Zaranak Ken le fils de Bor [Terminé]

DON : Force physique sur-développée

SPECIALITES :   Combattant d'exception, Maître d'armes

POUVOIRS : Régénération = ★★★★★★ Le lien qu'entretient Zaranak avec son corps est particulier et c'est tout jeune qu'il a appris tout d’abord à guérir de ses blessures plus rapidement. Légères au début puis plus lourdes. Aujourd'hui le Zélos, s'il se concentre quelques secondes est capable de régénérer un membre perdu sans trop d'efforts. Sa maîtrise va même plus loin puisqu'il lui est possible de purger son corps de poisons et maladie, la vitesse de guerrison dépendant quand à elle de les anticorps de Zaranak "connaissent" déjà la maladie/poison ou non. Si par exemple on lui administre un poison sensé le paralyser auquel il n'a jamais été exposé, les effets du poison seront amoindrie pendant quelques temps puis il disparaitra tout simplement de l'organisme du Zélos.

Force sur-développée = ★★✩ ✩✩✩ Le Zélos n'a eu que très peu d'occasion d'utiliser cette technique, bien qu'il l'ai acquise il y a longtemps. La raison est que lorsqu'il s'en servait cela mettait généralement fin au combat puisqu'il est capable briser un bras d'un simple coup de poing, ou de frapper le sol assez fort pour déséquilibrer un adversaire peu attentif. Fin qui arrivait toujours trop tôt pour Zaranak, il a donc décider de ne s'en servir que lorsqu'il y était poussé.

Célérité = ★✩✩✩✩✩ Zaranak n'a apprit à cette capacité que très récemment, il ne peut pour l'heure que se déplacer rapidement sur une dizaine de mètres en ligne droite car il perd rapidement l'équilibre et s'affale sur le sol à défaut de trouver un mur pour l'arrêter.



Zaranak possède une énorme épée à deux mains du nom de Désolation. Dire que cette épée est énorme sonne presque comme un euphémisme en réalité, la lame en soit n'est qu'un gros bloque de acier de près d'un mètre et demie de long et de presque soixante dix centimètre de large. Les contours du dis bloque de métal ce qu'on aurait normalement appelé "tranchant"  sont tout aussi effilé que des lames de rasoirs et bien que la plus part des homme se voient incapable de la brandir, Zaranak la manie aisément. L'arme n'a pas de garde. Le manche a été strié puis  recouvert de cuir garantissant une certaine accroche à la main. Plutôt long lui aussi puisqu'il mesure une cinquantaine de centimètres il se termine par un pommeau en forme de tête de cheval.

Désolation:

Une armure de plaque dont il a fait l’acquisition après avoir rejoint les cavaliers de Sharna. Composée de divers plaques d'acier de couleur noir le tout articulé par des sangles recouvrant l’intégralité du corps du Zélos. Très lourde? Oui elle l'est sans aucun doute mais Zarakan a demandé à ce qu'elle protège essentiellement les avant bras, et le haut du buste quitte à rendre l'alliage moins épais sur le reste du corps. Ainsi l'armure remonte jusque sous le menton protégeant ainsi le cou du combattant et en s'avançant comme pour contourner la mâchoire du porteur elle y prend la forme de la mâchoire inférieur d'un loup. Le haume quand à lui a été forgé pour représenter le haut de la gueule du dit loup. Seuls deux orifices permettent au Zélos de voir ce qui l'entoure.  La force naturelle de Zaranak couplée au fait que l'armure n'entrave que très peu les mouvements permettent au titan de s'exprimer totalement lors d'une bataille.

Armure des cavaliers de Sharna:

Petite fiole d'essence divine en poudre destinée à sa propre consommation.

Catalyseur qu'il porte comme bracelet à son pogné droit.



Un simple mot pourrait décrire Zaranak, "colosse". Pour cause, il mesure près de 210 cm et semble taillé dans un marbre grisâtre. Imposant, il l'est certainement aux yeux des hommes car même un autre Zélos pourrait utiliser massif comme adjectif pour le décrire. Bor l'a peut être sculpté lui même à sa naissance mais c'est par ses propres moyens que Zaranak l'a d'une certaine manière forgé. Les épreuves qu'a traversées notre personnage sont pour ainsi dire gravées dans sa chaire et aucune partie de son corps ne semble avoir été épargné. Le Zélos porte également deux tatouages. Le premier représente une chaîne qui s'enroule autour de son cou et de son bras droit. Quant au le second, il situé sur son pectoral gauche n'est autre que le blason des cavaliers de Sharna. En dehors des moments où il porte sont armure, il préfère les tenues amples dans lesquelles il se sent à l'aise. Loin de se soucier des modes de Phelgra, il optera pour des couleurs sombres car c'est un fait les taches de sang s'y dissimulent plus facilement. Ses cheveux noir lui tombent sur les épaules, ils sont pour lui un signe de sa force car il ne se les coupera pas à défaut de perdre un duel.
Très peu de gens l'ont vus sourire en dehors des moments qu'il appel lui même de bon combats mais lorsque c'est le cas un rictus carnassier illumine son visage.

Oui ... Zaranak est une personne que l'ont peut considérer comme instable mentalement. Il est colérique, égoïste, impatient et  sait se montrer d'une extrême violence. Il peut si l'envie lui prend de faire preuve de sadisme. Ce n'est pas uniquement qu'il aime voir les autres souffrir, puisqu'il aime également que l'ont lui en inflige. C'est la souffrance en générale qui l'attire. Cela le rend d'une certaine manière imprévisible dans ses actions car d'un œil extérieur un excès de folie peut très bien pousser ce Zélos à massacrer hommes, femmes et enfants. Même si il est vrai que sa paranoïa intermittente due à sa consommation régulière d'essence divine en poudre n'est plus à démontrer la plus part du temps le Zélos ne cherche qu'un bon combat pour "tuer le temps" comme il pourrait le dire. Zaranak est

Zaranak n'est pas un fervent adorateur des dieux, mais il entretient des relations particulières avec certaines divinité. Paris eux Bor, dieu des forges. Selon notre protagoniste le dieu forgeront et créateur des Zélos lui a accordé un corps supérieur à celui des autres. il traite ce corps qui lui aurait été attribué avec une attention particulière ne serais-ce qu'au travers de ses tatouages. En réalité, le Zelos voit sont propre corps comme une arme qu'il serait entrain de forger et qu'il offrira à Bor ainsi que deux autres dieux à sa mort.

Le second est bien sur Sharna, divinité de la guerre et du mensonge. Zaranak loin d'être stupide, sait que des mots bien maniés peuvent blesser. Ils ont également l'avantages de frapper à distance, et d'être impossible a éviter. Pour notre Zélos un bon combat n'a pas de prix, et c'est bien saignant qu'il les préfère. Zaranak est perpétuellement à la recherche d'un duel qui le ferait frémir, durant lequel il pourrait mettre sa vie en jeu au même titre que celle de son adversaire. Loin de chercher un endroit où mourir c'est plutôt le besoin compulsif de meurtre et de destruction qui l'anime. Chaqu'une de ses mises à mort est un cadeau à Sharna et il accorde une lugubre attention à celles qu'il considère comme importantes.

Le dernier dieu avec lequel  le Zélos entretient des liens particuliers est Kron, dieu de la mort et des condamnés. Bien qu'il se jettera bien volontiers dans une horde d'ennemis, Zaranak ne souhaite pas réellement mourir, un observateur attentif pourrait comprendre que c'est sa façon à lui de se sentir vivant. Curieusement  le Zélos se sentirait plus vivant après avoir tué. Peut être qu'en offrant des âmes à Kron, il a le sentiment de détourner l'attention de Kron et de gagner ainsi du temps. Lui qui mériterait la mort la plus lente et la plus douloureuse possible pour ses crimes, essayant de cacher le cadavre-vivant qu'il est au milieu des corps mutilés qu'il offre à son dieu en espérant le rassasier.


PRENOM : Nora RACE : Loup
SEXE : Féminin
POUVOIR : Gigantisme
DESCRIPTION : Nora est une louve domestiquée qu'il a recueillit alors qu'elle était encore un petit louveteau. Son pelage est des banales puisqu'elle est entièrement noir, quand à ses yeux, ils sont turquoises.  A noter que les extrémités de ses pattes sont également blanches.  Elle porte un collier à piques autour du coup, collier qui à défaut d'apporter une certaine forme d'esthétisme a surtout pour but d'abriter un catalyseur de couleur rouge.

Nora:

PRENOM : -
SEXE : -
DESCRIPTION : Zaranak n'aime pas les chevaux, ils sont trop faibles pour le transporter quand il porte son armure et son épée et ils ont tendance à paniquer quand il s'en approche. Raison pour laquelle notre Zélos les trouve également trop bruyants.





Les origines de Zaranak qui n'avait pas encore ce nom à l'époque remontent jusqu'aux dernières années de la guerre de Taulmaril peu avant l'an 800. A cette époque il portait encore le nom de Gar'zog, ses parents deux zélos volontaires dans les armées de Phelgra s'étaient tout d'abord rencontrés sur le champs de bataille. Un soir, après une escarmouche qui aurait pu mal se terminer, l'un des deux soldats, l'histoire elle même a oublié lequel, avait proposé de faire l'amour plutôt que la guerre. Il n'y eu ni tendresse ni violence, ni passion ni romance il ne s'agissait que de deux âmes ne sachant si demain serait leur dernière journée sur Istheria ou non savourant l'instant présent. De cette union naquit donc Gar'zog dans un camp militaire de stationné aux alentours de Taumarvil. Le jeune Zélos malheureusement ne pu que brièvement profiter de ses parents puisqu’à peine il avait eu le temps d'apprendre à marcher et commençait vaguement à parler le zinonien, le camp fut attaqué. Dans la confusion, le sang et les flamme personne n'a réellement prêté attention au petit Gar'zog qui avait trouvé refuge sous le corps d'un soldat presque aussi froid que le métal de son armure mais des plus rassurant pour l'enfant. Ce n'est qu'au petit matin alors que les vainqueurs entassaient les cadavres pour les brûler et éviter la propagation de maladies diverses, que fut retrouvé un enfant zélos.

Ne sachant trop quoi faire de lui, celui qui semblait n'être qu'un orphelins de guerre fut recueillit dans ce qui était troupe de mercenaires. Malheureusement et on ne sait toujours pas pourquoi, ceux qui auraient pu être les sauveteurs d'un petit enfant zélos  se sont révélés être ses bourreaux. Lui qui n'avait pas de parents fut vendu et  rencontra son nouveau propriétaire quelques mois plus tard au terme d'une longue traversée d'Isthéria qui le mena jusqu'à Phelgra. Dès lors son quotidien ne fut plus qu'alternance entre taches ménagères et tabassages en règle. Celui qui s'était brièvement appelé Gar'zog ne posait jamais un genoux à terre se contentant d'encaisser sans broncher. Peut-être était-il conscient qu'en tentant de se défendre il serait tué, ou est-ce tout simplement le fait qu'il n'avait jamais connu autre chose. Quoi qu'il en soit les années passèrent et arrivé à l'age de 20 ans, le zélos se rapprochant de l'age adulte vit peut à peut sa musculature se développer. Conscient de la force de ce peuple, le maître du zélos anonyme réalisa qu'il pourrait potentiellement gagner de grosses sommes d'argent en mettant un pied dans le business  de combat d'esclaves.

Un premier combat fut organisé puis un second et un troisième. Au fur et à mesure de ses victoires le zélos anonyme se voyait octroyé certain avantages, au début ce ne fut rien de plus que de vrais repas nourrissants ou l'arrêts des violences physiques auxquelles il était sujet, après tout il fallait bien prendre soin du combattant qui par sa force naturelle rapportait de l'argent à son maître. L'esclave compris vite que plus il sortait victorieux de ses affrontements plus sa vie s'améliorait, mais il lui manquait quelque chose. Il voulait avoir un nom, son identité propre. Un jour  il se décida à en parler à son maître qui s'attendait pas à un souhait aussi simple à réaliser. Il accepta à la condition que le zélos gagne son prochain duel. Duel qu'il gagna. Il avait à présent un nom, ou plutôt un surnom "fils de Bor" celui qui a dont le corps a été forgé par Bor. Mais il paya ce nom de son innocence puisqu'il fut forcé pour la première fois de tuer son adversaire. Les années défilèrent de plus en plus rapidement et plus le fils de Bor grandissait plus ses affrontements devenaient brutaux sanglants et difficiles. Son maître qui en demandait toujours plus, offrit à son combattant favori  un catalyseur et le présentât un professeur du nom de Zaranak afin qu'il puisse développer ses pouvoirs et ses dont pour le combat. Le zélos développa deux capacité, le premier lui permettait de ses battre plus longtemps en soignant son corps quand au second, il lui permettrait de mettre un terme aux combats rapidement en augmentant sa force déjà hors normes. Au file du temps qui s'écoulait, des entraînements et des matchs désormais à mort, celui qui avait été nommé fils du dieu Bor se lia d'amitié avec son professeur, lui même esclave. Les capacité martiales et spirituelles du zelos semblaient se développer de manière exponentielle et il rattrapa rapidement son précepteur.




Malheureusement, le destin qui semblait s'acharner sur le combattant à la peau grise frappa une nouvelle fois. Le fils du maigre esclavagiste commençant grandissant lui aussi cherchait à zapper l'influence de son père pour prendre sa place, et quoi de mieux pour cela que de lui faire perdre son précieux meurtrier zélosien. Profitant de l'absence de son père lors d'un voyage d'affaire, il organisa un tournois dans sa demeure et y fit participer le zélos et Zaranak. Comme prévus les deux combattants eurent vite fais éliminer tous les autres concurrents et se retrouvèrent tout deux face à face. Bien qu'aucun des deux combattants ne veuille réellement tuer son vis à vis le combat fut terriblement violent. La foule poussait des hurlements et les spectateurs ressemblaient plus à des bêtes enragées qu'à des hommes. La confrontation entre les deux esclaves fut longue et difficile, mais le corps du jeune zélos naturellement plus robuste que celui de son professeur bien plus âgé se fatiguait moins vite. Et dans un ultime échange de coups le fils de Bor trancha la tête de son ami et précepteur. La foule en pleine  crise d'hystérie s'était d'abord tue. Un homme posté premier rang perdis connaissance en voyant la tête du perdant rouler en sa direction. La foule alors sous le choque devant tant de brutalité repris son délire collectif de plus belle. Elle son scandait le nom du vainqueur.

-"Fils de Bor ! Fils de Bor ! Fils de Bor !"

-"Za .. ra ... nak, mon nom est ... Zaranak" suffoquait le vainqueur.

-"Fils de Bor ! Fils de Bor ! Fils de Bor !"

-"Mon nom est Zaranak !" Le zélos lui même ne savait pas pourquoi il avait dit ça. Quelque chose en lui venait de se briser.

Les psychologues si tant est qu'il y en ai eu dans la foule diraient que dans un ultime désire d'effacer de sa mémoire le meurtre de ce qui avait été jusqu'à aujourd'hui son seul ami, le fils de Bor avait décidé de se laisser posséder par celui qu'il venait de tuer du moins dans une certaine mesure Le colosse s'était redressé et dominait la masse qui s'agglutinait au bords de l'arène pour observer le vainqueur. Désormais fou de rage il se jeta sans la foule l'arme à la main, décidé à faucher le plus de vie possible avant de mourir à son tour. Mais il faut croire que ce n'était pas son heure, car lorsque sa folie prit fin, il était le seul à se tenir encore debout dans la battisse. Zaranak quitta les lieux en vie mais son esprit déjà fragilisé par des années d'esclavage était brisé.

Durant près de 400 ans il errant sans but à Phelgra et survivait de meurtres et de pillage. Les rumeurs se multiplièrent à son égare. Dans une région un géant gris terrorisait la population, dans une autre un monstre avait fait son apparition semant la désolation sur son passage. Les jours se ressemblaient tous, et l'ennuis s’immisça dans le cœur du zélos. Au début mettre un village à feu et à sang le remplissait de joie plus le temps passait plus le sentiment de vide qu'éprouvait Zaranak s'intensifiait. Lorsqu'un jour la route de Zaranak croisa celle d'un cavalier de Sharna venu selon lui mettre fin à sa barbarie. Pour la première fois depuis sa victoire sur son ancien professeur était repousser dans ses retranchements. Cela faisait des siècles qu'il n'avait pas été aussi proche de la mort. Aussi proche du véritable Zaranak. Finalement ce fut la barbarie de Zaranak qui mit fin aux agissements du cavalier noir. Et quelques semaines plus tard, le zélos fut rattrapé par les compagnons du cavalier.Ils lui proposèrent de rejoindre leur caste ou de mourir. Le colosse refusa, non pas que l'offre ne lui convenait pas, mais le zélos ne respectant que la force, il était inconcevable pour lui de se soumettre sans confrontation. Le zélos terrassa deux de ses adversaires avant d'être dépasser par leur nombres Pour la première fois de sa vie il fut forcé de se rendre et entra officiellement au sein des cavaliers de Sharna. Fier de sa nouvelle position Zaranak redoubla de brutalité. Mais quelque chose avait changer en lui, il semblait avoir trouver son but, il arpenterait Isthéria afin d'affronter les plus puissants combattants du monde et un à un il les détruirait. Démégor, le chef des cavaliers de Sharna échafauda un plan afin d'étendre l'influence de son clan tout en canalisant la bestialité de son cavalier en lui donnant sa première cible : Le Veilleur d'Umbriel. Mais atteindre le gouverneur de la grande cité d'Umbriel, l'homme qui dirige la grande plus grande prison d'Isthéria Zaranak devait trouver un moyen d'entrer dans cette place fortifier sans éveiller les soupçons. Et c'est pour cette raison que depuis maintenant 8 années, celui qui se donne le nom de Zaranak purge sa peine dans la prison des Déments.