"Ennemi public numéro 1" ?

News & Infos

C'est ici que vous trouverez les dernières infos du moment, les utiles et moins utiles.

Temps actuel

Effectifs

• Eryllis: 3
• Ladrinis: 9
• Eclaris: 5
• Prêtresses: 5
• Cavaliers de S.: 5
• Nérozias: 6
• Gélovigiens: 3
• Ascans: 0
• Marins de N.: 4
• Civils: 15

Lien recherché

- Walter cherche de Preux chevaliers.
_ Raël veut des clients.
_ Deirdre a besoin d'employé!

Les Rumeurs

_ Il parait que des personnes hauts-placées seraient gravement malades.
_ Il parait que ça se bécotte "au bal de la Rose".
_ Il parait que des créanciers en sont après un des conseillers de Ridolbar.

Code par MV/Shoki - Never Utopia



 
AccueilAccueil  FAQFAQ  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  


-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 "Ennemi public numéro 1" ?

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: "Ennemi public numéro 1" ?   "Ennemi public numéro 1" ? Icon_minitimeJeu 16 Jan - 22:55



l'Ombre Souriante
Ou : "la Divine Comédie"



Torenheim
"Le joueur de tours, le maître des énigmes, le gardien des équilibres, l'être aux multiples visages qui trouve la vie dans la mort et ne craint pas le mal; celui qui passe au travers des portes." 


SURNOM: l'Ombre Souriante ou la Momie
AGE: Visiblement entre 27 et 29 ans.
SEXE: Masculin
PEUPLE: Terran
CASTE: Civil ... Si on veut.
METIER: Artiste, Philosophe, Poète, Chercheur, Alchimiste, Historien, Assassin, Conspirateur et Terroriste à ses heures perdues.


• • • • • • • • • • • •

ARMES PRINCIPALES:

Lilith & Alouka, "les Croc du Serpent" :

Torenheim possède un duo de deux dagues "papillons" d'argents au fil effilé, tranchantes comme des rasoirs. Ces armes fines, résistantes et élégantes permettent à un possesseur expérimenté un style de combat particulier, surprenant pour l'adversaire qui ne s'attend pas à ce que la trajectoire de la lame puisse dévier si rapidement.
Lilith et Alouka sont notamment chacune enduite de deux poisons distincts aux effets différents, mais tout aussi dangereux. 
Lilith est enduite d'un poison fait à base de venin de Nahagyl. Le venin de Nahagyl est un poison violent qui agit lentement, provoquant rapidement des hallucinations à la victime, puis la menant peu à peu à la folie. Après deux heures sans traitement, la victime voit son corps paralysé, jusqu'à ce que sa vie le quitte rapidement. Le venin présent sur la lame de Lilith est plus diffus que le venin originel, il ne fait que jouer sur la perception de la victime, sur sa résistance mentale, et est généralement non mortel. Toutefois, ceux qui sont touchés préfèrent généralement mourir que d'endurer les terribles effets de ce poison s'il n'est pas soigné rapidement.
Alouka est enduite d'un autre venin, différent du premier dans le fait qu'il est bien plus mortel. Une seule petite goutte concentrée suffirait à tuer un cheval en quelques minutes, ce poison très violent agit rapidement sur l'être vivant, s'attaquant à son système nerveux ne lui laissant généralement pas le temps de se demander si elle va survivre. L'enduit, moins puissant, a des effets engourdissant et endolorissant prononcés, la zone touchée se nécrose lentement alors que les nerfs de la victime sont attaqués. Si un simple contact n'est pas mortel, à forte dose le poison peut rapidement s'avérer fatal pour n'importe qui et ce très rapidement.
Ces deux poisons sont stockés dans des réceptacles situés dans les manches des lames. Son utilisateur peut aussi choisir de planter sa lame profondément dans sa victime et vider les réceptacles entiers en elle, lui offrant une dose concentrée de l'un ou l'autre des venins. Toutefois, les ingrédients de tels poisons sont rares, et cette action videra entièrement un des récipients, ce qui fait que Torenheim n'agit de la sorte qu'en cas de danger direct et lorsque il n'a pas vraiment le choix.
Torenheim éprouve une certaine forme d'affection pour ses deux "bijoux mortels" et les traite avec une attention presque paternelle, quoique morbide. Toutefois, il ne les utilise que très rarement, préférant se "battre" de manière bien plus originale, transformant tout objet entre ses mains expertes en arme. Il a aussi prit soin de se mithridatiser à ces deux venins, histoire qu'il n'ait pas de mauvaises surprises accidentelles. On dit qu'il ne saurait différencier ses dagues et donc que lorsqu'il les utiliserait, il ne saurait pas lui même quel poison il utilise ! Il prend ça comme un jeu de hasard : Comment vas-tu mourir ?

Ouroboros, la Lame Ophidienne :

Ouroboros est une arme qu'utilise assez rarement Torenheim. N'étant pas du tout attiré par l'art du duel qu'il considère comme un vulgaire combat de coq, il n'est que peu confronté à des situations de combat singulier qu'il préfère généralement éviter. Toutefois, cela ne va pas dire qu'il est démuni dans de telle situation : au contraire. Lorsque la magie, la tromperie ne suffisent plus, et qu'il ne peut utiliser quoique ce soit à porter de main comme arme, Torenheim daigne dégainer avec nonchalance la fine lame d'argent répondant au doux nom de "Ouroboros". Son manche d'un bois noble et vernis brille à la lumière. La garde est inexistante ce qui semblerait être une faiblesse. La lame elle même, très fine et très élégante gravé de runes étrange dans un métal extrêmement solide et léger surement de facture Sindarin, monte sinueusement sur la longueur d'un bras. Elle semble étinceler d'une aura étrange, miroitant de mille lueurs pâles et irisées captivant le regard de leur diffraction. Le tranchant acéré pourrait trancher la chaire comme du papier, tandis que la pointe perçante s'engouffrera sans aucune difficulté entre deux plaques d'armures. 
Cependant, Ouroboros n'est pas qu'une simple épée : sa spécificité réside dans le fait qu'elle est en réalité ce qu'on appel une "épée-serpent". Sa lame est en fait parsemée d'un mécanisme simple la permettant de se déplier à l'image d'une long fouet parcouru de multiple lames plus petites et tout aussi tranchante, le tout propulser à grande vitesse par un mécanisme plus complexe dissimulé dans le manche. Une autre fonction permet de simplement déplier la lame sans avoir à la propulser comme un crochet. Une tierce de déplier les multiple lame formant le tranchant sans pour autant déplier le fouet. C'est cette adaptabilité surprenante et cette capacité à changer rapidement d'arme et à surprendre l'adversaire qui rend la Lame Ophidienne si dangereuse, quoi que difficile à manier. Torenheim peut aussi bien s'en servir comme grappin pou l'escalade, la lame pouvant aisément supporter son poids.
Le nom même de la lame ne fut pas choisie au hasard : Ouroboros représente le serpent qui se mord la queue, symbole de l'infini et de l'absurdité du temps. Ce choix est d'une part dut au fait que la lame semble s'étendre à l'infini, ne mesurant que la longueur d'une bras replier, et pouvant atteindre plusieurs mètres déplier. Mais est-ce la seule raison ? Demandez donc à son propriétaire !
 
AUTRES POSSESSIONS:

Les possessions de Torenheim sont difficiles à définir précisément sachant qu'il en garde peu toujours sur lui. On pense qu'il a réussi à s'octroyer divers poisons et drogues par quelques larcins ou peut-être en les concoctant lui-même. Il n'est jusqu'à preuve du contraire pas en possession de catalyseurs, mais personne n’est allé vérifier, donc rien de sur. Il garderait avec lui des objets pointus ou tranchants en cas de besoin. Il a parfois sur lui une petite sacoche remplie de babioles étranges et sans grandes valeurs et autres objets incongrus : des bijoux de pacotille, quelques vielles médailles, du fil à coudre, une carte de tarot, un œil de verre, un miroir brisé, une clé rouillée sans serrure, une patte d'oiseau, des bandages de rechanges quelques herbes, et de petites boites à musique jouant de douces et étranges mélodies ayant chacune leur caractère qu'il semble collectionner. Il est a noté qu'il garde souvent à un serpent ou deux à l'intérieur, question de sécurité. Il semble avoir une certaine aisance à les mettre en confiance.

Catalyseur:

DON:

Grande Agilité // Adaptabilité développé

POUVOIRS:

Maîtrise des Ombres : Lorsque vous affrontez Torenheim, vous devriez faire attention, si ce n'est à lui-même, à toute ombre près de vous. Torenheim dispose du pouvoir de la maîtrise des ombres : de par sa pure volonté il peut manier, modeler les ombres, leur donner forme et consistance, autour de lui dans de multiples usages : le combat bien sur, mais aussi la discrétion, le vol, et toutes sortes d'activités plus ou moins légales. La "matière ombreuse" devient physique et libre à lui de changer sa forme. Le temps durant lequel il peut maintenir l'ombre dans cet état, et la quantité d'ombre qu'il peut manier dépend intégralement de la lumière ambiante. Plus celle ci sera importante, moins les ombres seront faciles à utiliser et à maintenir. Mais dans le noir complet, Torenheim est entièrement à son avantage. De plus, quand l'obscurité est suffisante, Torenheim peut utiliser l'ombre telle une porte vers une autre ombre, se déplaçant instantanément d'un point à un autre sur une dizaine de mètres. Si elle est moins coûteuse qu'une véritable téléportation, cette manipulation est limitée par les ombres nécessaire à son utilisation et Torenheim ne pourra pas utiliser les ombres comme des portes si celle ci sont trop éloignées, peu nombreuses, ou rien que s'il est trop affaibli.

Hypnose : Torenheim est un excellent manipulateur de nature, mais là où le destin semble avoir été cruel avec ses ennemis, c'est que ce dernier possède le don de parler directement à votre subconscient pour le persuader, modifier sa vision de la réalité. Peu importe les mots, l'important est la voix, ce pouvoir étant canalisé dans cette dernière. Et sans que vous vous en rendiez compte, Torenheim pourrait très bien infiltrer votre esprit de milles et unes idées tordues, et plus votre conscience sera faible, plus elle sera facile à manipuler pour lui. Vous persuader que votre allié est un traître, qu'il est lui même victime d'une conspiration, ou de manière plus vaste vous persuader que quelque chose existe sans avoir a en parler, et la montrer sous vous yeux alors qu'il ne s'agit que d'une illusion. Sa maîtrise de l'hypnose est telle qu'il pourrait très bien, s'il atteint votre subconscient profond, vous persuader que vous souffrez, ou bien que vos pouvoirs ne fonctionnent plus : dans les faits réels, ça ne sera pas le cas bien entendu. Mais vous en serez tellement persuadé, que vous serez incapable de faire une manifestation de vos dons ! Du moment que Torenheim atteint le siège de votre subconscient, il peut modeler votre perception du monde et vous plonger dans un monde illusoire, et bien qu'il n'y ait aucun risque pour votre corps, les dégâts sur votre esprit pourrait laisser des traces. Lorsque la victime se rend compte qu'elle se fait manipuler, elle a alors la possibilité de se sortir de l'hypnose, mais cela demande une grande force mentale et un caractère d'acier pour s'auto-persuader de la supercherie. L'hypnose fonctionne du moment que vous avez une conscience si limité soit elle : plus elle sera faible, plus facilement Torenheim pourra l'influencer, et inversement.
 

Dévoreur : Ce pouvoir particulier et pourtant très utile permet simplement à Torenheim de générer une aura de "dévorement" lui permettant de drainer votre énergie magique et physique. Celle-ci n'a qu'une portée d'un ou deux mètres, mais a l'avantage d'être invisible et très discrète. Le drain est lent et dur sur le long terme, mais il est difficile de savoir quand il est actif ou non. Tant que c'est le cas, Torenheim vole peu à peu vos réserves magique, la fatigue vous gagne très lentement, alors que la sûreté et la maîtrise de vos pouvoirs sont comme amoindries, dérangées, ils se trouvent de plus en plus déstabilisés, tandis qu'il gagne en vigueur et en pouvoir. Cela ne lui permet aucunement de se soigner, mais simplement de régénérer sa force au détriment de la votre, un pouvoir aussi insidieux que subtil. Bien sur, la magie drainée en plus des "réserves totales" de Torenheim se dissipe rapidement après le drain, il a tout de même un temps pour l'utiliser. Toutefois la magie drainée par le dévoreur ne peut être réutilisée par le sort de dévoreur lui même, et celui-ci s'épuise lentement au fil du temps, devant se recharger de manière habituelle quoi que le processus soit plus rapide.

Transfert d'Âme : Sans doute le pouvoir le plus étrange et le plus dangereux de Torenheim. Ce dernier a longtemps travaillé sur les mystères de l'âme et ses recherches lui ont permit d'apprendre bon nombre de choses. Le pouvoir du Transfert d'Âme se divise de deux manières.

Le transfert partiel permet à celui qui l'utilise de transvaser une partie de son essence dans un corps étranger. Cela peut être un petit animal par exemple (jamais plus gros qu'un homme), ainsi Torenheim peut supplanter la volonté de la créature et prendre le contrôle de son corps pendant un temps relativement court, après quoi l'âme retourne à son corps tandis que l'animal meurt. En prenant l'exemple d'un oiseau, la conscience de Torenheim sera à proprement dite dans l'oiseau. Toutefois cette pratique et dangereuse, car le corps de ce dernier restera immobile et sans défense, sans que son propriétaire ne garde aucune information sur son état. 
L'autre alternative, où le Transfert prend une dimension bien plus grave, c'est lorsque Torenheim décide de transvaser l'intégralité de son âme dans un autre corps. Le procédé est long, difficile et dangereux. Il doit rester en contact permanent avec la victime, cela prendra une dizaine de minutes pour un animal, plus d'une heure pour un homme sachant qu'il ne peut le faire que sur un autre Humain. L'âme de la victime elle se trouve alors projetée dans l'ancien corps de Torenheim, si elle survit au transfert. Une fois le corps possédé, son voleur est extrêmement affaibli aussi bien de manière physique que magique. Le corps garde sa physionomie (âge, maladie, corpulence, blessures, etc) mais les traits de Torenheim prennent rapidement le dessus sur ceux de sa victime, et au bout de quelques jours, le visage de ce dernier aura remplacé celui de son hôte, ne permettant aucune subtilisation d'identité si ce n'est très courte. En plus de la faiblesse, le remodelage des traits est une étape extrêmement douloureuse, lente et constante, pouvant être ralentie, une torture difficile à imaginer pour un non initié, sans parler de la douleur de l'âme arrachée à son corps et replantée ailleurs qui rend la plupart des autres douleurs bien supportable en comparaison. Mais Torenheim ne semble pas prêter beaucoup d'importance à son intégrité physique et mentale.
Le plus difficile dans le Transfert d'Âme consiste à séparer l'âme du corps, une fois ce travail fait, le reste est une promenade de santé en comparaison.

note:


SPECIALITES:

Mémoire surdéveloppée : En plus de son intelligence très développé, Torenheim jouit d'une mémoire quasi-absolue. Chaque élément qu'il voit, chaque donné qu'il intègre, chaque détail qu'il apprend sont gravé à jamais dans son vaste esprit, et ce dernier peut à sa guise puiser dans sa "bibliothèque mental" pour trouver le moindre petit élément important, si subtil soit-il.

Art de la Guerre : Torenheim ne se bat que rarement en duel, il dit ne pas aimer la violence et les combats de coq. Il n'est pas du genre à utiliser ses armes, il préfère s'amuser à utiliser ce qu'il a sous la main. Il n'en a pas l'air avec son physique, mais il dispose de talent meurtrier et prend par surprise ses ennemis. Briser un miroir pour vous trancher la gorge avec un éclat, dévier votre coup pour que vous frappiez votre allié, ou encore dégainer votre propre épée avant vous pour vous la planter dans le ventre, c'est ce qu'il préfère. Son agilité et ses réflexes hors du commun lui permettent ce genre de fantaisies.

Trompeur : Mieux que la lame du poignard, Torenheim manie la lame de la parole avec une efficacité certaine, emmêlant le faux et le vrai, vous faisant croire ce qu'il veut, vous incitant à croire ce qui l'intéresse.

Absence d'empathie : De par sa folie, Torenheim est incapable de ressentir le moindre attachement, la moindre émotion humaine. Il semble se rire de la mort, et la plus belle des dames ne saurait le charmer, tout comme le plus pur des enfants ne pourrait éveiller une quelconque pitié dans son cœur vide. Sa folie rend son esprit très difficile à manipuler qu'à comprendre.


• • • • • • • • • • • •

Décris-moi comment je te vois...


Un bien étrange personnage qu'est le tristement célèbre Torenheim. Sans même que vous le connaissiez ou que vous ayez entendu parler de lui, il est difficile de rester ... Disons "insensible à son charme si particulier".

Torenheim est un jeune homme d'une trentaine d'années au corps fin, svelte, et portant solide, endurci pas ses années d'errances. L'expression changeante, il semble pouvoir s'adapter à n'importe quel rôle, mais ne vous fiez pas aux apparences, avec lui cela pourrait s'avérer dangereux... Ses cheveux courts, mal coiffés d'un brun tirant sur le marron, sont cachés par une capuche de tissu foncé qu'il porte constamment, dissimulant une partie de son visage dans l'ombre, ne laissant voir que son sourire amusé. Généralement vêtu de vêtements légers : une longue cape sombre, avec manches courtes et capuche, rongée par les mites, recouvre une partie de son corps lui donnant des allures de spectre. Elle est marquée de motifs géométriques complexes semblant n'avoir qu'un but purement décoratif. Il porte aussi un pantalon troué, vieux et ample, preuve qu'il n'accorde que peu d'importance à son apparence, ce qui le fait ressembler à une sorte de mendiant. Mais dans son accoutrement, la chose qui surprend le plus est bien évidemment les multiples bandages qui recouvrent tout son corps de ses pieds déchaussés à son visage, couvrant son torse et ses bras longs, fins et agiles, jusqu’au bout de ses mains aux doigts de pianiste. Ses bandelettes étranges n'ont cessé de nourrir la curiosité des gens qui le côtoient, et Torenheim s'amuse toujours à trouver milles et une histoires étranges pour expliquer leur provenance. Accident, tentative de meurtre, de suicide, ou encore simple goût esthétique : personne ne connait l'exacte provenance de ce choix, et c'est à se demander si Torenheim la connait lui-même...

Ses vêtements pour le moins atypiques vont de paire avec l’attitude du personnage. En effet, Torenheim adopte souvent une posture décontractée, à la limite de la désinvolture, lui offrant un certain « charme » qui lui est propre. Il pourrait mesurer bien plus d’un mètre 80 s’il se tenait droit ! Mais il garde le dos courbé, à la manière d’un serpent prêt à mordre, les mains accrochées à ses poches par ses pouces. Sa démarche lancinante, fluide, ses gestes font preuve d’une agilité et d’une grâce méconnues. Mais le plus étrange chez lui n’est ni cette désinvolture absolue, ni même ces affreux bandages qui le font ressembler à une momie! Non, le plus « dérangeant » est son visage. Sa peau lisse et pâle se marie parfaitement à ses traits d’une grande froideur semblant avoir été dessinés par un artiste dérangé. Son nez sans défaut caché par une nouvelle bandelette surmonte deux lèvres fines et gercées, quoi que bien dessinées, arborant presque constamment un sourire énigmatique, un sourire narquois, cruel et méprisant qu’il adresse sans distinction aux nobles comme aux roturiers. Ce sourire trahit un amusement non dissimulé que personne ne peut saisir. Cette expression quasi-constante qu'il garde même dans les moments les plus durs, même lorsque sa vie est en jeu, si elle est au début agaçante, peut rapidement devenir oppressante : qui sait ce qui se cache derrière ces manières et cet horrible rictus ? C'est comme si rien ne lui faisait perdre son assurance, comme s'il savait déjà tout à l'avance et qu'il s'amusait des gesticulations et des jérémiades des mortels comme d'un divertissement malsain. Et son regard. Ses yeux, cachés dans l’ombre, ne sont que deux éclats d’où ses iris perçants, témoignant d'une grande intelligence, peuvent se poser partout en quelques secondes, semblant mémoriser chaque objet, scanner chaque personne, transpercer chaque secret, chaque âme. Des yeux vides d’un gris clair, sans lumière, simplement deux miroirs où se perdent les âmes, et dans lesquels brille constamment cette lueur abjecte de folie profonde.

Torenheim semble très difficile à cerner. Au premier regard il est très louche, étrange, dérangeant, mais son bagou, son aisance, son intelligence et sa capacité à "trouver les mots" font de lui quelqu'un d'intéressant, d’envoûtant et de persuasif, tel le serpent tentateur biblique,  dans le jardin d'Eden. 

Décris-moi comment tu penses...


Qu'est ce qui se cache sous les bandages de Torenheim ? Bien des choses me diriez-vous. De quelle nature ? Vous voulez vraiment le savoir ? Très bien. Mais avant, vous devez assimiler certaines choses. Pour comprendre cet homme, il faut vous détacher de ce que vous savez. Oubliez ce que le monde vous a appris, car tout ceci n'est qu'illusion. Effacez de votre mémoire les sourires et les regards de ceux que vous côtoyez, car ils ne sont que des larmes dans l'océan déchaîné du temps. Abandonnez toutes vos certitudes, elles sont autant de remparts qui vous séparent de la vérité, purifiez votre conscience de toutes donnés parasites qui obstrueraient votre vision. Si vous voulez réellement comprendre, fermez les yeux, et tentez de voir avec d'autres yeux que les vôtres. Plongez-vous dans cet état de virginité spirituelle, et laissez-vous emporter par la mélodie de la boite à musique.

Torenheim est un homme mystérieux qu'il est très difficile de percer à jour. Avec lui, la vérité et le mensonge se mêlent, s'intriquent et se contorsionnent à tel point qu'il n'est pas chose aisée de séparer le vrai du faux. Mais vouloir le faire est-il la bonne solution ? Rien n'est moins sûr. Au premier abord, Torenheim est un être étrange, irrespectueux et ... pour le moins original. Il semble détaché du monde extérieur, comme si rien ne pouvait l'atteindre, comme si tout le traversait sans le toucher. Il passe son temps à sourire et a observer ce qui l'entoure, il a l'air de s'ennuyer. Il est ainsi en toute circonstance, que cela soit dans un bar à discuter avec un civil, ou bien face à un homme très influent comme un prince ou un roi, Torenheim restera fidèle à sa désinvolture, faisant preuve d'un humour amer, se comportant comme si les bonnes manières n'étaient qu'hypocrisies. Il s'affale sur les trônes, se tiens accroupi au bord du vide à la fenêtre, il s'amuse avec un rien pendant qu'on lui parle, écoutant seulement d'une oreille son interlocuteur (s'il l'écoute...). Les galons, les médailles, les couronnes ne sont rien à ces yeux, rien que des moyens de se persuader que notre existence vaut quelque chose. Cette impertinence, il la garde même face à la mort, lorsque la situation ne laisse présager aucun espoir et que l'on n’aperçoit aucun salut possible. C'est comme si ... Il se fichait de sa propre vie, comme si pour lui elle avait autant de valeur que celle des rois, que celle des mendiants, autrement dit : aucune.

Toutefois Torenheim n'est pas qu'un simple agitateur qui aime faire parler de lui. Il n'a jamais été attiré par les foules, la gloire, la célébrité, ou même le pouvoir : il n'y voit qu'une preuve de plus de la faiblesse des hommes, qui ont le besoin de se bercer d'illusions pour se sentir exister. En vérité, sous ses aspects de mauvais farceur, c'est un chercheur disposant d'un savoir défiant celui des Eclaris, que cela soit dans la science, l'histoire, la magie, l'alchimie, Torenheim a assimilé bien des connaissances. Il semble s'intéresser à tout de près ou de loin, de la constitution d'une rose des champs au fonctionnement d'un royaume. Sa curiosité ne connait pas de limites, et pour apprendre, tous les moyens sont bons. Comme il le dit lui-même, appliquant un principe de base en science : "Si vous voulez savoir à quoi sert quelque chose, supprimez-la." et cette loi, il l'applique sans se soucier des répercussions. Il a beaucoup voyagé de par le monde, se rendant d'un bout à l'autre de la carte pour en apprendre le plus possible sur les secrets de la réalité. Il su rester discret et enquêter longtemps, fouillant des dizaines de bibliothèques, interrogeant un grand nombre de savants, explorant les lieux oubliés sous les sables du temps. Rien ne semble le freiner, rien ne semble satisfaire cette envie.
 
Ce que cherche Torenheim ? Nul ne le sait. Lorsqu'on lui pose la question, il répond souvent par cette double énigme : "Imagine une vaste tapisserie, d'une complexité et d'un réalisme tel que quiconque poserai les yeux dessus serait persuadé de voir à travers une fenêtre. Imagine sur cette toile, un fil unique, décousu, pendant misérablement. Que se passerait-il si on tirait sur cet unique fil, un rien à côté de l'immensité de l'œuvre ? Et surtout, plus important, qu'est ce que l'on trouverai derrière cette œuvre ?".

Plus qu'un scientifique, Torenheim est un "artiste". C'est un excellent pianiste et un violoniste d’exception, ses mains expertes pouvant faire vibrer les notes jusqu'au plus profond de votre âme, vous touchant de sentiments intenses. C'est aussi un esthète qui aime voir la beauté où elle se trouve, bien que ses goûts soient pour le moins ... Particuliers. Son savoir mêlé à son intelligence peuvent le rendre intéressant, à condition qu'il ait décidé de vous le montrer. Il aime voir les choses "avec d'autres yeux", comme il le dit, voir ce que seul l'art peut montrer. Peinture, musique, poésie, et plus vastement jusqu'à la philosophie, Torenheim se plait à se dire artiste en plus de chercheur, bien que sa définition de l'"Art" soit assez particulière. Et s'il y a un art qu'il favorise, c'est celui du théâtre. Il n'est pas rare qu'il se rende discrètement à une représentation pour s'amuser un peu, il apprécie autant les tragédies que les comédies, car pour lui les deux sont aussi proches de la réalité. Mais là où cette passion devint dangereuse, c'est lorsqu'il décida de monter sa propre pièce. Ou plutôt de participer activement à la plus grande jamais conçue : le Destin. Car à ses yeux, la destinée est une vaste plaisanterie, un jeu qu'il faut prendre avec le sourire, jamais au sérieux, simplement pour s'amuser. Et le plus drôle dans cette farce universelle, c'est que même si tous portent des masques, personne ne semble se rendre compte de l'absurdité du scénario, personne ne semble se rendre compte que chaque vie n'est qu'un rôle dans l'œuvre magistrale, sans aucune valeur individuelle, que le sol sous chaque pied n'est que planche d'une scène, que le ciel n'est qu'un rideau. C'est comme s'il était le seul à savoir qu'il n'est qu'un personnage et non une personne, que sa mort n'était jamais une vraie mort, que sa vie n'en était qu'une parodie, comme s'il savait qu'il ne pouvait rien contrôler et que voir combien les mortels s'y essayait à s'en rendre fou l'amusait. Il a accepté que la vie n'était qu'une mauvaise blague, une vaste pièce de théâtre, une Divine Comédie. 

Mais qu'est-ce qui se cache derrière le voile ? Sadique, mauvais, retors, cruel, sans cœur ni pitié, et surtout animé d'une folie malsaine, tel est le vrai visage de Torenheim. Son âme noire est rongée par une horreur innommable, une "ombre de démence" diront ceux qui se pensent sages. Mais lui n'y voit que la Réponse. Ce n'est pas qu'il prenne plaisir à faire souffrir les hommes, c'est qu'il aime leur montrer la réalité, leur rappeler leur faiblesse, l’insignifiance de leur existence. Leur rappeler qu'un rien suffit à achever une vie, à changer un monde. Qu'on le voie comme un monstre sans vergogne, comme un malade mental, ou comme un anti-héros en quête de vérité, Torenheim n'en a cure. Il est un peu les trois à la fois. Il se fiche de ce qu'il est. Il n'éprouve ni compassion, ni pitié à l'égard de personne. Aucun être ne saurait éveiller chez lui la moindre empathie, le moindre attachement, il n'éprouve rien de tout cela. Rien qu'un profond mépris pour les vivants, et un amusement malsain à les voir bouger dans tous les sens. C'est un très grand manipulateur, aussi bien à titre de trompeur individuel, pouvant vous faire gober n'importe quoi à n'importe qui, qu'à titre de conspirateur, pouvant plonger des pays entiers dans l'anarchie en poussant un seul domino. Derrière ses manières, c'est un homme extrêmement intelligent, un génie même ! Mais ses raisonnements et sa manière de voir les choses sont marqués par sa folie profonde. Ce n'est pas de l'originalité, c'est de la démence. Une démence dangereuse qui le rend totalement imprévisible. C'est aussi un voleur, qui prend ce qu'il veut quand il le veut sans se soucier des lois. Cependant comme vous l'aurez compris, il est très loin de vouloir le pouvoir, car ces vanités ne sont que des mensonges de plus à ces yeux. Il prend plaisir à regarder le monde s’entre-déchirer comme on regarde une pièce de théâtre ; faire naître la discorde par-ci par-là pour regarder les royaumes sombrer de par leur propre bêtise, et voir comment les gens réagissent, les voir paniquer, tenter de reprendre le contrôle, ou bien de tirer profit de la situation. Il est comme un spectateur passif désabusé, un scientifique qui teste un sujet d'expérience. Rien ne le divertit plus que de voir un monde brisé puis refait à neuf, de modifier la course d'une vie ou de l'Histoire elle-même, de jeter à terre les espoirs des hommes tout en portant les ambitions des autres jusqu'à des sommets insoupçonnés. C'est un esprit joueur et destructeur qui se cache derrière ces bandages, rusé, et aussi désintéressé des conséquences de ses actes qu'il en est amusé. Torenheim est comme un enfant jouant avec une gigantesque fourmilière, taquinant ses habitants avec un bâton et riant de leurs tentatives désespérées de se défendre. De son talent d'acteur, il sera même du genre à se faire passer pour ce qu'il n'est pas, à noyer le poisson, tourner autour du pot, simplement pour chasser l'ennui. Ce qu'il aime, c'est rire. Rire du malheur, de l'injustice, de la vanité, de l'ironie du sort, même de la mort. Rire du chaos. Rire du monde. Car tout n'est qu'une blague. Absurde, vide de sens. Stupide. 

Il se moque de sa propre vie, qu'il puisse mourir ou pas, quelle importance ? A quoi bon être le plus puissant quand on est sûr de gagner ? Aucun intérêt puisque tout redeviendrait insipide. Un but ? Ah si Torenheim était si simple ... Mais non. Il n'a pas de but. Ni "détruire le monde", ni "faire parler de lui", pas de désir de vengeance, d'influence, ou quoi que ce soit de la sorte. Simplement semer le chaos, le changement, partout, observer et rire. Avoir un but, c'est avoir une fin, c'est imposer une limite à la conspiration, créer une barrière contre le chaos, une logique, un sens. Et au final, c'est tuer le changement lui même, finir le jeu, achever la comédie, ce qui serait d'un ennui ! Torenheim tue pour tuer, manipule pour manipuler, il n'a visiblement aucun but logique, et il continuera à jouer avec le destin du monde jusqu'à ce que la Mort le prenne... Ou tout du moins, si elle y parvient. 

N'est-il qu'un monstre de folie n'ayant pour seul ambition de porter le chaos ? Un pauvre fou persuadé de la stupidité de la création ? Un artiste qui voit la beauté dans la discorde et la destruction ? Un chercheur de génie étudiant jusqu'au fondation même du monde ? Ou peut-être un simple enfant qui observe en souriant la complexité et la simplicité de ce qui l'entour ? Au final, Torenheim est peut être un peu tout ça à la fois. Juste un être à l'image du monde et qui veut retourner au monde : oublié, simple, double, simple, sombre.

Raconte-moi ce qu'a été ta vie...


Très peu de chose sont connu de l'histoire du dénommé Torenheim, et avant l'affaire du double-meurtre dans laquelle il fut impliqué son nom ne disait rien à personne. Et si maintenant ses sinistres bandages et son sourire glacé sont de renommé mondiale, personne ne peut se vanter de connaître avec exactitude les antécédents de ce curieux personnage dont le passé est auréolé d'un linceul impénétrable de mystère. Certains pensent qu'ils fut jadis parti des Eclaris, ce qui expliquerait sa soif de connaissance et son vaste savoir. D'autres supposent qu'il n'est qu'un pion au main d'un conspirateur encore inconnu. D'autres encore le voient comme un fou, sans passé ni avenir, un malade simplement en mal d'existence. Au final, toutes ces théories n'ont aucune importance, ce qui nous intéresse étant la Vérité.  Mais quelle vérité ? Etant donné qu'il semble ne posséder aucune famille ni n'avoir aucun proche, le plus "sûr" est encore de demander à l'intéressé lui même. Et puisque nous ne pouvons pas remonté plus loin dans son histoire qu'à l'affaire de la mort de Dreak et Kodran, nous reste seulement le présent : un présent sombre, froid et humide, quelque part à six pieds sous terres dans la ville tristement célèbre d'Umbriel, dans une cellule isolée de la prison des damnés. Sur le sol poussiéreux, entouré par le silence et les ombres, il est assis en tailleurs. Il attend. Il sourit.

***
Tu danses doucement. Tu tournes encore. ♪
Insouciant du changement qui te suis sans remords. ♪
Tu tourne le dos, autour du pot. ♪
Le temps qui passe n'est qu'un vain mot. ♪
Toi tu ne change pas, tu restes toujours égal. ♪
Qu'importe ce qui t’entoure, que ce soit bien ou bien mal. ♪
Tu tournes toujours, dans le temps et l'espace. ♪
Tu tournes toujours, sans espoir, sans audace. ♪
Simplement pour tourner, encore dans le même sens. ♪
Simplement exister, sans que personne n'y pense. ♪
Sans que personne ne voit combien ta danse est bête. ♪
Comme une pauvre gamine qui danse sans raison. ♪
Sans que personne n'en soit jamais à la tête. ♪
Car si c'était le cas la danse ne tournerait pas rond. ♪

Tu danses depuis bien longtemps, Monde. Mais ça tout le monde l'a oublié.
"Oublié" comme toi qui tourne pour l'éternité.
Cette danses si simple. Double. Simple. Sombre. Que toi seule connais ...

C'est notre petit secret. ♪

***
Dans sa cellule au fond de l'Umbriel, Torenheim attendait patiemment en rêvant. Qui sait quels pensées hantaient son esprit ? En tout cas, pas les gardes de sa geôle. Et à dire vrai, ils s'en fichaient eux. On leur avait dit "Gardez ce malade mental enfermé et veillez à ce qu'il ne puisse rien tenter ! Ils nous a déjà causé assez de soucis !", et eux, ils n'avaient pas le choix. Le choix, c'est un luxe que bien peu de monde peut s'offrir aujourd'hui. Même les hommes les plus puissants d'Isthéria n'ont pas le choix, ils font simplement ce qu'ils ont à faire. Alors vous pensez bien que deux pauvres gardes ... ! Tout ce qu'ils savaient, c'était qu'ils pourraient tirez un peu d'argent de boulot minable, histoire de nourrir un peu leur famille, gâter leurs enfants, peut être un jour sortir de ce trou à rats. Oh oui ! Il leur en avait causer du soucis ce Torenheim ! C'est pour ça qu'on l'avait transféré ici d'ailleurs. Dans une cellule vide. Non non, vraiment ! Vide ! Pas de matelas, pas de toilettes, pas de babioles, rien. Pourquoi ? Parce que ce gars là pouvait transformer tout ce qu'il touchait en moyens de tuer. Les couverts de la cantine pour trancher la gorge d'un autre détenu qui jouait les caïds, c'était que le début ! Étrangler un autre avec ses propres chaines, manquer de faire s'étouffer un troisième avec une boule de pain, trancher l'oreille d'un garde avec sa propre épée, c'en était trop. On avait bien essayé de le sanctionner, mais la torture n'avait aucun effet sur lui, il ne faisait que rire et rire encore au nez de ses bourreaux. Alors on l'avait mit là, histoire d'être plus dérangé, et pour être sur, on avait changer ses menottes par une sorte de camisole de force. On est jamais trop prudent avec les gars comme Torenheim...

Pourquoi on ne l'avait pas exécuté ? C'est une bonne question. On aurait put bien sur, si cette folle d'Inquistrice Noxis ne s'y était pas opposé. Pas ouvertement bien entendu ! Mais elle fait jouer de ses relations pour épargner la vie de Torenheim. Depuis l'arrivé de ce dernier à Umbriel c'est elle qui l'a prit en charge, et ça paraissait logique : le dame Noxis était l'Inquisitrice la plus compétente de tout Umbriel. Une Sindarin sans pitié prête à tout pour faire régner l'ordre dans la prison des damnés, et capable de faire avouer même les crimes qu'ils n'avaient pas commis aux pensionnaires les plus robustes. Oh non, ne vous fiez pas à son visage d'ange : elle a moins de pitié et de respect pour qui que se soit qu'un Lhurgoyfs sous sa forme "démoniaque" ! Mais elle est fidèle bien sur, aveuglément fidèle. En fait, c'était un peu le bras droit du Veilleur, vous voyez ? Son chien de garde. Elle ne le trahirait jamais, et il était le seul à qui il lui arrivait de sourire. Il avait foi en ses capacités, et jusqu'à présent elle ne l'avait jamais déçu. C'était aussi grâce à elle que la prison était aussi sur, elle imposait le respect naturellement avec sa poigne de fer. Mieux valait ne pas la sous-estimer. Personne ne résistait bien longtemps au traitement de la dame Noxis, cette folle était capable de tout pour imposer sa volonté ou pour faire cracher le morceau à quelqu'un, et elle comptait bien délier la langue de ce serpent de Torenheim. Apparemment, la première chose qu'elle lui aurait dit fut que d'ici un ou deux jours, ce dernier aurait tout avouer sur l'affaire qui l'a mené là. Et ce dernier n'aurait répondu que d'un simple sourire. Ah non ! Il a dit quelque chose ... quelque chose de bizarre. Il lui a dit :
- Oh vraiment ? Quel bonne blague. Vous devez aimer la plaisanterie non ? Et bien laissez moi vous raconter une histoire drôle ... Et bien qu'elle soit plutôt longue à ne plus en voir le bout ... Je suis sur que vous en ... apprécierez la chute.
Et puis il n'a plus rien dit, s'enfermant dans un mutisme insuportable. Aujourd'hui encore, Torenheim n'a rien révéler et reste entouré d'un mystère impénétrable, à tel point que l'Inquisitrice commence à perdre son assurance légendaire. Chaque tentative se soldait par un nouvelle échec, toujours plus frustrant pour la Sindarin. C'est qu'elle s'acharnait la petite ! Elle voulait absolument savoir ! Comme dirait Torenheim "après tout c'est ce que nous voulons tous : savoir". D'ailleurs ça le faisait bien rire, lui, cette situation. On l'a jamais vu sans ça, sans ce sourire. Il trouvait peut-être tout ça amusant.

C'est vrai que depuis quelques temps, l'ambiance à Umbriel était ... "Drôle". Et pas dans le bon sens du terme, elle était vraiment bizarre, genre plus que d'habitude. C'était silencieux. Très silencieux... Comme le calme avant la tempête. Y avait comme une tension, de l’électricité dans l'air, comme avant un orage. Tout le monde était un peu sur les nerfs, les gardes comme les prisonniers. Peut être le changement d'attitude de la dame Noxis ? Elle qui représentait l'ordre et la droiture, elle était devenu tellement frustrée qu'elle en était dangereusement irascible. Elle a même planté la main d'un de ses officiers qui lui avait dit un mot de travers, en le regardant avec un ces yeux de tueur. Y avait pas a dire, elle faisait vraiment peur quand elle voulait, et en ce moment encore plus. Elle avait tout tenté pour le faire parler, tout ! Elle avait rapidement abandonné - à regret - la torture physique, car l'intéressé se riait de la douleur, ce qui était très agaçant ! On avait beau le lacérer, le fouetter, lui briser les os, les régénérer et recommencer, il clamait haut et fort qu'on le chatouillait. La torture psychologique n'avait pas mieux marché, c'était en fait plutôt le torturé qui torturait ses tortionnaires ... ! Ce don qu'il avait pour percer tous les secrets de quelqu'un simplement en le regardant, et réutiliser ses informations pour le briser mentalement était proprement terrifiant. La dame Noxis avait même fait une chose que jamais elle n'avait fait auparavant : tenter de marchander. Quand elle lui a proposé sa liberté - ce qui bien sur était un mensonge - Torenheim à doucement rit en disant :
- La "liberté" ? Je pensais que vous aviez passé l'âge des contes pour enfant. 
Et face au dépit de la Sindarin et à son énervement, il a rajouté :
- De plus, vous savez pourquoi je suis ici ? Parce que je l'ai décidé. Et vous savez pourquoi j'y suis toujours ? Parce que je ne veux pas encore sortir.
L'Inquisitrice était toujours plus frustrée : elle, si fière, mené par le bout du nez par un petit prétentieux de moins que rien ? Et bien soit, mais il fallait qu'elle sache. C'était son devoir d'Inquisitrice. Frustrée seulement ? Non. Elle avait peur. Personne ne savait ce qui se disait dans les interrogatoires privé entre elle et le prisonnier, mais la dame en ressortait comme "fragilisée". Avait-elle peur pour son poste ? Peur de décevoir le Veilleur ? Peur peut être pour sa vie ? Il fallait dire qu'on ne plaisantait pas avec la réussite chez les Inquisiteurs d'Umbriel. Elle devait coute que coute savoir. Elle a même était jusqu'à lui proposer son corps. Il faut dire que la belle était ravissante ! Ses longs cheveux d'or, son visage de porcelaine, ses formes généreuses et misent en valeur ... Encore une fois, Torenheim s'est contenté de sourire. Il a répondu que "les baisers ne savent jamais ce que les lèvres pourront dire". Torenheim et ces phrases sans queue ni tête... 

Mais il n'y avait pas que ça qui avait changé. Il y avait l'atmosphère. Que cela soit Torenheim ou la dame Noxis, partout ou l'un d'eux aller, paf ! Le silence. C'était sans doute la dame qu'ils craignaient le plus, mais le détenu les mettait ... mal à l'aise. Il mettait tout le monde mal à l'aise. Son allure d'abord, ses manières, et surtout maintenant ... ses capacités. C'était le seul de la prison qui avait encore le sourire aux lèvres, chez tous les autres, le sourire s'était envolé. C'était comme s'il s'amusait ici, comme s'il observait comment les choses évoluaient. Il restait calme. Observant les cellules s’agiter dans tous les sens. Il observait, regardait les visages, la sueur sur leurs fronts, leurs cernes. Il continuait d’apprendre. Pourquoi s’agitaient autant ? Pourquoi se posaient-ils autant de question ? Ils ne s’étaient jamais posé de question avant, ils n’avaient que mener leur existence vide de sens. Maintenant que le changement s'annonçait, pourquoi le craignait il tant ? Pourquoi tiendrait-il tant à leur quotidien, alors que de toute façon il n’avait jamais réellement vécu ? Bien sur, pas grand monde pensait à lui, tout ce qu'ils savaient c'était que ce gars était un dangereux psychopathe. Le reste ils s'en fichaient : ils avaient d'autres problèmes. Tout le monde a ses problèmes, non ? Bon ... Pas Torenheim visiblement. Lui il sourit et il dit des trucs sans queue ni tête. Et il tue aussi. Mais ça il était pas le seul à Umbriel, tout le monde avait tué ici. C'était un endroit hors du temps et de l'espace, un peu comme un enfer, avec ses mœurs, sa hiérarchie, son équilibre fragile. Le Veilleur, qui comme son nom l'indique gardait un œil sur tout ce qui bougeait dans la prison, il était au sommet de la pyramide. Juste en dessous, on avait les Inquisiteurs, et Dame Noxis à leur tête, qui assuraient l'ordre et supervisaient les différentes taches. Puis les gardes, de simples hommes et femmes, et comme partout on en avait pour tous les goûts : des rigides intransigeants, des couards tremblants ou des abrutis arrogants. Des gardes quoi, ni plus ni moins. Et puis enfin, les prisonniers, et encore une fois c'était tous les genres : tueurs en série, terroristes, traîtres à leur nation, psychopathes, chefs de bandits, bref, que du beau monde. Tout cela formait un milieu dangereux, mais régit par un équilibre de la terreur, et une volonté de fer. Un environnement sous pression, et peut être le lieu le plus sécurisé de tout Isthéria ! C'est qu'il fallait pas rire avec tout ces malades enfermés là ! Il n'y avait jamais eut une seule évasion, et le moindre incident était rapidement et très sévèrement réprimandé. La sécurité ne plaisantait pas, c'était un besoin vitale que tout soit maintenu en ordre ! 

Du moins ... c'était vrai au début. Avec le temps, Umbriel a peu à peu commencé à se reposer sur sa réputation. Certains gardes éloignés des Inquisiteurs se permettaient d'abuser de leur force sur les prisonniers, d'autres laisser les bagarres éclater, et prenez les paris. Un prisonnier de plus ou de moins, quelle importance ? Même certains Inquisiteurs avait commencé à faillir, il ne s'agissait que de rares cas rapidement trouvés et ... "démis à vie" de leur fonction, mais certains ont déjà essayé de tirer profit de leur statu à des fins personnelles. En fait, la situation à Umbriel avait déjà commencé à changer avant l'arrivé de Torenheim. C'était normal après tout : tout change. Le changement, c'est une part intégrante du monde. Pas besoin de le provoquer intentionnellement, il arrive toujours tout seul. L'arrivé de Torenheim n'avait fait que ... précipiter les choses en fait. L'a-t-il fait exprès ? Aucune idée. Toujours est-il que ça tourne plus rond à Umbriel. Quelque chose se préparait, et avec la dame Noxis qui lachait prise, trop occupée avec l'interrogatoire de son prisonnier préféré, ça partait en roue libre. Mais personne semblait s'en rendre compte, chacun pris dans sa petite bulle. C'est vrai, c'était très insidieux, on voyait rien de l'extérieur, mais de l'intérieur ça se sentait ... Ça puait même. Aujourd'hui, la dame avait encore mené un interrogatoire sur Torenheim. Et encore une fois, elle en est sortie affligée. Personne ne savait vraiment ce qui se disait durant ces interrogatoires, mais il était clair que ça coûtait à la santé mental de la dame, alors que son prisonnier s'obstinait à sourire encore et toujours. On pouvait le voir dans sa cellule vide, enchaîné jusqu'au cou, assis en tailleur dans la poussière au milieu des ombres, la tête basse. Et malgré l'obscurité, la seule chose qui se détachait de son visage masqué par la pénombre projeté de sa capuche, c'était son sourire. Cela formait une vision très ... dérangeante. C'était à se demandé comment un simple Terran pouvait mériter autant de précaution. Il n'avait pas l'air frustré, il ne hurlait pas comme tous les autres détenus de la prison des damnés, il ne restait pas accroché à ses barreaux. Non, il restait là, durant des heures, en plein milieu de la pièce, comme si son esprit était ailleurs. Il ne bougeait pas d'un cheveux, on n'entendait à peine son souffle calme et mesuré. Il rêvait. Il attendait. Et à chaque fois qu'on venait le chercher, il levait les yeux vers les gardes, toujours souriant, et n'opposait aucune résistance. Il suivait sagement, il avait presque l'air heureux. Et c'était bien le seul ... La porte était entre ouverte depuis toujours, il ne fallait que ... la pousser.

Combien de temps s'était-il écoulé ? Une semaine ? Un mois ? Un an ? Aucune importance. Les jours se perdent dans les ténèbres d'Umbriel. Le temps ne veut plus dire grand chose. C'est un monde à l'intérieur du monde. Mais depuis que Torenheim était arrivé, l'immuabilité du lieu avait été ... Rompu. Les choses bougeaient, changeaient doucement ... Sans que l'on s'en rendent vraiment compte. Sans qu'on sache vraiment pourquoi. Chacun était bien trop occupé à ses affaires personnelles ... Chacun avait ses petits problèmes. Quand la marée monte, tout le monde prépare le départ, c'était naturel. Le changement, c'était quelque chose de subtile, de vicieux. Personne ne parvenait à vraiment le comprendre. Mais on le sentait. C'était vrai à Umbriel, c'était vrai partout ailleurs. Chacun regarde avec son regard, mais pris dans les rouages de la machine, on ne voit pas grand chose. Chacun fait ses petites affaires, fait ses propres comptes, on essaye de tirer profit, de tourner les choses à notre avantage, comme on peux du moins. Chacun, sauf Torenheim. C'était pas son genre. Tirer profit, faire ses comptes, tout ça ... non. On savait pas grand chose sur lui, mais on savait au moins qu'il était pas comme ça. Et c'était ça qui faisait peur. Qu'est ce qu'il voulait ? Il était comme hors de la machine. Échappé des rouages. Un peu ailleurs, dans un autre monde, hors de la réalité. Ça lui donnait un certain charme d'ailleurs, ça en plus de son regard magnétique qui vous mettez à nu et qui vous le faisait sentir, sans gène. Le charme de quelqu'un de ... presque léger. Qui ne s'encombre de rien, et discuter avec lui ça vous faisait voyager. Pas forcément dans des endroits très jolis ... Mais très loin. Loin de tout. Du moins, si vous acceptiez d'écouter ce qu'il avait à dire. Et même parfois ses phrase sans aucun sens ... Elles paraissaient criantes de vérité. Elles résonnaient en vous, faisaient vibrer un petit quelque chose dans votre esprit. Mais ça restait hors d'atteinte, comme une petite lueur qu'on essaye d'attraper sans jamais y parvenir. Et qui illumine tout un pan de l'histoire le jour où elle prend son sens d'elle même. Il avait dut beaucoup voyager pour penser comme ça, et ça se voyait. On l'imaginait mal rester longtemps dans un même endroit. Et au fond de la prison, il agissait comme s'il était libre. Qu'est-ce qu'il pouvait bien voir depuis son point de vu ? A quoi le monde ressemblait depuis son petit nuage ? Il faudrait être fou pour le savoir. Et on pouvait se demander si Torenheim en savait lui même quelque chose. Qu'est-ce qui pouvait bien se cacher dans sa tête ? Tout un monde, sans aucun doute. Même au fond de sa cellule, derrière les barreaux de fer, dans les ténèbres d'Umbriel : Il était libre. Et je crois que, finalement ... Nous, les gardes, les détenus, dame Noxis, le Veilleur, et tous les autres de la surface... 
C'est nous qui sommes prisonniers.

***
Alors tourne le Monde, tourne beau monde : tout le monde tournera avec Toi.
Et puis tombe le Monde, tombe beau monde : et tout le monde te suivra.
Meurt le Monde, meurt beau monde : et le jour te recréera.


Ce jour là, enfin, tout le monde renaîtra. ♪


Il y a des gens qui mènent leur vie comme s'il cherchait désespérément quelque chose. Il y a des gens qui se donne un but, si futile soit il, et qui se laissent tous les moyens pour y parvenir. Il y a des gens qui se contentent d'observer, d'exister sans agir, des cellules inactives qui simplement grandissent, puis périssent. Et il y a des gens sans but logique. Libre de toute loi. Des gens simples. On ne peut les acheter, les intimider, les raisonner ou les comprendre. Certains veulent juste voir le monde danser. Et danser avec le monde.
Si tout ce qui existe est voué à disparaître, emporté par la valse du monde qui tourne lentement, alors pourquoi résister ? Pourquoi tenir à la vie quand la mort est la seule issue vers une libération, vers un renouveau ? Pourquoi s'accrocher aux futilités éphémères et lâchement empêcher le monde de tourner en rond ? 
[left]Il s'était déjà posé toutes ces questions autrefois. Qu'en avait-il conclu ? Qu'il n'y avait pas de sens. Simplement, que le Monde était comme ça. Qu’il n’y avait pas de réponse à trouver, ni Paradis au dessus de leurs tête, ni Enfer sous leurs pieds. Et même les dieux étaient victimes de l'incompréhensible valse. Il y avait simplement le monde autour d’eux. Ni bon, ni mauvais, simplement ainsi : pourquoi faire plus complexe ? La réponse était évidente pour un enfant du monde. Partout, il était identique à lui-même. En apparence peut être pas, mais il était le seul à ne jamais changer. Il n’y avait qu’un seul monde, pour un seul enfant. 
Le mouvement avait été lancé il y a bien longtemps. Le souffle calme à la surface des eaux sombres se faisaient plus insistant. Les profondeurs tourmentées du lac, autrefois endormis, amassant les rejets de la surface, commençaient pour la première fois à bouillonner. Dans les très-fonds ténébreux des eaux, les ombres s’agitaient. Un étincelle avait allumer un feu : l’évolution marquait un nouveau chapitre. Une vie allait provoquer le changement. La tapisserie avait fait son temps, il était temps de tirer sur le fil pour voir ce qui se cacher derrière le tissus, et le montrer au monde entier. Lentement mais surement, les vents tournaient. Le ciel se couvrait d’un voile sombre, alors que le linceul de l’esprit tombait. Les temps changent. Les ombres, portées par le courant, calmes et immobiles jusqu’alors, entamaient leur valse lente elles aussi. Premier pas d’un spectacle Divin. Première pierre posée à l’édifice. L’édifice d’une vie. Le spectacle d’un monde. Cette première pierre, ce premier pas, engendré par le chaos naît autrefois dans son être, provoqué par les hasards et les fatalités de la vie, catalyser par le souffle du monde, fut aussi simple que le reste. Un simple sourire. un sourire sombre


Et le Monde tournera. Et le monde Tombera.  Tout renaîtra ...


Un monde oublié. Simple ... Double ... Simple ... Sombre. 


Notre petit secret. ♪

[/center]




QUI M'ACCOMPAGNE
Toi l'animal qui me suit

PRENOM:
Le nom de votre animal
RACE:
La race de votre animal
SEXE:
Masculin ou féminin
POUVOIR:
Vous pouvez avoir 1 pouvoir au choix, rendez vous dans la section approprié pour savoir à quoi il a droit
DESCRIPTION:
Si il s'agit d'un familier ayant un pouvoir, pensez à décrire la manière dont il porte son catalyseur




Dernière édition par Torenheim le Mar 18 Fév - 18:34, édité 10 fois
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Re: "Ennemi public numéro 1" ?   "Ennemi public numéro 1" ? Icon_minitimeMer 5 Fév - 23:24

Désolé du double post *pas tapé !*

Juste pour dire que je crois avoir fini ma fiche, manque juste la citation que je rajouterais demain :D

Voilàààà ♪

Edit : En fait non, je dois revoir juste quelques petits détails, mais ce sera vite fait :p

Re-Edit : FINIIIIIIII ♪

Re-Re-Edit : FINIIIIII ♥
Revenir en haut Aller en bas
:: L'Eryl ::

|| Informations ||
Fonction:
Pouvoirs, spécialités & Don:
Relations & Contacts:
Sighild
:: L'Eryl ::
Sighild
MessageSujet: Re: "Ennemi public numéro 1" ?   "Ennemi public numéro 1" ? Icon_minitimeDim 16 Fév - 17:51

Bonjour!!!

Désolée d'avoir tardé! Passons directement à l'analyse de la fiche :

_ Arme Ouroboros => Je cite : " La dernière spécificité de la lame réside dans le métal dans lequel elle a été forgée : ce dernier a été ensorceler et permet à Torenheim de canaliser sa puissance magique à l'intérieur. Le pouvoir parcourra la lame comme un courant électrique traverse un conducteur. "
Pas d'armes "magiques" au début du jeu, donc pas de métal ensorcelé. De plus, tu parles de canaliseur de magie et même de courant électrique. Je suis contre, sans compter que ton personnage ne possède pas de magie électrique qui pourrait expliquer que tu t'en sers de conducteur.

_ Autres possessions => Que ton personne avale des catalyseurs, cela me gêne pas. Mais ça ne restera pas dans ton estomac, la nature est pas faite ainsi (vaut mieux que ça ressorte à mon avis! lool). Ensuite, les seuls catalyseurs que tu peux avaler sont normaux (pas d'exas ou d'intras).



Voilou! Ce sont les seules choses qui m'ont marqué, donc du coup, il y aurait que le petit détail de ton arme qui serait à modifier ou reformuler, et je te validerais en suite.^^

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Re: "Ennemi public numéro 1" ?   "Ennemi public numéro 1" ? Icon_minitimeLun 17 Fév - 23:14

Bonsoiiiir ♪

=> Arme Ouroboros : J'ai retiré le passage qui posait problème ! En fait l'idée était simplement de permettre à la magie de Torenheim de passer "dans" la lame, l'image du courant électrique était simplement une métaphore, pas à prendre au sens premier :o Disons que le courant électrique a besoin d'une très forte tension pour passer dans l'air, mais que très peu suffit à travers un conducteur. Bah en gros c'était l'équivalent magique ^-^ Mais puisqu'on a pas le droit aux armes magiques dès le début je le retire :p Se sera possible au court de son évolution d'"améliorer" Ouroboros, de la faire enchanté pour qu'elle ai cette propriété ? :o

=> Autre possessions : Bah oui faudra bien que ça ressorte, mais au pire Torenheim s'en fiche un peu ^o^ Et oui, pour les exas c'était une erreur de ma part, j'ai confondu les Exas avec des catalyseur courant x_x 

Voilàààà ♪
Revenir en haut Aller en bas
:: L'Eryl ::

|| Informations ||
Fonction:
Pouvoirs, spécialités & Don:
Relations & Contacts:
Sighild
:: L'Eryl ::
Sighild
MessageSujet: Re: "Ennemi public numéro 1" ?   "Ennemi public numéro 1" ? Icon_minitimeMar 18 Fév - 20:34

Bon et bien c'est impec maintenant.

Pour l'amélioration de l'arme et de lui offrir ses capacités, on peut imaginer que cela est faisable. Je vais me pencher sur le sujet pour les "améliorations magiques" sur les armes. Mais il faudra attendre. Éventuellement, cela pourra passer par un forgeron du forum (autant les faire travailler) mais là aussi, je vais instaurer des petites règles.

Sinon pour le reste on est ok maintenant.

Fiche validée

Tu vas pouvoir faire une demande de rang personnalisée dans la zone évènementielle, mais aussi indiquer ta patrie (lien jaune).

Tu pourras aussi ouvrir ton compte en banque, ton journal, ta boîte aux lettres et ton inventaire.


Il est temps pour toi de quitter ta prison!!!!
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé

MessageSujet: Re: "Ennemi public numéro 1" ?   "Ennemi public numéro 1" ? Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
"Ennemi public numéro 1" ?
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Cherche allié ou ennemi
» On essaye de troubler l'ordre public ?

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Istheria, le monde oublié :: Gestion des PersonnagesTitre :: • Création de votre Personnage :: • Inscription & Présentation :: • Cimetière-
Sauter vers:  

(c) ISTHERIA LE MONDE OUBLIE | Reproduction Interdite !