des enveloppes charnelles sylphides pour concevoir quelque chose aussi pointue et ce n'est pas possible. Une seringue qui accentue la douleur, je peux l'accepter et encore, mais là c'est trop. De plus, j'avoue que je ne comprends pas une chose : pourquoi n'aurait-elle pas quitté son enveloppe? C'est une sylphide, elle aurait pu repartir à Cimmerium naturellement et par instinct. Si ceux qui s'en sont pris à elle le savait, qu'elle était capable de quitter son corps à tout moment, j'avoue que je ne saisis pas l'utilité de créer un sérum de douleur. Pour la race sylphide, ça n'a pas de sens en fait.
" J'étais libre, et faite de métal " => Ce n'est plus un pouvoir de simple fusion, ici, tu deviens l'élément que tu touches, c'est différent du descriptif que tu m'as fait. Il faut que tu choisisses quelque chose de plus clair. Si tu fusionnes avec l'objet, tu ne le modifies pas, tu l'utilises tel quel comme une extension de toi. Si tu choisis de devenir la matière que tu touches, là oui, ton corps devient du métal. Ce sont deux choses différentes.
" invoqua le feu. invoqua l'air" => Tu n'as aucun de ses pouvoirs, donc ce n'est pas possible. Il te faut avoir le contrôle de ses éléments.

¤ "Nérozias" : "Lord Vlad. Ou plutôt appelé Vladounet ! Enfin bref.. i lest mort vers 50 ans d'une crise cardiaque" => Une erreur qui n'est pas ta faute, mais ici malheureusement, tu ne peux pas inventer ce pnj. Les nérozias ont été rééorganisé depuis l'épidémie. Il n'y avait pas un homme pour cette section car elle était divisée en plusieurs groupe : Julia Derenoir pour le vol organisé, Colieris Spartar pour le milieu maritime et Horel Viktor pour l'armement. Ils sont tous morts de l'épidémie de la sarnaroha. A toi de voir lequel des trois t'intéressent pour être ton mentor.

¤ "boîte à musique et prisonnier" : C'est une très jolie partie mais elle ne convient pas du tout. Je ne peux pas accepter l'histoire de l'animal qui sort par magie de la boîte, en raison du familier choisi. Je vais te l'expliquer dans la partie familier.


_ Familier :
Un cerf albinos est original mais son pouvoir et son apparition ne convienne pas du tout. Tous les familiers sont des animaux "communs", c'est à dire pas magique (or le catalyseur). Si tu veux ton cerf, tu l'as rencontrer en forêt ou acheter dans un commerce. Je ne peux accepter l'allusion magique qui sort de la boîte.
Il y a aussi le pouvoir qui ne convient pas. Que sa ramure s'agrandisse et soit tranchante, c'est acceptable. Par contre, je ne comprends pas le côté pureté. Un cerf est un cerf, blanc ou non. Donc la notion de magie pure ne fonctionne pas ici. Ce n'est pas un pouvoir accessible au familier (cf à la remarque sur tes pouvoirs).
Tu as aussi oublié de décrire l'animal ou au moins spécifier où se trouve son catalyseur. Il ne peut avoir sa magie de ramures qui s'allongent uniquement si il a le catalyseur.



Voilà! Je crois que tu as de quoi lire, mais en gros, pour résumé, les soucis sont :
_ la nature sylphide du personnage (je pense que c'est pas un choix judicieux, je trouve que ça ne correspond pas à la personnalité de ton personnage, d'autant plus que jamais tu ne cites quoique se soit de très sylphide, ni leur cité, ni tout ce qui est propre à leur civilisation. Tu n'exploites que leur nature insensible à la douleur et leur immortalité, et je pense que c'est une erreur de les choisir uniquement pour ça).
_ Le cerf blanc, pour le côté trop magique que tu lui accordes. Ton familier ne peut être qu'un animal basique.
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MessageSujet: Re: Vitani R. Léon    Vitani R. Léon  Icon_minitimeMar 28 Mai - 17:23

Oki Okiii x) Bon alors je rectifierais ça quand j'aurrais le temps pck là ça va être compliqué ><' j'ai mes oraux d’histoire des arts mdrr la semaine prochaine j’essaierai de tout finir Proomiis ! :D
Mais je veux juste savoir... en faite je veux plus prendre Sylphide du coup donc qu'est-ce que je pourrais prendre pour que ça colle plus avec mon histoire ??
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MessageSujet: Re: Vitani R. Léon    Vitani R. Léon  Icon_minitimeMar 28 Mai - 22:05

Mmmm...

Comme ton histoire se situe sur une longue période, il te faut donc une race à longue longévité. J'aurais éventuellement pensé à gorgoroth, puisque eux aussi ont une sensibilité amoindrie. Cela pourrait coller aussi avec une éventuellement perte de mémoire si il y a eu décès violent? Mais comme je pense que peut-être tu voudrais essayer autre chose (puisque Mirage est une gorgoroth), tu pourrais tout à fait être une sindarine puisqu'il s'agit aussi d'une belle femme. Lhurgoyf, je doute un peu parce que je ne vois pas ton personnage partager leur nature monstrueuse en fait, mais c'est aussi faisable.
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MessageSujet: Re: Vitani R. Léon    Vitani R. Léon  Icon_minitimeSam 1 Juin - 17:17

Mmhhh Oe ! Va pour Sindarin :x Je m'y mettrai peut être ce soir ou demain (mais peu probable Dimanche... )
Thakk Youuu Verry Much !! :D
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MessageSujet: Re: Vitani R. Léon    Vitani R. Léon  Icon_minitimeVen 7 Juin - 12:15

Coucou

Je repasse pour savoir où tu en es?

J'ai vu que tu avais commencé à modifier quelques points, mais il y a encore des choses qui ne vont pas :

_ Pouvoirs :
¤ " L'être ": Tu notes que ce pouvoir te permet de contrôler les éléments et les matières. Non. Il te faut choisir. Les contrôles élémentaires sont des pouvoirs uniques et tu n'en maitrises qu'un par pouvoir. Donc ici ce n'est pas possible. Si tu veux contrôler le feu, tu dois prendre Contrôle du feu. Si c'est contrôler les objets, je te dirais de prendre télékinésie. Ici tu combines trop de pouvoirs en un.
¤ "Malédiction des impurs" : Le soucis réside encore dans la manière de couper court à ta malédiction. Comme tu le poses, on peut penser que ton personnage peut "jeter" sa malédiction et s'en aller tranquillement pendant que l'adversaire souffre. Et qu'elle peut revenir quand ça lui chante pour briser sa malédiction. Ce n'est pas possible non plus car la magie use de l'énergie. Si tu fais durer la malédiction, toi tu t'épuises aussi. Il faut que tu en prennes compte. On peut laisser les choses ainsi mais il faut que toi tu saches que ça ne peut pas durer indéfiniment, max au maximum une heure je dirais. Si tu le brises pas, c'est toi qui va mourir d'épuisement.
¤ "Guérison" : Il faut que tu choisisses entre guérir les autres ou toi même. Si c'est toi même, c'est de l'auto-régénération. Sinon c'est un pouvoir de soin, mais tu ne peux soigner que autrui. (Sinon c'est trop facile).

_ Il te manque encore une spécialité. Tu as droit à 3 spé.

_ Familier :
Je répète ce que j'ai dit dans mon poste précédent. Soit parce que tu ne l'as pas vu (et je comprendrais en fait, j'ai beaucoup écrit), soit parce que tu as tout simplement pas fini et donc je te rappelle uniquement ce qu'il te manque. ^^
Un cerf albinos est original mais son pouvoir et son apparition ne convienne pas du tout. Tous les familiers sont des animaux "communs", c'est à dire pas magique (or le catalyseur). Si tu veux ton cerf, tu l'as rencontrer en forêt ou acheter dans un commerce. Je ne peux accepter l'allusion magique qui sort de la boîte.
Il y a aussi le pouvoir qui ne convient pas. Que sa ramure s'agrandisse et soit tranchante, c'est acceptable. Par contre, je ne comprends pas le côté pureté. Un cerf est un cerf, blanc ou non. Donc la notion de magie pure ne fonctionne pas ici. Ce n'est pas un pouvoir accessible au familier (cf à la remarque sur tes pouvoirs).
Tu as aussi oublié de décrire l'animal ou au moins spécifier où se trouve son catalyseur. Il ne peut avoir sa magie de ramures qui s'allongent uniquement si il a le catalyseur.



Voilà. Préviens moi quand tu as complètement fini.
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MessageSujet: Re: Vitani R. Léon    Vitani R. Léon  Icon_minitimeDim 9 Juin - 12:02

Voila ! Bon je crois avoir finit... enfin je crois x) Mais je voullais vraiment la partit de la chanssoooonnn :/ S'iiiiill te plaiiit Only this ! :) Bon si tu veux pas je me pends et naaa ! ( et je finit la fiche x) )
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MessageSujet: Re: Vitani R. Léon    Vitani R. Léon  Icon_minitimeLun 10 Juin - 14:05

Tout est presque bon. Il n'y a qu'un petit détail : le pouvoir de métamorphose. Il faut que tu choisisses entre transformation humaine ou métamorphose animale. Tu peux pas avoir les deux.

Une fois ton choix fait, tout sera bon!!!
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MessageSujet: Re: Vitani R. Léon    Vitani R. Léon  Icon_minitimeMer 12 Juin - 15:39

Voilliii Voillouuu !!!! :x
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MessageSujet: Re: Vitani R. Léon    Vitani R. Léon  Icon_minitimeJeu 13 Juin - 12:10

C'est parfait!

Fiche validée

Tu vas pouvoir faire dans demande de rang personnalisé dans la zone évènementielle, et ensuite, ouvrir ton compte en banque, ton journal et ta boîte aux lettres!!!
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