“L’histoire, l’histoire n’est autre qu’un rêve crée par les dieux mais réécrite par ceux qui gouvernent, conté par ceux qui qui reçoivent les pièces des nobles qui leur ont donné le manuscrit en main propre écrit avec le bleu de leur sang, graver dans la roche avec leur ongle manucuré dans la douleur, la tristesse et des guerres que vous ne pouvez imaginé. Alors nous la racontons …”
Le feu crépite une fois de plus comme si de rien n’était comme si les joues n’était pas rempli de larme, comme si la lumière portait encore jusqu’à ses interlocuteur comme si l’odeur du saucisson de sang cuite à point ne se dispersait pas dans la forêt alentour et dans les frondaisons du buché … Il crépite et laisse le barde raconté son histoire une fois de plus, les yeux plein de larme posé sur les étoiles et ayant pour tout siège une branche et quelques habit déchiré.
“Le bonheur est mort il y a des années, tout comme les dieux, dans cet instant précis ou croyant pouvoir choisir le cours de la bataille ils ont laissé le frère honni montré la guerre de son épée de rage et de sang. Alors descendant vers leur cimetière ils ont marché dans leur tombe et ne s’en sont jamais relever … Comme vous.”
Il essuie quelques larmes avec le reste d’une robe mais l’odeur qui se fait toujours plus grande et plus présente ne semble pas l’indisposé, le feu crépite toujours, faible sous le flot et laisse aux braises le vrai travail. Bientôt la lune lèvera son œil vers les hommes et bientôt elle pourra montrer son visage meurtri …
“Mais bien avant cela on a élevé les choses, les bout de dieux, les parcelles de leurs être, la rencontre de leur semence avec le corps de la création folle d’un être de haine … Ils ont été élevé comme leurs fils et dans leurs savoir car ils sont la naissance de leurs entrailles, la vie même de leurs sens disparut de nos jours … Comme leurs fils mais entrainé pour être leur égale et jamais les choses ne resterons tel que le destin les poses en ce moment … N’êtes-vous point d’accord ?“
Dans un souffle de vent quelques pans de tissu et gestes rapide semble approuver tout en restant suspendu à ses lèvres, attendant la suite, que les choses se dévoilent qu’ils racontent l’histoire …
“Il est ainsi depuis toujours, on ne raconte la vérité qu’à vous, les morts, vous qui savez à présent que l’homme n’est pas fait pour être gouverné mais pour être esclave des dieux, un simple pion dans les mains de leurs fils … Ainsi révélant au monde la vérité de la souffrance, la vérité de cette histoire réécrite pour qu’il se sente concerné, je laisse aux hommes la joie de croire que les choses ne sont pas folie … Je leurs laisse l’idiotie de croire car ils ne savent pas.”
Il s’est levé, les bras écarté vers la lune qui se lève enfin, rouge de sang et en parti déchiqueter par la morsure des ombres, le reste de robe qui servait de siège reste collé par le sang à la femme qui lui servait de tronc et rependait son sang sur le sol pour nourrir la terre aux pieds du démon dieu. Un membre de son publique dont l’esprit ne tient pas la violence de ses révélations laissa son crane enfin s’explosé sur le sol brisant l’équilibre de la montagne de chair et de corps en décompositions … Les sacrifices souriaient apeuré par la vérité, un sourire dessiné par-delà leurs mort, à l’instant où ils avaient appris.