Chant des âges

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Les Rumeurs

_ Il parait que des personnes hauts-placées seraient gravement malades.
_ Il parait que ça se bécotte "au bal de la Rose".
_ Il parait que des créanciers en sont après un des conseillers de Ridolbar.

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 Chant des âges

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Anonymous Invité
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MessageSujet: Chant des âges   Chant des âges Icon_minitimeLun 27 Avr - 16:10

    Petite introduction, ou intéroduction ici bas pour ceux qui souhaitent nous lire dans l’optique que ce Rp ne reste lettre morte entre deux fous :
    Nous traiterons avec Tekum d’un temps passé conté ou rêvé entre deux vieux êtres autour d’un feu, ce sont des souvenir enjolivé ou ternie par le temps il n’y a donc pas forcement du réel dans la base de toute chose ni même de la chose dans la base du réel. Pour des raisons de choix personnel et d’essaye des styles ont été choisit, ils pourront varier au cours de ce Rp et ne sont pas forcement nos styles habituels d’écritures.
    Nous souhaitons donc nous excusons des affres de l’écriture pour le moins folklorique qui sont issue de nos choix de styles et de tout ce qui pourrait en découlé de décourageant ou désagréable aux yeux de ceux qui oses nous lire.
    Qu’importe, bien venu dans le chant des âges où se croise des mites nourries de l’étoffe des héros et des héros plus fou que leurs mythes.

    Nous espérons que ces tergiversations vous plairont



    Au temps Jadis, lorsque tout n’était que vie et que noirceur, où l’ont dit que le monde respectait des lois qui ne sont plus cours et qu’il était nécessaire de soutenir le ciel pour ne pas qu’il écrase les hommes fous de sa masse oppressante. Car le monde en ces temps obscurs n’était pas doux et la seule douceur que trouvais les hommes était cette chose étrange qu’ils ont toujours tant aimé, la guerre.

    C’est ainsi qu’on retrouva notre héros, celui qui plus tard deviendrait chevalier forgeron et qui à cet âge obscure n’était qu’Héros fou et étonnant. Il avait passé déjà un âge et avait fondé ce que les gens heureux appellent famille et ce que les autres n’appellent point autrement que de leurs vœux. Posé là comme un drille au milieu d’un cirque éphémère il parcourait le monde avec femmes et compagnons mélange de races de croyances et d’espoirs. A cette époque encore ils étaient de ces hommes qui vivent de la peur et de la faiblesse des autres, de l’infamie qui fait que l’homme préfère laisser aux autres ce qu’il redoute et le sang qui pourrait, sait-on jamais, lui corroder les mains. L’homme était déjà ce qu’il est mais notre héros ne s’en était pas rendu compte.
    Parmi sa troupe, cohorte portant le nom d’un certain Oswald TierceRêve, leur capitaine, les noms se mélangeait et tous le connaissait sous le nom de BoB, montagne fracassante, jovial monstre à la peau d’acier et aux armes dévastatrices, et si personne ne savait ça race et qu’on plaisantait souvent autour du feu sur le fait qu’il aurait été forger par Bor alors que le dieux bourré aurait été incapable de distingué sa droite de sa gauche, tous savait que l’host devait sa renommé à BoB et non pas à Oswald qui avait contre notre héros une certaine rancœur née de la jalousie que seul les êtres peuvent nourrir de cette façon là.

    Mais à cette heure du temps perdu dans le jadis et l’ancien c’était retrouvé la guerre, le groupe d’homme d’or et d’arme et un certain Duc de l’époque déjà bien posé sur des terres du sud proche des conflits et prêt à mettre la main à la poche pour s’assuré que le dit conflit tournait en sa faveur et ayant donc donné un coup de pouce au destin sous la forme d’or pour que les hommes fussent mené à lui par l’appât du gain.

    Il était potron-minet, l’heure où l’ont parle aux sourit et aux chats, l’heure où le coq hésite encore à discuté avec le ciel ou à garder son souffle, l’heure où l’ont murmure des choses inconcevable pour le simple plaisir de savoir que l’on n’est pas entendu mais surtout l’heure où l’ont fait des plan. Oswald en avait un, un qui ne concernait pas le dormeur et qui allait être mise en place, il lui faillit reprendre sa place diront certain, il lui fallait un coupable dirait d’autres, l’important et que la nécessité fit guise de vertu et que la vertu fut oublié à la porte d’entré dans la tente de guerre du seigneur.

    Un plan avec Brom fut prévu, un autre sans lui fut choisit, il lui fallait un coupable, il lui fallait un chant, la compagnie se présenta devant l’homme, grand, droit, il portait des lunettes de verres fumés qui lui cachaient les yeux, un grand chapeau à plume et des vêtements de voyages. Dans ses cheveux blond d’épie une plume en or tombait au bout d’une tresse et un foulard vert d’eau protégeait son cou des vents inexistant. Ses doigts fins posé sur la table devant les cartes, ses muscles longs qui ne demandait qu’a explosé, ses mouvements calmes qui ne demandait qu’à être garder et son visage, quel visage, une beauté sans pareille, des lignes parfaites qui ferait rêver quelqu’un qui a été détruit et qui haie les hommes, des pommettes qui firent rêver dans leur lit des femmes alors qu’elles avaient le dos contre celui de leurs maris, de leurs amants… Les yeux se perdent jusqu’à ce qu’il baisse à nouveau son chapeau fermant l’accès à ses yeux sans pour autant faire disparaitre cette sensation que la beauté de cette homme est bien au delà du mortel, sans pour autant faire rêver même les hommes les plus encré dans la tradition stupide qu’un homme doit aimé une femme. La beauté fend les cœurs avec aisance.
    Sur son épaule un tissu reflet du foulard était brodé à ses grades, général, commandant en chef des armées d’Arghanat et Duc depuis fort longtemps, depuis qu’il fut né, avant même l’existence des registres.

    Arghanat, à cette époque était une terre difficile maitrisé par une peuplade dure qui ne voyait en l’étranger qu’un adversaire et qui avait déjà émigré plusieurs fois pour à chaque fois faire d’un nouveau duché son domaine. Ce peuple vivait durement mais gagnait bien sa vie sous l’égide de celui qu’on nommait le Duc bien plus que Seigneur Seh.

    La discussion fut longues, les demandes du Duc précises, et Oswald se fit fort, troublant et curieusement à son aise dans ce débat, il en reparti avec toutes les gloires pour la petite équipe car il avait mené son action comme si il n’avait rien perdre et seule fut trouver dans l’échange de regard avec le Duc un semblant d’explication, les autres semblait juste bien mal à leur aise si ce n’est notre petit chef.

    Mais il avait bien mené son action et les rouages se posait les uns après les autres, tranquillement, et lorsqu’il sorti de la tente il était certain que tout c’était passé exactement comme il le voulait, pas de long discourt, il n’avait pas sombré sous le charme légendaire du Duc, et surtout il avait vue ce qu’il voulait, le coffre était là, il en était certain.

    Alors, à la nuit tombé, tous, comme des chats se levèrent, tous comme des ombres glissèrent dans la nuit, tous sauf celui qu’on avait trompé, celui qui derrière par cette nuit de brume avait été abandonné et qu’on réveilla au dernier moment, sauf celui à qui on avait demandé de mener la compagnie ici était maintenant le seul restant alors que le coffre avait disparut.

    Les hommes n’avaient pas changé, ils avaient toujours été ainsi, Brom ne les avait simplement pas vue, il n’avait pas vue la concupiscence croitre dans leur regard vide, il n’avait pas vue l’envie et la haine, il n’avait pas vue la peur, il n’avait rien vue de toutes ces choses que sont les hommes et que lui, dans sa bonhommie avait oublié. Lui n’était qu’un être forgé par un dieu Ivre qui avait oublié de lui expliqué comment était le monde, alors, les genoux plier, les bras tiré au sol par des chaines tiré par des hommes qui avait été forger par Arghanat il vie passé l’ombre des bottes de voyages d’un homme qu’il avait déjà vue, un homme qui finalement n’avait fait que garder le silence si ce n’est quelques mots, un homme qui n’avait sourit à lui, un être qui semblait tout savoir, un Duc, celui d’Arghanat.

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Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Re: Chant des âges   Chant des âges Icon_minitimeMar 28 Avr - 15:18

Sous le regard d’un feu rappelle d’un temps ancien,
Sous les égides d’un vent murmurant le lointain,
Tranquillement sous le ciel se dessine le passé,
Les souvenir se mêlent et délient un rêve, une réalité susurrée.

A l’aube des temps Jadis il était noir de jais,
Passant comme passe une plume sous les regards croulait,
Le visage de son père inscrit dans tout son être,
Un instant dans ses yeux, un souvenir se crée,

Perdu dans des besicles, sous une fumée jalouse,
Ses yeux, un instant, se posèrent sur l’homme que Bor désir,
Dans ses prunelles de cendre il laisse l’homme choisir,
Ses amis et son cœur, ou la vérité qu’on épouse :
Le monde est noir, cendre, craie et sang,
Le monde est mort, douleur, fange et vent.

Mais l’homme de tout son Dieu, son humour se protège,
Ses hommes sont ses amis, ses amours et sa sève,
Personne pas même un dieu ne volera son rêve.
Car les hommes eux même détruirons cette trêve.

La nuit venue, le temps de parler chant et monde,
Le temps de murmurer les dérives de cette ronde,
Il est souvent question de héros malmené, souffrant ou même pauvre,
D’ennemi si vil qu’il en est d’autre de choix que de vivre.

Mais ici l’ennemi est qu’un humain catin,
Un de ces croisés d’êtres, un reflet du destin,
Un de ceux qu’on croise et qui sait être la masse,
Qui parfois fait des choix en s’éloignant de sa nasse.

Pourtant il n’est que monde.

La nuit est là sous sa cape, protectrice,
Elle dissimule la troupe qui s’enfuit et s’éclipse,
Le temps n’est pas une ronde, le temps est un espoir,
Il a finit les jeux longtemps avant de choir.

Le monde se brise.

Alors sous le soleil rieur d’un matin comme un autre,
Les chaines du colosse s’entre choque, rythmant les pas de l’apôtre,
Ses yeux sont vert de vent, son cœur est noir de jais,
Ses mains sont noires de sang, ses rêves sont verts d’après.

Goutte la vie, goutte le vent, tombe sur le sol qui boit goulument,
Se répand se repait d’un plaisir incertain,
Ne reste que la terre qui ne rêve à présent,
Que sous les goutes d’une main qui passe et s’éteint.

Le regard croise les bottes et cuire d’une marche,
Créature d’un dieu qu’une main lève doucement,
Leurs regards s’étreignent, l’un dans l’autre voltigeant,
Le futur se dessine, et, des griffes du destin, il s’arrache.


“Je sais ce que tu rêve, je sais là où tu dors,
Là où ton cœur de ses pleures s’essore,
Mais sèche moi ce cœur, construit, forge le à nouveau,
Car j’ai besoin de toi, de tes bras de tes mots …

Regarde-moi fils des hommes et de Bor,
Regarde ce silence que tout l’homme ignore,
Plonge donc dans mon âme et cherches-y la foi,
Les hommes sont morts mais un chasseur, un être susurre en toi …

Trouve-le.”


Alors à cet instant tout n’est qu’ombre et spirales,
Une drogue ou un pouvoir, un songe bien un ralle,
Sous les chaines du monde, celle qui supporte le ciel,
Le titan dans un souffle rejoint l’âme et son fiel.

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Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Re: Chant des âges   Chant des âges Icon_minitimeJeu 18 Juin - 16:06

    Ses mains sont noires de sang, ses yeux sont verts de vent, il y plonge comme on plonge dans l’abime, comme on rampe avec rage vers la lumière au bout du tunnel car elle semble ce seule échappatoire imprévue et incertain, cet espoir d’être encore un peu, mais surtout, surtout, par leur attrait. Car si ses mains sont un vent qui porte et supporte, si ces mains de Duc sont fines et droites, elles sont surtout les mains d’un guerrier, les mains d’un homme qui se battent pour faire avancer les choses, mais on ne plonge pas dans des mains, on plonge dans un regard…

    Et ce regard là est affolant, affriolant même diraient certaines, il est profond, perdu, perdant, courant, s’envolant et voltant tout en restant en vous, il creuse sans fin dans les tréfonds de votre âme toujours plus loin, toujours plus las, toujours plus là où personne ne devrait aller. Mais si on essaye de le retourné, si il s’en sert comme un échelle, si on plonge sans yeux dans ceux du monstre qui se tiens devant Brom, alors on se trouve devant un mage, un être de volonté et de charisme, un être au charme étonnant, des yeux profond, sans fond aucun, un regard sans fondement dans lequel on n’a d’autre choix que de se perdre, se perdre pour y trouver quoi ? Voilà la seule question ? Et la réponse est un voyage qui n’attend que vous, que fou.

    Le noir, le plus profond et puissant des noir, celui où l’on nage, où l’on se débat immobile, cette ombre qui marche autour de vue sans même avoir à faire le moindre pas, cette immense forêt où les arbres sont si séré que jamais la lumière ne passe et où il est impossible de se voir, de se sentir, de se chercher, immobile vous bougez, perdu, là était Brom. Il marchait sans bouger, cherchant de tout ses membres à se rappeler où et ce qu’il était pour pouvoir enfin être mais ce ne fut pas aussi simple. Car ici on n’est ni ne nait pas facilement.

    Il se retrouva donc au milieu du rien, quelque peu perdu jusqu’à ce que son cœur encore mercenaire perçoive quelque chose, un esprit, un espoir, une brindille étincelante qui parcourait le rien en jouant joyeusement. Alors l’odeur se fit entendre, et goutant son touché il vit le feu prendre sa route, ou plutôt la route de là où il pensait être car la flamme se mis à lui tourné autour sans jamais qu’il ne la perde.

    Alors son cœur s’emballa, il était au milieu du rien, poursuivit par un feu qui semblait lui en vouloir et qui s’y déplaçait comme si il était plein, il était perdu, vulnérable, sans corps il n’avait pas de force, sans corps il ne savait rien sans rien il n’avait ni lumière ni espoir.



    Puis la peur cessa comme elle était venu, fuyant sous la lumière et sous on son qu’il se rappellera toute sa vie, on battait le marteau, on battait d’un rythme calme, on battait régulièrement dans ses oreille le pouls de la forge, il n’y avait qu’un dieu pour faire ça avec tant de grâce, un dieu qui le protègerait, un dieu qui l’observait.
    Il se releva et regarda le feu.

    Ce qu’ils se dirent, ce qui se fit, personne ne le sut jamais à par eux deux, on raconte qu’ils ont parler longtemps dans ce rien, qu’il se sont trouver l’un dans la grandeur, l’autre dans la force et la possibilité d’être, on raconte qu’ainsi l’homme qui se craignait se comprit et comprit ce qu’il était vraiment jusqu’au bout de ses pulsions folles, alors que les pulsion elles décidèrent qui se personnifierait dans une non folie des plus aberrantes et rocambolesque, une aliénation particulière qui ne recule devant rien.

    Et le feu, trouva une place ainsi qu’un nom, Cœur, un petit Cœur heureux d’être enfin là d’être vraiment et pas juste de subir tout en essayant vainement de sortir, heureux et transférant sa joie vers celui qui pensait qu’elle venait de lui.
    Il put enfin quitter sa peau de candide, la laissant à Cœur et comprendre aussi ce qu’était ces mercenaires qu’il avait vue et avec qui il avait partagé le pain.

    Ils choisirent de s’éveiller.
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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: Chant des âges   Chant des âges Icon_minitimeMer 28 Oct - 12:49

-“Mon si doux et tendre petit être de rêve,
Mon ami, incertain, guettant sans cesse la trêve,
Le voilà à nouveau parmi les joies d’une vie,
Le voilà, et enfin, en son cœur finit.

Comment vie tu mon frère ? Comment sens-tu les choses ?
Comment le monde, mon frère, répond à tes échos ?
Comment la vie s’effrite et s’éveille ou même ose ?
Comment le monde rougie, et creuse son tombeau ?

Mais le temps dans un conte est valeur incertaine,
Et dansons et volons vers les mots qui adviennent,
Car le temps n’est plus las, il n’est jamais que vent,
Qui coulis, qui s’effrite pour n’être que de temps…



Il est temps mon ami …”


Dehors dans le brouillard les échos des ténèbres,
On parle on hurle on crie, tout ça d’une voix funèbre,
Car il n’est plus que mort sur les champs en bataille,
Car il n’est plus de temps sinon celui qui taille.

Doucement comme un prince, un homme bien oublié,
De ses yeux vent et ombre il perse l’obscurité,
Doucement il s’avance au cœur de la première,
Surplombant le silence et la vie bonne dernière,

Puis le temps d’un discourt il murmure et il parle,
A travers lui, grand dieu, Fen tourne ses mots,
Et rien n’est plus que foi et courage imbécile,
Car les hommes toute folie, sont près à l’indicible,
Discipline travaillé, ou pouvoir d’un chaos,
Plus personne ne doute, on oublie donc le harle.

Perdu dans leur esprit en une ultime union,
Ils descendent la colline en un pas de passion,
Derrière eux la folie et une même marche,
Qui suivent dans un même souffle tous le même patriarche,

Tekum le Duc de Seh, et grand serpent des âges,
Dans une plume, dans un temps, on le voit comme un sage,
Un général perdu d’une armée de violence,
Un général connu pour sa lame, sa patience …

Dans un mot un instant laisse parler la transe,
Sans un mot, entre temps, laissons parler la danse.


Prochain Rp:
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Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Re: Chant des âges   Chant des âges Icon_minitimeLun 23 Nov - 10:41

    Il était un songe, et non plus même une fois, car avez-vous déjà songez ? Songé et, ou même, ou, rêvé d’être non pas une fois mais plusieurs, plusieurs fois, des centaines de fois au même instants précis, au même intra temps, entre souffle, mouvement, ou même passe ?
    Brom de par sa condition de maitre d’arme mercenaire l’avait déjà expérimenté, ce souffle où tout ralenti et votre esprit travail bien plus vite, où vous sentez chaque fibre de votre corps hurler à l’unisson dans l’effort et le souvenir de ce geste tant de fois répété, précis, parfait, une danse où l’adversaire n’a aucune chance.
    Le Chevalier d’Ode Bahalmarche, mains du Duc de Seh et membre de la Première, qui se feront connaitre comme les MangeCoeur, l’avait aussi perçut, dans l’esprit des autres, guider par des milliers d’aiguilles de pensé qui précises comme le sont celle d’un guerrier au combat demande de l’aide, avertissent, permettent de danser sans merci ni pitié car celui qui est à votre droite vous connais au plus profond et s’émaille et s’emmêle avec vous dans votre danse son corps comme le votre étant la perfection martial d’un même esprit doux et agile qui sautille doucement d’un corps à l’autre pour les prévenir du futur tout en restant en chacun.

    Mais peu, si ce n’est aucun n’avait un jour songé à rêvé de promouvoir cette danse avec l’esprit même du Duc, celui qu’ils vénéraient déjà comme un prêtre, comme une sorte de Dieu pour des raisons aussi divers que variés mais toujours encré. Mais ce fut ce qui marque ce temps, cette passe.
    Quelque part au milieu de ces pensées perdues celles qui dérivent de corps en corps dans cette essence même affolante de puissance pour ceux qui peuvent dans un espoir se trouver en face d’eux, mais c’est dans le corps de chacun que la décharge se fit, quelque part en eux ils allaient partager l’essence même de Leur Maitre.

    Tous étaient assis en cercle, la première, organisé en Griffe, le derviche d’Ode Bahalmarche comme les hommes l’appelait en écho à ce que le Duc avait dit, en souriant calament après sa première bataille, était dans le même cercle que Tekum lui-même, la cérémonie avaient commencer, et les rares qui y avaient déjà participé, les premiers MangeCoeurs souriaient extatiquement, les autres se rappelaient encore de ce qu’ils disaient, ce que ces élues racontaient au milieu de cette âge de guerre, et puis ils se refugièrent en eux, près a sentir l’assaut de cette esprit puissant.

    Etait-ce parce qu’ils l’adulaient tous ? Ou car son esprit surpassait vraiment ceux des êtres de chair qu’on croise si souvent ? Personne ne le sut jamais mais tous ressentir cette vague doré entré dans les réseaux et si dans un premier temps ils furent tous noyer comme perclus sous l’or pure qui fonderait chacun de leur muscles, doucement l’esprit se fondit dans chacune des fibres du réseau.
    C’était un Lhurgoyf, un démon à forme humaine, il n’y avait aucune question sur ce faite, pourtant au contraire de tout les autres Lhurgoyf qui étaient des êtres en prison sous leurs forment, cacher par des humains classiques qui pensent et résonne comme des hommes, le maitre lui n’avait rien d’humain, son esprit était entièrement celui de ce démon, calme, posé, il y avait un espace d’amour sans borne pour ces gens, pour ceux d’Arghanat qui vous emplissait sans fin, couvrant votre âme de compliment qui font écho à ce que vous êtes. Il en avait pour chacun, pour chacun une bénédiction, une douce parole, quelques vers qui volent et éclatent pour se ficher dans votre cœur et y fondre doucement comme le fait l’amour tendre.
    Alors tous ouvert vers lui et vers les autres furent béni par le fils de Fen, et par cette bénédiction ils reçurent le pouvoir des MangeCoeur, celui qui leur permettrait, en mangeant le cœur des adversaires valeureux qu’ils avaient vaincu au combat d’être toujours plus fort. Etait-ce vrai ? Personne dans cette insouciance enfantine d’être qui croisent leur idole ne s’en souciait, c’était un fait, car le Duc était un MangeCoeur et il leur permettait de ce rapproché d’eux.

    Devant un feu un vieil homme sourit à ce souvenir, il ne mangeait plus les Cœur, pourtant il y croyait toujours, il était encore certain que cela augmenterait sa force, le rapprocherait un peu plus de cet esprit avec qui il partageait le thé et les souvenirs. Il se laissa replonger dans ces écheveaux qui avait continué à se déroulé sans lui :

    Ils étaient tous, ils étaient un, au milieu du sang et des larmes, au milieu de la mort et des cries, au milieu de centaines d’armées qui comme eux, à cette instant ne vivait que pour et par la guerre. La pitié n’existait plus, la douleur était une pensé parasite qui servirait une fois au camp à savoir ce qu’il faudrait réparer, l’espoir n’était qu’un frêle esquisse fasse à la volonté de fer de l’homme aux deux shamshirs qui avançait devant eux. Il n’en avait sorti qu’un seul sur lequel ont voyait luire sa devise de guerre “Danse jusqu’à la mort”, l’autre attendait à sa ceinture, alors qu’à la droite de l’hypostase le Derviche, celui qui avant était appeler BoB et était devenu un des hommes puissants et respecter si rapidement.

    Mais aucune pensé ne fut perdu à ce genre de considération, il était une simple question de danse, le pied d’appuis qui part, l’une de ces haches qui remonte sur la droite, un coup plein de faille, ouvert aux quatre vents dans lequel l’adversaire s’engouffre, mais le Duc à sorti son second sabre, celui-ci ne porte qu’un seul mot, un mot en ancien caractère, “Vie”, il a paré l’attaque avec une simplicité déconcertante, sans même que ces yeux ne quitte sont adversaire, mais ses yeux comme son esprit son partout.
    Quelque pas, quelques morts plus loin, Brom lui rend son secours, sa hache explose la tête d’un Zélos dont le corps trop fin du Duc n’aurait put parer l’attaque sous laquelle il glissait avec une grâce certaine, mais l’ajout de magie avait ajouté un danger trop fort. Dans son esprit, juste un sourire, si fin au milieu de toutes ces données partagé par tous, mais si puissant.
    Il ne peut s’y attardé même si il sent coulé dans son corps et lui fait oublié sa fatigue, d’une impulsion de son esprit il reprend le pied d’appuis d’un des hommes quelques lignes plus loin, qui n’étaient pas correctement posé.

    Doucement les droits diamants avancent, les hommes échangent quand la fatigue se fait sentir vers le centre de chaque percuteur. Le Duc a prit une mission que chacun aurait jugé folle, il a transformé la première Phalange en armée légère, il a prit le flanc gauche de l’adversaire, le flanc le plus puissant dans le seul but d’atteindre les tente de commandement adverse, ce qui aurait dût être une simple diversion, par un concours de circonstances que certain appelleraient de la chance, et d’autre une folie, était devenu un danger dramatique pour le commandement adverse dont on voyait les gens autour des tentes s’affolé.
    Le sourire se transit. Il savait, l’ordre allait être donné en face, celui qu’il attendait, l’un des hommes l’avait entendu, ils allaient tirer, qu’importe les dommages collatéraux, six hommes sortirent de chaque diamants, Brom talonnât le Duc de Seh alors que les boucliers furent lever autour des formations. La danse à la mort, il raffermi ses mains alors que celles du duc se détendirent, deux armes différentes, deux danses …
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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: Chant des âges   Chant des âges Icon_minitimeMer 25 Nov - 11:17

Il n’était plus que silence, il n’était plus que rêve.
Il dansait avec les esprits en un long kata, une trêve.
Une flamme de cuire sur le rouge de la neige.
Un feu, un vent, pour l’adversaire, un piège.

Sa griffe fendait l’air, se retournait et s’envolait,
Sa griffe touchait la mort, et sur la vie dansait.
Son corps entier jouait un ami, le vent,
Son corps entier semblait ne plus connaitre le temps.

Feu, or et ombre qui tournoient à n’en finir,
Danse et ronde qui rêve et ne veut mourir,
Espoir qui tourne et vole au son d’un défunt,
Rêve qui continu alors que tourne le refrain.

Le refrain est un crie, puis le doux murmure du vent,
Celui d’un temps crisse, qui s’effrite et se fend,
La musique est un pas qui se pose en douceur,
Une note d’un craquement encore plein de noirceur.

Et le mouvement continu par le rêve,
Et le rêve revient et ne brise la trêve,
Puis le monde s’effondre, meurt et renait,
Car un autre mouvement, dans le rêve, apparait.

Alors vient la croche qui s’écorche,
Viens l’os qui lui répond et s’accroche,
Mais le sabre est courbe et rien n’arrête la danse,
Car le shamshir revient et le corps élance,

Il dessine pour les dieux, en rubis sur la nacre,
Il écrit pour les cieux, un poème au gout acre,
Tout n’est plus qu’un mouvement, un immense tableau,
Et du haut, perché, perdu, cela pourrait paraitre beau,

Mais ce n’est que sang sur la neige,
Ce n’est qu’une goute de la trêve,
Ce n’est qu’un rappel de la violence des hommes,
Et un sourire sur les lèvres, une douce lampée de rhum.

Perdu dans les esprits, couvant ses enfants de plumes d’or,
Posé dans les pensés, murmurant des trésors.
Puis vient le temps du verre, le temps des éclats,
Alors le diamants explose et se reforme comme l’onde,
Il sort, et se place sous le vent, il mène la fronde,
Sans douceur, comme le temps, il travers les êtres las.

Dans son sillage le derviche au marteau murmure,
Dans son rêve Pha doucement susurre,
Les bruits explosent et ne sont que l’écho d’un silence,
Les bruits sont oubliés dans la réverbération de sa science.

Le pas est sur, perdu, dansant, il passe,
Et dans sa passe, en mystère s’efface,
Un doux souffle, il se fend, la lame grommelle,
La montagne lui répond, lui ne s’eveille,

Au loin ses yeux d’ombre et de vent,
Au loin ils chantent la terreur de leur temps,
Au loin il écoute les esprits qui guident sa transe,
De loin il revient ou sans silence ouvre sa danse :

Les notes, un cri, ou un crissement, celui de la mort,
Un écho et le calme, avant une tempête, celle du chaos,
La tente est morte, les lames en répondent dans leurs cahots,
Alors, de sa danse, de son monde, il change le sort.

Une douce victoire,
Gout eternel de danse,
Sang sur la neige.
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Anonymous Invité
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MessageSujet: Re: Chant des âges   Chant des âges Icon_minitimeVen 11 Déc - 17:02

Avez vous déjà danser avec le vent ? Alors avec la mort ? Mais si vous l’avez tous fait, dans ses instant criant où le souffle se retient, où l’ont hésite entre sombré doucement dans la démanche de la douceur paresseuse, plonger dans le noir profond à jamais et ouvrir à nouveau les yeux. Cet instant posé sur le fil parce que vous croyez ébérluement que votre heure est arrivé, que la chance vous quitte trop vite et en fait, en fait il n’en est rien, c’est juste une forme de peur insalubre et noirâtre de dégout, une petite forme sans prétention qui a eut le plaisir de vous voir affolé.
Pourtant à cet instant, ou au moins à cet ins-temps, vous avez dansez avec la mort, car vous avez crue assez fort franchir le voile pour que votre temps, le souffle de votre monde ralentisse. Pour que votre esprit fonctionne plus vite que votre corps, pour que votre conscience s’étende bien au delà de ces limites qu’elle se fixe elle-même.

Les êtres qui décide d’oublié la peur recherche cette sensation, cours après dans une folie furieuse en lui donnant le nom d’adrénaline car au font c’est un autre nom de la peur… Les sages la retrouve dans la contemplation et la méditation, d’autres la retrouve par hasard, au détour d’un chemin, sans bien la comprendre, enfin les maitres d’armes la vive en plongeant jusqu’à l’âme dans leur lame, ou leurs lâmes qui serait bien plus vrai.

Brom est, fut et sera un de ceux là, un de ces chevalier perdu qui ne se retrouve que dans une lame, que dans un combat car une lâme peut simplement être une main, ou même un homme entier qui dans un mouvement s’accroche à sa lance. Pourquoi ? Un reflexe, un corps à autant de raison que la raison ignore que le cœur. Alors la main d’un titan peut le faire tourner autour de lui déblayant un espace le lançant finalement en direction de sa cible, quelques tentes loin de là qui prenait un thé crispé en espérant encore que tout n’était qu’une illusion folle.

Mais rien n’est vraiment fou, rien n’est vraiment faut tant que votre chef, votre guide vous fait croire en y croyant aussi que l’impossible est pavé de petites choses possible. Alors on condense son souffle, et on marche sur ce dernier.
Loin une détonation, Pha souffle, il expire la mort alors qu’une fine aiguille de métal traverse le champ de vision du colosse et ouvre un nouveau pas au vent.

Rien n’est définit tant qu’il est permis de croire. Mais les autres aussi croient, alors il ne sert pas juste de croire plus fort mais de donner tout ce que l’ont a, de marcher entre les temps et d’ouvrir ses yeux. Le Zéphyr ne fait que courir, il n’est pas question pour lui de ralentir, ses hommes doivent faire le reste, ouvrir la voix au vent. Quoi de plus beau que d’ouvrir la voix au vent ?

Il fait un pas de plus, la douleur n’est plus qu’une fâcheuse illusion qui lui sera utile plus tard pour qu’il puisse ce reconstruire, là, maintenant c’est un défaut du corps qu’il convient non pas d’oublier pour ne pas aggravé le dit défaut mais simplement de passé outre. Passé outre n’est jamais un véritable problème, cependant une petite voix en lui se demande comment un être à put percer son cuire si épais. Il n’en a cure, et sa conscience s’étend.

Un pilier est là et si ses alentours sont las, lui, homme et vétéran est droit et supporte sur lui cette peur des autres qui l’idolâtre, mais aucun pilier ne doit survivre car ils peuvent fendre le vent, or Pha est prit, il est seul à l’avoir en vue, seul mais ils sont tous là, présent. C’est ensembles qu’ils soulèvent sa main, l’arme, et sur un pied droit qui fera office de pivots imprimant dans la terre une marque folle, il lance sa hache, sa hache dont le manche est noircit, sa hache qui marque le fait qu’il ne pourra maintenir cette état trop longtemps car sa conscience n’enferme plus cœur et la chaleur folle de ce dernier, elle est trop tourner vers l’extérieur, vers l’autre, les autres.

Il souffle et la l’arme vole, la larme l’étend et s’étire dans un reflet d’acier avant de percuter une vertèbre, de la fendre, et d’aller se ficher dans un troisième corps quelques mètres derrières. Ils sont un savoir commun, une maitrise commune, et si personne n’est aussi fort que Brom, personne ne lance les haches comme Agrosh qui est couvert de blessure quelque part au centre du diamant. Mais personne n’est au centre du diamant, ils sont tous partout et aussi dans le groupe qui ouvre la voix au seigneur vent.

Seh, cela sonne comme un souffle qu’on ne pourrait retenir, comme un espoir susurré doucement, comme un mot dans une langue qu’on aurait oublié mais qui fait encore écho dans les espoirs et les esprits. Seh.

Il sourit et le vent souffle alors qu’il prend une autre hache et qu’il entend la corne d’un autre duché qui se rapproche, les hommes on oublié un danger en voyant celui du Duc, la débandade commence, les cornent se répondent, mais le vent souffle et dans un souffle les têtes tombent …


Une douce victoire,
Gout eternel de danse,
Sang sur la neige.


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Anonymous Invité
Invité

MessageSujet: Re: Chant des âges   Chant des âges Icon_minitimeMar 15 Déc - 15:23

Aparté, Quelques années plus tard. Combien ? Combine ? Qu’importe, la guerre est finie …
Mais il est toujours bon de souffler ce que certains savent dans l’insouciance d’un mot.
Ceci est un secret que seuls certain Eclaris connaissent.
Ou certain débris d’un passé voguant.
Voguez-vous sur la mer crasse de l’ignorance ?

Ecrit en collaboration avec Tekum (et Lupen)



Il est minuit, le soleil luit, la mort passe doucement par les barreaux d’une roulotte qui grince comme un cheval cadavérique qui porterais les derniers espoirs d’un homme perdu et brisé.
Il est minuit, le soleil luit, et la fraicheur infernal de cette douce journée d’été râpe sur les barreaux tendre de fer et de tristesse son sable et son sel de souffrance et de rage. Le merveilleux air acre et revêche emplie les poumons et passe une deuxième fois comme le sel sur une plaie lors du soupir perdu.
Il est minuit, le soleil luit, et tout est perdu.

Le monde à toujours ses raisons pour tourner en carré comme il le fait si souvent, le monde n’écoute que lui-même et le noble qui parfois, d’un souffle insouciant et insoucieux lui murmure doucement comme on murmure à un amant conquis de ne pas hésité à aller plus vite. Et comme l’amant le monde ne réfléchit plus, ne réfléchit pas, il exécute. Triste jouet d’une noblesse bourgeoise, heureux mignon d’une noble bassesse ? Une grande question qu’il est toujours tant de ce posé lorsque le ciel luit à minuit.

Mais les planches même renforcer de métal ne sont jamais qu’un ciel éphémère et le brulant des cieux qui n’est autre qu’un instant perdu d’un passé pas si lointain attend avec impatience la descente d’un être couvert des chaines de la honte, et des stigmates d’une souffrance bien plus violente que la douceur d’une plainte physique.
Mais le monde, ou le Duc, en a décidé autrement et l’avidité malsaine d’un feu voyeuriste ne sera pas satisfaite en ce jour d’hui. Alors à quoi bon attendre pour aller se noyez dans le sommeil ? A quoi bon rester éveiller dans la souffrance de cette auto combustion permanente qu’on ne peu arrêter que par les bras doucereux d’une Morphée libératrice ?

Le ciel se meurt dans le rougeoiement d’un sang neuf lorsque les choses font un pas de plus vers la vérité perdu dans les méandres d’une histoire amnésique. Le monde roule comme l’orange qui s’effondre sans même qu’une main dans un dernière espoir ne la rattrape et ont allume donc les première torchères qui répercute les échos du feu de celles et ceux qui ont décidé d’aller rejoindre un oniros si proche d’un thanatos jaloux.
Le rêve ou le cauchemar ? A quoi bon choisir, il est minuit, le soleil luit…

Un homme est monté, un homme parle au milieu des méandres d’un brouillard de mémoires incertaines et toujours innocentes comme la souffrance d’un Homme. Et comme ses plaintes, les souvenir s’effacent avec la mort. Alors les quelques qui les gardent jalousement en mourant à petit feu au même les laissent s’éparpillé et se grisé sur le papier de soie souffrant sous les intempéries hiémaux d’une vie réelle.
Les mots sont là mais sont-il l’écho d’un souvenir ou une vérité ? Rien n’est vrai, tout est la vérité une personne ou d’une foule, toute les vérités d’un instant ou à l’instant celle d’une existence, alors à quoi bon parler de vrai ? Parlons simplement de mots …

Ils sont l’écho d’un cœur, l’écho d’un souvenir brumeux, l’écho d’une voix douce et pourtant droite, l’écho simple d’un morceau de papier qui les y a vues gravé par un homme à l’esprit humecté de fumigations denses et si proche de … De mots.

Mes enfants, mes amis, mes frères, vous à qui je donne tout … En ce jours, et comme tout vous le faites toujours, je vais vous demander de me croire car la justice, douce et belle justice Juste justice oublié ? Débats … Débat d’un cœur qui s’ébat se de bat, qui fuit et qui roule, qui marche et qui vole … Qui se débat …

… Ode'Bahalmarche, ode, Ode d’un bal, Ode d’une marche … MangeCoeur, et douce armée. Capturé sauve d’une Plume qui chasse l’ode d’un bal marchant doucement... Restez, rester et vivre, membre de notre grande famille et ami.
Revenir vivre, vivre doucettement, doucereusement, vivre ici après une génération. Mais les tords tordent les boyaux. Ronge et grippe, grince, et rouille. Vivre en ami.
Une dernière chose, une chose bien précise et qui doit être entendu…

Un regard, un souvenir, un mouvement d’une passe d’arme qui n’est autre que la mort, ou plongeant dans des yeux vairons de cette hétérochromie franche entre le noire d’une nuit ou luit le vent et le vent d’un jour où vie la nuit. Une prunelle encrée de sang, l’autre encrée, de haine, ces mots ne s’oublient pas, ils se gravent …

"Il y a surement ici des hommes de la Plume, de ces hommes qui en veulent à Brom et ne peuvent le laisser partir. Brom est d'Arghanat, c'est un de nos enfants même si il n'y est pas née ... Ainsi si il ne meurt pas de vieillesse vous aurez une semaine pour m'apporter la preuve que ce n'est pas de votre fait, sinon je raserais votre organisation comme je peux le faire de n'importe quoi. Je suis le Duc de Seh, maître des MangeCoeur et le chevalier d'Ode est l'un d'eux, l'un des nôtres et mon ami. Retenez cela ..."

Un ami … A quoi bon retenir autre chose, un ami …
Il est minuit, le soleil luit, et Cœur vie dans un mot.

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